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Jean de la hire : biographie intellectuelle et politique (1878-1956) / Jean de la hire : an intellectual and political biography (1878-1956)

Puren, Marie 15 February 2016 (has links)
Plus connu sous le pseudonyme de Jean de La Hire, l’écrivain, éditeur et homme politique français Adolphe d’Espie (1878-1956) a aujourd’hui disparu de la plupart des mémoires. Ses œuvres ont pourtant marqué nombre de lecteurs de son époque, comme le jeune Jean Paul-Sartre qui se délectait de ses romans. Son parcours ne peut par ailleurs manquer d’interpeller. Romancier résolument élitiste, le jeune d’Espie fréquente Pierre Louÿs, José-Maria de Heredia, Colette et Willy, et se rêve en nouveau Balzac. Pourtant, c’est dans le roman populaire qu’il se rendra célèbre, et qu’il publiera la majorité de sa très vaste production. Il en couvrira tous les genres : roman sentimental, policier, d’aventures, de cape et d’épée, et de science-fiction. Son itinéraire politique étonne également. Longtemps engagé auprès des républicains-socialistes, il devient maire de Banyuls-sur-Mer sous cette étiquette, et rédacteur en chef d’une revue politique parrainée par Léon Bourgeois et Ferdinand Buisson. D’Espie bascule cependant dès 1940 du côté de la collaboration. Il prend alors la tête des Éditions Ferenczi qu’il aryanise et met au service de la propagande nazie, propagande à laquelle il contribue aussi de sa plume. Ambitieux et opportuniste, d’Espie a choisi en politique comme dans les lettres, les chemins qui menaient le plus vite au succès, au mépris d’idéaux vite oubliés, et d’une postérité qui ne pourra lui pardonner ses errements. / Mostly known under the pseudonym Jean de La Hire, the French writer, editor and politician Adolphe d’Espie (1878-1956) might not be on many people’s minds nowadays. Yet, his works were very popular in his time, delighting a vast audience including young Jean-Paul Sartre, who names him as one of his favorite authors. And his baffling itinerary raises many questions. Beginning his literary career as a very elitist novelist, young d’Espie befriends figures such as Pierre Louÿs, José-Maria de Heredia, Colette and Willy, and dreams to become the new Balzac. He still ended up owing his fame to popular literature. His prolific production in the field covers many genre: romance novel, crime novel, adventure novels, and even science fiction. The paths he followed in politics puzzle as well. A long standing supporter of the “radical” movement, and elected mayor under this label, d’Espie became editor in chief of a political review sponsored by future Nobel Peace Prize-winning Léon Bourgeois and Ferdinand Buisson. In 1940, d’Espie however sides with the German occupying forces. He takes the helm of a publishing house confiscated to Jewish owners, and writes and publishes propaganda in favor of the Nazis. Ambition and opportunism seem in both cases the reason accounting for these flip-flops – d’Espie always going for the quickest way to success, disregarding both his ideals and a posterity that will not be able to forgive his mistakes.
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Akutagawa Ryūnosuke : une écriture du fragment / Akutagawa Ryūnosuke and fragmentary writing

Beauvieux, Marie-Noelle 19 September 2016 (has links)
L’écriture fragmentaire est le lieu d’un flou théorique. Elle est tout d’abord le fruit d’une appréhension intuitive, pragmatique : est fragmentaire tout texte perçu comme tel. D’Héraclite aux surréalistes en passant par Montaigne ou les frères Schlegel, l’écriture fragmentaire est protéiforme. Cependant, dans le champ de la théorie littéraire française, elle n’est généralement envisagée que dans son versant aphoristique et définie à partir d’un corpus composé de textes au statut littéraire à la limite d’un autre champ disciplinaire (la critique, la philosophie), majoritairement en langues occidentales, relevant d’une énonciation sérieuse et factuelle dont la fragmentation relève d’une démarche consciente de pensée et d’écriture. Cette thèse a ainsi pour objectif de montrer, à travers le cas particulier de la poétique singulière du fragment chez Akutagawa Ryūnosuke, l’existence d’un fragment non purement factuel, provenant d’une aire culturelle non occidentale, qui s’inscrit plus largement dans cette écriture de la crise qu’est le fragment moderne selon Françoise Susini-Anastopoulos. Les textes d’Akutagawa qui font l’objet de cette étude sont de nature variée : narratifs, autobiographiques, factuels, fictionnels, aphoristiques ou encore poétiques, ils relèvent néanmoins d’une même esthétique fragmentaire. En confrontant ces textes d’un écrivain japonais du début du XXe siècle aux réflexions théoriques tant japonaises que françaises sur les écritures brèves discontinues, nous tentons de redéfinir les contours d’une écriture fragmentaire littéraire tout en proposant une nouvelle grille de lecture pour des textes divers pour lesquels la catégorisation générique est souvent problématique. Le fragment chez Akutagawa s’articulerait ainsi autour de deux pôles : un brouillage du cadre générique dans lequel s’inscrit le texte, ainsi qu’une énonciation ironique, souvent secondée par un usage prégnant de l’intertextualité. / Fragmentary writing is difficult to define. It is, first of all, the result of a pragmatic, intuitive understanding: a text is called fragmentary when it is perceived as such. From Heraclitus, Montaigne, the Schlegel brothers to the surrealists, fragmentary writing takes many forms. However, in French literary theory, it is often limited to aphoristic texts. Its corpus is made of literary texts mostly written in European languages, which could also belong to another field (like critic or philosophy), which are non-fictional, and where fragmentation is a conscious, voluntary process of thinking and writing.This thesis aims to show, through the concrete example of Akutagawa Ryūnosuke’s poetics of fragmentary writing, the existence of a fragment outside the fiction / non-fiction dichotomy, from a non-western cultural area, which belongs to the modern fragment as crisis literature defined by Françoise Susini-Anastopoulos.In this thesis, we look at various texts written by Akutagawa. Be they narrative, fictional, non-fictional, autobiographical, poetic or aphoristic: all these texts have a common fragmentary aesthetic, despite their diversity. By reading these texts written by a Japanese writer who lived at the beginning of the 20th century under the light of Japanese and French critical works on short and discontinuous writings, we are trying to redefine the outline of a literary fragmentary writing while suggesting a new way of reading them beyond the very different generic categories they are usually thought to belong to. Accordingly, two features could describe Akutagawa’s fragmentary writing: a problematical generic categorization deliberately constructed in the texts, and an ironic voice, which is often accompanied by intertextuality. This thesis aims to show, through the concrete example of Akutagawa Ryūnosuke’s poetics of fragmentary writing, the existence of a fragment outside of the fiction / non-fiction dichotomy, from a non-western cultural area, which belongs to the modern fragment as crisis literature defined by Françoise Susini-Anastopoulos.In this thesis, we look at various texts written by Akutagawa. Narrative, fictional, non-fictional, autobiographical, poetic, aphoristic: all the texts have, despite their diversity, a common fragmentary aesthetic. By reading these texts, written by a Japanese writer who lived at the beginning of the 20th century, under the light of Japanese and French critical works on short and discontinuous writings, we are trying to redefine the outline of a literary fragmentary writing while suggesting a new way of reading problematical texts in terms of literary genre. Accordingly, two features could describe Akutagawa’s fragmentary writing: a problematical generic categorization deliberately constructed in the text and an ironic voice, which is often accompanied by a prominent intertextuality.
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L'arbre sans tronc : Les Fleurs du mal de Charles Baudelaire en hébreu : présence, influence, traductions / The trunkless tree : Baudelaire's Flowers of Evil in hebrew

Manor, Dory 02 March 2017 (has links)
La présente thèse cherche à étudier l’histoire de la réception et de la présence de Charles Baudelaire dans l'univers poétique de l'hébreu moderne, à travers l'influence de son œuvre sur la création poétique en hébreu comme à travers les traductions hébraïques de sa poésie. Cette dernière partie inclut une analyse comparative approfondie de différentes traductions de la poésie de Baudelaire parues en hébreu au courant du XXe siècle.À travers cette approche nous cherchons à voir dans quelle mesure il existe des corrélations entre la traduction et la réception poétique de Baudelaire d'une part, et l'évolution particulièrement rapide du langage poétique de l'hébreu moderne d'autre part.Dans toutes les générations de la poésie de l’hébreu moderne, des auteurs majeurs ont traduit Baudelaire. Ce grand intérêt pour sa poésie s'explique, entre autres raisons, par le motif suivant : traduire Baudelaire en hébreu constitue un projet singulier de par le statut unique de son œuvre qui est à la fois la pierre angulaire de la Modernité poétique en général, et le point de départ de la poésie hébraïque moderne en particulier.La poésie hébraïque moderne peut être comparée à un arbre sans tronc ; ses racines, les textes de l'hébreu classique, sont profondes et séculaires. Sa cime, la nouvelle création poétique des 120 dernières années, est fraîche et verdoyante. Mais s'il tient debout, c'est grâce à ses branches qui sont suspendues sur les riches ramifications de ses voisins – les corpus poétiques étrangers qui ont toujours alimenté ce jeune corpus. Traduire Baudelaire en hébreu moderne, c'est – symboliquement – contribuer à greffer, rétroactivement, un tronc sur cet arbre. / This thesis examines the history of the reception and of the immanence of Charles Baudelaire in Modern Hebrew poetry through the influence of his work on original poetic work in Hebrew and through the translations of his poems into Hebrew. As part of the latter, a detailed comparative analysis is offered of some of Baudelaire’s poems translated into Hebrew and published through the 20th century.In examining these questions we wish to examine the extent to which one may trace a correlation between, on the one hand, the translation and reception of Baudelaire’s poetry and, on the other hand, the exceptionally rapid evolution of Modern Hebrew poetic language.In every generation of Modern Hebrew poetry, Baudelaire was translated by major authors. This significant interest in his poetry can be attributed, among other reasons, to the constructive role that such translation plays in Hebrew. For, in the Hebrew context, Baudelaire's poetry has a unique role: he is both a keystone of Modern poetry in general and the starting point of Modern Hebrew poetry in particular.Modern Hebrew poetry can be compared to a tree without a trunk: Its roots – the classical Hebrew texts – are ancient and deep. Its crown – the New Hebrew creation of the last 120 years – is fresh and green. But what keeps it standing are its branches that lean on the rich offshoots of its neighbours in the forest: the foreign poetic corpora which have always nourished this young literature, born modern. Translating Baudelaire into Modern Hebrew implies, symbolically, a contribution to the retrospective grafting of a trunk to the tree.
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Charles Dickens, un auteur de transition à la croisée du gothique et du policier / Charles Dickens, an Author of Transition at the Crossroads of the Gothic and the Detective Fictions

Pingitore Gavin, Viviane 23 November 2018 (has links)
Afin d'explorer la transition du genre Gothique vers le Policier dans la fiction de Dickens, notre étude suivra un plan général en trois grandes parties, divisées elles-mêmes en trois chapitres chacune. Il s'agira tout d'abord de présenter le contexte sociétal qui a conduit à la collision de deux genres littéraires, le Gothique et le Policier. Pour cela nous définirons les caractéristiques du Gothique dickensien. Dickens met en scène un univers doublement familier – un univers qui appartient au passé, un monde réel connu de ses lecteurs, mais également un univers qui appartient à l'histoire de la fiction, qui relève d'une intertextualité forte, que l'on pourrait qualifier de typique, aisément partagée par ses lecteurs. En second lieu, nous nous tournerons vers les effets de cette transition violente sur la mémoire des personnages, en définissant d'abord l'expression du trauma dans la fiction de Dickens. Nous verrons que le trauma repose en particulier sur le trouble identitaire que créent le sentiment d'une faillite de l'appartenance, ainsi que la disparition des repères que les Victoriens, et les personnages que Dickens met en scène, pensaient immuables. Dans un troisième temps, nous montrerons comment le Gothique et le Policier interagissent dans la fiction de Dickens, en analysant les éléments de société qui expliquent, à notre avis, cette rencontre presque contre nature – puisqu'on pourrait supposer que l'explication rationnelle obtenue au terme d'une fiction policière résolve les tensions gothiques. Nous verrons qu'il n'en est rien, et que la résolution des enquêtes ne libère pas complètement la fiction d'un après-coup gothique. Afin d'illustrer cette ligne d'analyse, nous étudierons la passation des pouvoirs entre les hommes de loi et les détectives, une passation des pouvoirs visible à la fois dans la société victorienne et dans le texte dickensien, et enfin la rémanence du Gothique qui fait des détectives les antiquaires d'un nouveau genre. / In order to investigate the transition from the Gothic genre to the detective fiction in Charles Dickens's works, our study will first concentrate on the Victorian social context that led to the collision of two literary genres, the Gothic and the detective fiction. We will define Dickensian Gothic. Actually, Dickens stages a twofold familiar universe. One universe belongs to the past – a real world that is well known to the readers. The second universe shows an insertion in literary history of an intertextual fabric – described as typical and easily shared by his readers. We will then deal with the effects of this violent collision upon the characters' memories and will define the expression of trauma in Dickens's fiction. Trauma primarily rests upon identity confusion. It originates from a sense of failure of identity belonging together with a sense of loss of society bearings that Dickens's characters experience and thought to be immutable. Finally, we will show how Gothic and Detective fictions interact in Dickens's fiction. We will analyse the societal elements that explain this almost against nature meeting for we could assume that the rational explanation that comes at the end of the detective novel should solve the Gothic tensions. But in fact, the solving of the inquests doesn't free the fiction from a Gothic aftermath. We will then study the transfer of powers from lawyers to detective police officers. This transfer of powers is noticeable both in Victorian society and the Dickensian text. We will then conclude with the persistence of Gothic in Dickens's fiction that makes detective police officers some sort of antiquarians of a new genre.
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Engendered Conversations: Gender Subversion Through Fictional Dialogue in Lawrence, Hemingway and Forster

Snelgrove, Allison 04 1900 (has links)
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Représenter l’espace habité par les dieux ? La Méditerranée de la mosaïque aux Îles d’Ammaedara (Haïdra, Tunisie) / Representing the world inhabited by gods? The Mediterranean of the «Mosaïque aux Îles » of Ammaedara (Haïdra, Tunisia)

Takimoto, Miwa 14 January 2017 (has links)
Que cherchent à représenter et à percevoir les Romains, lorsqu’ils décrivent un parcours topographique ou géographique dans le cadre de l’art figuré ? Comment construisent-ils mentalement les déplacements géographiques réels ou imaginaires ? Comment se construit la carte mentale entre l’image et le récit ? La « mosaïque aux Îles » d’Haïdra est un parfait exemple qui nous permet de réfléchir sur ces questions. Elle a été découverte en 1995 sur le sol d’une pièce d’un grand édifice dans le quartier suburbain de la cité antique d’Ammaedara en Afrique proconsulaire. Attribuée à la fin du IIIe ou au début du IVe siècle, cette mosaïque offre la vue d’un espace insulaire avec une série de quinze îles et villes de la Méditerranée orientale et de la Sicile dont douze sont désignées par une légende en latin : Cnidos, Cnossos, Cypros, Cytherae, Egusa, Erycos, Idalium, Lemnos, Naxos, Paphos, Rhodos et Scyros. La représentation des îles et des villes ainsi que la manière de restituer leur succession ne correspondent pas à la réalité géographique, alors que ces zones ont été décrites par les auteurs anciens. Ce travail se propose d’étudier la structuration spatiale, la coordination et le montage des éléments réalistes et imaginaires des lieux dans l’art romain, à partir de cette mosaïque. Il s’agira d’analyser les différentes images qui rendent compte de la dualité à la frontière entre la notion de paysage figuré et celle de la cartographie ; il s’agira également de recueillir dans les sources écrites les descriptions spatiales de la géographie physique et littéraire évoquant un paysage culturel. / What do the Romans aim to represent and perceive when they describe a topographical or geographical trajectory within the framework of figurative art? How do they mentally build real or imagined geographical journeys? How is the mental path created from the image and the narrative? The "Mosaïque aux Îles" of Haidra is a perfect example that allows us to think about these issues. It was discovered in 1995 on the floor of a room in a large building in the suburban district of the ancient city of Ammaedara in Africa Proconsularis. Attributed to the end of the 3rd or the beginning of the 4th century, this mosaic offers the view of an insular space with a series of fifteen islands and cities of the eastern Mediterranean and Sicily, twelve of which are designated by an inscription in Latin: Cnidos, Cnossos, Cypros, Cytherae, Egusa, Erycos, Idalium, Lemnos, Naxos, Paphos, Rhodos, and Scyros. Therepresentation of islands and cities as well as the manner of reconstructing their succession do not correspond to the geographical reality, although ancient authors have described these areas. This work aims to study the spatial structuring, the coordination, and the assembly of the realistic and imaginary elements of places in Roman art, on the basis of this mosaic. The different images that represent the duality at the boundary between the notion of landscape painting and that of cartography have been analysed. Also, the spatial descriptions of the physical and literary geography evoking a cultural landscape have been collected in the written sources.
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Traços feministas em traduções brasileiras de obras de Anne Hébert / Feminist traits in the Brazilian translation of Anne Hébert works

Pôrto, Lílian Virgínia 01 October 2012 (has links)
Submitted by Cláudia Bueno (claudiamoura18@gmail.com) on 2016-02-17T16:01:05Z No. of bitstreams: 2 Tese - Lílian Virgínia Pôrto - 2012.pdf: 3206249 bytes, checksum: 989d087e3eefaa57ed2030553fbffb37 (MD5) license_rdf: 23148 bytes, checksum: 9da0b6dfac957114c6a7714714b86306 (MD5) / Approved for entry into archive by Luciana Ferreira (lucgeral@gmail.com) on 2016-02-22T12:30:45Z (GMT) No. of bitstreams: 2 Tese - Lílian Virgínia Pôrto - 2012.pdf: 3206249 bytes, checksum: 989d087e3eefaa57ed2030553fbffb37 (MD5) license_rdf: 23148 bytes, checksum: 9da0b6dfac957114c6a7714714b86306 (MD5) / Made available in DSpace on 2016-02-22T12:30:45Z (GMT). No. of bitstreams: 2 Tese - Lílian Virgínia Pôrto - 2012.pdf: 3206249 bytes, checksum: 989d087e3eefaa57ed2030553fbffb37 (MD5) license_rdf: 23148 bytes, checksum: 9da0b6dfac957114c6a7714714b86306 (MD5) Previous issue date: 2012-10-01 / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior - CAPES / L’objectif de ce travail est d’analyser les traits féministes de la traduction brésilienne des trois oeuvres de l’écrivaine québécoise Anne Hébert (1916-2000) : Kamouraska (1970), Les fous de Bassan (1982) et La cage (1990). Nous effectuerons une étude comparative entre les textes originaux et ses respectives traductions, réalisées par Leônidas Gontijo de Carvalho (A máscara da Inocência − 1972), Vera de Azambuja Harvey (Os gansos selvagens de Bassan − 1986), Núbia Hanciau (A gaiola de ferro − 2003). Nous proposons, d’après Antoine Berman (1995), une lecture textuelle et contextuelle de la traduction en partant de la prémisse que traduire ce n’est pas opérer un transfert de sens. Ainsi, la traduction sera conçue comme lecture, interprétation, réécriture et création, selon les théoriciens : Lefevere (2007), Simon (1994) et von Flotow (1997). Nous adopterons une perspective analytique plurielle, en ayant recours aux textes de spécialistes de l’oeuvre hébertienne, aux théoriciens des études de traduction, de la traduction féministe et des études de genre comme Rita Felski (1989), Sherry Simon (1996), Suzanne de Lotbinière-Harwood (1991), France Théoret (1987). Ainsi, partant de cette vision plurielle, nous chercherons à analyser comment la femme hébertienne lucide, forte, pleine de vitalité et quelques fois sans scrupules est représentée dans les traductions brésiliennes. Nous analyserons également, des personnages féminins, rares il faut le dire, qui n’arrivent pas à exprimer leur mécontentement face à l’oppression patriarcale. Pour ce faire, nous examinerons, dans le premier chapitre, la position qu’occupe Anne Hébert concernant les réflexions sur l’écriture au féminin dans le contexte canadien. Cette discussion nous mènera, inévitablement, à ce qu’on appelle traduction féministe et le rôle qui a joué Anne Hébert dans cette nouvelle pratique de traduction. Dans les chapitres suivants, nous analyserons les oeuvres qui constituent le corpus de ce travail, en dédiant un chapitre à chaque livre, dans lequel nous effectuerons une confrontation des fragments des textes originaux et leurs traductions vers le portugais, en mettant en relief différents thèmes qui permettent l’examen des traits féministes, en nous appuyant sur les modalités de traductions de Francis Aubert (1998). De ce fait, dans Kamouraska, nous explorerons la représentation de la maternité, ainsi que la présence de la sexualité et de la violence, nous considèrerons, surtout, les textes de Lori Saint-Martin (1999) et Elisabeth Grosz (2000). Dans Les fous de Bassan, nous identifierons différents types de résistance face aux pouvoirs patriarcaux − observés dans les personnages féminins de l’oeuvre − en ayant comme appui théorique principal les considérations de Michel Foucault sur le pouvoir et la résistance. Dans La cage, finalement, nous analyserons la lecture féministe de l’histoire de la Corriveau, populaire au Québec, à la lumière de contributions de Michel Pêcheux (1999), Lévi-Strauss (1967) et Maurice Halbwachs (2006), pour les questions liées au mythe et à la mémoire. Pour les questions féministes, nous aurons recours, entre autres, à Luce Irigaray (1981), à Simone de Beauvoir (2003), entre autres. / The aim of this study is to examine feminist traits in the Brazilian translation of the following works of Quebec writer Anne Hébert (1916-2000): Kamouraska (1970), Les fous de Bassan (1982) and La cage (1990). The original texts and their respective translations by Leonidas Gontijo de Carvalho (A mascara da Inocência – 1972), Vera de Azambuja Harvey (Os gansos selvagens de Bassan – 1986), Nubia Hanciau (A gaiola de ferro – 2003) are analyzed from a comparative perspective. A textual and contextual reading of the translation is proposed based upon the premise of Antoine Berman (1995) that translating is not the same as transferring meanings. In this sense, translation is considered as reading, interpretation, rewriting and creation, according to the theorists: Lefevere (2007), Simon (1994) and von Flotow (1997). This analytical perspective considers both critical texts of Hebertian work and theorists of translation studies − especially those of feminist trait and from gender studies, such as Rita Felski (1989), Sherry Simon (1996), Suzanne Lotbinière-Harwood (1991), France Theoret (1987). Face to these multiple points of view, we seek to demonstrate if the lucid, strong, full of vitality and sometimes unscrupulous Hebertian woman is represented as such in the Brazilian translations. In addition, we focus on those characters, it must be said rare, that are not able to express their dissatisfaction before the patriarchal oppression to which they are subjugated. To do so, the position that Anne Hébert holds within reflections on écriture au féminin in the Canadian context is discussed in the first chapter. We believe that such discussion leads inevitably to the so called feminist translation and to the role Hébert played in the introduction of this new practice of translation. In the following chapters, we bring our attention to the works that make up the corpus of this thesis. We have devoted a chapter for each one of the books in which fragments of the original texts and their translations into Portuguese are confronted. Such approach takes into account a diversity of themes that allow the analysis of feminist traits according to the translation modalities of Francis Aubert (1998). Therefore, in Kamouraska we explore the representation of motherhood and the presence of sexuality and violence, especially considering the texts of Lori Saint-Martin (1999) and Elisabeth Grosz (2000). In Les fous de Bassan different types of resistance against the patriarchal powers are identified in female characters in accordance to the thinking developed by Michel Foucault (1979) regarding power and resistance. Finally, in La cage, we analyze the feminist reading of the story of Corriveau, popular in Quebec, taking into account the contributions of Michel Pêcheux (1999), Levi-Strauss (1967) and Maurice Halbwachs (2006), with respect to issues related to myth and memory. For the feminist issues, on the other hand, we recur to Luce Irigaray (1981) and Simone de Beauvoir (2003), among others. / O objetivo deste trabalho é analisar os traços feministas na tradução brasileira das seguintes obras da escritora quebequense Anne Hébert (1916-2000): Kamouraska (1970), Les fous de Bassan (1982) e La cage (1990). Faremos um estudo comparativo entre os textos originais e suas respectivas traduções, realizadas por Leônidas Gontijo de Carvalho (A máscara da Inocência − 1972), Vera de Azambuja Harvey (Os gansos selvagens de Bassan − 1986), Núbia Hanciau (A gaiola de ferro − 2003). Será proposta, na esteira de Antoine Berman (1995), uma leitura textual e contextual da tradução, tendo como base a premissa de que traduzir não é o mesmo que transferir significados. Nesse sentido, a tradução será concebida como leitura, interpretação, reescrita e criação, conforme os teóricos: Lefevere (2007), Simon (1994) e von Flotow (1997). Adotaremos uma perspectiva analítica que englobará tanto os textos de críticos da obra hebertiana quanto os teóricos dos estudos da tradução − contemplando principalmente aqueles de vertente feminista e os estudos de gênero, tais como Rita Felski (1989), Sherry Simon (1996), Suzanne de Lotbinière-Harwood (1991), France Théoret (1987). Face a essa múltipla visão, buscaremos demonstrar se a mulher hebertiana lúcida, forte, cheia de vitalidade e às vezes inescrupulosa, é dessa forma representada pelas traduções brasileiras. Além disso, enfocaremos aquelas personagens, cumpre dizer raras, que não conseguem expressar o seu descontentamento diante da opressão patriarcal à qual são subjugadas. Para tanto, será discutida, no primeiro capítulo, a posição que Anne Hébert ocupa no âmbito das reflexões sobre a écriture au féminin no contexto canadense. Tal discussão, acredita-se, nos leva, inevitavelmente, à chamada tradução feminista e ao papel que Hébert desempenhou na introdução dessa nova prática de tradução. Nos capítulos seguintes, traremos à baila as obras que constituem o corpus da presente tese. Nesse caso, destinaremos um capítulo para cada um dos livros, de forma a cotejar fragmentos dos textos originais e suas traduções para o português. O enfoque a ser dado obedecerá a diferentes temas que possibilitam o exame de traços feministas, de modo a serem consideradas as modalidades tradutórias de Francis Aubert (1998). Assim, em Kamouraska, exploraremos a representação da maternidade, bem como a presença da sexualidade e da violência, considerando, sobretudo, os textos de Lori-Saint Martin (1999) e Elisabeth Grosz (2000). Em Les fous de Bassan, serão identificados diferentes tipos de resistência frente aos poderes patriarcais − observados nas personagens femininas da obra − conforme o pensamento desenvolvido por Michel Foucault (1979) a respeito de poder e resistência. Por fim, em La cage, analisaremos a leitura feminista da história da Corriveau, popular no Quebec, tendo em conta as contribuições de Michel Pêcheux (1999), Lévi-Strauss (1967) e Maurice Halbwachs (2006), no que concerne às questões relacionadas ao mito e à memória. Para as questões feministas, por sua vez, recorreremos a Luce Irigaray (1981) e Simone de Beauvoir (2003), entre outras.
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Les artistes de la Société libre des Beaux-Arts :posture collective et carrières individuelles dans le monde de l’art en Belgique (1860-1880)

Berger, Emilie 01 April 2019 (has links) (PDF)
1868, Bruxelles, trente-quatre artistes, principalement des peintres belges, s’organisent en groupe sous la dénomination de « Société libre des Beaux-Arts ». Parmi eux, de nombreux peintres tenants du réalisme tels que Louis Artan, Alfred Verwée, Louis Dubois, Félicien Rops et Marie Collart. Désireux d’enrôler de nouveaux membres, ils publient leurs statuts et leur programme dont les axes principaux sont l’opposition au dogmatisme des peintres « conservateurs » et l’appui d’un « renouvellement des arts » à l’aune de la « liberté », du « progrès » et d’un respect de « (…) l’école nationale ». Durant son existence, la société organisera trois expositions en marge de l’institution et se munira d’une revue L’Art libre. / En se focalisant sur la Société libre des Beaux-Arts (1868-1876) et ses artistes, notre thèse a pour objectif de contribuer à l’étude du fonctionnement et de la restructuration du monde artistique en Belgique dans la seconde moitié du XIXe siècle. La création d’une société d’artistes véhiculant des valeurs tant identitaires qu’esthétiques constitue en effet une nouvelle façon de s’imposer comme artiste dans la sphère publique. Auparavant, seules les infrastructures étatiques (Salons, Musées, Classe des Beaux-Arts, etc.) posaient les critères de mise en valeur d’une élite artistique. / Par le biais d’une étude des stratégies médiatiques et commerciales de la société et des trajectoires professionnelles de quarante-trois peintres membres, nous proposons de confronter la posture collective d’artistes « indépendants » véhiculée à la réalité de leurs pratiques. Quels étaient les enjeux d’une telle structure adoptant une posture d’avant-garde à l’image de celle qui s’était forgée quelques années plus tôt à Paris ? Derrière cette construction identitaire, peut-on véritablement considérer ces artistes comme des « révolutionnaires » et des « indépendants » ? Qui étaient ces artistes ? Où exposaient-ils et quel type d’œuvre montraient-ils ? Ont-ils pu compter sur les moyens d’automédiation mis en place par le groupe pour assurer leur reconnaissance, trouver un public et vivre de leur art ? Quel fut leur rapport effectif aux institutions officielles ?Il s’agit d’observer les actions concrètes posées par ces acteurs afin d’assurer leur émergence et leur reconnaissance dans un champ artistique en mutation. Pour ce faire, nous avons ciblé trois « moyens de médiation » soit trois moments de mise en relation de leur personne et de leurs œuvres avec le public que sont l’exposition, la critique d’art et le marché de l’art. / My research is focused on the careers of the painters who were members of the « Société libre des Beaux-Arts » (1868-1876), Belgium's first independent association of artists based on an aesthetic principle. With the aim of increasing the recognition and visibility of naturalistic paintings on the art scene, the association organized several exhibitions and published periodicals by supporting art critics. The « Société libre des Beaux-Arts » included approximately forty painters such as L. Artan, L. Dubois, C. Meunier and F. Rops. By analysing their use of exhibitions and the media, their critical reception and their place in the art market, I try to explore the emergence of the « independent artist » and the eventual transition from « the academic system » to « the dealer-critic system » in Belgium. / Doctorat en Histoire, histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La foule dans les écrits journalistiques et romanesques : étude de la spécificité de la foule dans l’écriture zolienne / The crowd in the journalistic and fictional writings : study on the specificity of the crowd in the Zola’s writing

Lee, Junghwan 19 March 2019 (has links)
Notre intérêt réside dans le traitement de la question de la foule chez Zola sous l’angle d’une méthode pluridisciplinaire et à travers plusieurs genres d’écriture. Nous menons notre recherche autour de deux hypothèses. La première concerne l’application du cadre chronologique, qui nous permet de comparer l’évolution des idées de la foule chez Zola dans des articles de journaux (enquêtes, interviews, journaux intimes publiés à titre posthume) et dans ses œuvres romanesques. En prêtant une attention constante à ses activités journalistiques, nous démontrons que c’est pendant la période dite « journalistico-littéraire » qu’il développa ses stratégies face à la foule qui se concrétise, autour de trois œuvres choisies, Thérèse Raquin (1867-1868), Nana (1879-1880) et Paris (1897-1898). Notre deuxième hypothèse prend appui sur l’existence d’une certaine dialectique entre le public et la foule dans le traitement de la foule chez Zola. Celle-ci s’intéresse à la dialectique de la « foule-public », mot-valise qui permet de résumer notre travail de thèse. Cette combinaison s’inspire du contraste entre une approche analytique et une approche synthétique, et souligne la particularité du processus éditorial dans lequel se trouvent l’auteur (Zola), les éditeurs médiatiques et les lecteurs (forme concrétisée de la « foule-public »). C’est la « foule-public » qui contribue au processus nommé « la littérature au quotidien », et qui se concrétise, à travers notre recherche, par certaines formes de poétique journalistiques et littéraires au XIXe siècle. / Our interest lies in the treatment of Zola’s crowd questions in adopting a pluridisciplinary methodology and studying the various genres of writings. Our research is conducted under the two following hypotheses. The first hypothesis concerns the application of chronological framing to compare the evolution processes shown in the Zola’s ideas on crowd, published in various newspaper articles (investigations, interviews, private journals released posthumously) and in his fictional works. Our constant focus on his journalistic activities shows us that it was during the so-called “journalistico-literary period” which he could develop his own strategies for the crowd taking shape throughout three chosen fictional works: Thérèse Raquin (1867-1868), Nana (1879-1880) and Paris (1897-1898). The second hypothesis interests in the dialectics of “crowdpublic”, a keyword to summarize the dissertation. This word was inspired by a contrast between an analytical approach and a synthetic approach to and puts an emphasis on the characteristics detected inside the editorial process where the author (Zola), the media editors and readers (a form which the “crowd-public” can take) can communicate with each other. It is the “crowd-public” who contributes to a process called “daily literature” and, as reveals our research, this is realized in certain forms of journalistic and literary poetics in the Nineteenth-Century.
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Ford Madox Ford et les arts : peinture, musique et arts du spectacle dans l'oeuvre romanesque. / Ford Madox Ford and the arts : painting, music and the performing arts in the novels

Becquet, Alexandra 09 December 2013 (has links)
Ford Madox Ford est un écrivain impressionniste qui se veut historien de son temps et paraît représenter la vie moderne grâce à un texte envisagé à partir du visuel pour faire voir. Il encourage ainsi le rapprochement de son écriture avec l’art des peintres français du XIXème siècle, mais il engage dans ses récits une multitude d’arts et d’esthétiques afin de produire son impression suivant sa pensée originale et singulière. Celle-ci soutient l’accumulation et l’association artistiques mises en œuvre dans les romans en brisant les cadres esthétiques établis pour fusionner arts et esthétiques dans une forme qui s’adapte au réel afin d’en structurer l’informe et de le révéler pour en offrir une expérience au lecteur. Soumis au pictural et au théâtral pour se donner à voir dans des tableaux et des scènes, le récit dévoile en fait comment la modernité résiste à l’illusion mimétique. Peinture et théâtre figurent donc non le visible mais sa perte, et les romans sont poussés par leur objet à la dé-figuration proprement moderne que l’esthétique fordienne promeut et que le cinéma porte. Celui-ci donne alors accès à la vision d’un monde fragmenté et en mouvement par sa totalisation dans la métamorphose continue du filmique, qui en outre invite l’identification visuelle. Mais le cinématographique n’ouvre pas à la totalisation du roman, ni à ce dialogue que l’auteur entend engager avec son lecteur sym-pathique pour lui transférer son œuvre. Ce transfert se fait bien par le texte et sa structure mais en définitive hors de la figuration, grâce à la musique du roman qui à la fois gouverne, rassemble et abolit la représentation, les arts et le texte pour faire com-prendre l’œuvre. / Ford Madox Ford is an impressionist writer who purports to be a historian of his own time and seems to represent modern life in a text conceived visually to make you see. He thus encourages a parallel between his writing and the nineteenth-century French painters’ art to be drawn ; yet he draws on a vast array of arts and aesthetics in his narratives to forge his impression according to his original and singular conception of art. That conception supports the artistic accumulation and association exercised in the novels while it shatters established aesthetic frameworks to merge arts and aesthetics in a form which adapts to reality to structure its formlessness and reveals it to offer an experience of it to the reader. In obeying pictorial and theatrical norms to be seen as pictures or in scenes, the narrative in fact discloses how modernity resists mimetic illusion. So painting and the theatre do not represent visibility but its loss, and the novels are forced by their object to embrace a thoroughly modern de-figuration which Fordian aesthetics endorses and the cinema realises. The latter then grants access to the vision of a fragmented and moving world totalled by the continuous metamorphosis of film, which besides encourages visual identification. However the cinema does not lead to the totalisation of the novel, nor to the dialog which the writer intends to have with his sympathetic reader in order to transfer his artwork onto him. That transfer does happen by means of the text and its structure but ultimately without figuration, through the music of the novel which at once governs, unites and abolishes representation, the arts and the text so the artwork be com-prehended.

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