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MATHIAS E. MNYAMPALA (1917-1969) : POÉSIE D'EXPRESSION SWAHILIE ET CONSTRUCTION NATIONALE TANZANIENNE

Roy, Mathieu 18 January 2013 (has links) (PDF)
Mathias Eugen Mnyampala (1917-1969) est un écrivain, juriste et poète d'expression swahilie tanzanien. De langue maternelle cigogo, il apprend le kiswahili et l'écriture par les textes de la Bible à l'âge de quinze ans. A partir de l'indépendance du Tanganyika en 1961, il engage son art poétique au service du développement du kiswahili, la langue de la nouvelle nation. Dans cette destinée particulière d'un jeune pasteur de l'Ugogo du centre de la Tanzanie, qui devient un maître reconnu par ses pairs de la poésie d'expression swahilie et un artiste national, se reflète la problématique de la construction d'une nation tanzanienne. Notre question centrale concerne la structure métrique formelle et la langue des poèmes de Mathias E. Mnyampala. Comment les définir ? Quels rapports entretiennent-ils avec le corpus classique des XVIIIème et XIXème siècles de la poésie d'expression swahilie ? Pourquoi est-ce ce type particulier de poésie - décrit formellement et linguistiquement - qui fait l'objet d'une promotion à l'échelon national et de reconnaissances officielles par des autorités politiques successives de Tanzanie ? Pour aboutir à l'interprétation politique de l'analyse formelle et linguistique des textes poétiques, il nous a fallu d'abord nous doter d'outils de description formelle qui étaient manquants. Nous parcourons pour ce faire l'ensemble des théories métriques existantes afin d'arriver à une synthèse formelle et réductionniste. Nous analysons ensuite le corpus poétique de Mathias E. Mnyampala sur cette base. Les formes métriques et la langue des poèmes témoignent de processus créatifs ex materia liés à la métrique classique qui nous apprennent quelque chose au sujet de la construction nationale au service de laquelle ils sont appelés. La création ex materia, ni classique ni moderne, est une troisième voie de la composition poétique que notre approche formelle permet de décrire. Nous verrons qu'en parallèle d'une nationalisation des mètres classiques de la poésie d'expression swahilie, il est question d'une africanisation de la culture nationale.
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Willem Boshoff, monographie d'artiste et catalogue

Gentric, Katja 27 April 2013 (has links) (PDF)
Le travail de Willem Boshoff s'articule autour de la date charnière d'avril 1994, les premières élections démocratiques en Afrique du Sud. Il fait des sculptures en granite et des installations de matériaux accumulés. L'artiste revendique son attachement à un art basé sur le langage, il est écrivain de dictionnaires. En revisitant les questions posées par les artistes du XXème siècle, textes et œuvres produits en Europe sont systématiquement vérifiés au regard de leur contrepartie sud-africaine. L'attitude de Boshoff, une mélancolique interrogation de son rôle de créateur, s'explique par les conditions politiques et son milieu culturel. L'artiste découvre des façons plus dynamiques de faire geste quand il adopte ce persona du druide. Lors de son objection de conscience au service militaire il avait appris qu'il est mieux de cacher la véritable signification d'un signe ou d'inventer des façons de disqualifier les textes. Les "Notes pour une esthétique aveugle" où l'essentiel n'est pas visible, inventent un dictionnaire à être lu avec les mains. Boshoff interroge ici les théories de perception qui munissent l'artiste sud-africain d'une façon de faire basculer le monde occidental vers une pensée qu'il peut réclamer sienne. La multiplicité des langues en Afrique du Sud s'ouvre à des questions de mémoire, d'écologie, de disparition, d'espace mental, des limites de la ficticité. Boshoff incite son spectateur à une opération de traduction qui peut être envisagée de façon tangible dans des œuvres tels que "Writing in the Sand" et les "Jardins de mots". Le druide est le berger des mots et des plantes en danger d'oubli. Par le même geste il les protège contre la possibilité d'être pétrifiés ou fossilisés dans une théorie ou dans un dogme. Un champ d'intelligibilité du travail de Boshoff est créé à l'aide d'esprits apparentés: Sarkis, Mofokeng, Baumgarten, Gette, Mudzunga, Ulrichs, Zulu, Kosuth, Wafer, Bochner, Filliou, Darboven, Alÿs, Acconci, Langa, Marshall McLuhan, Ivan Vladislavić.
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La vie des autres. Sophie Calle et Annie Ernaux, artistes hors-la-loi

Wroblewski, Ania 12 1900 (has links)
Cette thèse porte sur les transgressions discursives, esthétiques et sociales de la frontière entre la vie privée et la vie publique effectuées par les créatrices françaises contemporaines Sophie Calle et Annie Ernaux. Dans une perspective féministe qui s’appuie sur les théories du quotidien, la thèse pose les questions suivantes : quelles libertés peut se permettre la femme-artiste ou l’écrivaine aujourd’hui ? Où, comment, et par qui se dessinent les limites éthiques de la création ? À la lumière des représentations souvent stéréotypées de la femme criminelle, le premier chapitre dégage de la réception des œuvres de Calle et d’Ernaux les « crimes » – entre autres, d’obscénité, d’impudeur et d’indécence – dont elles ont été accusées par la critique. Les trois chapitres suivants ciblent les diverses manières subversives et innovatrices dont Calle et Ernaux déjouent les perceptions acceptées de la féminité pour s’assurer la liberté totale en création : elles se construisent en flâneuses maniant la photographie ou l’écriture photographique comme une arme, en amoureuses blessées qui se vengent de leurs amants, et en théoriciennes manipulant les modalités de leur propre inscription dans les canons littéraires et artistiques. Cette thèse analyse au fil des chapitres les échos des œuvres de Calle et d’Ernaux au plan social, insistant sur le rapport fécond qui existe entre l’œuvre d’art et son cadre, interrogeant l’ethos de l’artiste et celui de l’art. Sophie Calle et Annie Ernaux répondent avec force à la nécessité de se positionner autrement face à l’art en tant que femme, notamment, en proposant l’art et l’écriture comme hors la loi. La conclusion étudie dans cette optique le phénomène récent de la « judiciarisation » de l’art. En examinant certains procès intentés depuis 2010 à des artistes, des écrivaines, des commissaires d’exposition et des maisons d’édition françaises, cette thèse questionne finalement les risques et les violences de la représentation tels qu’ils sont désignés par la loi. / This dissertation analyzes how contemporary French artist Sophie Calle and contemporary French writer Annie Ernaux transgress the discursive, aesthetic, and social boundaries between public and private life. Taking a feminist perspective and drawing on theories of everyday life, this dissertation asks: what liberties are the female artist and writer permitted today? Where, how and by whom are the ethical limits of creative practice established? In light of often stereotypical literary and artistic representations of the female criminal, the first chapter examines the accusations of obscenity, shamelessness and indecency levelled against Calle and Ernaux by their critics. The following three chapters identify the diverse, innovative and subversive ways in which Calle and Ernaux question accepted perceptions of femininity in order to seize creative freedom: they assume the distinct and tactical positions of flâneuses, heart-broken women avenging their ex-lovers, and theorists manipulating the reception of their own works. Together, these four chapters trace the artwork’s resonance in the public sphere, insist on the fruitful relationship that exists between a work of art and its frame, and consider the ethos of the artist as well as that of art. Sophie Calle’s and Annie Ernaux’s practices suggest that in order to achieve creative autonomy, art and writing must function outside of the constraints of moral, ethical, social and even civil laws. By examining instances in which artists, writers, curators and publishing houses have been subject to lawsuits in France since 2010, the conclusion of this dissertation studies a recent increase in the litigation of art and outlines some of the limits of representation as defined by the law.
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Espacio pictórico en la obra de Joan Hernández Pijuan, El

Badrinas Bassas, Ramón 29 March 2006 (has links)
Hemos situado y analizado la obra de Joan Hernández Pijuan, en su contexto "conceptual"; hemos descrito el "firmamento latente del arte, la filosofía y la ciencia", como un espectro artístico lo más amplio posible, hemos relacionado y valorado en conjunto su obra. Así nos hemos apartado, en la medida de lo posible, de los numerosos comentarios y escritos de los críticos de arte, comentándolos junto con nuestro criterio; como base de una investigación que valore y clasifique, en su justa medida, donde y como se sitúa su obra en el mundo del arte; para así "conocer su espacio pictórico" en relación a sus antecesores y como consecuencia a su entorno actual. Aunque parezca que nos apartemos del "tronco" mi deseo ha sido que, en toda la información complementaria planee, ronde o deambule el "espíritu" de su obra y de su pensamiento; y nos ayude por contraste a valorarlo, situarlo y conocerlo mejor.Hemos demostrado que Joan Hernández Pijuan no está donde está por casualidad, sino como consecuencia de una serie de acontecimientos más o menos "ancestrales" y actuales que ha sabido captar en nuestra época, aplicarlos, y coger su bandera. "Es imposible ver el mundo, en este caso el espacio pictórico de la obra de Hernández Pijuan, desde el centro, tan sólo es posible verlo atravesándolo en todas direcciones". Fernando Zobel, apuntaba los adjetivos que, a su entender, mejor cuadraban a Hernández Pijuan: "limpio, sutil, riguroso, cerebral, elegante".La tesis se estructura en diversos apartados que conducen al núcleo de nuestro análisis que es el espacio pictórico. En el primer bloque hemos creído conveniente situar a Hernández Pijoan en el contexto del arte español, y en mayor medida catalán, de su época, para dejar claro su personalidad diferenciada del resto de pintores, señalando su individualidad y su libertad creativa, al margen de toda clase de modas. Un segundo bloque explica sus aspectos formales, el nouveau roman relacionado con su obra, sus lenguajes artísticos en referencia a la influencia del arte extremo - oriental y sobre todo, lo que hemos dado en llamar las imágenes indecibles presentes en sus obras. El tercer bloque se estructura en tres grandes apartados que tratan de explicar su obra en relación a una serie de interferencias culturales que creemos le han podido influir; algunas muy próximas a su entorno, y otras-culturas primitivas o no europeas- que podemos ver al analizar concretamente todas y cada una de sus obras. Hemos creído necesario en este apartado profundizar también en el amplio espectro cultural europeo desde la filosofía presocrática hasta la más actual, pasando por el panorama científico vital, tal como es la vida y el genoma humano, la relación con el arte y la religión, a las que hemos relacionado conceptualmente la obra de Hernández Pijuan. Este relacionar su obra se convierte en el verdadero protagonista de nuestra tesis, en el hilo conductor que explica donde, cuando y porqué se sitúan sus composiciones en la global panorámica del arte de la segunda mitad del siglo XX y los inicios del siglo XXI.El cuarto bloque trata de explicar su trayectoria artística desde la óptica del espacio pictórico, en ocho subapartados, que en las conclusiones reducimos a cuatro etapas claramente diferenciadas, que muestran cada una de sus señas de identidad, sus soluciones plásticas, su pensamiento sobre el arte en general, su obra en particular y sus referencias culturales. Hacemos mención entre otros, de artistas como Giotto, Cèzanne, Monet, Franz Kline, Barnet Newman, Saura, Millares, Van Gogh, Tàpies, Kandinsky y Seurat; filósofos como Platón y Aristóteles; la poesía de Mallarmé, Paul Valery, etc. Todo ello, como en los apartados anteriores con el contrapunto obligado de sus composiciones que muestran gráficamente lo que la literatura explica. Cierra este capítulo dos subapartados: El primero analiza su obra gráfica y el segundo intenta explicar su personalidad a través de sus escasos retratos, y a la vez componer un autorretrato de Hernández Pijuan.A continuación expresamos las Conclusiones junto con la Bibliografía de la tesis: Libros, artículos en periódicos - revistas y catálogos del artista utilizados para la realización de la tesis, a la vez que adjuntamos la Bibliografía completa sobre Hernández Pijuan. Para finalizar adjuntamos un Apéndice Documental. / On a situé et analysé l'oeuvre de Joan Hernández Pinuan, dans son contexte "conceptuel", on a décrit le " firmament latent de l'art, la philosopie et la science", comme un spectre artistique le plus ample possible, et on a relié et évalué l'ensemble de son oeuvre. Alors, on s'est écarté, dans la mesure du possible, de nombreux commentaires et écrits de critiques d'art, en les glosant selon notre critère comme basse d'une étude qui puisse évaluer, avec détail, où et comment se situe son oeuvre dans le monde de l'art, pour "connaître ainsi son espace pictural" en relation avec ses prédécesseurs et comme conséquence à son entourage actuel. Il peut sembler qu'on s'écarte du "tronc", mais mon désir a été que, dans toute l'information complémentaire plane, rôde et déambule "l'esprit" de son oeuvre et de sa pensée; et que par contraste elle nous aide á l'evaluer, le situer et mieux le connaître. On a demontré que Joan Hernández Pijuan ne se trouve pas où il est simplement harsd, mais comme conséquence d'une série d'évenements plus au mois "ancestraux" et actuels qu'il a su capter, dans notre époque, les appliquer et arborer son drapeau. "Impossible de voir le monde et dans ce cas, l'espace pictural de l'oeuvre de Hernández Pijuan, depuis le centre, car il est seulment possible de l'apprécier en le traversant dans tous les sens". Fernando Zobel, designait les adjectifs que, selon lui, cadraient le mieux à Hernández Pijuan: "propre, subtil, rigoureux, cérébral, élégant" La thèse est structrée en différentes parties qui conduissent au noyeau de notre analyse de l'espace pictural. Dans le premier point on a cru opportun, pour mieux connaître sa personnalité différenciée du reste des peintres, de situer à Hernández Pijuan dans le contexte de l'art espagnol, et principalement catalan de son époque, en soulignant son individualité et sa liberté créative, à l'écart de n'importe quelle mode. Le deuxième point explique ses apects formels, le nouveau roman en rapport avec son oeuvre, ses langages artistiques en référence à l'influence de l'art externe - oriental et surtout, ce qu'on a appelé les images indicibles présentes dans ses oevres. Le troisième point est structuré en trois grands parties qui essaient d'expliquer son oeuvre en la rattachant avec une série d'interférences culturelles, qu'ont pu, selon nous, l'influencer; quelques unes très proches à son entourage, et autres cultures primitives ou pas européennes qu'on peut observer si on étudie en détail toutes et chacune de ses oeuvres. On a cru nécessarie dans cette partie d'approfondir aussi dans l'ample espectre cuturel européen qui va de la philosophie presocratique jusqu'à la plus actuelle, en pasant par le panorama scientifique vital, comme la vie ou le génome humain, qu'on a conceptuellement relié avec l'oeuvre de Hernández PijuanMettre en relation son oeuvre devient le protagoniste de notre thèse, car c'est le fil conducteur qui explique, où, quand, et pourquoi ses oeuvres se situent dans la panoramique globale de l'art du Xxème siècle et débuts du XXIéme. Le quatrième point essaie d'expliquer sa trajectoire artisitque de l'optique de l'espace pictural, en huit sous-alinéa, que dans les conclusions on réduit à quatre etapes bien différenciées, qui montrent chacun de ses signes d'identité, ses solutions plastiques, sa pensée sur l'art en général, son oeuvre en particulier et ses références culturelles. On fait mention entre autres à artistes comme: Giotto, Cézanne, Monet, Franz Kline, Barnet Newman, Saura, Millares, Van Gogh, Tàpies, Kandinsky et Seurat; philosophes comme Platon et Aristote; la poésie de Mallarmé, Paul Valery, etc. Tout cela, comme dans les points précédents avec le contrepoint oubligé de ses compositions qui montrent graphiquement ce qui explique la littérature. Ce chapitre se ferme avec deux sous-alinéa: le premier analyse son oeuvre graphique et le deuxième tente d'expliquer sa personnalité à travers ses portraits, et composer au même temps, un autoportrait de Hernández Pijuan. Par la suite on présente les Conclusions avec la Bibliographie de la thèse: Livres, articles journalistiques - revues et catalogues de l'artiste employés pour la réalisation de cette thèse, ainsi que la Bibliographie complète sur Hernández Pijuan. Pour finir on joint un Appendice Documentaire. Dans l'espace pictural de l'oeuvre de Joan Hernández Pijuan, la thèse pourrait commencer par "il était une fois", parler de ce qui est arrivé de ses débuts jusqu'à nos jours. Les mots de Gombrich: "une fois tu as été petit et debout a peine tu atteingnait le main de ta mère. Tu te souviens?. Si tu le voudrais tu pourrais raconter un histoire avec ce début: Il était une fois un garçon et ce garçon c'était toi. Et, une fois toi aussi tu as été un bébé enveloppé en couches. Tu ne peut pas t'en souvenir, mais tu le sais. Ton père et ta mère aussi, une fois ils ont étés petits. Et aussi tes grands-parents. Ça fait longtemps de celà. Cependant, tu le sais, on dit qu'ils sont vieux, mais eux aussi ils ont eu de grands-pères et grands-mères qui ont pu leur dire la même chose: il était une fois. Et aisni continuellement, sans laisser de revenir en arrière. Derrière chaque il était une fois il y a toujours un autre. Tu t'es placé au moins une fois entre deux miroirs?. Ce que tu vois en eux ce sont des miroirs et des miroirs, chaque fois plus petits et flous, mais aucun est le dernier. Mème quand on n'en voit plus, il y a encore d'autres miroirs qui se trouvent derrière, devenant le "réductionnisme" le plus absolu. Il nous semble impossible d'imaginer que cela finisse, le grand-père du grand-père du grand-père du grand-père. Si tu y penses doucement avec le temps tu réussiras à le concevoir. Ajoute encore un autre. De cette façon on arrive à une époque ancienne et après à une encore plus ancienne. Toujours au-delà, comme les miroirs. Mais sans jamais retrouver le début. Derrière de chaque début il y a à nouveau un autre "il était une fois". En ce moment on est dans cet espace pictural, cet espace microscopique dans l'histoire de la peinture dont Jean Hernández Pijuan en fait partie, (dictionnaires, livres, catalogues, expositions, prix, académicien, professeur agrégé, etc.) et tout cela sera aussi un objetif d'étude dans cette thèse, et l'espace continue encore, fils, petits-fils, arrière-petits-fils, etc, l'espace pictural persiste, jusqu'à que d'autres prennent la chaîne de la relève et ainsi successivement, tirer du fil, comme disait Joan Hernández Pijuan, se prolonge. " C'est un puits sans fin!". Sens-tu le vertige quand tu regardes en bas? Moi aussi! Si on jete dans ce puits profond un papier brûlant, il tombera doucement, chaque fois plus fond. Et lorsqu'il tombe, il éclairera le mur du puits!. Le vois-tu plus bas? Il continue à fondre; il est arrivé si loin qu'il semble une étoile minuscule dans ce puits obscur; il devient de plus en plus petit et on ne le voit plus". Ainsi arrive avec le souvenir et avec le futur qui deviendra souvenir. Avec lui on projecte une lumière sur le passé et avec les "rêves" celle du futur. Comme dit Maria Girona: " L'important est avoir quelque chose à dire et savoir l'exprimer". C'est ce que, dans le déroulement des années Joan Hernández Pijuan, nous a montré avec son art. / Wir haben Joan Hernández Pijuan's Werk in seinem "konzeptuellen" Zusammenhang festgelegt und analysiert; wir haben das "latente Kunst-, Philosophie und Wissenschaftsfirmament" als ein so weit wie möglich reichender Geist beschrieben, wir haben sein Werk als Ganzes aufgezeichnet und bewertet. Dabei haben wir uns soweit es ging von den zahlreichen Kommentaren und Schriften der Kunstkritiker entfernt gehalten und diese zusammen mit unserem Erachten kommentiert; als gerechte Untersuchungsgrundlage die das "wann" und "wie" der Situation seines Werks innerhalb der Kunstwelt bewertet und klassifiziert; um damit seinen piktorischem Bereich in Bezug auf seine Vorgänger und, als Konsequenz, seine heutige Umwelt kennenzulernen. Auch wenn wir uns anscheinend vom "Stamm" entfernen war es mein Wunsch, dass in der ganzen komplementären Information der "Geist" seines Werks und seiner Gedanken schwebe, sich drehe und umgehe und uns mittels dem Kontrast helfe ihn besser zu kenne, zu bewerten und zu orten. Wir haben bewiesen, dass Joan Hernández Pijuan nicht durch Zufall da ist wo er ist, sondern eher als Konsequenz einer Reihe von mehr oder weniger "urahnenhaften" und aktuellen Geschehen, die er in unserer Zeit erfasst und angewandt hat und verteidigt. "Es ist unmöglich die Welt, in diesem Falle den piktorischen Bereich von Hernández Pijuan's Werk vom Mittelpunkt aus zu sehen, es ist nur möglich dies zu sehen, wenn man seine Welt in von allen Richtungen aus durchkreuzt". Fernando Zobel bemerkte die Adjektive, die seines Erachtens nach Hernández Pijuan am besten beschreiben: "sauber, subtil, rigoros, zerebral, elegant". Die These baut auf verschiedene Abschnitte auf, die zum Mittelpunkt unserer Analyse des piktorischen Bereichs führen. Im ersten Block haben wir es als notwendig befunden, Hernández Pijuan innerhalb der spanischen Kunst, genauer in der katalanischen Kunst seiner Zeit zu orten um damit seine vom Rest der Maler verschiedene Persönlichkeit hervorzuheben wobei wir seine Individualität und schöpferische Freiheit ohne Einfluss irgendwelcher Moden aufzeichnen. Ein zweiter Block erklärt seine formellen Aspekte, das nouveau roman in Bezug auf sein Werk, seine künstlerische Sprachen in Bezug auf den Einfluss der Extremkunst - Orientale und vor allem was wir in seinem Werk als "unaussprechbare" Abbildungen bezeichnet haben. Der dritte Block besteht aus drei Abschnitten, die sein Werk in Bezug auf einer Reihe kultureller Interferenzen, die laut unserer Meinung einen Einfluss auf Ihn hatten, beschreibt. Einige seiner Umwelt sehr nahe gelegen, andere - primitive nicht europäische Kulturen - die wir sehen können, wenn wir jedes einzelne seiner Werke konkret analysieren. Wir haben es für notwendig gehalten in diesem Abschnitt auch tiefer auf den europäischen Kulturgeist vom Standpunkt der pre-Sokratischen bis zur heutigen Philosophie und über das lebenswichtige wissenschaftliche Panorama wie zum Beispiel das Leben und das menschliche Genom, seine Verbindung mit der Religion und der Kunst ein zu gehen, Dinge die wir mit dem Werk von Hernández Pijuan in Verbindung gebracht haben. Dieses sein Werk in Beziehung bringen" wird dann zum echten Darsteller unserer These, zum Leitfaden, der erklärt, wo, wann und warum seine Zusammenstellungen innerhalb des globalen Kunstpanoramas des 20. und Anfang 21. Jahrhunderts ihren Platz finden. Der vierte Block versucht, seine Laufbahn vom Standpunkt des piktorischen Bereichs aus in acht Unterabschnitten zu erklären, die wir in den Schlüssen in vier klar unterschiedenen Etappen zusammenfassen, eine jede mit ihren eigene Identitätsanzeichen, ihren plastischen Lösungen, ihren Gedanken über die Kunst im Allgemeinen und Ihren kulturellen Zusammenhängen. Unter anderen erwähnen wir Künstler wie Giotto, Cèzanne, Monet, Franz Kline, Barnet Newman, Saura, Millares, Van Gogh, Tàpies, Kandinsky und Seurat; Philosophen wie Plato und Aristoteles; die Dichtungen von Mallarmé, Paul Valery, usw. Alles wie in den vorherigen Abschnitten zusammen mit dem entsprechenden Gegensatz seiner Zusammenstellungen, die das, was die Literatur erklärt, graphisch darstellen. Als Abschluss dieses Kapitels kommen zwei unterabschnitte: der erste analysier sein graphisches Werk und des zweite versucht, seine Persönlichkeit durch seine Bilder zu erklären und gleichzeitig ein Selbstbildnis von Hernández Pijuan darzustellen. Anschließend erläutern wir unsere Schlussfolgerungen zusammen mit der Bibliographie der These: Bücher, Zeitungs- und Zeitschriftartikel und Kataloge des Künstlers, die wir zur Erarbeitung der These benutzt haben. Auch die vollkommene Bibliographie Hernández Pijuans wird beigelegt. Zum Schluss fügen wir einen Dokumentenanhang bei. Innerhalb des piktorischen Bereichs von Joan Hernández Pijuans Werk könnte die These mit einem "Es war einmal" beginnen, über das berichten, was am Anfang war und was heutzutage ist. Diese Ideen werden von Gombrich wie folgt ausgedrückt: "Du warst einmal klein und im Stehen konntest du gerade die Hand deiner Mutter erreichen, Erinnerst Du dich dran? Wenn Du wolltest könntest du eine Geschichte die so anfängt, erzählen: Es war einmal ein Kind, und das warst Du. Und Du warst auch einmal ein Wickelkind. Du kannst dich nicht daran erinnern aber Du weißt, dass es so war. Dein Vater und Deine Mutter waren auch einmal klein. Und so waren es deine Großeltern. Das ist schon lange her. Aber, wie Du weißt, sagen wir sie seien Greise. Aber sie hatten auch Großeltern und konnten damals das gleiche sagen: es war einmal. Und so geht es weiter und weiter in die Vergangenheit. Hinter jedem dieser "Es war einmal" kommt immer wieder ein nächstes. Hast6 Du dich jemals zwischen zwei Spiegel gestellt? Was Du da siehst sind Spiegel und mehr Spiegel, jedes mal kleiner und unschärfer, aber Keiner ist der Letzte. Auch wenn man sie nicht mehr sieht sind da immer Spiegel im Spiegel dahinter und so wird es zum absolutesten Reduktionismus. Ein Ende ist für uns nicht vorzustellen. Der Großvater vom Großvater vom Großvater vom Großvater. Wenn Du darüber nachdenkst wirst Du es im Laufe der Zeit verstehen. Und füge noch einen ein. So kommen wir sehr weit in die Vergangenheit. Und immer weiter, wie in den Spiegeln. Hinter jedem Neuanfang gibt es immer ein"Es war einmal". In diesem Augenblick befinden wir uns im genannten piktorischen Bereich, dieser mikroskopisch kleine Bereich in der Malereigeschichte von der Joan Hernández Pijuan Teil ist (Wörterbücher, Bücher, Kataloge, Ausstellungen, Preise, Akademiker, Professor, usw.) das ist was wir studieren und untersuchen werden als ein weiteres Thema dieser These; von hier ab geht der Bereich weiter, Söhne, Enkel, Urenkel, usw., der piktorische Bereich geht weiter bis andere die Staffel übernehmen, und so geht es weiter, das Ziehen am Leitfaden, wie Joan Hernández Pijuan sagte, geht weiter. "Es ist ein bodenloses Loch!". Wird es Dir schwindelig wenn Du nach unten schaust!? Mir auch! Wenn wir ein brennendes Papier in diesen tiefen Brunnen werfen wird es langsam, immer tiefer, fallen. Und während es fällt wird es di Brunnenwand beleuchten! Kannst Du es immer noch da unten sehen? Es sinkt immer weiter; es ist schon so weit entfernt, dass es wie ein Stern in diesem Dunkel aussieht; es wird immer kleiner und kleiner und wir können es nicht mehr sehen." Das gleiche passiert mit der Erinnerung und mit der Zukunft, die zu seiner Zeit zur Erinnerung wird. So werfen wir ein Licht auf die Vergangenheit und mit den "Träumen" auf die Zukunft. Wie Maria Girona schon sagte: "Das wichtige ist, etwas zu sagen haben und zu wissen, wie man es ausdrückt". Das ist es, was uns Joan Hernández Pijuan mit seiner Kunst im Laufe der Jahre gezeigt hat. / Hem situat i analitzat l'obra de Joan Hernández Pijuan al seu context "conceptual"; hem descrit el "firmament latent de l'art, la filosofia i la ciència" com un espectre artístic el més ampli possible; hem relacionat i valorat la seva obra en conjunt. Així doncs, ens hem allunyat el màxim possible dels nombrosos comentaris i escrits dels crítics d'art, comentant-los junt amb el nostre criteri; com a base d'una investigació que valori y classifiqui adientment; on i com es situa la seva obra en el món de l'art per conèixer el seu espai pictòric relacionat amb els seus antecessors i com a conseqüència del seu entorn actual. Tot i que pot semblar que ens allunyem del "tronc", el meu desig ha estat que a tota la informació complementària hi sigui present d'alguna forma l'esperit de la seva obra i el seu pensament i ens ajudi a valorar-lo, situar-lo i conèixer-lo millor per contrast. Hem demostrat que Joan Hernández Pijuan no és on és per casualitat, sinó com a conseqüència d'una sèrie de fets més o menys "ancestrals" i actuals que ha sabut captar, aplicar i agafar en la nostra època. "Es impossible veure el món, en aquest cas l'espai pictòric de l'obra d'Hernández Pijuan, des del centre, només es pot veure si el travessem en totes les direccions". Fernando Zobel, indicava els adjectius que segons ell millor caracteritzaven Hernández Pijuan: "net, subtil, rigorós, cerebral, elegant". La tesi s'estructura en diversos apartats que condueixen al nucli del nostre anàlisi, que és l'espai pictòric. Al primer bloc hem considerat adient situar a Hernández Pijuan dins del context de l'art espanyol, i en la mida del possible l'art català, de la seva època per deixar clara la seva personalitat diferenciada de la resta de pintors, remarcant la seva individualitat i llibertat creativa, al marge de qualsevol tipus de moda. Un segon bloc explica els seus aspectes formals, el nouveau roman relacionat amb la seva obra, els llenguatges artístics relacionats amb la influència de l'art extrem - oriental i sobretot allò que em anomenat les imatges indicibles presents a la seves obres. El tercer bloc s'estructura en tres grans apartats que expliquen la seva obra en relació a una sèrie d'interferències culturals que creiem que l'han pogut influir; algunes molt properes al seu entorn o altres cultures primitives o no europees que podem veure si analitzem concretament totes les seves obres.Hem cregut convenient analitzar en aquest apartat l'ampli espectre cultural europeu des de la filosofia presocràtica fins la més actual, passant pel panorama científic vital, tal com és la vida i el genoma humà, la relació amb l'art i la religió, les quals hem relacionat conceptualment a l'obra de Hernández Pijuan.Aquesta relació amb la seva obra es converteix en el verdader protagonista de la nostra tesi, en el fil conductor que explica el lloc, el moment i el motiu de les seves composicions dins el panorama artístic global de la segona meitat del segle XX i principis del segle XXI. El quart bloc explica la seva trajectòria artística des de la perspectiva de l'espai pictòric, en vuit sub-apartats, que a les conclusions reduïm a quatre etapes molt diferenciades que mostren cadascuna de les seves senyes d'identitat, les seves solucions plàstiques, el seu pensament sobre l'art en general, la seva obra en particular i les seves referències culturals. Cal destacar, entre d'altres, artistes com Giotto, Cèzanne, Monet, Franz Kline, Barnet Newman, Saura, Millares, Van Gogh, Tàpies, Kandinsky i Seurat; filòsofs com Plató i Aristòtil; la poesia de Mallarmé, Paul Valery, etc. Com en apartats anteriors, tot això es presenta amb el contrapunt obligat de les seves composicions que mostren gràficament allò que la literatura explica. Dos sub-apartats tanquen aquest capítol: el primer, analitza la seva obra gràfica i el segon intenta explicar la seva personalitat a través dels seus retrats escassos i composar un autorretrat d'Hernández Pijuan.A continuació, s'inclou les conclusions i la bibliografia de la tesi: Llibres, articles de diaris - revistes i catàlegs de l'artista utilitzats per a la realització de la tesi, així com la bibliografia completa sobre Hernández Pijuan. Per acabar, adjuntem un Apèndix documental. A l'espai pictòric de l'obra de Joan Hernández Pijuan, la tesi podria començar amb "hi havia una vegada", parlar de qualsevol cosa des dels inicis fins als nostres dies. Les paraules de Gombrich reflexen aquesta idea: "Un cop vas ser petit i, dempeus, les teves sabates eren com la mà de la teva mare. Te'n recordes? Si volguessis, podries contar una història que començaria així: hi havia una vegada un nen i aquest nen eres tu. I un cop, també vas ser un nadó embolicat en bolquers. No ho pots recordar, però ho saps. La teva mare i el teu pare també van ser petits un cop. I també els avis. D'això en fa molt de temps. No obstant això, diem que són ancians però també van tenir avis i àvies que els van poder dir el mateix: hi havia una vegada... I així successivament, sense parar de retrocedir. Darrera de cada hi havia una vegada... segueix havent-hi sempre una altra. T'has col·locat alguna vegada entre dos miralls? Allò que veus són miralls i miralls, cada cop més petits i borrosos, cada cop més borrosos però cap d'ells és l'últim. Fins i tot quan no se'n veuen més, hi segueixen cabent més miralls que també es troben darrera i es converteixen en el "reduccionisme" més absolut. No és impossible imaginar que acabi; l'avi de l'avi de l'avi de l'avi de l'avi. Si ho penses amb deteniment, amb el temps aconseguiràs concebre-ho. Afegeix un altre més. D'aquesta manera arribem a una època antiga i després a una època molt antiga. Sempre més enllà, com als miralls. Però sense trobar mai el principi. Darrera de cada inici torna a haver-hi un altre inici "hi havia una vegada". En aquest instant ens trobem en aquest espai pictòric, aquest espai microscòpic a la història de la pintura a la qual en Joan Hernández Pijuan hi forma part, (diccionaris, libres, catàlegs, exposicions, premis, acadèmic, catedràtic, etc.). Això és allò que estudiarem i investigarem com uns dels objectius més de la tesi i a partir d'aquí l'espai continua cap endavant, fills, nets, besnéts etc., l'espai pictòric continua fins que altres agafin la cadena de relleu i així successivament, l'estirar del fil, tal i com deia Joan Hernández Pijuan, continua."És un forat sense fons! Sents vertigen quan mires cap a baix? Jo també! Si tirem a aquest pou un paper cremant-se, caurà lentament, cada cop més fons. I en caure, il·luminarà les parets del pou! El veus allà a baix? Continua enfonsant-se; ha arribat des de tan lluny que sembla una estrella minúscula en aquest fons obscur; es fa més i més petit i ja no el veiem". El mateix succeeix amb el recompte i amb el futur que en el seu moment serà un record. Amb aquest projectem una llum sobre el passat i amb els "somnis" projectem la llum del futur. Tal i com diu María Girona: "El més important és tenir alguna cosa a dir i saber expressar-ho". Això és allò que Joan Hernández Pijuan ens ha ensenyat amb el seu art al llarg del temps. / We have set and analyzed Joan Hernández Pijuan's work in its "conceptual" context; we have described, as comprehensively as possible, the "latent firmament of art, philosophy, and science" as an artistic spectrum, we have related and valued his work altogether. We have strayed, to the extent possible, from the numerous comments and writings of art critics, discussing them with our criterion; as the foundation of an investigation that rightly values and classifies where and how his work is set in the art world; in order to "learn about his pictorial space" in connection with his predecessors and as a result of his current environment. Although it seems that we are straying from the "core", my intention is that all complementary information can soar, go around or wander about the "spirit" of his work and thought; so as to help us value, set and know him better. We have shown that Joan Hernández Pijuan has not achieved all the things he has achieved by sheer chance, but as a consequence of a series of relatively "ancient" and current events that he has been able to capture in our times, apply and adopt as his flag. "It is impossible to see the world, in this case the pictorial space of Hernández Pijuan's work, from the core, we can only see it by going through it in all directions". Fernando Zobel pointed out the adjectives that, in his opinion, better described Hernández Pijuan: "clean, subtle, rigorous, cerebral, elegant". The thesis is structured in different sections that lead to the core of our analysis, which is the pictorial space. In the first section, we have thought it advisable to set Hernández Pijuan in the context of the Spanish art, mainly Catalan art, of his times, in order to make it clear that his personality was very different from other painters, pointing out his individuality and creative freedom, regardless any kind of fashion. The second section explains his formal aspects, the nouveau roman related to his work, his artistic languages in connection with the influence of extreme art - Eastern art and above all, what we have called the indescribable images of his works. The third section is structured in three large sections that try to explain his work in connection with a series of cultural interferences that we think may have had an influence on him; some of them are very close to his environment, and others-primitive cultures or non European cultures-that we can see when specifically analyzing each and every work.For this section, we have deemed necessary to describe in greater depth the broad European cultural spectrum from Pre-Socratic philosophy to the most current philosophy, including the vital scientific scene, such as life and human genome, the relationship with art and religion, which we have conceptually related with Hernández Pijuan's work.Connecting his work has truly become the main feature of our thesis, the guiding principle that explains where, when and why his compositions are set in the global scene of art during the second half of the 20th Century and the beginning of the 21st Century. The fourth section tries to explain his artistic career from the point of view of the pictorial space. It is divided into eight subsections, which are summarized in the conclusions in four clearly differentiated periods that show all the signs of his identity, his plastic solutions, his thought about art in general, his work in particular and his cultural references. We mention artists that include, among others, Giotto, Cèzanne, Monet, Franz Kline, Barnet Newman, Saura, Millares, Van Gogh, Tàpies, Kandinsky and Seurat; philosophers, such as Plato and Aristotle; and the poetry of Mallarmé, Paul Valery, etc. As in the previous sections, all this includes the obliged counterpoint of his compositions that graphically show what literature explains. Two subsections bring this chapter to an end: The first one analyzes his graphic work, and the second one tries to explain his personality through his limited portraits, and attempts to compose Hernández Pijuan's self portrait.Next, we present the Conclusions together with the thesis' Bibliography: Books, articles in newspapers - magazines and artist's catalogues used for the thesis. We also attach the complete Bibliography concerning Hernández Pijuan. Finally, we attach a Documentary Appendix. In the pictorial space of Joan Hernández Pijuan's work, the thesis could start as "Once upon a time", in order to talk about his beginnings until the present time. Gombrich's words illustrate this idea: "You were young once, and when standing, you barely reached your mother's hand. Do you remember? If you wanted to, you would be able to tell a story that would start like this: Once upon a time, there was a boy, and that was you. And once, you were also a baby wrapped in nappies. You can't remember, but you know this. Your father and your mother were also young once. Your grandparents too. That was a long time ago. However, we say that they are old people. But they also had grandfathers and grandmothers that may have said this: once upon a time. And so on, we continue going back. Behind each "once upon a time", there is another one. Have you ever stood between two mirrors? What you see in them is mirrors and more mirrors, increasingly small and blurred, but none of them is the last one. Even when you can't see any other mirror, more mirrors still fit in other mirrors, turning into the most absolute 'reductionism'. It is impossible to imagine that it could end; the grandfather of the grandfather of the grandfather of the grandfather. If you take your time and think about it, you'll be able to conceive of it. Add another person. This way, we get to an ancient period, and then, to another period that is even more ancient. Always beyond, as with mirrors. But never getting to the beginning. Behind each beginning, there is another "Once upon a time". Right now, we are in that pictorial space, this microscopic space in the history of painting in which Joan Hernández Pijuan participates, (dictionaries, books, catalogues, exhibitions, awards, academician, professor, etc.). This is what we are going to study and investigate as another goal of this thesis, and from now on, the space continues, children, grandchildren, great-grandchildren, etc. The pictorial space continues until other persons start replacing it, and so on and on, we continue pulling the thread, as Joan Hernández Pijuan used to say."! "It is a bottomless hole!". Does looking down gives you vertigo?! Me too! If we throw a burning paper to the bottom, it will fall slowly, deeper and deeper. And when reaching the bottom, it will light the walls of the well. Can you see it down there? It continues going down; it has gotten so far that it seems a minuscule star in the dark bottom; it is increasingly smaller. We can't see it anymore". That is what happens with memories and with the future, which will eventually be a memory. Memories cast a light on the past, and "dreams" cast a light on the future. As María Girona says: "To have something to say and to know how to express it is the most important thing". This is what Joan Hernández Pijuan has taught us with his art during the course of the years.
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La carrière de Claude Jean-Baptiste Jallier de Savault (1739-1806) : architecte du règne de Louis XV à l’Empire / The career of Claude Jean-Baptiste Jallier de Savault (1739-1806) : architect from the reign of Louis XV to the First Empire

Plouzennec, Yvon 24 November 2018 (has links)
L’architecte Claude Jean-Baptiste Jallier de Savault est une figure méconnue dont la redécouverte est relativement récente. Né en 1739 à Château-Chinon, il est élevé dans une famille bourgeoise de culture protestante. Au cours des années 1750, il s’installe à Paris et intègre l’agence de Jacques-Germain Soufflot, alors en pleine effervescence. Le cursus académique qu’il mène en parallèle de cette formation pratique, est couronné par deux seconds Prix en 1758 et en 1760. Soutenu par son maître et par Charles-Nicolas Cochin, il obtient un brevet d’élève architecte de l’Académie de France à Rome et séjourne au Palais Mancini en 1762. À son retour, il poursuit son apprentissage auprès d’Ange-Jacques Gabriel avant d’entamer une carrière au service des financiers d’Ancien Régime. Cette clientèle, à majorité protestante, lui offre l’opportunité de réaliser divers projets à Paris, mais également dans le nord-est du royaume, ainsi qu’en Suisse. Les dernières années du règne de Louis XVI, marquées par l’accession de Jacques Necker à la Direction générale des Finances, constituent le moment fort de sa carrière. Les deux succès publics qu’il remporte à cette époque (Place royale de Brest et hôtel de la Caisse d’escompte) ne voient pourtant jamais le jour, du fait des événements qui agitent le royaume. Après une parenthèse politique dans les premiers temps de la Révolution, il est employé par la Commission des travaux publics avant de devenir architecte des bâtiments civils sous le Directoire. Ce poste, qu’il occupe jusqu’à sa mort, en 1806, lui accorde un statut officiel qui constitue finalement l’aboutissement de la quête de légitimité qu’il mène tout au long de sa carrière. / The architect Claude Jean-Baptiste Jallier de Savault is an unsung figure whose rediscovery is relatively recent. Born in 1739 in Château-Chinon, he grew up in the Protestant milieu of a tradesman family. In the 1750s, he moved to Paris and joined the office of Jacques-Germain Soufflot, then at the height of its activity. The academic course he followed in parallel with this practical training was crowned by two second prizes in 1758 and in 1760. Supported by his master and Charles-Nicolas Cochin, he was accorded the status of a student architect of the Academy of France in Rome and resided at the Palais Mancini in 1762. Upon his return, he continued his apprenticeship with Ange-Jacques Gabriel before starting a career in the service of financiers of the Ancien Régime. This mostly Protestant clientele offered him the opportunity to carry out various projects in Paris, in thenorth-east of the kingdom, as well as in Switzerland. The last years of the reign of Louis XVI, marked by the accession of Jacques Necker to the Directorate General of Finance, was a propitious time in his career. Given thekingdom’s worsening political and financial situation, however, his two public commissions from this time (the Royal square of Brest and the Paris headquarters of the Caisse d’Escompte) were never built. After a brief engagement in political life in the early days of the Revolution, he was employed by the Public Works Commissionand subsequently became an architect of civil buildings under the Directory. With this post, which he held until his death in 1806, he finally gained something of the official status and legitimacy that had long eluded him.
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Le marché de l'art et le trafic illicite des biens culturels : une étude de cas : la collection Barbier-Mueller

Boisvenue, Valérie 04 1900 (has links)
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Integrando a percepção de estudantes à criação de peça teatral: uma alternativa de educação científica em diálogo com as artes. / Integrating the perception of students into a creation of a theatre play: an alternative for science education in dialogue with the arts.

Gardair, Thelma Lopes Carlos January 2012 (has links)
Submitted by Isac Macêdo (isac@ioc.fiocruz.br) on 2013-09-22T21:12:04Z No. of bitstreams: 1 DO 2008 - Thelma Lopes Carlos Gardair.pdf: 13191419 bytes, checksum: 6e5b67897f2d8e12a3cbd77a50ba9387 (MD5) / Made available in DSpace on 2013-09-22T21:12:04Z (GMT). No. of bitstreams: 1 DO 2008 - Thelma Lopes Carlos Gardair.pdf: 13191419 bytes, checksum: 6e5b67897f2d8e12a3cbd77a50ba9387 (MD5) / Fundação Oswaldo Cruz. Instituto Oswaldo Cruz. Rio de Janeiro, RJ, Brasil. / O presente estudo aborda aproximações entre ciências e teatros, suas possíveis relações com a educação em ciências, e o papel potencializador da linguagem teatral na construção de imagens menos estereotipadas do cientista e artista. A pesquisa também explora o estímulo ao debate sobre temas científicos, articulado a outros saberes, voltado a estudantes do ensino fundamental e médio. Dentre os principais objetivos desta tese destacam-se: a) Análise das percepções dos sujeitos pesquisados acerca da imagem do cientista, artista e sobre noções de artes e ciências; b) Desenvolvimento de peça teatral, baseada em dados obtidos por meio de questionários e pesquisa histórica, que consista em estratégia educativa voltada para discussão sobre ciências articulada às artes; c) Análise dos efeitos da peça junto aos participantes da pesquisa. Para tanto, 226 estudantes responderam questionário, categorizados em três grupos, a saber: jovens artistas, jovens cientistas e alunos de escolas públicas. O grupo por nós chamado de “jovens cientistas” é composto por estudantes da “Escola Politécnica de Saúde Joaquim Venâncio” (EPSJV) e alunos que integram o “Programa de Vocação Científica” (PROVOC). Na presente pesquisa o grupo de “jovens artistas” é composto por estudantes que participam de atividades relacionadas à linguagem teatral em duas instituições, a saber: “Casa das Arte de Laranjeiras” (CAL) e “Colégio Salesiano Santa Rosa”. Um terceiro grupo integrou nosso estudo e compôs-se de estudantes que não estavam vinculados a instituições educativas, programas ou atividades voltadas para o desenvolvimento de aptidões artísticas ou científicas. Este grupo foi formado por alunos da “Escola Estadual Amaro Cavalcanti” e do “Collège Jean Jaures”. Ambas as instituições são públicas. A primeira localiza-se no bairro do Largo do Machado, no Rio de Janeiro, e a segunda na cidade de Montreuil, na França. As respostas foram interpretadas à luz do método de “análise de conteúdo”, sistematizado por Laurence Bardin (1978). Os fundamentos para a escrita da peça foram, principalmente, pesquisa histórica e dados obtidos a partir dos 226 questionários. A trama da peça “Toda menina é uma rainha” consiste na aventura de dois adolescentes ávidos por conhecer o mundo e a si mesmos, que ao remexerem em antigos livros, transportam-se para o século XVI, em 1582, na Inglaterra, onde vivenciam o cotidiano da época, tornam-se amigos da rainha e presenciam um inusitado encontro entre Galileu Galilei e William Shakespeare. Como estudo piloto dos efeitos da peça junto ao público alvo da pesquisa, foram realizados dois encontros nos quais desenvolveu-se jogos teatrais, exercícios de aproximação aos temas explorados na peça e preenchimento de questionários. Culminando com a leitura dramatizada da peça, os referidos encontros possibilitaram a identificação de qualidades e limites do texto como ponto de partida para a discussão sobre ciências. / This study examines similarities between science and theaters, its possible relations with science education, and potentiating role of theatrical language in the construction of less stereotyped images of the scientist and artist. The research also explores the stimulus to the debate on scientific issues, articulated to other knowledge, aimed at students in middle and high school. Among the main objectives of this thesis are: a) analysis of perceptions of the subjects interviewed about the image of the scientist, artist and on notions of arts and sciences; b) Development of theatre play, based on data obtained through questionnaires and research historical, consisting of educational strategy aimed at discussion of science to the arts articulated c) Analysis of the effects of the play by the research participants. For that, 226 students answered the questionnaire, categorized into three groups, namely young artists, young scientists and students from public schools. The group that we called "young scientists" is composed by students from the "Escola Politécnica de Saúde Joaquim Venâncio " (EPSJV) and students who integrate the "Scientific Vocation Program" (PROVOC). In this study the group of "young artists" is composed of students who participate in activities related to theatrical language in two institutions, namely: "Casa das Artes de Laranjeiras" (CAL) and "Colégio Salesiano Santa Rosa." A third group incorporated on our study consisted of students who were not tied to educational institutions, programs or activities for the development of artistic or scientific skills. This group was formed by students of the "Escola Estadual Amaro Cavalcanti" and "Colégio Jean Jaures." Both institutions are public. The first is located in the neighborhood of Largo do Machado, in Rio de Janeiro, and the second in Montreuil, France. The responses were interpreted according to the method of "content analysis", systematized by Laurence Bardin (1978). The fundamentals for writing the play were mainly historical research and data obtained from 226 questionnaires. The plot of the play "Every girl is a queen" is the adventure of two teenagers eager to experience the world and themselves that the picking up in old books, transport to the sixteenth century, in 1582, in England, where they experience everyday time, become friends of the queen and witness an unusual encounter between Galileo Galilei and William Shakespeare. As a pilot study about the effects of the text to the target audience research, two meetings were held in which developed theater games, exercises for approaching the themes explored in the play and answer a questionnaire. Culminating with a dramatized reading of the play, these meetings allowed the identification of strengths and limits of the text as a starting point for discussion about science. / L'étude examine les points de convergence entre la science et l’art du th tre, la relation possible du théâtre avec l'enseignement des sciences, et le rôle de potentialisation de la langue théâtrale dans la construction d'images moins stéréotypées du scientifique et de l'artiste. La recherche explore également de nouvelles impulsions du débat sur les questions scientifiques articulées à d'autres connaissances, et elle s'adresse aux élèves de collège et au lycée. Les principaux objectifs de cette thèse sont les suivants: a) l'analyse des perceptions des sujets interrogés sur l'image du savant, de l'artiste et sur les notions d'art et de science ; b) le développement du jeu théâtral, basé sur des données obtenues au moyen de questionnaires et de recherches historiques, jeu élaboré selon la stratégie éducative visant à la discussion articulant science et art c) Analyse des effets de la pièce pour les participants à la recherche. À cette fin, les étudiants ont répondu à 226 questionnaires, répartis en trois groupes, à savoir : les jeunes artistes, les jeunes scientifiques et les étudiants des écoles publiques. Le groupe que nous avons appelé «les jeunes scientifiques est compos d' tudiants de l’ «Escola Poliécnica Joaquim Venancio » (EPSJV) et d’ tudiants inscrits au «Programme Vocation scientifique » (ProVoc). Dans cette étude, le groupe de « jeunes artistes » est composé d'étudiants qui participent à des activités liées à la langue théâtrale dans deux établissements, à savoir: " Colégio Salesiano Santa Rosa" "Casa das Artes de Laranjeiras" (CAL). Un troisième groupe a intégré notre étude, il est constitu d’ tudiants qui n’appartiennent pas des établissements, des programmes ou des activités de spécialisation artistique ou scientifique. Ce groupe est formé par des étudiants de la «Escola Estadual Cavalcanti Amaro » et du « Collège Jean Jaurès ». Les deux institutions sont publiques. Le premier est situé dans le quartier de Largo do Machado, à Rio de Janeiro, et le deuxième dans la ville de Montreuil-sous-bois en France. Les réponses ont été interprétées selon la méthode de «l'analyse de contenu», systématisée par Laurence Bardin (1978). Les raisons motivant l’ criture de la pièce étaient de deux ordres : la recherche essentiellement historique et les données obtenues à partir des 226 questionnaires. L'intrigue de la pièce «Chaque jeune fille est une reine », c'est l'aventure de deux adolescents désireux de découvrir le monde et eux-mêmes. Ils vivent ces aventures à ème partir de recherches dans de vieux livres, et sont transportés au 16 siècle, en 1582, en Angleterre. Ils y découvrent la vie quotidienne, deviennent amis de la reine, et assistent à une rencontre insolite entre Galilée et Shakespeare. Comme étude pilote sur les effets du nombre conjointement à la recherche sur le public ciblé, deux réunions ont été organisées au cours desquelles ont été développés des jeux théâtraux, des exercices pour aborder les thèmes explorés dans le jeu et répondre à un questionnaire. Culminant en une lecture dramatisée de la pièce, ces réunions ont permis l'identification des forces et des limites du texte comme point de départ pour la discussion sur la science.
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Varron et les beaux-arts : architecture, sculpture, peinture / Varro and the fine arts : architecture, sculpture, painting

Neumuller, Nadège 22 December 2012 (has links)
La thèse de doctorat est consacrée aux aspects afférents à l’art dans l’œuvre de Marcus Terentius Varro, encyclopédiste romain du premier siècle avant notre ère. Son œuvre, en partie conservée, en partie réduite à l’état de fragments, a été transmise notamment par Pline l’Ancien, Aulu-Gelle et différents grammairiens romains. En guise de propédeutique, un développement sur un ouvrage de Varron, les 'Disciplinarum Libri', est proposé, situant les arts libéraux dans un cadre philosophique, suivi de la genèse de la critique d’art varronienne, remontant à Platon et Aristote ainsi qu’à Xénocrate d’Athènes. En parallèle, les conceptions artistiques de Cicéron, contemporain de Varron, sont présentées. S’ensuit une partie consacrée à l’architecture qui s’intéresse aux demeures des hommes, puis aux demeures des dieux. Un excursus se focalise sur la 'uilla' de Varron à Casinum ainsi que sur son tombeau. Dans la partie suivante sont présentés les regards du Réatin sur les sculpteurs grecs et hellénistiques, puis sur ceux de son temps, chacun faisant l’objet d’un développement particulier. La même approche est ensuite employée au sujet de la peinture, proposant des notices individuelles sur les peintres grecs et romains et offrant des prolongements par le biais de l’étude d’une Satire Ménippée particulièrement liée au sujet de la thèse ainsi que par l’analyse de l’œuvre qui a offert à Varron un terrain privilégié pour exprimer ses jugements de critique d’art : le 'De imaginibus'. Une ample synthèse conclusive expose les influences exercées par les opinions et les écrits d’un Varron aux goûts esthétiques marqués d’éclectisme, appréciant des œuvres du passé et du présent, figurant des dieux et des hommes, des paysages et des objets, avec toutefois une préférence marquée pour le classicisme et la tradition. Enfin, un développement final envisage la question de l’influence des écrits varroniens relatifs aux arts sur le classicisme augustéen ainsi que sur la politique de restauration conduite par le vainqueur d’Actium. / This thesis is devoted to aspects related to art in the work of Marcus Terentius Varro, a Roman encyclopedist from the first century BCE. His work, partly preserved, partly reduced to fragments, was passed on namely by Pliny the Elder, Aulus Gellius, and various Roman grammarians. The first part will emphasize on one of Varro’s works, the 'Disciplinarum Libri', in order to situate liberal arts in a philosophical framework, and on the genesis of varronian art criticism, dating back to Plato and Aristotle as well as Xenocrates of Athens. In parallel the artistic concepts of Cicero, contemporary with Varro, are presented. This section is followed by one dedicated to architecture, relating to men’s dwellings, and the homes of the gods. An excursus focuses on the villa of Varro in Casinum and on his tomb. In the next section, the views of the Reatinian on Greek and Hellenistic sculptors as well as the ones of his era are presented, each being subject of a particular development. The same approach is then applied on painting, offering individual notes on the Greek and Roman painters. Extensions are brought through the study of a Menippean Satire which is particularly related to the topic of the thesis, and by the analysis of 'De imaginibus', the work which gave Varro a fertile ground for expressing judgments of art criticism. A thorough conclusive synthesis exposes the influences exerted by the opinions and writings of Varro, whose aesthetic tastes can be described as eclectic. He enjoyed the works of past and present, depicting gods and men, landscapes and objects, but kept a marked preference for classicism and tradition. A final development considers the question of the influence of art-related varronian writings on Augustan classicism, and considers the restoration policy led by the victor of Actium.
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Enseigner l'art de peindre : l'œuvre pédagogique et littéraire de Michel-François Dandré-Bardon (1700-1783) / Teaching the art of painting : the literary and pedagogical work of Michel-François Dandré-Bardon (1700-1783)

Pierre, Laetitia 27 January 2016 (has links)
A première vue, les ouvrages du peintre d'histoire, littérateur, musicien et théoricien de l'art Michel-François Dandré­-Bardon (Aix-en-Provence 1700 - Paris 1783) peuvent passer pour un savoir de compilation. Leur diversité déclinée sous forme de poèmes, traités de peinture et de sculpture, descriptions chronologiques d'œuvres, répertoires, éloges d'artistes et essais synthétiques, laisse croire qu'il couva tout au long de son existence une ambition littéraire démesurée. Pourtant, sa démarche dément une telle intention. En tant que co-fondateur puis directeur perpétuel de l'École de dessin de Marseille dès 1752, professeur pour l'histoire, la fable et la géographie des élèves de l'École royale protégée de 1755 à 1775, Dandré-Bardon élabora un corpus littéraire en douze volumes visant à établir la première théorie opératoire moderne. La démarche pédagogique engagée par l'artiste nous apparaît de ce point de vue fondamentale : elle s'articule étroitement avec une production graphique qui devient le fer de lance d'une démonstration globale. L'étude chronologique de la carrière artistique de Dandré-Bardon incluant désormais son œuvre littéraire, permet de réviser l'interprétation et la réception de plusieurs de ses chefs-d’œuvre. En choisissant d'axer notre démonstration sur la réception du projet éditorial de l'artiste, nous observons comment ses conceptions pédagogiques ont évoluées au fur et à mesure de leur mise en pratique. La démarche mentale de Dandré-Bardon articule étroitement la pratique de l'exécution artistique avec la production des écrits rédigés entre 1737 et 1778. Ils donnent ainsi les moyens d'apprécier la diversité et la subtilité sémantique des œuvres de ses contemporains en indiquant le cheminement de l'esprit qui anime la matière. / The work of Dandré-Bardon, an academic painter, writer, musician and art theorist (born Aix-en-Provence 1700 - died Paris 1783), could appear to be a synthesis comprised of mere compilation. The diversity of his creative and intellectual expression included poems, treatises on painting and sculpture, chronological and descriptive catalogues of artworks, artist biographies and hagiographies as well as analytical essays, the totality of which might give the impression of oversized literary ambitions. However, Dandré-Bardon's practical method contradicts such an unfortunate misunderstanding of his endeavors. As co-founder of the École de dessin de Marseille, Dandré-Bardon was appointed Director for life of the same establishment in 1752. From 1755 to 1775, he was also a professor of History, Fables and Geography for students at the École royale protégée, where he wrote a twelve volume literary compendium aimed at establishing the first modern theory for artistic pedagogy. With this in mind, the pedagogical method developed and unde1iaken by the artist was thus fundamentally important during the period : in conjunction with Dandré-Bardon 's artistic production, it became the spearhead for a broader movement. Henceforth, the chronological study of the artistic career of Dandré-Bardon must include his literary work, which will allow a re-evaluation of the historical reception of his masterpieces, as well as the meaning behind their iconography. By choosing to focus on the artist's texts, we can observe how his pedagogical concepts evolved in alignment with their practical application. The intellectual approach of Dandré-Bardon highlights the alignment between his a1iistic development and his literary output during the period from 173 7 to 1778. They provide the means of appreciating the diverse and refined semantics that marked the works of his contemporaries while showing the thought processes behind how the mind brings matter to life in the creation of art.
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Pela salvação de minha alma: vivência da fé e vida cotidiana entre os Irmãos Terceiros em Minas Gerais – séculos XVIII e XIX

Evangelista, Adriana Sampaio 28 June 2010 (has links)
Submitted by isabela.moljf@hotmail.com (isabela.moljf@hotmail.com) on 2017-06-23T12:17:19Z No. of bitstreams: 1 adrianasampaioevangelista.pdf: 1076369 bytes, checksum: bff102f7b06321c64fbdb6951498892f (MD5) / Approved for entry into archive by Adriana Oliveira (adriana.oliveira@ufjf.edu.br) on 2017-08-07T20:12:31Z (GMT) No. of bitstreams: 1 adrianasampaioevangelista.pdf: 1076369 bytes, checksum: bff102f7b06321c64fbdb6951498892f (MD5) / Made available in DSpace on 2017-08-07T20:12:31Z (GMT). No. of bitstreams: 1 adrianasampaioevangelista.pdf: 1076369 bytes, checksum: bff102f7b06321c64fbdb6951498892f (MD5) Previous issue date: 2010-06-28 / Esta pesquisa trata dos diferentes modos pelos quais os irmãos das Ordens Terceiras do Carmo e de São Francisco viveram a religiosidade destas congregações fundada no modelo do Cristo sofredor, em Minas Gerais no período colonial. Com esse objetivo, e afim de compreender a relação entre a vida cotidiana dos Irmãos e a vida na congregação, foram analisadas as estruturas administrativas das Ordens Terceiras, a passagem pelo Noviciado, o envolvimento dos Irmãos na produção das festas religiosas, o modo como eles se preparavam para a morte e os cuidados tomados para a vida no além. O presente trabalho centrou sua pesquisa no estudo das Ordens Terceiras do Carmo e São Francisco das antigas vilas de São João del-Rei e Vila Rica. / Cette recherche porte sur les différentes façons dont les frères du Tiers Ordre du Carmel et de San Françoise a connu la religiosité de ces congrégations fondées dans le modèle du Christ souffrant, dans le Minas Gerais dans la période coloniale. Avec cet objectif en vue de comprendre la relation entre le quotidien et la vie des frères de la congrégation, nous avons analysé les structures administratives du Tiers-Ordres, le passage par le Noviciat, l'implication des Frères dans la production de fêtes religieuses et comment ils se préparaient à la mort et le soin apporté à l'au-delà. Cette étude a porté ses recherches sur l'étude du Tiers-Ordre du Carmel et San Françoise des anciennes villes de São João del Rei et de Vila Rica.

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