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Janissaires du savoir : sociologie des producteurs et diffuseurs de savoirs sur le Moyen-Orient en Turquie (1998-2015) / The knowledge janissaries : a sociology of Middle East experts in Turkey

Le Moulec, Jean-Baptiste 07 December 2016 (has links)
Cette thèse se propose d’explorer les modalités de constitution d’un domaine de production de savoirs dits académiques dépendant du pouvoir politique. La première partie examine la convergence de trajectoires individuelles vers une activité relativement nouvelle, située au carrefour de champ professionnels et centrée sur l’analyse de la politique étrangère turque menée depuis 2003 par le gouvernement du parti AKP. Partant de là, la seconde partie s’attache plus particulièrement aux liens des acteurs de l’espace identifié avec les responsables gouvernementaux. Il apparaît que ce domaine constitue un champ d’activité dont la structure concentrique découle de la proximité d’une communauté épistémique en son sein avec le champ politique. Par voie d’institutionnalisation et de cooptation du reste du champ, les membres de cette communauté parviennent à imposer une conception utilitaire des sciences sociales permettant de produire des savoirs convergent avec les priorités politiques du moment. La troisième partie examine donc le contenu de ces savoirs de sorte à démontrer le rôle de médiateur joué par le champ expert. Il se confirme alors que sa vocation est de convaincre diverses parties-prenantes, en Turquie et à l’étranger, de la légitimité et l’opportunité du projet hégémonique du gouvernement turc en direction du Moyen-Orient arabe. En définitive, par l’étude de cette configuration experte, a été aussi posé la question de la profondeur de la rupture créée par l’AKP dans le mode de gouvernement et les orientations géopolitique de la Turquie. L’analyse conclut à une rupture dans la continuité / This Ph. D. research offers an opportunity to explore the form of dependency to political power maintained by a self-labelled academic knowledge production domain. This study is based on the case study of Turkish Middle Eastern policy expertise. The first part examines the convergence of individual trajectories towards a relatively new activity in Turkey, located at the intersection of various professional fields and centered on the analysis of the AKP government foreign policy since 2003. The second part then focuses on the links that exist between the previously identified actors and statesmanship. It soon appears that this knowledge production forms a field of activity which concentric structure derives from the proximity of the epistemic community at its very center with the political arena. Through institutionalization and cooptation with the State’s material support, the epistemic community members manage to impose its utilitarian conception of social sciences to the whole expertise field, thereby bringing its actors to design knowledge convergent with the time’s policy priorities. The last part of this work consists of a study of this expertise’s content in order to demonstrate the go-between function played by experts. It appears ultimately that their mission is to convince foreign policy stakeholders in Turkey and abroad of the legitimacy and opportunity of Turkey’s hegemonic project towards the Arab Middle East (2003-2013). Finally, through the study of this expert configuration, it is the question of policy change and geopolitical shift that has been examined. The thesis concludes on the hypothesis of change within continuity
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La mission évangélique américaine et le monde arabo-musulman : une histoire géopolitique de la rencontre islamo-chrétienne du XIXe siècle à nos jours / The American evangelical mission and the Arab-Muslim world : a geopolitical history of the Islamo-Christian encounter, from the 19th century to the present

Hage-Ali, Chady 22 September 2017 (has links)
L’histoire de la mission évangélique américaine et de son influence sur la politique américaine au Moyen-Orient depuis le début du XIXe siècle demeure largement méconnue du grand public. Pourtant, les missionnaires ont fortement contribué à l’ouverture de leur pays au monde et à son positionnement comme acteur majeur de la scène internationale. Dans les provinces ottomanes, leurs apports en matière d’éducation, de santé, de culture et d’action sociale furent souvent plus significatifs que leurs résultats en matière d’évangélisation. En partant du postulat que l’influence des missions chrétiennes sur les choix politiques reste relative au cours de l’histoire, notre thèse entend distinguer la responsabilité des missionnaires et des leaders religieux du rôle joué par Washington dans l’apparition des crises et des conflits qui secouent le Moyen-Orient et le monde arabo-musulman. Elle examine les causes de l’échec à évangéliser massivement et à implanter les valeurs laïques et démocratiques. Elle souligne également les ambivalences et les divergences qui traversent le protestantisme américain, les attitudes, les représentations et les pratiques des évangéliques et du gouvernement américain à l’égard de l’islam, d’Israël, des nations arabes et musulmanes. / The history of the American Evangelical Mission and its influence on American policy in the Middle East, since the beginning of the nineteenth century, remains largely unknown to the general public. However, protestant missionaries have greatly contributed to the opening of their country to the world and to its status as a major player on the international scene. In the Ottoman provinces, their contributions to education, health, culture and social action were often more significant than their results in terms of evangelization. On the assumption that the influence of Christian missions on political choices remains relative in the course of history, our thesis seeks to distinguish the responsibility of missionaries from the political role played by Washington in the emergence of crises and conflicts that shake up the Middle East and the Arab-Muslim World. It examines the reasons for the failure of massive evangelization and implementation of democratic and secular values. It also highlights the ambivalences and divergences that cross American Protestantism, the attitudes, representations and practices of Evangelicals and American government towards Islam, Israel, the Arab and Muslim nations.
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L'exceptionnalisme dans la politique étrangère des Etats-Unis durant l'après Guerre froide, discours et pratiques (1989-2009) : discours et pratiques (1989-2009) / Exceptionalism in U.S. foreign policy during the Post-Cold War era : speeches and practices (1989-2009)

Le Chaffotec, Boris 27 November 2014 (has links)
L’idée d’exceptionnalisme américain a fait l’objet d’une attention particulière depuis le début des années 1990. Souvent décriée, parfois louée mais généralement réifiée, elle est devenue un concept déterministe au service d’une lecture linéaire de l’histoire des États-Unis depuis l’indépendance. La nécessité de déconstruire cette invariance simplificatrice et d’étudier l’exceptionnalisme comme une production sociale évoluant dans le temps en fonction de son contexte national et international est à l’origine de ce travail. L’exception américaine ne peut, en effet, être pensée uniquement à partir du national tant elle répond à des représentations conjuguées de Soi et de l’Autre. À la charnière entre le national et l’international, la politique étrangère est donc un poste d’observation privilégié de la construction de ce trait identitaire américain. L’ambition de cette thèse est de confronter le concept d’exceptionnalisme aux sources afin de mieux comprendre ce qu’il signifie pour nos acteurs et de mesurer son impact sur la politique étrangère des États-Unis durant les années d’après Guerre froide. Face à l’évolution du système international, la puissance nordaméricaine redéfinit, en effet, son rôle et son engagement extérieur. Après un XXe siècle marqué par des affrontements idéologiques globaux, les États-Unis se posaient en champion d’un nouvel ordre international garant de l’universalisation des valeurs démocratiques et libérales. Profondément moral, ce positionnement justifiait alors l’engagement des États-Unis dans une nouvelle lutte entre la modernité et le fanatisme à la fin des années 1990 avant d’être discrédité par l’enlisement militaire en Afghanistan et en Irak. Le changement de paradigme de la seconde moitié des années 2000 minimisait alors l’impact de la représentation exceptionnelle du Soi américain sur la définition de la politique étrangère. / The idea of American exceptionalism has been the subject of many studies since the beginning of the 1990s. Usually criticized, sometimes praised but generally reified, it became a determinist concept creating a linear perspective of U.S. history since the Independence. Also, the necessity to question this simplistic invariance and to study exceptionalism as a social production evolving with its national and its international contexts is at the origin of this project. Also, this American exception cannot be considered only through a national prism since it mixes representations of the Self and the Other. Between domestic and global affairs, foreign policy, then, represents an excellent observation point of the construction of this American identity feature. The purpose of this dissertation is to question the concept of exceptionalism through the analyze of primary sources in order to have a better understanding of its meaning for the actors and to evaluate its impact on U.S. foreign policy during the post-Cold War years. Indeed, the North-American power had to redefine its international role and engagement whereas the international system knew a dramatic evolution. After a 20th century marked by global ideological conflicts, the United States championed a new world order standing for the universalization of liberal and democratic values. This deeply moral position, then, justified the U.S. engagement in a new fight between modernity and fanaticism at the end of the 1990s before its discredit in the wake of the military stalemates in Afghanistan and Iraq. The change of paradigm during the late 2000s also minimized the impact of the exceptional representation of the American Self on the making of U.S. foreign policy.
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Union européenne : la fédération d'Etats-nations entre préférences nationales, jeux de puissance et coopération institutionnelle / The EU : Federation of Nation states, between national preferences, power politics and institutional cooperation

Lefebvre, Maxime 18 February 2012 (has links)
Au-delà du débat entre méthode intergouvernementale et méthode communautaire, le positionnement des Etats-nations par rapport à la construction européenne demeure une variable essentielle pour comprendre comment s’opère cette construction et à quels compromis elle parvient. Traditionnellement abordé sous l’angle de la puissance et de la géopolitique, le rapport entre les Etats de l’Union européenne, désormais réglé par la coopération institutionnelle, doit faire appel à d’autres grilles d’analyse issues de l’histoire et des différences culturelles, sociologiques, économiques, politiques entre les nations. Cette thèse, fondée à la fois sur une expérience diplomatique et sur des travaux de recherche et de réflexion, met en exergue le rôle central et systémique de la relation franco-allemande, à la lumière notamment de la rédaction du projet de Constitution européenne en 2002-2003, des positions actuelles de l’Union sur la politique d’élargissement et la relation avec la Russie, ou de la résolution des problèmes de l’union monétaire depuis 2010. La négociation du cadre financier pluriannuel de l’Union européenne montre comment les Etats-nations s’orientent à partir de la question des « soldes nets » qui oppose pays bénéficiaires et pays contributeurs. Une plus grande équité dans les dépenses et la répartition de la charge contributive pourrait être un moyen de dépasser ces négociations d’apothicaires. La politique étrangère européenne est encore plus l’exemple d’une politique contrainte par les différents intérêts nationaux, ce qui n’a pas empêché le développement de l’Europe de la défense dès lors que celle-ci restait adossée aux Etats-Unis et à l’OTAN. Revisitant la construction européenne en fonction des préférences nationales, cette thèse se conclut en posant l’articulation géopolitique entre Union européenne, « Europe espace » et « Europe puissance ». / Beyond the debate on intergovernmentalism and the “communautarian method”, the positioning of the “Nation States” in Europe is a key factor determining the European construction and its compromises. Traditionnally analysed through geopolitics and power politics, the relationship between the States of the European Union is nowadays ruled by institutional cooperation and must be addressed by new analytical schemes such as cultural, sociological, economical and political differences between the nations. This thesis, based on diplomatic experience and academic works, emphasizes the role of the franco-german relationship regarding in particular the negociation of the European constitution in 2002-2003, the EU positions on enlargement and the relationship to Russia, or the solution to the Eurozone crisis since 2010. In the negociation of the financial perspectives, the positions of Member States is determined by the question of budgetary balances in which contributors and beneficiaries of the EU budget face eachother. More equity in the sharing of expenditures and resources could be a mean to get out of these tough negociations. EU foreign policy is another example of a policy determined by national interests, which didn’t prevent the EU to develop a common defence policy as far as it remains compatible with NATO and the US Strategy. Having revisited the European integration through these national preferences, this thesis questions in conclusion the links between the EU, the European space and the European power.
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Neues Deutschland – neues Deutschlandbild? : Selbstdarstellung und Rezeption der Berliner Republik in Frankreich von 1990 bis in die Gegenwart / Une nouvelle Allemagne - une nouvelle image de l'Allemagne ? : l'autoreprésentation de la République de Berlin et sa réception en France de 1990 à nos jours

Marx, Jean-Samuel 13 December 2018 (has links)
La réunification ne transforma pas uniquement l’Allemagne sur le plan intérieur, mais eut également d’importantes répercussions sur sa place en Europe et dans le monde. Le nouveau contexte général ainsi que le changement générationnel au sein de la classe politique dans les années qui suivirent, entraînèrent aussi une évolution de l’autoreprésentation de la République fédérale. Tout cela ne resta pas sans conséquences sur sa perception à l’étranger. L’objectif de la présente thèse est d’analyser l’autoreprésentation de la jeune « République de Berlin » et sa réception en France de 1990 à nos jours. La question centrale est de savoir quelle image l’Etat allemand cherche à donner de lui-même et quelle image de l’Allemagne domine en France. Il s’agira de mettre en évidence les évolutions concrètes que l’on peut observer en la matière depuis la réunification, les facteurs permettant de les expliquer ainsi que de déterminer dans quelle mesure il existe une corrélation entre l’autoreprésentation de l’Allemagne et sa réception. / Reunification not only changed Germany domestically, but also had an important impact on its position in Europe and in the world. The new general framework as well as the generational change in politics in the following years also led to a change in the self-representation of the Federal Republic. All this did not remain without consequences on the perception of the country abroad. The aim of this thesis is to analyse the self-representation of the young “Berlin Republic” and its reception in France from 1990 to the present. The key question is which public image does the German state promote of itself and which image of Germany prevails in France. It will be highlighted how this has changed concretely since reunification, by which factors this development can be explained, and to what extent a correlation exists between Germany’s self-representation and its reception.
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Recherches sur la politique orientale de l’empire romain tardif : Rome, le royaume de Grande Armenie et l’Iran Sassanide dans la seconde moitie du IVeme siecle ap. J.-C. / Researches about the Later Roman Empire policy : Roma, the kingdom of Great Armenia and Sasanid Iran in the second half of the IVth century

Aune, François 19 May 2012 (has links)
A une date mal fixée au cours des années 380, mais généralement placée en 387, l’empereur Théodose, princeps depuis 379, abandonne officiellement les quatre cinquième de l’Arménie aux Perses sassanides. C’est un acte sans précédent : depuis plus de quatre siècles, la plupart de ses prédécesseurs avaient tout mis en œuvre pour maintenir le royaume caucasien dans la sphère d’influence romaine ou, à défaut, neutre face à un Etat iranien menaçant ou jugé comme tel. Dorénavant, la présence de l’Empire y est limitée à une bande de terre étroite située le long de ses frontières orientales et qui s’étend, du nord au sud, de l’extrémité orientale du Pont (Pontus en anglais) à la pointe septentrionale de la Syrie. Le cœur du pays et ses régions les plus importantes d’un point de vue historique et stratégique sont aux mains du grand rival oriental. Comment expliquer ce quasi retrait romain qui établit une situation qui perdurera jusqu’au début du 6ème siècle, une longueur inédite pour un accord entre les deux parties ? L’objectif de notre étude est de répondre à cette interrogation, en distinguant notamment les prémices de cette politique de repli à partir de la seconde moitié du 4ème siècle. / At an uncertain date in the 380's A.D. yet generally set in 387, Emperor Theodose, princeps since 379, officially abandons four fifths of Armenia to the benefit of the Sassanide Persian people. This had never happened before since for over four centuries, most his predecessors had managed to maintain the Caucasian kingdom into the Roman sphere of influence , or even to keep it neutral to a threatening -or considered as such - Iranian state. Now the presence of the Empire is limited to a narrow strip of land located along its oriental borders that stretches over from the eastern end of the Pontus to the northern end of Syria. The heart of the land and its most important regions from a historical and strategical point of view belong to the great opponent from the east. How can we explain this Roman quasi-withdrawal which lead to a situation that will last to the beginning of the 6th century – a period of time for an agreement between the two parties that had never been seen before in history ?Our study aims at answering this question, by identifying more particularly the beginnings of such a withdrawal policy from the second half of the 4th century.
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La quête de l’honneur apaisée de la « grandeur indienne ». : Déni de reconnaissance des « tigres tamouls » et événements catalyseurs au Sri Lanka. identité virile et inimitié des décideurs dans un conflit (1987-1990 puis 2000-2009) / A peaceful quest for honor of the indian greatness. : Non-recognition of the “ Tamil Tigers” and catalyst events in Sri Lanka. Manliness and inimity among the decision-makers in conflicts (1987-1990 then 2000-2009)

Soosaithasan, Solène Nadia 25 November 2016 (has links)
La quêtede l’honneurpeut paraitre désuète de nos jours en Occident mais cela n’est pas forcément le cas si l’on poussait plus loin les analyses. Elle caractérise depuislongtemps les relations entre les décideurs indiens et les dirigeants de la région Asie du Sud. Les relations avec les belligérants sri lankais n’en font pas exception. L’honneur et la gloire sont souvent le produit d’un éthos guerrier et d’une démonstration de virilité de la part des dirigeants politiques et non pas uniquement des militaires.La virilité n’est donc pas biologique mais est un construit politique et social. Les heurts ont été nombreux quant à la résolution du conflit sri lankais.Les décisions, attitudes et actions prises par les Indiens ont été façonnées par les interactions avec leurs interlocuteurs sri lankais et par des éléments extrêmement importants que nous qualifions d’« événements catalyseurs».Après le départ de l’IPKF et l’assassinat de Rajiv Gandhi, les dirigeants indiens ont adopté une autre attitude et des discours plus apaisés vis-à-vis des dirigeants sri lankais tout en refusant de reconnaitre les « Tigres tamouls » (LTTE), une guérilla tamoule au Sri Lanka. La reconnaissance de la part des dirigeants indiens vis-à-vis des décideurs sri lankais a par ailleurs permis la résolution du conflit sri lankais par des moyens militaires. Vingt ans auparavant, cela aurait été totalement inconcevable pour les dirigeants indiens de laisser ainsi faire les décideurs sri lankais. La reconnaissance de part et d’autre a donc pu permettre d’améliorer les relations interpersonnelles et interétatiques indiennes et sri lankaises. / Today, the quest for honor can seemoutdated in Western countries. But for a long timeit has characterizedthe relationships between the Indian decision-makers and the South Asian leaders. Relationships with Sri Lankan protagonists are also shaped by this question of honor but also of glory. Just as the military, political leaders are also influenced by honor and glory which are often produced by a warrior ethos So they want to show their manliness. Virility is not biological but a political and social construct. Throughout the resolution of the Indian-Sri Lankan conflict, numerous clashes took place between between their respective leaders. Decisions, attitudes and actions taken by the Indians have been shaped by their interactions with their Sri Lankan counterparts. And this evolution has also been possible because of “catalyst events”. After the IPKF’s withdrawal and Rajiv Gandhi’s murder,Indian decision-makers refused to recognize the“Tamil Tigers” guerilla (Liberation Tamil Tigers of Eelam, in Sri Lanka. But the Indian Political leaders’ recognition of the Sri Lankan rulersopened the way to a conflict resolution with military means. Twenty-years ago it would have been completely impossible for the Indians to allow the Sri Lankans to have their way.Recognition on both parts have largely improved the Indian and the Sri Lankan interpersonal and interstate relationships.
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La naissance d'une diplomatie européenne : vers la mise en place du Service européen pour l'action extérieure : le regard polonais / The birth of a European diplomacy : towards the establishment of the European external action Service : the Polish approach

Kulczyk, Marcin 30 September 2014 (has links)
La présente étude est consacrée à la naissance d'une diplomatie européenne sous le regard polonais. À travers l'histoire de la construction européenne, il s'agit d'analyser la marche vers la mise en place du Service européen pour l'action extérieure (SEAE). Lancé en 2010 sous l'autorité du Haut Représentant de l'Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, il devait réformer en profondeur les relations extérieures de l'Union européenne et lui permettre de s'affirmer en tant qu'acteur sur la scène internationale. Le regard de la Pologne permet de saisir plus concrètement les enjeux politiques et stratégiques liés à la création d'une diplomatie commune de l'UE. Deux aspects de cette diplomatie européenne sont étudiés : son visage et son appareil. Cette étude s'intéresse aux développements successifs de la représentation extérieure de l'UE dans la perspective de l'émergence d'une diplomatie européenne de réseaux. Elle démontre que la création du SEAE a provoqué des mouvements tectoniques dans l'architecture institutionnelle européenne et à l'intérieur des appareils diplomatiques nationaux. / The present study deals with the birth of a European diplomacy from the Polish point of view. Throughout the history of the European construction, the aim is to analyze the progress towards the establishment of the European External Action Service (EEAS). Launched in 2010 under the authority of the High Représentative of the Union for Foreign Affairs and the Security Policy, it had to reform in depth the external relations of the European Union (EU) and allow it to assert itself as an actor on the international stage. The Polish approach enables to grasp more concretely the political and stratégie issues related to the création of a common EU diplomacy. Two aspects of this European diplomacy are studied : its face and its apparatus. This study examines the successive developments of the EU external représentation in the context of the emergence of European diplomacy networks. It demonstrates that the EEAS has caused tectonic movements in the European institutional architecture and within national diplomatie services.
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Política externa e Estado frágil na Guiné-Bissau : crises multidimensionais e o papel dos organismos internacionais "CPLP & CEDEAO" (1973-2014)

Carvalho, Ricardo Ossagô de January 2016 (has links)
L’étude part de la prémisse de l’analyse de la politique étrangère bissau-guinéenne en considérant le processus de la formation de l’État dans la période de la postindépendance, travers de leurs faiblesses (la dépendance) et de leurs potentiels (l’autonomie) par rapport au système mondial. Ainsi, l’étude s’insère dans le cadre temporel d’accumulation historique et institutionel de la Guinée-Bissau dans le système mondial contemporain (1973-2014).Notre hypothèse est que la politique étrangère bissau-guinéenne peut avoir résulté de deux facteurs: (a) des facteurs internes associés à l’instabilité politique et à la mauvaise gestion des ressources donnés; et (b) des facteurs externes liés à la mauvaise conduction de la politique étrangère et du financement externe, dans ses relations avec les organisations internationales. De ce fait, l’objectif de cette thèse de doctorat a été comprendre la politique étrangère de la Guinée-Bissau, en tenant compte le processusde la formation de l’État national, en considérant les crises multidimensionnelles et le rôle de deux organisations internationales – la Communauté des Pays de la Langue Portugaise (CPLP) et la Communauté Économique des États de l’Áfrique de l’Ouest (CÉDÉAO) – dans ses lignes directrices de politiques publiques, en obsérvant le degré d’influence de ces organisations internationales et le progrès atteint, ou non, au début du XXIème siècle. Dans le cadre de cette étude, nous avons choisi la période de la postindepéndance pour être étudiée, dans laquelle nous avons délimité trois phases différentes pour analyser la politique étrangère de la Guinée-Bissau, deux organisations internationales et ses impacts dans la politique intérieure; sont-elles: (a) phase du parti unique (1973-1993) – dont le but principal a été examiner si la politique étrangère a impacté, ou non, dans la faisabilité de l’État-nation bissau-guinéen et au projet de coopération internationale et à l’aide extérieure; (b) phase découlant de transition politique, d’exécution de la démocratie et de la première eléction jusqu’au coup politique (1994-1998), réformes politiques, constitutionnelles, économiques et son impact dans la politique étrangère; et (c) phase d’instabilité politique, économique et social au pays, coups et contrecoups (1998-2014) qui ont causé des impacts directs ou indirects dans la politique étrangère de la Guinée-Bissau, en considérant la dispute et le conflit idéologique des organisations qui sont objets de cette étude (CPLP et CÉDÉAO) et qui font part de la même. / O estudo parte da premissa de análise da política externa guineense levando em conta o processo de formação do Estado na pós-independência a partir de suas fragilidades (dependência) e de suas potencialidades (autonomia) em relação ao sistema mundial. Assim, o estudo se insere no marco temporal de acúmulo histórico e institucional da Guiné-Bissau no sistema mundial contemporâneo (1973-2014). A nossa hipótese é que apolítica externa guineense pode ter resultado de dois fatores: (a) fatores internos associados à instabilidade política e ao péssimo gerenciamento de recursos doados; e (b) fatores externos relacionados à má condução da política externa e do financiamento externo, na sua relação com organismos internacionais. Com isso, o objetivo dessa tese de doutoramento foi compreender a política externa da Guiné-Bissau, levando em conta o processo de formação do Estado nacional, tendo em conta as crises multidimensionais e o papel de dois organismos internacionais- Comunidade dos Países de Língua Portuguesa (CPLP) e Comunidade Econômica dos Estados da África Ocidental (CEDEAO)- nas suas diretrizes de políticas públicas, levando em consideração o grau de influência destas organizações internacionais e o progresso ou não alcançado no início do século XXI. Neste estudo, o período pós-independência foi o estudado, no qual delimitamos três períodos distintos para analisar a política externa da Guiné-Bissau, dois organismos internacionais e os seus impactos na política interna; são eles: (a) período de partido único (1973 a 1993) - cujo objetivo principal foi analisar se a política externa teve ou não impacto na viabilização do Estado-Nação guineense e o projeto de cooperação internacional e ajuda externa;(b) período decorrente de transição política, implementação da democracia e primeira eleição até o golpe político (1994-1998), reformas políticas, constitucionais, econômicas e o seu impacto na política externa; e (c) período de instabilidade política, econômica e social no país, golpes e contragolpes (1998 a 2014) que causaram impactos diretos ou indiretos na política externa da Guiné-Bissau, levando em consideração a disputa e o conflito ideológico dos organismos objetos deste estudo (CPLP e CEDEAO) que da mesma fazem parte. / The study starts from the premise of analysis of the Guinean foreign policy, taking into account the process of formation of the State in the post-independence, through its weaknesses (dependence) and its potentialities (autonomy) regarding the world system. Thus, the present study is inserted in the time frame of historical and institutional accumulation of Guinea-Bissau in the contemporary world system (1973-2014). Our hypothesis is that the Guinean foreign policy can result of two factors: (a) internal factors associated to the political instability and to the terrible management of donated resources, and (b) external factors related to the bad conduction of foreign policy and of external financing, in its relationship with international organisations. Thereby, the aim of this doctoral thesis was to understand the foreign policy of Guinea-Bissau, considering the process of formation of the national State, taking into consideration the multidimensional crises and the role of two international organisations (CPLP and ECOWAS) in its guidelines of public policies, considering the degree of influence of such international organisations and the progress, or not, reached at the beginning of the XXI century. Therefore, in this study, the period of post-independence was studied, in which we will delimitate three different periods to analyse the foreign policy of Guinea-Bissau, two international organisations and its impact on domestic politics. They are: a) period of a single party (from 1973 to 1993) - whose main purpose is to analyse if the foreign policy had, or not, the impact into the viability of the Guinean nation state and the project of international cooperation and foreign aid, b) period due to political transition, implementation of democracy and first election until the political coup (1994-1998), political, constitutional and economic reforms and its impact on foreign policy, and c) period of political, economic and social instability in the country, coups and anti-coups (from 1998 to 2014) that caused direct or indirect impacts, in the foreign policy of Guinea-Bissau, considering the dispute and the ideological conflict of the organisations object of this study (CPLP and ECOWAS) that the same is part.
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La Russie de Vladimir Poutine au Moyen-Orient : analyses d'une ambition de "retour" (2000-2013) / Vladimir Putin's Russia in the Middle East : analyzing the "comeback" rationale (2000-2013)

Nocetti, Julien 01 July 2019 (has links)
Le Moyen-Orient représente un « Sud » souvent occulté dans l’analyse de la politique étrangère de la Russie. Or, la politique de Moscou au Moyen-Orient constitue un indicateur souvent révélateur des dynamiques, des atouts et des limites de la puissance russe. Sur la période étudiée (2000-2013), la poursuite d’objectifs « rationnels » – maximisation de la sécurité de l’État dans un système international perçu comme anarchique – n’exclut pas une quête identitaire éclairant la manière dont la Russie se perçoit au monde, souvent en opposition à l’Occident. Notre recherche interroge ainsi le réinvestissement du Moyen-Orient par la Russie de Vladimir Poutine en se penchant sur les logiques internes et extérieures de la politique russe. D’une part, à sa prise de fonctions, Vladimir Poutine est ainsi confronté au double défi d’éviter la polarisation ethnique et religieuse de la population russe et d’améliorer l’image de la Russie dans le monde arabo-musulman après les guerres de Tchétchénie. D’autre part, le Moyen-Orient reste le lieu traditionnel de l’affirmation de la puissance russe. À travers les grands dossiers sécuritaires de la région, Moscou jauge celle-ci à l’aune de l’Occident, en particulier des États-Unis, tout en faisant le pari, depuis la crise financière internationale et la guerre de Géorgie en 2008, d’un déclin inexorable de la puissance américaine. À partir de 2011, les « printemps arabes » révèlent une politique russe conservatrice par instinct, prudente dans son exécution, faite de manœuvres et de compromis si nécessaire et privilégiant les partenariats tactiques aux alliances contraignantes. / A highly and recurrent belligerent region, the Middle East represents a “South” which is often neglected in the study of Russian foreign policy. However, Moscow’s policy in the Middle East constitutes a particularly relevant indicator of the dynamics, assets, and limits of the Russian power. In our study period (2000-2013) the pursuit of “rational” objectives – the maximization of the state’s security within an international system perceived as anarchic – does not exclude an identity quest which enlightens the way Russia sees itself in the world, often in opposition to the West. Our research thus questions the reinvestment of the Middle East by Vladimir Putin’s Russia by addressing both the domestic and external rationales of Russian policy there. Once elected president in 2000, Vladimir Putin faced the twofold challenge of preventing an ethnic and religious polarization of the Russian population, and of improving Russia’s image in the Arab-Muslim world after the two wars fought in Chechnya. On the other side, the Middle East remains the traditional area for asserting Russia’s power. Through the main security issues in the region, Moscow mainly gauges the Middle East with regard to the West, most notable the United States, while betting, since the world financial crisis and the Georgia war in 2008, an inexorable decline of the American power. Since 2011, the “Arab Spring” uprisings have revealed a conservative by instinct and a cautious in its execution Russian policy, made of maneuvers and compromises if necessary and favoring tactic partnerships to constraining alliances.

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