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Normes et objets du savoir dans les premiers essais leibniziens / Norms and objects of knowledge in Leibniz’s early writings

Picon, Marina 11 December 2015 (has links)
La doctrine leibnizienne de la science repose-t-elle sur une théorie de la connaissance? Après avoir montré, dans des travaux préalables, qu’une telle dépendance ne se rencontre pas dans l’œuvre de la maturité, nous nous intéressons ici aux premiers écrits de Leibniz. La Nova Methodus discendae docendaeque Jurisprudentiae (1667) dresse, suivant l’exemple de Bacon, un inventaire raisonné des disciplines que doit réunir la nouvelle encyclopédie. Comme dans les projets leibniziens ultérieurs, cet inventaire est précédé de la distinction entre types de savoir en fonction des critères logiques selon lesquels les propositions se répartissent entre histoires, observations et théorèmes. Nous nous attachons en particulier à la définition de ceux-ci comme propositions « démontrables ex terminis ». Cette norme de la science étant posée, quels fondements in re Leibniz entend-t-il donner au savoir démonstratif ? Prenant pour fil conducteur sa polémique avec l’humaniste Marius Nizolius, nous étudions sa tentative pour fonder la validité des propositions de vérité éternelle sur des universaux subsistant indépendamment de l’existence des individus. Ce n’est cependant que dans les premiers écrits parisiens (1672-1673) que se dégage sa réponse définitive à ce problème : apparue d’abord comme un autre nom de la signification qu’« exprime » une définition, la notion d’idée y prend consistance en tant qu’archétype subsistant en Dieu. Les principaux traits de la théorie leibnizienne de la science sont ainsi fixés, indépendamment de toute « doctrine de l’entendement ». / Does Leibniz’s doctrine of demonstrative knowledge rest upon a theory of cognition? Having shown in previous articles that such was not the case in his mature works, we now turn to his early writings. The Nova Methodus discendae docendaeque Jurisprudentiae (1667) contains a reasoned inventory of the disciplines that should constitute the new encyclopaedia. As in later projects, Leibniz precedes this inventory with a classification of the types of knowledge based on the logical criteria according to which propositions are divided in histories, observations and theorems. Particular attention is given to the definition of the latter as propositions « demonstrable ex terminis ».This norm of scientific necessity once defined, what real (in re) foundation does Leibniz give to demonstrative knowledge? Following the various threads offered by his polemic against the Italian humanist Marius Nizolius, we study Leibniz’s attempt to ground the validity of propositions of eternal truth on universals subsisting independently of the existence of individuals. But one has to wait until the first Paris writings (1672-1673) to see the emergence of his mature answer to that problem: first conceived after the model of the significatio which a definition « expresses », the notion of idea reaches its latter ontological status as an archetype subsisting in God’s mind. The principal features of Leibniz’s theory of demonstrative knowledge are thus in place, prior to and independently of what he will later call his « doctrine of the understanding ».
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Mourir à l’hôpital : entre droit privé et droit public : approche pratique, théorique et philosophique. / Die at the hospital : between private law and public law : practical, theoretical and philosophic approach.

Tomc, Nicolas Antoine 28 November 2012 (has links)
Il est quasiment devenu un lieu commun aujourd’hui de mourir à l’hôpital. Et s’il fallait traiter ce sujet, le plus souvent c’est la perspective médicale qui tenterait d’en percevoir les enjeux. C’est au tournant du milieu du XXème siècle, au lendemain d’un énième génocide, marquant l’esprit de l’humanité certainement pour l’éternité, qu’un nouveau langage bioéthique va se faire le vecteur d’une considération renouvelée de la personne. L’homme devient personne humaine dans les textes internationaux proclamant dès lors d’inédits droits de l’homme. C’est en prenant la bioéthique comme objet de réflexion qu’un certain droit de la santé, largement inspiré par la production de comités d’éthiques, a émergé d’une doctrine privatiste en premier, afin de cerner de premiers droits définissant celui qu’il serait convenu d’appeler alors le mourant. Toutefois, l’établissement public de santé confronté à la technologisation médicale, permettant alors un allongement de la fin de vie, s’est rapidement trouvé être un lieu de conflit entre ceux qui furent considérés comme des usagers de service public, et les commettants médecins de l’Etat. La primauté du droit privé de la personne semblait alors menacée, le droit administratif prenant le pouvoir afin d’indemniser les victimes de l’hôpital. Cependant, à force de réductions systématiques ne regardant la personne mourante que sous un angle génériciste, relevant d’un droit public, celle-ci s’est progressivement retrouvée parfaitement ignorée en son essence première que le droit privé parvenait à percevoir. Les formes les plus récentes de déresponsabilisation attesteraient d’une consécration de l’indemnisation finissant d’objectiviser l’être sous-jacent à la personne mourante, allant jusqu’à justifier l’acte euthanasique. L’approche réitérée de ce difficile objet d’étude trouverait à générer une réflexion que le philosophe du droit engagerait, réintroduisant la personne irréductible se manifestant comme point de départ et d’arrivée, de telle sorte que se pourrait être harmonisée la rencontre inévitable des domaines public et privé, juridique et politique, afin de rendre toute sa vérité onto-axiologique aux droits premiers du sujet mourant. / Today, dying at hospital is the most curently idea agreed in order to protect people. That’s maybe the reason why medical studies took this as an issue more than lawyer studies. It’s around the middle of the twentieth century, after one more genocide, marking the spirit of the humanity certainly for all eternity, that a new bioethical language is going to be made the vector of a consideration renewed by the person. The man becomes a human-person in the international texts, proclaiming from then on of unpublished works human rights. While taking the bioethics as object of reflection a certain health law, widely inspired by the production of committees of ethics, emerged from a privatiste doctrine in the first one, to encircle first rights of the one that it would have been advisable to call then the dying. However, the public institution of health confronted with the medical technologisation, allowing then an extension of the end of life, quickly was to be a place of conflict between those who were then considered as users of public service, and principals doctors of the State. The superiority of the private law of the person seemed then threatened, the administrative law taking the power to indemnify the victims of the hospital. However, by means of systematic reductions looking at the dying person only under an angle génériciste, recovering from a public law, this one gradually found itself perfectly ignored in the first essence which the private law succeeded in perceiving. The most recent forms of deresponsabilisation would give evidence of a consecration of the compensation stopping an objectivisation the underlying being to the dying, going person to justify the euthanasic act. The approach repeated by this difficult object of study would find to generate a reflection which the philosopher of the right(law) would engage, reintroducing the person inflexible as point of departure and arrival, so that could be harmonized the inevitable meeting of the public and private, legal and political domains, to return all its onto-axiological truth to the first rights of the dying subject.
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L'exilé de toute part suivi de la Poétique négro-africaine de l'exil

Ntafatiro, Patrice 28 September 2011 (has links)
Grâce à une réflexion sur ma création poétique, cette thèse exploite « la poétique négro-africaine de l’exil » à travers cinq recueils de Césaire, Kayóya, Senghor et Tshitungu Kongolo. D’une part, mon recueil extériorise les joies et les peines du Burundi précolonial, colonial, postcolonial et d’un exilé francophone au Canada largement anglophone. Mes exigences esthétiques sont, premièrement, l’emploi des figures de style pour que mes poèmes soient des paroles plaisantes au cœur et à l’oreille. Deuxièmement, chaque poème véhicule une poly-isotopie. Troisièmement, pareil à mon identité hybride, mon recueil est un mariage de la poésie des vers courts français et des unités discursives burundaises. D’autre part, mon analyse critique examine la manière dont le poète exilé idéalise le pays perdu et suggère des réserves face au pays hôte qui lui impose une nouvelle identité. Ensuite, mon analyse révèle que l’écriture poétique est en elle-même un exil.
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L'exilé de toute part suivi de la Poétique négro-africaine de l'exil

Ntafatiro, Patrice 28 September 2011 (has links)
Grâce à une réflexion sur ma création poétique, cette thèse exploite « la poétique négro-africaine de l’exil » à travers cinq recueils de Césaire, Kayóya, Senghor et Tshitungu Kongolo. D’une part, mon recueil extériorise les joies et les peines du Burundi précolonial, colonial, postcolonial et d’un exilé francophone au Canada largement anglophone. Mes exigences esthétiques sont, premièrement, l’emploi des figures de style pour que mes poèmes soient des paroles plaisantes au cœur et à l’oreille. Deuxièmement, chaque poème véhicule une poly-isotopie. Troisièmement, pareil à mon identité hybride, mon recueil est un mariage de la poésie des vers courts français et des unités discursives burundaises. D’autre part, mon analyse critique examine la manière dont le poète exilé idéalise le pays perdu et suggère des réserves face au pays hôte qui lui impose une nouvelle identité. Ensuite, mon analyse révèle que l’écriture poétique est en elle-même un exil.
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L'exilé de toute part suivi de la Poétique négro-africaine de l'exil

Ntafatiro, Patrice 28 September 2011 (has links)
Grâce à une réflexion sur ma création poétique, cette thèse exploite « la poétique négro-africaine de l’exil » à travers cinq recueils de Césaire, Kayóya, Senghor et Tshitungu Kongolo. D’une part, mon recueil extériorise les joies et les peines du Burundi précolonial, colonial, postcolonial et d’un exilé francophone au Canada largement anglophone. Mes exigences esthétiques sont, premièrement, l’emploi des figures de style pour que mes poèmes soient des paroles plaisantes au cœur et à l’oreille. Deuxièmement, chaque poème véhicule une poly-isotopie. Troisièmement, pareil à mon identité hybride, mon recueil est un mariage de la poésie des vers courts français et des unités discursives burundaises. D’autre part, mon analyse critique examine la manière dont le poète exilé idéalise le pays perdu et suggère des réserves face au pays hôte qui lui impose une nouvelle identité. Ensuite, mon analyse révèle que l’écriture poétique est en elle-même un exil.
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L'exilé de toute part suivi de la Poétique négro-africaine de l'exil

Ntafatiro, Patrice January 2011 (has links)
Grâce à une réflexion sur ma création poétique, cette thèse exploite « la poétique négro-africaine de l’exil » à travers cinq recueils de Césaire, Kayóya, Senghor et Tshitungu Kongolo. D’une part, mon recueil extériorise les joies et les peines du Burundi précolonial, colonial, postcolonial et d’un exilé francophone au Canada largement anglophone. Mes exigences esthétiques sont, premièrement, l’emploi des figures de style pour que mes poèmes soient des paroles plaisantes au cœur et à l’oreille. Deuxièmement, chaque poème véhicule une poly-isotopie. Troisièmement, pareil à mon identité hybride, mon recueil est un mariage de la poésie des vers courts français et des unités discursives burundaises. D’autre part, mon analyse critique examine la manière dont le poète exilé idéalise le pays perdu et suggère des réserves face au pays hôte qui lui impose une nouvelle identité. Ensuite, mon analyse révèle que l’écriture poétique est en elle-même un exil.

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