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La Volonté humaine et l’éternité du monde : une lecture critique par Karl Löwith du dépassement nietzschéen du nihilisme

Beauséjour, Marc-Antoine January 2018 (has links)
Dans cette thèse, nous analysons l’interprétation de Karl Löwith de la philosophie de Nietzsche. Elle est guidée par l’idée que le dialogue que Karl Löwith entretient avec Nietzsche est l’un des plus instructifs sur la manière dont Löwith pose les problèmes qui animent sa pensée. Ce dialogue débute par des lectures de jeunesse à l’époque où Nietzsche s’avère le maître à penser d’une génération qui se comprend comme vivant à la frontière entre le monde ancien à dépasser et un monde nouveau à préparer. L’interprétation philosophique que tentera Löwith dans Nietzsche : philosophie de l’éternel retour du même peut se comprendre comme une critique de cette manière radicale de poser le problème du nihilisme avec Nietzsche. Le premier chapitre de cette thèse est un examen du contexte entourant l’écriture de ce principal ouvrage de Karl Löwith. Les second et troisième chapitres sont consacrés à une analyse de la compréhension löwithienne du mouvement général de la pensée de Nietzsche. Le second chapitre examine les principes herméneutiques qui guident Löwith dans son interprétation et les solutions qu’il propose afin de surmonter les défis qui accompagnent le projet de mettre en évidence l'ordre, l'intelligibilité et l'unité de l’œuvre de Nietzsche. Dans le troisième chapitre, nous analysons les principaux mouvements de ce système de la philosophie de Nietzsche que dégage la lecture de Löwith. Selon Löwith, la pensée de Nietzsche est l’essai d’une réponse au problème de la relation entre l’existence humaine et l’être du monde. Antiquité, christianisme, modernité, nihilisme, volonté de l’éternel retour sont des termes qui résument les configurations possibles du rapport de l’humain au monde. Cette compréhension du lien de l'homme et le monde s'appuie sur une anthropologie de la volonté. Nietzsche est ce penseur qui tente d’opérer un retour à la compréhension antique du lien entre l’homme et la nature à partir du nihilisme dont l’éternel retour doit être à la fois aboutissement et renversement. Cette tentative est selon Löwith contradictoire, mais réfléchir sur cette contradiction peut nous instruire sur les alternatives fondamentales du rapport entre l’humain et le monde et nous guider vers un examen critique de l’idée de dépassement qui nous invite à une posture plus sceptique et prudente qui ne masque pas pour autant les problèmes de la modernité que Nietzsche soulève.
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L'éternel retour du même et la volonté de puissance chez Nietzsche

Bélanger, Alexandre January 2011 (has links)
L'objectif de ce travail de recherche sera de confirmer ou d'infirmer la possibilité d'interpréter la philosophie de Nietzsche à titre de cosmobiologie à partir de son oeuvre posthume. Pour ce faire, nous étudierons en premier lieu la méthode par laquelle Nietzsche érige la structure épistémologique de sa philosophie. Nous verrons que cette méthode mène tout droit au concept de volonté de puissance. Conséquemment, nous définirons soigneusement le rôle et la nature conceptuelle de la volonté de puissance pour la philosophie de Nietzsche par l'intermédiaire d'une critique épistémique de la mécanique classique de son époque. Après avoir déterminé conceptuellement la nature de la volonté de puissance, nous tenterons de rendre compte de celle-ci sous la forme cohérente d'une cosmologie de l'éternel retour du même afin d'éviter que la volonté de puissance ne devienne une thèse purement métaphysique. En conclusion, nous verrons que le concept de vie dans la philosophie de Nietzsche ne parvient pas à lui seul à expliquer la cosmologie de l'éternel retour du même. Corolairement, nous devrons infirmer l'hypothèse selon laquelle nous pourrions interpréter la philosophie de Nietzsche à titre de cosmobiologie
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La circularité des mythes dans Les chrysalides de Daniela Hodrová

Arsenault, Maude 08 1900 (has links) (PDF)
Le roman Les chrysalides (Tableaux vivants) (1995), de l'auteure tchèque Daniela Hodrová, deuxième volet de sa trilogie Cité dolente, met en scène, à travers 126 tableaux, des personnages aux identités insaisissables, mouvantes, transmuables et dont le corps est le lieu de sempiternelles métamorphoses. Grâce aux multiples transmigrations et transfigurations des protagonistes, le passé ressurgit et le futur se révèle du même coup ; ces temps s'imbriquent au présent dans une ronde d'évènements qui convergent perpétuellement vers Prague, cette ville devenue le véritable « espace-défilé » (Les Chrysalides, 1995) des âmes et des êtres qui peuplent le récit. Dans le premier chapitre, nous démontrons que le récit se déploie selon la logique d'un temps circulaire, d'un schéma variationnel propre au concept nietzschéen de l'éternel retour et que cette circularité permet la réactualisation et le recyclage de certains mythes tchèques et mondiaux, en particulier le mythe de la métamorphose (Brunei, 1974). Le deuxième chapitre est consacré au chronotope (Bakhtine, 1978), concept problématisé puisque l'unique toile de fond du roman, Prague, est, à l'instar des personnages, constamment en processus de permutation, et le temps, qui revient cycliquement, s'y superpose en « couches » en une « accumulation verticale d'épisodes » (Le Grand, 1995). Le troisième et dernier chapitre concerne l'intertextualité (Kristeva, 1969) qui structure ce roman. Nous dégageons certains intertextes historiques, littéraires et mythiques présents dans la diégèse des Chrysalides. Notre méthode globale se fonde donc tout à la fois sur les théories du temps mythique, du chronotope et de l'intertextualité. Tout en relevant les différentes métamorphoses induites par la répétition et le retour éternel des personnages qui traversent la cité dolente, nous montrons, dans notre mémoire, que la circularité des mythes présents dans Les Chrysalides projette les protagonistes dans un éternel présent et que le mouvement inhérent à l'intertextualité du roman s'apparente à celui de l'éternel retour. Le processus de permutation de textes, le recyclage et la circularité des mythes, aussi bien que l'imbrication des temps dans Les Chrysalides ouvrent la voie à une interrogation philosophique sur la notion d' identité, que le roman remet en cause, ainsi qu'une réflexion sur le temps et l'espace et sur le passage de l'être dans le temps. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Daniela Hodrová, circularité, mythes, éternel retour, répétition, chronotope, intertextualité, métamorphoses
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Le surhomme dans l'oeuvre de Nietzsche

Du Temple, Pascal 09 1900 (has links)
No description available.
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Éthéréalisation : amorces d'une contre-histoire

Thibault, Ghislain 10 1900 (has links)
Cette thèse est une enquête épistémologique qui s’interroge sur la persistance de « l’éther » dans le champ de la technologie. De façon générale, le mot « éther » évoque un modèle conceptuel de la physique pré-einsteinienne, celui d’un milieu invisible permettant la propagation de la lumière et des ondes électromagnétiques. Or, ce n’est là qu’une des figures de l’éther. Dans plusieurs mythologies et cosmogonies anciennes, le nom « éther » désignait le feu originel contenu dans les plus hautes régions célestes. Aristote nommait « éther », par exemple, le « cinquième être », ou « cinquième élément ». La chimie a aussi sa propre figure de l’éther où il donne son nom à un composé chimique, le C4H10O, qui a été utilisé comme premier anesthésiant général à la fin du XIXe siècle. L’apparition soutenue dans l’histoire de ces figures disparates de l’éther, qui a priori ne semblent pas entretenir de relation entre elles, est pour nous la marque de la persistance de l’éther. Nous défendons ici l’argument selon lequel cette persistance ne se résume pas à la constance de l’attribution d’un mot ou d’un nom à différents phénomènes dans l’histoire, mais à l’actualisation d’une même signature, éthérogène. À l’invitation d’Agamben et en nous inspirant des travaux de Nietzsche et Foucault sur l’histoire-généalogie et ceux de Derrida sur la déconstruction, notre thèse amorce une enquête historique motivée par un approfondissement d’une telle théorisation de la signature. Pour y parvenir, nous proposons de placer l’éther, ou plutôt la signature-éther, au cœur de différentes enquêtes historiques préoccupées par le problème de la technologie. En abordant sous cet angle des enjeux disparates – la légitimation des savoirs narratifs, la suspension des sens, la pseudoscience et la magie, les révolutions de l’information, l’obsession pour le sans-fil, l’économie du corps, la virtualisation de la communication, etc. –, nous proposons dans cette thèse autant d’amorces pour une histoire autre, une contre-histoire. / This dissertation stands as an epistemological inquiry into the persistence of the notion of ether within technology’s discursive field. Most often, the word “ether” is understood as a conceptual model in pre-einsteinian physics which designates the medium responsible for the propagation of electromagnetic waves and light. However, this proves to be only one of the many figures of ether. In multiple mythologies and cosmogonies, ether was also the name employed to refer to a sublime and pure fire filling the highest spaces of the universe. Aristotle, for example, named “ether” what he considered to be the “fifth being,” or the “fifth element.” Chemistry also makes use of ether, where the name denominates the compound C4H10O, used as the first general anaesthetic agent at the end of the nineteenth century. From our point of view, the sustained occurrences of ether in these different figures, so disparate indeed that they appear unrelated, marks the manifestation of its persistence. We argue that this persistence should not be narrowed down to a constant attribution of a “word” or a “name” to several historical phenomenons, but rather should be viewed as the actualization of a same etherogeneous “signature.” Responding to an invitation by Italian philosopher Agamben, and building on Nietzsche’s and Foucault’s history-genealogy as well as on Derrida’s deconstruction, our dissertation proposes an historical program oriented towards a theorization of the signature. To do so, we suggest locating the ether, or rather the ether-signature, at the heart of several historical inquiries concerned with the contemporary problem with technology. Approaching some of theses issues –the legitimating of narrative knowledge, the suspension of the senses, pseudoscience and mysticism, information and industrial revolutions, wireless obsessions, body and corporeality, virtualization of communication, etc. –, our dissertation aims at locating and articulating as many baits towards an-other history, a counter-history.
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/Répétition/ (mot barré) : la non-représentation du vouloir-dire et le dernier retour de l’histoire de l’art par le dispraître / /Repetition/ (crossed) : non-representation of “vouloir-dire” and the Last Return of the History of Art by Disappearing

Son, Ji min 28 June 2017 (has links)
Dans sa provenance platonicienne, l’idéal de l’incarnation de l’Idée doit à la fois affronter des individualités (pré)déterminées et qualitativement différentes (le pluralisme) – qui sont répétitions et répétées elles-mêmes. Il doit devenir le vouloir-dire de la personne qui s’efforce de mettre en œuvre ce dernier et qui cherche à franchir les limites ontologiques de la représentation. Cependant, l’irréalisabilité de la pure répétition du vouloir-dire – ou de n’importe quel « sujet » – atteste de la présence absente du même dans le processus de sa mise en œuvre ; la répétition est toujours déjà répétition différenciatrice, son acte même toujours susceptible d’être perçu comme mimétique en pratique. Lorsque nous « créons », nous cherchons une différence absolue (singularisation) tout en visant l’universalité du vouloir-dire, l’Univocité. Autrement dit, c’est l’inévitabilité de la répétition différenciatrice (« nouveauté ») qui se répète et tend vers un dernier résultat censé être absolument univoque et intersubjectivement compris et jugé. Cette inévitabilité signifie-t-elle une (ou la dernière) impasse théorique – une « fin » – insurmontable ? Comment les artistes, les historiens d’art et les philosophes s’y prennent-ils ? Entre l’origine et le futur de l’art, quelle puissance de la répétition devrait-on y chercher pour ne plus répéter « une répétition pour toute » ? / From its Platonic source, the ideal of embodiment of Idea must face individualities which are (pre)determined and qualitatively different – and are themselves repetitions repeated. It must become “what-is-wanted-to-be-said” or “meaning” (“vouloir-dire”) of the person who endeavors to realize it and to attempt to exceed the ontological limits of representation. Meanwhile, the unrealizability of pure repetition of the “vouloir-dire” – like any other “subject matter” – testifies to the absent presence of the same in the process of its realization; each and every repetition is always already a differential repetition, and its act itself always susceptible to be taken as mimetic in practice. When we “create”, we search for the absolute difference (singularization) while aiming at a universality of the “vouloir-dire”, Univocity. Put another way, it is the inevitability of the differential repetition (“newness”) that repeats itself and moves towards the last outcome that is meant to be unique in itself and intersubjectively understood and judged. Does this inevitability point towards a (or the last) insurmountable theoretical stalemate – “an end”? How do artists, art-historians, and philosophers deal with this problem? Between the origin and the future of art, what sort of force of repetition do we have to look for in order to finally no longer repeat “one repetition for all”?
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Éthéréalisation : amorces d'une contre-histoire

Thibault, Ghislain 10 1900 (has links)
Cette thèse est une enquête épistémologique qui s’interroge sur la persistance de « l’éther » dans le champ de la technologie. De façon générale, le mot « éther » évoque un modèle conceptuel de la physique pré-einsteinienne, celui d’un milieu invisible permettant la propagation de la lumière et des ondes électromagnétiques. Or, ce n’est là qu’une des figures de l’éther. Dans plusieurs mythologies et cosmogonies anciennes, le nom « éther » désignait le feu originel contenu dans les plus hautes régions célestes. Aristote nommait « éther », par exemple, le « cinquième être », ou « cinquième élément ». La chimie a aussi sa propre figure de l’éther où il donne son nom à un composé chimique, le C4H10O, qui a été utilisé comme premier anesthésiant général à la fin du XIXe siècle. L’apparition soutenue dans l’histoire de ces figures disparates de l’éther, qui a priori ne semblent pas entretenir de relation entre elles, est pour nous la marque de la persistance de l’éther. Nous défendons ici l’argument selon lequel cette persistance ne se résume pas à la constance de l’attribution d’un mot ou d’un nom à différents phénomènes dans l’histoire, mais à l’actualisation d’une même signature, éthérogène. À l’invitation d’Agamben et en nous inspirant des travaux de Nietzsche et Foucault sur l’histoire-généalogie et ceux de Derrida sur la déconstruction, notre thèse amorce une enquête historique motivée par un approfondissement d’une telle théorisation de la signature. Pour y parvenir, nous proposons de placer l’éther, ou plutôt la signature-éther, au cœur de différentes enquêtes historiques préoccupées par le problème de la technologie. En abordant sous cet angle des enjeux disparates – la légitimation des savoirs narratifs, la suspension des sens, la pseudoscience et la magie, les révolutions de l’information, l’obsession pour le sans-fil, l’économie du corps, la virtualisation de la communication, etc. –, nous proposons dans cette thèse autant d’amorces pour une histoire autre, une contre-histoire. / This dissertation stands as an epistemological inquiry into the persistence of the notion of ether within technology’s discursive field. Most often, the word “ether” is understood as a conceptual model in pre-einsteinian physics which designates the medium responsible for the propagation of electromagnetic waves and light. However, this proves to be only one of the many figures of ether. In multiple mythologies and cosmogonies, ether was also the name employed to refer to a sublime and pure fire filling the highest spaces of the universe. Aristotle, for example, named “ether” what he considered to be the “fifth being,” or the “fifth element.” Chemistry also makes use of ether, where the name denominates the compound C4H10O, used as the first general anaesthetic agent at the end of the nineteenth century. From our point of view, the sustained occurrences of ether in these different figures, so disparate indeed that they appear unrelated, marks the manifestation of its persistence. We argue that this persistence should not be narrowed down to a constant attribution of a “word” or a “name” to several historical phenomenons, but rather should be viewed as the actualization of a same etherogeneous “signature.” Responding to an invitation by Italian philosopher Agamben, and building on Nietzsche’s and Foucault’s history-genealogy as well as on Derrida’s deconstruction, our dissertation proposes an historical program oriented towards a theorization of the signature. To do so, we suggest locating the ether, or rather the ether-signature, at the heart of several historical inquiries concerned with the contemporary problem with technology. Approaching some of theses issues –the legitimating of narrative knowledge, the suspension of the senses, pseudoscience and mysticism, information and industrial revolutions, wireless obsessions, body and corporeality, virtualization of communication, etc. –, our dissertation aims at locating and articulating as many baits towards an-other history, a counter-history.
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La Nature dans l’oeuvre de Francis Ponge / Nature in the works of Francis Ponge

Choonwoo, Yee 10 November 2011 (has links)
L’objet de ce travail est d’éclairer l’esthétique et l’éthique de la poétique de Francis Ponge à partir de la notion de Nature. La première partie étudie la notion de Nature chez Ponge en tant que monde extérieur et son matérialisme qui, fortement influencé par le matérialisme antique, est caractérisé par l’antimétaphysique. Cette partie met également en relief le rapport étroit entre sa pensée matérialiste et la pensée immanente spinoziste, résumée dans l’expression de « Dieu ou la Nature ». Les aspects immanents des choses dans ses œuvres peuvent être mieux saisis, en effet, à l’aide de la notion d’« immanence » spinoziste. La deuxième partie explore, quant à elle, la relation entre la Nature et la littérature et le développement d’un nouveau lyrisme matérialiste chez Ponge. Pour lui, la littérature se naturalise et la Nature se littérarise. Son approbation de la Nature se traduit par sa contresignature apposée aux choses.Son nouveau lyrisme matérialiste, qui s’oppose au lyrisme traditionnel, se caractérise autour de notions telles que la vibration, l’aspiration, ou la « réson ». La troisième partie, enfin, examine le nouvel humanisme de Ponge ainsi que son éthique.La relation entre la Nature et l’homme s’articulera autour de thèmes éthiques essentiels comme l’altérité, le nouvel humanisme et le salut de l’homme. Son éthique consiste à vivre heureux. Nous l’aborderons à travers différents thèmes tels que la sagesse antique, l’harmonie du « non-soi » et du « soi », l’éthique de la joie, le hasard et la liberté. / The purpose of this study is to examine the aesthetics and the ethics of Francis Ponge’s poetry through the notion of Nature. The first part examines the concept of Nature in Ponge as the outside world and his materialism which, heavily influenced by ancient materialism, is characterized by the anti-metaphysical. This part also explore the close relationship between his idea and Spinoza’s immanent idea, summarized in the expression of "God, or Nature". The immanent aspects of things in his work can be fully understood with the help of the concept of "immanence" of Spinoza. The second part examines the relationship between Nature and literature and the development of Ponge’s new materialist lyricism. For him, literature becomes naturalized and nature becomes literarized. The approval of nature is reflected in his countersignature for things. His new materialist lyricism, contrasted with the traditional lyricism, is characterized by notions such as vibration, aspiration, "réson". The third part will focus on the new humanism and the ethics of Ponge. The relationship between Nature and man will be treated primarily on certain essential themes of ethics such as otherness, the new humanism and the salvation of man. His ethics is to live à happy life. Various topics, such as ancient wisdom, the harmony of the "non-self" and the "self", the ethics of joy, chance and freedom, will be discussed.
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Le concept répétition du possible: Heidegger, Kierkegaard, Nietzsche

Daskalakis, Konstantios 08 May 2012 (has links)
A partir de 1919, Heidegger élabore plusieurs projets temporels grâce à une phénoménologie herméneutique caractérisée par la fonction méthodique de l’indication formelle, dont la dernière communication date de 1930. Dans ces projets, on trouve à plusieurs reprises la notion de répétition. Plusieurs commentateurs considèrent Kierkegaard comme source de la répétition heideggérienne tandis que d’autres se réfèrent à Nietzsche. Heidegger emploie le terme Wiederholung, Kierkegaard la notion Gjentagelse, et Nietzsche les notions Wiederkehr, Wiederkunft et Wiederholung. L’expression précise « répétition du possible » se trouve dans certaines œuvres des trois penseurs, et s’insère dans des projets temporels différents. La possibilité, en dehors de sa signification modale, décrit depuis Aristote un caractère de l’étant, en corrélation avec le phénomène fondamental qu’est le mouvement. Tant Kierkegaard que Nietzsche, et par la suite Heidegger, ont abordé la question de la mobilité comme thème fondamental dans leurs recherches, pour promouvoir la possibilité en tant que possibilité. Chez les trois penseurs, répétition n’est pas itération, ni retour de la même facticité empirique, mais répétition de la possibilité. Par l’expression « répétition du possible », il s’agit de décrire un mouvement temporel, accordant un sens spécifique au passé, et même à l’histoire. Ce mouvement temporel non objectivable, précède nécessairement le temps uniforme linéaire qui a déterminé la conception classique du temps depuis Aristote. Nécessairement mien, et à la fois continu et discontinu, ce mouvement qui, par son essence ne se manifeste que rarement, tient ensemble passé et futur autour de l’instant privilégié. L’instant, lié à la possibilité d’une décision qui ne se réfère pas à l’attente devant la réalisation des possibilités quotidiennes, a pour enjeu l’entièreté de la vie, visant la transformation de la vie et la constitution de l’homme. De cette manière dans différents projets chez les trois penseurs, la répétition et l’instant font entrer en jeu la question de la liberté. La conceptualité, ce qui revient à dire, la méthode de cette pensée temporelle, s’avèrent tellement importante, de sorte que cette pensée devient accessible grâce à une communication « indirecte » qui demande une contribution essentielle du lecteur. Le travail envisage l’affinité des trois penseurs tant à travers le caractère indirect de la communication de la temporalité que la tâche d’assumer le passé. / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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