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The modern language of the law of nature : rights, duties and sociality in Grotius, Hobbes and Pufendorf

Chimni, Ravinder Singh. January 1999 (has links)
No description available.
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Hobbes is a Fungi: Civil Society Rooted in Nature

Camp, Kaitlyn 11 June 2018 (has links)
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Sobre el concepto de libertad en el Leviatán de Thomas Hobbes

Águila Marchena, Levy del 23 August 2013 (has links)
La clásica argumentación hobbesiana a favor de la necesidad de establecer un Estado soberano, dotado de plenas atribuciones para disponer de la suerte, los recursos e incluso la vida de sus ciudadanos, caracterizados como súbditos, tiene, aunque resulte paradójico, un núcleo originariamente liberal. En efecto, el punto de partida del razonamiento filosófico-político hobbesiano es la libertad de los individuos, concebidos capaces de decidir en términos propios, al margen de cualquier predeterminación exterior del sentido de su querer y su acción. Este punto de partida, sin embargo, termina completamente ensombrecido por la ulterior legitimación de la autoridad socialmente irrestricta de la instancia soberana de gobierno bajo el ordenamiento dado en el Estado civil.
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Le choix du régime politique dans les temps modernes : Machiavel et sa postérité (XVIE-XVIIIE siècles)

Andrieu, Elodie 02 November 2011 (has links)
Les récentes révolutions du « Printemps des pays arabes » attestent de la vivacité de l’idéal démocratique. Or ce régime est caractéristique d’une manière philosophique de penser le droit et les institutions. En effet, il se conforme mieux que nul autre à l’essence de l’Homme. Alors, malgré le succès des méthodes quantitatives en sciences humaines et l’autonomie désormais incontestée de la science du politique, nos temps contemporains seraient les héritiers d’une vision métaphysique plutôt que scientifique de la matière politique. Pourtant, la thèse explore l’histoire de la première « science des institutions » qui naît et se développe dans les Temps Modernes. Courant méconnu au cœur de l’histoire des institutions, ses tenants sont pourtant des figures incontournables et emblématiques de la pensée politique moderne, qu’il s’agisse de Machiavel, Hobbes, Montesquieu ou encore Hume. La thèse dévoile alors l’ambitieux projet de ces penseurs : proposer des institutions adaptées à la variété des mœurs, des histoires et des sociétés qu’ils étudient. Le choix du régime politique se doit d’être à la fois respectueux de l’humain et adapté à la variété des populations existantes. Dès lors l’universel et le particulier se rejoignent pour servir la première « science » de la Modernité. La thèse serpente les siècles et le continent européen. Au bout de son périple, une rencontre surprenante : celle de philosophes fascinés par les découvertes de ces premiers scientifiques du politique. De cette rencontre devait naître un nouveau régime politique, différent de son homologue athénien : la Démocratie moderne / The recent revolutions of the « Arab Spring » attest of the vivacity of the democratic ideal. Yet, this regime is characterised by a philosophical questioning on law and on institutions. In fact, it fits better than any other regime the essence of mankind. So despite the success of quantitative methods and the now undisputed autonomy of political sciences, modern times inherited a metaphysical point of view rather than a scientific way to address political questioning. However, the thesis explores the history of the first “science of institutions” that was born and developed in Modernity. Unknown current in the history of institutions, its proponents are paradoxically emblematic figures of modern political thinking, such as Machiavelli, Hobbes, Montesquieu or even Hume. The thesis unveils their ambitious project: to propose institutions adapted to the variety of the customs, behaviours, histories of the societies they study. The choice of the political regime should be respectful of human nature and at the same time adapted to the variety of the existing people. Therefore, the universal and the specific merge in order to serve the first real science of the modern era. The thesis research progresses through Europe from the XVIth to the XVIIIth centuries. At the end of its journey: a surprising encounter: the meeting of philosophers fascinated by the discoveries of these first political scientists. This encounter bore a new type of political regime, different from its Athenian counterpart: modern Democracy
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La question internationale dans l'oeuvre de Norberto Bobbio / The international issue in Norberto Bobbio’s works

Le Bohec, Jean-Baptiste 24 May 2013 (has links)
Une guerre menée avec des instruments modernes de destruction est-elle encore justifiable ? La théorie marxiste de l'impérialisme épuise-t-elle le problème de la guerre ? Est-il toujours possible, aujourd'hui, face au risque de conflagration universelle, d'écrire une philosophie de l'histoire ? Que peut le droit contre l'état de nature international ? Ces questions traversent l'œuvre d'un juriste et philosophe italien du XXe siècle, Norberto Bobbio. Elles peuvent toutes être considérées comme les corollaires de son angoisse fondamentale devant le problème de la guerre. La recherche présente se propose d'introduire le lecteur de langue française aux thèses internationalistes de Bobbio ; thèses actuellement disséminées dans plusieurs dizaines d'ouvrages, d'essais, d'articles et de cours, dont la plupart n'ont pas encore été traduits. L'éparpillement de ses écrits, néanmoins, n'oblitère pas la possibilité d'un exposé systématique sa pensée, forgée au creuset de la philosophie politique, de l'histoire des idées, de la science politique et de la philosophie du droit. Bobbio est, en effet, l'auteur d'une politique analytique qui s'est donnée pour tâche d'éclaircir les problèmes contemporains à la lumière de concepts tirés aussi bien de la philosophie anglo-saxonne que continentale. Il s'est inscrit dans une tradition qui, à la suite de Kant, Bentham et Saint-Simon, s'est inlassablement employée à penser les conditions du dépassement de l'anarchie internationale. Ainsi, du dialogue ininterrompu avec l'héritage de la pensée politique et juridique, Bobbio a tiré des armes conceptuelles afin de lutter contre les logiques de puissance propres au système international, contre la persistance des justifications traditionnelles de la guerre, et pour le projet fédéraliste de la démocratie mondiale. / Is a war waged with modern instruments of destruction still justifiable ? Does the Marxist theory of imperialism exhaust the issue of war? Is it still possible today, in view of the risk of a universal conflagration, to propose a philosophy of history? What can international law do against the state of nature between nations? These questions pervade the works of 20th century Italian jurist and philosopher, Norberto Bobbio. They can all be considered as corollaries of his fundamental angst in dealing with the problem of war. This research proposes to introduce the French reader to Bobbio’s internationalist theories; theories currently disseminated in scores of books, essays, articles and lectures, most of which have not yet been translated. Nevertheless, the dispersion of his writings does not rule out the possibility of a systematic presentation of his thinking, forged by the amalgamation of political philosophy, the history of ideas, political science and the philosophy of the law. Indeed, Bobbio is the author of an analytical policy which sought to clarify contemporary issues in light of concepts taken from both Anglo-Saxon and Continental philosophies. He is part of a tradition which, in the wake of Kant, Bentham and Saint-Simon, has indefatigably endeavored to think of the requirements for surpassing international anarchy. Thus, from the ongoing dialogue between the legacy of political and juridical thought, Bobbio has forged conceptual weapons to fight against the international system’s specific logic of power, against the persistence of the traditional justifications of war, and for the federalist plan of global democracy.
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Théorie et pratique de la science dans les Éléments de la philosophie de Thomas Hobbes / Theory and Practice of Science in Thomas Hobbes's “Elements of philosophy”

Médina, Joseph 10 November 2014 (has links)
Thomas Hobbes est sans doute mieux connu comme philosophe politique que comme homme de science et ses longues querelles avec John Wallis en mathématiques et Robert Boyle en physique n’ont guère encouragé les historiens des sciences à prêter attention à son œuvre scientifique. Pourtant, Hobbes conçut la philosophie comme une science et se considérait comme le fondateur non seulement d’une science nouvelle : la philosophie civile, mais aussi de la science de l’optique - récemment renouvelée à la faveur de la découverte du télescope - et même des mathématiques. Mais à quoi Hobbes pense-t-il quand il parle de science ? Aux mathématiques qu’il admire tant ? A la philosophie naturelle de Galilée ? Ou à la médecine de Harvey ? En quel sens la philosophie civile est-elle une science et quel est le statut des mathématiques ? Telles sont les questions que nous abordons à partir d’une analyse du De Corpore et des dix premiers chapitres du De Homine traduits du latin. L’interprétation proposée ici consiste à réaffirmer l’unité du système des Éléments de la philosophie et à souligner la dimension matérialiste et réaliste de la science hobbesienne. Bien que Noel Malcolm ait définitivement établi que Hobbes n’est pas l’auteur du Short Tract on first principles, nous montrons que le tournant scientifique de Hobbes est profondément marqué par son intérêt pour l’optique qu’il renouvela sur la base d’une ontologie matérialiste et des principes du mécanisme hérités de Galilée. / Thomas Hobbes is perhaps best known as a political philosopher than as a scientist and his too long quarrels with John Wallis in mathematics and Robert Boyle in physics did little to encourage historians of science to pay attention to his scientific work. Yet Hobbes conceived of philosophy as a science and considered himself the founder not only of a new science: civil philosophy, but also the science of optics - recently renewed thanks to the discovery of the telescope - even mathematics. But what Hobbes has in mind when he talks about science? Mathematics he so admires? Galileo’s natural philosophy? Or Harvey’s medicine? In what sense civil philosophy is a science and what is the status of mathematics? These are the issues we discuss from an analysis of De Corpore and the first ten chapters of De Homine translated from Latin. The interpretation proposed here is to underline the unity of the system of the Elements of philosophy and emphasize the materialistic and realistic nature of Hobbesian science. Although Noel Malcolm has definitively established that Hobbes is not the author of Short Tract on First Principles, we show that Hobbes’s shift to science was deeply marked by his interest in the science of optics he renewed on the basis of a materialist ontology and principles inherited from Galilee mechanism.
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Le mythe de la souveraineté: dialectique de la légitimité, du Corps au contrat social

De Smet, François-Julien 11 May 2010 (has links)
Notion irréductible de notre univers politique, la souveraineté semble aujourd’hui dépassée, et appelée à céder sa place à d’autres modes de représentation de l’État et de la collectivité. Pourtant, les difficultés liées à son dépassement recèlent le fait que ce concept n’a rien en réalité rien d’évident :abstraite et mystérieuse, la souveraineté l’est par nécessité. Le cœur de cette abstraction, fossile théologico-politique, fonde sa légitimité. Ainsi, la souveraineté est surtout le produit d’un refoulement des sources et de la nature violente de l’autorité vers le Tiers autoritaire, notion médiane caractérisant la nécessaire conceptualisation de l’autorité légitime comme troisième terme institutionnalisé de la relation entre celui qui exerce l’autorité et celui qui la subit. <p><p>Ce Tiers, au sortir de la théologie médiévale, s’est d’abord incarné dans le concept de Corps ;le corps de l’État dérive en droite ligne du corps du Christ d’abord, de celui de l’Église ensuite, et a offert à l’autorité, alors pensée sur un registre hétéronome, divin et naturel, un écrin la liant à une légitimité et une nécessité naturelles. Le mythe du Corps, pourtant, va petit à petit devenir celui du Père au fur et à mesure de la constitution de l’État, et singulièrement de la monarchie absolue. Le Père campe alors le caractère nécessaire de l’autorité devant être exercée par le créateur sur sa chose créée, mais permet de continuer dans le même temps à faire bénéficier les structures existantes de l’empreinte théologique représentée sur terre par des mandataires héréditaire – les princes. L’institutionnalisation de l’État, et la relative stabilité qui va en découler, va toutefois fournir le cadre apte à permettre à une pensée du sujet d’émerger, faisant naître des concepts qui, tels la multitude et le peuple, posent de plus en plus directement la question de la légitimité par la prise en compte de la volonté de ceux sur lesquels elle s’exerce. C’est ainsi que naîtront les théories du pacte social, qui tentent chacune à leur manière de concevoir un moment méthodologique où l’octroi du pouvoir soit a été cédé dans le passé, soit est toujours exercé par le peuple à chaque instant. Le mythe du contrat, ainsi, est celui par lequel la légitimité de l’autorité est conciliée avec l’origine du pouvoir. Cette liaison est rendue possible par le meurtre du Père, c’est-à-dire la suppression de l’autorité naturelle et nécessaire au profit d’une autorité conventionnelle et contingente. Or, le mythe du contrat est fragile ;il nécessite, pour juguler le flux de contingence qui émerge dès lors que la question de la légitimité se pose, que la question de la nature du pouvoir soit dûment maîtrisée. Cela demande que l’autorité ne prenne pas sa source dans le repli sur le présent permanent, c’est-à-dire sur le peuple, mais sur un critère de représentativité. Cela nécessite surtout un refoulement conscient de la nature et de l’origine de l’autorité vers un sur-moi qui constituera, à l’apogée de la modernité, le cœur abstrait de la notion de souveraineté. <p><p>Or cette conception de l’autorité se fissure elle-même sous le poids d’une contingence qui, comme flux permanent, tend par nature à excéder son cadre. A terme, ainsi, l’étiolement de la souveraineté coïncide-t-il avec l’avènement du dogme des droits de l’homme, appelés sur un registre immanent à compenser la perte de sens induite par l’insuffisance de verticalité assumée par la modernité.<p> / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Plikten framför allt : En idékritik av svenska värnpliktens legitimitet

Storm, Louise January 2022 (has links)
Det finns en allmänt vedertagen uppfattning om att medborgare bör vara trogna sitt land och att i krissituation skydda det samhälle som annars möjliggör för dennes fria liv. Det finns också en uppfattning som menar på att statens tvingande makt är alltför extensiv och att värnplikt inskränker mänskliga fri- och rättigheter. Uppsatsens syfte är att genom en teoretisk diskussion finna premisser och kriterier för när värnplikt kan anses legitimt i en demokratisk stat. För att sedan kunna göra en idékritisk analys av ett empiriskt fall – den svenska värnplikten. Den teoretiska diskussionen tar avstamp från Hobbes teorier om samhällskontraktet, medborgarens skyldighet att strida för staten och dess kontrast till den starka självbevarelsedriften, för att sedan mötas av andra teorier och perspektiv om rättvisa och hur statliga förpliktelser kan rättfärdigas i modern tid. Resultatet av den teoretiska diskussionen och uppsatsens delslutsats finner att värnplikt kan anses legitimt ifall fallet uppfyller bland annat premisserna om att det råder hot mot nationell säkerhet och att det därför krävs ett gemensamt försvar, samt att plikten har en demokratisk förankring och att kriterier, såsom att alla är lika inför lagen och att bestraffning inte får överskrida värdet av plikten, även de uppfylls. Resultatet av den idékritiska analysen av fallet visar att den svenska värnplikten som den nu är utformad uppfyller helt eller delvis de uppsatta premisserna och kriterierna. / There is a generally accepted view that citizens should be loyal to their country and, in a crisis situation, protect the society that otherwise enables their free life. Meanwhile, there is another perception that the state's coercive power is too extensive and that military conscription restricts human freedoms and rights. The purpose of this essay is to find premises and criteria through a theoretical discussion for when military conscription can be considered legitimate in a democratic state. In order to, carry on an idea-critical analysis of an empirical case - the Swedish military conscription. The theoretical discussion is based on Hobbes' theories of the social contract, the civic duty to fight for the state and its contrast to the strong drive for self-preservation, and is later on questioned or added to by other theories and perspectives, regarding justice and how state-enforced obligations can be justified in modern times. The result of the theoretical discussion and the partial conclusion of the thesis finds that conscription can be considered legitimate if the case meets the premises that there is a threat to national security and that a common defence is required, and that the duty has a democratic basis. Additionally, some criterions should also be fulfilled, such as, everyone is equal before the law and that punishment must not exceed the value of the duty.  The result of the idea-critical analysis of the case shows that the Swedish military conscription as it is now designed fully or partially meets the set premises and criteria’s for legitimacy.
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Deux scènes de cannibalisme dans la peinture de Francisco de Goya y Lucientes : essai pictural sur la nature humaine

Laliberté, Bianca 05 1900 (has links)
Ce mémoire vise à élargir, à l'aune d'une approche herméneutique jaussienne, l’interprétation de deux tableaux de Goya portant des titres qui leur ont été donnés a posteriori : "Cannibales montrant des restes humains" (1800-1808?) et "Cannibales préparant leurs victimes" (1800-1808?). Notre analyse se fonde en premier lieu sur une description de la matérialité des œuvres ; nous fournissons la première lecture de la relation entre ces tableaux et en défendons par ailleurs le statut de diptyque. Nous proposons ensuite une analyse critique de la réception des deux tableaux. Puis, dans la mesure où ces œuvres sont les premiers exemples où apparaissent en peinture des « sauvages » cannibales, nous explorons l'horizon iconographique du cannibalisme afin d'y chercher des images comparables. Cette tradition figurative paraît se réduire à trois catégories, à savoir: l’image coloniale, la caricature et la peinture mythologique. Ensuite, en partant de l'hypothèse répandue et héritée du romantisme que ces œuvres constituent des représentations de la nature humaine, nous tentons de les réinscrire dans l'horizon historique et philosophique dont est issue cette notion. Nous nous penchons tout spécifiquement sur les pensées philosophiques de Thomas Hobbes et de Jean-Jacques Rousseau, qui articulent des conceptions contraires de la nature humaine : si pour l’un, celle-ci est cruelle, pour l’autre elle est fondamentalement bonne. Ainsi, pourrons-nous mieux situer ces deux tableaux par rapport à cette notion à l’aune de son contexte d’émergence spécifique, notion que Goya a certainement découvert à travers les Ilustrados qui incarnent la philosophie des Lumières en Espagne. Nous désirons démontrer de quelle manière ces œuvres pensent et comment, par l'entremise de leurs propres moyens, elles en viennent à se distancier, en les dépassant, les horizons iconographique et philosophique dont elles participent. / The present research project aims to broaden the interpretations of two paintings of Francisco de Goya, whose titles were attributed to them a posteriori: "Cannibals Gazing at their Victims" (1800-1008?) and "Cannibals Preparing their Victims" (1800-1008?). The analysis begins with a description of the materiality of the paintings. This section represents the first reading of the works’ structural connections, and suggests that the two images are in fact two parts of a diptych. We will then delve into a critical exploration of their reception. Since these images are the two first examples of cannibal figures inspired by colonial imagery to appear in the Western art historical tradition of painting, we explore the iconographical horizon of cannibalism in order to find comparable images, the likes of which are divided into three categories: colonial images, caricature, and mythological paintings. Afterwards, considering the widespread and romantic interpretation of these paintings as representations of human nature, we will attempt to reinscribe them within the historical and philosophical spheres from which this notion derives. We focus on the ideas of Thomas Hobbes and Jean-Jacques Rousseau, whose conceptions of human nature are contradictory towards each other. While Hobbes suggests that the nature of humanity is cruel, Rousseau deems it fundamentally good. This notion is one that Goya probably encountered himself while frequenting the Ilustrados – or, the more prominent figures of the Spanish Enlightenment. As a result, we will be able to situate the two paintings with respect to their specific context of emergence. Through the examination of these horizons, we aim to demonstrate the ways in which these two paintings think, and how, through their own resources, they deviate from – or even surpass – the iconographical and philosophical situations from which they hail, and to which they respond.
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Le problème de la souveraineté politique chez Thomas Hobbes

Picard, Renaud 07 1900 (has links)
Sur le rapport de Hobbes au monarchisme, les études hobbesiennes font largement consensus : tout au long de sa vie, le théoricien du Léviathan aurait été, disent-elles, un monarchiste convaincu, fidèle à la dynastie anglaise des Stuart. Or le présent travail cherche à ébranler la rigueur de cette thèse traditionnelle. Acquis aux recherches contextualistes de J. Collins, qui ont déjà montré les affinités hobbesiennes à l’égard des politiques anticléricales de Cromwell, il souhaite montrer que de telles affinités dissimulent une intention politique beaucoup plus profonde, celle de la réalisation politique des principes moraux de la loi naturelle. Dans cette perspective, Hobbes serait, sous l’impulsion de la méthode résolutive-compositive, non seulement l’inventeur du premier droit naturel subjectif dans l’histoire de la philosophie politique, mais aussi le théoricien d’une loi naturelle inédite, édifiée sur la rationalité des volontés individuelles. Ainsi, par la publication du Léviathan en 1651, Hobbes n’aurait pas exprimé ses affinités politiques pour la monarchie anglaise renversée : il aurait plutôt dévoilé son projet politique d’instituer une souveraineté politique qui repose sur le consentement rationnel de tous les sujets. Monarchiste dans sa jeunesse, Hobbes serait alors devenu, en élaborant sa science politique, partisan d’un régime politique que l’on pourrait nommer démocratie de la raison positive. / On Hobbes’s relationship to the monarchy, Hobbes Studies make a general consensus: throughout his life, the theorist of the Leviathan would have been a convinced monarchist, faithful to the English dynasty of the Stuart. This work seeks to undermine the rigor of this traditional thesis. Inspired by the contextualist research of J. Collins, which have already shown the Hobbesian affinities towards the anticlerical policies of Cromwell, it wants to show that such affinities hide a much deeper political intention: the political realization of the moral principles of natural law. In this perspective, Hobbes would be, at the instigation of the resolutive-compositive method, not only the inventor of the first subjective natural right in the history of political philosophy, but also the theorist of a new natural law, built on the rationality of all individual wills. So, with the publication of the Leviathan in 1651, Hobbes would not have expressed his political affection for the overthrown English monarchy: he would rather have revealed his political project to establish a political sovereignty based on the rational consent of all subjects. Monarchist in his youth, Hobbes would then have become, with the elaboration of his political science, a supporter of a political system that could be named democracy of the positive rationality.

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