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L'impact de la violence conjugale post-séparation sur la maternité de femmes de minorités visibles au Canada

Quesnel, Edith 08 1900 (has links)
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Lorsque le couple rencontre l’État : analyse de l’épreuve du parrainage conjugal dans les couples lesbo-queers

Chrétiennot, Léa 08 1900 (has links)
Ce mémoire se consacre à l’étude de l’expérience du parrainage conjugal, dans ses dimensions affectives et incorporées et les impacts que cette démarche opère sur les individus et le couple. La catégorie de parrainage conjugal (qui se divise en 3 sous-catégories en fonction du « statut conjugal du couple ») est une catégorie d’immigration qui défie les limites privé/public et intimité/institutions, car elle repose sur une exposition intime de la relation (dans le cadre d’un dossier recoupant des « preuves de relation ») dont le but est de prouver son authenticité. Ce dévoilement effectué par les couples se fait dans le cadre normé et codifié d’une procédure légale, procédure par ailleurs remplie de contraintes. En prenant comme point de départ la rencontre entre l’État et les couples, il s’agit de dresser une analyse de l’expérience de cette catégorie d’immigration pour les couples lesbo-queers. De fait, ce mémoire part du constat que la migration de couple n’aborde que très peu les migrations de couples non-hétérosexuels, lorsque les études d’immigration queer se consacrent surtout aux parcours migratoires individuels. Or, avec l’ouverture au début des années 2000 du parrainage conjugal aux couples non-hétérosexuels au Canada (LaViolette 2004), et la croissante suspicion dont sont sujets les couples passant par le parrainage (Geoffrion 2018 ; D’Aoust 2014), il apparait intéressant de questionner comment les modalités de cette procédure agissent dans la vie des couples qui y sont confrontés. En étant une catégorie qui repose sur l’évaluation des relations conjugales allant de légitimes à illégitimes, d’authentiques à frauduleuses, il est porteur d’étudier comment cette expérience normative est vécue par les couples – lesbo-queers en particulier. Cette recherche se base sur les récits de vie de sept personnes ayant été parrainées dans le cadre de relations lesbo-queers, et vise à questionner les effets affectifs, matériels, symboliques que les modalités du parrainage opèrent sur les couples. Cette recherche invite à approfondir les enjeux sous-tendus par cette rencontre singulière entre les couples et l’État, suivant une perspective queer. / This thesis is devoted to the study of the experience of spousal sponsorship, in its affective and embodied dimensions and the impacts that this process has on individuals and the couple. The category of conjugal sponsorship (which is divided into 3 sub-categories according to the "conjugal status of the couple") is an immigration category that defies private/public and privacy/institutional boundaries, as it relies on an intimate exposure of the relationship (in the context of a file of "relationship evidence") whose purpose is to prove its authenticity. The disclosure made by the couples is done within the normed and codified framework of a legal procedure, a procedure that is also full of constraints. Taking as a starting point the encounter between the State and the couples, the aim is to analyze the experience of this immigration category for lesbo-queer couples. In fact, this thesis starts from the observation that couple migration only very rarely addresses the migration of non-heterosexual couples, when queer immigration studies are mainly devoted to individual migratory paths. However, with the opening of conjugal sponsorship to non-heterosexual couples in Canada in the early 2000s (LaViolette 2004), and the growing suspicion of which couples going through sponsorship are subject (Geoffrion 2018; D’Aoust 2014), it seems interesting to question how the modalities of this procedure act in the lives of the couples facing it. Being a category that relies on the evaluation of marital relationships ranging from legitimate to illegitimate, from authentic to fraudulent, it is a carrier to study how this normative experience is lived by couples - lesbo-queer in particular. This research is based on the life stories of seven people who have been sponsored within the framework of lesbo-queer relationships, and aims to question the affective, material and symbolic effects that the modalities of sponsorship have on the couples. This research invites to deepen the stakes underlying this singular meeting between the couples and the State, according to a queer perspective.
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Des bleus sur l'arc-en-ciel : archéologie des dynamiques de violence dans le couple lesbien

Queyroi, Isabelle 04 1900 (has links)
Problématique : La violence conjugale dans le couple lesbien est un phénomène très répandu et pourtant encore trop largement passé sous silence. On constate un manque d’intérêt pour cette question de la part des différentes communautés concernées, malgré plus récemment un regain d’attention pour le phénomène. Les tabous et les débats qui entourent la violence homoconjugale féminine continuent de l’exclure de la plupart des mouvements luttant contre les violences faites aux femmes. Pourtant, chaque année des femmes souffrent en silence de la violence de leurs conjointes; pourtant, chaque année ces victimes se perdent un peu plus dans l’invisibilité de leur condition. Le sujet de la violence conjugale dans le couple lesbien interpelle à plus d’un titre : à la fois sur la compréhension, mais aussi sur les solutions cliniques offertes. Comment dès lors apporter une réponse idoine à une catégorie de victimes méconnues et non reconnues, très souvent assaillies d’intolérance, de préjugés et d’ignorance de la part de celles et ceux censés les aider? Méthodologie : Des femmes victimes ainsi que des intervenantes de différentes disciplines des sciences humaines, familières avec la thématique de la violence homoconjugale féminine, ont été rencontrées. Avec un guide d’entrevue et des entretiens semi-dirigés, les répondantes ont raconté leur expérience. Selon la perspective sociologique wébérienne, elles ont ouvert sur le sens qu’elles donnaient à la violence vécue ou rapportée. L’analyse des données recueillies a ainsi été scrupuleusement effectuée selon une grille très précise afin de faire ressortir les thèmes et les sous-thèmes les plus emblématiques des discours en présence. La dimension interdisciplinaire a permis d’ouvrir sur une compréhension holistique plus aboutie de la thématique à étudier ainsi que d’être envisagée comme une piste de solution au niveau de l’intervention. Résultats : Il ressort que les formes de violence les plus utilisées par les abuseures sont les violences psychologiques, verbales, sexuelles et, dans une moindre mesure, physiques, dans le but d’assoir un pouvoir, une domination et un contrôle sur la victime. La présence du cycle de la violence conjugale a également été identifiée. Par comparaison avec les femmes victimes de leurs conjoints, les victimes homoconjugales féminines vivent un plus grand isolement et un plus grand stress, principalement en lien avec leur orientation sexuelle, couramment appelé : le stress des minorités sexuelles. De nouvelles formes de violence ont pu être identifiées, notamment la lesbophobie intériorisée. Entre deux femmes, la violence conjugale est banalisée et minimisée, réduite à un simple « crêpage de chignons ». Cette vision porte un tort considérable à la réalité de ce qui se passe dans l’alcôve lesbien, mais surtout constitue une atteinte supplémentaire à la victime. En dernier lieu, il s’avère que la relation d’aide pour les femmes, victimes de leurs conjointes demeure problématique et très insatisfaisante, principalement par le manque de structures adéquates, de formation des intervenantes, de publicisation sur le phénomène de la violence conjugale lesbienne. En outre, les préjugés des différents personnels socio-judiciaires sur le lesbianisme est encore très prégnant et constituent un frein à l’intervention. Conclusion : La violence conjugale dans le couple lesbien est engluée dans une toile d’araignée que tisse l’abuseure qui prend un pouvoir illicite sur sa partenaire avec la complicité du regard néfaste de la société à l’encontre du lesbianisme, du manque d’information et de formations des différents personnels sur cette thématique ainsi que du silence des communautés sur la lutte des violences faites aux femmes. Il y aurait tout lieu de privilégier la mobilisation, l’inclusion, l’éducation, l’information, la formation de tous. Car la violence conjugale lesbienne n’est pas une affaire privée. Elle est l’affaire de tous / Context. Domestic violence in lesbian couples is a widespread and largely ignored phenomenon. There is a lack of interest in this issue on the part of the various communities concerned, despite more recently renewed attention to the phenomenon. The taboos and debates surrounding female homoconjugal violence continue to exclude it from most of the movements fighting violence against women. However, each year, women suffer in silence from their partner's violence and each year these victims lose themselves a little more in the invisibility of their condition. The subject of conjugal violence in the lesbian couple raises many questions both on understanding and on the clinical solutions proposed. How to provide an appropriate response to this category of unrecognized victims who are very often confronted with intolerance, prejudice and ignorance from those who are supposed to help them? Methods. Women victims of domestic violence in a lesbian couple were met as well as practitioners from several disciplines of the humanities familiar with the theme of female homosexual violence. Using an interview guide and semi-structured interviews, we asked them to describe their experiences on this issue. The meaning they give to the violence experienced or reported has been gathered from a Weberian sociological perspective. The data analysis was scrupulously carried out according to a very precise grid in order to bring out the most emblematic themes and sub-themes of their narratives. The interdisciplinary perspective allows us for a more complete holistic understanding of the problem and can also be considered in itself as an avenue of intervention in the context of female homosexual violence Results. It appears that the type of violence abusers most commonly use to exert power, domination or control on the victim is psychological, verbal, sexual and, to a lesser degree, physical to exercise an authority, a domination, and a control on the victim. The conjugal violence cycle was also identified. In comparison to female victims of male partners, female homo-conjugal victims experience greater social isolation and stress, largely related to their sexual orientation, commonly referred to as stress of sexual minorities. New types of domestic violence have also been identified, such as internalized lesbophobia. Violence between two women is trivialized, minimized, and reduced to “cat fights.” This conception considerably detracts from the reality of what is happening in the lesbian alcove. Above all, it constitutes an additional attack on the victim. Finally, it appears that counseling support is very problematic and unsatisfactory for these women because of the lack of adequate support structures, training for practitioners and awareness of lesbian conjugal violence phenomenon. Furthermore, the prejudice from different personal socio-judiciary regarding lesbianism is still taking a stronger hold and can slow down the intervention process. Conclusion. Domestic violence in the lesbian couple is rooted in the spider web that the abuser weaves to take power over his partner with the complicity of society's harmful view of lesbianism, lack of information and professional training on the subject as well as the silence of the communities on violence against women. We must promote the mobilization, inclusion, education, information and training of all on this important issue. Domestic violence between lesbians is not a private matter. This is everyone's problem.
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Les technologies de l’information et de la communication utilisées en contexte de violence conjugale : une analyse des liens entre les cyberviolences vécues, les stratégies d’adaptation et la détresse psychologique

Laguë Maltais, Florence 04 1900 (has links)
Cela fait près de 50 ans que les études criminologiques se penchent sur l’étude des violences conjugales. Au cours de ces décennies, de nombreuses avancées ont fait évoluer notre compréhension de ce phénomène : entre autres, les études féministes ont conduit à concevoir ces violences comme un problème social important. À travers cette perspective, les violences conjugales ne sont plus conçues comme un conflit entre deux partenaires, mais plutôt comme un moyen utilisé par un partenaire pour contrôler et dominer l’autre. L’arrivée relativement récente des technologies de l’information et de la communication (TICs) a grandement modifié l’expérience des femmes victimes de violences conjugales : plusieurs études montrent que les TICs sont utilisées en contexte de violence conjugale et de séparation. Alors que les violences conjugales ont été beaucoup documentées, force est de constater que très peu d’études sur le sujet intègrent les cyberviolences dans leurs analyses. Par conséquent, les cyberviolences, leurs impacts émotionnels perçus et les stratégies d’adaptation et de recherche d’aide mobilisées par les femmes à l’ère du numérique sont encore relativement peu connus. Pour pallier ces limites, le présent mémoire explore les liens entre les violences conjugales traditionnelles et les cyberviolences perpétrées par un partenaire ou ex-partenaire intime. Trois objectifs spécifiques sont visés, soit de 1) documenter les expériences de violences conjugales traditionnelles et de cyberviolences auprès de femmes victimes de cyberviolences, 2) préciser les impacts psychologiques perçus, ainsi que les stratégies d’adaptation et de recherche d’aide mobilisées par les femmes victimes de cyberviolences et 3) évaluer la contribution des violences perçues et des stratégies d’adaptation à la prédiction de la détresse psychologique. Pour ce faire, un échantillon de 419 femmes âgées de 18 à 29 ans a rempli un questionnaire portant sur leurs expériences de cyberviolences perpétrées par un partenaire ou ex-partenaire intime dans les 12 mois précédant l’étude. Des analyses descriptives et des analyses de régression linéaire multiple ont été effectuées. Les résultats suggèrent que les violences conjugales et les cyberviolences conjugales sont cooccurrentes et que les cyberviolences ont un impact important sur la santé émotionnelle des femmes qui en sont victimes. Par ailleurs, contrairement aux attentes, les stratégies d’adaptation et de recherche d’aide n’ont pas été associées à une diminution de la détresse psychologique perçue. Les résultats de ce mémoire font état de l’importance de poursuivre la recherche sur le phénomène des cyberviolences et particulièrement sur l’efficacité perçue à moyen et long termes des stratégies d’adaptation et de recherche d’aide. Aussi, considérant la cooccurrence des cyberviolences et des violences conjugales traditionnelles, il apparaît nécessaire de poursuivre les efforts de sensibilisation auprès des différents intervenants et intervenantes œuvrant auprès des victimes de violences conjugales sur les cyberviolences. Une meilleure connaissance de ce phénomène leur permettrait de promouvoir des stratégies efficaces auprès des victimes afin d’y faire face. / For almost half a century now, criminology studies have addressed the problem of intimate partner violence (IPV). Although many perspectives have contributed to the study of IPV, it was feminists who brought IPV into the social sphere. Indeed, feminists no longer refer to IPV as a dispute between two partners, but rather as a means of domination and control. The relatively recent creation of new technologies, such as smartphones and social media, are known to be used in context of IPV (Dimond et al., 2011; Marganski et Melander, 2018; Stanley et al., 2018; Woodlock, 2017). While we know a lot about IPV, it is surprising that very few studies include cyberviolence in their analysis. To date, we know very little about cyberviolence in intimate relationship, its emotional consequences and its specific coping and help-seeking strategies. In order to bring insight into this phenomenon, the present study explores the links between intimate partner violence and cyberviolence. Precisely, the study aims to (1) document the experiences of intimate partner violence and cyberviolences of women victim of cyberviolences, (2) define the perceived psychological consequences and coping strategies used by women victims of cyberviolences and (3) explore the incidence of violence and coping strategies on perceived psychological distress. To do so, a sample of 419 women aged 18 to 29 completed an online questionnaire on their experiences of cyberviolence in their intimate relationship in the past 12 months. Descriptive analysis and multiple regression analysis have been conducted. The results suggest a co-occurrence of intimate partner violence and cyberviolence. Cyberviolence also have a significant impact on women’s emotional well-being. Surprisingly, none of the coping or help-seeking strategies were associated with a reduction in perceived psychological distress. The results of this study highlight the importance of studying medium- and long-term effectiveness of coping and help-seeking strategies in the context of cyberviolence. Moreover, considering the co-occurrence of cyberviolence and IPV, it seems relevant to raise awareness about cyberviolence among social workers working with victims of IPV. A better understanding of cyberviolence could help promote effective coping strategies among victims.
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Le rôle du soutien conjugal dans la qualité de vie liée aux traitements de fertilité

Joseph, Shanyce Alyssa 04 1900 (has links)
L’infertilité est une problématique importante, puisqu’elle a un impact considérable sur le couple. L’infertilité ainsi que ses traitements peuvent induire un stress important chez les deux partenaires, pouvant ainsi générer de l’insécurité conjugale. Plusieurs chercheurs ont montré que l’infertilité peut réduire la qualité de vie des deux membres du couple. Puisque les conjoints représentent la principale source de soutien pour chacun dans cette épreuve, il apparaît pertinent de considérer le soutien conjugal comme facteur de protection potentiel pour ces couples. L’objectif de l’étude consistait à examiner le lien entre le soutien conjugal (Échelle de soutien dans les relations amoureuses) et la qualité de vie liée aux problèmes de fertilité (FertiQoL) évaluée trois mois plus tard chez les deux partenaires de 83 couples ayant recours à la procréation médicalement assistée. Les partenaires ont complété les questionnaires au temps 1 et au temps 2 (3 mois plus tard). Des analyses acheminatoires basées sur le modèle interdépendance acteur-partenaire ont révélé que la perception de soutien conjugal émotionnel, informationnel et tangible d’une personne est positivement liée à sa propre qualité de vie émotionnelle et relationnelle trois mois plus tard. La perception de soutien physique chez la femme est aussi positivement associée à la qualité de vie relationnelle de son partenaire. Cette étude apporte une contribution significative dans le domaine de l’infertilité par son devis dyadique et longitudinal. Des interventions ciblant le soutien conjugal pourraient permettre de réduire les effets néfastes de l’infertilité et de ses traitements sur la qualité de vie des partenaires. / Infertility is an important problem that has a considerable impact on the couple. Infertility and its treatments can place significant stress on both partners, which can lead to relationship insecurity. Several researchers have shown that infertility can reduce quality of life for both members in the relationship. Since the partners represent the main source of support for each other in this challenge, it appears relevant to consider partner support as a potential protective factor for these couples. The objective of this study was to examine the association between partner support (Support in Intimate Relationship Rating Scale) and infertility-related quality of life (FertiQoL) assessed 3 months later among 83 couples using medically assisted reproduction. The partners completed the questionnaires at two time points (baseline and 3 months later). Path analyses using the actor-partner interdependence model revealed that a person’s perception of emotional, informational, and tangible partner support is positively linked to their own emotional and relational quality of life three months later. Women’s perception of physical support is also positively associated with their partner’s relational quality of life. This study makes a significant contribution to the infertility research’s field through its dyadic and longitudinal design. Interventions targeting partner support could reduce the negative effects of infertility and its treatments on the infertile couples’ quality of life.
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Napeuat tipatshimitishuat : récits d’hommes autochtones sur l’arrêt de la violence en contexte conjugal

Boucher, Philippe 08 1900 (has links)
La prévalence et la persistance de la violence en contexte conjugal sont préoccupantes dans les communautés autochtones (Brassard et al., 2011, 2015). En effet, les hommes (54 %) et les femmes (61 %) autochtones sont plus susceptibles d’être victimes de violence en contexte conjugal que les allochtones (36 % et 44 %, respectivement) (Cotter, 2021). La présente étude vise à comprendre comment les hommes autochtones mettent fin à la violence en contexte conjugal. D’une part, l’objectif est d’explorer le sens donné à l’arrêt de la violence en contexte conjugal. D’autre part, l’étude s’intéresse aux récits et aux processus de bifurcation vers cet arrêt de la violence. Des entretiens qualitatifs ont été menés auprès de six hommes innus et innus-naskapis ayant vécu de la violence bidirectionnelle ou unidirectionnelle. Les résultats démontrent que la plupart des hommes identifient les contextes coloniaux, communautaires et familiaux comme des sources de la violence en contexte conjugal. L’intersection entre un contexte d’épuisement et de déstabilisation crée un environnement propice aux processus de bifurcation vers l’arrêt de la violence en contexte conjugal. Trois types de processus de bifurcation sont développés, mettant en évidence différentes conceptions de l’arrêt de la violence : 1) un processus « spontané, mais inachevé », 2) un processus « constant et efficient » et 3) un processus « mouvementé et abouti ». Ces processus impliquent des apprentissages sur le passé, la violence et la communauté pour développer une posture non-violente. Souvent accompagnés de diverses sources de soutien, les hommes résolvent les sources de la violence afin d’apaiser leurs souffrances et ainsi réagir différemment aux expériences éprouvantes. / The prevalence and persistence of violence within the conjugal context in Indigenous communities are concerning (Brassard et al., 2012, 2015). In fact, Indigenous men (54%) and women (61%) are more likely to be victims of violence within the conjugal context than non-Indigenous people (36% and 44%, respectively) (Cotter, 2021). This study aims to understand how Indigenous men end violence within the conjugal context. On the one hand, the objective is to explore the meaning given to ending violence within the conjugal context. On the other hand, the study focuses on the narratives and bifurcation processes towards ending violence. Qualitative interviews were conducted with six Innu and Innu-Naskapi men who had experienced bidirectional or unidirectional violence. Findings show that most men identify colonial, community, and family contexts as sources of violence within the conjugal context. The intersection between a context of exhaustion and destabilization creates an environment conducive to the bifurcation processes towards ending violence within the conjugal context. Three types of bifurcation processes are proposed, highlighting different conceptions of violence cessation: 1) a “spontaneous, but incomplete” process, 2) a “constant and efficient” process and 3) a “hectic and thorough” process. These processes involve learning about the past, violence and the community, in order to develop a non-violent posture. Often accompanied by various sources of support, men resolve the sources of violence to alleviate their suffering and thus react differently to distressing experiences.
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Le profil psychopathologique des conjoints violents

Ménard, Ingrid 04 1900 (has links)
Les études typologiques sur les conjoints violents ont mis en évidence qu’il n’existe pas un profil unique de conjoints violents et que certaines psychopathologies peuvent expliquer le passage à l’acte (ex. : caractéristiques associées à un trouble de la personnalité, abus de substances, dépression, etc.). Toutefois, il existe un manque de connaissance concernant le profil psychopathologique et des traits de personnalité des conjoints qui agressent sexuellement leur partenaire. Ainsi, cette étude a pour objectif de classifier des conjoints violents à partir de leurs psychopathologies et traits de personnalité (MCMI-III et NÉO-PI R) afin de vérifier s’il existe une concordance entre les profils obtenus entre, d’une part, une approche dimensionnelle et, d’autre part, une approche catégorielle. Dans un second temps, cette étude a pour objectif de distinguer les groupes de conjoints violents en fonction : du type de violence commise, soit sexuelle et/ou physique ; de leur niveau d’hostilité envers les femmes ; de leurs stratégies de résolution de conflit en contexte conjugal ; de leurs stratégies d’adaptation face à des situations stressantes ; et de leurs croyances sur le viol. Pour ce faire, 121 hommes ayant été condamnés pour avoir commis au moins une forme de violence conjugale ont été rencontrés en entrevues et ont complété des questionnaires. Parmi eux, 21 ont commis au moins une violence sexuelle et 100 ont commis au moins une forme de violence physique et/ou psychologique. En ce qui concerne l’analyses de classification (two-step cluster anlysis) réalisé à partir de données obtenues à l’aide du MCMI-III, elle a permis d’identifier trois groupes, soit le sadique/antisocial, le très pathologique et le non pathologique. L’analyse de classification à partir de données obtenues à l’aide du NÉO PI R a permis d’identifier trois groupes présentent certaines similitudes avec les trois groupes de notre première classification, soit celle obtenu en fonction du MCMI-III. En effet, l’hostile présente aussi des caractéristiques associées au trouble de la personnalité sadique et antisociale. Le névrosé est caractérisé par la présence de diverses psychopathologies et le contrôlant est caractérisé par une absence de caractéristiques associées à un trouble de la personnalité et autres trouble mentaux. / Studies on abusive spouses have shown that there are different factors that predispose a man to become violent (sexual, physical, psychological). Indeed, compared to non-violent partners, violent partners present more psychopathologies (ex.: personality desorders, anxiety, etc). Furthermore, the different typologies of violent spouses have shown that there is no single profile of violent spouses. The majority of studies have found that antisocial and borderline personality disorders are significantly associated with the perpetration of violence in intimate relationships. However, there is a lack of knowledge regarding the psychopathological profile of spouses who sexually assault their partners. This study aims to: (1) classify (two step cluster) abusive spouses on the basis of their psychopathological profile; and (2) to compare the psychopathological characteristics (e.g., substance abuse) and types of violence committed (e.g., physical or sexual) in the profiles. To do this, 121 men who had been convicted of committing at least one form of spousal violence were interviewed and completed questionnaires (MCMI-III NÉO PI-R, CTS2, CISS, Rape Myth Scale, Hostility Toward Women Scale). Among them, 21 had committed at least one sexual violence and 100 had committed at least one form of physical and/or psychological violence. The two-step cluster anlysis of the MCMI-III data identified three groups: sadistic/antisocial, highly pathological and non-pathological. The classification analysis based on data obtained using the NEO PI R identified three groups with certain similarities to the three groups in the first classification (MCMI-III) : the hostile, which presents characteristics associated with sadistic and antisocial personality disorder, the neurotic, which is characterized by the presence of various psychopathologies, and the controlling, which is characterized by an absence of characteristics associated with a personality disorder and other mental disorders.
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La satisfaction des couples vis-à-vis le service de préparation au mariage de l'église catholique romaine

Comeau, Serge 23 August 2021 (has links)
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La sécularisation de la répudiation : ou l'avènement de la rupture unilatérale et discrétionnaire en droit français / The secularization of "repudiation" : or the advent of the unilateral and discretionary in French law

Koumdadji, Abla 13 December 2010 (has links)
D’origine essentiellement religieuse, la répudiation est la rupture unilatérale et discrétionnaire du mariage décidée par l’époux. En droit musulman, elle permet au mari de mettre un terme à la relation maritale sans avoir à se justifier. En France, cette institution est critiquée et même rejetée tant elle paraît étrangère à la civilisation européenne. Pourtant, à y regarder de plus près, la rupture unilatérale et discrétionnaire du couple existe en droit français sous l’appellation de « divorce pour altération définitive du lien conjugal » pour le mariage, mais encore de «rupture unilatérale » s’agissant du pacte civil de solidarité et du concubinage. La différence tient au titulaire de l’exercice de ce droit, alors que la répudiation ne peut être mise en oeuvre que par l’homme, la rupture unilatérale et discrétionnaire du mariage, du PACS et du concubinage peut être décidée par l’homme ou la femme. Toutefois, fondamentalement, les effets sont les mêmes : l’un décide, l’autre subit. Que la rupture soit judiciaire ou non judiciaire, ce mode de dissolution laisse perplexe quant à l’attitude du juge et du législateur français face à la répudiation. Le premier refuse, depuis le 17 février 2004, de reconnaître des effets aux répudiations musulmanes en France sous couvert de la violation du principe d’égalité entre époux. Le second, cautionne la rupture unilatérale et discrétionnaire au sein du couple / Initially, repudiation is mainly religious. It is the one-sided and discretionary break of marriage bonds, decided by the husband. In muslim law, it allows the husband to put an end to the marital bonds, without justifying himself. In France, this institution is criticized and even rejected for it seems so far from european civilization. However, looking at it closer, theone-sided and discretionary break-up of the couple exists, under the denomination of «divorce for definitive alteration of the marriage». Concerning the Civil Solidarity Pact (PACS) or cohabitation, it is called «unilateral break». The difference lies on the spouse, which is entitled to this right. Whereas repudiation is only the husband right, unilateral and discretionary break of marriage bonds, civil solidarity pact and cohabitation can be decided by both spouses. However, the consequences are the same. One decides, the other puts up with it. This kind of dissolution, either judicial or extrajudicial, make many uestions arise, considering the french judge and lawmaker’s behaviour towards repudiation. The former is unwilling, since the 17th february 2004, to recognize in France any effect to muslim repudiations for it is considered as an attempt to the principle of equality between spouses. The latter guarantees the unilateral and discretionary break within the couple
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Jeunes amours aux âges avancés : exploration de la mise en couple chez les sexagénaires

Dauphinais, Chloé 05 1900 (has links)
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