• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 50
  • 10
  • 3
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 74
  • 43
  • 22
  • 17
  • 13
  • 11
  • 8
  • 8
  • 8
  • 8
  • 7
  • 7
  • 7
  • 7
  • 7
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
31

Espinosa: uma filosofia materialista do infinito positivo / Espinosa: une philosophie matérialiste de l\'infini positif

Gainza, Mariana Cecilia de 06 February 2009 (has links)
A leitura que Hegel fez da ontologia espinosana teve uma influência maiúscula em gerações inteiras de leitores, que leram Espinosa a partir da representação hegeliana de suas supostas virtudes e defeitos. O efeito mais evidente da força que teve essa interpretação foi a difundida tendência a classificar Espinosa como um filósofo idealista. E isso, por sua vez, derivou em que importantes expoentes do pensamento crítico do século XX ignorassem seus aportes, por julgá-lo parte de uma tradição alheia às aspirações de emancipação com as quais se identificaram diversas filosofias logo da fundação teórica que a obra de Marx significou. Pretendendo abrir diálogos, a partir de Espinosa, com autores mais ou menos associados com a tradição dialética, defendemos a legitimidade de uma leitura da Ética sob uma perspectiva materialista. Como pensar a singularidade e a história no interior de uma filosofia da imanência que se sustenta sobre a afirmação da existência eterna de uma única substância infinita? Enquanto a ontologia espinosana coloca, em primeiro lugar, a existência de uma única substância absolutamente infinita, toda uma tradição de leituras da qual Hegel formou parte fez da questão relativa à determinação dos seres finitos o eixo da crítica ao espinosismo. A dificuldade para compreender a peculiar concepção espinosana da totalidade (enquanto substância), da efetividade que realiza (causalidade imanente), e das formas diversas de realidade, de produção e de determinação que a constituem (atributos, modos infinitos e modos finitos) foi, então, uma fonte prolífica de polêmicas em torno a um problema que poderíamos sintetizar assim: qual é a forma mais apropriada de pensar a determinação no interior de uma totalidade infinita? Uma leitura materialista da concepção espinosana do infinito positivo é necessária para responder essa questão. / La lecture qu\'Hegel fit de l\'ontologie spinozienne a eu une influence majeure sur des générations entières de lecteurs, qui ont lu Spinoza à partir de la représentation hégélienne des supposées vertus et défauts de celui-ci. L\'effet le plus évident de la force qu\'a eue cette interprétation fut la tendance commune à classifier Spinoza comme étant un philosophe idéaliste. Tendance qui a dérivé au point que des figures clefs de la pensée critique du vingtième siècle finirent par ignorer ses apports. Et cela parce qu\'il était jugé comme faisant partie d\'une tradition étrangère aux aspirations d\'émancipation avec lesquelles diverses philosophies se sont identifiées, à partir des nouvelles fondations instituées par l\'oeuvre de Marx. En prétendant ouvrir des dialogues, à partir de Spinoza, avec des auteurs plus ou moins associés à la tradition dialectique, nous défendons la légitimité d\'une lecture de l\'Éthique dans une perspective matérialiste. Comment peut-on penser la singularité et l\'histoire au sein d\'une philosophie de l\'immanence qui s\'appuie sur l\'affirmation de l\'existence éternelle d\'une unique substance infinie? Tandis que l\'ontologie spinozienne pose, en premier lieu, l\'existence d\'une unique substance absolument infinie, toute une tradition de lecteurs dont fit partie Hegel a fait de la question relative à la détermination des êtres finis l\'axe de la critique au spinozisme. La difficulté à comprendre la conception spinozienne, assez particulière, de la totalité (en tant que substance), celle de l\'effectivité qui réalise (la causalité immanente), ainsi que celle des différentes formes de réalité, de production et de détermination qui la constituent (les attributs, les modes infinis et les modes finis) fut alors une source prolifique de polémiques autour d\'un problème que nous pourrions résumer ainsi: quelle serait la manière la plus appropriée de penser la détermination au sein d\'une totalité infinie? Une lecture matérialiste de la pensée spinozienne de l\'infini positif s\'avère nécessaire afin de tenter de répondre à cette question.
32

Essays in materialism and compensatory consumption / Essais sur le matérialisme et la consommation compensatoire

Rustagi, Nimish 15 September 2017 (has links)
Cette thèse, constituée de trois essais, porte sur les concepts interdépendants de matérialisme et de consommation compensatoire. Le premier essai passe en revue les différentes conceptualisations du matérialisme, ainsi que ses causes et ses conséquences. J’analyse comment les différentes conceptualisations peuvent expliquer les variations des travaux de recherche et je propose un cadre conceptuel général pour analyser la recherche sur le matérialisme. Je présente également les travaux sur la notion de consommation compensatoire qui renvoie à l'utilisation et à la possession de biens matériels pour faire face aux menaces portant sur l’identité personnelle. Pour conclure ce premier essai, j’ouvre le débat sur l’opportunité de plusieurs travaux de recherche portant sur la consommation compensatoire. Dans les deux essais suivants, j’approfondis plus particulièrement les questions liées à la consommation compensatoire.Dans le deuxième essai, je reviens sur les recherches montrant que dédommager des aspects menacés de l'identité personnelle avec des produits symboliques (c'est-à-dire la consommation compensatoire intra-domaine) provoque des personnes pour ruminer les menaces sur leur identité personnelle et diminue leur ressources de maîtrise de soi.Je constate qu'une telle diminution arrive uniquement lorsque les produits sont explicitement liés avec les aspects menacés de leur identité personnelle et non quand ils sont implicitement liés avec les aspects menacés.Le troisième essai se focalise sur l'efficacité de la consommation compensatoire intra-domaine et plus précisément sur la possibilité de restaurer les éléments endommagés de l'identité personnelle. Mes résultats montrent que la restauration de l'identité personnelle est contrariée lorsque les individus sont rétribués avec des produits ayant des liens explicites avec les aspects menacés de leur identité personnelle et non lorsque ces liens sont implicites. Les liens explicites rappellent aux consommateurs les menaces et empêchent le processus de réparation de l'identité personnelle. Je teste également une condition limite de ces résultats et montre que lorsque la menace sur l’identité personnelle est implicite (par exemple, subtile ou non évidente), même les produits ayant des liens explicites peuvent permettre la réparation de l'identité personnelle. / This dissertation comprises three essays that pertain to the interelated constructs of materialism and compensatory consumption. In Essay 1, I review research on the conceptualizations, causes, and consequences of materialism, analyze how adopting different conceptualizations may account for variations in research outcomes, and suggest a broad framework for analyzing materialism research. I also introduce research on compensatory consumption, which refers to the use and possession of material goods to address self-identity threats. In the end, I discuss some ideas for future research, particularly those related to compensatory consumption. In the next two essays, I investigate specific questions on compensatory consumption. In Essay 2, I revisit extant research that shows that compensating with products symbolic of threatened aspects of self-identity (i.e., within-domain compensatory consumption) causes threat-related rumination and depletes self-control resources of individuals. I find that such depletion occurs only when products are explicitly connected to the threatened aspects of self, and not when they are implicitly connected to the threatened aspects. In Essay 3, I examine the efficacy of within-domain compensatory consumption, that is, whether it restores self-identity on aspects damaged by a self-threat. I find that self-identity repair is thwarted when threatened individuals compensate with products having explicit connections to the threatened identity domain, but not when these connections are kept implicit. Explicit, but not implicit, connections remind consumers of the threat, thereby impeding self-repair. I also test a boundary condition to these finding, and show that when the self-threat itself is implicit (e.g., subtle, non-obvious), even products with explicit connections can provide self-repair.
33

Les conditions d'impossibilité de la société sadienne

Desbiens, Justine 12 1900 (has links)
Cette étude vise à démontrer que les propos des protagonistes libertins de Sade tendent toujours vers une démarche autarcique, qu’on peut associer à une volonté exacerbée d’autonomie. Pour faire état de ce postulat, nous examinerons les convictions naturalistes et matérialistes de Sade, qui le poussent à critiquer si fortement le système religieux, qu’il considère comme une antinomique au geste de libération entamé par les philosophes. C’est que Sade est radical par son matérialisme et par son athéisme. Lorsqu’il se prononce quant au mouvement prioritaire de la nature, en faisant d’elle une force destructrice et meurtrière, Sade annihile toute possibilité d’un objet absolu et, par le fait même, de la possibilité du bonheur dans un cadre moral. Nous montrerons que c’est ce qui le force à fonder les conditions de possibilités du bonheur sur l’individualité, en ce que le plus grand plaisir est un choc issu de l’acte criminel. Influencé par le libertinage, Sade examine les conditions de possibilités du plaisir absolu, de la jouissance, comme une dernière tentative d’adéquation avec le monde. La démarche est donc complexe, ardue et interminable. Devant la difficulté de faire état d’un monde qui se conforme à ses préceptes, Sade est forcé de recourir à la communauté close, qu’on associera à l’autarcie. Cette société ne respecte pourtant pas le formalisme immoral dont on l’accuse, bien qu’elle soit souvent associée à un prosélytisme pour le despotisme. / This study aims to demonstrate that Sade’s libertine protagonists tend towards an autarchic approach, which can be associated with an exacerbated desire for autonomy. To demonstrate this premise, we will examine Sade's naturalistic and materialistic convictions, which lead him to so strongly criticize the religious system. To demonstrate this postulate, we will examine Sade's naturalistic and materialist convictions, which lead him to so strongly criticize the religious system, which he sees as an antithesis to the gesture of liberation initiated by philosophers. When he speaks out about the movement of nature, making it a primarily destructive and murderous force, Sade annihilates all possibility of an absolute object and, therefore, of the possibility of happiness in a moral framework. We will show that this is what forces him to base the conditions of happiness on individuality, in that the greatest pleasures come from a shock resulting from criminal acts. Patently influenced by libertinism, Sade is brought to examine the conditions of possibility of absolute pleasure as a last attempt at equilibrium with the world. The process is therefore complex, arduous and unending. Faced with the difficulty of describing a world that conforms to its precepts, Sade is forced to resort to the closed community, to autarky, that however does not respect the immoral formalism of which he is accused, although it is sometimes akin to proselytize for despotism.
34

La Nature dans l’oeuvre de Francis Ponge / Nature in the works of Francis Ponge

Choonwoo, Yee 10 November 2011 (has links)
L’objet de ce travail est d’éclairer l’esthétique et l’éthique de la poétique de Francis Ponge à partir de la notion de Nature. La première partie étudie la notion de Nature chez Ponge en tant que monde extérieur et son matérialisme qui, fortement influencé par le matérialisme antique, est caractérisé par l’antimétaphysique. Cette partie met également en relief le rapport étroit entre sa pensée matérialiste et la pensée immanente spinoziste, résumée dans l’expression de « Dieu ou la Nature ». Les aspects immanents des choses dans ses œuvres peuvent être mieux saisis, en effet, à l’aide de la notion d’« immanence » spinoziste. La deuxième partie explore, quant à elle, la relation entre la Nature et la littérature et le développement d’un nouveau lyrisme matérialiste chez Ponge. Pour lui, la littérature se naturalise et la Nature se littérarise. Son approbation de la Nature se traduit par sa contresignature apposée aux choses.Son nouveau lyrisme matérialiste, qui s’oppose au lyrisme traditionnel, se caractérise autour de notions telles que la vibration, l’aspiration, ou la « réson ». La troisième partie, enfin, examine le nouvel humanisme de Ponge ainsi que son éthique.La relation entre la Nature et l’homme s’articulera autour de thèmes éthiques essentiels comme l’altérité, le nouvel humanisme et le salut de l’homme. Son éthique consiste à vivre heureux. Nous l’aborderons à travers différents thèmes tels que la sagesse antique, l’harmonie du « non-soi » et du « soi », l’éthique de la joie, le hasard et la liberté. / The purpose of this study is to examine the aesthetics and the ethics of Francis Ponge’s poetry through the notion of Nature. The first part examines the concept of Nature in Ponge as the outside world and his materialism which, heavily influenced by ancient materialism, is characterized by the anti-metaphysical. This part also explore the close relationship between his idea and Spinoza’s immanent idea, summarized in the expression of "God, or Nature". The immanent aspects of things in his work can be fully understood with the help of the concept of "immanence" of Spinoza. The second part examines the relationship between Nature and literature and the development of Ponge’s new materialist lyricism. For him, literature becomes naturalized and nature becomes literarized. The approval of nature is reflected in his countersignature for things. His new materialist lyricism, contrasted with the traditional lyricism, is characterized by notions such as vibration, aspiration, "réson". The third part will focus on the new humanism and the ethics of Ponge. The relationship between Nature and man will be treated primarily on certain essential themes of ethics such as otherness, the new humanism and the salvation of man. His ethics is to live à happy life. Various topics, such as ancient wisdom, the harmony of the "non-self" and the "self", the ethics of joy, chance and freedom, will be discussed.
35

Une poétique de l’étrangeté : plasticité des corps et matérialité du pouvoir (Suzette Mayr, Marie NDiaye, Yoko Tawada) / A Poetics of Strangeness : body Plasticity and the Materiality of Power (Suzette Mayr, Marie NDiaye, Yoko Tawada)

Bujor, Flavia 23 November 2018 (has links)
La poétique de l’étrangeté est l’une des expressions d’un “retour au corps” du roman contemporain, par lequel celui-ci interroge sa propre capacité à représenter le monde social. Dans l’oeuvre de Suzette Mayr, de Marie NDiaye et de Yoko Tawada, le corps apparaît comme un objet étrange, dont l’évidence naturelle ne va plus de soi. Il est caractérisé par sa malléabilité voire par ses métamorphoses ; en même temps, il porte les marques des catégories de la domination. La poétique de l’étrangeté peut être interprétée comme une traduction littéraire du tournant théorique « matérialiste queer », qui s’efforce de penser à la fois la dynamique du pouvoir à partir de la production des subjectivités et le caractère structurel de la domination à partir de bases économiques. Au sein du corpus, le corps est à la fois « dénaturalisé » et ressaisi comme le signe d’une histoire intersectionnelle, déployée par le processus narratif. Il n’est pas tant l’expression d’une vérité de l’identité que la construction fictionnelle d’un « point de vue situé ». C’est pourquoi son étrangeté est indissociable de sa valeur narrative : c’est à partir d’un corps fictif que s’écrit une certaine perception du monde, que se redéfinissent les formes romanesques, et que se crée un usage « étrange » de la langue. Ces mutations esthétiques rendent compte, dans des termes propres au corpus, d’une possible rupture épistémique, à partir de laquelle la nature même du corps se voit réévaluée. En s’appuyant sur un dialogue entre la théorie et la fiction, qui prend source dans leur étrangeté réciproque, il s’agit d’ouvrir quelques pistes de réflexion sur l’imaginaire contemporain du corps. Par-là, c’est aussi une certaine reconfiguration littéraire du monde social qui est impliquée. / The poetics of strangeness is one of the expressions of a “return to the body” in contemporary fiction, a return through which fiction questions its own ability to depict society accurately. In the works of Suzette Mayr, Marie NDiaye and Yoko Tawada, the body appears as a strange object, the natural evidence of which can no longer be taken for granted. Its main characteristics are its plasticity, or even its tendency towards metamorphosis, and the fact that it bears the signs of domination. The poetics of strangeness can be viewed as the literary translation of the “queer materialist” turn operated in feminist studies to show how the production of subjectivity affects the dynamics of power while at the same time exposing the economically-determined, structural forms of domination. In the texts under study, the body is de-naturalized and simultaneously used as the sign of an intersectional history that shapes the narrative process. It is not so much the expression of a true identity as the fictional construction of a “situated standpoint”. That is why its strangeness cannot be separated from its narrative value : the description of a fictitious body allows to capture a certain perception of the world, to redefine narrative models, to create a “strange” use of language. These aesthetic mutations reflect, in terms proper to our corpus, a possible epistemological rupture, that leads to the reevaluation of the very “nature” of the body. Through a dialogue between theory and fiction based on their reciprocal strangeness, this thesis seeks to offer new perspectives on contemporary representations of the body and shed light on the literary reconfiguration of the social world it entails.
36

L'origine de la vie chez Maupertuis et Diderot

Boivin, Andrew 08 1900 (has links)
No description available.
37

Satire du matérialisme dans le roman féminin britannique de 1778 à 1824 : Fanny Burney, Jane Austen, Suzan Ferrier / Satire of materialism in British women novels from 1778 to 1824 : Burney, Austen, Ferrier

Dillard Eguchi, Patricia 02 April 2011 (has links)
De fortes contraintes juridiques, morales et coutumières pesaient sur les femmes de la fin du « long » 18ème siècle en Grande Bretagne. Les écrits féminins s’en ressentaient autant du point de vue des stratégies littéraires que de l’intrigue. Pour contourner les interdits et les tabous dont l’écriture féminine devait tenir compte, certaines romancières eurent recours à une satire ingénieuse qui ridiculisait les travers d’une société qui leur interdisait le sens critique. L’étude du contexte permet de faire la lumière sur le pourquoi et le comment de leurs stratégies satiriques. C’était l’époque des Lumières anglaises et écossaises, du début de la Révolution Industrielle et de la formation des classes moyennes. L’économie s’épanouissait et requérait une première « consommation de masse ». Synecdoques de la femme à vendre ou qui cherche à l’être, l’objet et l’argent sont les deux aspects d’analyse critique qui sous-tendent la structure de ce travail. La théorie de la re-création esthétique à la réception de Wolfgang Iser sert à souligner l’écart de réception possible entre le lecteur d’alors et celui de nos jours, et ensuite à susciter, investigations dans le contexte à l’appui, une émotion nouvelle à la lecture de ces ouvrages vieux de deux siècles. La théorie de la consommation de Baudrillard est choisie parce qu’elle facilite une compréhension de certains comportements autour de l’objet de personnages satirisés dans les romans. / Heavy juridical, moral and customary constraints weighed on women at the end of the « long » 18th century in Great Britain. The impact of such constraints on feminine writing touched the various literary strategies as well as the plots in the novels. In order to get round the taboos set by patriarchy - taboos that only touched the world of women – a few women writers used an ingenious kind of satire that ridiculed the faults of a society that forbade them any right to criticise. Researching the context allows us to understand the motives and the techniques of their satirical strategies. This was the time of English and Scottish Enlightenment, the beginning of the Industrial Revolution and the making of the middle classes. The economy was flourishing and led to a first wave of “mass consumption”. As synecdoches for women for sale or who wanted to be sold, objects and money are the two sides to the critical analysis that underlies the structure of this thesis. Wolfgang Iser’s theory of aesthetic re-creation by the reader is used to underline the possible gap in reception between at least two communities of readers and then, through investigation in the context, to arouse new interest for the works by Burney, Austen and Ferrier, some of them really unknown to most. Baudrillard’s theory of consumption has been chosen because it facilitates the reader’s understanding of the characters’ behaviour with respect to objects when the characters in question are the target of satire.
38

Le corps en exil. Walter Benjamin, penser le corps / The Body in Exile. Walter Benjamin, thinking the Body

Barbisan, Léa 03 December 2016 (has links)
Le corps constitue un leitmotiv discret mais persistant dans l’oeuvre de Walter Benjamin : ce travail se propose d'en relever l'importance. La question du corps ouvre un point d'accès privilégié à la réflexion anthropologique de Benjamin, déterminant tout à la fois les problématiques épistémologique, éthique et politique qui structurent son oeuvre et lui donnent sa cohérence. La première partie de ma thèse s'attache à la théorie de la connaissance : j'y montre comment le corps, se dégageant progressivement de la philosophie benjaminienne du langage, s'impose comme la matrice d'une intention irréductible à la subjectivité, apte à en subvertir les catégories et les hiérarchies. Le trouble que le corps ni sujet ni objet, lieu disloqué tout à la fois intime et étranger, jette dans la division entre l'ego et le monde amène Benjamin à réévaluer la partition entre l'être humain et la nature. La deuxième partie met en évidence le rôle du corps dans l'éthique benjaminienne, qui interroge, à partir d'une réflexion sur la vulnérabilité somatique, la ligne de partage entre l'autonomie et l'hétéronomie et, partant, l'idéal de la souveraineté. Le corps, part de « nature » dont l'humain ne peut se défaire, est ce par quoi l'être humain éprouve le temps et peut comprendre sa propre historicité. La troisième partie s'intéresse à la façon dont Benjamin pense la compénétration de la nature et de l'histoire à partir des effets que la technique déploie dans la chair de ses contemporains. De là, il s'efforce de penser l'émancipation des masses, corps collectifs excentriques, affectibles, sans silhouette ni identité déterminées, que menacent l'exploitation capitaliste et la captation fasciste. / The body constitutes a discreet but persisting leitmotiv in Walter Benjamin's work. The question of the body is a privileged approach to Benjamin's anthropological thought, of great importance for the epistemological, ethical and political issues which structure and give consistency to his work. The first part of my thesis is about the theory of knowledge. I describe how the body, gradually leaving Benjamin's philosophy of language, becomes the matrix of an intention that cannot be reduced to subjectivity and is capable of subverting its categories and hierarchies. The body, neither subject nor object, close and disquieting at the same time, a place for suffering and desire, blurs the borderline between the ego and the world. This observation leads Benjamin to a reassesment of the division between the human being and nature. The second part puts into evidence the role played by the body in Benjamin's ethics which, starting from a reflection about somatic vulnerability, examines the separation between autonomy and heteronomy. As the part of nature that we cannot dispose of, the body is what gives us the feeling of time and enables us to understand our own historicity. The third part deals with Benjamin's thought upon the interpenetration of nature and history, as he witnesses the way technology affects the bodies of his contemporaries. Hence, he reflects on the emancipation of the masses, defined as excentric collective bodies without a precise identity or outline, threatened by capitalist exploitation and fascist domination.
39

La ragione dialettica come esperienza critica : praxis, storia ed etica nella filosofia di Jean-Paul Sartre / La raison dialectique comme expérience critique : praxis, histoire et éthique dans la philosophie de Jean-Paul Sartre (1956-1965) / The dialectical reason as critical experience : praxis, history and ethics in Jean-Paul Sartre’s philosophy (1956-1965)

Collamati, Chiara 20 November 2015 (has links)
Ce travail de recherche a pour but de circonscrire, dans la pensée sartrienne des années 1960, le périmètre au sein duquel l’éthique se constitue comme possibilité de la pensée critique, c’est-à-dire comme assomption subjective de la politicité de celle-ci. Notre lecture considère les manuscrits sartriens des années 1960 sur l’éthique dialectique comme un complément fondamental de l’expérience critique conduite dans la Critique de la Raison dialectique (avril 1960). Dans cet ouvrage majeur, Sartre lie la possibilité de rendre une histoire intelligible à une refondation de la dialectique en tant que méthode d’analyse du concret historique. A partir d’une telle refondation, il devient possible de déterminer les bases épistémologiques d’une anthropologie historique et structurelle, aussi bien que les conditions de surgissement de l’agir en commun des hommes. Une fois fixés ces points, la recherche tourne autour de deux axes principaux. Le premier évalue, sur un plan à la fois méthodologique et épistémologique, l’effort sartrien visant à fournir une théorie de la connaissance au marxisme, considéré comme une expérimentation théorico-pratique encore à accomplir. A ce niveau, la méthode régressive-progressive de Sartre a été confrontée avec celle utilisée par Marx dans la critique de l’économie politique, afin d’en évaluer les points de proximité et de dépassement. Autour du deuxième axe, transversal au premier, on voit se profiler le noyau éminemment historico-politique : la compréhension dialectique des événements qui marquent subjectivement (et donc politiquement) le cours du temps historique, n’est pas séparable d’une interrogation sur l’historicité des sujets impliqués dans ce même mouvement. Pour cette raison, le statut de la subjectivité chez le Sartre des années 1960 a été interrogé à travers une analyse concernant le caractère normatif du social. Le focus sur la notion de normativité a permis, d’un côté, de comprendre l’intériorité réciproque entre la subjectivation et l’objectivation ; et, de l’autre, de fixer les bases pour une axiologie marxiste. Une telle approche permet de valoriser l’efficacité historique de la dimension éthique de la praxis, en l’assumant comme prisme à travers lequel Sartre analyse les problèmes posés par le stalinisme et les luttes de libération anticoloniale. Cela nous a conduit enfin à questionner la torsion imposée par Sartre à la notion de besoin qui devient, d’un point de vue matérialiste, la racine d’une éthique comme passage obligé pour toute politique. / The aim of this research is to delineate, within the Sartrian thought of the Sixties, the mobile perimeter inside which to define ethics as the overcoming possibility for a critical thought. In other words: as the subjective assumption of its political dimension. The shift of Sartre’s historical-political thought follows a development not yet studied enough by scholars. The manuscripts of the Sixties about dialectical ethics appear as the fundamental completion of the dialectical experience of the Critique de la Raison dialectique (1960). Sartre was not able to publish the second part of the book during his life: indeed, the blockage of that work is the result of the structural limit of every attempt to conceptualize historical experience. In the Critique, the possibility to make a single history intelligible depends on a refoundation of dialectics as research method for concrete historical reality. Starting by such refoundation, it becomes possible to define the epistemological basis of a historical structural anthropology, and the conditions for the insurgence of human collective action at the same time. In our interpretation, this approach is out of a future perfect’s logic that means out of the core of the modern sovereignty’s system. Once fixed those points, the research moves around two principal problematic axis. The first evaluates the methodological and epistemological accuracy of Sartre’s attempt to formulate a theory of knowledge for Marxism, considering this one as a theoretical-practical experiment yet to be done. At this point, Sartre’s regressive-progressive method is compared to Marx’s method of critique of political economy, evaluating affinity aspects and overcoming lines. Around the second axis, transverse to the first, the more properly historical-political plexus finds its profile: the dialectical comprehension of events connoting subjectively (that means politically) historical time’s flow isn’t detachable from questioning about the historicity of subjects involved in this flowing. For this reason, in the Sartrian thought of the Sixties the subjectivity’s status is analyzed questioning the normative disposition of social sphere: focusing on normativity allows to understand the mutual implication of subjectification and objectification, in addition to locating basis for a Marxist axiology. Moreover, this perspective allows to improve historical effectiveness of praxis’s ethical dimension. This one is the lens by which Sartre analyzes both Stalinism and colonial liberation struggles, but also the point of clarification of the torsion he imposes to the notion of longing. Materialistically, with the longing Sartre discovers the root of an ethics as the necessary step for every politics. / Il lavoro di ricerca si propone di circoscrivere, all’interno del pensiero sartriano de-gli anni ’60, il perimetro mobile entro cui si definice l’etica come possibilità ulteriore del pensiero critico, come assunzione soggettiva della sua politicità. Lo spostamento operato nella riflessione storico-politica di Sartre si compie in una direzione – seguita finora solo parzialmente dagli interpreti ‒ volta ad assumere i manoscritti degli anni ’60 sull’etica dialettica come complemento fondamentale dell’esperienza critica condotta nella Critique de la Raison dialectique (1960) ‒ il cui blocage, esito di un limite struttu-rale ed interno ad ogni concettualizzazione dell’esperienza storica, impedirà la pubbli-cazione del secondo tomo dell’opera. Nella Critique, la possibilità di rendere una storia intelligibile è sospesa alla rifondazione della dialettica come metodo d’indagine del concreto storico. A partire da tale rifondazione è possibile determinare tanto le basi epi-stemologiche di un’antropologia storica e strutturale, quanto le condizioni d’insorgenza dell’agire in comune degli uomini. Nella nostra lettura, tale prospettiva si sottrae alla logica del futuro anteriore, caratterizzante il moderno dispositivo sovranista. Fissati questi punti, la ricerca ruota attorno a due assi problematici principali. Il primo valuta, su un piano al contempo metodologico ed epistemologico, la tenuta del tentativo sar-triano di fornire una teoria della conoscenza al marxismo, reso possibile dalla convin-zione che quest’ultimo sia un esperimento teorico-pratico ancora da compiere. A questa altezza, il metodo regressivo-progressivo di Sartre viene confrontato con quello adottato dal Marx critico dell’economia politica, per valutarne i punti di vicinanza e di supera-mento. Attorno al secondo asse, trasversale al primo, si profila il plesso più propriamen-te storico-politico: la comprensione dialettica degli eventi che connotano in senso sog-gettivo (e quindi politico) il corso del tempo storico, non è separabile da un’interroga-zione sulla storicità dei soggetti che, in tale movimento, sono implicati. Per questo mo-tivo, lo statuto della soggettività nel pensiero sartriano degli anni ‘60 viene analizzato mediante un’interrogazione sul carattere normativo del sociale: il focus sulla nozione di normatività permette infatti da un lato, di comprendere l’interiorità reciproca di sogget-tivazione ed oggettivazione e, dall’altro, d’individuare le basi per un’assiologia marxi-sta. Tale prospettiva consente di valorizzare l’efficacia storica della dimensione etica 4 della praxis, attraverso cui Sartre analizza i problemi posti dallo stalinismo e dalle lotte di liberazione coloniale, ma anche d’illuminare la torsione cui egli sottopone la nozione di bisogno per farne, materialisticamente, la radice di un’etica che diviene passaggio obbligato per ogni politica.
40

La critique de la subjectivité et de ses figures chez T.W. Adorno. Une construction moderne / The critique of subjectivity and its figures by T. W. Adorno. A modern construction

Gayraud, Agnès Marie 03 December 2010 (has links)
Cette thèse expose selon une double méthode génétique et architectonique la critique adornienne de la subjectivité et de ses figures depuis les textes de critique esthétique du philosophe rédigés au milieu des années vingt jusqu’à la Dialectique négative. Les figures dont la critique thématise la réification implacable à l’âge du capitalisme avancé sont à la fois les diverses incarnations de la subjectivité (du sujet philosophique à l’individu social) et ses produits (les œuvres d’art et la culture, le système idéaliste et la société). Nous montrons que leur critique, articulée selon des régimes divers (philosophique, esthétique et sociologique) s’élabore chez le philosophe comme une véritable construction. Bâtie en vue de résister à un idéalisme irréfléchi et désuet, menaçant l’art, la philosophie et l’individu même de liquidation, cette construction fait de l’immanence subjective – extrapolée à terme à l’échelle de la société tout entière – son lieu problématique initial dont elle ne brise le cercle oppressif qu’à partir de l’exigence d’une expression de la souffrance conférant à terme à la construction sa dynamique opératoire. Sans esthétisation aucune de la pensée adornienne mais par une attention soutenue à sa présentation, ce travail vise à donner aux modèles respectifs de la critique qu’elle élabore – critique esthétique, Théorie critique et négativité – leur unité fonctionnelle propre qui ne se dissout nullement dans le fragmentaire pas plus qu’elle ne se laisse rassembler en un procès idéaliste renversé, mais présente la forme d’une construction modulaire, en mouvement, par laquelle la subjectivité se réfrène et se libère, opposant à sa propre loi la résistance matérielle du monde. / This thesis proceeds both genetically and architectonically to present Adorno’s critique of subjectivity and its figures. It relies upon a wide array of Adornian texts, ranging from the mid 1920s to the late 1960s. Adorno’s critique highlights the inescapable reification of subjectivity’s figures, which he understands as both incarnations of subjectivity (from the philosophical subject to the social individual) and products of subjectivity (works of art and culture, the idealist system and society itself). We defend that their critique, borrowing to aesthetic, sociological, and philosophical approaches, is elaborated by the philosopher as a very construction. This “construction” is built to resist an obsolete, unreflective idealism, which, in his view, threatens the arts, philosophy, and the individual with liquidation; it proceeds from subjective immanence as the problematic core of idealism, which oppressive circle it can only break through in following the demand for the expression of suffering, which gives it its critical dynamic. Through close attention to Adorno’s exposition, this work aims at restoring the functional unity of his critical models (aesthetic critique, critical theory, and negativity), which neither dissolve into fragments nor can be brought together in an inverted idealist process; it rather presents Adorno’s construction as a whole of dynamic, modular units, by means of which subjectivity both refrains and frees itself, by confronting its own laws to the material reality of the world.

Page generated in 0.0931 seconds