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La coordination des politiques d'aide au développement : de la problématique à l'analyse de l'expérience nigérienne / The coordination of development aid policies : an analysis of a case study on NigerZakari Garba, Zaratou 03 November 2011 (has links)
Depuis quelques années, la coordination de l’aide est devenue un enjeu majeur des politiques de développement. Cependant, les différences d’approche en matière de stratégies entre donateurs et bénéficiaires rend plus complexe la définition d’un mécanisme de coordination global qui doit dépasser les questions de fondements, d’enjeux, de formes et de modalités de l’aide, pour enfin s’intéresser à la problématique de coordination dans l’optique d’accroître son efficacité. Ainsi, l’efficacité de l’aide qui se trouve être au coeur d’une meilleure coordination, exige que les acteurs passent de la rhétorique à des pratiques institutionnelles nouvelles, conformément aux orientations de la Déclaration de Paris et de l’Agenda d’Accra. En considérant l’histoire globale de l’Aide Publique au Développement (APD), il y a lieu de se demander si celle-ci est structurellement conçue pour promouvoir la croissance économique et/ou pour réduire la pauvreté. En effet, les différents systèmes d’aide se sont heurtés à deux grands défis au cours des deux dernières décennies : le premier a été son inefficacité actuelle pour ce qui est de la réduction de la pauvreté à l’échelon mondial et le deuxième a consisté à vouloir contribuer à une « meilleure gouvernance mondiale ». Au regard des engagements internationaux pris par le Niger et ses partenaires au développement notamment dans le cadre des OMD, l’analyse des réalisations faites en la matière montre qu’en dépit des résultats mitigés, la recherche d’une meilleure efficacité de l’aide occupe une place de choix dans l’agenda politique des différents gouvernements nigériens depuis 2003. Pour les autorités nigériennes, l’approche stratégique adoptée en la matière vise un double objectif : accroître progressivement le volume de l’aide et renforcer son efficacité. / This paper examines aid for development coordination issues against the backdrop of a case study on Niger. Indeed partnership and aid coordination were a major dilemma among development agencies for quite some time. Somehow difference of approach in terms of strategy between international donors and recipient countries made it a real challenge to set up a global coordinating mechanism so as to break down the barriers regarding the rationale, goals, nature and modality underpinning foreign aid, if only to increase its effectiveness. That’s how the Paris Declaration on Aid Effectiveness and the Accra Agenda championed a shift from rhetoric to some new institutional orientation in development practice. Historical perspectives on Public Aid for Development (PAD) invariably a rise the question whether foreign aid is structurally meant to promote economic growth and/or reduce poverty. During the past two decades all trends in foreign assistance were confronted with two significant controversies. First, there was a growing recognition of its inefficiency to reduce poverty at global level. Secondly, donors’ focus was rather on promoting "better governance worldwide". Considerable efforts were steadily made by the Government of Niger and its partners, since the year 2003 "Project Forum" initiated by that country with a view to aligning donors’ assistance with national strategy, to give special consideration to aid effectiveness. Evidence is shown by the country’s Policy Conceptual Framework for that period, especially within the scope of the MDG’s, even though public investment outcomes proved to be ambivalent. Yet, the country engaged in a strategic approach with a double objective for achieving better efficiency of development interventions funded by foreign assistance, and, at the same time, progressively increasing the volume of aid allocations which is itself a further guaranty for raising the level of effectiveness.
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Coopération décentralisée et Objectifs du Millénaire pour le Développement : enjeux et perspectives dans l'espace francophone subsaharien / Decentralized cooperation and Millennium Development Goals : challenges and perspectives in the sub-Saharan French-speaking spaceKombo, Brice 27 June 2012 (has links)
La nécessaire lutte contre la pauvreté découle d'un constat troublant : la richesse combinée des quinze personnes les plus riches de la planète est supérieure à la valeur annuelle cumulée de la production de biens /services de l'ensemble des pays de l'Afrique subsaharienne. 20% de la population mondiale consomme plus de 80% des ressources disponibles sur la surface de la terre. Ce double constat révèle l'ampleur des efforts à accomplir pour répondre au défi des objectifs du millénaire pour le développement (OMD). La responsabilité des Etats est évidemment engagée mais les solutions sont plus à rechercher au niveau des villes et des territoires. Au plus proche des habitants, les autorités locales peuvent et doivent jouer un rôle de catalyseur du développement. Il revient aux citoyens des territoires confrontés aux problèmes de sous-développement d'imaginer et de proposer ces solutions locales. La coopération décentralisée contribue à la recherche et à l'invention de telles politiques territoriales : cadre de dialogue privilégié entre gouvernements locaux. Définie comme un partenariat entre autorités locales de nationalités différentes, cette coopération décentralisée permet un partage d'expériences – micro finance, décentralisation, bonne gouvernance etc. En clair, tous les espoirs peuvent s'inviter dans la symbiose « Coopération décentralisée et Objectifs du Millénaire pour le Développement», en tenant compte de leurs enjeux et perspectives dans l'espace francophone subsaharien. / The necessary struggle against poverty comes from an elementary remark observation: the combined wealth of the 15 richest people in the planet exceeds the total annual value of the production of the properties / services of all the countries of Sub-Saharan Africa. 20 % of the world population consumes more than 80 % of the resources available on the surface of the earth. This observation reminds the magnitude of the efforts which remain to carry out to answer the challenge of the millennium through the OMD. The responsibility of States is obviously engaged but the solutions are more to look for at the level of cities and territories. In the closest to the inhabitants, the local authorities can and have to play a role of catalyst of the development. It is up to the citizens of territories confronted with the problems of underdevelopment to imagine and to propose these local solutions. The decentralized cooperation contributes to the search and the invention of such territorial policies, because it is a frame of privileged dialogue between local governments. Defined as a partnership between local authorities of different nationalities, it allows a sharing of experiences - microfinances, decentralization, good governance etc.- Clearly, all the hopes can invite itself in the symbiosis "Decentralized Cooperation and Objectives of the Millennium for the Development by taking into account their stakes and perspectives in the Sub-Saharan French-Speaking Space".
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Les relations économiques et financières entre la France et le Sénégal de 1960 à 1974 / Economic and financial relationship between France and Senegal, from 1960 to 1974Diouf, Joseph 12 December 2015 (has links)
La thèse analyse la trajectoire de développement du Sénégal, parti d’une situation favorable avec de nombreux atouts pour se développer en 1960, à la quasi-faillite du pays en 1974. Cette analyse est menée sous l’angle des relations économiques et financières entre le Sénégal et la France, de 1960 à 1974. La démarche consiste à partir du concept de développement qui définit la coopération entre les deux pays, pour mesurer, décrire et évaluer son impact sur les politiques successives de développement, la structure de l’économie et le fonctionnement des institutions du Sénégal. Sans prétendre à l’exhaustivité, l’objectif principal consiste à tenter d’expliquer cette trajectoire de développement du pays et d’apprécier la part de responsabilité des acteurs publics et privés des deux pays. / This thesis provides an analysis of Senegal’s development trajectory from 1960 to 1974. At independence the country was in a favourable position with many assets to strengthen its development: industries, infrastructures and many famous intellectuals. However, in 1974, Senegal was in decline and facing bankruptcy. This analysis is conducted using a framework of economic and financial relations between Senegal and France from 1960 to 1974. The approach is based on the concept of development, which defines the cooperation between both countries. It aims to measure, describe, and assess its impact on the successive development policies, on Senegalese economic structures and the functioning of institutions. Without pretending to be exhaustive, the main aim is to try to explain this country’s development trajectory and appreciate the responsibility of public and private actors in both countries.
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Harmonisation et mise en cohérence des politiques d'aide publique au développement au regard des principes de la Déclaration de Paris : cas de Madagascar / Harmonization and consitency ensuring of public aid coopération policies for developpement in the eyes of Paris Declaration : Madagascar's caseRavaoharinirina, Hanitriniaina Liliane 19 April 2018 (has links)
Madagascar classé parmi les pays moins avancés et se trouvant en situation précaire a bénéficié des aides venant de nombreux bailleurs, bilatéraux et multilatéraux, traditionnels ou nouveaux pour financer pour l’appuyer à mettre en œuvre son programme de développement.Depuis son indépendance jusqu’à ce jour, il n’a cessé de recevoir des aides publiques au développement. Pourtant, jusqu’à ce jour sa situation ne s’améliore guère. L’adoption en 2005 de la Déclaration de Paris (DP) lors du forum de haut niveau par le CAD de l’OCDE a instauré une nouvelle orientation politique plus centrée sur la promotion de l’harmonisation et la coordination des politiques d’aides pour atteindre l’efficacité de toutes les actions menant à une stabilité mais également à un développement durable. Conscient des défis à relever, Madagascar s’est engagé dans cette démarche de mise en cohérence des politiques et d’harmonisation des pratiques. Il est un des cinquante pays qui ont adopté et signé cette déclaration. Cette orientation politique devait donner un souffle et recommande les partenaires techniques et financiers (PTF) à fédérer et travailler ensemble réellement pour que les aides soient vraiment un outil de développement non plus un problème du pays bénéficiaire. La dernière déclaration faite à Busan sur l’efficacité de l’aide en 2011 souligne encore sur cet aspect .Aussi, depuis 2005 le Gouvernement malgache avec l’appui de l’ensemble de ses PTF, bailleurs de fonds, a décidé de mettre en place un agenda pour l’horizon 2015. Cet agenda, une sorte de feuille de route, fixe les grandes étapes que les acteurs devraient suivre pour instaurer des mécanismes de gestion harmonisés et coordonnés des aides publiques au développement. Ce sont des cadres incitatifs de partenariat entre bailleurs et Gouvernement que ce dernier tente d’instaurer. Ces actions ont débuté par la mise en œuvre des réformes pour rendre fiables les systèmes nationaux et regagner la confiance des PTF. Par la suite, il a été procédé à la mise en place d’un organe de coordination et des mécanismes de suivi-évaluation nationale et conjointe des politiques publiques et celles des aides extérieures. Parallèlement, au niveau de chaque secteur , il est cherché l’adaptation des approches dans le but d’aller dans le sens de cette nouvelle orientation politique. Dans la pratique, ces démarches ne sont pas faciles à appliquer et des difficultés sont ressenties tant politiques que techniques. C’est ce qui engendre le désordre dans la cartographie nationale de l’aide et la méfiance dans l’application des cinq principes de mise en cohérence : Appropriation, Alignement, Harmonisation, Gestion accès sur les résultats et responsabilités mutuels connu sous le sigle d’harmonisation.L’instabilité causée par la survenance de la crise de 2009 a ralenti le processus bien enclenché bien que les résultats obtenus ont été encourageants. En effet, l’évaluation de la mise en œuvre de la DP en 2010 a évoqué une baisse de performance par rapport à celle de 2008. La recherche de complémentarité, de synergie entre les bailleurs avec comme facteurs de réussite l’appropriation des politiques sont les défis à relever. Le maintien des acquis s’avèrerait important pour éviter le recul et le retour des anciennes pratiques non adaptées à la politique de coopération internationale pour le développement . De même, du côté des autorités malgaches l’attention doit être focalisée sur le comment instaurer un climat et environnement administratif et économique sain pour regagner la confiance des acteurs nationaux de développement et les bailleurs de fonds. / Madagascar among less advanced countries in a precarious situation has benefited aids from many donors, bilateral and multilateral, traditional or new ones, to finance its development program implementation.Since its independence, it has not stopped receiving such public aids for development. However, no improvement has occurred up to now. In 2005, the adoption of the Paris Declaration during the High Level Forum by the Development Assistance Committee (DAC-OECD) established a new political orientation based on promoting harmonisation and coordinating aid policies to ensure efficiency of all actions for a sustainable stability and development. Being aware of the challenges to take up, Madagascar enrolled in the process of ensuring the politics and practise harmonization consistency. It is one of the fifty countries that adopted and signed for this declaration. The above political orientation had to provide a breath of fresh air and recommends to the technical and financial partners (PTFs) to really unite and work together so that aids could be an actual development tool and no more a problem for the beneficiary country. The last Busan Aid Effectiveness Declaration in 2011 still emphasizes this aspect .Therefore, since 2005, the malgache government with the support of all its PTFs, donors, has decided to put an agenda in place for the 2015 horizon. This agenda, a sort of roadmap, fixes the important steps that the players should follow to establish harmonized and coordinated managing mechanism of the public development aids. It is a partnership incentive between donors and government that the latter tries to establish. Those actions began with the reform implementation to make the national system reliable and to win back the PTFs’ confidence. Therefore, the implementation of the coordinating entity and the mechanism of national monitoring survey joint with public policies and external aids has been processed. Simultaneously, at each sector’s level, the approach adaptation has been searched to be in agreement with this new political orientation. In practice, these processes are not easy to carry out and some difficulties are politically and technically experienced. This engenders disorder in the national aid mapping and suspicion in the application of the five consistency principles: Ownership, Alignment, Harmonisation, Managing for results and Mutual accoutability known as harmonisation.The instability caused by the 2009 crisis occurrence has slowed down the well engaged process despite the promising results. In fact, the 2010 DP implementation survey evoked a performance decrease if compared to that of 2008. The search for complementary feature, for synergy between financial donor(s) with politics appropriation as a factor in the success are the challenges. Knowledge keeping would be important to prevent from regression and coming back to the old practices that are not adapted to the international cooperation for the development . In the same way, the malgache authority should more focalize their attention to the way how to regain the national development players’ and the donors’ trust.
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Esquisse théorique de la coopération franco-gabonaise de 1960 à nos jours : une aide publique au sous-développement ? / Theoretical draft of the French Gabonese co-operation since 1960 until nowadays : a public aid for the underdevelopment ?Passy, Brice 19 February 2013 (has links)
Le concept d'aide au développement a fait son intrusion dans l'histoire au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Le titre XIII de la constitution du 4 octobre 1958 ébaucha la politique de coopération. Le général De Gaulle entendait résoudre le dilemme : replier le drapeau tricolore sans rompre les liens historiques. Or, si la légitimité française dans le nouveau partenariat trouvait des arguties juridiques, les ambitions qu'il concentrait comportaient des faiblesses. L'engagement pour le développement peut durer « ad vitam aeternam ». La diversité d'instruments administratifs et financiers, ainsi que la multitude d'acteurs ajoutent à la confusion. Les réformes du dispositif de la coopération n'ont pas encore gommé l'idée des « mutations impromptues ». L' «Esquisse théorique de la coopération franco-gabonaise de 1960 à nos jours : une aide publique au sous-développement ? » révèle l'ambiguïté, la dichotomie entre coopération et développement. En dépit des énormes potentialités d'un pays d'environ 1,5 million d'habitants, la coopération peine à sortir les Gabonais de la pauvreté. Ils sont aussi pauvres plus d'un demi-siècle après les indépendances, qu'ils l'étaient au moment où l'administration coloniale passait la main. Si l'assistance technique française a certes permis une certaine relève de celle-ci, dite « gabonisation », l'essentiel de l'économie de ce pays reste concentré dans les mains des Français où passe une part non négligeable des investissements publics français. L'importance du Gabon pour la France a suscité une coopération de l'ombre où transpire toutes sortes de dérives antinomiques au progrès : gabegie, favoritisme, concussion, sectarisme... monolithisme. / The concept of development aid made its intrusion in history shortly after the Second World War. Title XIII of the constitution of October 4, 1958 outlined the policy of co-operation. The General De Gaulle intended to solve the dilemma : to fold up the Tricolour without breaking the historical bonds. However, if French legitimacy in the new partnership found legal quibbles, the ambitions which it concentrated comprised of the weakness. Engagement for the development can last « Ad vitam aeternam ». The diversity of administrative and financial instruments, as well as the multitude of actors add to confusion. The reforms of the mechanism of the co-operation did not gum yet the idea of the « changes impromptues ». The « theoretical draft of the French Gabonese co-operation since 1960 until nowadays : a public aid for the underdevelopment ? » reveals ambiguity, the dichotomy between co-operation and development. In spite of the enormous potentialities of a country from approximately 1,5 million inhabitants, the co-operation pains to bring out the Gabonese of the poverty line. They are as poor, 50 years after the independences, as they were at the time when the colonial administration passed the hand over. If the French technical aid allowed certainly a certain changing of this one, called « gabonisation », the essential of the economy in this country remains concentrated in the hands of the French where a considerable share of the French public investments passes. The importance of Gabon for France caused a co-operation of the shade where all kind of paradoxical drifts to progress perspires : underhand dealings, favoritism, misappropriation, sectarianism... monolithism.
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老親經濟安全保障-以私扶養與公扶助之關係為中心 / Economic Security for the Elderly: A Comparison between Private Maintenance and Public Assistance江佩玲, Chiang, Pei-Ling Unknown Date (has links)
在老年階段中,經濟安全已然為僅次於醫療健康之重要需求之一,亦是影響最基本生活水準之維持,關係著老年社會角色之扮演與參與,進而增進身心健康、確保精神自主之主要因素。當我們對老年階段發展與需求有更清楚的認識,對於可預期之「老化」當可降低恐懼,亦可事先作好經濟安全之預備。
本研究嘗試從最傳統之扶養機制,與社會安全之最後一道防線切入,透過是類途徑之法規範探究,瞭解我國老親經濟安全如何獲得保障,並瞭解政府責任與家庭責任之間如何協調出一個適切之分工關係。
私扶養與公扶助之意涵,反映了政府如何看待家庭所應扮演的角色,以及福利制度如何回應家庭變遷,如果單純復以道德倫理或社會成本衡量一個制度的良窳或續行價值,並不足以趕上新世代親子關係轉變所帶來之需要與互動,亦不足以因應老親因延年益壽所引發的新經濟安全需求。因此與其說是為卑親卸責或是解套,毋寧說是無奈於社會變遷、經濟發展及親子觀念更迭,為提高老親經濟安全保障實效之務實作法與建議。誠然福利制度的完善不必然取代私扶養之價值,惟私扶養規範之框架已違背了自治之精神,參雜過多之司法干預,忽視扶養起於親情間反哺知恩之本質,將扶養定位在經濟能力之衡量,更與論語所追求之養口體、色養、養志等全方位之奉養、承歡膝下,乃至克紹箕裘有所距離。政府如一味蔑視社會觀念的改變、親子關係表達方式之變化,固守不合時宜的扶養規範,並緊守公扶助之窄門,以此婉拒真正有需要之老親者申請公扶助,卻又而無法同時強化家庭功能、給予必要的協助,將導致老親徒具法的權利,卻又無法享有尊嚴的晚年,受害最深者仍是老親本身。而在家庭內部所生之不健全年金市場,如無法真正保障老親之經濟安全,只是讓貧窮之世代一再複製與循環代間之愛恨情仇,最後損失的將不僅是親子關係,更是社會之經濟發展與社會安全品質。
經研究發現,私扶養與公扶助均無法單獨建構一個完整的老親經濟安全網絡,僅憑藉兩者之合作亦無法建構出一個完整而妥善之經濟安全網。惟私扶養與公扶助所扮演著「殘補式」的功能及角色,各自在老親經濟安全保障上仍存有一定之價值及必要性,思及整體經濟安全保障體系之建構與整合時,一個更有尊嚴、不需資產調查、無社會烙印之預防性保障措施,更是社會各界對於社會保險及年金制度殷切期盼且寄予厚望之原因所在。生、老、病、死是人生必經過程,禮記禮運篇:「…..故人不獨親其親,不獨子其子,使老有所終,壯有所用,幼有所長,鰥寡孤獨廢疾者皆有所養……」之理想境界,不僅是過去的理想,亦是當代老親的衷願。
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"The Good Swede" : Symbols and Narrative in Swedish Public Aid to the Democratic Republic of CongoRunold, Vendela January 2016 (has links)
By research and interpretation of official documents published by the Swedish Ministery for Foreign Affairs and the Swedish International Development Cooperation Agency (Sida), this thesis aims to understand and shine a light on the symbols that shape the Swedish public aid culture and how these symbols function in a narrative of what Swedish aid to the Democratic Republic of Congo is and is not. The theoretic framework leans on both the symbolic/interpretative anthropology of Edward Bruner, Clifford Geertz and Sherry Ortner; Omar Lizardo's more contemporary writing on the power of symbols; and Jerome Bruner's psychological perspective on symbols. The conclusion is that Swedish public aid appears to use a set of symbols and a narrative anchored in arbitrary parts of Sweden's and Congo's mutual history to conjure up the image of a dark and dangerous Congo in contrast to the knowledgable and good Sweden.
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La coopération sino-africaine à travers le FOCAC. Contribution à une analyse empirique et théorique de la présence chinoise en Afrique noire / Contribution to the empirical and theoritical analysis of Chinese intervention in Subsaharan AfricaAlagbe, Mérick Freedy 12 March 2012 (has links)
Si la coopération sino-africaine dans le sillage des indépendances nationales des années soixante a trouvé son ferment dans l’idéologie révolutionnaire et l’esprit de Bandung, il n’en est point question de la nouvelle phase qui s’ouvre à l’aube du XXIème siècle. En effet, les mutations internationales intervenues dans la charnière des deux siècles, le renouvellement des acteurs des deux côtés et les réalités endogènes propres à chaque partie, ont accéléré l’entrée dans une nouvelle ère où l’économie devient la pierre angulaire de la coopération. La naissance du FOCAC traduit la volonté de mieux coordonner les relations entre la Chine et l’Afrique, en même temps qu’elle donne la mesure de l’intensité et du volume de leurs échanges. Quelle est donc cette institution qui regroupe autant d’Etats ? Quels sont ses fondements théoriques? Et quelle réponse apporte-elle aux nombreux contempteurs de la présence chinoise en Afrique ? Telles sont les principales articulations de ce travail. / Whereas the China-Africa cooperation under the tough era of decolonization in 1960’s was strongly fostered by shared revolutionary ideology and Bandung spirit, that is not the case in the new phase in the early 21st century. Indeed, the deep changes occurred between the two centuries, the renewal of leaders within both sides and internal challenges faced by them, speeded up the entrance into a new era where economy becomes the cornerstone of their cooperation. The birth of FOCAC reveals the willingness to handle effectively the relationship between China and Africa, as well as it shows the intensity and the seize of their trade. What is that institution gathering together so many countries? What are its theoretical foundations? And what kind of response it provides to those who belittle China offensive in Africa? These are shortly, the main outlines of this work.
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Fiscalité et innovation / Taxation and innovationSioncke, Yoann 21 December 2017 (has links)
L'innovation est aujourd'hui l'une des variables essentielles de la croissance économique et de l'emploi. Toutefois, son financement est complexe. Ce qui justifie l'intervention des pouvoirs publics. Ainsi en France, la puissance publique dispose de deux outils principaux pour inciter les entreprises à augmenter leurs dépenses de R&D, les aides directes et apparentées et les incitations fiscales. Toutefois, c'est une mesure d'aide fiscale, le crédit d'impôt recherche (CIR), qui constitue le dispositif majeur de soutien à l'innovation en France. Puissant instrument d'encouragement à la R&D depuis 1983, il est devenu depuis sa dernière grande réforme, en 2008, le dispositif incitatif le plus prisé des entreprises et la deuxième dépense de l'État. Une sortie de l'anonymat suivie d'une entrée dans la polémique car en raison de son poids de plus en plus prégnant dans l'économie française, le CIR soulève plusieurs interrogations. La plus partagée concerne naturellement la réalité de son efficacité, opposant partisans et détracteurs de la mesure. Mais celle-ci appelle pourtant d'autres questions et d'autres observations. Car s'il semble partagé que ce crédit présente de nombreux avantages pour ses bénéficiaires, la sécurité fiscale de ceux-là apparaît néanmoins fragile. Puis, le choix même de la dépense fiscale comme mesure de soutien interpelle, tant s'agissant de son opportunité réelle dans l'ordre interne que de son articulation avec la réglementation européenne des aides d'État. Ce qui pourrait justifier une adaptation du mécanisme à partir des modalités d'un autre dispositif opérant dans un autre secteur et ne souffrant pas à ce jour des mêmes carences que le CIR. / Today, innovation is one of the essential variables of the growth of the economy and employment. However, its financing is complex. This justifies the intervention of public authorities. In France, the public powers therefore have two main tools for encouraging companies to increase their R&D expenses, direct aids (and similar) and tax incentives. However, the main mechanism in support of innovation in France is a fiscal aid measure, namely the research tax credit. A powerful instrument for encouraging R&D since 1983, it has become, since its last major reform in 2008, the preferred incentive measure of companies and, at the same time, the State's second leading expenditure. A departure from anonymity followed by a step into controversy, since due to its increasing weight within the French economy, the research tax credit is prompting many questions. The most widely-shared question naturally relates to the reality of its efficiency, with supporters and detractors in equal measure. But this mechanism also elicits other questions and other observations. Since while it seems to be agreed that this credit offers many advantages for its beneficiaries, the fiscal security of the latter nevertheless appears to be fragile. Moreover, the very choice of a fiscal expenditure as a support measure is of concern, both with regard to its actual advisability within the internal order and in terms of its linkage with the European regulations relative to State aid. This could justify an adaptation of the mechanism on the basis of the provisions of another system used in another sector, but that does not currently have the same deficiencies as the research tax credit.
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Migrant remittances, foreign aid and development of recipient countries / Envois de fonds des migrants, aide publique et développement des pays récipiendairesLe Goff, Maëlan 29 March 2012 (has links)
Cette thèse de doctorat étudie les effets des envois de fonds issus des migrations sur le développement des pays d’origine des migrants et compare ces effets avec ceux de l’aide publique au développement. Dans une première partie, nous étudions les effets des envois de fonds des migrants sur le développement des pays récipiendaires. Il apparaît que les envois de fonds réduisent les inégalités intra-Pays dans les pays relativement plus riches, dont les coûts d’émigration sont faibles et dont la part des émigrés qualifiés est peu importante (Chapitre 1). L’effet sur la croissance économique en Afrique sub-Saharienne est également non-Linéaire et dépend positivement du développement financier et institutionnel des pays récipiendaires (Chapitre 2). Enfin, les envois de fonds ont un effet d’appréciation sur le taux de change réel dans les pays CFA, mais cet effet est non significatif pour les pays à régime de change flexible (Chapitre 3). Dans une seconde partie nous nous intéressons au caractère stabilisateur des transferts des migrants. Le Chapitre 4 montre, au niveau microéconomique, que les envois de fonds ont joué un rôle d’assurance lors de la dernière crise financière et que ce rôle a été d’autant plus important que les migrants n’ont pas été sévèrement touchés par la crise et que les liens conservés avec le pays d’origine étaient forts. Le Chapitre 5 montre à partir d’une approche pays par pays que les transferts sont contra-Cycliques dans une minorité de cas, mais qu’en moyenne, ils répondent négativement au revenu des pays d’origine. Les résultats du Chapitre 6 indiquent que les transferts atténuent l’effet négatif des chocs commerciaux sur la pauvreté. Dans une troisième et dernière partie nous comparons les envois de fonds { l’aide publique au développement. Alors que l’aide permet d’atténuer l’effet négatif de l’instabilité des exportations sur la croissance, les transferts des migrants permettent d’amoindrir l’effet négatif de l’instabilité des exportations sur la pauvreté (Chapitre 7). Enfin, les envois de fonds diminuent la dépendance des pays { l’aide publique au développement lorsque ces flux de capitaux sont investis plutôt que consommés (Chapitre 8). / This dissertation examines the effects of migrant remittances on the development of origin countries and compares these effects with those of official development aid. In a first part we investigate the effects of remittances on the development of recipient countries. Results suggest that remittances reduce within inequality in countries more developed, where migration cost are lower and the share of skilled migrants less important (Chapter 1). Their impact on growth in sub-Saharan Africa is also non-Linear and depends positively on the financial and institutional development of recipient economies (Chapter 2). Finally, remittances have a real exchange appreciation effect in CFA countries, but not in countries with a flexible exchange rate regime (Chapter 3). In a second part we focus on the stabilizing impact of remittances. Chapter 4 shows, at the microeconomic level, that remittances have played an insurance role during the last financial crisis and that this role was all the more acute that migrants have not strongly suffered from the crisis and that family links were strong. Chapter 5 suggests in a country-By-Country approach that remittances are pro-Cyclical in a higher number of cases, while on average, they respond negatively to the home country income. Chapter 6 findings show that remittances dampen the harmful impact of trade instability on poverty. In a third part, we compare migrant remittances with public aid. While public aid mitigates the harmful impact of export instability on output growth, migrant remittances dampen the harmful effect of export instability on poverty (Chapter 7). Finally, migrant remittances reduce aid dependency in countries where remittances are invested rather than consumed (Chapter 8).
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