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Bien et principe chez platon / Good and Principle in Plato / Bien y principio en Platón

Ramón Cámara, Begoña 15 January 2016 (has links)
La thèse de doctorat Bien et principe chez Platon, écrite par Begoña Ramón et dirigée par les Professeurs Tomás Calvo et Francis Wolff, vise à combler une lacune dans les études sur l’Idée du Bien chez Platon. En fait, bien qu’on ait beaucoup écrit sur le Bien chez Platon, cette question d’intérêt constant n’a jamais été étudiée de manière adéquate et suffisante. Le présent travail tente d’apporter pour la première fois une définition du contenu et du sens du Bien claire, précise et systématique, qui permette d’expliquer la fonction fondatrice de cette Idée dans la philosophie de Platon tant pour l’éthique, la politique, la théorie de la connaissance que pour l’ontologie. Selon la méthode suivie dans ce travail, cette définition doit être inférée des textes mêmes de Platon plutôt que d’une spéculation sur ce qu’on appelle « les doctrines non écrites » du philosophe. En ce sens, on trouvera dans ce travail une interprétation de toute la philosophie de Platon — comprise comme un système unitaire et cohérent — basée sur une étude détaillée de dix dialogues fondamentaux pour le problème du Bien qui couvrent toutes les phases de la pensée platonicienne, à savoir, le Lysis, le Gorgias, le Phédon, le Banquet, la République, le Parménide, le Politique, le Philèbe, le Timée et les Lois. / The doctoral thesis Good and Principle in Plato, written by Begoña Ramón and supervised by Prof. Tomás Calvo and Prof. Francis Wolff, fills a gap in the studies on the Idea of Good in Plato. Although a great deal has been written about the Good in Plato, this topic of permanent interest has never been studied in an adequate and sufficient way. The present work tries to provide for the first time a clear, precise and systematic definition of the content and meaning of Good that can explain the function that this Idea fulfills in Plato’s philosophy as the foundation of ethics, politics, theory of knowledge and ontology. According to the method followed in this work, that definition must be inferred from Plato’s texts themselves rather than from his so-called “unwritten doctrines”. Therefore, this dissertation offers an interpretation of Plato’s philosophy—understood as a unified and coherent system—based on a detailed study of ten dialogues that are essential for the problem of Good and that encompass all the phases of Plato’s thought, i. e., Lysis, Gorgias, Phaedo, Symposium, Republic, Parmenides, Statesman, Philebus, Timaeus, and Laws.
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Un platonisme original au XIIe siècle : métaphysique pluraliste et théologie trinitaire dans le De unitate d'Achard de Saint-Victor / An Original XIIth-century Platonism : plural Metaphysics and Trinitarian Theology in the De unitate of Achard of Saint-Victor

Lystopad, Iryna 17 December 2016 (has links)
La thèse porte sur la façon dont le De unitate et pluralitate creaturarum d’Achard de Saint-Victor recourt aux doctrines médio et néoplatoniciennes pour résoudre la question d’une coexistence de l’unité et de la pluralité en Dieu et dans les créatures. L’enjeu est ainsi de mieux comprendre la place de la métaphysique platonicienne dans l’école de Saint-Victor, et ce malgré la rareté des sources au XIIe siècle, œuvres de Platon ou de ses disciples grecs. La première partie introduit d’abord à la philosophie d’Achard et aux problèmes paléographiques et philologiques que soulève le manuscrit unique du De unitate ; puis elle déconstruit cet ouvrage en ceux de ses éléments (questions, doctrines, notions) qu’il emprunte au médio et au néoplatonisme. Les deux autres parties examinent comment pour Achard une pluralité est possible : en Dieu (pluralité de personnes, de raisons dans le Verbe) et dans le monde (en tant qu’il est connu par Dieu par les formes-prototypes). Chaque partie examine comment les principaux penseurs tardo-antiques et alto-médiévaux (Apulée, Augustin, Calcidius, Boèce, Erigène) et les auteurs victorins, Hugues et Richard de Saint-Victor ont repris les éléments platoniciens étudiés dans la première partie. Ensuite est proposée une reconstruction de la réponse d’Achard. La thèse contribue à résoudre deux problèmes de l’histoire de la philosophie : quels éléments et sources platoniciens ont été reçus au XIIe siècle et quelle place la pensée victorine fait-elle à l’héritage platonicien. Les problèmes philosophiques soulevés sont la multiplication des objets intelligibles et sensibles, la définition de la chose et l’identité des êtres. / The main goal of this dissertation is to describe how Achard of Saint-Victor uses Medio and Neoplatonic doctrines in his treatise De unitate et pluralitate creaturarum in order to answer the question about unity and plurality of God and his creatures. This will lead to a better comprehension of the role of platonic metaphysics in the doctrine of the school of St. Victor despite the weak presence of Plato’s heritage in the XIIth century. In the first part of the thesis, I introduce Achard’s philosophy and the paleographical and philological problems posed by the only manuscript of the De unitate. Then I consider the elements of the treatise (questions, doctrines, notions) which were borrowed from Middle Platonism and Neoplatonism. The two other parts are dedicated to the examination of the possibility of a plurality in God (persons and reasons in the Word of God) and in the world (as it is conceived by God through form-prototypes). In each part, I examine the way that main thinkers of Late Antiquity and High Middle Ages (Apuleius, Augustin, Chalcidius, Boethius, Erigena) and the Victorins (Hugues and Richard) absorbed the platonic doctrines described in the first part of my dissertation. At the end of each part, I propose the reconstruction of Achard’s development of those doctrines.This dissertation contributes to two problems of the history of philosophy: what Platonic doctrines and sources were received in the XIIth century and what is the place of the Platonic heritage in Victorin thought. The philosophical problems of the multiplication of intelligible and sensible objects, of the definition of things and of the identity of beings are also addressed.
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Apichatpong Weerasethakul entre réalité et imaginaire / Apichatpong Weerasethakul between reality and imagination

Lee, Sun-Woo 20 June 2017 (has links)
Cette étude est consacrée à l’analyse de la coexistence de la réalité et de l’imaginaire dans l’œuvre d’Apichatpong Weerasethakul. Les modalités de rencontre et de croisement de ces deux dimensions dans un film ou entre des films sont éclaircies à travers des observations pratiques et détaillées. Partant de l’analyse de l’influence de deux cultures différentes – la sensibilité autochtone thaïlandaise et la tendance du cinéma expérimental occidental – nous envisageons d’une part les modalités de captation des scènes de la vie réelle et d’autre part la manière de découvrir et de révéler le côté invisible qui entoure ce champ visible. La narration filmique est représentée de manière diverse en déviant de la règle classique. Dans le processus de formation d’une histoire, des matières hétérogènes sont englobées et des textes divers sont connectés. Par ailleurs, l’univers flexible et libre de Weerasethakul présuppose toujours des temps multiples virtuels, caractéristique essentielle que l’on retrouve dans toutes ses œuvres, des courts-métrages aux installations en passant par les long-métrages. Par conséquent, la distinction entre la dimension réelle et la dimension irréelle/surréelle perd en clarté ; la ligne de distinction est quasiment annulée. Le réalisateur propose ainsi une autre vision du monde se basant sur la tradition bouddhique thaïlandaise qui pourrait sembler absurde du point de vue du rationalisme moderne de l’Occident. En traversant ainsi les discussions autour du monde hybride de Weerasethakul, cette étude a pour ambition de démontrer que son cinéma (re)trouve la beauté et la puissance de la réalité à travers l’imaginaire. / This study is about the analysis of the coexistence of reality and imagination in the work of Apichatpong Weerasethakul. The modalities of encountering and crossing of these two dimensions in a film or between films are clarified through practical and detailed observations. On the basis of an analysis of the influence of two different cultures – the Thai indigenous sensibility and the tendency of Western experimental cinema –, we search on the one hand the modalities of capturing the scenes of real life, and on the other hand how to discover and reveal the invisible side that surrounds this visible field. The narrative of his films is represented in a diverse way by deviating from the classical rule. In the process of forming a narrative, heterogeneous materials are embraced and various texts are connected. Moreover, the flexible and free world of Weerasethakul always presupposes virtual multiple times, an essential characteristic that can be found in all his works, from short films to installations to the feature films. Therefore, the distinction between the real dimension and the unreal / surreal dimension loses clarity; the line of distinction is virtually canceled. The filmmaker thus proposes another view of the world based on the Thai Buddhist tradition that might seem absurd from the point of view of modern rationalism of the West. By crossing the discussions around the hybrid world of Weerasethakul, this study aims to demonstrate that his cinema (re)finds the beauty and power of reality through the imagination.
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De l’idée olympique à l’olympisation : construire un citoyen exemplaire (1892-1920) / From the olympic idea to olympization : how to build an exemplary citizen (1892-1920)

Polycarpe, Cyril 09 December 2016 (has links)
L'idée olympique développée par Pierre de Coubertin s'avère être un projet de reconstruction démocratique de l'histoire politique et de l'éducation physique et sportive de 1892 à 1920. Ancré dans le période des révolutions industrielles et de l'avènement de l'État-nation, ce travail heuristique vise à décrire un processus d'actions dans la formation d'un citoyen exemplaire. Cette mission est accomplie grâce à l'importance et au charisme de Pierre de Coubertin, véritable initiateur et idéologue, ainsi que grâce à ses réseaux. Les pratiques culturelles et sportives créées sont diffusées par le biais de divers concepts (sociabilité, réseaux, rapports de pouvoirs et le jeu démocratique) à travers les Jeux et le CIO. Croisant des sources variées et originales, notre étude révèle que le processus inhérent à la renommée de l'œuvre de Pierre de Coubertin tient à trois indicateurs complémentaires. Premièrement, le succès de cette idée spécifique est dû à la personnalité et au parcours de vie de l'inspirateur, doté de réseaux utiles et multiples. Deuxièmement, Pierre de Coubertin fédère des acteurs internationaux et s'appuie sur un noyau d'hommes, les cooptés du Comité international olympique, pour créer une identité de groupe dans cette organisation. Le comité possède des spécificités politiques, éducatives, sportives et sociales suffisantes pour promouvoir un message d'envergure au sein d'espaces géographiques internationaux. Le Baron utilise les réseaux, les structures sociales et les échanges interpersonnels pour convaincre, légitimer et diffuser son projet de citoyen exemplaire. Enfin, il s'attache, à promouvoir son modèle en tirant profit de la modernité et de la force des espaces démocratiques lancés dans une «course au progrès et à la reconnaissance». Notre travail articule majoritairement ces trois logiques explicatives pour comprendre la naissance de l'idée olympique d'envergure internationales de 1892 à 2896, son développement entre 1897 et 1914 et enfin la fin de l'idée olympique idéale en 1920 pour laisser place au spectacle sportif. / The Olympic idea as it was developed by Pierre de Coubertin happens to be a project whose aim was to rebuild a democratic political history of physical education from 1892 to 1920. Anchored in the era of industrial revolutions and of the birth of the nation-State, this heuristic work aims at describing a process of actions in the creation of an exemplary citizen. Such a mission was accomplished thanks to the important charisma of a man, Pierre de Coubertin, who was also the father of the idea and an ideologist thanks to his network of acquaintances. The cultural and sporting practices that were created were spread through diverse concepts (sush as sociability, networks, power relations and democracy) both with the Games and the IOC. This study mixes different sources so as to reveal the process that was linked to Pierre de Coubertin's work in three complementary indicators. First, the success of this specific idea is due to the originator's personality and very life, whose network of acquaintances was decisive. Then Pierre de Coubertin federated international actors by relying on a group of men - those who were co-opted in the IOC - so as to create a group identity within the comittee. Indeed, the Committee possesses politicaln educational, sporting and social specificities that helped to spread the message within international geographic spaces. To finish, Pierre de Coubertin endeavored to promote his model by taking advantage from the modernity and the strength of the democratic spaces that were then launching into a "race to progress and to recognition". Our work uses these three logics to understand the birth of the olympic idea worldwide from 1892 to 1896, its development between 1897 and 1914 and eventually its en 1920 to make room for sports show.
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De l’Encyclopédie des Nuisances à la pensée anti-industrielle : retour sur la construction idéologique d’une utopie contemporaine. / from the “Encylopédie des Nuisances” to the “anti-industrial” thought : study of the ideological construction of a contemporary utopian vision

Tourreilles, Aurélien 11 January 2019 (has links)
L’Histoire de la gauche radicale en France connaît deux influences majeures souvent considérées comme incompatibles : le marxisme et l’anarchisme (ou la pensée libertaire). Pourtant face aux échecs répétés des tentatives révolutionnaires à base prolétarienne en Europe, et au manque de « poids » des théories libertaires au sein de la contestation radicale du monde contemporain, la « gauche révolutionnaire traditionnelle » semble aujourd’hui être « dépassée » voire « démodée ». Si depuis les évènements de Mai 68 nombre de courants radicaux de gauche, parfois appelés « ultra-gauche », sont apparus en France, il semblerait qu’émerge aujourd’hui, au sein de la gauche radicale, contestataire et révolutionnaire une volonté de s’unir autour d’une ambition commune : faire la Révolution. C’est d’ailleurs ce que tentent d’expliquer Olivier Besancenot et Michael Löwy dans leur ouvrage intitulé : Affinités révolutionnaires . Souvent associés dans la lutte, les partisans de ces deux écoles de pensée semblent se séparer sur le plan des idées. D’inspiration marxiste et libertaire la pensée anti-industrielle reflète cette volonté unificatrice. Issu de la contestation radicale de Mai 1968, la pensée anti-industrielle se développe en France au cours des années 1980 à travers la revue Encyclopédie des Nuisances dirigée par Jaime Semprun. Rejetant le marxisme comme dogme et considérant qu’aucune critique radicale ne permet à cette époque de réellement comprendre correctement l’organisation du monde et l’idéologie dominante, les penseurs de l’Encyclopédie des Nuisances souhaite proposer à travers ce Dictionnaire de la déraison dans les sciences, les arts et les métiers, une forme de bilan reprenant les échecs de mai 1968 et « les immenses succès remportés depuis 68 par la domination modernisée » afin de « les voir dans toute leur ampleur et dans leurs conséquences, sans se dissimuler en quoi ils étaient, bien plus qu’une simple restauration, une contre-offensive décisive, achevant de ruiner à peu près tout ce sur quoi la critique sociale avait cru jusque-là pouvoir se reposer » . Par la suite, c’est en Mars 2010 que Manuel Amoros a rédigé un manifeste intitulé Nous les anti-industriels dans lequel il tenta de définir la position des penseurs anti-industriels. Il conclut en définissant la pensée anti-industrielle comme suit : La pensée contre le développement, ou anti-industrielle, ne représente pas une nouvelle mode, une critique purement négative de la pensée scientifique et des idéologies progressistes, ni un vulgaire primitivisme qui proposerait de retourner à un moment quelconque de l’Histoire ou de la préhistoire. Elle n’est pas non plus une simple dénonciation de la domestication du prolétariat et du despotisme du capital. Encore moins est-elle quelque chose mystificatrice comme une théorie unitaire de la société, chasse gardée de la dernière des avant-gardes ou du dernier des mouvements. Elle va plus loin que cela. Elle est le stade le plus avancé de la conscience sociale et historique. C’est une forme déterminée de conscience, de la généralisation de laquelle dépend le salut de l’époque. Si les Encyclopédistes peuvent être considérés comme les premiers auteurs appartenant à la pensée anti-industrielle et le manifeste comme étant le socle théorique de base de cette pensée, il ne faut pas négliger d’autres auteurs et d’autres maisons d’éditions qui se rattachent aujourd’hui à ce courant. Citer tous les auteurs anti-industriels. Constitution de corpus. Une fois ces auteurs « recensés », il est intéressant de noter que cette pensée anti-industrielle semble rassembler l’ensemble des critiques radicales du monde contemporain afin d’en dégager une globale, permettant à la fois d’en saisir toutes les « caractéristiques » et « les nuisances », mais également de définir les bases du monde à venir qui devrait se substituer au monde contemporain. / .This PhD thesis aims at understanding the ideological construction of a revolutionary political thought that came to existence in France during the 1980s. This work is the result of our will to understand – in the Weberian sense of the term – not only what motivated the thinkers of the “Encyclopédie des Nuisances” to start a situational analysis of the social critique of the time, but also the ideological evolution that permitted the development of an anti-industrialist movement at the beginning of the twenty-first century. In 2010, thanks to the anti-industrialist manifesto the movement appeared. Our hypothesis is that the birth of these particular contemporary utopian views is the result of two decisive factors: on the one hand, the disappointment of some activists towards the May 1968 events in France; and on the other hand, the sense of urgency concerning the sophistication of the industrial world through nuclear power, and the new information and communication technology. We argue that these different evolutions seem to lean towards the creation of a contemporary utopian thought offering to readjust the social critique to the new living standards of individuals.
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La pensée religieuse de Maurice Barrès / The religious thought of Maurice Barrès

Jin, Fenghua 04 May 2016 (has links)
Maurice Barrès, en tant qu’un des plus grands maîtres à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle de la France, exerce une grande influence dans la société française. Souvent réduit par la critique d’aujourd’hui au nationalisme, Barrès est cependant plus riche que ce que l’histoire en a retenu puisque sa pensée peut elle-même se décrire comme une trilogie, individualisme, nationalisme, catholicisme. Né dans une famille catholique, il conserve ses racines religieuses et dans son oeuvre, la présence de la religion est partout. Nous pourrions même affirmer que l’œuvre de Maurice Barrès est un exercice spirituel pour connaître la vérité : ses œuvres sont comme des expériences qui vont au bout du compte l’amener vers Dieu. Après l’individualisme et le nationalisme, l’écrivain trouve la voie de son salut dans le catholicisme. La pensée religieuse de Barrès occupe une grande place dans son œuvre, et cet aspect ne doit pas être négligé si l’on veut comprendre le grand écrivain. C’est un sujet riche et intéressant, qui mérite d’être exploité et étudié. De plus, sa pensée est tellement particulière que Barrès, lui-même, s’interroge dans un cahier : « Suis-je croyant ? Suis-je athée ? » Alors, cette étude présente tente à éclaircir la pensée religieuse du grand maître dans une période historique de la France. Et cette période si riche sur le plan des événements intellectuels permet aussi de comprendre mieux la France contemporaine, qui se saisit aujourd’hui à nouveau de mots comme « terre », « racine », « identité », etc. / As one of the greatest writers in the late XIXth and early XXth century in France, Maurice Barrès has greatly influenced the French society. Often reduced to nationalism by critics, however, Barrès is much richer than what history has withheld, since his thoughts could be described as a trilogy : individualism, nationalism and Catholicism. Born in a Catholic family, he retains his religious roots and the religion is clearly omnipresent in his works. The works of Maurice Barrès could be considered as the spiritual exercises and experiences that will ultimately bring him to the Supreme Being - God. After individualism and nationalism, the writer finds his own way of salvation in Catholicism. The religion occupies a large place in the works of Barrès. Nevertheless, this aspect should not be overlooked if we want to better understand his thoughts. The religious thought of Barrès is a rich and interesting topic that deserves to be studied and exploited. His thought is so special in the sense that Barrès questions his beliefs; he says in his personal diary : “Am I a believer ? Am I an atheist ?” This present study attempts to explain the religious thought of the great master during a specific period of French history. This period, which is very rich in terms of intellectual events, enables us to have a better view of contemporary France and the new acceptance of words such as “earth”, “root”, “identity”, etc.
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L’archivage numérique des projets « Europan » comme situation d’analyse scientifique du concours d’idées en architecture

Gomes Alves, Lino José 12 1900 (has links)
Il existe somme toute peu de théories du projet offrant une modélisation construite à partir de la complexité et de la diversité du projet d’architecture. Pourtant,certaines situations rassemblant parfois plusieurs dizaines de projets s’offrent d’elles-mêmes comme des situations comparatives et expérimentales : les concours d’architecture, d’urbanisme et de paysage. Le Laboratoire d’étude de l’architecture potentielle de l’Université de Montréal (Aménagement), après avoir développé un système d’archivage numérique des concours canadiens, a entrepris, avec le soutien du Groupement d’intérêt public « Europe des projets architecturaux et urbains », de développer la base de données documentaire des concours d’idées Europan. Au-delà des questions d’archivage numérique, se profilent clairement des possibilités de théorisation s’appuyant sur les logiques d’une base de données, en particulier sur la constitution du diagramme entités et relations, modélisation indispensable à sa traduction informatique. Cette recherche entreprend une première mise à jour de ces éléments conceptuels et tend à montrer que la base de données est un véritable modèle théorique du projet ouvrant sur de nouvelles avenues de recherche et de connaissance. / There are not many theories of project offering a modeling constructed from the complexity and diversity of the architecture project. However, certain situations bringing together dozens of projects, present themselves as comparable and experimental situations: architectural, urban and landscape competitions. The Laboratoire d'étude de l'architecture potentielle from the Université de Montréal (Environmental Design), having developed a system of digital archiving for Canadian competitions, has undertaken, with the support of Groupement d'intérêt public “Europe des projets architecturaux et urbains”, the development of a database comprised of the documentation of competition ideas of Europan. Beyond the issues of digital archiving, there are clearly theorizing possibilities based on the logic of a database, particularly on the structure of the entity/relationship diagram, an indispensable modeling necessary for its computer translation. This research is undertaking a first update of these conceptual elements and suggests that the database is a theoretical model of the project opening up new venues for research and knowledge.
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"L'idée religieuse" dans l'œuvre de l'intellectuel algérien Malek Bennabi (1905-1973) : une injonction pour la société musulmane de faire l'Histoire / "The religious idea" in the work of the algerian intellectual Malek Bennabi (1905-1973) : an injonction for the Muslim society to make history

El Hamri, Jamel 21 September 2018 (has links)
Assez peu reconnu à son époque et encore largement méconnu aujourd'hui, l'intellectuel algérien Malek Bennabi (1905-1973) a pourtant fait une entrée remarquée dans la vie intellectuelle en Algérie avec sa notion de "colonisabilité " en 1949. Il se fera connaitre ensuite dans le monde musulman notamment avec ses définitions fonctionnelles de la culture et de la civilisation. Néanmoins, sa conception réformiste de la religion, nommée " idée religieuse " et ayant une fonction sociale, a été très peu analysée. Or, elle est la clé de voûte de la compréhension de la pensée de Bennabi. Pour lui, " l'idée religieuse " doit être une idée vécue comme une " vérité travaillante ", authentique avec l'islam et efficace dans le monde moderne. Il mélange des savoirs issus à la fois de la Tradition musulmane et des sciences humaines et propose de connecter l'islam authentique avec l'esprit technique cartésien. Ainsi, dans un contexte de décolonisation, Bennabi veut réaliser, par le déploiement moral et social de " l'idée religieuse " un projet de société pérenne, prospère et ouvert sur la civilisation humaine. Par le biais de cette notion " d'idée religieuse ", nous proposons, tout d'abord, de situer Bennabi dans l'histoire de l'Algérie mais aussi de l'islam contemporain. Nous voulons ensuite comprendre les fondements et les finalités de sa pensée qui est singulière au sein du réformisme musulman. Ce qui permettra enfin de mesurer l'impact de " l'idée religieuse " dans son projet de société sur trois niveaux de réflexion ; l'homme, la société, l'humanité. / Although he is not really recognized by his contemporaries and still largely unknown today, the Algerian intellectual Malek Bennabi (1905-1973) nevertheless made a remarkable entry into the intellectual life in Algeria with his notion of "colonisabilité ". Then, he will be known in the Muslim world with its functional definitions of culture and civilization. Thus, his reformist conception of religion, having a social function, which he called "religious idea", was ignored. It is, however, the keystone of the understanding of Bennabi's thinking. For him, "The religious idea" must be an idea lived as a "working truth", being authentic with Islam and effective in the modern world. He mixes the knowledge of the Muslim Tradition with the human sciences and proposes to connect his vision of an authentic Islam with the Cartesian technical spirit. Moreover, in a context of decolonization, Bennabi wants to realize, by the moral and social deployment of the "religious idea", a project of sustainable society, which he sees as being prosperous and open to human civilization. Through this concept of "religious idea" we propose, first of all, to question the place of Bennabi in the history of Algeria but also of contemporary Islam. Then, we want to question the foundations and the purposes of his thought which is singular in Muslim reformism. Finally, this will allow us to measure the impact of the "religious idea" in its project of society on three levels of reflection: man, society, humanity.
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/Répétition/ (mot barré) : la non-représentation du vouloir-dire et le dernier retour de l’histoire de l’art par le dispraître / /Repetition/ (crossed) : non-representation of “vouloir-dire” and the Last Return of the History of Art by Disappearing

Son, Ji min 28 June 2017 (has links)
Dans sa provenance platonicienne, l’idéal de l’incarnation de l’Idée doit à la fois affronter des individualités (pré)déterminées et qualitativement différentes (le pluralisme) – qui sont répétitions et répétées elles-mêmes. Il doit devenir le vouloir-dire de la personne qui s’efforce de mettre en œuvre ce dernier et qui cherche à franchir les limites ontologiques de la représentation. Cependant, l’irréalisabilité de la pure répétition du vouloir-dire – ou de n’importe quel « sujet » – atteste de la présence absente du même dans le processus de sa mise en œuvre ; la répétition est toujours déjà répétition différenciatrice, son acte même toujours susceptible d’être perçu comme mimétique en pratique. Lorsque nous « créons », nous cherchons une différence absolue (singularisation) tout en visant l’universalité du vouloir-dire, l’Univocité. Autrement dit, c’est l’inévitabilité de la répétition différenciatrice (« nouveauté ») qui se répète et tend vers un dernier résultat censé être absolument univoque et intersubjectivement compris et jugé. Cette inévitabilité signifie-t-elle une (ou la dernière) impasse théorique – une « fin » – insurmontable ? Comment les artistes, les historiens d’art et les philosophes s’y prennent-ils ? Entre l’origine et le futur de l’art, quelle puissance de la répétition devrait-on y chercher pour ne plus répéter « une répétition pour toute » ? / From its Platonic source, the ideal of embodiment of Idea must face individualities which are (pre)determined and qualitatively different – and are themselves repetitions repeated. It must become “what-is-wanted-to-be-said” or “meaning” (“vouloir-dire”) of the person who endeavors to realize it and to attempt to exceed the ontological limits of representation. Meanwhile, the unrealizability of pure repetition of the “vouloir-dire” – like any other “subject matter” – testifies to the absent presence of the same in the process of its realization; each and every repetition is always already a differential repetition, and its act itself always susceptible to be taken as mimetic in practice. When we “create”, we search for the absolute difference (singularization) while aiming at a universality of the “vouloir-dire”, Univocity. Put another way, it is the inevitability of the differential repetition (“newness”) that repeats itself and moves towards the last outcome that is meant to be unique in itself and intersubjectively understood and judged. Does this inevitability point towards a (or the last) insurmountable theoretical stalemate – “an end”? How do artists, art-historians, and philosophers deal with this problem? Between the origin and the future of art, what sort of force of repetition do we have to look for in order to finally no longer repeat “one repetition for all”?
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A filosofia da natureza em Hegel : um estudo da relação entre o lógico e o natural no contexto de um idealismo absoluto

Menk, Tomás Farcic January 2016 (has links)
Cette thèse propose étudier le passage entre la Science de la Logique et la Philosophie de la Nature sur le contexte de l'Encyclopédie des Sciences Philosophiques de 1830 et de la Science de la Logique de Hegel. Étant donné les plusieurs possibilités interprétatives de ce passage, on argumente qu'il existe une structure logique-métaphysique dont permet la connaissance de la nature en tant que science. À cette fin, on démontre que : 1 - La logique hégélienne a un double aspect, en tant que (la) logique [die Logik] et comme (le) logique [das Logische], logique celui qui se manifeste comme un discours spéculatif. 2 - Le logique, en tant que discours spéculatif, révèle logicité propre du naturel et l’unifie avec la logicité du penser. 3 – On oppose notre lecture à la lecture non-métaphysique de Hegel, qui nie le besoin d'une logique métaphysique pour comprendre la nature systématique du naturelle. En bref, ce travail est destiné à démontrer qu'il est possible de penser le naturel d'une façon aprioristique (ou métaphasique) sans que cela configure une projection ou adaptation du naturel au penser, mais aussi, une ampliation des déterminations du penser vers les choses naturelles. / Esta tese propõe analisar a ampliação da Ciência da Lógica para Filosofia da Natureza no contexto da Enciclopédia das Ciências Filosóficas de 1830 e da Ciência da Lógica de Hegel. Dado as várias possibilidades interpretativas dessa ampliação, argumentamos que existe uma estrutura lógico-metafísica na realidade que permite conhecer a natureza enquanto ciência. Para tanto, iremos demonstrar que: 1 – Que a lógica hegeliana tem um duplo aspecto, enquanto a lógica (die Logik) e enquanto o lógico (das Logische), lógico este que se manifesta como um discurso especulativo. 2 – Que o lógico enquanto discurso especulativo desvenda a logicidade própria do natural e a unifica com a logicidade do pensar. 3 – Iremos contrapor nossa leitura a leitura não metafísica de Hegel, que nega a necessidade de uma metafísica lógica para compreender a sistematicidade do natural. Assim, tentaremos demonstrar que é possível pensar o natural de forma apriorística (ou metafísica) sem que isso configure uma projeção ou adaptação do natural ao pensar, mas sim, uma ampliação das determinações do pensar as coisas naturais. / This thesis studies the passage from the Science of Logic to the Naturphilosophie in the context of Hegel’s Encyclopedia of the Philosophical Sciences (1830) and Science of Logic. Due to the many possible interpretations of this passage, we argue that there is a logical-metaphysic structure in reality that makes it possible to know nature while science. For this purpose we demonstrate hereby that: 1 – Hegelian logic has a double aspect, while logic (die Logik) and logical (das Logische), the latter manifesting itself as speculative speech; 2 – the logical while speculative speech unravels the logicality inherent to the natural and unifies it with the logicality of thinking; 3 – we contrast our interpretation with Hegel’s non-metaphysic interpretation, which denies the necessity of logic metaphysics to understand the systematicness of the natural. Thus, we attempt to demonstrate that it is possible to think about the natural a priori (or metaphysically) without it being considered a projection or adaptation of the natural to thinking, but an expansion of the determinations of thinking the natural things.

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