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[fr] PARADOXES ET PERTINENCES CLINIQUES DU CONCEPT D´IDENTIFICATION DANS L ENSEIGNEMENT DE JACQUES LACAN / [pt] PARADOXOS E PERTINÊNCIAS CLÍNICAS DO CONCEITO DE IDENTIFICAÇÃO NO ENSINO DE JACQUES LACAN

MARIA APARECIDA DE ANDRADE NOVAES 13 July 2007 (has links)
[pt] A invenção da psicanálise é marcada pela introdução do conceito de inconsciente, o que impõe ao pesquisador deste campo a análise de todo e qualquer conceito que pertença ao domínio da psicologia em geral a partir desta especifidade. Este trabalho visa uma retomada da estrutura mínima do laço social, pensando- o a partir da suposição do inconsciente. A identificação ao traço unário, modalidade extraída por Lacan da teoria geral das identificações proposta por Freud, é a ferramenta conceitual utilizada neste trabalho para se pensar uma suposta especificidade psicanalítica do laço social, sendo o fundamento teórico necessário para se pensar um laço que se configura diferentemente, graças à presença do analista, que faz consistir o inconsciente no laço sem que isso comporte sua dissolução. A transferência, que pode ser definida como a própria estrutura da experiência analítica, será portanto o palco de onde poderá se situar a identificação ao traço unário como fundamento do laço social. Tal operação, porém, implica necessariamente na relação do sujeito não só ao significante, mas também ao que Lacan denominou objeto a, isto que toma parte na constituição do sujeito, sendo propriamente aquilo que ele é, ao mesmo tempo em que dele precisa estar separado, situando-se como algo da ordem donão-identificável, algo que atua como causa de desejo, no lugar de uma exterioridade, e que, quando irrompe, será sob a forma desestruturante da angústia. Dito isso, a identificação impõe um paradoxo que convoca a uma revisão deste percurso teórico de Lacan, de modo a questionar de que maneira o objeto toma parte na constituição de um corpo e da identidade do sujeito, sem que compareça como o que faz exceção, para além do representável e do visível. Neste sentido, o presente trabalho propõe o uso do conceito de letra e de um exemplo literário como via possível para este impasse, eminentemente clínico. / [fr] L invention de la psychanalyse est marquée par l introduction du concept d´inconscient, ce qui impose au chercheur dans ce domaine l analyse de n importe quel concept qu appartienne au domaine général de la psychologie à partir de cette spécificité. Ce travail envisage de reprendre la structure minimale du lien social sous la perspective de la supposition de l inconscient. L identification au trait unaire, modalité que Lacan est allé chercher chez Freud, dans sa théorie des identifications, est l outil conceptuel indispensable dans ce travail pour qu on puisse envisager une supposée spécialité psychanalytique du lien social, tout en étant le fondement nécessaire qui nous permet de penser une espèce de lien qui se soutien différemment, grâce à la présence de l analyste, qui fait y consister l inconscient sans le dissoudre. Le transfert, défini en tant que la structure même de l expérience analytique, sera donc la scène où on peut situer l identification au trait unaire en tant que fondement du lien. Cette opération, cependant, ne concerne pas seulement le rapport du sujet au signifiant, mais aussi à ce que Lacan a nommé l objet petit a, qui prend part dans la constitution du sujet, en étant ce que le sujet est, au même temps que il faut s en séparer, ce qu en fait quelque chose de non identifiable, qui agit comme cause de désir et qui, lors de son irruption, est ressenti sous la forme bouleversante de l angoisse. Ceci dit, l identification impose un paradoxe qui nous conduit à reprendre le parcours réalisé par Lacan, de façon à remettre en cause la manière dont l´objet prend part dans la constitution du corps et de l identité du sujet, sans que ça soit sous la forme d´exception, au-delà de ce qui est de l ordre du représentable et du visible. Ce travail propose, donc, le concept de lettre et un exemple extrait d un roman littéraire comme des issues possibles pour cerner cette impasse, tout à fait clinique.
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Le cancer chez l’enfant : du phénomène corporel à sa subjectivation / Cancer in children : from the body phenomenon to its subjectification

Mallet, Jeremie 01 February 2019 (has links)
Lorsque la pathologie cancéreuse touche l’enfant, figure sacrée du XXIe siècle, c’est aussi le poids de représentations culturelles formant un discours social anxiogène qui pèse sur lui. Tantôt figure de victime, tantôt  figure de héros, l’enfant malade est en réalité, le plus souvent, objet sous l’emprise de l’Autre qui s’exerce par la maladie en elle-­même mais aussi par l’angoisse parentale bien légitime, ainsi que la fonction médicale et la mise en œuvre de moyens thérapeutiques nécessaires pour obtenir la guérison. Portant une attention particulière à la singularité du discours des enfants rencontrés en oncologie pédiatrique (situés entre 4 et 9 ans), et plus précisément, au processus psychique à l’œuvre dans la symbolisation et dans l’élaboration de leurs théories personnelles, subjectives autour de la maladie, nous soutenons que cette construction d’un sens, qui opère comme une tentative de guérison psychique à  partir d’une effraction du réel, définit aussi une implication du sujet dans la maladie, lui permettant ainsi de ne pas rester dans cette position d’objet. De même, lorsque ces enfants manifestent un symptôme qui fait énigme ou qu’ils éprouvent le besoin d’élucider une question, notamment dans l’après-coup des traitements intensifs, comme une sorte de point de réel qui vient fissurer ce qui a pu s’édifier comme sens autour de la maladie, nous posons alors l’hypothèse d’une modification possible de cette position subjective par le travail analytique autour de ce sens qui peut se faire et se défaire grâce à l’équivoque du signifiant, la métaphore et la métonymie, dans la perspective de définir un nouveau mode d’existence, marqué par l’expérience de la maladie, plutôt qu’empêché par celle-­ci. / A sacred figure of the 21st century, the child, when affected by a cancer pathology, is bound to carry the burden of cultural symbols and of the anxiety - inducing social discourse resulting from them. Sometimes considered a victim, sometimes a hero, an ill child is in fact an object under the influence of the Other ; a control acting through the disease itself, but also by the legitimate anguish of parents, the medical corps and the therapeutic measures that are necessary to reach the desired cure. With particular attention to the singularity of the discourse that we met in the paediatric oncology clinic (children aged 4 to 9 years old), and specifically to the psychological processes involved in the symbolization and in the development of their personal and subjective theories surrounding their condition, we believe that this development of a “signification” – acting as a psychological healing attempt following an incursion into reality – also defines the subject’s involvement in the disease, which frees them from being mere objects Furthermore, when these children show a puzzling symptom or feel the need to find the answer to a question, especially in the afterwardsness of intensive treatments – like a real point altering the constructed signification surrounding the disease – we believe that changing this objectification is possible thanks to analytical work around this signification, which can be deconstructed and reconstructed through the significant’s ambivalence, metaphors and metonymy. An attempt to define a new way of existing marked by the experience with the disease, rather than being prevented by it.
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Le corps entre langage et jouissance / El cuerpo entre lenguaje y goce / The body between language and enjoyment

Pérez Monge, José Manuel 27 September 2017 (has links)
Cette thèse porte sur le concept du corps qui est élaboré depuis la découverte de la psychanalyse par Freud et continué par le développement que Jacques Lacan fait tout au long de son enseignement. Nous nous demandons quels sont les éléments qui définissent sa structure et quelle est sa relation avec la langue. Pour pouvoir répondre à cette question, nous nous placerons dans le moment où Freud fait le changement du champ d’étude depuis le corps biologique, avec sa formation de neurologue, jusqu’à un corps qui est fait de représentations qui fonctionnent par les lois du langage. Nous développerons comment le registre symbolique et le registre imaginaire se construisent en relation à ce corps et le développement que Jacques Lacan fait pour établir un savoir qui puisse cerner le concept. Finalement, nous étudierons un extrait de l’œuvre de James Joyce Portrait de l’artiste en jeune homme, en lui appliquant l’approche méthodologique de la psychose ordinaire à partir de l’enseignement de J.-A. Miller, et l’analyse du discours depuis la psychologie narrative. Cette double perspective nous permettra d’établir le fonctionnement du langage en relation au corps depuis différentes optiques. / This thesis talks about the body concept which has been elaborated since the psychoanalysis ́ discovery by Freud, followed by Jacques Lacan teaching development. The aim of this thesis is to develop the concept of body. We will ask what are the elements that define it and what is its relationship with language.
In order to answer this question, we will study Freud's change from the study of the biological body to the discovery of a body constructed from representations articulated by the laws of language. We will research the relationship of the symbolic and imaginary register with the biological body. We will explore the development that Jacques Lacan carries out to delimit this concept from different moments of his teaching. Finally, we will study an extract from James Joyce's novel A portrait of the artist as a young man.
This study will be based on two methodological perspectives: The one developed from the investigations carried out about ordinary psychosis from the teaching of J.-A. Miller, and the one developed from the discourse analysis in the narrative psychology. This double study will allow us to establish the functioning of language in relation to the body concept from different perspectives. / La presente tesis hace referencia al concepto del cuerpo que es elaborado desde el descubrimiento del psicoanálisis por Freud, seguido por el desarrollo que Jacques Lacan hace a lo largo de su enseñanza. Nos preguntamos cuáles son los elementos que definen su estructura y cuál es su relación con el lenguaje. Para poder responder a esta cuestión, nos situaremos en el momento en que Freud hace el cambio de campo de estudio desde el cuerpo biológico, con su formación de neurólogo, hasta un cuerpo que se construye a partir de representaciones que funcionan por las leyes lingüísticas. A partir de aquí, desarrollaremos cómo el lenguaje y la imagen se construyen en relación a este cuerpo, y el desarrollo que Jacques Lacan hace para establecer un conocimiento que pueda delimitar este concepto. Por último, estudiaremos un extracto de la obra de James Joyce Retrato del artista adolescente , a partir de la perspectiva metodológica desarrollada por la psicosis ordinaria y el análisis del discurso como metodología dentro de un contexto narrativo. Esta doble perspectiva nos permitirá establecer el funcionamiento del lenguaje en relación al cuerpo desde distintas ópticas.
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O aspecto fônico da língua : uma reflexão sobre o lugar do ouvinte na proposta Saussuriana

Stawinski, Aline Vargas January 2016 (has links)
Il y a cent ans, Ferdinand de Saussure avait été pour toujours inscrit dans l’histoire des sciences. Considéré comme le fondateur de la linguistique que nous connaissons aujourd’hui, l’érudit a acquis une renommée grâce à la publication du Cours de linguistique générale, en 1916, ouvrage qui continue à provoquer l’intérêt des spécialistes du langage, au-delà de sa valeur historique. Parmi de différentes lectures, recherches et découvertes de textes manuscrits, les réflexions du genevois ont donné lieu à la discussion sur la définition de l’objet de la linguistique. Saussure a également été responsable de tracer le chemin pour les futures générations de linguistes, dont la tâche serait, enfin, d’établir des théories et des méthodes qui pensassent la langue comme un objet construit à partir d’un certain point de vue, compte tenu de son fonctionnement sémiologique via la notion de système. Ce travail propose de relire Saussure partant de la matérialité sonore, afin de regarder celle-ci en tant que signifiant linguistique, et ce, en raison de l’historique suppression du fait concret, par le fait abstrait dans des interprétations sur la pensée du genevois. Étant donné le rôle crucial de l’auditeur dans la délimitation des unités linguistiques et son rapport avec la notion de signifiant, on a pour but, ainsi, de réfléchir à la place de l’auditeur dans les propositions de Saussure. Nous nous demandons donc quelle est l’importance de la notion d’auditeur pour la définition de signe linguistique, et dans quelle mesure cette position est insérée dans la réflexion générale de la théorie conçue par Saussure. Pour notre recherche, on utilise principalement le Cours de linguistique générale (2006), les Écrits de linguistique générale (2004) et les manuscrits de Harvard, présents dans Phonétique (1995), une fois que nous sommes aperçus, en lisant ces matériaux, un nombre pertinent de considérations qui renvoient à la position d’auditeur dans la langue. Nos lectures seront guidées par des concepts-clés de la théorie de Saussure, en particulier les notions qui dialoguent directement avec le thème de notre travail, les questions liées au signe, signifiant, sujet parlant, auditeur, valeur et découpage de l’unité. La lecture du corpus de recherche, dans la quête de la place de l’auditeur, nous a permis d’entrevoir l’importance de la forme sonore de la langue dans la réflexion théorique, à partir d’un point de vue qui paraît étroitement lié aux principes généraux de la proposition saussurienne. Nous avons été en mesure de discerner la place cruciale occupée par l’auditeur dans la définition de ce qui peut être pris comme unité linguistique tout en envisageant l’inséparabilité fondamentale entre l’aspect phonique de la langue et la possibilité de la signification. / Há cem anos, Ferdinand de Saussure fora gravado para sempre na história das ciências. Considerado fundador da linguística como hoje a conhecemos, o estudioso ganhou fama graças à publicação do Cours de Linguistique Générale em 1916, obra que continua provocando o interesse de estudiosos da linguagem para muito além do seu valor histórico. Em meio às mais variadas leituras, pesquisas e descobertas de textos manuscritos, as reflexões do genebrino deram lugar à discussão sobre a definição do objeto da linguística e fora responsável por projetar caminhos para as futuras gerações de linguistas, cuja responsabilidade seria a de, enfim, estabelecer teorias e métodos que pensassem a língua como objeto construído a partir de um determinado ponto de vista, considerando seu funcionamento semiológico via noção de sistema. O presente trabalho propõe-se a reler Saussure partindo da materialidade sonora a fim de olhar para seu valor como significante linguístico, em decorrência do constante apagamento do fato concreto em detrimento do fato abstrato realizado por interpretações dos ensinamentos do genebrino. Tem-se como objetivo, assim, pensarmos o lugar do ouvinte na proposta saussuriana, em razão do papel crucial operado por este na delimitação das unidades linguísticas. Nos questionamos, portanto, qual a importância da noção de ouvinte para a definição do signo linguístico, e em que medida esta posição está inserida na reflexão geral da teoria projetada por Saussure. Para nossa investigação, lançaremos mão prioritariamente do Curso de Linguística Geral (2006), dos Escritos de Linguística Geral (2004) e dos manuscritos de Harvard presentes em Phonétique (1995), visto que percebemos, na leitura destes materiais, uma presença significativa de considerações que levam em conta a posição de ouvinte na língua. As leituras serão guiadas por conceitos-chave da teoria saussuriana, em especial às noções que dialogam diretamente com a temática do trabalho, como as questões relacionadas ao signo, significante, falante, ouvinte, valor e recorte da unidade. A leitura do corpus de pesquisa à procura do lugar do ouvinte permitiu-nos vislumbrar a importância da forma sonora da língua na reflexão teórica a partir de um ponto de vista que mostra-se estritamente vinculado aos princípios gerais da proposta saussuriana. Foi-nos possível divisar o lugar crucial ocupado pelo ouvinte para a definição do que pode ser tomado como unidade linguística, vislumbrando a indissociabilidade fundamental entre o aspecto fônico da língua e a possibilidade da significação.
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O aspecto fônico da língua : uma reflexão sobre o lugar do ouvinte na proposta Saussuriana

Stawinski, Aline Vargas January 2016 (has links)
Il y a cent ans, Ferdinand de Saussure avait été pour toujours inscrit dans l’histoire des sciences. Considéré comme le fondateur de la linguistique que nous connaissons aujourd’hui, l’érudit a acquis une renommée grâce à la publication du Cours de linguistique générale, en 1916, ouvrage qui continue à provoquer l’intérêt des spécialistes du langage, au-delà de sa valeur historique. Parmi de différentes lectures, recherches et découvertes de textes manuscrits, les réflexions du genevois ont donné lieu à la discussion sur la définition de l’objet de la linguistique. Saussure a également été responsable de tracer le chemin pour les futures générations de linguistes, dont la tâche serait, enfin, d’établir des théories et des méthodes qui pensassent la langue comme un objet construit à partir d’un certain point de vue, compte tenu de son fonctionnement sémiologique via la notion de système. Ce travail propose de relire Saussure partant de la matérialité sonore, afin de regarder celle-ci en tant que signifiant linguistique, et ce, en raison de l’historique suppression du fait concret, par le fait abstrait dans des interprétations sur la pensée du genevois. Étant donné le rôle crucial de l’auditeur dans la délimitation des unités linguistiques et son rapport avec la notion de signifiant, on a pour but, ainsi, de réfléchir à la place de l’auditeur dans les propositions de Saussure. Nous nous demandons donc quelle est l’importance de la notion d’auditeur pour la définition de signe linguistique, et dans quelle mesure cette position est insérée dans la réflexion générale de la théorie conçue par Saussure. Pour notre recherche, on utilise principalement le Cours de linguistique générale (2006), les Écrits de linguistique générale (2004) et les manuscrits de Harvard, présents dans Phonétique (1995), une fois que nous sommes aperçus, en lisant ces matériaux, un nombre pertinent de considérations qui renvoient à la position d’auditeur dans la langue. Nos lectures seront guidées par des concepts-clés de la théorie de Saussure, en particulier les notions qui dialoguent directement avec le thème de notre travail, les questions liées au signe, signifiant, sujet parlant, auditeur, valeur et découpage de l’unité. La lecture du corpus de recherche, dans la quête de la place de l’auditeur, nous a permis d’entrevoir l’importance de la forme sonore de la langue dans la réflexion théorique, à partir d’un point de vue qui paraît étroitement lié aux principes généraux de la proposition saussurienne. Nous avons été en mesure de discerner la place cruciale occupée par l’auditeur dans la définition de ce qui peut être pris comme unité linguistique tout en envisageant l’inséparabilité fondamentale entre l’aspect phonique de la langue et la possibilité de la signification. / Há cem anos, Ferdinand de Saussure fora gravado para sempre na história das ciências. Considerado fundador da linguística como hoje a conhecemos, o estudioso ganhou fama graças à publicação do Cours de Linguistique Générale em 1916, obra que continua provocando o interesse de estudiosos da linguagem para muito além do seu valor histórico. Em meio às mais variadas leituras, pesquisas e descobertas de textos manuscritos, as reflexões do genebrino deram lugar à discussão sobre a definição do objeto da linguística e fora responsável por projetar caminhos para as futuras gerações de linguistas, cuja responsabilidade seria a de, enfim, estabelecer teorias e métodos que pensassem a língua como objeto construído a partir de um determinado ponto de vista, considerando seu funcionamento semiológico via noção de sistema. O presente trabalho propõe-se a reler Saussure partindo da materialidade sonora a fim de olhar para seu valor como significante linguístico, em decorrência do constante apagamento do fato concreto em detrimento do fato abstrato realizado por interpretações dos ensinamentos do genebrino. Tem-se como objetivo, assim, pensarmos o lugar do ouvinte na proposta saussuriana, em razão do papel crucial operado por este na delimitação das unidades linguísticas. Nos questionamos, portanto, qual a importância da noção de ouvinte para a definição do signo linguístico, e em que medida esta posição está inserida na reflexão geral da teoria projetada por Saussure. Para nossa investigação, lançaremos mão prioritariamente do Curso de Linguística Geral (2006), dos Escritos de Linguística Geral (2004) e dos manuscritos de Harvard presentes em Phonétique (1995), visto que percebemos, na leitura destes materiais, uma presença significativa de considerações que levam em conta a posição de ouvinte na língua. As leituras serão guiadas por conceitos-chave da teoria saussuriana, em especial às noções que dialogam diretamente com a temática do trabalho, como as questões relacionadas ao signo, significante, falante, ouvinte, valor e recorte da unidade. A leitura do corpus de pesquisa à procura do lugar do ouvinte permitiu-nos vislumbrar a importância da forma sonora da língua na reflexão teórica a partir de um ponto de vista que mostra-se estritamente vinculado aos princípios gerais da proposta saussuriana. Foi-nos possível divisar o lugar crucial ocupado pelo ouvinte para a definição do que pode ser tomado como unidade linguística, vislumbrando a indissociabilidade fundamental entre o aspecto fônico da língua e a possibilidade da significação.
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A noção de lalíngua: uma contribuição da psicanálise lacaniana à concepção de língua

Monteiro, Cleide Pereira 18 May 2012 (has links)
Made available in DSpace on 2015-05-14T12:39:37Z (GMT). No. of bitstreams: 1 arquivototal.pdf: 1668126 bytes, checksum: e9d54c46144207ff3b17172cc94230ea (MD5) Previous issue date: 2012-05-18 / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior - CAPES / A partir des études de jacques Lancan et Ferdinand de Saussure, on s´interroge comment la notion lacanienne de « lalangue » peut contribuer pour concevoir une langue formulée à partir du non représentable que, selon Lacan, on nomme de réel de la langue. Si on croit que « lalangue » est indissociable de la jouissance, on formule la thèse que « lalangue » n´est pas seulement une langue pour la signification, mais sert aussi à la satisfaction de la pulsion, laquelle ne participe pas au lien social. On se pose la question tant sur qu´est-ce que c´est la langue, quant au que se déligne comme « lalangue. On cherche les indices de l´impossible de la langue pour fixer ce qui ne s´en laisse pas s´inscrire dans la perspective du tout, suivant ainsi la logique du non-tout. Dans cette direction, on propose une relecture de la conception saussurienne de langue comme système, récupérant la perspective dialectique des dichotomies saussuriennes ainsi que les recherches concernant les anagrammes. Dans le dernier cours de Lacan, on voit la notion de jouissance au centre, ce qui permet de penser la langue à partir de l´aspect substantiel en opposition au domaine des articulations. La conception de la langue, pensée à partir de « lalangue », met la langue en syntonie avec le registre que la consacre à l´équivoque, mais aussi à ce qui est de l´ordre du traumatisme. On discute une nouvelle proposition donnée par Lacan au signifiant : celle de la cause de la jouissance. La thèse de Lacan, laquelle le symptôme est purement ce que la langue conditionne, devient fondamental pour penser sur les chemins de l´opacité de la jouissance qui exclu le sens. L´expérience analytique se montre un espace approprié pour comprendre ce qui appartient à la dimension de « lalangue » ; on utilise, à ce propos, sept témoignages de passe. On arrive à la conclusion que le travail analytique, fait à partir de « lalangue », quand on arrive à la fin, reconduit le sujet au symptôme comme moyen de jouissance absolument singulier. A la « langue du trauma » on donne un destin orienté à partir d´une nouvelle alliance avec la jouissance. Les témoignages vont vers la formulation que le savoir-faire avec l´incurable de la jouissance produit, comme effet, un nouveau usage de la langue qui ne laisse pas en dehors la jouissance. On voit surgir ainsi l´invention d´une langue connectée au vivant de la jouissance, comme révèle les néologismes de la fin de l´analyse, sans perdre bien sûr, sa fonction de lien social, comme indique l´acte de témoignage lui-même. / A partir dos estudos de Jacques Lacan e de Ferdinand de Saussure, investiga-se como a noção lacaniana de lalíngua pode contribuir para conceber uma língua formulada a partir do não representável que, com Lacan, nomeia-se de real da língua. Ao se pressupor que lalíngua é indissociável do gozo, formula-se a tese de que lalíngua é uma língua que não se presta à significação, mas à satisfação da pulsão e, como tal, não faz liame social. Ao interroga-se sobre o que seja a língua quanto ao que se delineia como lalíngua buscam-se os índices do impossível da língua para demarcar o que dela não se deixa escrever-se na vertente do todo, seguindo, pois, a lógica do não-todo. Nessa direção, propõe-se uma releitura da concepção saussuriana de língua como sistema, recuperando a perspectiva dialética das dicotomias saussurianas e suas pesquisas sobre os anagramas. No último ensino de Lacan, vê-se centralizada a noção de gozo, que permite pensar a língua a partir do aspecto substancial em contraposição ao domínio das articulações. A concepção de língua, pensada a partir de lalíngua, coloca a língua em sintonia com o registro que a consagra ao equívoco, mas também com o que é da ordem do traumatismo. Discute-se uma nova proposição dada por Lacan ao seu significante: a de causa de gozo. A tese de Lacan, segundo a qual o sinthoma é puramente o que lalíngua condiciona, torna-se fundamental para se pensar sobre os rumos da opacidade do gozo que exclui o sentido. A experiência analítica se mostra um espaço fecundo para se entender o que é da dimensão de lalíngua; utilizam-se, para esse propósito, sete testemunhos de passe. Conclui-se que o trabalho analítico, feito a partir de lalíngua, quando chega ao seu término, reconduz o sujeito ao sinthoma como modo de gozo absolutamente singular. À língua do trauma é dado um destino orientado a partir de uma nova aliança com o gozo. Os testemunhos apontam para a formulação de que o saber fazer ali com o incurável do gozo promove, como efeito, um novo uso da língua que não deixa de fora o gozo. Surge, então, a invenção de uma língua conectada ao vivo do gozo, como vêm revelar os neologismos de final de análise, sem perder, com isso, sua função de liame social, como indica o próprio ato de testemunhar.
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O aspecto fônico da língua : uma reflexão sobre o lugar do ouvinte na proposta Saussuriana

Stawinski, Aline Vargas January 2016 (has links)
Il y a cent ans, Ferdinand de Saussure avait été pour toujours inscrit dans l’histoire des sciences. Considéré comme le fondateur de la linguistique que nous connaissons aujourd’hui, l’érudit a acquis une renommée grâce à la publication du Cours de linguistique générale, en 1916, ouvrage qui continue à provoquer l’intérêt des spécialistes du langage, au-delà de sa valeur historique. Parmi de différentes lectures, recherches et découvertes de textes manuscrits, les réflexions du genevois ont donné lieu à la discussion sur la définition de l’objet de la linguistique. Saussure a également été responsable de tracer le chemin pour les futures générations de linguistes, dont la tâche serait, enfin, d’établir des théories et des méthodes qui pensassent la langue comme un objet construit à partir d’un certain point de vue, compte tenu de son fonctionnement sémiologique via la notion de système. Ce travail propose de relire Saussure partant de la matérialité sonore, afin de regarder celle-ci en tant que signifiant linguistique, et ce, en raison de l’historique suppression du fait concret, par le fait abstrait dans des interprétations sur la pensée du genevois. Étant donné le rôle crucial de l’auditeur dans la délimitation des unités linguistiques et son rapport avec la notion de signifiant, on a pour but, ainsi, de réfléchir à la place de l’auditeur dans les propositions de Saussure. Nous nous demandons donc quelle est l’importance de la notion d’auditeur pour la définition de signe linguistique, et dans quelle mesure cette position est insérée dans la réflexion générale de la théorie conçue par Saussure. Pour notre recherche, on utilise principalement le Cours de linguistique générale (2006), les Écrits de linguistique générale (2004) et les manuscrits de Harvard, présents dans Phonétique (1995), une fois que nous sommes aperçus, en lisant ces matériaux, un nombre pertinent de considérations qui renvoient à la position d’auditeur dans la langue. Nos lectures seront guidées par des concepts-clés de la théorie de Saussure, en particulier les notions qui dialoguent directement avec le thème de notre travail, les questions liées au signe, signifiant, sujet parlant, auditeur, valeur et découpage de l’unité. La lecture du corpus de recherche, dans la quête de la place de l’auditeur, nous a permis d’entrevoir l’importance de la forme sonore de la langue dans la réflexion théorique, à partir d’un point de vue qui paraît étroitement lié aux principes généraux de la proposition saussurienne. Nous avons été en mesure de discerner la place cruciale occupée par l’auditeur dans la définition de ce qui peut être pris comme unité linguistique tout en envisageant l’inséparabilité fondamentale entre l’aspect phonique de la langue et la possibilité de la signification. / Há cem anos, Ferdinand de Saussure fora gravado para sempre na história das ciências. Considerado fundador da linguística como hoje a conhecemos, o estudioso ganhou fama graças à publicação do Cours de Linguistique Générale em 1916, obra que continua provocando o interesse de estudiosos da linguagem para muito além do seu valor histórico. Em meio às mais variadas leituras, pesquisas e descobertas de textos manuscritos, as reflexões do genebrino deram lugar à discussão sobre a definição do objeto da linguística e fora responsável por projetar caminhos para as futuras gerações de linguistas, cuja responsabilidade seria a de, enfim, estabelecer teorias e métodos que pensassem a língua como objeto construído a partir de um determinado ponto de vista, considerando seu funcionamento semiológico via noção de sistema. O presente trabalho propõe-se a reler Saussure partindo da materialidade sonora a fim de olhar para seu valor como significante linguístico, em decorrência do constante apagamento do fato concreto em detrimento do fato abstrato realizado por interpretações dos ensinamentos do genebrino. Tem-se como objetivo, assim, pensarmos o lugar do ouvinte na proposta saussuriana, em razão do papel crucial operado por este na delimitação das unidades linguísticas. Nos questionamos, portanto, qual a importância da noção de ouvinte para a definição do signo linguístico, e em que medida esta posição está inserida na reflexão geral da teoria projetada por Saussure. Para nossa investigação, lançaremos mão prioritariamente do Curso de Linguística Geral (2006), dos Escritos de Linguística Geral (2004) e dos manuscritos de Harvard presentes em Phonétique (1995), visto que percebemos, na leitura destes materiais, uma presença significativa de considerações que levam em conta a posição de ouvinte na língua. As leituras serão guiadas por conceitos-chave da teoria saussuriana, em especial às noções que dialogam diretamente com a temática do trabalho, como as questões relacionadas ao signo, significante, falante, ouvinte, valor e recorte da unidade. A leitura do corpus de pesquisa à procura do lugar do ouvinte permitiu-nos vislumbrar a importância da forma sonora da língua na reflexão teórica a partir de um ponto de vista que mostra-se estritamente vinculado aos princípios gerais da proposta saussuriana. Foi-nos possível divisar o lugar crucial ocupado pelo ouvinte para a definição do que pode ser tomado como unidade linguística, vislumbrando a indissociabilidade fundamental entre o aspecto fônico da língua e a possibilidade da significação.
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Deux modèles romanesques similaires : Le rêve dans le pavillon rouge de Cao Xueqin, A la recherche du temps perdu de Marcel Proust. [Narration, système des personnages, temporalité] / Two similar fictive models : Dream of the Red Chamber by Cao Xueqin, Remembrance of Things Past by Marcel Proust. [Narration, System of Characters, Temporality]

Chen, Yi-An 26 November 2010 (has links)
En examinant les points communs par les outils structuraliste, stylistique, sémiotique et thématique, la présente étude a pour but de trouver les points communs entre les deux modèles romanesques chinois et français : Le Rêve dans le pavillon rouge de Cao Xueqin et A La Recherche du temps perdu de Marcel Proust. La narration, le système des personnages et la temporalité sont similaires dans ces deux œuvres. Dans la Première Partie, nous allons montrer que ces deux œuvres adoptent, en effet, une forme circulaire, se refermant sur elle-même, analogique à la forme de la métaphore mais qui s’étend jusqu’à tout le texte, que nous appelons « la métaphorisation ». La métaphorisation, sur ces trois aspects, est le point de départ d’une nouvelle esthétique, propre, mais commune, à ces deux œuvres. Dans la Deuxième Partie, nous allons montrer que la formation d’un monde romanesque auto-référentiel dans l’intérieur des deux œuvres est rendu possible grâce à la métaphorisation, et les trois catégories des signes romanesques - le Signifiant, le Signifié et le Référent – ont la possibilité de puiser leur source uniquement à l’intérieur du roman. Nous allons également montrer le fantastique de la narration des deux œuvres, sous l’apparence réaliste des deux récits de « Marcel » et de « Jia Jade magique ». La création de nouvelles perspectives esthétiques, l’interrogation sur l’essentiel de la littérature, par la découverte de la forme métaphorisée de ces deux œuvres, constituent une partie importante de la présente thèse. En mettant en convergence ces deux œuvres par leur similarité, nous souhaitons apporter des découvertes intéressantes d’un point de vue comparatiste. / By examining the commonalities by structural, stylistic and semiotic tools, and by themes, this study aims to find the commonalities between the two Chinese and French novels: Dream of the Red Chamber by Cao Xueqin and Remembrance of Things Past by Marcel Proust. Based on our analysis in Part I, a specific form on three aspects - the narration, the system of characters and the temporality - is found to be common in both works. It is of a circular shape, closing in on itself, analogue to a metaphor but extends to all the text, which we call "the metaphorization." The metaphorization on these three aspects will be the center of a new aesthetic, proper but common to both works. In Part II, we will show that metaphorzation makes possible the formation of a self-referential world in the interior of the two works, and the three categories of signs inside a fiction - the Signifier, the Signified and the Referent - will have the opportunity to draw their source only in the interior of the novel. We are going to investigate into the fantastic that lies under the appearance of realism in the narration of the two stories of “Marcel” and “Jia Jade magique.” The metaphorization is not only an important part of our theory, it helps to discuss on the very essence of the literature in this present study. By converging these two novels by their similarity, we wish to make interesting discoveries from a comparative point of view.
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Étude synchronique contrastive des descendants romans d’ESSE et de STARE : les signifiants italiens essere et stare à la lumière des signifiants espagnols ser et estar / A contrastive synchronic study of Romance descendants of ESSE and STARE : Italian signifiers essere and stare in light of Spanish signifiers ser and estar

Zalio, Damien 30 November 2013 (has links)
Les verbes latins ESSE et STARE ont trouvé un prolongement dans toutes les langues romanes. Parmi celles-ci, l’espagnol présente une nette opposition entre ser et estar. Les rôles syntaxiques et sémantiques de ces verbes sont répartis de façon relativement homogène, sans cesser pour autant d’être l’un des sujets les plus étudiés de l’hispanisme. Les verbes italiens essere et stare font quant à eux l’objet d’une littérature lacunaire, probablement en raison du fait que le choix du sujet parlant n’y apparaît pas aussi contraint qu’en espagnol : ces deux verbes sont alors considérés comme pratiquement interchangeables. Faisant nôtre l’axiome de la motivation du signe linguistique, nous ne pouvons poser deux formes de langue comme strictement équivalentes. Ce travail se propose d’analyser les signifiants italiens essere et stare à la lumière de leurs homologues espagnols ser et estar. Nous y formulons le postulat selon lequel essere et ser véhiculent chacun les mêmes instructions mais que celles-ci se déploient différemment dans les deux langues, et nous faisons le même pari pour stare face à estar. Dans la première partie, nous parcourrons la littérature spécialisée, nous aborderons la notion d’existence, puis nous remonterons aux sources latines pour mieux cerner les évolutions de ces quatre verbes. La deuxième partie sera consacrée aux tours périphrastiques, où ser, estar mais aussi essere et stare jouent un rôle prépondérant. Leur emploi avec un circonstant et un attribut fera l’objet de la troisième partie, tandis que la quatrième et dernière partie se focalisera sur certaines structures présentant un ordre syntaxique marqué. / The latin verbs ESSE and STARE have derivatives in all Romance languages. Among the latter, Spanish draws a clear distinction between ser and estar. The syntactic and semantic roles of these two verbs are quite homogeneously divided but it is still one of the questions most discussed in Spanish studies. Italian verbs essere and stare, however, have not received as much critical attention, probably because the speaking subject is less compelled to choose between the two than in Spanish: these two verbs are then considered interchangeable. In keeping with the axiom of linguistic sign motivation, I will argue that two linguistic forms cannot be strictly equivalent. In the present study, I will analyse the Italian signifiers essere and stare in light of their Spanish equivalents ser and estar. I posit that essere and ser both convey the same instructions but that these take effect differently in the two languages, just as stare and estar. In the first part, I will present an overview of the literature on the issue, I will tackle the notion of existence, and finally, I will go back to the Latin sources to better outline the evolutions of these four verbs. The second part will focus on the periphrastic turns in which ser, estar but also essere and stare play a dominating role. Their use with an adverbial and a predicative adjective will be discussed in the third part, while the fourth and final part will be devoted to certain structures presenting a marked syntactic order.
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Usages cliniques de la lettre : du bien-dire au savoir-lire. / Clinical uses of the letter : from saying-well to knowing-how-to-read

Pasqual, Leander 19 January 2016 (has links)
Lacan introduit le concept de lettre dans son enseignement pour définir la direction de lacure analytique. Dans cette perspective, la définition de la lettre s’avère essentielle pour lapsychanalyse. Néanmoins, la définition de la lettre change au fur et à mesure que Lacanavance dans son enseignement. Ce changement de perspective implique une nouvelleconception de la clinique. De cette manière, ce travail propose d’étudier les différentsusages cliniques de la lettre dans l’enseignement de Jacques Lacan. Dans un premier temps,il s’agit d’un usage représentatif de la lettre. Cela implique la production des effets de sens.À ce moment-là, la lettre et le signifiant ne sont pas distingués. Cet usage de la lettre permetde définir la psychanalyse comme une pratique du bien-dire. Dans un second temps, ils’agit d’un usage de jouissance de la lettre. Cela implique la production d’une jouissancehors sens. Cette fois-ci, Lacan réussit à distinguer la lettre et le signifiant. Cet usage de lalettre permet de définir la psychanalyse comme une pratique du savoir-lire. Bien-dire etsavoir-lire désignent ainsi deux modalités d’usage de la lettre. C’est pourquoi cetterecherche a pour objectif de démontrer que la psychanalyse est une pratique de la lettre. / Lacan introduced the concept of the letter in his teaching in order to define the direction ofthe analytic cure. In this perspective, the definition of the letter is essential forpsychoanalysis. Nonetheless, the definition of the letter changed throughout the course ofhis teaching and this change of perspective implies a new conception of the clinic. As such,in this work we propose to study the different clinical uses of the letter in Jacques Lacan'steaching. Initially, it involved a representative usage of the letter, one which implies theproduction of meaning effects. At this moment, the letter and the signifier areindistinguishable. This use of the letter permits one to define psychoanalysis as a practiceof saying-well. Secondly, it involves the letters use of jouissance, which implies theproduction of senseless jouissance. This time, Lacan successfully distinguishes betweenletter and signifier. This use of the letter permits one to define psychoanalysis as a practiceof knowing-how-to-read. As such, saying-well and knowing-how-to-read designate twomodalities for the usage of the letter. The objective of this investigation is thus that ofdemonstrating that psychoanalysis is a practice of the letter.

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