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The great asymmetry : America's closest allies in times of war

Von Hlatky Udvarhelyi, Stéfanie 03 1900 (has links)
Cette thèse étudie la dynamique entre les États-Unis et ses alliés privilégiés lorsque la coopération militaire est en jeu. Nous y proposons que les attentes de l’allié principal déterminent le niveau de coopération des autres pays mais que deux variables intermédiaires - la cohésion du gouvernement et la capacité militaire de l’allié - en déterminent l’exécution. Cette analyse porte aussi sur les stratégies utilisées par les états secondaires pour accroître leur pouvoir dans cette relation asymétrique : initier des négociations bilatérales dans le but d’obtenir des concessions stratégiques, faire valoir leur point de vue par le biais d’organisations internationales ou, encore, évoquer des principes d’ordre éthique et moral. Même si les alliés secondaires peuvent rarement influencer l’allié dominant, ils ont néanmoins la capacité d’agir de façon autonome et de résister aux pressions du plus fort. L’argument de la thèse repose sur trois propositions : dans une alliance asymétrique, les pays ne partagent pas nécessairement la même perception des menaces au niveau international; en cas de désaccord, le résultat des négociations entre alliés ne favorise pas toujours le partenaire dominant ; au moment de la prise de décision en matière de politique étrangère, l’allié secondaire doit protéger sa réputation en tant qu’allié fiable face à l’allié dominant, mais il doit en peser l’impact politique au niveau national. L’analyse théorique de ces alliances asymétrique s’inspire du réalisme néoclassique ce qui nous permet de mieux comprendre la relation entre les variables systémiques et étatiques. L’apport de cette recherche se situe au niveau de l’étude théorique des alliances militaires et de la prise de décision en politique étrangère et de défense. La recherche porte sur le comportement des alliés secondaires qui doivent réagir aux décisions prises par les États-Unis en temps de menace, en étudiant l’interaction entre variables étatiques et contraintes systémiques. Afin de préciser le lien causal entre la perception des menaces, les attentes de l’alliance et les contraintes du pays secondaire nous avons appliqué une méthode comparative en étudiant trois cas : La Grande Bretagne, le Canada, et l’Australie, et la réponse de chacun à l’appel de participer à la guerre en Afghanistan et en Iraq de 2001 à 2003. L’étude cible la prise de décision devant le choix de participer ou de ne pas participer dans une mobilisation conjointe avec les États-Unis. Le processus décisionnel est observé du point de vue de l’allié secondaire et nous permet de mesurer les facteurs explicatifs qui ont motivé la décision en vue d’une coopération militaire. / This dissertation focuses on military cooperation between the United States and its special allies. It argues that alliance expectations determine the level of military cooperation, while two intervening variables - the level of government cohesion and military capabilities - determine its implementation. This study also shows how secondary states deploy strategies to overcome power asymmetries through bilateral concessions, international organizations and by appealing to principle. The focus of the research is on special allies, as they have the most to gain or lose by going along with American plans. My contention is that secondary allies can rarely influence the dominant ally decisively, but they can act autonomously and resist to pressures exerted by the stronger alliance partner. The argument builds on three central claims. First, power asymmetries between allies translate into different assessments of international threats. Second, when disagreements over threats arise, the outcome of intra-alliance bargaining is not necessarily dictated by the preferences of the stronger power. Third, secondary states, as opposed to the dominant partner, face unique constraints when facing major foreign policy decisions, i.e. they face a trade-off between establishing a credible reputation as an alliance partner in a politically feasible way while minimizing domestic audience costs. To examine the theoretical puzzle presented by asymmetric military cooperation, I introduce a causal explanation that builds on neoclassical realism, to zone in on the interaction between systemic and domestic variables. My research makes a contribution to alliance theory and foreign policy decision-making by studying how special allies respond to American decisions in times of threat and how systemic constraints are channeled through state-level variables. To investigate the causal link between threat perception, alliance expectations and domestic constraints, this study relies on the method of structured focused comparison with three detailed case studies. The focus is on the initial decision made by special allies regarding whether or not to participle in joint mobilization with the United States. The decision-making process is presented from the perspective of secondary allied states and measures the explanatory factors that motivated the decision on military cooperation. The case studies are the UK, Canada and Australia’s response to the war in Afghanistan and the war in Iraq during the period of 2001 to 2003.
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Immigration et identité face aux enjeux de la Guerre Froide : une étude du débat sur la politique d'immigration dans la sphère publique américaine (1952-1965)

Neamtan-Lapalme, Louis 08 1900 (has links)
Résumé: Au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, la nécessité de moderniser la politique d’immigration américaine fait l’unanimité, la principale loi régissant l’immigration datant de 1924. Cependant, la question des paramètres de la réforme fait naître un débat fortement polarisé. Les défenseurs du statu quo, qui souhaitent maintenir le système des quotas nationaux faisant de l’origine nationale le premier critère d’admission, auront initialement le dessus, comme en fait foi le passage du McCarran-Walter Act en 1952. D’autre part, les partisans d’une libéralisation affirment que cette loi restrictive et discriminatoire va à l’encontre des objectifs de la politique étrangère américaine, particulièrement dans un conflit aussi idéologiquement chargé que la Guerre Froide. Au courant des années cinquante et au début des années soixante, les réformateurs libéraux auront progressivement le dessus dans le débat, si bien qu’une nouvelle loi sera adoptée en 1965. Ce mémoire propose d’aborder cette période de réforme sous l’angle de l’opinion publique. À partir, des sources permettant de prendre le pouls de la société américaine au sujet de la politique d’immigration, il a été possible d’observer une libéralisation progressive de l’opinion publique durant la période. Dans le cadre de ce mémoire, l’interprétation de cette évolution est centrée sur l’influence grandissante des enjeux de la Guerre Froide dans le débat entourant la réforme. / Abstract: Following the Second World War, immigration policy became an important issue for the United States, as the main immigration law dated back to 1924. If the idea that immigration policy needed to be modernized was shared by most legislators, the debate over the adoption of a new law was fierce. Those who favoured a restrictive policy based on the reaffirmation of the national origins quota system, which made nationality the main criteria for admission, got their wish when the McCarran-Walter Act was enacted in 1952. On the other side of the debate, those who favoured liberalization saw the new law as discriminatory and harmful to American foreign policy objectives, particularly in the context of the ideologically charged Cold War. During the late fifties and early sixties, liberal reformers progressively gained the upper hand, and a new law was adopted in 1965. This study analyses how American public opinion reacted to the immigration policy reform debate. The study of primary sources reflecting the attitudes of the American public on immigration policy revealed that public opinion underwent a progressive liberalization during the era of reform. The interpretation of this liberalization is centered on the growing influence Cold War dynamics in the immigration reform debate.
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Le changement de relation entre affaires étrangères et défense nationale : l'engagement du Canada en Afghanistan

Desjardins, Guillaume 08 1900 (has links) (PDF)
Dans le cadre de ce mémoire, nous proposons d'étudier la politique étrangère sous l'angle de l'influence bureaucratique. En particulier, nous chercherons à déterminer quel ministère y exerce une influence. Pendant les années 1990, la relation entre la Défense nationale et les Affaires étrangères est caractérisée par une résistance des premiers au concept dominant de sécurité humaine prôné par les seconds. Nous observons un changement dans cette relation au tournant du 21e siècle. Nous postulerons tout d'abord qu'il existe deux cultures organisationnelles qui distingueraient les « militaires » des « diplomates » tant dans leur compréhension des enjeux politiques que dans la mise en œuvre des décisions. Ensuite, pour mettre à jour l'étude de leur relation, nous proposons l'hypothèse que plusieurs facteurs auraient modifié la politique étrangère et accordé une influence accrue à la Défense nationale au sein de la bureaucratie canadienne. Deux discours, celui des « États faillis » et celui de la coordination gouvernementale, structurent les rôles joués par ces acteurs. De plus, d'un point de vue théorique, cette recherche tentera de complémenter l'approche bureaucratique de Graham Allison avec des éléments du constructivisme critique tel que proposé par Jutta Weldes. Pour cette analyse, nous utiliserons une méthodologie axée sur une série d'entrevues et sur des documents de planification obtenus en vertu de la Loi sur l'accès à l'information. Finalement, nous procéderons à une étude du cas, celui de la mise en œuvre de la politique étrangère du Canada en Afghanistan et de la guerre qu'il livre à Kandahar. Dans cette province, le débat limité au bon ratio entre militaires et membres du personnel civil ignore plusieurs réalités culturelles, historiques et sociales. L'objectif canadien demeure le renforcement d'un modèle étatique contraire à la culture locale. En conclusion, autant l'étude du cas de l'Afghanistan que celle de la politique étrangère soutiennent la thèse d'une décennie où la diplomatie canadienne est en déclin et où une influence accrue est accordée à la Défense nationale. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Politique étrangère, Diplomatie, Militaire, Canada, Afghanistan.
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Influence et usage de la mémoire dans la vision officielle française de l’Allemagne réunifiée (1989-1995)

Giroux, Geneviève 08 1900 (has links)
Ce mémoire part du constat que l’histoire et, a fortiori, la mémoire ont été largement sollicitées par le discours officiel français au moment et au lendemain de la réunification allemande. La fin définitive de l’après-guerre et le retour à la souveraineté diplomatique de l’Allemagne suscitent en France des questions qui inquiètent – en raison notamment du souvenir de l’histoire – et raniment la volonté d’encadrer la puissance allemande dans la communauté européenne. Pour comprendre le rôle que la mémoire a pu tenir dans la diplomatie française, l’étude tente d’analyser l’usage que les responsables français ont fait du passé en tant qu’instrument de la politique étrangère et le poids qu’il a représenté dans la vision française de l’unification allemande. Ce mémoire démontre que l’entendement du passé se conforme, sous toutes ses expressions, à la politique européenne de la France. Il atteste également que la France se saisit de ce moment charnière pour structurer un espace européen qui fait écho aux principes universalistes issus de la Révolution française, lesquels doivent être désormais portés par le binôme franco-allemand. L’invention de la tradition et l’usage métaphorique du passé répondent d’une préoccupation politique de réconciliation franco-allemande et accompagnent la mise en place d’un patriotisme historique sur lequel pourront s’établir les identités civique et juridique européennes. La mémoire officielle, qui est entièrement orientée vers la promotion et la justification de l’avenir communautaire, dénature certaines données historiques de manière à exorciser le présent d’un passé encombrant. Les limites de la mémoire officielle se trouvent donc dans cette représentation d’un passé aseptisé; un passé n’étant pas une finalité, mais un moyen déférant à l’intérêt national. / This dissertation analyzes references to history and, a fortiori, to memory in the official French discourse during and after German unification. Partly because of history, the definitive end of the post-war years and the return of German diplomatic sovereignty caused concern in France, and revived the resolve to contain German influence in the European community. In order to understand the role played by memory in French diplomacy, this dissertation assesses how French leaders used the past as an instrument of foreign policy, and to what extent it influenced the French vision of German unification. It shows that the understanding of the past complies, in all its expressions, with France’s European policy. Furthermore, it confirms that France seized this turning point to structure a European space appealing to the universalist principles stemming from the French Revolution, which, it was hoped, would henceforth be carried by the French-German couple. The invention of tradition and the metaphoric use of the past echo a concern to foster Franco-German reconciliation and are essential to the creation of an historical patriotism on which to build a common European civic and legal identity. Entirely oriented towards the promotion and justification of the European future, official memory distorts some historical facts in order to exorcise the present of a cumbersome past. Rather than an end in itself but a means deferring to the national interest, this representation of the past shows the limits of the official memory.
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L'incidence des réformes économiques sur la politique étrangère chinoise : la Russie/URSS et les deux Corée

Girouard, Étienne January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Sociologie des coups d’état en République du Congo de 1958 à 1973 / Sociology shots of state in the Republic of Congo from 1958 to 1973

Matondo, Jean-Clair 08 January 2013 (has links)
République du Congo, l’armée, en tant qu’ensemble de structures et de moyens militaires institutionnellement affectés à la mise en œuvre de la politique décidée par les autorités politiques pour assurer et garantir la défense nationale, est loin d’être l’auteur exclusif des coups d’Etat, même si, systématiquement, elle profite des conséquences politiques attachées à ceux-ci. En réalité, les coups d’Etat y sont la résultante d’une lutte entre plusieurs champs. Dans cette lutte, les acteurs des coups d’Etat, en fonction de leurs corpus idéologiques respectifs, mettent en place des stratégies dont la particularité n’est pas de se limiter au champ bureaucratique mais d’engager également la société appréhendée au regard de leurs groupes ethniques ou régionaux d’appartenance. Ainsi, mobilisent-ils, non seulement leurs propres capitaux (diplômes, profession), mais aussi les ressources de leurs groupes ethniques ou régionaux en vue de réaliser la conquête ou la conservation du pouvoir. Par le jeu complexe des solidarités idéologiques, ethniques ou corporatistes, les acteurs politiques tissent des alliances et, selon le cas, participent ou s’opposent à l’exécution des coups d’Etat. Sous ce rapport, les coups d’Etat, qui supposent une importante mobilisation stratégique, politique et matérielle de la part de ceux qui en forment le projet, se confondent à un mode de conquête du pouvoir assimilable formellement à l’élection, et s’inscrivent dans ce que Marcel Mauss nomme les faits sociaux totaux. Les leaders politiques appartenant aux ethnies minoritaires, ne pouvant accéder au pouvoir par voie démocratique, élaborent une stratégie de conquête de pouvoir prenant appui sur l’armée. Ainsi, détournée de sa mission traditionnelle de protection du territoire national face aux agressions extérieures, l’armée voit sa valeur opérationnelle diminuée. / In Republic of Congo, the army, as a whole of structures and average soldiers institutionally assigned to the implementation of the policy decided by the political authorities to ensure and guarantee national defense, is far from being the exclusive author of the coups d'etat, even if, systematically, it benefits from the political consequences attached to those. Actually, the coups d'etat are there the resultant of a fight between several fields. In this fight, the actors of the coups d'etat, according to their respective ideological corpora, set up strategies whose characteristic is not to limit themselves to the bureaucratic field but to also engage the company apprehended taking into consideration their ethnic or regional group of membership. Thus, they mobilize, not only their own capital (diplomas, profession), but also resources of their ethnic or regional groups in order to carry out the conquest or the conservation of the power. By the complex play of ideological solidarity, ethnic or corporatists, the political actors weave alliances and, according to the case, take part or are opposed to the execution of the coups d'etat. Under this report, the coups d'etat, which suppose an important strategic mobilization, political and material on behalf of those which form the project of it, merge with a mode of conquest of the power comparable formally to the election, and fit in what Marcel Mauss names the total social facts. The political leaders belonging to the minority ethnic groups, not being able to reach the power by democratic way, work out a strategy of conquest of fascinating power support on the army. Thus, diverted its traditional mission of protection of the national territory vis-a-vis the external aggressions, the army sees its decreased operational value.
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La politique étrangère du Canada envers la Chine de 1984 à 2015 : l’impact de la centralisation de la prise de décision et l’influence des élites

Lefrançois, Eric 02 1900 (has links)
No description available.
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Política externa e Estado frágil na Guiné-Bissau : crises multidimensionais e o papel dos organismos internacionais "CPLP & CEDEAO" (1973-2014)

Carvalho, Ricardo Ossagô de January 2016 (has links)
L’étude part de la prémisse de l’analyse de la politique étrangère bissau-guinéenne en considérant le processus de la formation de l’État dans la période de la postindépendance, travers de leurs faiblesses (la dépendance) et de leurs potentiels (l’autonomie) par rapport au système mondial. Ainsi, l’étude s’insère dans le cadre temporel d’accumulation historique et institutionel de la Guinée-Bissau dans le système mondial contemporain (1973-2014).Notre hypothèse est que la politique étrangère bissau-guinéenne peut avoir résulté de deux facteurs: (a) des facteurs internes associés à l’instabilité politique et à la mauvaise gestion des ressources donnés; et (b) des facteurs externes liés à la mauvaise conduction de la politique étrangère et du financement externe, dans ses relations avec les organisations internationales. De ce fait, l’objectif de cette thèse de doctorat a été comprendre la politique étrangère de la Guinée-Bissau, en tenant compte le processusde la formation de l’État national, en considérant les crises multidimensionnelles et le rôle de deux organisations internationales – la Communauté des Pays de la Langue Portugaise (CPLP) et la Communauté Économique des États de l’Áfrique de l’Ouest (CÉDÉAO) – dans ses lignes directrices de politiques publiques, en obsérvant le degré d’influence de ces organisations internationales et le progrès atteint, ou non, au début du XXIème siècle. Dans le cadre de cette étude, nous avons choisi la période de la postindepéndance pour être étudiée, dans laquelle nous avons délimité trois phases différentes pour analyser la politique étrangère de la Guinée-Bissau, deux organisations internationales et ses impacts dans la politique intérieure; sont-elles: (a) phase du parti unique (1973-1993) – dont le but principal a été examiner si la politique étrangère a impacté, ou non, dans la faisabilité de l’État-nation bissau-guinéen et au projet de coopération internationale et à l’aide extérieure; (b) phase découlant de transition politique, d’exécution de la démocratie et de la première eléction jusqu’au coup politique (1994-1998), réformes politiques, constitutionnelles, économiques et son impact dans la politique étrangère; et (c) phase d’instabilité politique, économique et social au pays, coups et contrecoups (1998-2014) qui ont causé des impacts directs ou indirects dans la politique étrangère de la Guinée-Bissau, en considérant la dispute et le conflit idéologique des organisations qui sont objets de cette étude (CPLP et CÉDÉAO) et qui font part de la même. / O estudo parte da premissa de análise da política externa guineense levando em conta o processo de formação do Estado na pós-independência a partir de suas fragilidades (dependência) e de suas potencialidades (autonomia) em relação ao sistema mundial. Assim, o estudo se insere no marco temporal de acúmulo histórico e institucional da Guiné-Bissau no sistema mundial contemporâneo (1973-2014). A nossa hipótese é que apolítica externa guineense pode ter resultado de dois fatores: (a) fatores internos associados à instabilidade política e ao péssimo gerenciamento de recursos doados; e (b) fatores externos relacionados à má condução da política externa e do financiamento externo, na sua relação com organismos internacionais. Com isso, o objetivo dessa tese de doutoramento foi compreender a política externa da Guiné-Bissau, levando em conta o processo de formação do Estado nacional, tendo em conta as crises multidimensionais e o papel de dois organismos internacionais- Comunidade dos Países de Língua Portuguesa (CPLP) e Comunidade Econômica dos Estados da África Ocidental (CEDEAO)- nas suas diretrizes de políticas públicas, levando em consideração o grau de influência destas organizações internacionais e o progresso ou não alcançado no início do século XXI. Neste estudo, o período pós-independência foi o estudado, no qual delimitamos três períodos distintos para analisar a política externa da Guiné-Bissau, dois organismos internacionais e os seus impactos na política interna; são eles: (a) período de partido único (1973 a 1993) - cujo objetivo principal foi analisar se a política externa teve ou não impacto na viabilização do Estado-Nação guineense e o projeto de cooperação internacional e ajuda externa;(b) período decorrente de transição política, implementação da democracia e primeira eleição até o golpe político (1994-1998), reformas políticas, constitucionais, econômicas e o seu impacto na política externa; e (c) período de instabilidade política, econômica e social no país, golpes e contragolpes (1998 a 2014) que causaram impactos diretos ou indiretos na política externa da Guiné-Bissau, levando em consideração a disputa e o conflito ideológico dos organismos objetos deste estudo (CPLP e CEDEAO) que da mesma fazem parte. / The study starts from the premise of analysis of the Guinean foreign policy, taking into account the process of formation of the State in the post-independence, through its weaknesses (dependence) and its potentialities (autonomy) regarding the world system. Thus, the present study is inserted in the time frame of historical and institutional accumulation of Guinea-Bissau in the contemporary world system (1973-2014). Our hypothesis is that the Guinean foreign policy can result of two factors: (a) internal factors associated to the political instability and to the terrible management of donated resources, and (b) external factors related to the bad conduction of foreign policy and of external financing, in its relationship with international organisations. Thereby, the aim of this doctoral thesis was to understand the foreign policy of Guinea-Bissau, considering the process of formation of the national State, taking into consideration the multidimensional crises and the role of two international organisations (CPLP and ECOWAS) in its guidelines of public policies, considering the degree of influence of such international organisations and the progress, or not, reached at the beginning of the XXI century. Therefore, in this study, the period of post-independence was studied, in which we will delimitate three different periods to analyse the foreign policy of Guinea-Bissau, two international organisations and its impact on domestic politics. They are: a) period of a single party (from 1973 to 1993) - whose main purpose is to analyse if the foreign policy had, or not, the impact into the viability of the Guinean nation state and the project of international cooperation and foreign aid, b) period due to political transition, implementation of democracy and first election until the political coup (1994-1998), political, constitutional and economic reforms and its impact on foreign policy, and c) period of political, economic and social instability in the country, coups and anti-coups (from 1998 to 2014) that caused direct or indirect impacts, in the foreign policy of Guinea-Bissau, considering the dispute and the ideological conflict of the organisations object of this study (CPLP and ECOWAS) that the same is part.
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Sitting on our hands : comparing Canada's intervention policy in Libya and Syria

Kindarji, Valérie 08 1900 (has links)
No description available.
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Le contrôle juridictionnel de la coopération intergouvernementale dans l'Union européenne. Contribution au processus de juridictionnalisation de l’Union. / The judicial control of the intergovernmental cooperation in the European Union. Contribution to the process of judicialization of the European Union.

Bachoué-Pedrouzo, Géraldine 21 November 2012 (has links)
Le contrôle juridictionnel de la coopération intergouvernementale dans l'Union européenne a longtemps fait difficulté. Initialement, la mise à l'écart du juge a conditionné le recours à cette coopération organisée "dans" l'Union. Pourtant, chaque avancée des traités a entraîné un progrès du juge de l'Union et, dès l'origine, la coopération a donné lieu à la formation d'une jurisprudence significative. La coopération intergouvernementale dans l'Union constitue un terrain privilégié d'investigation, susceptible de contribuer à enrichir l'étude d'un processus, celui de la juridictionnalisation de l'Union. Loin de stériliser cette hypothèse, le traité de Lisbonne l'a confirmée et valorisée. L'analyse de la jurisprudence révèle l'existence d'un modèle de contrôle juridictionnel de la coopération intergouvernementale dans l'Union. Celui-ci repose sur le principe d'un contrôle. Forme d'aboutissement du processus, dont elle permet de saisir l'implantation et la portée, l'admission du principe au niveau constitutionnel marque aussi une nouvelle étape dans ce processus. Le juge de l'Union progresse au sein d'un système de contrôle, composé du juge national et de la Cour européenne des droits de l'Homme. Les interactions entre juges sont essentielles pour comprendre l'évolution de l'office du juge de l'Union. S'il est classique d'attendre d'un juge constitutionnel qu'il régule le système institutionnel et qu'il assure la protection des droits fondamentaux, les exigences matérielles et opérationnelles de l'action intergouvernementale contribuent au déploiement d'une fonction juridictionnelle ordinaire. Ces deux axes de travail, principe et fonctions, jettent un éclairage d'ensemble sur le modèle en construction et permettent d'appréhender dans toute sa complétude le processus de juridictionnalisation de la coopération intergouvernementale dans l'Union. / During a long time, the judicial control of the intergovernmental cooperation in the European Union remained a difficulty. Initially, the sideline of the judge conditioned the use of this cooperation, organised “in” the European Union. However, each step forward of the Treaties led to a progress of the judge of the Union and, from the very beginning, cooperation has resulted in the creation of a significant jurisprudence. Indeed, intergovernmental cooperation in the European Union constitutes a privileged field for investigation, which may contribute to enrich the study of a process, the process of judicialization of the European Union. Away from sterilizing this hypothesis, it was eventually confirmed and valued by the Lisbon Treaty. The analyse of the jurisprudence concerning the common foreign and security policy and the police and judicial cooperation in criminal matters reveals the existence of a model of judicial control over the intergovernmental cooperation in the European Union. This model is based on the principle of control. The admission of the principle, at the constitutional level, is a form of outcome of the process; it allows understanding the establishment and the extent of the process, as well as it materializes a new step in this process. The European judge evolves in a system of control, constituted by the national Court and the European Court of Human Rights. The judges’ interactions are essential in order to understand the evolution of the role of the European Union judge. Although it appears classical to expect from a constitutional judge that he rules the institutional system and that he ensures the protection of fundamental rights, the intergovernmental action material and operational requirements contribute to the deployment of an ordinary judicial function. These two axes of research, principle and functions, project a comprehensive highlight on the model under construction, and allow apprehending, in its entirety, the process of judicialization of the intergovernmental cooperation in the European Union.

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