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Rimbaud, Laforgue. Une poétique de la folie / Rimbaud, Laforgue. A Poetics of Madness

Lejosne-Guigon, Renaud 08 December 2017 (has links)
Cette thèse examine l’œuvre poétique de Rimbaud et de Laforgue du point de vue de la catégorie de « folie ». La notion de folie a très souvent été mobilisée dans la première réception de tout un pan de la poésie écrite dans le dernier tiers du XIXe siècle, pour étiqueter des textes considérés comme illisibles. À tel point qu’avec ses corollaires d’époques (manie, névrose, dégénérescence, hystérie), elle est devenue un véritable paradigme de lecture du texte poétique. La folie est envisagée ici non pas seulement dans sa définition médicale, mais aussi comme objet hybride, construit par une multiplicité de discours et de pratiques. On commence par une archéologie de ce discours médicalisant qui pathologise la poésie, pour montrer ensuite que la « folie » constitue bien une catégorie valide pour l’appréhension de la poésie rimbaldienne et laforguienne, mais qu’elle nécessite pour cela une théorisation nouvelle, indépendante de toute considération biographique ou psychologique. Part essentielle de l’écriture, la folie chez Laforgue, Rimbaud et leurs contemporains n’est plus la folie romantique – qui s’articulait aux catégories du grotesque ou du magisme inspiré. La folie poétique se fait méthode, « raisonné dérèglement » selon la formule paradoxale de Rimbaud, et traverse, en tant qu’expérience-limite, tout le trajet lyrique. En même temps, elle devient immanente aux corps, et au corps du texte. La folie romantique s’est immanentisée et textualisée. Poétique de la folie désigne ici un fait littéral, la manière dont le texte se trouve altéré par la folie, et réciproquement la manière dont en tant que poème ce même texte reconfigure la langue et la lecture, devenant par là un autre nom de la « folie » comme intempestivité, invention de catégories nouvelles, illisible devenant lisible. La folie ne désigne plus alors une pathologie, mais la force d’évènement de l’écriture même. Chez Laforgue et Rimbaud, cette dimension de bouleversement se déploie particulièrement dans trois champs : comme expérience radicale, la folie opère une altération et une aliénation du sujet ; comme effet rhétorique, elle entraîne un trouble généralisé de la syntaxe et du sens ; en tant que contre-discours et résistance à l’ordre établi (hystérie, idiotie, fureur) enfin, elle possède en elle-même une dimension politique, par laquelle elle s’articule à l’histoire comme événementialité. / This dissertation looks at the poetic works of Rimbaud and Laforgue from the point of view of “madness”. The category served as a label that was often applied by contemporary readers, including medics, to a corpus of poetry they considered to be illegible. Madness and its then quasi synonyms – mania, neurosis, degeneracy or hysteria – thus became no less than a general paradigm for reading poetry. We conceive of madness here not as a mere medical concept, but as a hybrid object, one that is constructed through multiple discourses and practices. The thesis first takes an archaeological look at this medicalisation of the reception of poetry. It then moves on to show that the category of “madness” can indeed be valid when it comes to understanding the lyric of Rimbaud and Laforgue, but needs new theorisation as a concept. Madness should no longer be considered as a biographical or even psychological category, but as pertaining to the text itself. A crucial part of the act of writing both for Rimbaud and for Laforgue, madness at the Fin de siècle had moved away from its definition in French romanticism, which saw it primarily as akin to the category of the grotesque or that of transcendent inspiration. Madness became a paradoxical method for poetry, according to the rimbaudian phrase “raisonné dérèglement” (“reasoned derangement”). As a limit-experience, madness proves to be at the core of a new poetic practice, while becoming immanent to the bodies as well as to the body of the text. Talking about a “poetics of madness,” we therefore conceive of madness as being primarily textual or literal. The poetic text is altered and displaced by madness, and conversely the text itself qua poem transforms the language it is written in and the categories of reading that are applied to it. In that sense, the text is necessarily mad in its essential untimeliness, since it invents the categories in which it can become legible. Madness thus no longer refers to a form of pathology, but rather designates poetic writing itself as a force and an event. Such a disruptive force is studied more particularly in three domains. As a radical experience, madness alters and literally alienates the subject. As a rhetorical effect, it brings about a major trouble within syntax and meaning. As a counter-discourse, finally, and a resistance to social order (in the cases of hysteria, idiocy, or fury), madness has an immediate political dimension to it, which connects it to history qua eventiality.
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La politique du chant dans les oeuvres de Pablo Neruda et de Louis Aragon : l’art comme conquête / Art as Conquest. The Canto and its Politics in the Works of Pablo Neruda and Louis Aragon

Valensi, Margaux 04 November 2016 (has links)
Face aux grands drames historiques du 20ème siècle, Louis Aragon (1897-1982) et Pablo Neruda (1904-1973), deux poètes communistes, amis dans la vie, développent à travers leur œuvre une conception de la poésie et de l’art en général comme une conquête, qu’ils nomment « chant ». Bien qu’il renvoie au lien séculaire entre musique et poésie, le « chant », que la thèse prend pour objet, n’est ni réductible ni à la musique ni au texte. Pour eux, le chant est le symptôme de l’unité fondamentale de l’art et de la vie et peut constituer une expression valant dans n’importe quelle sphère de l’activité artistique. Cette étude défend l’hypothèse selon laquelle le chant est d’abord une énergie qui non seulement fonde le texte littéraire, mais irrigue également les autres arts, et notamment les arts plastiques. La thèse propose ainsi de réinterroger ce que l’on appelle « chant » à travers deux œuvres originales qui cherchent à redessiner des communautés politiques et esthétiques, à l’échelle nationale et internationale. En saisissant d’abord leur œuvre par le dehors, l’étude met en lumière les étapes de la fabrique du chant à partir de deux manières de relier les espaces poétiques et politiques : celui de l’histoire littéraire et artistique et celui de la traduction. Ensuite, la thèse se fonde sur une approche poétique pour examiner de l’intérieur le chant sous l’angle de l’énergie. Si le chant semble indéfinissable, c’est aussi parce qu’il n’est pas une forme ni même un genre à proprement parler, mais l’expérience sensible d’une présence partagée. Démesurée, l’énergie du chant défie les cadres de la représentation pour s’afficher comme une expression. C’est sous ce dernier prisme que l’étude inscrit le chant dans un horizon qui outrepasse la poésie et le confronte à des problématiques visuelles en convoquant les écrits sur l’art de l’un et de l’autre, de rares livres illustrés par les peintres muralistes (Siqueiros, Rivera, Venturelli et Léger) et en examinant de près les extensions du chant (le livre, le mur et la tapisserie), afin d’identifier la communauté d’enjeux entre ce que nos poètes appellent « chant » et des réalisations plastiques majeures du 20ème siècle. / Facing the great historical dramas of the 20th century, Communist poets and friends Louis Aragon (1897-1982) and Pablo Neruda (1904-1973) showcased in their respective bodies of work a certain conception of poetry and of art as a conquest, which they named “canto” (in French “chant”). Although the term denotes the primeval relation between music and poetry, this dissertation postulates that the canto is not to be reduced to the sole musical or textual contexts. What both poets term “canto” is rather akin to the basic unity of art and life, and finds itself applicable to all artistic fields. In this sense, this dissertation first and foremost defends a vision of the canto as energy, which not only rests at the basis of textual creation but which also informs all other means of artistic expression, especially visual and plastic arts. The aim of this study is therefore to question what the term “canto” purportedly signifies in critical context. It does so by inspecting how the two oeuvres under scrutiny are relentlessly committed to shaping new political and esthetical communities, both nationally and internationally. Firstly approaching Aragon and Neruda’s works from an exterior viewpoint, the dissertation sheds light on the various elements that are generative of the canto by soliciting two areas which fundamentally connect poetical and political spaces: that of literary history and that of translation. The study then proceeds to examine the poetical works themselves through the notion of energy. If the defining contours of the canto remain elusive, it is precisely because it cannot be characterized as a form or as a genre in itself, but rather stands as the sentient experience of a shared presence. The overflowing energy emanating from the canto thereby begs the question of representation, whose frames it constantly defies in order to offer itself rather as an expression. This last notion serves as the final prism through which the canto is considered in this study, as something essentially exceeding the mere art of poetry and which interrogates the modalities of the visual. This concluding demonstration relies on Aragon and Neruda’s critical essays on art as well as rare books illustrated by muralist painters (Siqueiros, Rivera, Venturelli and Léger); it carefully explores the plastic prolongations of the canto (in book, wall or tapestry form) in order to further identify the common goals and implications of this literary entity, along with those of some major plastic arts achievements of the 20th century.
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Le roman d'aventure et le 'roman d'outre-mer' de langue allemande, de Charles Sealsfield à B. Traven / The German overseas adventure novel from Charles Sealsfield to B. Traven

Silicani, Christian 19 January 2018 (has links)
Il existe une abondance extraordinaire de récits de voyage et d'oeuvres de fiction en langue allemande focalisant l'outre-mer et en premier lieu les Etats-Unis d'Amérique. Ces textes écrits au cours du XIX et pendant la première moitié du XX siècle représentent un phénomène notable mais peu commenté qui se prête tout à fait à un traitement historique: ces écrits accompagnent, appuient, commentent et vilipendent la très forte émigration allemande vers les Amériques, notamment l'Amérique du Nord. Le présent travail s'attache à rendre compte du roman d'aventures outre-mer de langue allemande et ce faisant s'efforce de cerner ce qui fait la spécificité de la perspective allemande. Dans cette optique ont été retenues douze oeuvres composées par des auteurs germanophones aussi différents les uns des autres que les Allemands Friedrich Gerstäcker (1816-1872), Karl May (1842-1912), Ernst Friedrich Löhndorff (1899-1976), L'Austro-Américain Karl Postl alias Charles Sealsfield (1793-1864), l'Autrichien Franz Kafka (1883-1924), le Germano-Mexicain B. Traven (1882-1969). Après un chapitre d'exposition traitant de l'horizon d'attente présent dans l'Allemagne du XIX siècle, onze chapitres sont consacrés à l'étude des romans sélectionnés. L'analyse de ces oeuvres permet de mettre en évidence quelques caractéristiques saillantes qui sont propres au genre tant au niveau de l'esthétique , de la logique, des thématiques et des schémas idéologiques qu'au niveau de l'organisation en affrontements axiologiques entre un univers de la rationalité et de la civilisation et un monde considéré comme relevant de la "sauvagerie". Sont aussi analysées la silhouette de l'aventurier littéraire, les différentes approches de l'altérité entre refus et attrait, la tentation récurrente de la transgression, l'inscription du récit dans un système de codes et de stéréotypes préexistants. / There are many German travel stories as well as works of fiction focusing on overseas territories, in the first place on the United States of America. These texts that were written in the course of the nineteenth century and during the first half of the twentieth century represent a noteworthy phenomenon that has been little commented on and lends itself well to a historical approach. Indeed, these pieces of writing accompany, comment on and vilify the German mass migration to the American continent, especially to North America. The present work attempts to account for the German adventure novel the plot of which takes place overseas. In so doing it tries to define the specificity of the German perspective. Twelve novels have been selected that were written by several german-speaking authors very different from one another: the German Friedrich Gerstäcker (1816-1872), Karl May (1842-1912), Ernst Friedrich Löhndorff (1899-1976), the Austro-American Karl Postl aka Charles Sealsfield (1793-1864), The Austrian Franz Kafka (1883-1924), the Germano-Mexican B. Traven (1882-1969). Following an introductory chapter dealing with the horizon of aspirations in nineteenth-century Germany are eleven chapters each devoted to the study of one selected novel.The analysis of these works shows some striking features that belong to the genre either at the level of the aesthetics, logic, set of themes and ideological patterns or at the level of axiological confrontations between a rational, civilized world and the so-called "savageness". Other items in the study are the figure of the literary adventurer, the different approaches to the alterity phenomenon, the recurrent temptation of transgression, the insertion of the text in a pre-existent codes and stereotypes system.
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L’un contre l’autre : la dialectique de l’auteur et de la lectrice chez Serge Doubrovsky

Abdelmoumen, Mélikah 08 1900 (has links)
Depuis qu’en 1977, en quatrième de couverture de Fils, Serge Doubrovsky employa le mot « autofiction » pour décrire son roman, les études doubrovskiennes ont eu tendance à se focaliser sur les questions génériques que sous-tendait ce néologisme. Ainsi on a écarté un autre aspect, tout aussi important, de l’œuvre de l’auteur : celui du lien avec le lecteur qui, en plus d’être mis en scène dans chacune des autofictions doubrovskiennes, est associé dès Fils au rapport complexe, inextricable et conflictuel entre les sexes. « J’écris mâle, me lis femelle », dit le narrateur-écrivain ‘Serge Doubrovsky’ – lui qui vivra sous nos yeux une série d’histoires passionnelles avec des compagnes qui sont également ses lectrices. Repris d’épisode en épisode, le rapport entre le héros doubrovskien et sa compagne du moment rappelle les hypothèses de Doubrovsky dans Corneille ou la dialectique du héros (1963), inspirées de la dialectique hégélienne du Maître et de l’Esclave. Cette thèse s’attache donc à analyser la relation dialectique auteur-lectrice telle que mise en scène et approfondie dans l’ensemble de l’édifice autofictionnel. Après présentation et étude des mécanismes dont se sert l’auteur pour construire son Lecteur Modèle (Première partie), les trois autres sections principales de la thèse sont consacrées à l’analyse de Fils et Un amour de soi (1977 et 1982 ; Deuxième partie) ; du Livre brisé et de l’Après-vivre (1989 et 1994 ; Troisième partie) ; et enfin de Laissé pour conte (1999 ; Quatrième partie). Il s’agira enfin de montrer la portée non seulement littéraire, mais également sociale (la réflexion s’élargit à chaque épisode pour aborder les questions de la réception contemporaine de l’œuvre littéraire) et historique (le motif Maître-Esclave s’inscrit dans l’Histoire de l’Europe du XXe siècle, plus précisément la Seconde Guerre mondiale et la Shoah) du thème dialectique doubrovskien. / Since Serge Doubrovsky coined the term « autofiction » to describe his own novel on the back cover blurb of Fils (1977), doubrovskian studies have tended to focus on the literary genres issues implied by his neologism. Consequently, another aspect of the writer’s work, and a quite crucial one, was somewhat neglected: the relationship with the reader, which is not only represented and acted out by the characters in doubrovskian autofictions but also linked to a another complex, tempestuous and inextricable relationship, that of man and woman. “I write male, read myself female”, says the doubrovskian narrator, who happens to take part, under our very eyes, in a series of passionate relationships with mates that are also readers of his works. Repeated from novel to novel, the mise en scène of the rapport between the doubrovskian hero and his lady companion of the moment reminds us of Doubrovsky’s hypotheses in Corneille ou la dialectique du héros (1963), which were inspired by the Hegelian master-slave Dialectics. This study thus concentrates on the representation of the dialectical relation between male author and female reader in Doubrovsky’s autofictions. After a brief survey and description of the tools used by the author in order to construct his own Model Reader (First section), our three other principal sections will focus on the analysis of Fils and Un amour de soi (1977 and 1982; Section Two); Le livre brisé and l’Après-vivre (1989 and 1994; Section Three); and finally Laissé pour conte (1999; Section Four). We will ultimately attempt to demonstrate the doubrovskian dialectal theme’s literary richness as well as its social and historical implications – the author’s reflexion widens with each episode, touching on questions of reader-response and reception of the literary work, while the master-slave motif resonates in the History of twentieth century Europe, mainly the Second World War and the Holocaust.
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O ensino de literatura na perspectiva dos gêneros literários: uma proposta de trabalho

Oliveira, Florêncio Caldas de 20 August 2010 (has links)
Made available in DSpace on 2015-05-14T12:40:07Z (GMT). No. of bitstreams: 1 parte1.pdf: 2842680 bytes, checksum: 3e8b578b2b382d791ed0aea205e5bcc6 (MD5) Previous issue date: 2010-08-20 / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior - CAPES / Cette recherche investigue l‟enseignement de littérature au ensino médio (lycée) et cherche à proposer un modèle d‟enseignement sous la perspective des genres littéraires. Nous recourons encore à des informations historiques, depuis la fondation du Collège Pedro II, afin de connaître quand et comment eut lieu le changement de l‟enseignement de la rhétorique en historiographie littéraire au Brésil. Le fondement théorique de l‟analyse s‟ancre dans les conceptions de Cristina Mello, Willian Roberto Cereja, Maria da Glória Bordini & Vera Teixeira Aguiar, en ce qui concerne l‟enseignement de littérature. Les considérations d‟Aristote, Platon et Horace, soutiennent la discussion sur les genres littéraires, en plus de C. Serge, Northrop Frye et Emil Staiger. Le référentiel théorique pour l‟approche de l‟histoire de l‟enseignement de littérature employé au Brésil s‟édifie sur les informations de Roberto Acízelo de Souza, Afrânio Coutinho et Antonio Candido. Le débat sur la littérature de divertissement s‟appuie sur les conceptions de Muniz Sodré et Flávio Kothe. Le corpus de la recherche se constitue de cinq livres didactiques de langue portugaise et littérature brésilienne, destinés au ensino médio (lycée). Après avoir analysé le corpus, nous avons vérifié que l‟enseignement de littérature se règle sur des informations concernant des données de faits historiques, socio-politiques, biographie et curiosités de la vie d‟écrivains et poètes, ainsi que caractéristiques d‟oeuvres, en privilégiant les éléments externes au texte littéraire, en plus de présenter la plupart du temps le texte littéraire d‟une façon fragmentée. Au moyen d‟un formulaire de recherche, nous avons interrogé les élèves d‟une école publique sur leurs connaissances et intérêts dans la matière de littérature pour, ensuite, faire une pratique dans trois classes de terceiro ano do ensino médio (terminale). Nous nous sommes aperçus qu‟une nouvelle modalité d‟enseignement réglé sur l‟étude des genres littéraires peut indiquer une issue vers un changement significatif de l‟enseignement de littérature au ensino médio (lycée), et même promouvoir le goût de la lecture littéraire parmi les jeunes élèves, des lecteurs en formation. / Esta pesquisa investiga o ensino de literatura no ensino médio e busca propor um modelo de ensino na perspectiva dos gêneros literários. Recorremos, ainda, a informações históricas, desde a fundação do Colégio Pedro II, a fim de conhecer quando e como se deu a mudança do ensino da retórica para a historiografia literária no Brasil. O alicerce teórico da análise ancora-se nas concepções de Cristina Mello, Willian Roberto Cereja, Maria da Glória Bordini & Vera Teixeira Aguiar, no que se refere ao ensino de literatura. As considerações de Aristóteles, Platão e Horácio dão suporte à discussão acerca dos gêneros literários, além de C. Segre, Northrop Frye e Emil Staiger. O referencial teórico para a abordagem da história do ensino de literatura praticado no Brasil está alicerçado nas informações de Roberto Acízelo de Souza, Afrânio Coutinho e Antonio Candido. A discussão sobre a literatura de entretenimento apóia-se nas concepções de Muniz Sodré e Flávio Kothe. O corpus da pesquisa constitui-se de cinco livros didáticos de língua portuguesa e literatura brasileira, destinados para o ensino médio. Verificou-se, após a análise do corpus, que o ensino de literatura pauta-se em informações acerca de dados sobre fatos históricos, sócio-políticos, biografia e curiosidades da vida de escritores e poetas, bem como características de obras, privilegiando elementos externos ao texto literário. Além de apresentarem quase sempre o texto literário de forma fragmentada. Por meio de formulário de pesquisa, questionamos junto a alunos de uma escola pública sobre seus conhecimentos e interesses na disciplina de literatura, em seguida, fizemos uma prática em três turmas de terceiro ano do ensino médio. Percebemos que uma nova possibilidade de ensino pautado no estudo dos gêneros literários pode apontar caminhos para uma mudança significativa no ensino de literatura no ensino médio, podendo inclusive promover o gosto pela leitura literária entre jovens alunos, leitores em formação.
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Le roman policier grec (1953-2013) : les enjeux littéraires du genre policier en Grèce / Greek crime fiction (1953-2013)

Marcou, Loïc 25 October 2014 (has links)
Contrairement à ses homologues occidentaux (le detective novel britannique, le roman de détection français, le roman noir anglo-américain, le giallo italien), le récit policier grec est une terra incognita pour la recherche universitaire.Cette thèse ambitionne de combler cette lacune en s’intéressant à un genre qui, plus que tout autre, a eu mauvais genre en Grèce. Les deux questions qui constituent le fil d’Ariane de notre réflexion tournent autour de l’hellénité du genre (existe-t-il un roman policier grec doté de caractéristiques intrinsèques ?) et de son évolution en diachronie (y a-t-il continuum ou rupture entre l’ancienne et la nouvelle production policière hellénique ?). Notre thèse est construite en trois temps. Notre première partie s’intéresse aux raisons de la naissance tardive du genre en Grèce et à son histoire sur six décennies, de 1953 à 2013. Notre deuxième partie se penche sur la poétique du nouveau roman policier grec (1995-2013) en prenant pour point de comparaison l’ancienne production policière hellénique (1953-1967), celle de Maris et de ses épigones : Chairopoulos, Kakouri, Marakis, Markakis, Papagéorgiou. Au cours de cette deuxième partie, il est surtout question de l’identité générique du nouveau « polar grec » (roman de détection, roman noir, thriller, « polar méditerranéen » ?), des personnages qu’il met en scène et de la thématique de la ville. Enfin, notre troisième partie ambitionne de montrer que le nouveau roman policier hellénique mène une investigation sur l’histoire, la société et l’identité grecques. Plus qu’à l’anatomie d’un crime, le lecteur assiste en effet, dans la nouvelle production policière hellénique, à l’anatomie d’un pays. / In opposition to Western crime fiction (British and French detective novels, American hard-boiled crime fictions, Italian giallo), Greek crime fiction is totally unknown in the field of academic research (both in Greece and France).This thesis aims to fill this gap by focusing on a literary genre which, more often than not, has been badly seen by the Greek literary establishment. The two questions which drew our attention revolved around the Hellenic dimension of the genre (is there something as such as Greek crime fiction?) and around the evolution of Greek crime fiction over time (is there a continuity or a major shift between former and recent Greek crime fiction?).Our thesis is divided into three parts. The first part focuses on the belated emergence of the genre in Greece and on the history of Greek crime fiction from 1953 to 2013. The second part analyses the poetics of recent crime fiction production in Greece (1995-2013), in comparison to the novels or short stories of Greek writers of the fifties and sixties (authors such as Yannis Maris, Christos Chairopoulos, Athina Kakouri, Andronikos Markakis, Takis Papageorgiou). In our second part, we also try to identify the genre in which Greek crime fiction expresses itself (detective story? Hard-boiled story? Thriller? Mediterranean Noir?). Finally, we analyse the main characters who appear in the plot and the theme of the city. The third part aims at showing that contemporary authors of Greek crime fiction lead an investigation on the history of Greece (and its society) and on Hellenic identity. In a nutshell, recent Greek crime fiction is more focused on the anatomy of a country than on the anatomy of a crime.
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Histoire alternative des origines du roman : promenades interculturelles dans un monde sans épopée / An alternative history of the origins of the novel genre Intercultural wanderings around a world with no epics

Toren, Orly 04 December 2010 (has links)
Que signifie repenser l’Histoire littéraire et l’Histoire du roman comme Histoire culturelle ? Le point de départ de notre questionnement sur les formes de représentation adoptées par l’Histoire littéraire porte sur la doxa critique selon laquelle il existe une relation génétique entre l’épopée et le roman, dont la source se trouve dans ce qu’il est convenu de voir comme le texte fondateur de la littérature, l’épopée d’Homère et celui de la théorie littéraire, la Poétique d’Aristote. Si l’épopée homérique est une œuvre de la tradition orale, quelle est sa relation avec le roman, issu, lui, de la scripturalité et de l’émergence de la prose ? Si les récits en prose narrative de fiction apparaissent dans des civilisations sans épopée, quelle est la condition nécessaire pour leur émergence ? Si, de plus, l’apparition d’une prose narrative de fiction est précédée de plusieurs siècles de celle d’une historiographie et que ce phénomène se répète aussi bien dans la Grèce classique qu’au Moyen Âge européen, ou encore en Chine, quelle est la condition nécessaire pour l’essor du roman ? Nous présentons ici l’ébauche d’une Histoire alternative des origines du roman dans la Weltliteratur, en relation avec l’émergence de la scripturalité et la prose et l’essor de l’historiographie À la croisée de plusieurs disciplines académiques, notamment entre les sciences humaines et sociales, notre recherche fait appel d’une part à la théorie et à l’Histoire de la littérature, d’autre part à l’Histoire de l’historiographie, ainsi qu’à la théorie et la philosophie de l’Histoire. / Is it possible to rethink Literary History and in particular the History of the Novel as Cultural History which seeks to differentiate between an historical object and it’s representation? Considering the critical doxa, according to which, there exists a genetic link between epics and the novel, leads to one of Western thinking’s most stubborn myths. If epics, and particularly Homer’s, is seen as the novel’s ascendant , although it belongs to oral tradition, how does it explain the fact that as Ancient civilizations as Egypt or China or Israel developed sophisticated prose narratives without having epics? Moreover, if Western literary history refers to Aristotle’s Poetics as it’s foundational text, although by the time it was written, fictional prose didn’t exist yet, and was only to develop a few centuries later, shouldn’t we seek for the missing link between the oral tradition and the rise of the novel? As against this hegemonic and unhistorical representation that considers the novel genre as a Western invention, and as opposed to the historical circumstances that gave birth to the novel, we consider that the key to understanding this phenomenon lies in the emergence of literacy and prose. Indeed, in all civilizations that developed fictional prose writing, it was systematically preceded, not by epics, but by historiography. Our PHD dissertation presents an alternative History of the novel, whose angle is intercultural and interdisciplinary, aiming at recreating a new chronology of the emergence of the novel as a an inevitable historical genre in world’s literature.
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Imaginaires du «roman canadien» : discours sur le genre romanesque et pratiques d’écriture au Québec (1919-1939)

Loranger, Caroline 05 1900 (has links)
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La littérature mise en scène : représentations des genres littéraires dans le discours de la critique québécoise des années 1960

Coutu-Perrault, Jérémi 08 1900 (has links)
Cette thèse s’attache à explorer le métadiscours littéraire du Québec entre 1960 et 1969 en se concentrant plus particulièrement sur les questions de genres littéraires. Une représentation de la littérature et des mécanismes de la critique est également mise en relief dans l’analyse du corpus, composé de textes de réception d’un grand nombre d’œuvres littéraires publiées durant la décennie, ainsi que de quelques monographies et manuels d’histoire parus à l’époque. La thèse repose sur l’hypothèse selon laquelle la critique, malgré le climat d’effervescence qu’on associe souvent aux années soixante au Québec, pense la littérature et les genres littéraires selon un schéma résolument essentialiste ainsi qu’un horizon d’attente conservateur tout en réactivant différents lieux communs liés à la poésie et au roman qui marquent l’histoire littéraire depuis plusieurs siècles. S’affrontent la figure d’une poésie intransitive et noble ainsi que celle du grand roman réaliste cérébral et sérieux. Dans le premier chapitre de la thèse, les définitions explicites de la poésie et du roman proposées par les auteurs et autrices du corpus sont relevées, puis des figures génériques plus précises (la poésie engagée, la chanson, le poème en prose et le roman en vers) qui émergent dans le discours critique de l’époque sont étudiées. À travers ces dernières, il est possible de voir se profiler une définition ainsi que des valeurs liées aux genres littéraires. Dans le chapitre suivant, c’est le rapport dit contemporain de la critique avec le système générique qui est analysé. Nous mettons en lumière certains mécanismes qui laissent entrevoir les pouvoirs de la critique, et sa fonction résolument axiologique, notamment en créant de nouvelles étiquettes génériques, en classifiant la littérature des femmes sous l’égide du féminin ou en prédisant la venue du prochain grand romancier québécois. Enfin, nous nous arrêterons aux occurrences du Nouveau roman français dans les différents textes de notre corpus qui abordent le roman contemporain québécois. Le Nouveau roman est à la fois un moyen d’esquisser le climat de création romanesque québécois, une façon d’offrir une certaine légitimité à un ensemble de textes et une figure repoussoir pour la critique qui tente de définir et de cerner les spécificités de la littérature québécoise. Partie intégrante d’une littérature nationale, l’étude de la critique littéraire et de ses principaux mécanismes éclaire le contexte particulier dans lequel œuvre la littérature québécoise durant une de ses décennies les plus fastes. / This thesis tends to analyze Quebec’s critic discourse between 1960 and 1969 regarding literary genres. The study of the corpus, composed of reception texts about literary works, history books and monographies published in Quebec in the 1960s. The hypothesis of the thesis is that despite the fact that 1960s in Quebec are years of effervescence, critics tend to conceptualize literature and literary genres in an essentialist way and a rather conservative horizon of expectation. In the minds of critics, poetry and novel are two strictly separate forms followed with exclusive themes and values: the poetry is an intransitive and noble genre; the novel is a cerebral and serious type of artwork that has to embody Balzacian realism. In the first analytic chapter of the thesis, we study the explicit definitions of poetry and novel and some and then some generic figures such as political poetry, songs, prose poem and versified novel. The discourse on these genres relays the elements of the horizon of expectation on poetry and novel. In the next chapter, we analyze the contemporary relation between critic and generic system, which also reveal critics axiological and power mechanisms. In the last chapter, we observe the occurrences of French Nouveau roman in the texts of our corpus about Quebec’s contemporary novels. The Nouveau roman is a way for the critic to portrait the context of novel creation during the decade, but also a way to give legitimacy to emerging novels and a figure of opposition for the critics, who attempt to define Quebec literature’s specificities. Research on critic, which is an essential part of any literature, enlightens the whole context in which the Quebec’s writers of the 1960s were crafting their art.
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Des typologies mécaniques à l'expérience esthétique : fonctions et mutations du genre dans le jeu vidéo

Arsenault, Dominic 08 1900 (has links)
Cette thèse examine en profondeur la nature et l’application du concept de genre en jeu vidéo. Elle se divise en trois parties. La première fait l’inventaire des théories des genres en littérature et en études cinématographiques. Les propriétés essentielles du genre comme concept sont identifiées : il s’agit d’une catégorisation intuitive et irraisonnée, de nature discursive, qui découle d’un consensus culturel commun plutôt que de systèmes théoriques, et qui repose sur les notions de tradition, d’innovation et d’hybridité. Dans la deuxième partie, ces constats sont appliqués au cas du genre vidéoludique. Quelques typologies sont décortiquées pour montrer l’impossibilité d’une classification autoritaire. Un modèle du développement des genres est avancé, lequel s’appuie sur trois modalités : l’imitation, la réitération et l’innovation. Par l’examen de l’histoire du genre du first-person shooter, la conception traditionnelle du genre vidéoludique basée sur des mécanismes formels est remplacée par une nouvelle définition centrée sur l’expérience du joueur. La troisième partie développe l’expérience comme concept théorique et la place au centre d’une nouvelle conception du genre, la pragmatique des effets génériques. Dans cette optique, tout objet est une suite d’amorces génériques, d’effets en puissance qui peuvent se réaliser pourvu que le joueur dispose des compétences génériques nécessaires pour les reconnaître. Cette nouvelle approche est démontrée à travers une étude approfondie d’un genre vidéoludique : le survival horror. Cette étude de cas témoigne de l’applicabilité plus large de la pragmatique des effets génériques, et de la récursivité des questions de genre entre le jeu vidéo, la littérature et le cinéma. / This thesis provides an in-depth examination of the nature and application of the concept of genre for the video game. It is divided in three parts. Part one features an overview of genre theory in literature and film studies. The essential properties of genre as a concept are identified: it is an intuitive and “thumbnail” classification method, discursive rather than systemic in nature, and that owes its existence to a common cultural consensus rather than theoretical divisions. More importantly, the notions of tradition, innovation and hybridity are found to be central to genre. In part two, these findings are applied to the case of video game genre. A few typologies are examined to show that authoritative classifications are impossible. A model of the development of genres is laid out, based on three modalities: imitation, reiteration and innovation. By studying the history of the first-person shooter, the traditional conception of genre being based on formal mechanics is replaced by a new definition centered on player experience. Part three details experience as a theoretical concept and places it at the center of a new conception of genre, the pragmatics of generic effects. In this view, any object is a matrix of generic anchors bound to become generic effects, provided the player possesses the generic competences required to recognize them. This new approach is demonstrated through an examination of the survival-horror videogame genre. This case study showcases the potential of the pragmatics of generic effects for other fields, and provides a testimony for the recursion of the questions of genre between the video game, literature, and film.

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