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Le premier commentaire de Boèce à l’Isagogè de Porphyre : introduction, traduction et commentaire / Boethius’ first commentary on Porphyry’s Isagoge : introduction, translation and commentary

Huh, Min-Jun 30 November 2013 (has links)
Notre thèse en deux volumes vise à donner une traduction inédite du premier commentaire de Boèce à l’Isagogè de Porphyre à partir de l’édition critique de Samuel Brandt publiée en 1906. De fait, Boèce s’appuie sur la traduction latine de Marius Victorinus et non, comme le suggère le titre, sur le texte grec de Porphyre. Le premier volume contient une introduction générale articulée en quatre parties: examen critique des études secondaires; les sources matérielles du premier commentaire de Boèce à l’Isagogè; le traitement des questions de Porphyre sur les universaux; et l’Isagogè de Marius Victorinus et la tradition rhétorique latine. Les thèses que nous défendons sont les suivantes : le commentaire perdu de Porphyre sur les Catégories (A Gédalios) pourrait avoir été la source principale de ce traité logique de Boèce ; historiquement, les trois questions de Porphyre ont été apparentées à la réfutation porphyrienne de la position anti-aristotélicienne de Plotin ; et, contrairement à Victorinus qui considère l’Isagogè comme une introduction aux Topiques de Cicéron, Boèce la conçoit dans la perspective néoplatonicienne qui fait d’elle une introduction aux Catégories d’Aristote. Cette introduction est suivie de la traduction française accompagnée du texte latin de l’édition de Brandt. Notre commentaire à la traduction est développé dans le second volume qui contient également une traduction française inédite du commentaire d’Ammonius à l’Isagogè de Porphyre et une réfutation de la thèse soutenue par Brandt dans ses prolegomena de son édition critique à propos des parallèles textuels attestés dans les commentaires à l’Isagogè de Boèce et d’Ammonius (cf. appendices 1 et 2). / Our thesis in two volumes aims to give an original French translation of Boethius’s first commentary on Porphyry’s Isagoge based on the critical edition published by Samuel Brandt in 1906. Actually, Boethius commentary deals with the Latin translation of Marius Victorinus and not, as the title seems to suggest, with the greek treatise of Porphyry. The first volume contains a general introduction divided into four parts : a critical studies of the secondary sources; the material sources of the Boethian first commentary on Isagoge; the Boethian analysis of Porphyry’s three questions about universals; and Marius Victorinus’ Isagoge and the Latin rhetorical tradition. The thesis we defend in the introduction can be summarized as follows : Porphyry’s lost commentary on Categories (Ad Gedalium) may have been the main source of the first Boethian commentary on Isagoge ; historically, the three questions on universals had been related to the Porphyrian refutation of anti-Aristotelian position of Plotinus ; and, unlike Victorinus which considers Isagoge as an introduction to Cicero’s Topica, Boethius adopts the Neoplatonic perspective which makes it an introduction to Aristotle’s Categories. This introduction is followed by the French translation accompanied by the latin text edited by Brandt. Our commentary on the Boethian treatise is developed in the second volume, which also contains an original French translation of Ammonius’ commentary on Porphyry’s Isagoge and a full refutation of the thesis supported by Brandt in his prolegomena to his critical edition about the textual parallels attested in the Boethian and Ammonian commentaries on Isagoge (cf. appendix 1 and 2).
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L'arithmétique de Boèce : le transfert de savoir mathématique grec

Tamitegama, Nadiejda 11 1900 (has links)
Auteur romain du 6ème siècle connu pour ses traductions en latin des textes en grec d’Aristote, Boèce a aussi rédigé une traduction-adaptation d’un texte de Nicomaque de Gérase sur l’arithmétique. La première partie de ce mémoire de maîtrise est consacrée à l’étude de Boèce en tant que passeur de savoir. Sa relation avec son père adoptif est mise en valeur afin de soutenir l’hypothèse selon laquelle Boèce aurait acquis sa connaissance du grec et son éducation tout en restant à Rome, sans avoir séjourné dans les écoles athéniennes ou alexandriennes. La deuxième partie porte sur le contenu mathématique du De institutione arithmetica. Après avoir montré comment le De arithmetica était relié à l’oeuvre de traduction par Boèce des philosophes grecs, le choix de l’Introduction à l’Arithmétique de Nicomaque comme point de départ du traité d’arithmétique de Boèce est étudié. Un catalogue raisonné des concepts mathématiques présentés est ensuite proposé, organisé autour des notions de quantité en soi et quantité relative qui conservent l’opposition entre le Même et l’Autre et rappellent l’opposition fondamentale entre Limité et Illimité, si chère aux pythagoriciens. Ce mémoire se termine par une analyse de la transmission du De institutione arithmetica et de son influence sur les mathématiques et l’enseignement du quadrivium au Moyen-Âge. / Roman author of the 6th century known for his Latin translations of Aristotle’s Greek texts, Boethius has also composed a translation-adaptation of a treatise on arithmetics written by Nicomachus of Gerasa. The first section of this master’s thesis focuses on characterizing Boethius as a intermediary, transferring Greek knowledge to the Latin West. His relationship with Symmachus is highlighted in order to argue that Boethius had been able to learn Greek and reach such a high level of learning in Rome, without the need to study in the Athenian or Alexandrian schools of his time. The mathematical content of the De institutione arithmetica is the main topic of the second section. After showing how the De arithmetica is related to Boethius’ magnum opus – the Latin translation of the Greek philosophers – the choice of Nicomachus of Gerasa’ Introduction to Arithmetics as the source of Boethius’ treaty on arithmetics is studied. Then, a catalogue raisonné of the mathematical concepts showcased is provided, organized around the notions of quantity constant of itself and relative quantity which retain the opposition between the Same and the Other and stems from the pythagoricians’ fondamental opposition between the Limited and the Unlimited. This masters’ thesis ends with an analysis of the medieval transmission of the De institutione arithmetica and of its influence on medieval mathematics and education through the quadrivium.
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Édition critique, traduction française, annotation et étude historico-doctrinale de Nicolas de Paris (Nicolas Parisiensis), Rationes super libro Peryarmenias (manuscrit Città del Vaticano, Biblioteca Apostolica Vaticana, Vat. lat. 3011, folios 21vb-34vb) : sa contribution pour la lecture du chapitre 9 du traité De l'interprétation d'Aristote

Vachon, Maxime 11 April 2019 (has links)
Cette thèse offre la première édition latine complète et la première traduction française, toutes deux annotées, du texte des Rationes super libro « Peryarmenias » (manuscrit Città del Vaticano, Biblioteca Apostolica Vaticana, Vat. lat. 3011, folios 21vb-34vb) de Nicolas de Paris (Nicolas Parisiensis) jusqu’alors partiellement édité seulement par H. Hansen et A. M. Mora-Márquez. Le texte est un cours de la Faculté des arts de l’Université de Paris du XIIIe siècle sur le traité De l’interprétation d’Aristote. Je le fais précéder d’une courte étude dans laquelle il est montré que les Rationes super libro « Peryarmenias », de même que les Notulae super « Peryermenias » de Kilwardby et un texte anonyme des archives munichoises de contenu semblable aux Rationes (probablement de Nicolas aussi) appartiennent à la tradition d’enseignement de la lectio. L’édition et la traduction sont suivies d’une étude historico-doctrinale du chapitre 9 du traité De l’interprétation — sur les paires d’énoncés contradictoires relatifs au futur — dans laquelle je dégage les doctrines d’Aristote et de Nicolas, en plus de celles de quelques auteurs anciens et contemporains, notamment Ammonius, Boèce, Kilwardby et Thomas d’Aquin. Il est montré que d’après Aristote chaque partie de la contradiction relative à un futur contingent est « vraie ou fausse », le ‘ou’ (ἢ) faisant partie intégrante de la valeur de vérité, ce que Nicolas exprime en disant qu’un tel énoncé est vrai ou faux sous la disjonction seulement (sub disiunctione). / This thesis offers the first complete Latin edition and the first French translation, both annotated, of the Rationes super libro "Peryarmenias" (manuscript Città del Vaticano, Biblioteca Apostolica Vaticana, Vat. Lat. 3011, folios 21vb-34vb) by Nicolas of Paris (Nicolas Parisiensis) until now only partially edited in its first four lessons by H. Hansen and A. M. Mora-Márquez. The text is a medieval course of the Faculty of Arts of the University of Paris of the thirteenth century on Aristotle’s treatise On interpretation that I introduced with a short study in which it is shown that the Rationes super libro "Peryarmenias", as well as the Kilwardby’s Notulae super "Peryermenias" and an anonymous manuscrit of similar content to the Rationes (probably also of Nicolas) belong to the lectio teaching tradition. The edition and translation are followed by a historico-doctrinal study of chapter 9 of On Interpretation — on the pairs of contradictory statements concerning the future — in which I bring out the doctrines of Aristotle and Nicolas, as well as those of some ancient and contemporary authors, especially Ammonius, Boethius, Kilwardby and Thomas Aquinas. It is shown that according to Aristotle every part of the contradiction relating to a contingent future is "true or false", the "or" (ἢ) being an integral part of the truth value of the statement, which Nicholas expresses by saying that such a statement is true or false under disjunction only (sub disiunctione).
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L'idée de simplicité divine : une lecture de Bonaventure et Thomas d'Aquin / The idea of divine simplicity : a reading of Bonaventure and Thomas Aquinas

Raveton, Elsa-Chirine 04 December 2014 (has links)
Cette étude souhaite contribuer à une meilleure connaissance et compréhension de l’idée de simplicité divine, qui signifie l’absence en Dieu de toute composition. Pièce centrale de la pensée théologique médiévale, elle fut redécouverte il y a 35 ans par des philosophes de tendance analytique, qui en contestèrent la cohérence. Elle est depuis lors l’objet d’un débat philosophique fourni, mais le détour par l’histoire de la philosophie est nécessaire pour dégager le réseau de concepts, d’arguments et de problèmes qui lui donne sens. Après avoir étudié la première élaboration de cette idée dans les textes antiques et patristiques, puis son traitement par Pierre Lombard à la veille du IVe concile de Latran de 1215, qui intègre pour la première fois la simplicité divine dans une profession de foi authentique du magistère, nous nous concentrons sur les œuvres de Bonaventure de Bagnoregio et de Thomas d’Aquin, qui accordent à cet attribut divin un rôle fondateur dans leur étude du mystère de Dieu. L’idée de simplicité divine s’y trouve sans cesse prise dans la dialectique de la ressemblance et de la dissemblance entre Créateur et créature. Tandis que Thomas associe de façon unilatérale la simplicité absolue à la transcendance de l’incréé, Bonaventure propose également des similitudes créées de la simplicité divine qui en favorisent l’intuition. Loin d’apparaître comme incohérente, l’idée de simplicité divine est un outil puissant pour ouvrir notre intelligence à un plan de réalité supérieur, certes mystérieux, mais néanmoins lumineux. / This study seeks to contribute to a better understanding and comprehension of the idea of divine simplicity, which means the absence in God of any composition. Cornerstone of medieval theological thinking, divine simplicity was rediscovered 35 years ago by philosophers of analytical leanings, who challenged its coherence. It has since formed the subject of abundant philosophical debate, however, the detour via the history of philosophy is necessary in order to draw out the network of concepts, arguments and issues, from where divine simplicity derives its meaning. After the study of the first development of this idea in ancient and patristic texts, and its treatment by Peter Lombard on the eve of the 4th Council of Lateran in 1215, which integrates for the first time divine simplicity in a genuin profession of faith of the magisterium, we shall focus on the works of Bonaventure of Bagnoregio and Thomas Aquinas, who grant this divine attribute a founding role in the study of the mystery of God. The idea of divine simplicity keeps being comprised in the dialectics of similarity and dissimilarity between Creator and creature. While Aquinas associates in an unilateral way absolute simplicity and transcendence of the uncreated, Bonaventure offers also created resemblances of divine simplicity which favour its intuition. Far from appearing incoherent, the idea of divine simplicity is a powerful means to open our minds to a level of superior reality, indeed mysterious, but nevertheless radiant.
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Boèce de Dacie : pour une perspective nouvelle concernant la double vérité dans son De aeternitate mundi

Pelland, Karl-Alexandre 12 1900 (has links)
Deux questions largement discutées par les médiévistes concernant Boèce de Dacie consistent à savoir quels sont les enjeux de la censure dont ce philosophe fut l'une des principales cibles lors de la condamnation promulguée à Paris en 1277 par l'évêque Étienne Tempier et s'il a effectivement défendu, dans son De aeternitate mundi, une doctrine qualifiée par ces mêmes historiens de « double vérité ». Si cette expression n'a pas été forgée par Étienne Tempier lui-même, on retrouve néanmoins, dans le prologue de la condamnation de 1277, une formulation qui traduit l'esprit de cette expression en affirmant que certains enseignants disaient qu'une même chose est vraie selon la philosophie, mais fausse selon la foi catholique, de sorte que nous sommes en présence de deux vérités contraires. Malgré le consensus établi chez les historiens du XXe siècle voulant que Boèce de Dacie n'ait jamais défendu une telle doctrine, nous pensons que cette question reste d’actualité dans la mesure où le texte lui-même ne semble pas totalement clair en affirmant que si la foi dit vrai absolument, le philosophe dit également vrai, mais de manière relative à ses principes. Or, une telle conception ne va pas sans problème au regard de l’interprétation des principes régissant l’épistémologie de Boèce. Notre recherche a donc pour unique question d'éclaircir et d'élucider cette mise en accusation de « double vérité » au vu de ses différents textes ainsi que les différentes interprétations que son modèle a reçu. / There are two questions widely discussed by the medievalists about Boethius of Dacia. The first consist in knowing what are the stakes of the censorship of which this philosopher was one of the main targets during the condemnation promulgated in Paris in 1277 by the bishop Etienne Tempier. The second ask if Boethius actually uphold, in his De aeternitate mundi, a doctrine qualified by these same historians as ‘‘double truth’’. If this expression was not coined by Etienne Tempier himself, we nevertheless find, in the prologue to the condemnation of 1277, a formulation which translates the spirit of this expression by affirming that certain teachers said that the same thing is true according to philosophy, but false according to the Catholic faith, so that we are in the presence of two contradictory truths. Despite the consensus, established among historians of the twentieth-century, that Boethius of Dacia never defended such a doctrine, we believe that this question remains topical insofar as the text itself does not seem completely clear when it states that if faith absolutely says the truth, the philosopher also says the truth, but in a manner relative to his principles. However, such a conception is not without problems in regard to the interpretation of the principles governing the epistemology of Boethius. The sole question of our research is therefore to clarify and elucidate this indictment of ‘‘double truth’’ in view of its different texts as well as the different interpretations that his model received.
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Iconographie de Fortune au Moyen Âge et à la Renaissance (XIe-XVIe siècle) / Iconography of Fortune in the Middle Ages and the Renaissance (XIth-XVIth c.)

Vassilieva-Codognet, Olga 16 May 2017 (has links)
Ce travail sur l’iconographie de Fortune au Moyen Âge et à la Renaissance se base sur un corpus de plus d’un millier d’images dont seul un tiers y est reproduit. L'enquête commence par une nécessaire étude lexicographique qui permet de mieux cerner les sens du mot latin « fortuna » ainsi que ceux du mot français « fortune » entre le xie et le xvie siècle. Une seconde partie s’intéresse au motif iconographique de la Roue de Fortune médiévale – i.e. cette roue sur le pourtour de laquelle prennent place des personnages dont le premier monte, les second trône, le troisième tombe et le dernier gît à terre –, depuis sa genèse dans un manuscrit bénéventain datant des années 1060-1070 jusqu’à sa diffusion sur toutes sortes de supports (peinture murale, sculpture monumentale, mosaïque, etc.) ainsi qu’aux différents usages de ce motif (didactiques, emblématiques, divinatoires). Une troisième partie recense les nombreuses variantes que génère au fil des siècles ce très fécond motif : Roue de la Vie, Roues animales satiriques, Roue des Vicissitudes de l’Humanité, etc. Une quatrième partie étudie la personnification de Fortune qui apparaît au xiie siècle, tant dans les images que dans les textes, avant de devenir l’une des vedettes de l’iconographie de la fin du Moyen Âge, la figure de Fortune se retrouvant dans d’innombrables manuscrits de Boèce, Jean de Meun, Boccace ou Christine de Pizan. La cinquième et dernière partie est consacrée à la mutation que connaît Fortune à la Renaissance, mutation qui la voit changer tant de forme que de fonction, l’aveugle et duplice déesse du sort abandonnant alors sa fonction didactique – et la roue d’exemples qui va avec – pour devenir une accorte jeune femme nue à la mèche de cheveux flottant au vent dont la fonction est propitiatoire et l’usage emblématique. / This work on the iconography of Fortune in the Middle Ages and the Renaissance is based on more than one thousand images of which only one third is reproduced in the document. The study begins with a lexicographical study aiming at better understanding the various meanings of the Latin word « fortuna » and the French word « fortune » from the xith to the xvith centuries. The second section addresses the iconographical pattern of the mediaeval Wheel of Fortune – i.e. that wheel where four human beings occupy different positions on the rim: the first ascends, the second is enthroned, the third falls and the fourth lays on the ground – from its inception in a 1060-1070 Beneventan manuscript to its diffusion to various media (mural painting, monumental sculpture, mosaic, etc.) as well as its different uses (didactic, emblematic, divinatory). The third section identifies the numerous variations that this fertile pattern has generated over the centuries: Wheel of Life, satirical animal Wheels, Wheel of Vicissitudes of Humanity, etc. The fourth section studies the personification of Fortune which appears in the xiith century before becoming a star of late mediaeval iconography, her figure gracing innumerable manuscripts of Boethius, Jean de Meun, Giovanni Boccaccio or Christine de Pizan. The fifth and final section is devoted to Fortune’s mutation during the Renaissance: changing both form and function, the blind and treacherous goddess of fate gives up her didactic function – and the wheel of examples that comes with it – and becomes a beautiful naked woman with a forelock whose function is propitiatory and use emblematic.

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