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An exploratory study of the methods and strategies implemented to integrate unaccompanied minors in five residential home in Sweden

Dao, Catherine. H January 2014 (has links)
The aim of the study was to explore what methods the personnel in five residential care homes in Götaland, Sweden, implement to integrate unaccompanied minors. The study investigated how and what methods are constructed as well as how the social interaction between the unaccompanied minors and the personnel at the homes bring about the learning of the methods. Five face-to-face semi-structured interviews were conducted and analysed through the perspective of social construction and social learning theory. The result revealed that the methods are not clearly identified by the personnel. The personals are still learning how to work with unaccompanied minors from their experiences. This indicates that the practice is at its infant stage. The study found a wide variety of methods, which were based on the child and where some methods intend to build good relationship, to integrate the children into society and to facilitate the development of strategies and methods. The study also addresses the issue of how the methods and strategies can be affected by the dynamic migratory flow and the question of evidence based practice within this field.
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Une Méthodologie pour le Développement d'Applications Hautes Performances sur des Architectures GPGPU: Application à la Simulation des Machines Éléctriques

Antonio Wendell, De Oliveira Rodrigues 26 January 2012 (has links) (PDF)
Les phénomènes physiques complexes peuvent être simulés numériquement par des techniques mathématiques basées souvent sur la discrétisation des équations aux dérivées partielles régissant ces phénomènes. Ces simulations peuvent mener ainsi à la résolution de très grands systèmes. La parallélisation des codes de simulation numérique, c'est-à-dire leur adaptation aux architectures des calculateurs parallèles, est alors une nécessité pour parvenir à faire ces simulations en des temps non-exorbitants. Le parallélisme s'est imposé au niveau des architectures de processeurs et les cartes graphiques sont maintenant utilisées pour des fins de calcul généraliste, aussi appelé "General-Purpose computation on Graphics Processing Unit (GPGPU)", avec comme avantage évident l'excellent rapport performance/prix. Cette thèse se place dans le domaine de la conception de ces applications hautes-performances pour la simulation des machines électriques. Nous fournissons une méthodologie basée sur l'Ingénierie Dirigées par les Modèles (IDM) qui permet de modéliser une application et l'architecture sur laquelle l'exécuter afin de générer un code OpenCL. Notre objectif est d'aider les spécialistes en algorithmes de simulations numériques à créer un code efficace qui tourne sur les architectures GPGPU. Pour cela, une chaine de compilation de modèles qui prend en compte les plusieurs aspects du modèle de programmation OpenCL est fournie. De plus, pour rendre le code raisonnablement efficace par rapport à un code développé à la main, nous fournissons des transformations de modèles qui regardent des niveaux d'optimisations basées sur les caractéristiques de l'architecture (niveau de mémoire par exemple). Comme validation expérimentale, la méthodologie est appliquée à la création d'une application qui résout un système linéaire issu de la Méthode des Éléments Finis pour la simulation de machines électriques. Dans ce cas nous montrons, entre autres, la capacité de la méthodologie de passer à l'échelle par une simple modification de la multiplicité des unités GPU disponibles.
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Approche basée sur les modèles pour la conception des systèmes dynamiquement reconfigurables : de MARTE vers RecoMARTE

Cherif, Sana 19 December 2013 (has links) (PDF)
Dans cette thèse, nous proposons une méthodologie de co-conception des systèmes dynamiquement reconfigurables basés sur FPGA. Notre méthodologie s'appuie sur l'Ingénierie Dirigée par les Modèles (IDM) pour la mise en oeuvre de notre flot de conception, dont la spécification des modèles est décrite avec le profil standard UML MARTE (Modeling and Analysis of Real-Time and Embedded Systems). Les travaux présentés dans ce manuscrit visent à garantir la flexibilité, la réutilisabilité et l'automatisation afin de faciliter le travail du concepteur et d'améliorer sa productivité. La première contribution de cette thèse réside dans la modélisation à haut-niveau d'abstraction permettant de cacher un grand nombre de détails d'implémentation. Nous avons donc défini un flot de conception pour la modélisation des FPGAs dynamiquement reconfigurables, basé sur l'IDM afin d'assurer l'automatisation de la génération de code. Suivant ce flot, plusieurs modèles sont créés moyennant principalement les concepts du profil MARTE. Cependant, la modélisation de certains concepts de la reconfiguration dynamique des FPGAs a nécessité des extensions dans MARTE que nous avons identifiées et intégrées dans un nouveau profil qui étend MARTE baptisé RECOMARTE (Reconfigurable MARTE). La seconde contribution est l'automatisation de la chaîne de transformations et la validation expérimentale. Afin d'assurer l'automatisation de notre flot de conception vers la génération du code, une chaîne de transformations a été utilisée. Le modèle final en MARTE résultant du flot de conception est donné comme entrée à cette chaîne. Nous passons ainsi d'un modèle MARTE/RecoMARTE vers une description intermédiaire selon le standard IP-XACT afin de générer finalement des fichiers décrivant le système complet dans l'environnement XPS de Xilinx. Cette automatisation permet d'accélérer la phase de conception et éviter les erreurs dues à la manipulation directe des détails. Enfin, un exemple d'application de traitement d'image a été élaboré afin de démontrer et valider notre méthodologie. Ceci a fait apparaître les avantages de nos contributions en termes de réutilisabilité de la conception et l'automatisation
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Die Macht der Sterne

Klingner, Annett 04 June 2018 (has links)
Darstellungen der Planeten und ihrer Kinder gehörten zu den ersten paganen Bildern, die im Spätmittelalter produziert und rezipiert wurden. Während der rund 200 Jahre ihres hauptsächlichen Auftretens, bis zum Ende des 16. Jahrhunderts, erreichten sie eine enorme Popularität. Im Weltbild des Mittelalters und der frühen Neuzeit war jeder Mensch von dem Gestirn geprägt, unter dessen Einfluss er geboren wurde. Dieser Planet bestimmte, wie man körperlich und charakterlich beschaffen war, welchen Beruf man ausübte und welche gesellschaftliche Stellung man erwarten durfte. Der Geburtsmoment sorgte für eine lebenslange, familiäre Verbindung zum Gestirn, man wurde quasi zu dessen Kind. Die Macht der Sterne zeichnet die Entwicklung von der ersten Erwähnung der Planetenkinder in Schriftquellen, über die Herausbildung eines relativ stabilen ikonografischen Kanons in verschiedenen Medien, funktionsgebundene Variationen bis zum Aufgehen in anderen Bildgattungen nach. Die zumeist siebenteiligen Zyklen stellen sich als Teil eines weit ausgebauten Beziehungsgefüges und Verweissystems dar, in dem sich das jeweilige gesellschaftliche Bild der Zeit spiegelt. Die Darstellungen dokumentieren zudem zentrale Entwicklungen des individuellen Denkens bis zum Ende des 16. Jahrhunderts. Sie zeigen, wie das jeweils aktuelle kosmologische Verständnis und Wissen einem breiten Publikum durch Bilder vermittelt werden konnte, wie dies mit dem religiösen Leben vereinbar war oder sich im Alltag niederschlug. Planetenkinder-Darstellungen hatten im Verlauf ihrer Geschichte vielfältige Funktionen. In ihnen manifestierte sich die Vorstellung einer Einheit der Dinge in zahlreichen Analogien. Gezielt eingesetzt wurden die Bilder zur Markierung sozialer Aufstiege, politischer Interessen und der Reklamation von Machtansprüchen sowie der Repräsentation von Einfluss bzw. Verherrlichung von Auftraggebern. Die Bilder zeigen philosophische Diskurse auf, verweisen auf konkrete historische Ereignisse und bewerten diese. / Representations of the planets and their children were among the first pagan images to be produced and adopted in the late Middle Ages. During the circa 200 years in which they mainly appeared, up until the end of the sixteenth century, they became enormously popular. In the worldview of the Middle Ages and early modern era, every person was believed to be influenced by the celestial body under whose influence they were born. This planet determined one’s physical appearance and character, one’s profession, and the social standing one could expect. The moment of birth ensured the continuation of a life-long, familiar connection to this celestial body, and a person was effectively considered its “child”. Die Macht der Sterne traces these developments from the first written references to the children of the planets, through to the emergence of a relatively stable iconographical canon in various media, variations in terms of function, as well as their appearance in other pictorial genres. These cycles, usually consisting of seven parts, presented themselves as part of a highly elaborate relational structure and system of references which reflected the current social worldview. The images also document key developments in individual thought up until the end of the sixteenth century. They show how the prevailing understanding of the cosmos and knowledge could be communicated to a wide audience by means of imagery, how this was reconciled with religious life, and how it was reflected in everyday life. Over the course of their history, images of the children of the planets served a variety of functions. By means of a number of analogies they illustrated the notion of the unity of all things. These images were also consciously employed to underscore social advancement, political interests, and the reassertion of claims to power as well as representations of influence or the glorification of patrons. These depictions also highlight philosophical discourses and refer to concrete historical events while offering evaluations of these phenomena.
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El genoma de una ciudad: Valencia. (Bioarquitectura, orígenes hasta época foral)

MARTÍ MATIAS, MIQUEL RAMÓN 27 October 2014 (has links)
Hace 13.800 millones empezó el Universo teniendo como origen el Bing Bang. Todo tiene ahí su principio, el tiempo, el espacio y el material del que está todo formado también. Compartimos con las estrellas el material que forma nuestro cuerpo. Empezó con una Arquitectura inorgánica, que pasó a orgánica, en lo que hemos acuñado como “Arquitectura somática”, la que forma un cuerpo (por muy diminuto que sea).Pero el siguiente paso fue la “Arquitectura exosomática”, la que se realiza fuera del cuerpo. En este sentido, hubo una revolución arquitectónica y social hace 130 millones de años, la revolución realizada por los insectos sociales en el Cretácico. He aportado un aspecto hasta hoy no realizado, equivalencias culturales humano-insectos. El Paleolítico, de cazadores-recolectores humanos, equivale al género de hormigas Eciton que viven de una forma semejante. Pero he acuñado un nuevo término, el Paleolítico Superior Cerámico, ya que ha aparecido en China cerámica 8000 años antes que en Próximo Oriente (que tomamos como referente), ahí entraría la avispa alfarera que es cazadora pero fabrica su cerámica. Un Neolítico Precerámico A (8000- 7000) con los géneros de hormigas Lasius Feliginosus y Atta, con sus campos de “hongos”, su agricultura subterránea. Un Precerámico B (7000-6000) con la ganadería y sus establos de las hormigas del género Crematogaster pilosa y Acropyga maribensis. Puede aducirse que no hay edad de los metales, pero la araña puede realizar material más duro que el acero sin fusión. Seguidamente, la civilización egipcia y mesopotámica, tan recientes en el tiempo, las primeras muestras de avance social humano de grandes proporciones, quedan atrás en muchos aspectos comparados con el mundo de las abejas, avispas y termitas que abruman con su arquitectura, jerarquía y organización social, pero todo en armonía con su ecosistema, perdurabilidad durante millones de años, al contrario que la frágil sociedad humana. Estas últimas, por su lapso de tiempo existente como tales, su éxito de dispersión y sus características como sociedades son un rival, cuestionan nuestro liderazgo como especie. Las hormigas esclavistas del Amazonas del género Polyergus y las españolas de Sierra Nevada, del género Rossomyrmex minuchae, que ataca los nidos de Proformica longiseta, recuerdan a la sociedad esclavista que llega al siglo XVIII pero que tiene en las épocas de la Antigüedad sus más claros ejemplos. He añadido más términos arquitectónicos, Arquitectura “genética” y Arquitectura “cerebral”. Estas sociedades de insectos complejas, como la abeja melífera (Apis mellifera), no estudian arquitectura ni agricultura,etc, cosa que en los humanos “que pueden estudiar” absorve mucho tiempo vital. Estos insectos, tienen un corto tiempo de vida, y suplen eso, naciendo con lo más importante aprendido. Se sabe que el “cuerpo central” existente en la cabeza del insecto, es el “disco duro” de estos insectos, por lo que puedo decir que desde que nacen, lo hacen aprendidos, su arquitectura y sociedad, es genética. El cuerpo seta del insecto, corpora pedunculata en latín también en la cabeza, se centraría en el comportamiento y el aprendizaje, un equivalente de córtex en los humanos y otros vertebrados, algo secundario, pero que en nosotros es el cerebro, de este modo, nuestra arquitectura es “cerebral”, aprendida por unos pocos durante mucho tiempo, algo que supone realmente una desventaja. En los alrededores de Valencia, los primeros restos de “Arquitectura exosomática” serían los nidos que tuvieron los hadrosaurios de Tous, hace 70 millones de años. Para los humanos, debemos esperar a un humanoide, el homo erectus, cuyos restos aparecen a 25 km al sur de Valencia, en Sueca, en la parte del lago de l'Albufera, que empleó cuevas y que pudo realizar estructuras perecederas vegetales, hace más de medio millón de años. Hubo gente de la edad del bronce en Valencia y en el siglo VII-VI a.C, recibieron contactos comerciales por parte de griegos y fenicios, como prueban las cerámicas importadas, tanto de territorio griego como fenicio. El fragmento cerámico del pintor de Aqueloos,encontrado en l'Almoina (centro de Valencia) que se encuentra entre los más destacados del “Grupo de Leagros”, el último y más destacado grupo de pintores de grandes vasos de figuras negras entre el 520 y el 500 a.C o la máscara fenicia de la orilla norte del río, son prueba de ello. Estas importaciones hablan de dos santuarios en Valencia, uno en la orilla sur y otro en la norte, donde indígenas y foráneos intercambian productos y ideas. Edeta, centro político y económico más cercano a Valencia, utiliza Valencia como su puerto. El solar de Valencia sería aprovechado como campos de silos de grano, como sucede en toda la costa catalana y del sur de Francia, alrededor de la órbita de Ibiza, portaviones económico del control fenicio-púnico que hace girar como satélites las poblaciones ibéricas del litoral. En Valencia, alrededor de la mitad del siglo III a.C, se construye el templo-santuario ibérico. Este templo domina el entramado portuario y ideológico. La empalizada de la calle cisneros, también debemos relacionarla con este siglo, pero en época alrededior de la Guerra Púnica . Arse-Saguntum, lleva la delantera comercial y acuña moneda, teniendo incluso armadores que comercian con los griegos ampuritanos. Edeta se siente amenazada en sus intereses y choca en el siglo IV a.C, como demuestra el Tos Pelat fortaleza arrasada en este momento, en el que Arse- Sagunt se fortifica. Este malestar llegará al siglo III a.C, en el que he aportado un elemento clave, el que Edeta fue la ciudad que Anibal ayudó (y no una ciudad lejana ciudad indígena andaluza), para que con sus agravios manipulados, poder destruir Arse-Sagunt. En el 205 a.C (cosa hasta ahora nunca dicha tampoco), es destruida Edeta como venganza. Los edetanos ibéricos son obligados a bajar a Valencia, de ahi su nombre de Valencia de los edetanos. Algo destacable también son las tres necropolis ibéricas de Valencia, junto con sus ustrina para quemar los huesos. También he reconstruido el ritual, la evolución y las creencias funerarias ibéricas desde la prehistoria gracias a la iconografía y los restos materiales, que también aparecen en Valencia ciudad. La guerra en Italia contra Aníbal termina y vienen a nuestro territorio gente de allí, de dos ciudades, Valentia y Turia, que darán nombre a nuestra ciudad y río, así como la iconografía de las monedas republicanas de Valencia. Esta iconografía se relaciona además con Quintus Máximus Fabius Cunctator, que expulsó a Anibal de Italia, defendió a Arse-Sagunt ante el senado cartaginés antes de su destrucción, y después recibió a la embajada saguntina que agradeció la destrucción de su enemiga, Edeta. Los que ayudaron a Aníbal en Italia fueron traidores, y sus cadáveres aparecen echados como perros en la necrópolis de Valencia, y los gratos a Roma los encontramos en hipogeos ricos en ofrendas. De este modo, las cerámicas, tesoros de monedas ibéricas en la ciudad que muestran temor, y los hechos históricos muestran que los itálicos que se establecieron en Valencia, lo hicieron en la década del 180 a.C, no en el 138 a.C que tan dañino ha sido para la historia de Valencia por su errónea interpretación. Sin olvidar el paralelo como asentamiento que es Ca l'Arnau en Cataluña, que ofrece unas termas gemelas de Valencia de la primera mitad del siglo II a.C y un urbanismo equivalente al nuestro, asentamiento que no prosperaría. En el 146 a.C con la destrucción de Cartago, coincide con la destrucción del templo ibérico cuyas piedra serán reaprovechadas para convertirlo en lo que hoy se considera granero (horreum). También se aportan los datos de la verdadera localización del muelle romano imperial de Valencia , de su puente, y del cardo (o eje principal que recorría la ciudad de Norte a sur hasta hoy también equivocado). Destaca también la reconstrucción y rectificación de los recorridos de los acueductos romanos de Valencia y Saguntum, aportándose pruebas hasta hoy olvidadas, algunas de ellas monumentales, como la del nacimiento del acueducto sur de Sagunt que empezaba en el río Túria, concretamente en Vilamarxant (Valencia) y que es el precedente de la Acequia Real de Moncada. Es decir, los romanos, crearon el sistema hidráulico valenciano, que los musulmanes adaptaron a sus propias necesidades, seguidos por los cristianos. Relacionado con esto, la destrucción de estos acueductos, vitales para la vida de las ciudades romanas, como razón de gran peso, provocaron la huida de la población saguntina en el siglo V d.C hacia un nuevo lugar, Almenara, donde hay agua fresca, creando el Punt del cid, la nueva Sagunt, donde se acuña moneda con el nombre de Saguntum y se levantan murallas con restos de la desaparecida Saguntum romana , ahora Murus veteris o muros antiguos. Al mismo tiempo se levanta un lugar religiosos en los Estanys d'Almenara. Valencia, con la llegada bizantina, se recupera en el siglo VI momentáneamente, saliendo un tiempo de una crisis brutal que se observa en la arqueología de la ciudad. Ese siglo ofrece la creación de edificios religiosos monumentales, abase del saqueo d ellos mejores bloques de edificios romanos abandonados y también vemos la presencia del rey visigodo Leovigildo , en el 583 d.C, que arrebata Valencia a los bizantinos y hace matar a su hijo, autoproclamado rey católico, Hermenegildo, en Cullera (Valencia) donde se ha refugiado con su mujer e hijo pequeño, confundiéndose esto con el mito de San Vicente Martir, cuyo cadáver se dice apareció también en Cullera. De todo esto se ofrece la reconstrucción de los hechos. También de esta cronología de la segunda mitad del siglo VI d.C, vemos la aparición de una nueva ciudad amurallada, Valencia la vella, en Ribarroja del Túria, 24 km al este de Valencia cauce arriba del río. La antigua Valencia no tiene murallas en esta época, la gente vive entre escombros romanos y hacinados en la única muralla existente, el circo romano abandonado. Se decide desplazarse cerca de donde nacen los acueductos, hay defensa, comida y vías naturales ganaderas. El abandono de Valencia ciudad, coincide con el abandono bizantino de la Península (620). En la segunda mitad del siglo VII d.C, Valencia es un cadáver solo acompañado de un puñado de familias marginales, y así, en este siglo vemos aparecer la sustituta de la Valencia religiosa, el Plà de Nadal, un edificio que aglutina la mayor colección d piezas de época visigoda valenciana y de carácter religioso, también en Riba-rroja. La presencia musulmana evita las nuevas ciudades de desplazados del Punt del Cid y Valencia la Vella. Abd-al-Rahman al-Balansí (el valenciano), con la construcción de una Ruzafa en el casco abandonado de Valencia a finales del siglo VIII, ofrece los primeros síntomas de recuperación del casco urbano. El siglo IX es el momento cuando se construye un nueva acequia de agua (primero desde la caída de la ciudad, la acequia de Rovella), un molino (el más antiguo musulmán hasta ahora catalogado en España, una noria, empezando así a recuperarse el sistema hidráulico . En el 929-920, el punt del Cid y Valencia la Vella, son destruidos por Abd-al-Rahman III, obligando a esa población cristiana (o conversa ya), a desplazarse a los nuevos centros islámicos, esto es, a la nueva ciudad de Almenara, y a la antigua ciudad de Valencia, viéndose ya la recuperación de Valencia (la del llano) como ya se observa en elementos de lujo como el capitel de marmol valenciano encontrado en el Palacio Real de Valencia. De época cristiana, un adn perfecto para poder reconstruir ese período a nivel constructivo lo tenemos el Archivo de la ciudad de Valencia, que puede competir con los mejores del mundo en el tema de la construcción medieval, gracias al detallismo con que se encuentran escritos todos los materiales y personas. Las canteras de diferentes tipos de piedra con sus importantes particularidades también quedan señaladas, así como las procedencias de otros materiales como la cal, esparto (para capazos y cuerdas), etc, y los nombres de miles de personas, su sexo, religión y procedencia, así como los días de trabajo, descubriéndose que la mayoría de la gente que trabajaba en una obra, especialmente los obreros sin otra preparación, solo estaban un dia o pocos más . Se puede reconstruir la población masculina de las morerías de muchos pueblos valencianos, o de canteros de piedra de diferentes lugares de la Península incluso extranjeros. Aportándose además, como en el año 1380, las trabajadoras en la obra como obreras cobraron lo mismo que los hombres, algo que cuestiona la imagen de discriminación de la mujer que teníamos y que muestra signos de mayor modernidad en ese aspecto. Acaba la tesis con las esférulas, concreciones minerales que he hallado en el río Palancia de hace 250 millones de años, del triásico inferior y que tienen sus paralelos más cercanos en Utah (EEUU) y el planeta Marte. Estas aparecen también como piedra de construcción en construcciones romanas y medievales al norte de Valencia, especialmente alrededor de Sagunt, y es el material más antiguo en nuestro territorio, ofreciendo relaciones paralelas geológcas con otros lugares del planeta y situándose, por ahora, como las esférulas más antiguas del planeta Tierra, emparentadas en muchos aspectos con las encontradas en el planeta Marte. Así, empieza la tesis en el espacio infinito y acaba en él. / Martí Matias, MR. (2014). El genoma de una ciudad: Valencia. (Bioarquitectura, orígenes hasta época foral) [Tesis doctoral]. Universitat Politècnica de València. https://doi.org/10.4995/Thesis/10251/43591

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