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De l'écologie à l'écosophie : l'intuition de Raimon Panikkar / From ecology to ecosophy : the Raimon Panikkar’s intuition

Valverde Campos, Juan Carlos 07 October 2016 (has links)
La crise environnementale a bouleversé la vie de l’homme et toutes ses activités. L’écologie a essayé de trouver des solutions aux problèmes qui nous assaillent, mais elle reste toujours dans le même logos qui nous a mis dans ces difficultés. La théologie, quant-à elle, s’est intéressée depuis peu de temps à cette question. Elle a répondu aux reproches qui lui ont été adressés avec une théologie renouvelée de la création. Notre auteur, Raimon Panikkar, propose de compléter cette approche avec une nouvelle théologie trinitaire. C’est ce qu’il a appelé l’« intuition cosmothéandrique » qui établit une relation étroite et constitutive entre Dieu, l’homme et le cosmos. Cette intuition implique de prêter une attention particulière à la sagesse. Il s’avère donc urgent que l’écologie chemine de pair avec l’écosophie. Dans ce but, il conviendrait que l’homme cultive les vertus qui lui permettront de retrouver son lien avec les autres dimensions de la réalité. Cette nouvelle approche a deux corollaires fondamentaux : une éthique et une théologie politique écosophiques, que nous nous proposons de développer pour prolonger la pensée de Panikkar. / The environmental crisis has disrupted the lives and activities of man. The ecological movement has proposed solutions to the problems we face, but it always uses the same Logos that got us into these difficulties. Theology, however has focused on this question only recently. It answered to criticisms with a renewed theology of creation. Our author of interest, Raimon Panikkar, proposes to complement this approach with a new Trinitarian theology. What he called the “cosmotheandric intuition” establishes a constitutive close relationship between God, man and the cosmos. This intuition means paying special attention to wisdom. It is therefore urgent that ecology walks hand in hand with ecosophy. To this end, mankind ought to cultivates the virtues that will allow it to reconnect with the others dimensions of reality. This new approach has two fondamental corollaries : an ecosophical ethics and a ecosophical political theology, that we intend to develop in order to prolong on Panikkar’s thought.
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Alan Wilson Watts : spiritualité orientale en Occident, un parcours. Première période: 1935-1958

Jolicoeur, Richard 02 March 2021 (has links)
L’objet de cette recherche doctorale consiste à mettre en évidence le fait que l'oeuvre d’Alan Wilson Watts présente un intérêt philosophique manifeste. Plus, qu’il y a dans ses ouvrages publiés durant la Première Période (1935-1958), la manifestation d’une pensée originale en formation ; une pensée dont on peut reconnaître aujourd'hui toute l'importance qu’elle a eue dans l’émergence de ce qu’il est convenu d’appeler la philosophie de la contre-culture américaine. Ce que nous voulons montrer, c’est que malgré ses propres contradictions et ses emprunts multiples à la tradition mystique occidentale, la théologie chrétienne, la psychologie des profondeurs, les traditions philosophiques et religieuses de l’Orient, cette philosophie est demeurée constamment éprise de cette « grande certitude » qu’il existerait au sein de toutes les grandes cultures spirituelles une philosophia perennis, c'est-à-dire une philosophie qui posséderait en propre un caractère universel et qui s’intéresserait, malgré des différences mineures relatives à l’interprétation culturelle, autant à la nature qu’à la destinée de l'homme. Une philosophie qui, somme toute, s'apparenterait plus à un amour de la sagesse qu'à une recherche explicative et justificative des causes, et conséquemment, à la théorisation d'une argumentation rationnelle. Nous montrerons que cette œuvre en formation s’inscrit également dans la voie de la continuité, ce qui n’est pas sans rappeler la figure du cercle ou encore la notion de cycle, qui rappelons-le, chez cet étrange philosophe d’Occident à l'esprit taoïste, se présente comme les circonvolutions d’un parcours qui retournent constamment à ses racines et à ses sources pour le mener toujours plus loin, c’est-à-dire nulle part ailleurs qu' « ici et maintenant ».
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La division des ordres de Thomas d'Aquin : à la recherche du sens véritable des premières lignes du commentaire à l'éthique

Tremblay, Bruno 23 February 2022 (has links)
Certains disciples modernes de Thomas d'Aquin ont vu dans les premières lignes de son Commentaire à l'Éthique sa division complète et absolue des sciences, ou du moins ce qui permettrait d'en jeter la première fondation. Toutefois, une telle lecture de ce texte n'est pas sans poser force difficultés : il est assez facile de montrer, en s'appuyant sur l'ensemble des écrits de l'Aquinate, que plusieurs sciences ne peuvent être incorporées de façon claire et distincte à cette division, et cela en raison même du principe de division ici adopté, à savoir les quatre types d'ordres que la raison peut considérer. Manifestement, on s'était mépris sur l'intention véritable de l'auteur. Ce n'est qu'en replaçant ce passage dans son contexte, qui est celui d'un prooemium à toute la philosophie morale, qu'on peut en saisir le sens véritable : manifester le sujet de cette dernière en l'opposant à ceux de certaines autres sciences et en la présentant comme connaissance de l'ordre et sagesse.
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"Histoire et Sagesse d’Aḥiqar l’Assyrien" ou l’Ummānu sans descendance : Invariance et variations, de l’Antiquité au XVIIIe siècle / Story and Wisdom of Aḥiqar the Assyrian, Aramaic, Syriac and Ge’ez versions : Variations and reuses, from antiquity to the eighteenth century

Karouby, Laurent 07 December 2013 (has links)
« Histoire et sagesse d’Aḥiqar l’Assyrien » est un texte d’exception puisqu’il plonge ses racines dans les temps lointains de la Mésopotamie antique. Son héros, Aḥiqar, est un Sage, un Ummānu, conseiller des rois d’Assyrie ; il fait l’objet d’une vile machination, ourdie par son neveu que le Sage avait pourtant élevé comme s’il était son propre fils ; après avoir frôlé la mort, Aḥiqar est réhabilité, puis envoyé en Egypte, afin d’affronter les énigmes et défis que le Pharaon a lancés contre son roi, tandis que son neveu est puni de mort. Notre corpus regroupe sept versions de « Histoire et sagesse d’Aḥiqar l’Assyrien », s’échelonnant de 500 avant notre ère jusqu’au XVIIIe siècle, et composées en araméen, syriaque, guèze, arabe et grec. Dans une comparaison menée en traduction française, à travers les versions dont nous disposons et au fil des différents épisodes du récit, nous étudierons tout d’abord la trajectoire dramatique de la vie d’Aḥiqar. Puis nous examinerons les énigmes et défis résolus par ce héros expert en langage face au Pharaon avant d’analyser les deux longues séries de maximes, d’abord éducatives puis punitives, qu’il administre à son neveu. Nous aborderons également les modalités du réemploi, ou comment l’histoire araméenne d’Aḥiqar a pu se trouver refonctionnalisée dans la Bible au « Livre de Tobie », dans la « Vie d’Ésope le Phrygien », célèbre fabuliste grec, et dans l’univers des « Mille et Une Nuits » avec le conte intitulé « Sinkarib et ses deux vizirs ». Enfin nous conclurons sur l’intérêt de cette grande figure de l’Ummānu ou conseiller du roi – héros ni guerrier ni saint mais homme de langage – pour l’histoire de la Rhétorique. / “History and wisdom Aḥiqar the Assyrian” is an exception text since its roots goes in the ancient times of ancient Mesopotamia. His hero, Ahiqar is a Sage, a Ummānu, advise the kings of Assyria, and he is the subject of a vile plot, hatched by his nephew that the Sage had yet raised as if he were her own son ; from the brink of death, Ahiqar is rehabilitated and sent to Egypt to confront the puzzles and the challenges that the Pharaoh launched against his king, while his nephew is punished by death. Our text corpus has seven versions of “History and wisdom Ahiqar the Assyrian,” ranging from 500 BC until the eighteenth century, and composed in Aramaic, in Syriac, in Ge’ez, in Arabic and in Greek. In a comparison conducted in French translation, through the versions we have and all along the different episodes of the story, we first study the dramatic trajectory of life Ahiqar. We then examine the puzzles and challenges addressed by this expert hero of language against Pharaoh before analyzing the two long series of maxims, first educational and punitive, that it administers to his nephew. We also discuss the terms of re-use, or how the history of Aramaic Ahiqar could be re-used, with more or less success, in the Bible, the “Book of Tobit” in the “Life of Aesop the Phrygian” famous Greek fabulist, and the world of “Arabian Nights” with the tale entitled “Sinkarib and two viziers.” Finally, we conclude on the interest of this great figure of Ummānu or advise the king - nor a warrior hero, nor a saint hero, but a language man - for the history of rhetoric.
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La Nature dans l’oeuvre de Francis Ponge / Nature in the works of Francis Ponge

Choonwoo, Yee 10 November 2011 (has links)
L’objet de ce travail est d’éclairer l’esthétique et l’éthique de la poétique de Francis Ponge à partir de la notion de Nature. La première partie étudie la notion de Nature chez Ponge en tant que monde extérieur et son matérialisme qui, fortement influencé par le matérialisme antique, est caractérisé par l’antimétaphysique. Cette partie met également en relief le rapport étroit entre sa pensée matérialiste et la pensée immanente spinoziste, résumée dans l’expression de « Dieu ou la Nature ». Les aspects immanents des choses dans ses œuvres peuvent être mieux saisis, en effet, à l’aide de la notion d’« immanence » spinoziste. La deuxième partie explore, quant à elle, la relation entre la Nature et la littérature et le développement d’un nouveau lyrisme matérialiste chez Ponge. Pour lui, la littérature se naturalise et la Nature se littérarise. Son approbation de la Nature se traduit par sa contresignature apposée aux choses.Son nouveau lyrisme matérialiste, qui s’oppose au lyrisme traditionnel, se caractérise autour de notions telles que la vibration, l’aspiration, ou la « réson ». La troisième partie, enfin, examine le nouvel humanisme de Ponge ainsi que son éthique.La relation entre la Nature et l’homme s’articulera autour de thèmes éthiques essentiels comme l’altérité, le nouvel humanisme et le salut de l’homme. Son éthique consiste à vivre heureux. Nous l’aborderons à travers différents thèmes tels que la sagesse antique, l’harmonie du « non-soi » et du « soi », l’éthique de la joie, le hasard et la liberté. / The purpose of this study is to examine the aesthetics and the ethics of Francis Ponge’s poetry through the notion of Nature. The first part examines the concept of Nature in Ponge as the outside world and his materialism which, heavily influenced by ancient materialism, is characterized by the anti-metaphysical. This part also explore the close relationship between his idea and Spinoza’s immanent idea, summarized in the expression of "God, or Nature". The immanent aspects of things in his work can be fully understood with the help of the concept of "immanence" of Spinoza. The second part examines the relationship between Nature and literature and the development of Ponge’s new materialist lyricism. For him, literature becomes naturalized and nature becomes literarized. The approval of nature is reflected in his countersignature for things. His new materialist lyricism, contrasted with the traditional lyricism, is characterized by notions such as vibration, aspiration, "réson". The third part will focus on the new humanism and the ethics of Ponge. The relationship between Nature and man will be treated primarily on certain essential themes of ethics such as otherness, the new humanism and the salvation of man. His ethics is to live à happy life. Various topics, such as ancient wisdom, the harmony of the "non-self" and the "self", the ethics of joy, chance and freedom, will be discussed.
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Penser par exemple / Thinking e. g.

Babey, Emmanuel 09 December 2010 (has links)
Dans le De constancia sapientis, Sénèque formule le portrait d'un sage que l'injustice et l'outrage n'affectent pas. Selon le Commentaire au livre de la Sagesse de Robert Holkot (OP + 1349), cette description conceptuelle définit la notion de sagesse présente dans le livre biblique. Ainsi, dans les années 1336-1338, le sage stoïcien est-il présenté, dans une exégèse biblique, comme l'exemple même de sagesse. Partant, la thèse s'attache à retracer l'élaboration de cette figure sapientielle au prisme du prologue de ce commentaire biblique. Elle en analyse ensuite l'enjeu conceptuel : la revendication d'un modèle vie chrétien inspiré du comportement exemplaire des philosophes antiques. Dans ce contexte, la figure de Platon acquiert une importance cruciale. Une approche critique de la philosophie comme modèle de vie forme enfin la dernière partie de ce travail. En effet, tant le recours antique et médiéval à l'exemplum que la définition de la philosophie comme manière de vivre prennent appui sur une conception de l'acte moral comme imitation d'un héros (saint, sage, etc.) qu'Immanuel Kant congédie. / In the De constancia sapientis, Seneca portrays a wise man as unaffected by injustice and outrage. For Robert Holkot (O.P., †1349), writing in his Commentary on the Book of Wisdom, this conceptual description defines the notion of wisdom present in the Biblical book of the same name. Thus, in the years 1336-1338, the Stoic wise man appears in a work of Biblical exegesis as the very example of wisdom. This thesis takes as its point of departure the portrayal of the wise man in the prologue to the Commentary on the Book of Wisdom. It then analyses what is at stake: the assertion of a Christian model of life inspired by role models from ancient philosophy. Plato becomes a figure of crucial importance. Finally, the last part of this work consists in a criticism of philosophy as a model way of life. In fact, both the ancient and medieval use of exempla and the definition of philosophy as way of life depend on a conception of moral action as the imitation of a hero (saint, wise person, and so on), a conception dismissed by Immanuel Kant.
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La connaissance des choses divines et des choses humaines dans la "iuris prudentia" / The knowledge in divine and human things in the "iuris prudentia"

Lazayrat, Emmanuel 11 April 2014 (has links)
La iuris prudentia ou « prudence du droit » désignait le savoir des jurisconsultes romains. Bien que son importance soit capitale pour l’histoire de notre droit, nous n’en connaissons qu’une seule et unique définition inscrite aux Institutes et au Digeste de l’empereur Justinien. L’auteur originaire en serait Ulpien qui définit cette « jurisprudence » comme « la connaissance des choses divines et humaines, la science du juste et de l’injuste » (iuris prudentia est diuinarum atque humanarum rerum notitia, iusti atque iniusti scientia). Face à cette définition, les commentateurs ont souvent considéré que seul le second élément (« la science du juste et de l’injuste ») formait le véritable critère épistémologique de la science juridique en cause, diminuant ainsi la fonction de la connaissance des choses divines et humaines (diuinarum atque humanarum notitia). Or, nous pensons qu’au contraire cette rerum notitia n’est pas un simple accessoire rhétorique mais qu’elle réfère à une forme éminente du savoir antique : la sagesse. Forme suprême de l’intelligence et du vécu antique, elle n’est pas le fruit particulier d’une école philosophique ou d’une pensée religieuse. Relative à un savoir générique, la référence à la « sagesse » dans la définition de la iuris prudentia désigne la pensée même du jurisconsulte. Car comment abstraire les règles (regulae) depuis les cas (res) sans une médiation intellective entre les choses et le droit ? Comment opérer le choix entre le juste et l’injuste sans une forme de savoir conceptuel ? Toute science a besoin d’une théorie de la connaissance pour fonder sa méthode. Toutefois, la iuris prudentia dont l’objet était le droit d’une cité devenu empire, ne pouvait faire reposer sa pensée sur une doctrine philosophique déterminée. De même, léguée par les jurisconsultes païens aux princes législateurs chrétiens, elle ne pouvait se définir à travers le prisme d’une religion particulière. Or, la référence à la sagesse, but suprême de la connaissance, permet de neutraliser les différences dogmatiques pour faire ainsi de la « prudence du droit » la seule connaissance antique véritablement universelle. Ce qui explique selon nous que cette fameuse iuris prudentia connaîtra une longue postérité qui fera la fortune historique de la sagesse du droit d’origine romaine dont nous ressentons encore aujourd’hui les échos dans notre propre système juridique. / The iuris prudentia or wisdom in matters of law referred to Roman jurists’ knowledge. Even though its importance was primordial for the history of our law, we only know one and unique definition written in the Institutes and inside Emperor Justinian’s Digest. The original author could be Ulpian who defines this jurisprudence as “the awareness of divine and human things, knowledge of what is just or unjust” (iuris prudentia is diuinarum atque humanarum rerum notitia, iusti atque iniusti scientia). Faced with this definition, many critics have often considered that only the second element (knowledge of what is just and unjust) formed the genuine epistemic criteria of the legal science in question, thus decreasing the duty of the knowledge in divine and human things (diuinarum atque humanarum notitia). On the contrary, we believe that this rerum notitia is not only a simple rhetorical accessory but it refers to an eminent antique knowledge: wisdom. As the ultimate form of the antique intelligence and background, it is not the particular result of a philosophical school or a religious thought. Relating to a generic knowledge, reference to “wisdom” in the definition of iuris prudentia refers to Roman jurist real thinking. Indeed how to allow for abstract rules (regulae) for cases (res) without a spiritual mediation between things and the law? How to operate a choice between just and unjust without a kind of ideational knowledge? Every science needs a theory of knowledge to have a basis for its method. Nevertheless, the iuris prudentia (whose purpose was the law of a city-state which became an empire) was not able to base its way of thinking on a determined philosophical doctrine. Likewise, bequeathed by pagan Roman jurists to Christian Imperators, it could not define itself through the prism of a particular religion. Yet reference to wisdom, the ultimate goal of knowledge, allows neutralizing dogmatic differences. Wisdom in matters of law is the only truly universal antique knowledge. This therefore makes it clear to us why iuris prudentia will continue to have such an influence in posterity and why we still hear echos today of a legal system established by the Romans. [Tr. PHILIPPE JULLIEN]
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Le discours des vices et des vertus aux époques carolingiennes et ottonienne. De l'écrit à l'image (IXe - XIe siècle) / The discourse of vices and virtues in the Carolingian and Ottonian periods. From writing to image (9th-11th century)

Rodrigues, Perrine 17 October 2018 (has links)
Le discours des vices et des vertus est une étude qui porte sur la définition des notions de bien et de mal, de droit et d’interdit dans le cadre de la renouatio carolingienne, débutée sous le règne de Charlemagne et poursuivit sous ses successeurs, puis redynamisée sous le règne des Ottoniens. Les genres littéraires et artistiques où apparaissent les allégories des vices et des vertus constituent un corpus très varié de sources (judiciaire, morale, iconographique…). La diversité des sources permet de faire émerger la définition d’un idéal permettant de conduire l’homme à son salut, tout en mettant en place des codes moraux et une norme qui permettent d’encadrer la société dans tous les domaines. / The discourse of vices and virtues is a study which deals with the definition of the notions of good and evil, law and prohibition in the context of Carolingian renouatio, begun under the reign of Charlemagne and continued under his successors, then revitalized under the reign of Ottonians. The literary and artistic genres in which allegories of vices and virtues appear, constitute a very varied corpus of sources (judicial, moral, iconographic, etc.). The diversity of sources makes it possible to emerge the definition of an ideal allowing to lead the man to his salvation, while setting up moral codes and a norm which make it possible to regulate the society in all areas.

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