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Figurations et relations : le sujet dans les romans à la première personne et les textes philosophiques du XVIIe siècle

Sribnai, Judith 10 1900 (has links)
Cette thèse a pour objectif de déterminer quelques aspects des figurations du sujet au XVIIe siècle à travers une lecture conjointe des romans à la première personne et des textes philosophiques de cette période. Partant de questionnements proches, ces deux genres discursifs construisent une figure du sujet savant et itinérant : être animé d'un désir de connaissance et amené à repenser les conditions d'énonciation de son expérience particulière. Pour les auteurs du corpus, la vérité se découvre au fil d'expériences singulières si bien que dire le monde avec exactitude revient à l'énoncer à la première personne, à en rendre une perception d'abord subjective. Se pose alors le problème de la légitimation de l'énonciation personnelle, légitimation qui permet d'articuler la première personne à une altérité tout en conservant la singularité du sujet. Cette singularité se double toujours d'une dispersion des identités du sujet et des référents de la première personne. Mais narration, fiction et usages du corps figurent cette identité en constellation. Les deux premières exposent la diversité des visages du « je », leurs concordances ou leurs discordances, à la fois être passé et présent, homme réel et personnage imaginaire, narrateur et auteur. Dans les usages liés aux peines et aux plaisirs du corps se dessine une autre forme de rencontre possible entre la particularité du sujet et l'autre : celui qu'il désire, avec lequel il souffre, avec lequel il jouit, qui vit en lui. Par tous ces aspects, énonciatif, narratif, fictionnel, physique, la subjectivité construite par les textes est toujours et essentiellement une relation : récit raconté pour rejoindre autrui. / The objective of this thesis is to set out several aspects of the figuration of the subject in the 17th Century, through a joint reading of first person novels and philosophical texts from this period. Beginning with similar questions, these two discursive genres construct a figure of a knowing and itinerant subject, a subject animated by the desire to know and thus guided to rethink the conditions that articulate his particular experience. For the authors of these works, the truth is discovered through a series of singular experiences and experiments; the world more clearly announces itself in the first person, rendering a principally singular perception. This poses the problem of the legitimation of personal pronouncement, legitimation which allows for the articulation of the first person with an alterity, while conserving the singularity of the subject. This singularity always doubles as a dispersion of the identities and referents of the first person. Still, narration, fiction and corporal practice show this identity as constellation. The first two expose the diverse faces of the ‘I’, their agreements and disagreements, their being at the same time past and present, real persons and imaginary characters, narrator and author. From the practices tied to the pain and pleasure of the body is drawn another form of possible encounter between the particularity of a subject and an other: the one he desires, with whom he suffers and plays, the one who lives in him. Through all these aspects, enunciative, narrative, fictional, physical, the subjectivity that is inscribed in and described by these texts is always primarily relational: an account recounted to encounter the other.
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Écrire pour la Postérité : entre justification et glorification de soi. Le cas du Testament politique et des mémoires du cardinal de Richelieu

Giuliano, Frédéric January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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La figure du narrateur-voyageur dans les utopies littéraires classiques de Foigny, Veiras et Tyssot de Patot

Baillargeon, Sarah January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Cléopâtre dans les tragédies françaises de 1553 à 1682 : Une dramaturgie de l'éloge

Lamy, Mathilde 31 May 2012 (has links) (PDF)
Dernière reine d'Égypte, Cléopâtre est, en France, la première héroïne de tragédie. Présentée comme un monstre de débauche et d'ambition par les auteurs latins, elle devient une figure majestueuse et digne sur la scène : la dramaturgie humaniste naît sous le signe de l'éloge.L'entrelacement des thèmes et des motifs, la composition des pièces ainsi que le travail stylistique et rhétorique des dramaturges mettent en place un tribunal où est instruit le procès de Cléopâtre, l'étrangère, la femme fatale qui a déjà séduit César et qui, responsable d'Actium, précipite la mort de Marc Antoine. Mais le suicide de la reine est mis en valeur par le recours au dénouement étendu, instrument dramaturgique au service d'une logique d'héroïsation. Ainsi réhabilitée dans le théâtre humaniste et " classique ", la figure de Cléopâtre illustre à merveille la définition du héros tragique.
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Apelle, saint Luc et le singe : trois figures du peintre dans l'Espagne des XVIème et XVIIème siècles [fonctions littéraires, théoriques et artistiques]

Hue, Cécile 09 December 2009 (has links) (PDF)
Dans l'Espagne des XVIe et XVIIe siècles, le peintre est un personnage en construction. Souvent défini par l'idéologie qui le commande et les œuvres qui lui survivent, son geste semble perdu à jamais, ou figé sous la forme d'archétypes et d'allégories. L'autoportrait, genre naissant, témoigne de cette main, mais il reste loin de toute objectivité : " Le peintre, peintre de lui-même, dans la dépendance de ce que l'histoire charrie et porte, n'aurait-il été qu'un singe savant et dressé qui rabâche ? ", se demande Pascal Bonafoux en conclusion de son étude sur Les peintres et l'autoportrait. Même dans le reflet direct que l'artiste offre de lui-même, les topiques s'immiscent : ils aident à son identification, au déchiffrage des chefs-d'œuvre et au balisage des chemins de la gloire. Cependant, ces figures ont une vie, et elles échappent parfois à l'évidence qu'on leur prête. À commencer par saint Luc, personnalité a priori idéale pour conduire les peintres vers la reconnaissance attendue dans l'élan contre-réformiste, mais qui doit compter avec Apelle, le maître grec dont l'excellence retentit depuis un sommet convoité. Ces légendes se diversifient et se ramifient dans le jeu métaphorique des mots, elles évoluent au gré de la revendication théorique et dévoilent leurs limites au moment de prendre corps. Leur fréquence, leur intensité et leurs croisements témoignent des voies empruntées afin de saisir le personnage du peintre, non pas sa psychologie, mais sa stature, libérale et noble. La focalisation sur la patte du peintre mythique, qui pousse dans l'ombre celle du singe imitateur, éclaire l'avancée de l'artiste dans le Siècle d'Or de la peinture espagnole.
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Le roman édifiant aux XVIIe et XVIIIe siècles

Brodeur, Pierre-Olivier 08 November 2013 (has links) (PDF)
Les romans édifiants des XVIIe et XVIIIe siècles - des fictions narratives en prose qui affichent clairement leur volonté de transmettre des valeurs chrétiennes et d'influencer le comportement de leurs lecteurs dans le sens de ces valeurs - développent une poétique spécifique, basée sur la recherche et le dévoilement de la vérité chrétienne à travers la fiction mondaine. Ils posent ainsi de front une question qui a hanté les écrivains et les théoriciens de l'Âge classique, à savoir la conciliation du plaisir romanesque et de la moralité. La topique du roman édifiant (personnages, lieux et temps), sa matérialité (titres, divisions internes, ensembles d'œuvres) et sa voix (narrative et rhétorique) concourent à l'élaboration d'effets de sens qui servent la visée persuasive et religieuse des ouvrages tout en créant des récits et des imaginaires propres à satisfaire le goût du lectorat pour le roman. Cette étude vise à réintégrer dans l'histoire du roman un corpus d'œuvres négligées par la critique en faisant apparaître leur contribution à l'élaboration du roman : du roman d'Ancien Régime d'abord, mais aussi du roman à thèse moderne et, par extension, de toute la fiction idéologique.
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Sans différends, point d'harmonie : les règlements de conflit à Montréal aux XVIIe et XVIIIe siècles

Paul, Josianne 24 February 2011 (has links)
Situé à la croisée de l’histoire et de la criminologie, ce travail a voulu se mettre à hauteur d’homme afin de comprendre comment les habitants de Montréal aux XVIIe et XVIIIe siècles géraient les situations conflictuelles potentiellement criminalisables auxquelles ils devaient faire face. Pour ce faire, un cadre théorique original a été élaboré à partir de la notion de situation-problème proposée par le criminologue Louk Hulsman. Cette approche interdisciplinaire a permis de déterminer qu’en milieu colonial la notion de crime ne fut jamais clairement définie. Pour la population, l’identification d’actes criminels se faisait à partir des valeurs chrétiennes, de même que par les interdits identifiés par l’État. Le concept de crime et sa gestion étaient des construits sociaux qui s’adaptaient aux besoins des colons et de l’administration royale. De ce fait, deux types de situation-problème existaient. D’une part, il y avait celles opposant les habitants entre eux, qu’il est possible de nommer situations-problèmes d’origine privée, et d’autre part, il y avait celles confrontant l’État à la désobéissance de ces sujets, lesquelles peuvent être qualifiées de situations-problèmes d’origine étatique. Les situations-problèmes d’origine privée naissaient dans la vie quotidienne et tournaient autour des valeurs sociales fondamentales qu’étaient l’honneur, la famille, le travail, la subsistance et la propriété. Pour résoudre leurs querelles, les colons avaient recours à divers modes de règlement de conflit, tel que la conciliation, la compensation ou les sanctions pénales. Pour leur part, les situations-problèmes d’origine étatique se produisaient lorsque les colons ne respectaient pas les limites imposées par l’État, lequel utilisait exclusivement le mode pénal pour les sanctionner. Il ressort de cette étude qu’en Nouvelle-France la justice n’était pas un phénomène purement institutionnel et que les colons faisaient la distinction entre le sentiment de justice et les services que pouvaient leur offrir les institutions judicaires présentes sur le territoire de la juridiction royale de Montréal. À partir des différents modes de résolution de conflit disponibles, les habitants, de même que l’administration royale, cherchaient d’abord et avant tout à atteindre la satisfaction durable des parties impliquées afin de maintenir l’harmonie sociale.
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Voix et échos des romancières aux XVIe et XVIIe siècles

Côté, Julie 25 January 2012 (has links)
Hélisenne de Crenne, Marie de Gournay et Madeleine de Scudéry : trois voix de femmes qui, en prenant la plume, ont transgressé les règles établies par des sociétés patriarcales, pour qui l’idéal féminin doit être gouverné par la modestie, la pudeur et la discrétion. Notre thèse examine l’instrumentalisation du genre romanesque qui est effectué par ces auteures pour faire entendre un discours revendicateur, réclamant un accès à l’éducation et à la culture, ainsi que le droit au bonheur et à l’amour dans les questions d’ordre matrimonial. En étudiant Les angoysses douloureuses qui procèdent d’amours, le Promenoir de Monsieur de Montaigne et Mathilde, cette thèse fait état de la continuité et de l’écho d’un discours propre à une posture féminine, porteur à la fois de la doxa défavorable aux dames et de propositions visant à faire advenir le « féminin », qui prend en compte l’aspiration au bonheur.
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Mundus est fabula. L'imaginaire géographique dans la fiction utopique (XVIIe et XVIIIe siècles) / Mundus est fabula. Geographical Imagination in Utopian Fiction (17th and 18th centuries)

Bellemare, Alex 14 December 2017 (has links)
Pourquoi la fiction utopique française des XVIIe et XVIIIe siècles s’est-elle incarnée sous la forme d’un récit de voyage imaginaire à la première personne ? Pour la plupart des commentateurs du genre, l’utopie se pense d’abord et surtout sur le plan des idées, des mentalités et des idéologies ; la forme qu’elle adopte, les figures qu’elle déploie, les représentations dont elle est porteuse seraient, au mieux, des accidents de parcours. Notre hypothèse de lecture est tout autre : ces textes intéressent l’historien de la littérature précisément parce qu’ils s’articulent sous la forme d’un récit, mettant en tension la subjectivité trouble du voyageur témoin. Par leur construction mêlant le factuel et le fictionnel, ils se situent dans la double perspective du « monde comme fable » et de la « fable comme monde ». Cette dualité définitoire, nous l’étudierons à partir de la notion d’imaginaire géographique : les textes sur lesquels nous nous penchons problématisent en effet les liens entre voyage et langage, territoire et société, mobilité et individu. L’imaginaire géographique que nous analyserons est un processus, une dynamique qui informe la perception du monde et la possibilité de sa représentation : la présente étude s’intéressera, en deux parties, aux figurations de l’espace et aux pratiques spatiales, qui sont autant de médiations entre le voyageur utopique et les lieux qu’il traverse. / Why were utopian fictions in the seventeenth and eighteenth centuries written in the form of a first person imaginary travel ? Most commentators study utopian literature as being a concept ; the form it adopts and the representations it deploys are considered, at best, incidental. Our hypothesis is quite different : these texts should interest the historian of literature precisely because they present themselves in the form of a narrative in which the subjectivity of the narrator is problematic. By their construction mixing factual and fictional elements, these texts can be read in the double perspective of the “world as fable” and the “fable as world”. We will study this duality through the notion of geographical imagination : the texts we analyze are addressing the links between travel and language, territory and society, mobility and subjectivity. The geographical imagination that we will interpret is a process that informs the perception of the world and the possibility of its representation. This doctoral thesis is divided in two parts : we will investigate depictions of space and spatial practices which are both mediations between the utopian traveler and the places he crosses.
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Mirabilia Indiae : voyageurs français et représentation de l’Inde au XVIIe siècle / Mirabilia Indiae : French travelers and representation of India in the 17th century

Bedel, Mathilde 24 November 2017 (has links)
Les récits des voyageurs, réputés pour leur caractère authentique, se présentent comme une source d’information véritable et de première main. Pourtant, l’étude littéraire de ces textes fait apparaître un ensemble de problématiques liées à l’écriture de cet ailleurs lointain mais déjà connu grâce aux témoignages des prédecesseurs antiques et médiévaux. Les interférences des différents genres littéraires réactualisent l’imaginaire d’une Inde des merveilles, pour une littérature à sensations fortes. La première partie interroge la mise en récit théâtralisée d’une des premières tentatives de classification humaine. Le voyageur apparaît alors comme soignant son auto-représentation, par rapport à laquelle se dessine le peuple indien, réparti selon les différentes castes perçues. La seconde partie s’intéresse à l’écriture d’une cartographie imaginaire construite à partir de trois pôles : ces derniers sont incarnés par trois figures prototypiques. Les mises en récit de ces personnages héroïques, en plus de s’inscrire dans une forme réaménagée du récit historique et/ou d’aventures, proposent une écriture du pouvoir en mettant au jour les intrigues de cour et autres histoires secrètes. La troisième partie confronte l’écriture de l’imaginaire avec sa mise en image. Il s’agit ici d’étudier la recréation d’une Inde comprise à travers le prisme chrétien mais aussi en réaction contre celui-ci. Ainsi l’élaboration d’un bestiaire indien, principalement contruit autour de grandes figures du panthéon hindou, donne aux voyageurs l’occasion d’interroger à la fois le rapport des indigènes avec leur religion et avec la nature. / The stories of travellers, known for their authenticity, they are a source of first-hand and authentic information. However, the literary study of these texts reveals a series of problems linked to the writing of this distant elsewhere but already known thanks to the testimonies of the ancient and medieval predecessors. The interferences of the different literary genres update the imaginary of an India of wonders, to offer a literature with strong sensations. The first part questions the theatrical narrative presentation of one of the first attempts at human classification. The traveller then appears as a healer of his self-representation, in contrast to which the Indian people are drawn up, divided according to the different castes perceived. The second part is concerned with the writing of an imaginary cartography constructed from three poles. The latter are embodied by three prototypical figures. The narration of these heroic characters, in addition to being part of a revamped form of the historical narrative and/or adventures, proposes a writing of power by bringing to light court intrigues and other secret stories. The third part confronts the writing of the imaginary with its image setting. The aim here is to study the recreation of an India understood through the Christian prism, but also in reaction to it. Thus, the elaboration of an Indian bestiary, mainly built around large figures of the Hindu pantheon, gives travellers the opportunity to question both the relationship of the natives with their religion and with nature.

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