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Arcana in ipso consummati operis fastigio. La révélation finale dans la littérature latine (Cicéron, Ovide, Apulée) / Arcana in ipso consummati operis fastigio : The Motif of Final Revelation in Cicero, Ovid, and Apuleius

Lévi, Nicolas 10 December 2011 (has links)
Cette thèse est consacrée à l’exploration des enjeux philosophiques, religieux et littéraires d’un motif qui apparaît dans trois œuvres majeures de la latinité : celui de la révélation finale. Le dernier livre du De republica de Cicéron avec le « Songe de Scipion », le dernier livre des Métamorphoses d’Ovide avec le discours de Pythagore, et le dernier livre XI des Métamorphoses d’Apulée avec le dévoilement d’Isis, présentent en effet tous trois la particularité de mettre en scène une expérience de révélation. Il s’agit alors non seulement d’étudier la façon dont Cicéron, Ovide et Apulée élaborent une écriture de la révélation à partir de matériaux philosophiques et religieux qu’on aura préalablement replacés dans leur contexte historique ainsi que dans l’économie générale des œuvres et des interrogations respectives de ces trois auteurs, mais aussi de déterminer les effets produits par la place de ces révélations en ce lieu traditionnel de polarisation du sens qu’est la fin d’une œuvre : quel dialogue ces trois révélations entretiennent-elles avec la structure qui les précède ? dans quelle mesure ces révélations finales dans les textes sont-elles aussi des révélations finales des textes eux-mêmes, auxquels elles apportent une élucidation rétrospective ? et quelle Weltanschauung, quelle conception de la quête de la vérité cette dynamique traduit-elle dans chacun des cas ? Cette enquête sera précédée d’un chapitre préliminaire où l’on établira les outils conceptuels nécessaires à l’étude de ce motif et où l’on analysera les antécédents grecs de celui-ci, à savoir le deus ex machina dans la tragédie et le mythe eschatologique final chez Platon. / This doctoral thesis is devoted to the investigation of the philosophical, religious, and formal aspects of a motif which appears in three major works of Latin literature : that of final revelation. The last book of Cicero’s De republica with its “Dream of Scipio”, the last book of Ovid’s Metamorphoses with its discourse of Pythagoras, and the last book of Apuleius’ Metamorphoses with its unveiling of Isis, all share, indeed, the specificity of representing a revelatory experience. The aim of this research is then : on the one hand, to study the way Cicero, Ovid and Apuleius dream up a pattern of revelation on the basis of philosophical and religious material that we shall first replace in each case in its historical context and in the frame of the respective literary output and pervasive themes of thinking of our three writers ; on the other hand, to determine the effects given off by the setting of these revelations at the place that traditionally focuses meaning, the ending of the work : what kind of dialogue is set up between these three revelations and the preceding structure ? to what extent do those final revelations in the texts function at the same time as final revelations of the texts themselves, on which they cast retrospective lighting ? and what worldview, what conception of the search for truth does this dynamics convey in the three cases ? This investigation will be preceded by a preliminary chapter where we shall establish the conceptual tools required for the study of this motif and analyze its Greek antecedents, i.e. the deus ex machina in tragedy and the final eschatological myth in Plato.
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Cicero Platonis Aemulus : une étude sur le De Legibus de Cicéron / Cicero Platonis Aemulus : a study on the Cicero’s De Legibus

González Rendón, Diony 18 January 2017 (has links)
Cette thèse étudie la réception de la philosophie de Platon à Rome au cours du premier siècle av. J.-C., en s´attachant plus particulièrement à la façon dont Marco Tulio Cicéron interprète, étudie, traduit et imite l´œuvre du philosophe grec. Nous y analysons également la réception qu´en font les stoïciens étant donné que le platonisme romain et plus concrètement celui que Cicéron connait, est tributaire des enseignements des maîtres stoïciens de Rome.Cette réception sera le point de départ pour comprendre comment Cicéron imite et émule le style et le contenu des dialogues de Platon et cela afin de rendre compte des différences et des similitudes entre leurs doctrines philosophiques. Cette thèse permettra de révéler l´influence que la philosophie de Platon a eu sur la configuration de la pensée et du langage philosophique à Rome ainsi que sur celle du domaine religieux et de celui de la législation romaine.Le De Legibus de Marco Tulio Cicéron sera l´œuvre-pivot de notre recherche. Ce dialogue n´a pas été exclusivement rédigé en tant qu´une imitation du style et du contenu des Lois de Platon; en effet, son contenu reflète non seulement l´importance qu´a eu le dialogue platonicien en tant que modèle dans l´élaboration des dialogues philosophiques de Cicéron, mais plus exactement celle de sa perspective politique et philosophique telle qu´elle est exposée dans le De Oratore, De Re Publica et le De Legibus.C´est à partir du langage que nous aborderons le processus d´imitation et d´émulation, c´est-à-dire que dans un premier temps, nous analyserons la façon dont Cicéron traduit l´œuvre de Platon. Nous observerons ensuite comment Cicéron adopte la structure rhétorique du dialogue platonicien. Finalement, nous présenterons la notion de loi naturelle comme élément grâce auquel nous montrerons l´empreinte du platonisme contenu dans le De Legibus. Il est pertinent de souligner que ce platonisme cicéronien a été marqué par un dialogue constant entre les différentes traditions stoïciennes, académiciennes et péripatéticiennes tout autant que par les disputes contre les épicuriens et les griefs nourris par une réalité romaine déchirée par une crise politique et spirituelle. / The following dissertation examines the reception of Plato’s philosophy in Rome, with special focus on how Marcus Tullius Cicero, between the years I to C. approximately, receives, studies, translates and imitates the work of the Greek philosopher. Furthermore, it analyses the way in which the Stoics received Plato’s philosophy, considering the fact that Roman Platonism, and that of Cicero in particular, was communicated by the Stoic teachers of Rome.This reception will be the starting point in order to comprehend Cicero’s imitation and emulation of the style andcontent in the dialogues of Plato, and to perceive similarities as well as dissimilarities in his philosophic doctrines. This dissertation will highlight the influence that Plato’s philosophy exerted on the development of the thoughts and philosophic language of Rome, as well as its contribution to Roman religion and legislation.The point of reference for this paper is the De Legibus by Marcus Tullius Cicero. The dialogue was not composedexclusively as an imitation of the style and content of Plato’s The Laws; instead, it reflects the importance of the Platonic dialogue as a model for the philosophic dialogues which Cicero formed, specifically the political and philosophical proposition that Cicero presents in De Oratore, De Re Publica and De Legibus.The process of imitation and emulation will be addressed from a linguistic perspective. In other words, an analysis ofhow Cicero translates the work of Plato will be followed by an observation of how Cicero adapts the rhetorical structure of the Platonic dialogue. Finally, the paper will discuss the notion of the natural law as an element through which it is possible to demonstrate the Platonism that encompasses Cicero’s De Legibus. It is also worth mentioning that Cicero’s Platonism was characterized by the continuous interchange with the various Stoic, Academics and Peripatetic traditions, the disputes with Epicureans, and the objections of a Roman society immersed in a political and spiritual crisis.
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Voluntas : force d’âme, libre arbitre et volonté du peuple chez Cicéron. / Voluntas : Willpower, free will, and the will of the people in Cicero

Paulson, Alexander 18 December 2017 (has links)
La volonté : peu de termes reviennent dans des débats aussi nombreux et aussi divers ; peu se prêtent à un aussi large éventail de registres, de l’ordinaire au sacré. Mon travail voudrait introduire à la notion de volonté chez Cicéron, et aux nouveaux champs sémantiques ouverts par lui pour la postérité. Le rôle accordé à lui jusqu’ici dans les généalogies de la volonté a été au mieux mineur. Mais les archives numériques confirment un fait curieux : tout le corpus latin antérieur à Cicéron contient environ 25 occurrences de voluntas ou de ses formes déclinées. Dans le seul corpus cicéronien, le mot apparaît 644 fois. Sa théologie pense l’univers en tant qu’il est déterminé par la mens ac voluntas des dieux, et fait passer le progrès de l’âme par la contemplation de la volonté divine. La voluntas est centrale dans sa réflexion sur l’émotion et la responsabilité en contexte judiciaire. Dans ses traités philosophiques, il adapte l’éthique stoïcienne et fait de la volonté le siège de la progression morale. En outre, c’est Cicéron et non Lucrèce qui a le premier examiné la liberté du vouloir humain : lorsqu’il entreprit, à trente-six ans, l’accusation de Verrès, puis dans le De fato, où sa défense de la libera voluntas mobilise le Portique et l’Académie contre le Jardin. Enfin, Cicéron invente la volonté du peuple telle que nous la connaissons. Le plus grand orateur romain, pionnier de la pensée politique de langue latine, fait de la voluntas populi la force agissante d’une république souveraine. Son idée de la volonté populaire contient d’ailleurs en germe les problèmes de représentativité des élites que nos démocraties électorales cherchent encore à résoudre. / The will : few words feature in so many distinct debates, nor range so vastly from the simple to the sacred. This thesis is intended to provide a thorough study of the notion of will in Cicero, and of the new semantic pathways he opens for posterity. The role attributed to him in genealogies of the will has been relatively minor. But digital archives confirm a curious fact: all extant Latin texts prior to his lifetime yield around two dozen occurrences of voluntas and its cognates. In the texts we have, Cicero uses the word 644 times. His theology examines the character of the world determined by the mens ac voluntas of the gods, and the improvement of the soul in the contemplation of divine will. Voluntas propels and inspires Cicero’s study of emotion in criminal liability. In the Tusculan Disputations and De officiis, he adapts Stoic ethics to propose the will as locus of moral progress. Further, it was Cicero, not Lucretius as some have argued, who first considered the “freedom” of human will – as a 36-year-old prosecutor, and then in the De fato, where his argument for libera voluntas marshals the Stoa and Academy to repudiate the Epicureans. Finally, Cicero invents “the will of the people” as we know it. Rome’s greatest orator and the pioneer of political thought in Latin, he makes voluntas populi the catalyzing force of a sovereign republic. So too does he sow problems of elite “trusteeship” into his notion of popular will, problems which electoral democracies still struggle to resolve.
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Dal teatro al foro : tragedia, commedia e mimo nell orazioni di Cicerone anteriori alla pretura / Du théâtre au forum : tragédie, comédie et mime dans les discours de Cicéron antérieurs à sa préture / From the stage to the court : tragedy, comedy and mime in Cicero's early speeches

Dalsasso, Paola 15 October 2015 (has links)
Mon travail, consacré aux intersections entre l’art oratoire et le théâtre en Cicéron, débute par un compte rendu des nombreuses études publiées sur ce sujet et par une synthèse des diverses modalités par lesquelles le renvoi au théâtre se réalise. Ma recherche se concentre en particulier sur l’analyse des premiers discours cicéroniens, dès son début dans le forum jusqu’au 68 av. J.-C., quand Cicéron recouvre le rôle de préteur: Pro Quinctio; Pro Roscio Amerino; Pro Roscio comoedo; les sept discours In Verrem; Pro Fonteio; Pro Caecina. Ce travail a produit des nouvelles contributions à l’interprétation des oraisons examinées, tout en confirmant l’efficacité de l’approche critique qui met en relief l’importance de l’apport du théâtre dans l’art oratoire cicéronien.Le renvoi au théâtre est en effet utilisé aux fins de la persuasion rhétorique selon différentes modalités: par le renvoi explicite ou allusif à des personnages théâtraux bien connus, notamment à ceux de la comédie; par des citations de vers théâtraux (d’une façon parfois allusive); par l’emploi de métaphores et d’images liées au monde du théâtre.Pourtant, un regard d’ensemble nous porte à comprendre comment ce renvoi va souvent se réaliser de façon méprisante, dans le cadre d’une stratégie rhétorique d’attaque de la partie adverse, conduite justement par la référence au théâtre.Conformément à certains résultats issus de l’analyse des oeuvres rhétoriques et de la correspondance, se profile donc ce qui pourrait être un élément unifiant et distinctif du renvoi au théâtre dans le genre de l’art oratoire, au moins en ce qui concerne le premier art oratoire cicéronien: l’idée reçue qu’il s’agit de fictions littéraires (fabulae, ineptiae, nugae), qui dérivent d’une dimension différente de celle de la réalité (veritas), à laquelle l’art oratoire est par contre statutairement ancrée. De cela ma constatation d’une modification et d’une adaptation oratoire de ces sujets dans le passage ‘du théâtre au forum’. / My study focuses on the analysis of Cicero’s early speeches, from the beginning of his forensic career until 68 BC, when he reached the rank of praetor: Pro Quinctio; Pro Roscio Amerino; Pro Roscio comoedo; the seven orations In Verrem; Pro Fonteio; Pro Caecina. My work encouraged further significant contributions to the interpretation of the speeches examined, thus confirming the effectiveness of a critical approach which recognizes the crucial influence of theatre on Cicero’s oratory. Indeed, he made reference to theatre for the purposes of rhetorical persuasion by means of different strategies: explicit or allusive references to famous characters belonging to the world of theatre and, in particular, comedy; quotations from dramatic texts (even allusively); use of metaphors and images drawn from the stage. Furthermore, in the light of this overall view, this connection resulted to be often associated with a depreciating intent, i.e., by developing a rhetorical strategy aimed at attacking the opponent by means of such theatrical references. Consistently with the results of my analysis of Cicero’s rhetorical works and letters, we may identify a unifying and distinctive feature in the theatrical references within the genre of oratory, at least as regards the early Ciceronian speeches: the idea that the world of theatre belongs to literary fiction (fabulae, ineptiae, nugae) within a dimension other than that of reality. Conversely, the connection with reality and truth is a statutory feature of oratory. Therefore, the transition of such subjects from the theatre to the forum requires an adaption to the oratorical context.
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Les liens sociaux entre les dépendants et le maître/patron dans la Correspondance de Cicéron

Drouin, Sophie 12 1900 (has links)
Ce travail de recherche cherche à répondre à deux questions : Quels sont les liens sociaux liant les maîtres et ingénus aux dépendants, sont-ils plus importants entre ingénus et affranchis qu’entre ingénus et esclaves? Ont-ils une influence positive sur l’affranchissement des esclaves dans la Correspondance de Cicéron ? Cette étude évolue par thème, passant des liens amicaux, matrimoniaux, sexuels aux évaluations des maîtres et des patrons sur leurs esclaves et affranchis. Avant la conclusion, quelques pages seront également dévolues aux esclaves et affranchis absents de la Correspondance pour expliquer cette absence et les situer dans le contexte de la fin de la République romaine. L’étude des liens sociaux liant les dépendants aux maîtres, patrons et ingénus, dans une approche soulignant les liens amicaux, affectifs, maritaux et sexuels plutôt que les liens sociaux purement juridiques, a permis de prouver l’existence assez fréquente de liens amicaux et affectifs entre les dépendants (esclaves et affranchis) et les maîtres, les patrons et les ingénus dans la Correspondance. L’étude de la Correspondance démontre également que ses liens amicaux et affectifs étaient plus nombreux et plus soutenus entre affranchis et ingénus qu’entre ingénus et esclave, mettant en lumière l’importance des liens d’amitié et d’affection dans le processus d’affranchissement de certains esclaves. / This paper will answer these questions: What were the social relationships between Roman masters/ingenui and slaves/freedmen? Were these relationships more often between ingenui and freedmen than ingenui and slaves? Did these relationships influence positively the slaves’ manumission in Cicero’s Letters? This paper will index and analyse the social relationships between ingenui and slaves/freedmen in the Letters. By social relationships, are meant friendships, marriage ties, sexual relations, masters’ and patrons’ estimation of their slaves/freedmen behaviours. Some pages will be devoted to the slaves and freedmen not mentioned in the Letters to explain this absence in the context of Rome in the last century BC. The study of social relationships between slaves/freedmen and masters, patrons and ingenui, in a social approach rather than a purely legal one, permitted the conclusion that friendships and affection often existed between slaves/freedmen and their masters/patrons or other ingenui of the Letters. In addition, this study proves that friendships and affectionate ties were more numerous and lasting between ingenui and freedmen than between ingenui and slaves. Accordingly, I defend the importance of friendships and affections ties in the manumission’s strategies of certain slaves.
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Le premier commentaire de Boèce à l’Isagogè de Porphyre : introduction, traduction et commentaire / Boethius’ first commentary on Porphyry’s Isagoge : introduction, translation and commentary

Huh, Min-Jun 30 November 2013 (has links)
Notre thèse en deux volumes vise à donner une traduction inédite du premier commentaire de Boèce à l’Isagogè de Porphyre à partir de l’édition critique de Samuel Brandt publiée en 1906. De fait, Boèce s’appuie sur la traduction latine de Marius Victorinus et non, comme le suggère le titre, sur le texte grec de Porphyre. Le premier volume contient une introduction générale articulée en quatre parties: examen critique des études secondaires; les sources matérielles du premier commentaire de Boèce à l’Isagogè; le traitement des questions de Porphyre sur les universaux; et l’Isagogè de Marius Victorinus et la tradition rhétorique latine. Les thèses que nous défendons sont les suivantes : le commentaire perdu de Porphyre sur les Catégories (A Gédalios) pourrait avoir été la source principale de ce traité logique de Boèce ; historiquement, les trois questions de Porphyre ont été apparentées à la réfutation porphyrienne de la position anti-aristotélicienne de Plotin ; et, contrairement à Victorinus qui considère l’Isagogè comme une introduction aux Topiques de Cicéron, Boèce la conçoit dans la perspective néoplatonicienne qui fait d’elle une introduction aux Catégories d’Aristote. Cette introduction est suivie de la traduction française accompagnée du texte latin de l’édition de Brandt. Notre commentaire à la traduction est développé dans le second volume qui contient également une traduction française inédite du commentaire d’Ammonius à l’Isagogè de Porphyre et une réfutation de la thèse soutenue par Brandt dans ses prolegomena de son édition critique à propos des parallèles textuels attestés dans les commentaires à l’Isagogè de Boèce et d’Ammonius (cf. appendices 1 et 2). / Our thesis in two volumes aims to give an original French translation of Boethius’s first commentary on Porphyry’s Isagoge based on the critical edition published by Samuel Brandt in 1906. Actually, Boethius commentary deals with the Latin translation of Marius Victorinus and not, as the title seems to suggest, with the greek treatise of Porphyry. The first volume contains a general introduction divided into four parts : a critical studies of the secondary sources; the material sources of the Boethian first commentary on Isagoge; the Boethian analysis of Porphyry’s three questions about universals; and Marius Victorinus’ Isagoge and the Latin rhetorical tradition. The thesis we defend in the introduction can be summarized as follows : Porphyry’s lost commentary on Categories (Ad Gedalium) may have been the main source of the first Boethian commentary on Isagoge ; historically, the three questions on universals had been related to the Porphyrian refutation of anti-Aristotelian position of Plotinus ; and, unlike Victorinus which considers Isagoge as an introduction to Cicero’s Topica, Boethius adopts the Neoplatonic perspective which makes it an introduction to Aristotle’s Categories. This introduction is followed by the French translation accompanied by the latin text edited by Brandt. Our commentary on the Boethian treatise is developed in the second volume, which also contains an original French translation of Ammonius’ commentary on Porphyry’s Isagoge and a full refutation of the thesis supported by Brandt in his prolegomena to his critical edition about the textual parallels attested in the Boethian and Ammonian commentaries on Isagoge (cf. appendix 1 and 2).
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Les liens sociaux entre les dépendants et le maître/patron dans la Correspondance de Cicéron

Drouin, Sophie 12 1900 (has links)
Ce travail de recherche cherche à répondre à deux questions : Quels sont les liens sociaux liant les maîtres et ingénus aux dépendants, sont-ils plus importants entre ingénus et affranchis qu’entre ingénus et esclaves? Ont-ils une influence positive sur l’affranchissement des esclaves dans la Correspondance de Cicéron ? Cette étude évolue par thème, passant des liens amicaux, matrimoniaux, sexuels aux évaluations des maîtres et des patrons sur leurs esclaves et affranchis. Avant la conclusion, quelques pages seront également dévolues aux esclaves et affranchis absents de la Correspondance pour expliquer cette absence et les situer dans le contexte de la fin de la République romaine. L’étude des liens sociaux liant les dépendants aux maîtres, patrons et ingénus, dans une approche soulignant les liens amicaux, affectifs, maritaux et sexuels plutôt que les liens sociaux purement juridiques, a permis de prouver l’existence assez fréquente de liens amicaux et affectifs entre les dépendants (esclaves et affranchis) et les maîtres, les patrons et les ingénus dans la Correspondance. L’étude de la Correspondance démontre également que ses liens amicaux et affectifs étaient plus nombreux et plus soutenus entre affranchis et ingénus qu’entre ingénus et esclave, mettant en lumière l’importance des liens d’amitié et d’affection dans le processus d’affranchissement de certains esclaves. / This paper will answer these questions: What were the social relationships between Roman masters/ingenui and slaves/freedmen? Were these relationships more often between ingenui and freedmen than ingenui and slaves? Did these relationships influence positively the slaves’ manumission in Cicero’s Letters? This paper will index and analyse the social relationships between ingenui and slaves/freedmen in the Letters. By social relationships, are meant friendships, marriage ties, sexual relations, masters’ and patrons’ estimation of their slaves/freedmen behaviours. Some pages will be devoted to the slaves and freedmen not mentioned in the Letters to explain this absence in the context of Rome in the last century BC. The study of social relationships between slaves/freedmen and masters, patrons and ingenui, in a social approach rather than a purely legal one, permitted the conclusion that friendships and affection often existed between slaves/freedmen and their masters/patrons or other ingenui of the Letters. In addition, this study proves that friendships and affectionate ties were more numerous and lasting between ingenui and freedmen than between ingenui and slaves. Accordingly, I defend the importance of friendships and affections ties in the manumission’s strategies of certain slaves.
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Auctoritas : les sources du droit public dans la pensée cicéronienne

Murray, Nathan 24 April 2018 (has links)
Ce mémoire propose une analyse de la pensée constitutionnelle tardorépublicaine telle qu'elle est exprimée dans les discours, traités rhétoriques et traités philosophiques de l'orateur et homme d'État romain Marcus Tullius Cicéron, entre 67 et 43 avant Jésus-Christ. Le chapitre I adopte une structure chronologique et brosse un portrait du parcours privé et public de Cicéron, en s'attardant principalement sur les éléments de son éducation et de sa carrière politique qui ont pu influencer sa réflexion. Ces éléments sont situés dans leur contexte historique et institutionnel. Les chapitres II et III sont consacrés respectivement à la réflexion cicéronienne sur le peuple et le Sénat et adoptent une approche théorique et rhétorique du droit public romain : sont étudiées les constructions et les conceptions qui sous-tendent l'analyse constitutionnelle élaborée par Cicéron, mais aussi l'instrumentalisation de celle-ci au service d'une idéologie et d'un projet politiques. Les questions de la « souveraineté » supposée du populus romanus, de la « refondation » du droit écrit par la loi naturelle, de l'idéal cicéronien de primauté institutionelle, constitutionelle et politique du Sénat, de même que celle de la valeur juridique du sénatus-consulte sont abordées. Le chapitre IV, enfin, s'attarde à la constitution « en action » : le droit public romain y est étudié dans sa pratique et son application. L'analyse d'une sélection précise de crises politiques qui sont en fait autant d'affrontements légaux – le recours au sénatus-consulte ultime, le tribunat de Clodius et l'exil de Cicéron, les troubles qui suivent l'assassinat de César dictateur – permet ainsi de mettre la théorie cicéronienne à l'épreuve du réel. La conclusion offre un retour sur une pensée paradoxale mais cohérente, qui mit au service d'une conception radicale de la suprématie sénatoriale une savante rhétorique de la tradition et une réflexion philosophique et juridique complexe.
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Au-deçà de la Cité de Dieu

Gariépy, Charles 24 April 2018 (has links)
La Cité de Dieu a été rédigée dans une perspective polémique vis-à-vis les païens. La prise de Rome, en 410, a entraîné en Afrique du Nord la venue d’une élite cultivée, revivaliste et admirative du vieux polythéisme. Contre cette mouvance nostalgique, tributaire des anciens majoritairement sur le plan intellectuel et livresque, Augustin s’en prend à la bibliothèque des nouveaux arrivants. La Cité de Dieu peut, le cas échéant, être lue par la négative, c’est-à-dire par le biais de la critique qu’élabore Augustin de trois auteurs choisis, Varron, Cicéron et Salluste, qui résument et représentent conjointement l’essence de la culture classique. Tant chez les païens que chez l’évêque d’Hippone – leur détracteur –, Varron incarne la fine pointe de la théologie romano-hellénistique, Salluste est celui qui a mené à sa perfection la discipline de l’histoire, Cicéron a écrit le parachèvement des oeuvres sur la République, et chacun préconise sa structure idéologique propre, les trois domaines formant pourtant un ensemble systémique. Tout en louant ses illustres prédécesseurs, Augustin leur porte une critique générale et c’est à cette critique que seront consacrées nos analyses. / The City of God was written from a polemical perspective in opposition to the pagans. In 410 DC, the Fall of Rome led to the rise of a cultured elite in North Africa who were revivalist and admired the ancient polytheism. Against this nostalgic movement, which was mainly dependent on the Ancients, intellectually and in terms of the literature, Augustine attacked the newcomers’ literary basis. The City of God can be read in the negative, that is, in terms of the criticism Augustine develops of three chosen authors, Varro, Cicero and Sallust, who summarize and jointly represent the essence of classical culture. To both the pagans and the bishop of Hippo – their detractor –, Varro embodies the cutting edge of Roman-Hellenistic theology, while Sallust led the discipline of history to its perfection, and Cicero wrote the definitive works on the Republic – each promoting his own ideological structure, yet with the three areas forming a systemic whole. While praising his illustrious predecessors, Augustine levels a general criticism against them and it is on this criticism that our analyses will focus.
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Cicéron et le cosmopolitisme

Ménard, Charles 08 1900 (has links)
Ce mémoire vise à analyser l’importance du cosmopolitisme dans la pensée de Cicéron. Dans l’introduction, nous présentons d’abord une histoire de la réhabilitation de Cicéron en tant que philosophe et une chronologie de la pensée cosmopolite. La deuxième partie consiste en une analyse de trois textes de Cicéron : De Finibus, De Officiis et De Re Publica, pour trouver une réponse à notre problématique. La conclusion qui sort de cette analyse est que Cicéron a toujours effectué un compromis entre le cosmopolitisme et l’appartenance à une communauté locale, sans prendre catégoriquement un parti, même si son coeur penche davantage vers Rome. Nous avons mis en parallèle ce compromis avec l’ambiguïté de Cicéron quant à la problématique des genres de vie. Ce parallélisme montre que la tension entre cosmopolitisme et appartenance à une communauté locale n’est qu’un cas particulier d’une ambiguïté plus générale des oeuvres de Cicéron, envers la philosophie. / The goal of this thesis is to study the significance of the ideology of cosmopolitanism in Cicero’s philosophical works. In the introduction, we present a history of the rehabilitation of Cicero the philosopher and a chronology of cosmopolitan thought. In the second part we analyse three texts of Cicero: De Finibus, De Officiis and De Re Publica, in search of passages pertaining to cosmopolitanism. From this analysis, we must conclude that Cicero always compromises between cosmopolitanism and his sense of belonging to a local community, even if he is a fervent Roman patriot. Similar to this compromise is the ambiguous answer of Cicero to the problem of which is the best way of life: the political or philosophical life. This similarity informs us that the tension between cosmopolitanism and patriotism is just a special case of a more general ambiguity present in Cicero’s work, toward philosophy itself.

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