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Egon Bahr, l'Ostpolitik et la place de l'Allemagne dans un nouvel ordre européen, 1945-1975

Juneau, Jean-François 04 1900 (has links)
Cette thèse porte sur les conceptions d’Egon Bahr dans le domaine de la politique à l’Est (Ostpolitik) de la République fédérale d’Allemagne (RFA) entre 1945 et 1975. L’analyse se concentre sur le lien entre l’Ostpolitik et l’idée que Bahr se fait de la place et du rôle de l’Allemagne en Europe. Plus précisément, cette étude veut cerner les buts poursuivis par Bahr dans le cadre de la politique orientale. La première partie traite du développement conceptuel de l’Ostpolitik (1945-1969), tandis que la seconde examine sa mise en application entre l’élection de Willy Brandt comme chancelier de la RFA et la conclusion des accords d’Helsinki (1969-1975). Les principales sources utilisées sont les écrits de Bahr ainsi que des documents inédits se trouvant dans divers centres d’archives non seulement en Allemagne, mais aussi aux États-Unis, en France et en Grande-Bretagne. Pour Bahr, l’Ostpolitik ne saurait se résumer à l’élimination des obstacles qui gênent la diplomatie ouest-allemande durant la guerre froide. Bahr poursuit plutôt un projet nationaliste ambitieux dans le contexte des relations avec le bloc soviétique : créer les conditions d’une redéfinition de la place de l’Allemagne en Europe. Pour lui, l’Ostpolitik constitue un instrument idéal pour faire de l’Allemagne la puissance prépondérante dans un nouvel ordre de paix européen. Trois éléments complémentaires participent à l’accomplissement de cette vision : 1) la consolidation de la paix et de la sécurité continentales; 2) la réunification allemande et 3) l’émancipation de la politique étrangère (ouest-)allemande. Cette thèse éclaire la pensée politique de Bahr et contribue à une meilleure compréhension de la signification de l’Ostpolitik dans le contexte plus large de la politique étrangère de la RFA. Les conceptions de Bahr sont uniques dans l’Allemagne de la guerre froide parce qu’elles sont centrées sur les notions de puissance, d’intérêt national et de « normalité ». En même temps, Bahr comprend que la coopération doit toujours rester l’instrument diplomatique privilégié des Allemands vu leur position géographique centrale. À travers le prisme des conceptions de son « architecte », l’Ostpolitik apparaît comme un véritable effort de réconciliation entre la paix en Europe et l’affirmation de l’influence allemande sur la scène internationale. / This thesis deals with Egon Bahr’s understanding of the Federal Republic of Germany’s (FRG) Eastern policy (Ostpolitik) between 1945 and 1975. The analysis is centered on the link between Ostpolitik and Bahr’s conception of Germany’s position and role in the European system. More precisely, this study aims at finding out which goals Bahr pursued in the context of Bonn’s Eastern policy. The first part of the thesis deals with the conceptual development of Ostpolitik (1945-1969). The second part takes a look at its implementation for the period between Willy Brandt’s election as West German Chancellor and the conclusion of the Helsinki Final Act (1969-1975). This thesis relies primarily on Bahr’s writings, including a vast number of unpublished sources, located mostly in German archives, but also in American, French and British archives. According to Bahr, Ostpolitik was not limited to the elimination of West Germany’s burdens in foreign policy during the Cold War. In fact, he pursued an ambitious, nationalistic project in the context of relations with the Soviet bloc. Bahr sought to create the necessary conditions for Germany to redefine its place in Europe. With Ostpolitik as his diplomatic instrument, his ultimate goal was to see Germany become the central power in a new European peace order. Three interrelated objectives formed the core of this vision: 1) the consolidation of peace and security on the continent; 2) German reunification and 3) the emancipation of (West) German foreign policy. This thesis sheds new light on Bahr’s political thought and contributes to a better understanding of Ostpolitik’s significance in the larger context of West German foreign policy. Bahr’s conceptions were unique in Cold War Germany because they were based on notions of power, the national interest and “normality”. At the same time, Bahr understood that Germans, because of their central geographic position, always had to rely on cooperation as the prime instrument of all their diplomatic initiatives. Through its “architect”, Ostpolitik appears as an effort at reconciliation between a peaceful Europe and the unhindered affirmation of German influence in world affairs.
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The DPRK in China's post-cold war foreign policy - a neoclassical realist analysis

Huard, Christine 04 1900 (has links)
Avec l’échec des négociations entre les États-Unis et la Corée du Nord, menées depuis le début des années 1990, sur la question du nucléaire, le problème est devenu graduellement l’affaire des pays voisins, tous soucieux de l’avenir de la région du sud-est asiatique. Présentée comme le seul allié de la Corée du Nord, la China a été invitée à participer à des négociations à trois, à quatre (1997-1998), et à six (2003-2007), dans l’espoir de faire entendre raison au régime isolé, mais jusqu’à maintenant, aucune des tentatives n’est parvenue à satisfaire chacun des membres à la table. Alors que la tension monte et que la politique américaine se fait de moins en moins flexible, la Chine quant à elle, continue d’encourager le retour des négociations à six (Six-Party Talks) dans l’optique de dénucléariser la péninsule coréenne, tout en travaillant à maintenir ses liens avec la Corée du Nord. Le fil conducteur de cette présente recherche est d’abord d’essayer de comprendre pourquoi la Chine continue de soutenir la Corée du Nord, fournissant dons alimentaires et financiers. L’idée est donc d’analyser, selon les principes du réalisme néoclassique, la politique étrangère de la Chine. L’hypothèse principale de cette théorie renvoie à l’idée que la distribution du pouvoir dans le système international influence la politique étrangère des États, mais que des variables au niveau de l’état et/ou de l’individu interviennent dans la formulation et l’application de celle-ci. Il est proposé ici que le lien entre l’unipolarité du système international et la politique nord-coréenne de la Chine, est façonné par des variables intermédiaires telles que : a) la perception des leaders de la distribution du pouvoir et de leur place dans le système international; b) l’idéologie du régime politique, et; c) le type d’unité responsable de la prise de décision en politique étrangère. L’analyse de chacune des variables permettra de faire la lumière sur les intérêts politiques et économiques de la Chine dans l’entretien de cette relation avec la Corée du Nord. / Since the bilateral negotiations between the United States and the Democratic People’s Republic of Korea (DPRK) on the denuclearization of the Korean peninsula failed to produce any effective outcome in the 1990s, China was brought to the table and agreed to play its part as a mediator in the Four Party Talks (1997-1998) between both Koreas and the United States, as well as in the Six-Party Talks (2003-2007), with the addition of Russia and Japan as negotiators. While the American policies toward the DPRK have taken a tough and inflexible turn with former President George W. Bush declaring, at the end of January 2002, that North Korea, Iran, and Iraq “constitute an axis of evil arming to threaten the peace of the world”, China’s DPRK policy, however, reflects long-lasting terms of friendship and collaboration between the two countries. With concerns mounting over the aggressive policies of the North Korean regime and its determination to keep its nuclear arsenal, the question is: why does China insist on preserving its good ties with its neighbour, even when those policies are said to hinder its political and economical interests? To address this question, the theoretical framework of neoclassical realism will be tested within a three-level – systemic, state, and individual level – analysis, with consideration of the propositions that the relative distribution of power shapes China’s North Korea policy, and intervening variables at the state and individual levels are filtering the systemic pressures and thus, shaping decisions related to North Korea. These variables include: a) leadership’s perception of power; b) regime type and ideology, and; c) type of foreign policy decision-making unit. This in-depth analysis will then provide grounds in defining China’s core interests in backing up the secluded regime.
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La política exterior de México durante el gobierno de Vicente Fox (2000-2006). Entre tradición y cambio. / La politique étrangere du mexique vis-à-vis de l'Amérique latine pendant le gouvernement de Vicente Fox (2000-2006). Regards et perspectives. / Mexican Foreign Policy during Vicente Fox’s Government (2000-2006). Between Tradition and Change.

López de Lara Espinosa, Dainzú 02 December 2011 (has links)
Le développement démocratique engendre-t-il un changement dans la politique étrangère du Mexique ?La politique étrangère « traditionnelle » mexicaine est réputée pour être passive, légaliste et nationaliste, telle la définie le Parti Révolutionnaire Institutionnel au début du XXème siècle, jusqu’à la fin des années 1990. Depuis cette date, la politique étrangère mexicaine est en pleine transition sous l’effet d’un nouvel ordre mondial et du processus de démocratisation interne.En 2000, l’élection du président Fox jouit d’une légitimité internationale qui lui permet de renouveler la politique extérieure en se focalisant sur la défense des droits de l’Homme et de la démocratie. Ce changement diplomatique marque une rupture politique avec le régime précédent.Par le biais de la révision du ALENA, il cherche d’une part, à approfondir l’intégration avec les États-Unis avec la négociation d’un accord migratoire, et d’autre part, à développer une activité multilatérale, en particulier au sein des forums de l’ONU. Cette politique vise à réduire la dépendance du Mexique vis-à-vis des États-Unis en intensifiant sa présence multilatérale. Cet objectif sera néanmoins fortement perturbé par des éléments internes, comme l’inertie bureaucratique, et externes, avec les attentats terroristes du 11 septembre.Cette recherche s’appuie sur la littérature politiste spécialisée sur la politique étrangère mexicaine.Elle critique les analyses qui s’attachent exclusivement à démontrer le manque d’habilité et les erreurs diplomatiques de l’administration Fox. La thèse soutient au contraire, que ces changement sont permis de mettre sur l’agenda politique des dossiers fondamentaux comme la politique migratoire, les droits de l’Homme et la coopération pour le développement. / Has Mexican foreign policy changed with the advent of the new democratic rule in Mexico?Traditional Mexican Foreign Policy, known as passive, reactive, legalistic, and nationalistic, was installed by the Institutional Revolutionary Party (PRI) from the start of the 20th century to the late90s. Since that date, Mexican foreign policy faces a double transformation dynamic: the external,with the establishment of a new world order; and the internal, with the Mexican democratization process.2000 elections, depicted as a transparent process, gave president Vicente Fox sufficient international legitimacy to modify foreign policy agenda, introducing the protection of human rights and democratic values. These changes produce a political rupture with the previous regimeand triggered a change in the foreign policy behaviour.The new foreign policy program includes a complementary strategy: first, widen the regional integration within the United States, by the revision of the NAFTA, with a negotiation of amigration agreement; second, deploying a strong multilateral activity (mainly United Nationsforums). This stratagem seeks to reduce Mexico’s U.S. dependence, by intensifying its multilateral presence. But, internal and external causalities, inertial bureaucratic practices and the effects of September 11 reversed this policy.This research is based on political literature specialized in Mexican foreign policy. It critically analyzes the classic approach that focus exclusively on the lack of diplomatic skill and blunders of Fox’s administration. This thesis argues instead that these changes have helped set the politicalagenda of fundamental issues as migration policy, human rights and development cooperation. / ¿Hubo cambio en la política exterior de México con la llegada de la democracia?La política exterior “tradicional” de México, conocida como pasiva, legalista y nacionalista,instalada a inicios del siglo XX por el Partido Revolucionario Institucional (PRI) se enfrenta, en los años noventa, a un doble contexto de transición: el externo, ante la influencia de un nuevo orden mundial; y el interno, con el proceso de democratización. La elección del 2000, considerada un proceso electoral transparente y equitativo, le otorga algobierno de Fox una legitimidad internacional que le permite proponer una agenda de política exterior “nueva”, centrada en la protección de los derechos humanos y la democracia. Esto representa una ruptura política con respecto al régimen anterior y un signo de cambio en el comportamiento hacia el exterior.El nuevo programa de política exterior incluye una estrategia complementaria: primero, profundizar la integración con Estados Unidos, mediante la revisión del TLCAN, con la negociación de un acuerdo migratorio; y segundo, una actividad multilateral, particularmente en los foros de la ONU. Esta política busca reducir la dependencia de Estados Unidos, intensificando su presencia multilateral. Este objetivo es revertido a causa de factores tanto de causalidad interna como externa,como las inercias burocráticas y los efectos de los atentados del 11 de septiembre.Esta investigación se basa en la literatura especializada sobre la política exterior mexicana, y criticalos análisis enfocados exclusivamente en la falta de habilidad y los errores diplomáticos de la administración Fox. Esta tesis sostiene lo contrario, que estos cambios permitieron meter en la agenda política temas fundamentales como la política migratoria, los derechos humanos y la cooperación para el desarrollo.
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Truman, "faith-based" diplomatie et ambigüités du Plan Marshall : cas de la France de l'après-guerre / Truman, faith-based diplomacy and ambiguities of the Marshall Plan in France in the Early Cold War

Autran, Jean-Marie 06 July 2015 (has links)
La "Faith-based" diplomatie américaine et les ambiguïtés du plan Marshall : le cas de la France dans l’après-guerre. Le Président Harry S. Truman (1945-1953) affirme dès 1946 que les E.U. doivent s’armer d'une « diplomatie fondée sur la foi » pour encourager la reconstruction spirituelle d'une Europe « déchristianisée » face au communisme. Pour faire barrage au marxisme de l’Union Soviétique, il fallait commencer par la France, vue comme la pierre de voûte spirituelle. Plus que toute autre nation, elle bénéficie avec le plan Marshall d'un puissant soutien financier militaire, économique et d'une conquête des cœurs et des esprits. De multiples agences interviennent dans cette période alors que les Églises américaines redécouvrent cette terre de mission. Généralement articulées autour de la conviction religieuse des Présidents, les initiatives sont relayées sur le terrain par l’engagement d’acteurs privés. Officialisée en 1998 par le président Clinton dans la promulgation de l’Acte international sur la liberté religieuse, cette approche a justifié la ténacité des missionnaires de 1945 à nos jours dans une France catholique religieusement peu diverse. Encouragées par le quatrième Réveil la plupart des missions américaines, églises protestantes historiques, nouvelles religions ou NMR (mormons, adventistes, témoins de Jéhovah etc...) et Évangéliques ont bien accueilli cette opportunité, phase d’introduction pour certaines ou de redémarrage pour d’autres déjà présentes dès le 19ème siècle. Bien que l'entreprise de « nation building » économique et culturelle de la France ait été perçue par l’opinion américaine de l’époque comme l'une des plus décevantes de l’après-guerre, les résultats de la transformation de la société française sont apparus avec un décalage dans le temps. Pouvons-nous alors retracer les sources des mutations transatlantiques des religions d'origine américaine et l’évolution du paysage religieux français aux activités gouvernementales et missionnaires en ce début de la Guerre froide ? / President Harry S. Truman (1945-1953) claims in 1946 that the U.S. should advance a "faith-based" diplomacy to encourage the spiritual reconstruction of a “dechristianized” Europe .To stand in the way of a Marxist and Godless Soviet Union, it has to begin with France, seen as the spiritual stone arch. More than in any other nation, the Marshall Plan brings a financial, economic and military support, willing to conquer hearts and minds. Many key governmental agencies are involved in this time period, while American churches engaged in aid relief are rediscovering France as a new mission territory. Usually strongly influenced by the religious conviction of the Presidents, "Faith-based policies” supporting Foreign policies are reinforced on the ground by the engagement of private voluntary organizations (PVOs). Formalized in 1998 by President Clinton as a tool in Foreign policy in the enactment of the Act on International Religious Freedom, this approach justifies the tenacity of missionaries from 1945 to the present day in a secular and catholic France. Encouraged by the Fourth Awakening, most American missions, mainstream Protestant churches, new religions like NRM (Mormonism, Adventists, Jehovah's Witnesses, etc...) and Evangelicals, welcome this mixed opportunity: a comeback for a few denominations already presents in the 19th century and for others a chance for a fresh beginning. Although the business of "nation building”, the reshaping of the economic and cultural life of France, is perceived by the American public opinion as one of the most disappointing of the post-war, a deeply transformed French society will later emerge. The overlapping of American public and private organizations, of American churches and missionaries lay the groundwork for the radical transformation of a French monolithic religious landscape. Without doubt this can be traced to this short and critical experimental period of the Early Cold War.
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La diplomatie culturelle du Vietnam : instrument au service de l'intégration internationale / Cultural diplomacy of Vietnam : instrument serving international integration

Nguyen, Anh Thu 27 May 2016 (has links)
Comblant un fossé dans les études relatives à la diplomatie culturelle des pays émergents, cette thèse s’inscrit dans le cadre d’une analyse quantitative et qualitative de la diplomatie culturelle vietnamienne. Celle-ci est une partie intégrante de la politique étrangère en vue d’assurer une intégration internationale du pays et ce, au service du développement socio-économique. L’objectif primordial de cette stratégie, reconnue comme l’un des trois piliers de la diplomatie vietnamienne avec l’économie et le politique, est de présenter le Vietnam dans le monde entier afin d’attirer les investissements. Dans ce sens, elle constitue un outil de « marketing » pour le pays. L’histoire séculaire contre les invasions étrangères, une détermination de préservation de l’identité culturelle ainsi que la nature du régime politique sont à l’origine des particularités de cette stratégie qui articule diplomatie du parti communiste, du gouvernement et du peuple. L’élément étatique est indispensable dans la formulation de cette politique. L’observation des pratiques ainsi que le résultat de notre évaluation montre que cette diplomatie se concentre sur les activités évènementielles au détriment des projets structurels (éducation et information). Sa mise en œuvre constitue un défi pour le gouvernement, en raison d’une absence de véritable mécanisme de coordination d’une part, mais aussi d’une conception de la « culture » attachée à l’idéologie d’autre part. L’UNESCO est le partenaire principal du Vietnam car l’inscription au patrimoine mondial de sites ou de pratiques nationaux demeure l’un des sujets phare de cette diplomatie, contribuant à l’essor du tourisme. La Francophonie, elle, a des compétences spécifiques en particulier dans la diversité culturelle mais le Vietnam n’en a pas encore bénéficié. Si l’UNESCO est un forum où le Vietnam pourrait se présenter dans la communauté internationale, l’OIF, avec le dossier économique et la promotion du français, servirait de lieu pour promouvoir une recherche d’influence dans la région d’Asie du Sud-Est. / Filling a gap in studies on cultural diplomacy of the emerging countries, this thesis constitutes of a quantitative and qualitative analysis of the Vietnamese cultural diplomacy. This is an integral part of foreign policy in order to ensure international integration of the country and also for socio-economic development. The primary objective of this strategy, recognized as one of the three pillars of Vietnamese diplomacy with economy and politics, is to present Vietnam to the worldwide in order to attract investment. Thus, it is a “marketing” tool for the country. The secular history against foreign invasions, a determination to preserve the cultural identity and the nature of the political regime are the specific features of this strategy, articulating diplomacies of the Communist party, the government and the Vietnamese people. The element “state” is essential in the formulation of this policy. The observation of practices and the results of our evaluation show that this diplomacy focuses on event activities while seconding structural project (education and information). Its implementation is a challenge for the government, due to a lack of effective coordination on the one hand, but also a concept of “culture” attached to the ideology on the other. UNESCO is the main partner of Vietnam because inclusion in the World Heritage sites remains one of the major subjects of the Vietnamese cultural diplomacy, contributing to the development of tourism. La Francophonie has its specific expertise especially in cultural diversity but Vietnam has not benefited from that yet. If UNESCO is a forum where Vietnam could arise in the international community, OIF, with the economic issue and the promotion of French, would serve as a place to promote influence of Vietnam in the South-East Asia.
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La politique étrangère de l'Azerbaïdjan entre grandes puissances et puissances régionales (1993-2003) / Azerbaijan's foreign policy between great powers and regional powers

Gasimova, Esmira 08 July 2015 (has links)
La présente étude est consacrée à la politique étrangère de l'Azerbaïdjan entre grandes puissances et puissances régionales. Ce pays du Caucase du Sud accédant à l'indépendance en 1991 affirme sa singularité, entre confrontation et coopération avec ses voisins proches ou lointains. La question centrale est donc de savoir comment l'Azerbaïdjan peut justifier et éventuellement renforcer sa présence sur l'échiquier international alors qu'il se trouve au cœur des grands enjeux géopolitiques et économiques. Sa position le place au centre des rivalités entre des puissances telles que la Russie, l'Iran et la Turquie et, au-delà de son voisinage immédiat les États-Unis et l'Union européenne. Le pays est contraint à une politique étrangère équilibrée afin de ne pas s'aliéner les partenaires de l'ouest comme de l'est. Il tente également de tirer profit de l'exploitation des hydrocarbures de la Caspienne en vue de résoudre la question cruciale du conflit du Haut-Karabakh. / This thesis deals with the Azerbaijan policy between great powers and regional powers. Since its independence in 1991 the country of South Caucasus asserted its singularity. It sometimes confronts, sometimes cooperates with its neighbors. The key question is, therefore, how Azerbaijan can justify and possibly strengthen its presence on the international stage as it stands at the heart of great geopolitical and economic issues. Because of its location it is the center of rivalries between powers such as Russia, Iran and Turkey or the United States and the European Union. The country is compelled to a balanced foreign policy not to lose the support of either western or eastern partners. Baku also attempts to use the exploitation of Caspian oil in order resolve the crucial issue of the conflict over Nagorno-Karabakh.
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Sécurité et stabilité : quelles sont les conditions qui ont poussé l’Égypte, la Syrie et Israël à entrer en guerre en 1967?

Allenet-Moulin, Tiffany 04 1900 (has links)
Ce mémoire s’intéresse aux conditions qui ont mené à la guerre de six jours de 1967 au Moyen-Orient. Tout particulièrement, mon mémoire investiguera les dynamiques domestiques qui influent sur la prise de décision politique. L’hypothèse principale suppose que le mode de gestion de la société, choisi par le gouvernement au pouvoir, influe et contraint les options de politique étrangère disponibles à celui-ci. . Un régime peut recourir à deux modes de gestion de la société : l’exclusion et l’inclusion, à plusieurs degrés. En fonction du mode de gestion choisi, le gouvernement aura besoin de plus ou moins de ressources pour le mettre en place et pour le préserver. La quantité et la nature des ressources utilisées au niveau domestique contraindront les options de politique étrangère disponibles au régime Les guerres du Moyen-Orient, et la politique étrangère des pays de la région sont souvent interprétées selon des principes réalistes : la recherche du pouvoir et de sécurité guide la politique étrangère. Ce mémoire cherche à souligner l’importance de dynamiques domestiques sur le processus de prise de décision politique, mais également l’influence qu’a le conflit israélo-arabe sur la structure, le fonctionnement et la société des pays concernés. / This thesis looks at the conditions that led to the outbreak of the 1967 Six Day War in the Middle East. Specifically, my thesis investigates the domestic dynamics that influence the political decision-making process. The main hypothesis suggests that the type of societal management chosen by the government in power will influence and determine the foreign policy options available. A regime may choose between two types of societal management: exclusion and inclusion, which can be applied to greater or lesser degrees. Depending on the type of societal management chosen, the government will need more or less resources to implement and maintain it. The quantity and nature of resources used domestically will determine the foreign policy options available to the regime. In the Middle East, wars and foreign policy are often interpreted according to realist principles: the quest for power and safety are said to be the main determinants of foreign policy. This thesis seeks to highlight the importance of domestic dynamics in the process of political decision-making, but also the influence of the Arab-Israeli conflict on the structure, development and society in the countries involved.
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Washington et l'Afrique : le rôle de Charles C. Diggs, "Mr Africa" : 1955-1980 / Washington and Africa : the Role of Charles C. Diggs : 1955-1980

Minck, Christopher 15 November 2013 (has links)
Le mouvement initié le 6 mars 1957 par l’indépendance du Ghana de la Grande-Bretagne balaya l’ensemble de l’Afrique australe jusqu’à culminer en 1960 – « année de l’Afrique ». La décolonisation et la résultante émergence d’une troisième voie dans le conflit idéologique entre les Etats-Unis et l’URSS provoqua l’irruption du continent africain sur l’échiquier politique international. Parallèlement, dans le Sud des Etats-Unis, les Noirs luttaient pour obtenir la reconnaissance de leurs droits civiques. Dès lors, les connections entre ce combat et la lutte internationale pour la décolonisation apparurent, échos modernes aux liens déjà tissés plus tôt entre les Afro-Américains et leur continent d’origine. Le changement dans les relations raciales s’accompagna par un regain de conservatisme aussi bien aux Etats-Unis qu’en Afrique subsaharienne. L’élection du républicain Nixon en 1968 faisait écho au maintien de régimes dirigés par la minorité blanche en Afrique du Sud, en Rhodésie et dans l’ensemble de l’Afrique lusophone. C’est dans ce contexte « globalisé », où politiques intérieure et internationale, race et nation commencèrent à fusionner que les relations raciales émergent sur la scène internationale comme enjeu politique. Les Etats-Unis durent faire face à la ségrégation et à la discrimination dans leur propre pays ainsi qu’à la décolonisation à l’étranger. L’émergence des relations raciales en tant qu’enjeu global se posait comme un obstacle aux tentatives américaines de construire une coalition internationale et multiraciale contre le communisme. L’émergence d’un corps politique noir américain à la fin des années 1960 dans ce contexte pose la question des Représentants afro-américains au Congrès et de la politique africaine des Etats-Unis. Se situant dans ce contexte, cette thèse examine le rôle que le Représentant Charles C. Diggs a joué dans les politiques de Washington vis-à-vis de l’Afrique subsaharienne de 1955 à 1980. Représentant démocrate du Michigan, « Mr. Africa » devint le premier Afro-Américain nommé à la Commission des Affaires étrangères de la Chambre basse en 1959. Il présida, sous l’Administration Nixon, la Sous-commission aux Affaires africaines, orchestra la fondation du lobby parlementaire noir, le Congressional Black Caucus, en 1971 et fut l’architecte de TransAfrica – un lobby non-institutionnel visant à sensibiliser les Américains à la situation raciale en Afrique – en 1977. De par sa carrière, ses engagements politiques et sa nature même de Représentant noir, Charles Diggs a incarné une vision transnationaliste des relations raciales. Notre propos vise à analyser le rôle de Diggs dans la reconnaissance nationale de problèmes raciaux globaux à travers sa définition de ces problèmes en des termes transgressant le simple intérêt racial. / The movement which began on 6th March 1957 with Ghanaian independence from Great Britain swept through the rest of southern Africa, culminating in 1960, hailed the ‘Year of Africa’. Decolonization and the resultant emergence of a third way in the ideological conflict between the United States and the USSR led to the sudden appearance of the African continent on the international political stage. At the same time, in the southern United States, blacks fought for recognition of their civil rights. From this point on, contemporary resonances of the links already woven by Afro-Americans with their continent of origin allowed the connections of their combat with the international struggle for decolonization to become apparent. Changes in race relations were accompanied by a rise in conservatism as much in the United States as in sub-Saharan Africa. The election of the Republican Nixon in 1968 was mirrored in the preservation of regimes of minority white rule in South Africa, Rhodesia and the whole of Portuguese speaking Africa.It is in this ‘globalised’ context, in which domestic and international politics, race and nation began to fuse that race relations emerged on the international scene as a political issue. The United States had to confront segregation and discrimination in their own country, as well as decolonization abroad. The emergence of race relations as a global issue acted as an obstacle to American efforts to construct a multiracial international coalition against communism. The emergence of a Black American political body at the end of the 1960s raises, within this context, the question of the status of Afro-American Representatives at Congress and the African politics of the United States as a whole. Rooted in such a context, this thesis examines the role that Representative Charles C. Diggs played in Washington politics in relation to sub-Saharan Africa from 1955 to 1980. Democrat Representative for Michigan, Diggs, later to be known as ‘Mr Africa’, became, in 1959, the first Afro-American appointed to the Committee of Foreign Affairs of the lower house. Under the Nixon administration, he presided over the Subcommittee on Africa, orchestrated the foundation of the black parliamentary lobby the Congressional Black Caucus in 1971, and was the architect in 1977 of TransAfrica, a non-institutional lobby aiming to raise American awareness of the racial situation in Africa. Through his career, his political engagements, and the very fact of being a black Representative, Charles Diggs incarnated a transnationalist vision of race relations. Our intention is to analyze Diggs’ role in the national recognition of global racial problems, through the terms he used to define them, terms which exceeded straightforward racial interest.
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L' "image de l'ennemi" : le débat public sur l'URSS aux États-Unis dans les dernières années de la Guerre Froide, 1984-1989 / The "enemy image" : the public debate about the USSR in the United States during the last years of the Cold War, 1984-1989

Maillet, Jacob 14 December 2015 (has links)
La Guerre Froide domine l'histoire de la seconde moitié du vingtième siècle, et sa conclusion demeure source de débats aujourd'hui, le triomphalisme des conservateurs étant souvent remis en cause par les tensions avec la Russie. Au cœur du conflit se trouvait la perception pour les Américains d'une menace basée sur l'idéologie et la puissance militaire de l'Union soviétique. Mais cette « image de l'ennemi » resta fondée sur de nombreuses erreurs d'interprétation des données disponibles. En fait, l'étude des dernières années de la Guerre Froide révèle que cette image déformée des capacités et des motivations de l'ennemi a acquis des fonctions internes au paysage politique américain. Le débat public, souvent dominé par les personnalités anticommunistes, montre que la perception du conflit par les Américains dépendit longtemps de représentations ancrées dans l'imaginaire collectif. Or, l'arrivée au pouvoir de Mikhaïl Gorbatchev en 1985 va rapidement permettre de remettre en question ces représentations. Entre 1984 et 1989, la volonté de Ronald Reagan, puis de Mikhaïl Gorbatchev, d'apaiser les tensions à la source de la Guerre Froide, va donc signifier une déconstruction de l'image de l'ennemi et une ré-humanisation progressive des Soviétiques. En cinq ans, l'Union soviétique cessera d'être un « empire du mal » pour devenir « juste une autre grande puissance ». En étudiant cette évolution, on peut discerner l'origine et les fonctions de l'image de l'ennemi, et donc voir comment la perception des ennemis peut être influencée ou instrumentalisée. La fin de la Guerre Froide nous renseigne ainsi sur la construction de nos ennemis d'aujourd'hui. / The Cold War looms large over the history of the second half of the 20th century, and its conclusion remains a source of debates to this day, while renewed tensions with Russia may lead us to question the triumphalism of hawks after the collapse of the Soviet Union.At the heart of the conflict was the perception by Americans of a threat based on the ideology and the military power of the Soviet Union. But this « enemy image » was based on many faulty interpretations of the available data.In fact, the study of the last years of the Cold War reveals that this twisted image of the capabilities and intentions of the enemy had acquired internal functions of its own on the American political scene. The public debate, often dominated by anticommunist figures, shows that the perception of the conflict by Americans long rested on preconceptions deeply embedded in the collective imagination. However, the rise to power of Mikhail Gorbachev in 1985 would lead to a thaw in the Cold War : the enemy image was deconstructed and the Soviets progressively became more human in the eyes of Americans. In five years, the Soviet Union ceased being an « evil empire » to become « just another great power ». By studying this evolution, one can determine the origins and functions of the enemy image, et thus understand how the perception of enemies can be influenced or used. The end of the Cold War thus allows us to better understand the construction of today's enemies.
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Les facteurs de la radicalisation islamiste violente en Grande-Bretagne à la lumière des attentats de Londres du 7 juillet 2005 : la dimension pakistanaise / Factors of the Islamist Violent Radicalisation in Britain at the Light of the 7 July Bombings 2005 : the Pakistani Dimension

Harouit, Farid 30 November 2017 (has links)
Les attentats du 7 juillet 2005 à Londres ont causé un choc et un effroi dans la société britannique non seulement à cause du nombre important des victimes mais aussi en raison de la citoyenneté britannique des kamikazes. A l’exception de Germaine Lindsay qui était d’origine jamaïcaine, les autres membres de la cellule – Mohammed Siddiq Khan, Shehzad Tanweer et Hussib Hussain - étaient tous d’origine pakistanaise. Les kamikazes du 7 juillet 2005 n’étaient pas les seuls Britanniques d’origine pakistanaise impliqués dans des actes de terrorisme. Avant 2005, ils étaient nombreux à aller combattre auprès d’organisations djihadistes pakistanaises au Cachemire ou à commettre des tentatives d’attentat sur le sol britannique, comme ce fut le cas de la cellule de Luton en 2004. Après 2005, d’autres cellules, comme celle de Birmingham en 2011, ont essayé de commettre des attentats à une plus grande échelle. L’origine pakistanaise des auteurs, leur intérêt pour le conflit au Cachemire et leur entrainement paramilitaire dans les camps d’organisations djihadistes pakistanaises sont autant d'éléments communs qui nous ont conduit à nous interroger sur la nature de la radicalisation violente en Grande-Bretagne. Cette thèse examine la dimension pakistanaise de la radicalisation islamiste violente en Grande-Bretagne en se basant sur la théorie des mouvements sociaux, notamment le modèle de Quintan Wiktorowicz, selon lequel la radicalisation est le fruit de griefs politiques, socio-économiques et d’idéologie. Elle s’appuie sur dix études de cas : trois organisations djihadistes pakistanaises (Lashkar e-Toiba, Harakat ul-Mujahideen et Jaish e-Mohammed), trois organisations extrémistes transnationales (Hizb ut-Tahrir, Al-Muhajiroun et Supporters of Sharia) et quatre mouvements de l’islam sud-asiatiques (Ahl e-Hadith, déobandi, Tablighi Jamaat et Jamaat e-Islami). La thèse démontre qu’il y a une dimension spécifiquement pakistanaise de la radicalisation islamiste violente en Grande-Bretagne en raison de l’histoire coloniale, le conflit au Cachemire, la « guerre contre la terreur » et l’intervention militaire en Afghanistan. / The 7 July 2005 London bombings caused shock and awe in the British society not only because of the important number of casualties, but also due to the British citizenship of the bombers. With the exception of Germaine Lindsay, who was of Jamaican descent, all the other members of the cell - Mohammed Siddiq Khan, Shehzad Tanweer and Hussib Hussain - had Pakistani background. The London bombers were not the only British Pakistanis who were involved in acts of terrorism. Before 2005, many went to fight alongside the Pakistani jihadi organisations in Kashmir or plotted against Britain such as the Luton cell in 2004. After 2005, other cells, like the one in Birmingham in 2011, planned attacks on a bigger scale on British soil. The Pakistani origin of the perpetrators, their interest in Kashmir and their paramilitary training in camps belonging to Pakistani jihadi organisations were common features that have raised questions about the nature of violent radicalisation in Britain. This thesis examines the Pakistani dimension of violent radicalisation in Britain by building on social movement theory, especially on Quintan Wiktorowicz’ model, according to which radicalisation is the result of political, socio-economic grievances and ideology. This research is based on ten case studies: three Pakistani jihadi organisations (Lashkar e-Toiba, Harakat ul-Mujahideen and Jaish e-Mohammed), three extremist transnational organisations (Hizb ut-Tahrir, Al-Muhajiroun and Supporters of Sharia) and four South-Asian Islamic mouvements (Ahl e-Hadith, Deobandi, Tablighi Jamaat and Jamaat e-Islami). The thesis shows that there is specifically a Pakistani dimension to the violent islamist radicalisation in Britain due to the colonial history, the conflict in Kashmir, the ‘’war on terror’’ and the military intervention in Afghanistan.

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