• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 47
  • 12
  • 5
  • 1
  • Tagged with
  • 78
  • 78
  • 58
  • 56
  • 29
  • 28
  • 25
  • 18
  • 17
  • 16
  • 15
  • 11
  • 11
  • 10
  • 10
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
41

L'herméneutique de la réversibilité dans l’œuvre de Walter Benjamin : interprétations de Kafka et Baudelaire

Pycock Kassar, Laura 12 1900 (has links)
No description available.
42

Le journalisme et la désymbolisation du monde pour une critique dialectique de la crise contemporaine du journalisme

Martin, Éric January 2007 (has links) (PDF)
Ce mémoire cherche à resituer la crise contemporaine du journalisme dans un contexte de mutation des sociétés politico-institutionnelles vers le modèle opérationnel-décisionnel propre à l'horizon idéal-typique des sociétés dites « postmodernes », d'après la sociologie critique du journalisme de Jean Pichette, professeur à l'École des médias de l'UQAM et la sociologie politique dialectique de Michel Freitag, professeur associé au département de sociologie de l'UQAM. La réflexion théorique présentée dans les pages qui suivent montre d'abord que les critiques contemporaines du journalisme dites « de gauche » les plus répandues se trouvent dans une impasse qui les conduit ou bien à une position idéaliste abstraite, ou encore à un antidémocratisme latent, tenté d'être hostile à toute forme institutionnelle ainsi qu'à toute représentation symbolique du monde, assimilées au Pouvoir et à la domination. En deuxième et troisième partie, nous tâchons de dépasser dialectiquement l'impasse de la critique actuelle en réintroduisant le concept hégélien de médiation et l'idée de l'existence de la société comme totalité. Cela permet, d'une part, d'éclairer les problèmes ontologiques sous-jacents (mais rarement explicités) chez les critiques dites « radicales ». Cela permet ensuite d'historiciser la crise du journalisme dans un contexte de désymbolisation du monde, c'est-à-dire de dissolution des médiations symboliques et politico-institutionnelles par un processus d'instrumentalisation du langage, celui-ci étant livré à des puissances économiques et technologiques qui tendent à s'autonomiser et à s'autofinaliser. Nous concluons en ébauchant une proposition de critique qui prend acte du caractère fétichiste (Marx) des rapports sociaux dans le capitalisme et du caractère symbolique indépassable de tout rapport humain au monde, de tout engagement humain dans le monde. Cela implique que la critique qui cherche à « libérer » le journalisme de la domination du Pouvoir (économique et politique) doit également reconnaître qu'elle ne saurait triompher via le « rapport de force » immédiat, et qu'elle doit au contraire inscrire son propos et son action dans le respect des formes ontologiques, symboliques et politiques constitutives du monde humain, faute de quoi elle risque de participer elle-même à l'avènement d'une société du silence. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Journalisme, Dialectique, Symbolique, Michel Freitag, Jean Pichette.
43

Relations publiques et contestation : étude du cas de la grève menée par les étudiants québécois en 2005

Millette, Josianne 03 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire s'intéresse à l'appropriation des relations publiques par des groupes de contestation sociopolitique. Ce phénomène s'inscrit dans le contexte des développements conjoints des sciences de l'information et de la communication et de l'espace public médiatisé. Ensemble, ces évolutions participent à placer les luttes de visibilité et d'influence médiatiques au centre des préoccupations liées à l'action sociale et politique, poussant notamment les groupes de contestation à s'approprier le modèle des relations publiques pour se faire entendre et obtenir gain de cause. Si la démocratisation des savoirs en relations publiques peut être comprise comme une voie d'accès à l'espace public médiatisé, des inégalités demeurent toutefois, non seulement en ce qui concerne l'accès aux ressources mobilisées par cette forme d'action sociale et politique, mais également dans le traitement politique et médiatique des groupes et des perspectives ainsi représentées. Notre recherche propose d'analyser ce dilemme à l'aide de l'étude du cas de la grève menée en 2005 par les étudiants québécois. Une perspective théorique fondée sur le paradigme de la reconnaissance amené par Axel Honneth pour renouveler la théorie critique et sur le concept de justice bidimensionnelle proposé par Nancy Fraser sert ainsi de base à l'analyse de discours et de pratiques présents au sein de la CASSÉÉ et des Fédérations étudiantes collégiale et universitaire du Québec. À travers les tensions, les logiques, les perceptions et les modes d'intégration des relations publiques qu'elle met en lumière, notre analyse montre que l'appropriation des relations publiques en tant que mode privilégié de contestation sociopolitique pourrait participer d'une pathologie sociale. Cette dernière prendrait la forme d'une contradiction paradoxale empêchant la réalisation d'une pleine parité de participation démocratique entre les différents membres de la société et ce, sur la base d'un modèle culturel lié à l'idéologie de la communication. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : relations publiques, contestation, espace public médiatisé, théorie critique, reconnaissance, justice sociale, grève étudiante de 2005
44

Le statut de la liberté dans l’existentialisme, par-delà la théorie critique

Audet-Cayer, Philippe 08 1900 (has links)
Dans la philosophie existentialiste de Sartre, l’existence précède l’essence. C’est-à-dire que c’est la réalité humaine vécue qui définit l’homme, et non une essence abstraite qui précèderait l’existence. L’essence de la vie humaine ne serait donc pas à la portée de la philosophie, qui voudrait établir une essence qui transcenderait la réalité humaine. Pour Sartre, cette tentative d’établir une essence est vaine. L’homme n’est pas simplement, mais a à être. Sartre entrevoit dans cette exigence la seule vraie possibilité de la liberté : la liberté c’est précisément le néant qui est au cœur de l’homme et qui contraint la réalité humaine à se faire au lieu d’être. Cette notion de la liberté absolue de l’homme est très forte et a évidemment suscité la critique. Sartre s’est attiré notamment la désapprobation des penseurs de l’École de Francfort. Ils lui reprochent de ne pas rendre justice aux déterminations spécifiques qu’impose le contexte historique, social et matériel. Sa notion de liberté viendrait dissocier l’horizon des possibilités des processus qui les fixent et, du coup le mène à cautionner tacitement le statut quo, en empêchant la liberté de servir de critère pour critiquer la domination existante. Une philosophie existentialiste reste-t-elle possible par-delà cette critique? La croyance en le caractère absurde de la vie humaine et l’exigence à se faire pour donner un sens à l’existence peuvent-elles tenir sans postuler la liberté absolue? Ou bien cette liberté doit-elle nécessairement être circonscrite par une théorie sociale critique, sans quoi l’existentialisme colportera clandestinement le maintien du statu quo? / n Sartre’s existentialist philosophy existence precedes essence. This means that it is the life being lived that defines man, and not an abstract essence that precedes him. The essence of human life is thus not reachable with a philosophy that would want to posit an essence that transcends human reality. Sartre considers this attempt to establish an essence vain. Man is not simply, but rather has to be. Sartre sees in this the only true possibility for liberty: liberty is precisely the nothingness that is at the heart of man and compels the human reality to make itself instead of just being. This notion of absolute liberty for man is a strong one and has indeed been criticized. Among critics, Sartre met with the disapproval of the thinkers of Frankfurt School. They accused him of not seeing the specific determinations that the historical, social and material world imposes on man. His notion of liberty dissociates the horizon of possibilities from the processes that establish them, which make him tacitly encourage the status quo, because he prevents liberty from being used as a criterion to criticize the existing domination. Is an existentialist philosophy still possible beyond this critic? Can the belief in the absurd nature of human life and in the necessity of making oneself to give sense to existence still hold without postulating absolute liberty? Or must liberty necessarily be circumscribed by a critical social theory, without which existentialism will clandestinely encourage the status quo?
45

Marseille filmée : images, histoire, mémoires : 1921-2011 / Marseille filmed : images, history, memories (1921-2011)

Bellan, Katharina 24 November 2017 (has links)
Cette recherche propose d’analyser comment Marseille a été filmée, à travers un corpus de films qui y ont été tournés entre 1921 et 2011, dans une double perspective combinant l’approche socio-historique et l’approche esthétique des images cinématographiques. Le temps long (presqu’un siècle) permet d’analyser depuis des films de fictions, des documentaires et des productions télévisuelles, les processus historiques et les constructions mémorielles propres à Marseille. Focaliser l’attention sur ce qui échappe au premier regard, les arrières plans, les détails, ouvre à une recherche qui étudie les rapports entre ville, cinéma, histoire et mémoire. / This research proposes to analyse Marseille filmed, through a corpus of films that have been shot from 1921 to 2011, on a dual viewpoint combining the socio-historical and the aesthetic perspectives to moving images.This vast time frame (which spans almost a century) allows an analysis of the historical processes and memory constructions shaping the city of Marseille, based on films of fiction, documentaries and télévision productions. Focusing the attention on what is not visible at the first sight, the backgrounds, the details, opens to a research that studies the relationships between the city, cinema, history and memory.
46

Raison, délire et critique : psychanalyse et critique de la raison chez Adorno et Horkheimer / Reason, madness and critique : psychoanalysis and Critique of Reason by Adorno and Horkheimer / Vernunft, Wahn und Kritik : Psychoanalyse und Vernunftkritik bei Adorno und Horkheimer

Grivaux, Agnès 11 June 2018 (has links)
Nous proposons dans ce travail une interprétation de la référence à la psychanalyse chez Adorno et Horkheimer, en partant de son usage dans un champ inattendu, quoique central : la critique de la rationalité. Adorno et Horkheimer affirment, notamment dans la Dialectique de la raison, que la raison, concept à la fois central et structurant pour la société moderne capitaliste, entre en conflit avec elle-même jusqu'à son autodestruction, qui doit être comprise comme passage dans la folie. Nous entendons soutenir que cette affirmation peut être comprise de manière non-métaphorique par le recours à la psychanalyse, à partir d’une double lecture de leurs écrits, à la fois génétique et micrologique. Nous situons la genèse du croisement entre psychanalyse et critique de la rationalité dans leurs premiers travaux, au moment de traiter du rapport entre psychologie et théorie de la connaissance, d’abord dans une perspective philosophique néokantienne, puis dans le cadre du programme de recherches interdisciplinaires des années trente. Ce croisement précoce conduit Adorno et Horkheimer à s’intéresser tant à la part inconsciente qui travaille les processus de connaissance, qu’à la logique des phénomènes apparemment les plus irrationnels. Nous réinterprétons ainsi les travaux des années trente et quarante comme la mise au jour d’une conjonction de formes spécifiques de rationalisation sociale avec la montée de phénomènes sociaux particulièrement irrationnels, notamment liés à l’émergence du fascisme. Cette conjonction mène alors à la thématisation psychanalytique de l’autodestruction de la raison. Notre thèse est que la mise au jour de ce paradigme critique singulier – qui associe approche psychanalytique, critique de la raison et théorie de la connaissance – révèle de façon cohérente et globale la fonction attribuée à la psychanalyse par ces auteurs : rendre compte de la déraison comme effet de la logique contradictoire que la société moderne capitaliste établit entre nature et histoire. Nous pouvons ainsi conclure notre travail en analysant à quelle condition une théorie de la connaissance dialectique et critique est susceptible de ne pas reconduire l’écueil que la psychanalyse a permis d’identifier au niveau social, à savoir la réduction du rapport entre histoire et nature à un rapport de domination. Nous entendons ainsi montrer les potentialités critiques de ce paradigme dans le cadre des débats contemporains sur les pathologies de la raison. / In this study, we will propose an interpretation of the psychoanalytic references in the works of Adorno and Horkheimer, by starting from the way they are used in an unexpected, and yet central, field: the critique of rationality. Especially in Dialectics of Enlightenment, Adorno and Horkheimer affirm that reason, a concept that is both central and structuring to the modern capitalist society, comes into conflit with itself to the point of its self-destruction, which should be understood as a passage to madness. We intend to defend that this affirmation can be understood, by having recourse to psychoanalysis, in a non-metaphorical manner, starting from a double reading, both genetic and micrologic, of their writings. We situate the genesis of the intersection between psychoanalysis and the critique of rationality in their early works, when they were dealing with the relationship between psychology and the theory of knowledge, at first in a neo-Kantian perspective, then within the framework of the program of interdisciplinary research in the thirties. This precocious intersection led them to become interested as much in the unconscious part which works through the process of knowledge, as in the logic of phenomena which are apparently the most irrational. We therefore interpret their works from the thirties and forties as the unveiling of a conjunction of specific forms of social rationalization with the rising of particularly irrational phenomena, especially related to the emergence of fascism. This conjunction then leads to the psychoanalytical thematisation of reason’s self destruction. Our thesis is that by disclosing this singular critical paradigm – which links together the psychoanalytical approach, the critique of reason, and the theory of knowledge – the function attributed to psychoanalysis by these authors can be revealed in a global and coherent fashion: accounting for unreason as an effect of the contradictory logic that the modern capitalist society establishes between nature and history. We can therefore conclude our work by analyzing on what condition a dialectical and critical theory of knowledge is likely to avoid the pitfall that psychoanalysis has allowed to identify at the social level, i.e. the reduction of the relation between history and nature to a relation of domination. In this way, the critical potentials of this paradigm within the framework of contemporary debates on the pathologies of reason can be brought to light.
47

Fluxo de Rupturas Constantes: dialética negativa e fluxo de consciência em Avalovara

Araújo, José Helber 11 March 2015 (has links)
Submitted by Maike Costa (maiksebas@gmail.com) on 2016-08-12T12:54:06Z No. of bitstreams: 1 arquivo total.pdf: 2184501 bytes, checksum: 0d33b2b753ec45269f08b2f66afba1da (MD5) / Made available in DSpace on 2016-08-12T12:54:06Z (GMT). No. of bitstreams: 1 arquivo total.pdf: 2184501 bytes, checksum: 0d33b2b753ec45269f08b2f66afba1da (MD5) Previous issue date: 2015-03-11 / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior - CAPES / Cette thèse se propose de mettre em routle une investigation critique du roman Avalovara(1973), d'Osman Lins, à partir de quelques rapports établis entre les manifestations de courant de conscience de ses personnages et la dialectique de la négativité esthétique, formulée sous les conceptions philosophiques de Theodor Adorno. Au cours de cette investigation, nous aborderons d’abord la manière dont se présente la disposition formelle de la technique du courant de conscience et ses achèvements critiques au long du XXe siècle. Nous fournirons aussi, dans la première partie de la recherche, un panorama de compréhension de la pensée esthétique d'Adorno, en mettant en relief ses discussions sur la Dialectique Négative (1966), le narrateur dans le roman contemporain et ses lectures des procédés artistiques de Samuel Beckett. Notre but est de retrouver une signification littéraire pour la déconstruction des structures romanesques manifestées à l'intérieur d'Avalovara, selon les conceptions de non identité et critique du sujet moderne, développées par Adorno. Dans la deuxième partie de la recherche, nous analyserons le roman d'Osman Lins, afin de comprendre comment son organisation structurelle, de caractère fragmentaire, produit un mouvement de tension thématique où certains types de violence impliquant de la souffrance sont remplacés par une transgression érotique médiatrice d'une attitude d'autonomie et d'authenticité des protagonistes. Notre intention est de comprendre que l'emploi de la technique du courant de conscience, comme moyen de nous tenir au courant de ce qui se passe dans la pensée des personnages, nous permet de voir, d'une façon plus large, que, en insistant dialectiquement, en son intérieur, à exposer la négativité des concepts sur le monde dans lequel il s'expérimente, le sujet s'éloigne d'une objectivité positive et ontologique en faveur d'une hétérogénéité négative de la conscience de l'être dans le monde. / Lins, based on some relationships established among the manifestations of the stream of consciousness of their characters and the dialectics of the aesthetic negativity, elaborated through the philosophical concepts of Theodor Adorno. Throughout the thesis, we will discuss initially how the formal disposition of the stream of consciousness' technique and its critical development are given alongside the 20th century. In the first part of the research, we will also provide a framework for the understanding of the aesthetic thinking, focusing their discussions about the Negative Dialectics (1966), the narrator in the contemporary novel and his readings about Samuel Beckett's artistic procedures. The purpose is to find a literary meaning for the deconstruction of the novelistic structures that were manifested inside Avalovara through the concepts of non-identity and criticism of the modern individual developed by Adorno. In the second part of the research, we will analyse the novel by Osman Lins seeking to comprehend how its structural constitution with fragmentary aspect produces a movement of thematic tension in which certain types of violence that implicate into suffering are replaced by an erotic transgression that intermediates an atitude of autonomy and authenticy of the characters. Our intention is to understand that the use of the technique of the stream of conciousness, as a manner of being acquainted about what is going on in the characters’ mind, give us condition to perceive with a wider perspective that in the interior of the individual exists a dialectic insistence in exposing the negativity of the concepts about the world in which one experiences, evading from a positive and ontological objectivity in favor of a negative hetereogeneity of the conscience of being in the world. / Lins, a partir de algumas relações estabelecidas entre as manifestações do fluxo de consciência dos seus personagens e a dialética da negatividade estética, formulada nas concepções filosóficas de Theodor Adorno. Em seu decorrer, discutiremos inicialmente como se dá a disposição formal da técnica de fluxo de consciência e seus desdobramentos críticos ao longo do século XX. Também forneceremos, na primeira parte da pesquisa, um quadro de compreensão do pensamento estético de Adorno, focalizando suas discussões sobre a Dialética Negativa (1966), o narrador no romance contemporâneo e suas leituras sobre os procedimentos artísticos de Samuel Beckett. A finalidade é encontrar, nas concepções de não-identidade e crítica do sujeito moderno, desenvolvidas por Adorno, um significado literário para a desconstrução das estruturas romanesca que se manifestam no interior de Avalovara. Na segunda parte da pesquisa, analisaremos o romance de Osman Lins buscando entender como a sua organização estrutural, de caráter fragmentário, produz um movimento de tensão temática em que determinados tipos de violência que implicam em sofrimento são substituídos por uma transgressão erótica mediadora de uma atitude de autonomia e autenticidade dos protagonistas. Nossa intenção é entender que a utilização da técnica de fluxo de consciência, como maneira de nos inteirarmos do que se passa na mente dos personagens, nos dá condição de perceber de maneira mais ampla que no interior do sujeito existe uma insistência dialética em expor a negatividade dos conceitos sobre o mundo no qual se experimenta, fugindo de uma objetividade positiva e ontológica em favor de uma heterogeneidade negativa da consciência do ser no mundo.
48

Une analyse critique du discours du juge de l’OMC et de l’arbitre de l’investissement sur le droit non écrit / A critical analysis of the discourses of the WTO judge and of the investment arbitrator on unwritten law

Stoppioni, Edoardo 23 March 2019 (has links)
Ce travail a tenté de dresser une cartographie de l'utilisation par le juge de l'OMC et l'arbitre de l'investissement de l'argument juridique fondé sur le droit non écrit. Le discours juridictionnel est considéré dans une perspective métathéorique et le droit non écrit a été étudié en tant que structure discursive au sens foucaldien du terme. En prenant comme point de départ la thèse de Martti Koskennicmi, il est soutenu que le discours juridictionnel fondé sur le droit non écrit est caractérisé par des oppositions binaires, propres au droit international libéral. Aussi ce discours oscille-t-il entre deux pôles : celui de l'apologie et celui de l'utopie. Ce balancement est résumé, dans ce travail, par l'emploi de deux concepts qui représentent les deux extrémités du spectre : la banalisation et la systématisation. Dans une logique de banalisation, le juge ancre son espace normatif dans le droit international général pour y ancrer sa légitimité. La banalisation de son espace normatif particulier reflète la volonté du juge de s'aligner sur les structures de pouvoir du droit international général. Il a été démontré, dans cette optique, que le juge de l'OMC, tout comme l'arbitre d'investissement, a banalisé à dessein la nature de son espace normatif ainsi que sa fonction juridictionnelle. Un deuxième registre linguistique employé par le juge est celui de la systématisation. Dans ce contexte, le juge utilise moins le droit non écrit pour ancrer son espace normatif dans le droit international général que pour construire une certaine unité interne au régime. Le langage de systématisation a pour effet ultime de renforcer la logique néolibérale sur laquelle le régime est bâti. / The thesis has attempted to sketch a cartography of the way the WTO judge and the investment arbitrator use the judicial argument based on unwritten Law. The general approach consisted in studying the judicial discourse from a metatheoretical perspective: unwritten law is studied as a discursive structure in the Foucauldian sense of the term. Taking Martti Koskenniemi's thesis as a starting point, it is maintained that the judicial discourse based on unwritten law is grounded on binary oppositions. It oscillates between two poles : the pole of apology and the pole of utopia. This oscillation is explained using two concepts, constituting the extremities of the spectrum: banalization and systematization. In the perspective of banalization, the judge grounds its normative space in general international law. Using this approach, the WTO judge and the investment arbitrator have banalized both the nature of their normative spaces and their own judicial function. The judge also uses the linguistic register of systematization. ln this context, unwritten law is used to construct the internal unity of the regime. The effect of the language of systematization is to generate a movement between consolidation of the unity of the regime and strengthening the embedded neoliberal bias thereof.
49

La subjectivation en contexte de mobilisation sociale : l’individu engagé au sein des organisations politiques chez T.W Adorno et Alain Touraine

Fazazi, Hind 08 1900 (has links)
No description available.
50

« Pris en hiver » : éléments philosophiques pour une théorie de l'éducation chez Theodor W. Adorno

Toupin, Gabriel 08 1900 (has links)
Cette recherche reconstruit le déploiement philosophique qui supporte les réflexions de Theodor W. Adorno autour de l’éducation et de ce qu’il nomme l’« échec de la culture [Scheitern der Kultur] ». Plutôt que de traiter de l’éducation chez Adorno en soi, nous proposons de prendre ses réflexions sur l’éducation comme prisme de lecture de sa critique de la philosophie et de son histoire. La critique de l’éducation se révèle donc toujours déjà critique de la philosophie et de la culture. Le premier chapitre clarifie le processus historique qui mena à l’échec de la culture et à la demi-formation [Halbbildung], à partir de la lecture adornienne de Hegel. Cet échec de la culture s’exprime essentiellement autour d’une autonomisation de la culture qui se mute en fétichisme, où les produits culturels sont perçus comme valables en eux-mêmes, au détriment de l’histoire effective. Cette réification de la culture (laquelle inclut la métaphysique) contribue alors à la déconnexion de la culture de l’expérience vécue. Le second chapitre développe sur les conséquences psychiques de cette absolutisation, qui dans les faits bloque la capacité de faire l’expérience des limites de l’organisation sociale. Incapables d’envisager que les choses pourraient être autrement, les individus se retrouvent aux prises avec un sentiment d’angoisse et d’impuissance qui les prédisposent à des mécanismes de défense psychique violents et agressifs qui ouvrent la porte à la barbarie. Ce chapitre est construit autour de la lecture de la psychanalyse freudienne (Sigmund et Anna Freud) d’Adorno. Au troisième chapitre, nous explorons comment l’autonomie kantienne de laquelle se revendique Adorno trouve son terme complémentaire dans le concept kantien de discipline, négligé par Adorno. Par le concept adornien de « bloc kantien [kantische Block] », nous envisageons comment le refus kantien des fausses réconciliations philosophiques permet de penser une éducation à la hauteur de l’aliénation collective et de la perte de l’expérience qui permettrait de prévenir un nouvel Auschwitz. Le dernier chapitre envisage alors ce que serait une éducation réussie à l’époque de l’expérience perdue. Pour ce faire, ce sont les écrits de Walter Benjamin et de Marcel Proust qui sont mobilisés, eux qui ont tous deux abondamment thématisé ce que serait une expérience de la perte de l’expérience pour Adorno. Le concept d’expérience spirituelle [geistige Erfahrung] s’avère alors central à une conception adornienne d’une éducation possiblement réussie. Chacun de ces chapitres proposent une lecture originale des écrits pédagogiques des auteurs et de l’autrice mobilisés par Adorno, bien que celui-ci ait généralement bien peu abordé ces écrits. En exposant la cohérence entre les métaphysiques et les pédagogies des auteurs et de l’autrice, c’est-à-dire comment leurs conceptions de l’éducation découlent de leurs métaphysiques, c’est la cohérence entre la critique philosophique d’Adorno et ses écrits sur l’éducation qui est aussi démontrée. / This research reconstructs the philosophical deployment that supports Theodor W. Adorno’s reflections on education and what he calls the “failure of culture [Scheitern der Kultur]”. Rather than dealing with education in Adorno per se, we propose to take his theses on education as a prism for reading his critique of philosophy and its history. The critique of education is thus always already a critique of philosophy and culture. The first chapter clarifies the historical process that led to the failure of culture and half-formation [Halbbildung], starting with the Adornian reading of Hegel. This failure of culture is essentially expressed by an autonomization of culture that mutates into fetishism, where cultural products are perceived as valid in themselves, to the detriment of actual history. This reification of culture (which includes metaphysics) contributes to the disconnection of culture from lived experience. The second chapter explores the psychological consequences of this absolutization, which effectively blocks the ability to experience the limits of social organization. Unable to imagine that things could be otherwise, individuals find themselves grappling with a sense of anguish and powerlessness that predisposes them to violent and aggressive psychological defense mechanisms that open the door to barbarism. This chapter is built around Adorno’s reading of Freudian psychoanalysis (by Sigmund and Anna Freud). In the third chapter, we explore how Kantian autonomy according to Adorno finds its complementary term in the Kantian concept of discipline, neglected by Adorno. Using Adorno’s concept of the “Kantian block [kantische Block]”, we consider how the Kantian refusal of false philosophical reconciliations makes it possible to think of an education that is equal to the collective alienation and loss of experience that would prevent a new Auschwitz. The final chapter considers what a successful education would look like in an age of lost experience. To this end, the writings of Walter Benjamin and Marcel Proust are mobilized, both of whom have extensively thematized what an experience of the loss of experience would be for Adorno. The concept of spiritual experience [geistige Erfahrung] will then prove central to an Adornian conception of a possibly successful education. Each of these chapters offers an original reading of the pedagogical writings of the authors Adorno mobilized, although these writings are generally little discussed by him. By exposing the coherence between the authors’ metaphysics and pedagogies – that is, how their conceptions of education derive from their metaphysics –, it is the coherence between Adorno’s philosophical critique and his writings on education that is demonstrated.

Page generated in 0.0872 seconds