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Femmes journalistes et sujets « féminins » : analyser Le Devoir au prisme du genre (1965-1975)Tanguay, Marilou 12 1900 (has links)
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L’environnement sous haute surveillance? : éclairage sur plus de quarante-cinq ans d’action publique au CanadaDaviault, Ariane 04 1900 (has links)
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«Moi j’suis pas francophone!» : discours, pratiques langagières et représentations identitaires d’élèves de francisation à VancouverLevasseur, Catherine 01 1900 (has links)
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Les insuffisances des grands outils juridiques protégeant le droit à l'égalité en emploi : l'exemple de la déqualification des immigrantes et migrantes au QuébecLévesque, Myriam 05 1900 (has links)
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Canadian reds : the Young Communist League of Canada, international communism and the Soviet experience (1917-1939)Pankratova Dyakonova, Daria 12 1900 (has links)
La thèse représente une première tentative de construire un narratif sur la Ligue de la jeunesse communiste du Canada (fondée en 1923) pendant la période de l'entre-deux-guerres, jusqu'ici absente des recherches existantes sur le communisme ou le socialisme canadiens. La thèse porte sur l'évolution des relations entre la Ligue de la jeunesse communiste (LJC), l'Internationale communiste (ou Komintern) et l'Internationale des jeunes communistes, où les communistes soviétiques ont joué un rôle prédominant. Cette recherche met en lumière de nombreux changements mineurs et majeurs dans la politique de la LJC, façonnés par les contextes nationaux et internationaux dans lesquels l’organisation a dû agir.
La thèse soutient que malgré un enthousiasme sincère pour la ligne de l'Internationale et l'expérience soviétique, les jeunes communistes canadiens souvent avait de la difficulté d’appliquer les directives de l'Internationale au Canada. Ni le Komintern, ni le mouvement communiste au Canada n'étaient monolithiques. Au contraire, il y a eu de nombreux conflits à trois niveaux: entre le mouvement communiste international et la Ligue; entre la Ligue et le Parti communiste du Canada (PCC); et entre les groupes locaux ou linguistiques de la Ligue et son leadeurship national. La répression de la gauche par l’État dans les années 1920s et 1930s, les problèmes de financement et le nombre de membres dérisoire ont également entravé la mise en œuvre des politiques de l’Internationale. En même temps, le faible niveau de contrôle permettait un certain degré de flexibilité et d’autonomie dans les politiques de la Ligue canadienne.
Suivant la position de l’International des jeunes communistes, la jeunesse communiste canadienne a mis un accent particulier sur le militantisme anti-capitaliste et anti-impérialiste, puis anti-fasciste et anti-nazi. Cependant, la Ligue semblait avoir agi de manière indépendante en ce qui concerne les revendications immédiates de la jeunesse canadienne et les politiques culturelles, en particulier pendant la Grande Dépression. La Ligue s'est engagée conjointement avec d'autres organisations de jeunesse pour promouvoir les demandes immédiates des jeunes, même lorsque Moscou n’encourageait pas une telle stratégie. Les initiatives venaient souvent des organisateurs locaux, même si les autorités canadiennes étaient convaincues que Moscou était à l'origine de chaque action de la Ligue.
Dans les années 1930 en particulier, la LJC, à travers un réseau d’organisations sociales et culturelles, a eu accès à des jeunes de différentes orientations politiques - la gauche socialiste, le centre-gauche et même les «forces bourgeoises». L’impact et la portée de la LJC ont encore été renforcés par la fait que les sympathisants de l'organisation appartenaient à des milieux sociaux divers et incluaient non seulement des jeunes travailleurs et fermiers, mais aussi les étudiants du secondaire et de l'université, les artistes, les sportifs et les jeunes cols blancs, dont beaucoup appartenaient à des organisations religieuses de jeunesse. Pour ces jeunes, la LJC était le lieu qui fournissait les solutions marxistes à des questions brulantes de l’époque, telles que le chômage des jeunes et l’absence de sécurité sociale, l’injustice sociale ou encore la montée du fascisme et de l’impérialisme au Canada et à l’étranger. / The dissertation represents the first attempt to construct a narrative about the Young Communist League of Canada (founded in 1923) during the inter-war period, so far absent in existing research on Canadian communism or socialism. The thesis focuses on the evolution of the relationship between the Young Communist League (YCL) and the Communist International and Young Communist International where Soviet Communists played a predominant role. It sheds light on numerous minor and major changes of policy shaped by the national and international contexts in which these organisations had to act.
The dissertation argues that despite genuine enthusiasm toward the International’s line and the Soviet experience, Young Canadian Communists often found it difficult to implement the International’s directives in Canada. Neither the International nor the communist movement in Canada was monolithic. On the contrary, there appear to have been numerous conflicts on three levels: between the International and the League; between the League and the Communist Party of Canada; and between local or linguistic groups in the League and its national leadership. The state repression of the left during the whole inter-war period, derisory level of funding and membership numbers also impeded the implementation of the International’s policies. At the same time, the International’s weaker levels of control allowed for a certain degree of flexibility and autonomy in the Canadian League’s policies.
Following the position of the Young Communist International, the Canadian communist youth placed special emphasis on anti-capitalist and anti-imperialist, and later anti-fascist and anti-Nazi, militancy. However, the League appeared to have acted independently as far as immediate demands of the youth and cultural policies were concerned, especially during the Great Depression era. The League engaged in joint activism with other youth organisations, even when Moscow did not encourage such strategy. The initiatives often came from local grassroots organizers, although Canadian authorities were convinced that Moscow was behind each and every action of the League.
In the 1930s in particular the YCL, through a network of social and cultural organisations, gained access to youth of different political orientations – the socialist left, centre-left and even “bourgeois forces.” The YCL’s impact and outreach were further increased by the fact that the organisation’s sympathizers, if not members, belonged to diverse social backgrounds and included not only young workers and farmers but also High School and University students, artists, sportsmen, young white collars, many of them belonging to religious youth groups.
For these young people, the YCL was the place that provided Marxist solutions to burning questions of the time such as youth unemployment and absence of welfare, social injustice, growth of fascism and imperialism in Canada and abroad.
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Validation à grande échelle d'un modèle de simulation pour déterminer la fréquence des haplotypes Y dans la population canadienne-françaiseLandry, Roxane January 2020 (has links) (PDF)
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Leçon d'histoire dans la Trilogie du Futur : ou la configuration sociale d'un récit québécoisCôté, Guy-Philippe 11 August 2021 (has links)
Cette thèse porte sur la Trilogie du Futur du Théâtre du Futur, compagnie basée à
Montréal. Ces trois pièces imaginent un futur où le Québec serait devenu indépendant et examinent, du même coup, les problèmes sociétaux qui resteraient à régler à la suite de la réussite d’un tel projet politique.
Cette thèse pose que les problèmes sociétaux explorés dans la Trilogie du Futur sont liés à des réminiscences de l’ancienne survivance canadienne-française, dont les principales caractéristiques, telle que définies par Éric Bédard dans Survivance : histoire et mémoire du XIXe siècle canadien-français (2017), sont le récit sur soi, le messianisme compensatoire et l’évitement de la question du régime. Le récit sur soi désignerait la nécessité ressentie par un peuple perdant de l’Histoire de se créer un récit national où il se présenterait plutôt comme gagnant de l’Histoire. Le messianisme compensatoire, pour sa part, est ici compris comme la nécessité d’un peuple conquis à se trouver des guides (c.-à-d des figures messianiques), ceci afin de sauver la nation de la disparition. L’évitement de la question du régime, enfin, recouvre le fait d’empêcher d’envisager un état politique autre que le statu quo et d’ainsi éviter la question, toujours problématique, de la place de la francophonie dans une Amérique majoritairement anglophone. Pour mener à bien cette analyse, la thèse emprunte sa structure comme une partie de son cadre théorique à la triple mimèsis développée par Paul Ricœur dans le tome un du monumental Temps et récit (1991). Dans cet ouvrage, Ricœur examine la mise en intrigue du bagage culturel préalable nécessaire à la compréhension d’un récit ainsi que sa réception par le lecteur. Au terme de cette analyse, la thèse arrive à la conclusion que la trilogie chercherait à transcender ces réminiscences de la survivance canadienne-française par une série de renversements, souvent
carnavalesques, des lieux de mémoire passés (hérités du Canada français) ainsi que des topoï québécois contemporains, souvent issus de la politique ou de la culture populaire, et qui sont disséminés à même ces récits du Théâtre du Futur.
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Étude comparée de la mortalité des esclaves noirs et des esclaves autochtones du Québec ancien (1632 – 1834)Dupuis, Cathie-Anne 08 1900 (has links)
L’esclavage des Autochtones et des Noirs au Canada français est peu connu dans l’historiographie. Ce mémoire comble les lacunes de la littérature démographique existante sur cette population marginalisée en estimant la mortalité des esclaves avec les techniques de l’analyse des transitions. Au travers de ces analyses, ce mémoire répond à la question suivante : quelle est l’intersection du genre et de l’ethnie dans le risque de mortalité des esclaves du Québec ancien entre 1632 et 1834 ? Pour y parvenir, j’ai créé la BDPEQA (Base de données de la population esclave du Québec ancien) à partir des données qualitatives compilées dans le Dictionnaire des esclaves et leurs propriétaires par Marcel Trudel (1990). Une analyse descriptive des données de la BDPEQA montre que la population esclave du Québec ancien de 1632 à 1834 est composée à 65% d’esclaves autochtones et 35% d’esclaves noirs. Ces esclaves vivent surtout à Montréal et la moitié d’entre eux vivent sous le régime français. Ensuite, un calcul des médianes au décès et une analyse de survie est effectuée à l’aide des courbes de survie de Kaplan Meier et des régressions multivariées effectuées avec la méthode de Cox, pour évaluer l’association entre le risque de décès avant 40 ans et l’ethnie, le genre, la zone de résidence, les épidémies ainsi que les périodes. On découvre alors que les Autochtones décèdent à un âge médian de 17 ans et les Noirs à un âge médian de 40 ans. Cette étude démontre aussi que les hommes autochtones sont les esclaves les plus à risque de décéder jeunes, peu importe le milieu de vie, la période ou les épidémies. / The enslavement of Indigenous peoples and persons of African origin by French Canadians is seldom addressed in the historical demography of Québec. Even less is known of the mortality patterns of these two groups. This master’s mémoire fills the gaps in the existing demographic literature on this marginalized population, by estimating slaves’ mortality risk with event history analysis. Through these analyses, this master’s mémoire answers the following question: what was the role of gender and ethnicity in determining slaves’ mortality risk? To achieve this objective, I compiled biographical information about the enslaved population of Québec in the BDPEQA (Database of the slaves in ancient Quebec) from qualitative data in the Dictionnaire des esclaves et leurs propriétaires by Marcel Trudel in 1990. A descriptive analysis of the BDPEQA data shows that the enslaved population of Québec from 1632 to 1834 is composed of 65% Indigenous peoples and 35% Blacks, lived mainly in Montréal, and during the French regime. Descriptive analyses of biographical data from the BDPEQA (with Kaplan-Meier survival curves and median ages at death) as well as Cox regression models of slaves’ risk of death before age 40 indicate that Black slaves had better survival chances than their Indigenous counterparts. Indeed, Indigenous slaves had a median age at death of 17 years compared to 40 years for Black slaves. In addition, Indigenous men have the highest risk of dying, regardless of living environment, period or observation or exposure to epidemics.
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L'été au Parc Belmont ; suivi de, Cartographies du pèreCharland, Thara 08 1900 (has links)
L’été au Parc Belmont est un recueil de fragments qui allie prose narrative, photographies d’archives familiales, écriture manuscrite et dessins. Le récit relate l’enquête d’une narratrice sur l’identité de son père et la difficile mise au tombeau de celui-ci. Dans ce projet d’exhumation du passé paternel, la parole phagocytante de la narratrice rassemble toutes les informations qu’elle peut trouver et demeure l’unique énonciatrice du récit. C’est dans une temporalité ressassante, mélancolique et non linéaire que se déroule l’intrigue; entre l’enfance du père le long de la rivière des Prairies, son adolescence à Cartierville et sa vie adulte dans une ville de banlieue, le présent de l’enquête vient faire irruption. Le recours à des archives familiales sous forme de photographies et de vidéos pour l’élaboration de ce recueil problématise le rapport entre le texte et l’image. Ainsi, les photographies sont utilisées de diverses manières : photos qui apparaissent dans le texte sans qu’on les convoque directement, photos dont est donnée une ekphrasis elliptique ou falsifiée, photos accompagnées de légendes détournées, etc.
Cartographies du père propose une réflexion sur les liens qu’entretiennent le topographique et le biographique dans les textes littéraires contemporains. Dans le cadre de cet essai, je m’intéresse à un corpus doublement mixte : québécois et américain, mais également narratif et graphique. L’étude porte plus exactement sur trois autrices et auteurs, soit Alison Bechdel (Fun Home : A Family Tragicomic, 2006), Hervé Bouchard (Harvey ou Comment je suis devenu invisible, 2009) et Catherine Mavrikakis (La ballade d’Ali Baba, 2014). Au-delà des rapports entre transmission et lieu, les textes de mon corpus sont liés par la mort du père, perte indépassable, événement toujours à investiguer pour les narratrices et narrateurs. Il s’agit non seulement d’analyser la manière dont ces textes thématisent l’absence paternelle ainsi que les difficultés et les apories de la transmission qui en découlent, mais aussi de quelles façons ils représentent le lieu, jouent avec l’espace de la page, mobilisent les outils de la cartographie et décrivent les trajets. Pour ces héritières et héritiers, la reconstruction d’un événement ou d’un passé familial passe nécessairement par une reconstitution du lieu, qu’il soit la campagne de la Pennsylvanie, la maison familiale des Bouillon ou le chemin entre Montréal et Key West. L’analyse de cette reconstitution du lieu informe le lecteur du rapport que l’héritier entretient avec la figure paternelle. Cartographies du père offre également une réflexion sur l’acte de raconter l’autre et sur les recours fictionnels inévitables que cette entreprise oblige. / L’été au Parc Belmont is a collection of fragments that combines narrative prose, family archive photographs, handwriting and drawings. In this story, the narrator is investigating her father’s identity. The narrator gathers all the information she can find and remains the sole enunciator of the story in her attempt to exhume the paternal past. The plot unfolds in an overwhelming, melancholy and non-linear temporality; between the father’s childhood along the Rivière des Prairies, his adolescence in Cartierville and his adulthood in a suburban town, the narrator’s investigation periodically bursts in. The use of family archives in the form of photographs and videos problematizes the relationship between text and image. Thus, photographs are used in various ways : photos which appear in the text without being directly referred to, photos which are given an elliptical or falsified ekphrasis, photos accompanied by diverted legends, etc.
Cartographies du père offers a reflection on the links between topography and biography in contemporary literary texts. In this essay, I am studying a corpus that is both Québécois and American, as well as narrative and graphic. The study focuses on three authors : Alison Bechdel (Fun Home : A Family Tragicomic, 2006), Hervé Bouchard (Harvey ou Comment je suis devenu invisible, 2009) and Catherine Mavrikakis (La ballade d’Ali Baba, 2014). Beyond the relationships between transmission and locales, the texts of my corpus are linked by the father’s death, an unsurpassable loss, an event that is yet to be investigated by the narrators. While this essay focuses on the way in which these texts thematize paternal absence –namely through the difficulties and shortcomings of the transmission resulting from this loss – it is also questioning the ways in which the authors represent various locales, play with the space of the page, mobilize mapping tools and describe routes. For these heirs, the reconstruction of a family event or history necessarily involves a reconstruction of the setting, whether it be the Pennsylvania countryside, the Bouillon family home or the road between Montreal and Key West. The analysis of the reconstruction of the locale informs the reader of the relationship that the heir maintains with the father figure. Cartographies du père also offers a reflection on the act of remembering and talking about another person and on the inevitable fictional shifts that this action provoke.
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«La laïcisation des études médiévales» : l’Institut d’études médiévales de l’Université de Montréal et sa réforme académique de la Révolution tranquille, 1959-1968Robert, Martin 08 1900 (has links)
Ce mémoire de maîtrise analyse les transformations institutionnelles de l’Institut d’études médiévales à l’Université de Montréal entre 1942 et 1968. Pour ce faire, nous nous concentrons sur les effets de la Révolution tranquille sur l’Institut d’études médiévales, une institution d’études supérieures fondée par l’Ordre dominicain en 1930. S’inspirant du courant idéologie de Nouvelle Théologie exposé par Marie-Dominique Chenu, l’Institut embrasse une raison d’être doctrinale et utilise un savoir-faire scientifique pour l’accomplir. En adaptant la méthode historico-critique pour inférer sur l’enseignement du thomisme, l’Institut représente un amalgame religieux-scientifique intéressant à étudier pour comprendre les effets de la laïcisation de l’Université de Montréal sur ses structures, sa culture et ses institutions. Nous décrivons le parcours de cette institution à travers la Grande noirceur, la Révolution tranquille et la laïcisation de la Charte universitaire de l’Université de Montréal.
Grâce à l’analyse des dépôts d’archives de l’Université de Montréal et de la Province canadienne de l’Ordre dominicain, nous décrivons l’histoire institutionnelle de l’Institut d’études médiévales selon l’évolution de ses espérances et de ses fonctions à l’Université. Par l’analyse de ses énoncés de mission, nous décrivons comment l’Institut s’adapte pour se mettre en phase avec l’évolution structurelle et culturelle de sa société québécoise / This master's thesis analyses the institutional transformations of the Institut d'études médiévales of the Université de Montréal between 1942 and 1968. To do so, we focus on the effects of the Quiet Revolution on the Institut d'études médiévales, an institution of higher learning founded by the Dominican Order in 1930. Inspired by the Nouvelle Théologie outlined by Marie-Dominique Chenu, the Institute embraces a doctrinal raison d'être and uses scientific know-how to achieve it. By adapting the historical-critical method to infer the teaching of Thomism, the Institute represents an interesting religious-scientific amalgam to understand the effects of the secularization of the Université de Montreal on its structures, its culture, and its institutions. We describe the journey of this institution through La Grande Noirceur, the Quiet Revolution, and the secularization of the university’s Charter.
Through the analysis of the archives of the Université de Montreal and the Canadian Province of the Dominican Order, we describe the institutional history of the Institut d'études médiévales according to the evolution of its hopes and of its functions at the university. Through the analysis of its mission statements, we describe how the Institute adapts to keep pace with the structural and cultural evolution within Quebec’s Quiet Revolution.
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