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La reconnaissance malheureuse : de l’individu au collectif / The unfortunate recognition : from the individual to the collective

Segura, Eva 31 October 2015 (has links)
La reconnaissance est généralement présentée soit comme une réussite soit comme un échec. Pourtant, les nombreux défis qui se présentent actuellement aux sociétés démocratiques occidentales obligent à chercher une porte de sortie à cette alternative tragique. Comment échapper au malheur de la reconnaissance ? La reconnaissance est le concept phare d'un ensemble de théories et de politiques très variées. Elle repose sur des identités et cultures à la base de la diversité. La diversité est la notion derrière laquelle se trouvent des politiques officielles et non-officielles de pluralisme, c'est-à-dire de promotion de la diversité. C'est là le cœur d'un problème majeur, à l'intersection entre politique, sociologie et philosophie. D'un côté la reconnaissance fige les facteurs de diversité ; de l'autre, la diversité, caractérisée par une prolifération d'identités et de cultures potentiellement variables au cours du temps et en partie fluides, bloque le processus de reconnaissance. Comment alors conjuguer diversité et reconnaissance ? En effet, la diversité empêche la reconnaissance et la reconnaissance empêche la diversité. L'une fait obstacle à l'autre. Introduire l'opérateur de l'échec dans le rouage de la diversité et de la reconnaissance permet d'identifier les zones les plus problématiques : les fondements même de la reconnaissance, les modalités de la non-reconnaissance, et la question de la violence, véritable angle-mort des théories et des politiques les plus courantes. Partant de ces difficultés, et après un travail de déconstruction, nous proposons une piste de reconstruction de la reconnaissance ainsi renouvelée, formée de trois pans, sous-tendus par le postulat d'une auto-détermination radicale des individus et des groupes. Le premier pan repose sur la séparation. Elle est résistance à l'uniformisation et à la conversion sous la forme, par exemple, d'une injonction à l'assimilation. Le deuxième pan concerne la diversité comme postulat d'une nouvelle politique de reconnaissance repensée à partir de la diversité. Les conséquences sont plus profondes au niveau individuel que collectif. Le troisième pan a trait au poids du passé dans la reconnaissance : désormais cette reconnaissance-là est sans réconciliation, sans rachat et sans réparation. Elle n'est plus un outil, mais une modalité des relations intersubjectives. Il ne s'agit pas d'ignorer les tragédies passées, bien au contraire ; mais plutôt de les prendre en compte pour élaborer un concept tourné vers l'avenir. / Recognition is typically presented either as a success, or as a failure. However the many challenges presented to Western democratic societies require that we look for a way out of is tragic duality. How can one escape the misfortune of recognition? Recognition is the foundational concept of a diverse array of theories and policies. It is based on the interplay among various identities and cultures which collectively constitute diversity. Diversity is the concept on which official and unofficial policies of pluralism, that is to say policies to promote diversity, are based. This is the heart of a significant problem at the intersection of politics, sociology and philosophy. On the one hand, recognition crystallizes factors of diversity. On the other hand, diversity as characterized by a proliferation of cultures that are fluid and potentially variable over time, blocks the recognition process. How then to combine diversity and recognition? Diversity prevents recognition and recognition prevents diversity. One precludes the other. Introducing the notion of failure in the interplay between diversity and recognition permits one to identify the most problematic areas: the very foundation of recognition, the terms of non-recognition, and the issue of violence which is the real blind-spot of the most common theories and policies. From these difficulties, and after an exercise in deconstruction, we propose a reconstruction of the concept of recognition, a renewed track, consisting of the sections underpinned by the postulate of the radical self-determination of individuals and groups. The first aspect rests on separation. Separation is resistance to conformity and conversion in the form, for example of an obligation to forced assimilation. The second aspect concerns diversity as a premise for a new policy of recognition conceived from the standpoint of diversity. The effects of this new policy are more significant at the individual level than at the collective level. The third aspect relates to the importance of the past assigned to recognition. This redesigned concept of recognition is without reconciliation, without atonement, and without compensation. This is not to ignore past tragedies, quite the contrary; but rather to take them into account in order to look to the future.
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L'intégration différenciée à l’emploi au Québec chez les immigrantes issues de l’Afrique subsaharienne francophone et non francophone, et des Antilles francophones et non francophones

Hanane, Allamine Alhadj 04 1900 (has links)
No description available.
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Anthropologie d'une construction identitaire et territoriale : le cas des Vallées occitanes d'Italie / Anthropology of an identity and territorial construction : the case of the Italian Occitan Valleys

Chiarini, Silvia 01 December 2016 (has links)
L'objectif de ce travail est d'appréhender l'émergence et l'affirmation du territoire des Vallées occitanes d'Italie et le processus de construction identitaire qui le sous-tend. En partant d'une « protohistoire » de la revendication d'oc jusqu'à une ethnographie du présent, cette enquête prend en compte les représentations revendiquées et/ou visibles de la culture, de l'identité et du territoire et donc les discours et les pratiques des « entrepreneurs identitaires », que sont en premier lieu les occitanistes. La délimitation des frontières ethno-linguistiques, la création et la diffusion de symboles, la construction d'un patrimoine musico-chorégraphique, d'une architecture occitane et d'un « occitan imaginé », constituent les principaux procédés mis en œuvre à cet effet. L'institutionnalisation de la revendication au cours des années 1990, qui aboutit à la promulgation d'une loi reconnaissant une « minorité occitane » dont l'État italien protège « la langue et la culture » (1999), a impliqué aussi l'analyse des usages sociaux et politiques du « fonds patrimonial » élaboré par les militants à l'extérieur des groupes revendicatifs. Celui-ci est dès lors mis au service du développement du territoire en un double souci identitaire et économique à travers la réalisation d'une politique culturelle et linguistique institutionnelle, la création de produits et labels à connotation occitane et la mise en tourisme d'un territoire jusqu'alors dépourvu d'éléments d'attractivité et de différenciation conséquents. / The purpose of this work is to understand the emergence and affirmation of the Italian Occitan Valleys territory and the identity construction process that underlies it. Starting from a “proto-history” of the oc claim to a present ethnography, this research considers the claimed and / or visible representations of culture, identity and territory, and therefore the speeches and the practices of “identity entrepreneurs” that are primarily the occitanists. The demarcation of ethno-linguistic border, the creation and diffusion of symbols, the construction of a musical-choreographic heritage, as well as an Occitan architecture and an “imagined Occitan” language, are some of the processes implemented by the occitanists to this end. The institutionalization of the claim in the 1990s, which resulted in the enactment of a national law officially recognizing the “Occitan minority” (1999), also involved to lead the analysis of social and political uses of “heritage fund” developed by activists outside the protest groups. This last one has been therefore dedicated to territory development with a double identity and economic concern, through the implementation of a cultural and linguistic institutional policy, the creation of economic activities and labels with Occitan patterning, and the launching for tourism of a territory devoid of substantial elements of attractiveness and differentiation.
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Évolution de la prise en compte et du traitement des anciennes et nouvelles minorités dans le cadre des systèmes de l'OSCE et du Conseil de l'Europe : "nouvelles minorités" : nouveaux concepts, nouveaux enjeux de la nouvelle Europe / Evolution of the treatment of old and new minorities in the framework of OSCE and Council of Europe : "new minority" : new concept, new challenge of the new Europe

Eminoğlu, Nihal 10 November 2015 (has links)
Ce travail s’intéresse à la notion de « nouvelle minorité » surgie dans les années 2000 et traitée initialement par l’OSCE. Ce nouveau concept repose sur deux notions : celle de minorité et celle d’immigré. Ces deux concepts sont à l’origine de la naissance d’une nouvelle catégorie : la « nouvelle minorité issue de l’immigration », incluant les immigrés, leurs descendants et les réfugiés en Europe. Cependant notre travail se concentre sur les deux premiers groupes, c’est-à-dire les immigrés et leurs descendants et sur la relation de ces groupes avec la société d’accueil ainsi que avec l’Etat dans lequel ils vivent. Pour ce faire, après clarification du concept de minorité et comparaison entre nouvelles minorités et minorités nationales, en passant par un aperçu historique pour montrer l’évolution de la notion de minorité, nous arriverons à la question de la protection des « nouvelles minorités » et à celle de son intégration. / This work focuses on the concept of « new minority » which surfaced in the 2000s and wasinitially analysed by the OSCE. It is a new concept hinging on two notions, minorities and immigrant, which are the factors driving the emergence of this new category: the « new minority from immigrant backgrounds », which includes immigrants, their descendants and refugees in Europe. Our study concentrates more specifically on the first two of these groups, immigrants and their descendants, and on these groups' relationship with the host society as well as the State in which they live. After clarifying the notion of minority and drawing comparisons between new minorities and national minorities, then tracing out a historical overview showing how the notion of minority has evolved, we will arrive at the questions of the protection of the « new minorities » and their integration.
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Les minorités religieuses, la neutralité de l'État et les accommodements raisonnables en France et au Royaume-Uni / Religious minorities, state neutrality and reasonable accomodations in France and Great britain

Ouamba-Patas, Joseph-Nestor 28 March 2013 (has links)
Le pluralisme religieux est une réalité objective au Royaume-Uni et en France. Les minorités religieuses, demeurent un sujet récurrent qui suscite d’intarissables réflexions, d’études, de débats scientifiques et politiques. Elles sont une véritable préoccupation pour le politique, l’Europe et l’Etat ; à telle enseigne qu’il faille s’interroger sur ce que l’Etat peut leur proposer comme meilleure protection au XXIème siècle. La France et le Royaume-Uni sont confrontés à ce défi. Outre, la neutralité de l’Etat au regard de la religion rend complexes les rapports de ces minorités religieuses avec l’Etat en France où le concept de minorités religieuses n’est pas connu du droit français en vertu du caractère laïque de l’Etat français proclamé par l’article 1er de sa Constitution et la loi du 9 Décembre 1905 de la Séparation de l’Etat et de l’Eglise. Les minorités religieuses sont un non-sujet en droit français. Mais au Royaume-Uni, les minorités qualifiées de confessions religieuses sont reconnues quand bien même l’Eglise Anglicane est l’Eglise établie et officielle, avec à sa tête la Reine Elizabeth II. Il n’y a pas de séparation entre l’Eglise et l’Etat. En Ecosse, l’Eglise Presbytérienne fait figure d’Eglise établie, mais séparée de l’Etat. Aussi, toujours liée aux minorités religieuses, la question de l’application du principe d’ajustement raisonnable pour écarter des cas de discrimination en matière religieuse. L’ordre juridique britannique connaît ce principe et l’applique. Alors qu’en France, ce principe est ignoré et fait l’objet d’une application purement informelle. Certes, la globalisation apporte des faits positifs en Europe et notamment dans ces deux Etats, mais elle contient aussi des risques auxquels il faut prêter attention au XXIème siècle. Ainsi, les minorités nationales, les communautés linguistiques et les différentes unités constitutives de l’Etat demandent, en faisant appel au principe de la diversité, la reconnaissance de leurs droits collectifs, une multiplication des structures régionales et le perfectionnement de leurs prérogatives. L’apparition des « nouvelles minorités », celles des immigrants posent de nouvelles difficultés. En pratique, la religion historique du pays est privilégiée. Les religions pratiquées par les immigrés – Islam, Bouddhisme, Hindouisme, etc – sont alors l’objet d’une discrimination plus ou moins forte. Le besoin de visibilité de ces religions – et de l’Islam en occurrence – remet en cause le cadre fixé à la fin du XIXème siècle qui régit le fonctionnement des religions dans les divers Etats. Cette évolution touche plus durement les Etats laïcs de tradition catholique comme la France que les pays de tradition protestante où la place du religieux dans l’espace public est par tradition plus facilement acceptée comme le Royaume-Uni. Il faut aussi considérer que les religions importées par les populations migrantes sont souvent des « ethno-religions ». L’enjeu identitaire y est considérable, et il tend même à se substituer à celui de la liberté de croyance. Le Royaume-Uni et la France s’inscrivent dans ce registre à propos de leurs minorités religieuses. / Religious pluralism is an objective reality in France and Great-Britain. The religious minorities remain a recurring subject which inexhaustible reflections, studies, scientific and political debates. They show real concern to policymakers, Europe and State; so much so that it is necessary to wonder about what the State can propose them as better protection in the XXIst century. France and Great-Britain are confronted with this challenge. Besides the neutrality of the State with regard to the religion, makes complex relationships of these religious minorities with the State in France; where the concept of religious minorities is not known of French Law by virtue of the secularity – laic – character of the French State proclaimed by the 1st article of its Constitution and the Law of December 9th, 1905 of the Separation of the State and the Church. The religious minorities are no-subject in French Law. But in Great-Britain, the qualified religious, minorities of religious confessions are recognized when well even the Church of England is established and official Church with at its head Queen Elizabeth II. There is no separation between the Church and the State. In Scotland, the Kirk as considered as established Church and separated from the State. Also, always related to religious minorities, the question of application of reasonable principle of accommodation to draw aside from the cases of discrimination out of religious matter. The British legal order knows this principle and applies. Whereas in France this principle is ignored and is the object of purely abstract application. Admittedly, the globalization brings positive facts to Europe and in particular in these two States, but it contains also risks for which it is necessary to pay attention to the XXIst century. Thus, the national minorities, the speech communities and the various constitutional units of the State require, by calling on the principle of diversity, recognition of their collective rights, a multiplication of regional structures and improvement of their prerogative. The appearance of the “new minorities”, those of immigrants raises new difficulties. In practice, the historical religion of the country is often privileged. The religions practiced by immigrants – Islam, Buddhism, Hinduism, etc – are then the object of more or less strong discrimination. The need for the visibility of these religions – Islam I occurrence – calls into question the framework fixed at the end of XIXth century which governs the operation of religions in the various States. This evolution touches hardly the secular States of Catholic tradition like France, than the countries of Protestant tradition where the place of religious in public space is by tradition more easily accepted like Great-Britain. It as should be considered as the religions imported by migrant populations are often “ethno-religions”. The identity challenge is considerable there, and it even tends to replace that of freedom of belief. Great-Britain and France fall under this register in connection with their religious minorities.
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Les Arméniennes de l'Empire ottoman à l'école de la France (1840-1914) : stratégies missionnaires et mutations d'une société traditionnelle / The Armenians of the Ottoman Empire at the School of France (1840-1915) : missionary strategies and changes from a traditionel society

Coutant, Paulette 16 November 2017 (has links)
A travers l’étude de l’éducation des jeunes Arméniennes, ce travail permet d’éclairer les évolutions culturelles et sociales d’une des minorités de l’Empire ottoman, avant sa disparition lors du génocide de 1915. Au début du XIXe siècle, les missionnaires protestants américains furent les pionniers dans la formation féminine au moment où les élites arméniennes se montraient aussi soucieuses du progrès de la nation par l’instruction. Les congréganistes catholiques français présents depuis des siècles auprès des chrétiens orientaux cherchent à réagir face à cette vigoureuse concurrence. Ils font appel à des religieuses des provinces de France, capables de s'adapter à des situations précaires. Pénétrer dans les familles, former la jeune fille, future mère, c'est permettre l'enracinement d'une culture catholique de tradition française. Le cadre chronologique, allant de 1840 à 1915, englobe la période de la présence des missions féminines dont l’action a été moins étudiée que celle des ordres masculins. La recherche s'appuie sur des archives publiques (diplomatiques et nationales) et surtout religieuses des ordres concernés (Dames de Sion, Franciscaines de Lons-le-Saunier, Oblates de l’Assomption, Sœurs de Saint-Joseph de l’Apparition, Sœurs de Saint-Joseph de Lyon, Capucins, Frères des Ecoles chrétiennes, Jésuites à Vanves et à Rome, Œuvres Pontificales missionnaires à Lyon), le plus souvent inexploitées, ainsi que sur la presse et les témoignages d’époque. Piliers des établissements catholiques français des zones rurales, en Anatolie orientale, mais aussi de ceux des grandes métropoles, de nombreuses Arméniennes acquièrent très jeunes une double culture franco-arménienne devenant ainsi des médiatrices pour la pénétration du savoir et de la culture de la France dans les établissements, et au-delà dans la société de l’Empire ottoman finissant. Des thèmes d’une portée plus générale sont abordés : les stratégies des religieux pour s’implanter et durer en terre musulmane face au frein du pouvoir ottoman et des Eglises nationales, l’évolution du statut de la femme et sa professionnalisation en Orient, l'éclosion d'élites féminines ouvertes à la modernité. En 1920, une page se tourne avec la destruction des écoles missionnaires en Anatolie, en même temps que l'extermination des chrétiens dans cet espace. / Throughout the study of the education of young Armenian girls, this piece of work allows light to be thrown on the cultural and social evolution of one of the minorities of the ottoman Empire, before its disappearance after the genocide of 1915. At the beginning of the 19th century, the American Protestant missionaries were pioneers in guidance of young women at the moment when the Armenian elite showed itself equally concerned about the nation's progress through education. The French Catholic Congregationallsts, present for centuries with the Eastern Christians, are trying to react to this vigorous competition. They made an appeal to nuns from the provinces of France who were capable of adapting themselves to precarious situations. To engage with the families, shape the young girl, a future mother, is to allow the implanting of catholic culture with the French tradition. The chronological framework, from 1840 to 1915, covers the whole period of presence of female missions whose actions were less studied than those of male orders. The research relies on the public archives (diplomatic and national) and above all religious from the relative orders (Ladies of Sion, Franciscaines of Lons-le-Saunier, Oblates of the Assumption, Sisters of St Joseph of the Apparition, Sisters of St Joseph of Lyon, Capucines, Brothers of Christian schools, Jesuits at Vanves and in Rome, missionary Pontifical works at Lyon), the most frequently unexploited along with the press and witnesses of the time. Pillars of the French Catholic establishments in rural areas in western Anatolia but also those of large metropolitan areas, very many Armenian women acquired a dual Franco-Armenian culture, becoming in this way the vehicles for the absorption of French knowledge and culture in the establishment, and further into the society of the Ottoman Empire which was coming to the end. Some themes of a more general view are tackled : the strategies of monks and nuns to implant themselves and last in Muslin territory faced with the restrictions of Ottoman power, the blossoming of elite young girls open to modernity. In 1920, a page was turned with the disappearance of missionary schools in Anatolia at the same time as the disappearance of Christians in this place.
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Direito ao desenvolvimento de comunidades indígenas no Brasil / Le droit au développement des communautés indigênes au Brésil

Anjos Filho, Robério Nunes dos 27 May 2009 (has links)
O presente trabalho versa sobre o direito ao desenvolvimento das comunidades indígenas no Brasil, procurando identificar suas fontes, sujeitos e objeto. Para tanto, buscou-se inicialmente examinar o direito ao desenvolvimento no plano internacional, especialmente no que concerne à possibilidade da sua titularidade ser exercida por minorias e outros grupos vulneráveis. Posteriormente, ainda no âmbito do direito internacional, destacou-se a hipótese de as comunidades indígenas, como espécies de minorias, serem titulares de um direito ao desenvolvimento próprio, com características específicas, apontando-se as fontes, os legitimados passivos e o objeto desse direito. A seguir, verificou-se que todos os elementos do direito ao desenvolvimento das comunidades indígenas também se encontram presentes no direito positivo brasileiro. No plano nacional, suas fontes principais são a Constituição de 1988, os tratados de direitos humanos incorporados à ordem jurídica interna com status supralegal e a legislação ordinária. Já a legitimidade passiva diz respeito ao estado brasileiro, às pessoas jurídicas e às pessoas físicas. Integram o objeto do direito ao desenvolvimento das comunidades indígenas no Brasil os mesmos direitos que o compõem no âmbito internacional: a) o direito à autodeterminação indígena; b) o direito à manutenção da própria cultura; c) o direito à opção por um processo próprio de desenvolvimento; d) o direito ao território indígena e à utilização dos recursos naturais; e) o direito à participação; f) o direito à melhoria das condições econômicas e sociais; g) o direito à saúde; h) o direito à previdência social; i) o direito à educação; j) o direito à subsistência, ao trabalho e à obtenção de renda; k) o direito à cooperação. A maior parte dos direitos acima enumerados correspondem a discriminações positivas de natureza permanente. Finalmente, observou-se que o direito ao desenvolvimento das comunidades indígenas não é absoluto, podendo entrar em colisão com outros direitos constitucionais, situação que deve ser solucionada pelos mecanismos adequados, anotando-se que quando for utilizada a técnica da ponderação de interesses há uma tendência no sentido de que a intensidade das limitações impostas aos bens ligados aos princípios do direito constitucional indigenista será menor do que aquela que incidirá sobre os bens que lhes forem opostos. / Le présent travail sagit du droit au développement des communautés indigènes au Brésil, surtout, de ses fondements, sujets et objet. Dabord, le droit au développement a été analysé dans le plan international, principalement la reconnaissance de ce droit aux minorités et aux groupes vulnérables. En suite, encore dans la perspective du droit internacional, on a remarqué lhypothèse des communautés indigènes, comme type de minorité, aient un droit au developpement propre, avec ses fondements, créanciers, débiteurs et objet typiques. Aprés, on a conclu que tous éléments du droit au developpment des communautés indigènes sont trouvés aussi dans le droit positif brésilien. En fait, au plan national, ses sources principaux sont la Constitution de 1988, les traités de droits de lhomme reconnus dans lordre juridique interne et la législation ordinaire. Les débiteurs du droit au développement sont à la fois lEtat bresilien, les personnes morales et les individus. L´objet du droit au développement au niveau nationale est aussi vaste quau niveau internacional, cest à dire: a) le droit à l autodétermination indigène; b) le droit à la préservation de sa culture; c) le droit de loption de se propre processus de développement; d) le droit au territoire indigène et à lexploration de ses ressources naturelles; e) le droit de participation; f) le droit à lamélioration de ses conditions sociaux et économiques; g) le droit à la santé; h) le droit à la Securité social; i) le droit à léducation; j) le droit à la subsistance, au travail e à lobtention de revenu; k) le droit à la coopération. La plupart de ces droits sont espèce de discriminations positives permanentes. Enfin, on a démontré que le droit au développement de communauté indigène nest pas absolu, donc il peut entrer en choc avec dautres droits constitutionels. Ce type de conflit est, en règle, solutionné par la technique de la pondération des intérêts. Dun ce cas, il y a une tendance de favoriser les droits constitucionels des indigènes.
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Le cirque social du rire aux larmes : espace de médiation et de reconfiguration identitaires et artistiques aux Etats-Unis et au Brésil / The social circus of the laughter to the tears : spacemediation and reconfigurations identity and artistic in the United States and Brazil

Avrillon, Helizete 20 May 2011 (has links)
Créer un espace de communication à ceux qui en ont le plus besoin, apprendre à travailler et vivre ensemble. Voici quelques leitmotivs qui reviennent régulièrement lorsqu’on engage une discussion avec les acteurs de terrain d’un Cirque social. De manière un peu succincte je dirais que deux raisons m’ont poussée à mener ces recherches. Premièrement, l’envie de comprendre les modalités et le déroulement de ce travail de construction ou de reconstruction du lien social entre enfants et adolescents en situation de risque, particulièrement ceux issus de certaines « minorités visibles » et la « société normalisée ». Deuxièmement, comprendre et plus encore rendre compte de comment une pratique artistique comme celle du cirque, bien souvent considérée archaïque, démodée et marginalisée, peut prétendre avoir les atouts et/ou les outils nécessaires pour venir en aide à ce type de public et d’être capable de les aider à développer leur potentiel, leur auto estime, d’enrichir leur vie, de prévenir des dysfonctionnements, de résoudre des problèmes et provoquer des changements sociaux tant au niveau individuel qu’au niveau collectif. Les terrains choisis pour mener ces enquêtes furent certains pays de l’Amérique du Nord, la France et le Brésil, plus particulièrement l’Etat Rio de Janeiro. En outre, cette étude souhaite, soulever des questions sur ce qui pourrait être considéré comme étant une discordance, à savoir, le fait que le plus souvent les individus bénéficiant des programmes organisés par ces cirques sont, aussi, le plus souvent absents ou minoritaires dans cet univers circassien. En ce sens, je fais référence une fois encore au nombre réduits de Noirs dans cette espace artistique. Comment comprendre cette apparente dissonance entre leurs discours et actions. Comment peuvent évoluer les formes de sociabilités engagées à l’intérieur de ces lieux mais aussi à l’extérieur de ceux-ci ? En définitif, quel rôle jouent ces cirques dits sociaux dans la mesure où leur objectif n’est pas celui de former des artistes de cirque ? / To create a channel of communication for those who are in most need, to learn to work and live together. Here are a few themes that reoccur once we(one)engage(s) in discussion with those working in Social Circus scene. I will summarize the two reasons that pushed me to make this research. Firstly, the desire to understand the function and evolution of the work of construction or reconstruction of social ties between children and adolescents in challenging life situations- particularly those from certain obvious minorities - and the rest of normal society. Secondly, the need to understand and to take note of how an artistic medium like that of the circus often considered archaic, old-fashioned and marginalized can have the tools necessary to aid minorities and be capable of helping them to develop their potential, build their self-esteem, enrich their lives, prevent social dysfunctions, solve problems and provoke social change on a personal level as well as a global level. The locations chosen for this research are: certain parts of North America and Brazil, particularly the state of Rio de Janeiro .Furthermore this study is intended to raise questions about what can be considered a discordance: the fact that those who would be most able to benefit from these programs are the least likely to be offered access to such an opportunity. I would also like to draw attention to the fact that African-Americans are still drastically underrepresented in the world of Circus Arts.How do we comprehend the implications of these programs ? How can strong, positive, social behaviors evolve inside of these places but also outside of their walls ? Precisely what role do these “Social Circuses” play when their aim is not primarily focused on training professional circus artists ?
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Développement local, acteurs et action collective : les minorités issues de l'immigration et les dispositifs de revitalisation urbaine dans la commune bruxelloise de Molenbeek-Saint-Jean

Touzri, Abdelfattah 21 June 2007 (has links)
En privilégiant une perspective d'analyse qui appréhende les questions du développement local et territorial en terme de rapports de pouvoir et de modes de régulation des rapports sociaux, cette thèse interroge les pratiques des acteurs sociaux (élus, acteurs associatifs et minorités issues de l'immigration) en rapport avec les dispositifs de revitalisation urbaine dans la commune bruxelloise de Molenbeek-Saint-Jean. En nous appuyant sur une grille d'analyse qui fait la distinction entre régulation conjointe, régulation de contrôle et régulation autonome, nous avons interrogé les pratiques des acteurs molenbeekois et appréhendé leurs stratégies. Il en ressort qu'en dépit d'une co-régulation qui se cristallise à travers les pratiques participatives, une forte régulation de contrôle se déploie dans le sillage d'une politique qui privilégie la requalification de l'espace urbain et le rétablissement de l'habitat. Cette régulation de contrôle tient également à la forte implication de la sphère politique. Devant les incertitudes qui planent sur les espaces participatifs et la prégnance d'une stratégie de régénération physique de l'espace, une régulation autonome se déploie à travers les pratiques des minorités. Cette stratégie d'autonomisation véhicule essentiellement une logique de mobilité sociale induite par les stratégies de survie et un processus dynamique de construction de l'identité, de l'ethnicité et de la territorialité selon un principe de mobilité. Ainsi, la régulation autonome est la traduction d'une quête de mobilité déployée par les minorités en réponse à une ambition participative inachevée et à une régulation de contrôle qui s'apparente à un instrument principal d'une politique publique basée sur une logique de territoire.
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Pratiques d'intégration et de rapport au travail et à l'emploi des jeunes d'origine haïtienne

Vilney, Christian 05 1900 (has links) (PDF)
Les problèmes d'accès à l'emploi de certains groupes comme les femmes, les minorités visibles et les autochtones, ont été à la base de la création des programmes d'accès à l'égalité en emploi. Au plan fédéral, nous pouvons citer en exemple l'adoption de la loi sur l'équité en matière d'emploi en 1986. Au plan provincial, les programmes d'accès à l'égalité en emploi (PAÉE) ont été insérés dans la Charte québécoise en 1985 dans le but de permettre aux groupes victimes de discrimination d'atteindre l'équité en emploi. Toutefois, la fonction publique provinciale est exempte de l'application des PAÉE (loi 143). De plus, sa portée a été étendue à des groupes qui ne sont pas notoirement des groupes victimes de discrimination (par exemple les Allemands, les Suédois et les Polonais). Concernant le secteur privé, même si le gouvernement récompense ceux qui appliquent les PAÉE par une certification, après quinze ans, seulement deux entreprises ont eu cet honneur. Nous nous intéressons dans ce mémoire à la perception des jeunes d'origine haïtienne des politiques et des pratiques d'intégration à l'emploi du marché du travail québécois. Le taux de chômage important parmi les jeunes d'origine haïtienne nous pousse à nous interroger sur la différence de traitement dans l'accès à l'emploi « et DANS l'application deS PAÉE ». Nos 24 entretiens individuels menés auprès de jeunes et des intervenants ainsi que nos deux entretiens de groupe nous ont permis de répondre aux questions suivantes: comment les jeunes d'origine haïtienne perçoivent-ils les programmes d'accès à l'égalité en matière d'emploi (PAÉE)? Selon eux, l'accès difficile au marché de l'emploi est-il dû à l'application des PAÉE ou dépend-il des pratiques d'embauche discriminatoire des employeurs? Quel effet cela a-t-il sur leur attitude? Ce questionnement est légitime dans la mesure où des perceptions peuvent résulter non seulement des politiques, mais aussi de l'application de celles-ci. Les résultats de cette étude démontrent que les jeunes d'origine haïtienne pour la plupart sont persuadés que les pratiques d'embauche sont discriminatoires et déloyales et que les PAÉE ne sont pas respectés par les employeurs. ______________________________________________________________________________

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