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Matière et couleur dans la peinture pariétale romaine de la fin de la République / Matter and Colour in Wall Paintings from the End of the Roman Republic

Mulliez-Tramond, Maud 03 February 2011 (has links)
L’art décoratif qui émerge à la fin de la République romaine sous la forme du trompe-l’œil architectural est fascinant par la technicité nouvellement éprouvée pour représenter un espace tridimensionnel. La perspective y est une composante majeure mais elle est assistée par d’autres innovations tout aussi essentielles. La connaissance de l’impact lumineux sur la matière et la capacité à suggérer les volumes contribuent efficacement aux exigences de la mimesis. D’autres usages picturaux restent mystérieux et leur fin se dérobe à nos regards trop jeunes de deux millénaires.La diversité et la richesse des matériaux rassemblés dans ces décors inspirés de plusieurs univers s’apparentent à la notion de varietas ou poikilia, ce goût délibéré pour la bigarrure. Pierres précieuses et métaux brillants, bois exotiques, écailles de tortues et ivoire, textile lourd et verre translucide y rivalisent avec la multitude des marbres polychromes imaginaires ou d’origine souvent lointaine. La valeur signifiante de ces parois imagées passe aussi par la distribution des couleurs – austeri ou floridi d’après la classification de Pline l’Ancien. Les lamentations de l’architecte passéiste Vitruve comme ses prescriptions pragmatiques nous permettent de saisir quelques aspects de la polysémie des couleurs. Souvent multiples par la combinaison d’éléments juxtaposés ou mêlées en une surface multicolore, elles daignent parfois endosser modestement le monochrome pour orner avec élégance une salle entière.La singularité de ce système décoratif appelé IIe style est accentuée par le fait qu’il apparaît subrepticement à l’aurore du Ier siècle avant notre ère pour disparaître tout aussi furtivement, avant même le trépas de ce siècle, avec l’émergence du nouveau langage visuel de l’art augustéen. / A new decorative art appears at the end of the Roman Republic: the architectural trompe-l'oeil. The new techniques used to represent the three dimensions of space are fascinating. Perspective is the major one, but other complementary innovations are just as essential. The perfect command of how light impacts on matter and the ability to suggest volumes efficiently meet the requirements of the mimesis. Certain other painting techniques however still remain mysterious to us after two thousand years.The diversity and magnificence of the materials gathered in these decors inspired from several sources evoke the concept of varietas or poikilia (the deliberate preference for the multi-coloured). Precious stones and shiny metals, exotic woods, tortoiseshells and ivory, heavy textile and translucent glass rival the multitude of polychromatic marbles either imaginary or often coming from far away. The meaning of these painted walls is also expressed through the distribution of colours - austeri or floridi according to Pliny the Elder's classification. Conservative Vitruvius' lament as well as his pragmatic advice enable us to understand some aspects of the colours' polysemy. Often multiple through the combination of various elements either side by side or mixed together, forming a multi-coloured area, they sometimes modestly condescend to monochrome and elegantly decorate a whole room.This decorative art is all the more singular that it appears furtively at the dawn of the first century and disappears as furtively even before the end of that same century, with the emergence of the Augustan art as a new visual language.
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Refus du luxe et frugalité à Rome : histoire d'un combat politique : (fin du IIIe siècle av. J.-C. - fin du IIe siècle av. J.-C.) / Luxury’s refusal and frugality in Rome : history of a political battle : (late third century BC – late second century BC)

Passet, Laure 28 November 2011 (has links)
Cette étude analyse la place et le rôle du mode de vie dans les discours et les pratiques politiques à Rome à la fin du IIIe siècle av. J.-C. et au IIe siècle av. J.-C. qui formaient un moment charnière. Le luxe faisait partie des pratiques de distinction de l’aristocratie à la fin du IVe siècle av. J. C. et au IIIe siècle av. J. C. À partir de la deuxième guerre punique, l’élite commença à s’inquiéter du rôle politique du faste et des menaces qu’il faisait peser sur le système oligarchique ; elle fit ensuite voter des lois régulant les festins pour éviter que ceux-ci ne servissent à gagner du crédit politique, mais sans évoquer franchement cette raison, par déférence pour le pouvoir et par souci de préserver sa légitimité. Le combat contre le luxe investit les discours, influant sur l’image que l’élite donnait d’elle-même. Les adversaires du luxe, comme Caton l’Ancien, mirent en avant une nouvelle qualité, la frugalité, correspondant à l’adoption d’un train de vie inférieur à ce que son rang permettait. Une représentation négative se structura autour du luxe, explicitement et définitivement associé aux vices, aux étrangers, en particulier aux Grecs, et implicitement considéré comme caractéristique des hommes inaptes à servir leur patrie ou aspirant à un pouvoir excessif. Une représentation antithétique se développa autour de la frugalité, qualité des vrais Romains fidèles aux mœurs de la campagne et soucieux des intérêts de la République, une image qui fut particulièrement appréciée par le peuple. Ces arguments connurent un immense succès dans les luttes politiques du dernier tiers du IIe siècle av. J. C. La frugalité était cependant difficilement applicable en toutes circonstances car elle heurtait les normes de l’élite : il importait de signifier à travers elle une position politique, mais il fallait aussi savoir recevoir convenablement ses amis. Le stoïcisme, qui se développait alors à Rome et qui prescrivait une vie tempérante, dut s’adapter à cette exigence. / This study analyses the place and role of the way of life in political speeches and practices in Rome in the late third century BC and in the second century BC, which formed a turning point. Luxury was a means of social distinction for the aristocracy in the late fourth century BC and third century BC. From the Second Punic War onwards, the elite began to worry about the political impact of this sumptuousness and the threats it posed for the oligarchic system. Consequently, the elite introduced laws regulating banquets in order to prevent hosts from gaining political prestige, without clearly citing this reason, out of deference for the government and in order to protect its own legitimacy. This fight against luxury spread in speeches and influenced the image of itself which the elite wanted to promote. The detractors of luxury, like Cato the Elder, proposed a new ideal – frugality, which implied adopting a lifestyle more humble than that which was allowed by one’s actual rank. A negative definition of luxury was proposed – it was explicitly and definitively associated with vice, foreigners (Greeks especially), and implicitly considered to be typical of men who were unable to serve their homeland or who aspired to excessive power. An antithetic representation of frugality was developed and was thought to be the quality of real Romans who were true to the values of the countryside and anxious to preserve the interests of the Republic. This image was highly valued by the people. These ideas played a significant role in the power struggles in the last third of the second century BC. Frugality remained nonetheless a difficult quality to adopt in all circumstances because it went against the standards of the elite – while it mattered for the elite to make their political position clear through frugality, it was also important to cater to one’s guests as befitted one’s rank. Stoicism, which was then developing in Rome and advocated a restrained way of life, had to adapt to this demand.
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La composante iconographique mésopotamienne dans les coupes "phéniciennes" en métal / The Mesopotamian iconographic component on the "Phoenician" bowls

Onnis, Francesca 26 November 2015 (has links)
Dans le décor des coupes dites «phéniciennes», dont l’éclectisme a posé tant de questions, nous étudions les éléments d’origine mésopotamienne. Ces éléments concernent aussi bien les thèmes des représentations que leur mise en œuvre formelle ; nous en avons retracé la pénétration dans le corpus des coupes et leur diffusion. Du moment où la civilisation levantine a produit ces coupes, nous avons cherché à déterminer la façon dont elle a assimilé et adapté les types iconographiques mésopotamiens à l’expression de son propre univers culturel, ainsi que les critères qui ont pu orienter son choix des motifs parmi le vaste répertoire mésopotamien. Notre approche se veut iconologique : l’analyse du décor des coupes « phéniciennes » s’accompagne de l’étude de l’objet en tant que support matériel, de sa forme, de sa fonction, de sa valeur matérielle et symbolique, comme du cadre historique et culturel dans lequel cette catégorie spécifique de vaisselle a été produite. / This research concerns elements of Mesopotamian origin in the decoration of the so-called « Phoenician » bowls, whose eclectic nature has been long debated. My study focuses on two different aspects of this class of vessels. First, following the traditional iconographical approach, I study the formal and thematic elements of the various bowls in this series. Second, as the « Phoenician » bowls were produced within the Levantine culture, I aim to establish to what extend they reflect the way the Levantine culture assimilated and adapted Mesopotamian iconography for the expression of its own customs and values. I also intend to find out what cri-teria guided the Levantine artists in selecting which motifs to put on the bowls from the rich Mesopotamian iconographic repertoire.In addition, my approach is iconological: in order to ascertain what the Mesopotamian iconography reveals about the society where the « Phoenician » bowls were produced and used, I study the material aspects of the bowl in light of the figurative imagery, paying attention to its shape, its function, its material and symbolic value, foregrounding the historical context in which this class of vessel was produced.
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L'Orient-Express, configuration littéraire d'un mythe européen (1883-2000)

El Gammal, Blanche 21 November 2016 (has links)
Cette étude aborde la manière dont l’Orient-Express a été décrit, perçu et imaginé, et s’efforce de mesurer l’écart entre les représentations communes et ce qui se dégage d’un corpus de textes très divers à travers trois grands axes de réflexion :les évocations des itinéraires de l’Orient- Express, les discours tenus sur le train et ses voyageurs, les thématisations et récupérations littéraires dont il a fait l’objet.L’idée directrice du propos est de montrer comment l’Orient-Express, rêve programmé par de très efficaces campagnes publicitaires et suscité par un imaginaire géographique, historique et littéraire puissant, n’a pu pleinement convaincre les voyageurs, mais aussi les écrivains et les lecteurs qui, semble-t-il, ne cessent de déplorer la disparition d’un train et d’un voyage qui n’ont peut-être jamais existé ou qui ne sont jamais vraiment ceux qu’ils imaginaient. / Doctorat en Langues, lettres et traductologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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De l'objet à l'expérience dans l'aménagement des lobby d'hôtels de luxe : le cas du Ritz-Carlton Montréal, Canada

Galy-Gasparrou, Anne-Sophie 01 1900 (has links)
No description available.
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Cultural influences and non-conspicuous consumption : the case of high-end or luxury skincare brands in Vietnam / Les influences culturelles et la consommation non-ostentatoire : le cas des marques haut de gamme ou de marque de luxe au Vietnam

Pham, Phong Lan 18 December 2015 (has links)
Le Vietnam est un marché très potentiel pour les marques de soin de la peau. Dans le prémium segment, les produits importés prennent la part totale du marché avec une croissance annuelle de 18 à 35 % dans ces dernières années 2010-2014 (Euromonitor 2015). Dans ce secteur, le seul terme commun utilise ‘mỹ phẩm cao cấp’ (prémium cosmétique) implique les marques de luxe (ex : Clinique, Estée Lauder, Lancôme, Sisley, Shiseido, SKII, Menard, Ohui…) et les marque non-luxe mais haut de gamme (ex : Vichy, Dr.Spiller, Swissline, Dermalogica, Tenamid…). Jusqu’à maintenant, le segment de luxe a bien été abordé, pourtant le segment de haut de gamme ne fait pas encore l’attention des chercheurs. A côté, les vietnamiens par tradition mènent une vie simple et modeste, ce qui est à l’encontre du phénomène de consommation ostentatoire des produits de luxe qui a été largement discuté dans les pays émergeants. Par conséquent, les influences culturelles au marché Vietnamien devrait être revisité dans cette thèse. Alors, comment les consommateurs vietnamiens perçoivent les produits de soin de la peau de luxe et ceux de haut de gamme ? Pourquoi ils choisissent les produits de luxe et pour quoi ils choisissent les produits de haut de gamme ? Quelles sont les facteurs culturels qui influence leur choix ? Cette thèse est pour but de répondre à ces questions tout en générant des implications managériales et académiques importantes pour le marché vietnamien. Dans la partie théorique, cette thèse approche les trois axes théoriques comme les concepts de luxe et de haut-de-gamme, les consommateurs, et les influences culturelles avec des spécificités du marché vietnamien. La partie empirique de cette thèse contient 5 études qualitatives (les records audio spontanés, les discussions en groupe, l’enquête sur le prix de vente, la collection des photos et les entretiens individuels). Les résultats de la revue de littérature et des analyses des données confirment 7 propositions de recherche : [...] Cette thèse contribue à rafraîchir les connaissances sur une économie émergente et en transition tel est le Vietnam. Elle aide les managers à avoir une stratégie dynamique sur la segmentation des produits prémiums (luxe vis-à-vis haut-de-gamme) ainsi que de prendre conscience de la potentialité des consommateurs traditionnels non-ostentatoires Vietnamiens. Elle donne aussi une suggestion aux chercheurs d’étudier une nouvelle perception des marques de luxe et de haut de gamme dans les marchés émergents ; ainsi l’attention sur le pays d’origine devrait être donnée non seulement aux pays de l’Ouest (développés) mais aux aussi autres pays couronnés de succès actuellement comme la Corée du Sud dans les études du marché vietnamien. / Vietnam is a promising market for skincare brands. In premium segment, foreign imported products take the total share with an annual sales increase of 18 to 35 % during the last period 2010-2014 (Euromonitor 2015). Though vietnamese consumers have one common term for this segment as ‘mỹ phẩm cao cấp’ (premium cosmetics), it includes in fact luxury brands (eg : Clinique, Estee Lauder, Lancôme, Sisley, Shiseido, SKII, Menard, Ohui…) and non-luxury but high-end brands (eg: Vichy, Dr.Spiller, Swissline, Dermalogica, Tenamid…). Researchers so far have approached luxury segment but not yet adequately paid attention on the non-luxury but high-end segment in Vietnam. Besides, vietnamese people by culture appraised simplicity and modesty in actual life ; this is contrary to a phenomenon of conspicuous luxury consumption that has been heavily discussed by researchers in emerging economies so far. As such, existent and new cultural trends in Vietnam also is to be revisited in this thesis. So, how vietnamese consumers perceived luxury and high-end skincare brand products ? Why they choose luxury brands and why they choose high-end brand ? Which cultural factors influence their consumption choice ? This thesis is for an aim to find answers to these questions in enabling important managerial and academic implications for the vietnamese market.In theoretical part, this thesis approaches in three axes as luxury and high-end brand concepts, consumers, and cultural influences in stressing on the specificities of vietnamese market. The empirical part of this thesis contains 5 qualitative studies (random records, focus group discussion, market price survey, photo collection and in-depth interview). The results of theoretical review and data analysis confirmed 7 research propositions: 1/ During the economic transition period, vietnamese consumers are supposed not to have clear perception on luxury and high-end brand skincare products; 2/ Vietnamese traditional consumers was supposed not to be conspicuous but quality seeking in premium skincare consumption; 3/ By Korean cultural influence, there exists a behavioral preference of Korean high-end skincare products by vietnamese consumers; 4a/ Comparing to vietnamese young traditional consumers, elder consumers are less product-involved, less knowledgeable on brands, more advice-seeking and brand committed; 4b/ Comparing to elder traditional consumers, young consumers are more product-involved, more knowledgeable on brands, more self-information seeking and self-decisive and less brand committed; 5/ Vietnamese traditional consumers prefer luxury skincare products because of the quality assurance, of which elder consumers rely on price cue and young consumers rely on brand cue; 6/ Vietnamese traditional prefer high-end products because of price-quality, of which elder consumers rely on advice cue and young consumers rely on self-judgment.This thesis contributes to a refreshing knowledge on such emerging and transition markets as Vietnam. It helps managers to have dynamic strategy on premium product segmentation (luxury versus high-end products) as well as to acknowledge of the big potentiality of vietnamese traditional and non-conspicuous consumers. It also give a hint to academic researchers for studying a new perception of luxury and high-end brands in emerging markets as well as to pay attention on not only COO from Western/developed countries but also from such successful Asian country as Korea in study vietnamese market.
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L'industrie de la parfumerie française et les musées : entre public et privé / The French Perfume industry in museums : between public and private sectors

Pronitcheva, Karina 11 January 2016 (has links)
Ce travail de recherche en muséologie porte sur la présentation de la parfumerie commerciale française dans les musées publics en France que ce soient des musées du parfum ou des musées d’art. En débutant par l’histoire de la présentation des produits commerciaux au musée depuis le milieu du XIXe siècle jusqu’aux expositions de marques de luxe au Costume Institute du Metropolitan Museum of Art dans les années 1980, cette étude se focalise par la suite sur la naissance et le développement de différents projets muséaux publics en lien avec la parfumerie (Château de Chamerolles, Esprit du Parfum à Chartres, Cour des Senteurs de Versailles, Collection Sylvie Guerlain-Traditions Verrières à la ville d’Eu) ainsi que sur l’essor des expositions de marques de luxe, dont de parfumerie, dans les musées publics (Chanel, Dior, Roger & Gallet). Les stratégies des pouvoirs publics, celles des marques de luxe ainsi que les motivations des musées publics qui accueillent les expositions de parfumerie sont analysées à tour de rôle. Une étude à part est dédiée au Musée International de la Parfumerie (1989) à Grasse qui est un musée de référence en France : à son histoire, à sa section contemporaine, à ses partenaires ainsi qu’à ses concurrents comme les parfumeries touristiques Fragonard, Molinard ou Galimard. Le dernier chapitre porte sur la programmation temporaire des grands magasins qui, en privilégiant l’art contemporain et les industries de la mode, développent de véritables équipements culturels à même de concurrencer les musées publics jusqu’à dissoudre progressivement les frontières entre un espace muséal et un espace commercial. / This research in Museum studies focuses on exhibitions of French commercial perfumery in perfume and art museums throughout France. Starting with the history of exhibitions of commercial items in museums from the mid-19th century until luxury brands exhibitions at the Costume Institute of the Metropolitan Museum of Art in the 1980s, the study examines the birth and the development of different museum projects related to the French perfume industry (Château de Chamerolles, Esprit du Parfum in Chartres, Cour des Senteurs of Versailles, Collection Sylvie Guerlain-Traditions Verrières in the town of Eu) as well as the growth of luxury brands’ exhibitions in public museums (Chanel, Dior, Roger & Gallet). Public authorities’ policies, perfume brands’ strategies or motivations of public museums which host such exhibitions are analyzed one by one. The case of the International Museum of Perfumery (1989) in Grasse deserves a study in its own right: I consider the history of the museum, the museum’s section of the 20th century perfumery, the role of corporate sponsorship in enriching museum collections as well as the local competition from private perfume museums set up by Fragonard, Molinard or Galimard brands. The last chapter focuses on French department stores and their fashion exhibitions’ programs capable of competing with public museums’ attractions and leading to the progressive blurring of boundaries between a museum space and a commercial one.
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How To Sell A Luxury Brand From A Non-Luxury Store. Essays on Managing a Salesperson's Motivation Towards Selling Luxury Brands From A Non-Luxury Multi-Brand Store / Comment vendre une marque de luxe dans un magasin généraliste. Essais sur la gestion de la motivation du vendeur pour la vente de marques de luxe dans un environnement multi-marques qui ne se limite pas aux seules marques de luxe

Das, Moumita 24 September 2014 (has links)
La recherche en gestion de la force de vente concernant les produits du luxe en est à ses prémices. Compte tenu du poids accru des marques de luxe et des perspectives futures très prometteuses, il importe d’enrichir la recherche et de comprendre les leviers de ventes des produits de luxe. L’industrie du luxe dispose de deux voies d’accès aux consommateurs finaux. D’une part, un réseau spécialisé / dédié contrôlé directement par les fabricants du luxe et d’autre part, des boutiques généralistes multi-marques (en dehors du contrôle des fabricants du luxe). Une part importante des ventes de produits de luxe est réalisée dans ces boutiques non dédiées au luxe où de multiples marques de luxe coexistent et côtoient d’autres marques aux divers statuts. Cette thèse s’attache à expliquer le niveau d’effort que la force de vente de ces boutiques généralistes va dédier aux marques de luxe. Cette thèse repose sur une vaste littérature sur la dissonance cognitive et la théorie de l’identité sociale / The domain of sales management research for luxury products is still nascent. With the persistent growth of luxury brands and ongoing optimistic projections for the future, it is imperative to take a step forward in this field and understand the triggers that enable luxury sales. The personal luxury goods industry operates via two routes to market – “retail” (directly controlled by luxury brand manufacturers) and “wholesale” (outside of luxury brand manufacturer’s control). A significant amount of sales happen via the “wholesale” route, in multi-brand stores where a mix of luxury brands co-exists with non-luxury brands. Drawing from a literature on cognitive dissonance and social identity theory, using multilevel methods, this dissertation raises the question of how to predict salespeople’s effort allocation towards a focal luxury brand in this multi-brand selling environment
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Le luxe alimentaire français. Histoire et géographie d’une singularité / French luxury food. History and geography of a singularity

Marcilhac, Vincent 30 November 2011 (has links)
La prééminence française en matière de luxe alimentaire est souvent présentée comme une évidence. Pourtant il a existé et il existe d’autres cultures du luxe alimentaire dans le monde. Alors, pourquoi et comment la culture française du luxe alimentaire s’est-elle différenciée des autres en s’affirmant et en étant reconnue comme singulière ? Derrière l’apparente évidence, Il importe de démontrer et d’expliquer l’hypothèse d’une singularité française en matière de luxe alimentaire. Celle-ci est aujourd’hui remise en cause, en raison même de l’extension de son marché liée à l’industrialisation de sa production, à la diversification de ses circuits de distribution et à l’internationalisation de sa consommation, ainsi qu’à la montée d’une nouvelle concurrence et à l’évolution de la société. Alors, est-il toujours pertinent de parler de « luxe alimentaire français » ? Au-delà du marketing, cette question soulève le problème du maintien d’une créativité, d’une culture de consommation et d’un savoir-faire spécifiquement français. La valorisation patrimoniale et touristique des lieux de production contribue aujourd’hui à la reconnaissance de l’originalité, de la rareté et de l’excellence des produits alimentaires de luxe. Elle est aussi un outil de développement territorial. / The prominence of France in the food luxury sector is often presented as a given. But other food luxury cultures have existed and still exist. So why and how has the French culture of food luxury differentiated itself from others by affirming itself and being recognized as a singularity? Behind the seeming evidence, it is important to demonstrate and explain the hypothesis of a French singularity in the matter of food luxury. Today, this singularity is called into question because of its own market extension linked to the industrialization of its production, to the diversification of its distribution channels, to the international reach of its consumption, as well as to the rise of a new competition and the evolution of society. So is it still relevant today to talk about "French food luxury"? Beyond marketing, this raises the challenge of maintaining a creativity, a culture of consumption and a know-how quintessentially French. Today, the patrimonial and touristic valuation of the production sites contributes to the recognition of originality, rarity and excellence of luxury food products. This valuation is also a mean for territorial development.
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Nouveaux alliages, nouvelles alliances : le laiton et ses dérivés en Europe (France-Angleterre) au 18e siècle / New alloys and new alliances : Brass and other imitative metals in Europe and in the French eighteenth century society

Antoni, Elisabeth 02 February 2018 (has links)
La petite métallurgie du cuivre – laiton, bronze, plaqué, dorure, argenture – et la quincaillerie fine associée sont, en France, après la Guerre de Sept Ans jusqu’à la veille de la Révolution, de 1765 à 1790 environ, un secteur de l’économie du luxe à la pointe de l’innovation et très concurrentiel, capable de rivaliser avec l’Angleterre, une nation jusque là tenue comme « invincible ». Une première série de travaux en micro-histoire a aidé à redresser l’image de la « révolution » industrielle, mais la vision hiérarchisée des relations entre les différents acteurs subsistant, profitait à certains (gros merciers et entrepreneurs ; techniciens) au détriment d’autres. Au fil des recherches, s’est dégagée une vision plus complexe du milieu parisien de la curiosité, démontrant que les acteurs principaux, les merciers, étaient en général entourés de nombreux correspondants associés à leurs affaires et qui n’étaient pas de simples exécutants. Il fallait en retrouver trace par un dépouillement systématique des archives de Paris et de Londres.A la lumière des sources nous avons poussé les portes d’ateliers d’artisans-fabricants parisiens, découvrant leurs mises en scène de la technique et l’expression d’une pensée technologique : les équipements et les outils matérialisant leurs capacités à s’organiser ; les matières et matériaux, affichant leurs capacités à diversifier les nouveaux alliages et à en affiner les qualités ; les nombreux modèles affichant des intentions de décliner des gammes d’objets et de jouer sur les complémentarités entre métiers; les techniques de finition par jeux d’éclats, imitations, raffinement prouvant leurs implications dans une quête de la perfection.Mais la technicité et la spécialisation exigent de la sous-traitance, donc le recours à d’autres métiers et réseaux. Or, les contraintes corporatives à Paris à l’époque interdisent à l’artisan de vendre ce qu’il ne fabrique pas. Son corollaire est le privilège marchand de vendre tout ce qu’on n’a pas fabriqué, une prérogative qui donne à ce Corps l’ascendance sur les autres. Notre dépouillement de grosses affaires commerciales à Paris mais aussi à Londres démontre que le secteur du luxe prospère grâce à l’économie marchande et à la dynamique basée sur la multiplicité des métiers et des cultures. Cette dynamique est d’autant activée par la polyvalence de certains intermédiaires, dont la minorité de marchands juifs de Londres. Les archives de faillite confirment que les communications entre les marchands parisiens et les membres de ce réseau ont été porteuses de savoirs technologiques pratiques et que l’histoire de la technologie est inscrite dans ces alliances. / In between the end of the Seven Year War and the beginning of the Revolution, from 1765 to 1790, the French hardware trade and the “toy” industry - brass, bronze, plating, gilding, silvering - emerged as one of the most innovative and competitive luxury sector, able to compete with its English counterpart still held as the “hero” in the history of the industrial “revolution”. As a result of many new inquiries and reassessment of the subject through micro-history approaches, inherited historiography has been revised. Yet, a hierarchical vision of relationships among its actors (mercers, producers, and technicians alike) still prevails, leaving apart and undetected some more modest and seemingly ordinary people. As a result of additional recent studies, a new and more complex perception of the Parisian context has demonstrated that the main actors of this achievement usually worked in close association with a number of people that were far from being mere “hands”. Archival resources in Paris and London had to be explored much thoroughly.Perusing through the sources has led us first to visit craftsmen’s workshops and discover “the technique” which reflects the emergence of technological thought : the equipment and tools materialising their capacity to devise and organise the job ; products and materials including new alloys showing their ability to diversify and to refine ; numerous models testifying to their plan to increase the ranges of product relying on analogies and complementarities between trades; finishing and decorating through brilliance, imitations, refinements, proved that their quest for perfection was one of their ultimate challenge.But technique and specialisation mean expansion therefore sub-contracting, that is recruiting other trades and networks. Yet, under the Parisian corporative regulations, a craftsman is denied the right to sell what he does not produce himself, the corollary being that a merchant is allowed under that rule to sell whatever he does not make. This gives him predominance over artisans. Our study of significant mercers’ businesses in Paris and in London demonstrates that the luxury sector has been stimulated by trade and that it involved many arts and crafts; that under this impulse, though originating in France mainly Paris, it went beyond frontiers through different countries one of which being Great Britain, the economy of which was prospering; that the boost was reinforced by the involvement of networks of multi-skilled actors, among them the minority of Jewish traders from London.Thus, progress in historical research has led to the conclusion that between Parisian merchants and the members of this particular network, exchanges involved technology concerns and that, as a result of these alliances, technology had been greatly promoted.

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