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Les Frontières d’une ethnie des frontières : Les Thaïs-Ko-Kong / The borderlines of the border ethnic group : The Thais of Ko KongBoonwanno, Thanida 04 July 2014 (has links)
Les Thaïs dont il est question dans cette thèse ont été détachés et cédé avec l'ancien territoire siamois de Patchan Khirikhet ou Ko Kong à la colonie française du Cambodge en 1904. En conséquence, des Thaïs sont restés dans le territoire cambodgien de Ko Kong jusqu'à présent. À plusieurs époques, toutefois, les Thaïs-Ko-Kong ont choisi de traverser la frontière afin de rentrer définitivement dans la terre patrie de Thaïlande ; l'époque des Khmers Rouges tout particulièrement a provoqué la plus grande de ces immigrations et une nouvelle dispersion des Thaïs de Ko Kong. La majorité des immigrants thaïs-Ko-Kong a trouvé refuge dans le district de Khlong Yai, dans la province frontalière de Trat. Aujourd'hui, le district thaïlandais de Khlong Yai et la province cambodgienne de Ko Kong sont ainsi l'espace transfrontalier principal des Thaïs-Ko-Kong. Cette recherche a pour le but de répondre à trois questions principales sur l'ethnogenèse des Thaïs-Ko-Kong, les identités dynamiques des Thaïs-Ko-Kong et l'hégémonie des frontières des Thaïs-Ko-Kong. Les Thaïs-Ko-Kong ne sont pas un groupe ethnique, ils sont une « ethnie-frontières », un pseudo groupe ethnique, qui s'est formé par une histoire commune liée à la délimitation des frontières et par l'expérience des immigrations depuis le Cambodge. / The Thai people studied in this research have been separated with the ancient Siamese territory of Patchan Khirikhet or Ko Kong and given to the French colony of Cambodia in 1904. Consequently, they constitute nowadays a Thai ethnic minority in Ko Kong province of Cambodia. From generation to generation, at many occasions the Thais of Ko Kong have decided to cross the borderline to go back to their ancestor's homeland. But the main immigration, the dispersion and the disappearance of many Thais from Ko Kong occurred during the Khmers Rouges period. A majority of the Thai migrants from Ko Kong province have settled down at Khlong Yai district at the extreme East of Trat province, in Thailand. At the present time, Khlong Yai district of Thailand and Ko Kong province of Cambodia are therefore a core trans-boundary area for the Thais of Ko Kong. The aims of this research are at answering three mains questions concerning the ethnogenesis, the dynamic identities of the Thais of Ko Kong and their hegemonic controls of the borderlines and border areas. The Thais of Ko Kong are not an ethnic group. They are an « border ethnic group », a pseudo-ethnic group, who have been formed by their common history of the delimitation of frontiers in 1904 and their migration experiences from Cambodia.
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La qualité de vie durant la période gestationnelle : impact et prise en charge des nausées et des vomissements de la grossesseLacasse, Anaïs January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Demokratische Gemeinschaft trotz ethnischer Differenz : Theorien, Institutionen und soziale Dynamiken /Schlenker-Fischer, Andrea. January 2009 (has links)
Diss. Univ. Berlin, 2007.
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Juventudes governadas : dispositivos de segurança e participação no Guajuviras (Canoas-RS) e em Grigny Centre (França)Damico, José Geraldo Soares January 2011 (has links)
Cette thèse analyse certaines formes de gouvernance de la jeunesse en matière de politiques de sécurité publique, celles-ci étant perçues comme des réponses de l’Etat à l’accroissement et à la généralisation d’un sentiment d’insécurité et de peur dans la société contemporaine. Pour ce faire, j’interroge des pratiques de gouvernementalité qui se manifestent dans les périphéries urbaines - et, en particulier, chez les jeunes qui y habitent - en les considérant comme le résultat d’un changement et d’une intensification de la façon dont l’Etat pratique la gouvernance des conduites. L’approche théorico-méthodologique utilisée ici se situe à l’interface des études de genre, des études culturelles et de l’anthropologie politique, s’appuyant notamment sur des perspectives qui proposent un rapprochement critique avec la théorisation foucaldienne. Le travail s’inscrit donc dans le champ d’une ethnographie post-moderne, à partir d’une combinaison de méthodologies et de modèles d’écriture divers. Pour procéder à mon analyse, j’ai choisi deux terrains de recherche. Le premier a été le quartier Guajuviras, à Canoas, ville de la région métropolitaine de Porto Alegre, dans l’Etat du Rio Grande do Sul, Brésil. Ce quartier accueille des actions du Programa Nacional de Segurança Pública e Cidadania (Pronasci), (Programme National de Sécurité Publique et de Citoyenneté), développées là-bas sous le nom Território de Paz (Territoire de Paix). Le deuxième terrain a été la ville de Grigny Centre, située dans la région métropolitaine de Paris et considérée comme l’une des plus « explosives » de la périphérie parisienne. J’y ai analysé un ensemble d’actions de prévention et de répression de la criminalité dans le cadre des politiques de la ville. Les sources de recherche ont été ainsi constituées : 1) documents officiels de la presse et tracts de diffusion ; 2) récits littéraires, musicaux et filmiques ; 3) annotations des souvenirs de terrain, transcriptions de groupes de discussion et entretiens ; 4) images photographiques. Les différents matériaux ont été analysés dans la perspective d’une analyse culturelle, ancrée dans la théorisation foucaldienne. Il a été possible de mettre en évidence le fait que les politiques de sécurité soient devenues des éléments capitaux dans l’agenda politique des deux pays, avec des propositions de solutions adressées aux jeunes hommes issus, surtout, des groupes considérés en situation de risque et de vulnérabilité sociale. Le Território de Paz au Brésil, se caractérise par une certaine technique de gouvernement. Il organise des activités de manière à (essayer) de réguler la diversité de la vie juvénile. En France, l’Etat procède de manière à criminaliser et à culpabiliser la jeunesse pauvre, arabe et noire, pour des situations considérées auparavant comme de simples incivilités. En ce qui concerne les jeunes et l’élaboration de leurs formes identitaires, fortement traversées par des marqueurs de classe, race et genre au Brésil, et de genre et race / ethnie en France, il a été possible de mettre en exergue une force vitale encore peu valorisée comme puissance de changement : il s’agit de la capacité des jeunes à élaborer des théories sur leurs propres conditions et trajectoires personnelles. En effet, les jeunes perçoivent l’écart entre ce qui leur parait important pour leurs vies et ce que leur proposent ou leur offrent les politiques de l’Etat. / Esta tese analisa determinadas formas de governamento da juventude em políticas de segurança pública, entendendo-as como respostas do Estado à expansão e à generalização de um sentimento de insegurança e medo na sociedade contemporânea. Para isso, discuto práticas de governamentalidade que atingem as periferias urbanas e, de modo particular, os/as jovens que lá habitam, considerando-as como resultados de uma alteração e uma intensificação dos modos como o Estado exerce o governo das condutas. A abordagem teórico-metodológica situa-se na interface dos estudos de gênero, dos estudos culturais e da antropologia política, principalmente as perspectivas que propõem uma aproximação crítica com a teorização foucaultiana; o trabalho posiciona-se no campo de uma etnografia pós-moderna, a partir de uma combinação de metodologias e de modos de escrita. Para efetivar minha análise elegi dois lócus de pesquisa. Um deles foi o bairro Guajuviras, em Canoas, cidade da região metropolitana de Porto Alegre, no Rio Grande do Sul, Brasil. O bairro recebe ações do Programa Nacional de Segurança Pública e Cidadania (Pronasci), ali implementadas com o nome de Território de Paz. O segundo lócus foi a cidade de Grigny Centre, na região metropolitana de Paris, na França, considerada uma das cidades mais “explosivas” entre as periferias parisienses; analisei um conjunto de ações de prevenção e repressão à criminalidade situadas nas politiques de la ville. Constituíram fontes de pesquisa: (i) documentos oficiais, de órgãos de imprensa e panfletos de divulgação; (ii) narrativas literárias, musicais e fílmicas; (iii) anotações das recordações de campo, transcrições de grupos de discussão e entrevistas; (iv) imagens fotográficas. Os materiais foram analisados na perspectiva da análise cultural, ancorada na teorização foucaultiana. Foi possível evidenciar que as políticas de segurança tornaram-se elementos centrais da agenda política dos dois países, com propostas de soluções dirigidas aos jovens homens, principalmente de grupos considerados em situação de risco e vulnerabilidade social. O Território de Paz, no Brasil, se caracteriza como uma tecnologia de governamento. Organiza atividades de modo a (tentar) regular a diversidade da vida juvenil. As ações do Estado francês operam de modo a criminalizar e a culpabilizar a juventude pobre, árabe e negra por situações consideradas anteriormente como simples incivilidades. Com relação às elaborações dos/das jovens e de suas formações identitárias, fortemente atravessadas por marcadores de classe raça e gênero no Brasil, e de gênero e raça/etnia na França, foi possível trazer à tona uma força vital que pouco tem sido valorizada como potência de mudança: trata-se da capacidade dos/das jovens de elaborarem teorias sobre suas próprias condições e trajetórias. Com efeito, os/as jovens reconhecem a disjunção entre o que seria importante nas suas vidas e o que as ações de Estado lhes propõem ou oferecem. / This paper analyses certain forms of “governamentality” of the youth, as far as public security policies are concerned. Such policies are understood as reactions from the State to the expansion and generalization of a feeling of insecurity and fear in contemporary society. To that end, I discuss “governmentality” practices directed to suburban areas and in particular to the youngsters that live there. Such practices result from the intensification of State control over youngster behaviors. The theoretical-methodological approach results from the interaction of gender studies, cultural studies and political anthropology, in particular, the perspectives that maintain a critical proximity with Foucault’s thinking. Hence, this paper is situated in the field of post-modern ethnography resulting from a combination of methodologies and distinct narratives. To carry out my analysis, I have chosen two distinct research locations. One of such locations was the Guajuviras borough in Canoas, in the suburban area of Porto Alegre, Rio Grande do Sul, Brazil. The National Program of Public Security and Citizenship (PRONASCI, from the acronym in Portuguese) carries out actions in Guajuviras borough. Those actions are implemented under the title of Território de Paz (Land of Peace). The second location was the town of Grigny Centre in the suburban area of Paris, France. Grigny Centre is considered one of the “hottest spots” among Paris suburban areas. I carried out the analysis of preventive and repressive measures to combat criminality in the context of politiques de la ville. The research sources employed were the following: (i) official documents, press reports and leaflets; (ii) literature, music and film; (iii) notes from field visits, transcripts of group discussions and interviews; (iv) photos. Such materials were assessed on the basis of the cultural analysis taking into account Foucault theoretical elements. Evidence confirmed that public security policies have become central elements in the political agenda of both countries. Based on that, solutions were proposed aiming at young men in situations of social risk and vulnerability. The Brazilian government initiative Território da Paz constitutes a “governamentality” technology. It organizes its activities (in an attempt) to regulate the diversity of situations in the life of juveniles. The actions by the French State, on the other hand, are carried out in a way that result in criminalizing and generating a sense of guilty in the poor youths of Arab or African origin for actions and situations that in the past were considered only as misdemeanors. As to the rationalizations from young men and women and to their identity construction, they were characterized by markers of class, race and gender in Brazil and, in France, by markers of race/ethnicity. It was possible to bring to the surface a vital energy linked to those rationalizations that has not been properly evaluated as an enabler for change. It represents the potential of young men and women to formulate their own theories regarding their own condition and life trajectories. It is my perception that young men and women acknowledge the existence o what is relevant to their lives and what is proposed or provided by the actions from the State.
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Juventudes governadas : dispositivos de segurança e participação no Guajuviras (Canoas-RS) e em Grigny Centre (França)Damico, José Geraldo Soares January 2011 (has links)
Cette thèse analyse certaines formes de gouvernance de la jeunesse en matière de politiques de sécurité publique, celles-ci étant perçues comme des réponses de l’Etat à l’accroissement et à la généralisation d’un sentiment d’insécurité et de peur dans la société contemporaine. Pour ce faire, j’interroge des pratiques de gouvernementalité qui se manifestent dans les périphéries urbaines - et, en particulier, chez les jeunes qui y habitent - en les considérant comme le résultat d’un changement et d’une intensification de la façon dont l’Etat pratique la gouvernance des conduites. L’approche théorico-méthodologique utilisée ici se situe à l’interface des études de genre, des études culturelles et de l’anthropologie politique, s’appuyant notamment sur des perspectives qui proposent un rapprochement critique avec la théorisation foucaldienne. Le travail s’inscrit donc dans le champ d’une ethnographie post-moderne, à partir d’une combinaison de méthodologies et de modèles d’écriture divers. Pour procéder à mon analyse, j’ai choisi deux terrains de recherche. Le premier a été le quartier Guajuviras, à Canoas, ville de la région métropolitaine de Porto Alegre, dans l’Etat du Rio Grande do Sul, Brésil. Ce quartier accueille des actions du Programa Nacional de Segurança Pública e Cidadania (Pronasci), (Programme National de Sécurité Publique et de Citoyenneté), développées là-bas sous le nom Território de Paz (Territoire de Paix). Le deuxième terrain a été la ville de Grigny Centre, située dans la région métropolitaine de Paris et considérée comme l’une des plus « explosives » de la périphérie parisienne. J’y ai analysé un ensemble d’actions de prévention et de répression de la criminalité dans le cadre des politiques de la ville. Les sources de recherche ont été ainsi constituées : 1) documents officiels de la presse et tracts de diffusion ; 2) récits littéraires, musicaux et filmiques ; 3) annotations des souvenirs de terrain, transcriptions de groupes de discussion et entretiens ; 4) images photographiques. Les différents matériaux ont été analysés dans la perspective d’une analyse culturelle, ancrée dans la théorisation foucaldienne. Il a été possible de mettre en évidence le fait que les politiques de sécurité soient devenues des éléments capitaux dans l’agenda politique des deux pays, avec des propositions de solutions adressées aux jeunes hommes issus, surtout, des groupes considérés en situation de risque et de vulnérabilité sociale. Le Território de Paz au Brésil, se caractérise par une certaine technique de gouvernement. Il organise des activités de manière à (essayer) de réguler la diversité de la vie juvénile. En France, l’Etat procède de manière à criminaliser et à culpabiliser la jeunesse pauvre, arabe et noire, pour des situations considérées auparavant comme de simples incivilités. En ce qui concerne les jeunes et l’élaboration de leurs formes identitaires, fortement traversées par des marqueurs de classe, race et genre au Brésil, et de genre et race / ethnie en France, il a été possible de mettre en exergue une force vitale encore peu valorisée comme puissance de changement : il s’agit de la capacité des jeunes à élaborer des théories sur leurs propres conditions et trajectoires personnelles. En effet, les jeunes perçoivent l’écart entre ce qui leur parait important pour leurs vies et ce que leur proposent ou leur offrent les politiques de l’Etat. / Esta tese analisa determinadas formas de governamento da juventude em políticas de segurança pública, entendendo-as como respostas do Estado à expansão e à generalização de um sentimento de insegurança e medo na sociedade contemporânea. Para isso, discuto práticas de governamentalidade que atingem as periferias urbanas e, de modo particular, os/as jovens que lá habitam, considerando-as como resultados de uma alteração e uma intensificação dos modos como o Estado exerce o governo das condutas. A abordagem teórico-metodológica situa-se na interface dos estudos de gênero, dos estudos culturais e da antropologia política, principalmente as perspectivas que propõem uma aproximação crítica com a teorização foucaultiana; o trabalho posiciona-se no campo de uma etnografia pós-moderna, a partir de uma combinação de metodologias e de modos de escrita. Para efetivar minha análise elegi dois lócus de pesquisa. Um deles foi o bairro Guajuviras, em Canoas, cidade da região metropolitana de Porto Alegre, no Rio Grande do Sul, Brasil. O bairro recebe ações do Programa Nacional de Segurança Pública e Cidadania (Pronasci), ali implementadas com o nome de Território de Paz. O segundo lócus foi a cidade de Grigny Centre, na região metropolitana de Paris, na França, considerada uma das cidades mais “explosivas” entre as periferias parisienses; analisei um conjunto de ações de prevenção e repressão à criminalidade situadas nas politiques de la ville. Constituíram fontes de pesquisa: (i) documentos oficiais, de órgãos de imprensa e panfletos de divulgação; (ii) narrativas literárias, musicais e fílmicas; (iii) anotações das recordações de campo, transcrições de grupos de discussão e entrevistas; (iv) imagens fotográficas. Os materiais foram analisados na perspectiva da análise cultural, ancorada na teorização foucaultiana. Foi possível evidenciar que as políticas de segurança tornaram-se elementos centrais da agenda política dos dois países, com propostas de soluções dirigidas aos jovens homens, principalmente de grupos considerados em situação de risco e vulnerabilidade social. O Território de Paz, no Brasil, se caracteriza como uma tecnologia de governamento. Organiza atividades de modo a (tentar) regular a diversidade da vida juvenil. As ações do Estado francês operam de modo a criminalizar e a culpabilizar a juventude pobre, árabe e negra por situações consideradas anteriormente como simples incivilidades. Com relação às elaborações dos/das jovens e de suas formações identitárias, fortemente atravessadas por marcadores de classe raça e gênero no Brasil, e de gênero e raça/etnia na França, foi possível trazer à tona uma força vital que pouco tem sido valorizada como potência de mudança: trata-se da capacidade dos/das jovens de elaborarem teorias sobre suas próprias condições e trajetórias. Com efeito, os/as jovens reconhecem a disjunção entre o que seria importante nas suas vidas e o que as ações de Estado lhes propõem ou oferecem. / This paper analyses certain forms of “governamentality” of the youth, as far as public security policies are concerned. Such policies are understood as reactions from the State to the expansion and generalization of a feeling of insecurity and fear in contemporary society. To that end, I discuss “governmentality” practices directed to suburban areas and in particular to the youngsters that live there. Such practices result from the intensification of State control over youngster behaviors. The theoretical-methodological approach results from the interaction of gender studies, cultural studies and political anthropology, in particular, the perspectives that maintain a critical proximity with Foucault’s thinking. Hence, this paper is situated in the field of post-modern ethnography resulting from a combination of methodologies and distinct narratives. To carry out my analysis, I have chosen two distinct research locations. One of such locations was the Guajuviras borough in Canoas, in the suburban area of Porto Alegre, Rio Grande do Sul, Brazil. The National Program of Public Security and Citizenship (PRONASCI, from the acronym in Portuguese) carries out actions in Guajuviras borough. Those actions are implemented under the title of Território de Paz (Land of Peace). The second location was the town of Grigny Centre in the suburban area of Paris, France. Grigny Centre is considered one of the “hottest spots” among Paris suburban areas. I carried out the analysis of preventive and repressive measures to combat criminality in the context of politiques de la ville. The research sources employed were the following: (i) official documents, press reports and leaflets; (ii) literature, music and film; (iii) notes from field visits, transcripts of group discussions and interviews; (iv) photos. Such materials were assessed on the basis of the cultural analysis taking into account Foucault theoretical elements. Evidence confirmed that public security policies have become central elements in the political agenda of both countries. Based on that, solutions were proposed aiming at young men in situations of social risk and vulnerability. The Brazilian government initiative Território da Paz constitutes a “governamentality” technology. It organizes its activities (in an attempt) to regulate the diversity of situations in the life of juveniles. The actions by the French State, on the other hand, are carried out in a way that result in criminalizing and generating a sense of guilty in the poor youths of Arab or African origin for actions and situations that in the past were considered only as misdemeanors. As to the rationalizations from young men and women and to their identity construction, they were characterized by markers of class, race and gender in Brazil and, in France, by markers of race/ethnicity. It was possible to bring to the surface a vital energy linked to those rationalizations that has not been properly evaluated as an enabler for change. It represents the potential of young men and women to formulate their own theories regarding their own condition and life trajectories. It is my perception that young men and women acknowledge the existence o what is relevant to their lives and what is proposed or provided by the actions from the State.
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Europeisk identitet – Den obesvarade frågan? : En kvalitativ studie av EU-konstitutionen och Lissabonfördraget ur två identitetsperspektivSvärd, Nils, Jonsson, Magnus E. January 2008 (has links)
Den 13 december 2007 undertecknades ett nytt EU-fördrag i Portugals huvudstad Lissabon. Detta fördrag, kallat Lissabonfördraget, utgör en reviderad form av den EU-konstitution som inte blev godkänd vid folkomröstningar i Frankrike och Nederländerna 2005. Syftet med denna uppsats är att undersöka vilka förändringar som skett under omarbetningen från EUkonstitutionen till Lissabonfördraget. Vidare har uppsatsen för avsikt att förklara de bakomliggande motiven till dessa förändringar ur två olika identitetsperspektiv. Frågorna som initialt fångade vårt intresse var; Varför fick EU dra tillbaka den tilltänkta grundlagen? Hur omfattande var egentligen förändringarna mellan EU-konstitutionen till Lissabonfördraget? Och slutligen, finns det någon europeisk identitet? / On the 13th of December 2007, a new EU-treaty was signed in Portugal’s capital, Lisbon. This treaty, known as the Treaty of Lisbon, is a revised form of the old European Constitution that was turned down in referendums in France and The Netherlands in 2005. Our aim with this thesis is to examine the changes during the revision from the European Constitution to the Treaty of Lisbon. Furthermore in this thesis we have the intention to explain the underlying motives from two perspectives of identity. The questions that initially captured our interest were; Why did the EU pull back from the European Constitution? How comprehensive are the changes from the European Constitution to the Treaty of Lisbon? And finally, is there any such thing as European identity?
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Juventudes governadas : dispositivos de segurança e participação no Guajuviras (Canoas-RS) e em Grigny Centre (França)Damico, José Geraldo Soares January 2011 (has links)
Cette thèse analyse certaines formes de gouvernance de la jeunesse en matière de politiques de sécurité publique, celles-ci étant perçues comme des réponses de l’Etat à l’accroissement et à la généralisation d’un sentiment d’insécurité et de peur dans la société contemporaine. Pour ce faire, j’interroge des pratiques de gouvernementalité qui se manifestent dans les périphéries urbaines - et, en particulier, chez les jeunes qui y habitent - en les considérant comme le résultat d’un changement et d’une intensification de la façon dont l’Etat pratique la gouvernance des conduites. L’approche théorico-méthodologique utilisée ici se situe à l’interface des études de genre, des études culturelles et de l’anthropologie politique, s’appuyant notamment sur des perspectives qui proposent un rapprochement critique avec la théorisation foucaldienne. Le travail s’inscrit donc dans le champ d’une ethnographie post-moderne, à partir d’une combinaison de méthodologies et de modèles d’écriture divers. Pour procéder à mon analyse, j’ai choisi deux terrains de recherche. Le premier a été le quartier Guajuviras, à Canoas, ville de la région métropolitaine de Porto Alegre, dans l’Etat du Rio Grande do Sul, Brésil. Ce quartier accueille des actions du Programa Nacional de Segurança Pública e Cidadania (Pronasci), (Programme National de Sécurité Publique et de Citoyenneté), développées là-bas sous le nom Território de Paz (Territoire de Paix). Le deuxième terrain a été la ville de Grigny Centre, située dans la région métropolitaine de Paris et considérée comme l’une des plus « explosives » de la périphérie parisienne. J’y ai analysé un ensemble d’actions de prévention et de répression de la criminalité dans le cadre des politiques de la ville. Les sources de recherche ont été ainsi constituées : 1) documents officiels de la presse et tracts de diffusion ; 2) récits littéraires, musicaux et filmiques ; 3) annotations des souvenirs de terrain, transcriptions de groupes de discussion et entretiens ; 4) images photographiques. Les différents matériaux ont été analysés dans la perspective d’une analyse culturelle, ancrée dans la théorisation foucaldienne. Il a été possible de mettre en évidence le fait que les politiques de sécurité soient devenues des éléments capitaux dans l’agenda politique des deux pays, avec des propositions de solutions adressées aux jeunes hommes issus, surtout, des groupes considérés en situation de risque et de vulnérabilité sociale. Le Território de Paz au Brésil, se caractérise par une certaine technique de gouvernement. Il organise des activités de manière à (essayer) de réguler la diversité de la vie juvénile. En France, l’Etat procède de manière à criminaliser et à culpabiliser la jeunesse pauvre, arabe et noire, pour des situations considérées auparavant comme de simples incivilités. En ce qui concerne les jeunes et l’élaboration de leurs formes identitaires, fortement traversées par des marqueurs de classe, race et genre au Brésil, et de genre et race / ethnie en France, il a été possible de mettre en exergue une force vitale encore peu valorisée comme puissance de changement : il s’agit de la capacité des jeunes à élaborer des théories sur leurs propres conditions et trajectoires personnelles. En effet, les jeunes perçoivent l’écart entre ce qui leur parait important pour leurs vies et ce que leur proposent ou leur offrent les politiques de l’Etat. / Esta tese analisa determinadas formas de governamento da juventude em políticas de segurança pública, entendendo-as como respostas do Estado à expansão e à generalização de um sentimento de insegurança e medo na sociedade contemporânea. Para isso, discuto práticas de governamentalidade que atingem as periferias urbanas e, de modo particular, os/as jovens que lá habitam, considerando-as como resultados de uma alteração e uma intensificação dos modos como o Estado exerce o governo das condutas. A abordagem teórico-metodológica situa-se na interface dos estudos de gênero, dos estudos culturais e da antropologia política, principalmente as perspectivas que propõem uma aproximação crítica com a teorização foucaultiana; o trabalho posiciona-se no campo de uma etnografia pós-moderna, a partir de uma combinação de metodologias e de modos de escrita. Para efetivar minha análise elegi dois lócus de pesquisa. Um deles foi o bairro Guajuviras, em Canoas, cidade da região metropolitana de Porto Alegre, no Rio Grande do Sul, Brasil. O bairro recebe ações do Programa Nacional de Segurança Pública e Cidadania (Pronasci), ali implementadas com o nome de Território de Paz. O segundo lócus foi a cidade de Grigny Centre, na região metropolitana de Paris, na França, considerada uma das cidades mais “explosivas” entre as periferias parisienses; analisei um conjunto de ações de prevenção e repressão à criminalidade situadas nas politiques de la ville. Constituíram fontes de pesquisa: (i) documentos oficiais, de órgãos de imprensa e panfletos de divulgação; (ii) narrativas literárias, musicais e fílmicas; (iii) anotações das recordações de campo, transcrições de grupos de discussão e entrevistas; (iv) imagens fotográficas. Os materiais foram analisados na perspectiva da análise cultural, ancorada na teorização foucaultiana. Foi possível evidenciar que as políticas de segurança tornaram-se elementos centrais da agenda política dos dois países, com propostas de soluções dirigidas aos jovens homens, principalmente de grupos considerados em situação de risco e vulnerabilidade social. O Território de Paz, no Brasil, se caracteriza como uma tecnologia de governamento. Organiza atividades de modo a (tentar) regular a diversidade da vida juvenil. As ações do Estado francês operam de modo a criminalizar e a culpabilizar a juventude pobre, árabe e negra por situações consideradas anteriormente como simples incivilidades. Com relação às elaborações dos/das jovens e de suas formações identitárias, fortemente atravessadas por marcadores de classe raça e gênero no Brasil, e de gênero e raça/etnia na França, foi possível trazer à tona uma força vital que pouco tem sido valorizada como potência de mudança: trata-se da capacidade dos/das jovens de elaborarem teorias sobre suas próprias condições e trajetórias. Com efeito, os/as jovens reconhecem a disjunção entre o que seria importante nas suas vidas e o que as ações de Estado lhes propõem ou oferecem. / This paper analyses certain forms of “governamentality” of the youth, as far as public security policies are concerned. Such policies are understood as reactions from the State to the expansion and generalization of a feeling of insecurity and fear in contemporary society. To that end, I discuss “governmentality” practices directed to suburban areas and in particular to the youngsters that live there. Such practices result from the intensification of State control over youngster behaviors. The theoretical-methodological approach results from the interaction of gender studies, cultural studies and political anthropology, in particular, the perspectives that maintain a critical proximity with Foucault’s thinking. Hence, this paper is situated in the field of post-modern ethnography resulting from a combination of methodologies and distinct narratives. To carry out my analysis, I have chosen two distinct research locations. One of such locations was the Guajuviras borough in Canoas, in the suburban area of Porto Alegre, Rio Grande do Sul, Brazil. The National Program of Public Security and Citizenship (PRONASCI, from the acronym in Portuguese) carries out actions in Guajuviras borough. Those actions are implemented under the title of Território de Paz (Land of Peace). The second location was the town of Grigny Centre in the suburban area of Paris, France. Grigny Centre is considered one of the “hottest spots” among Paris suburban areas. I carried out the analysis of preventive and repressive measures to combat criminality in the context of politiques de la ville. The research sources employed were the following: (i) official documents, press reports and leaflets; (ii) literature, music and film; (iii) notes from field visits, transcripts of group discussions and interviews; (iv) photos. Such materials were assessed on the basis of the cultural analysis taking into account Foucault theoretical elements. Evidence confirmed that public security policies have become central elements in the political agenda of both countries. Based on that, solutions were proposed aiming at young men in situations of social risk and vulnerability. The Brazilian government initiative Território da Paz constitutes a “governamentality” technology. It organizes its activities (in an attempt) to regulate the diversity of situations in the life of juveniles. The actions by the French State, on the other hand, are carried out in a way that result in criminalizing and generating a sense of guilty in the poor youths of Arab or African origin for actions and situations that in the past were considered only as misdemeanors. As to the rationalizations from young men and women and to their identity construction, they were characterized by markers of class, race and gender in Brazil and, in France, by markers of race/ethnicity. It was possible to bring to the surface a vital energy linked to those rationalizations that has not been properly evaluated as an enabler for change. It represents the potential of young men and women to formulate their own theories regarding their own condition and life trajectories. It is my perception that young men and women acknowledge the existence o what is relevant to their lives and what is proposed or provided by the actions from the State.
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The “Good” Citizen and Civic (In)Action: A Rhetorical Analysis of the Naturalization Process in the United StatesFedeczko, Wioleta 26 April 2010 (has links)
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La nation à l'épreuve de la diversité ethnoculturelle : étude comparative France / Etats-Unis / Nation facing ethnocultural diversity : a comparative study between France and United-StatesKolo Favoreu, Edith 04 December 2012 (has links)
Quelle nation se cache derrière les nations française et américaine ? Aux prises avec la diversité ethnoculturelle de leurs populations, ces deux entités nationales semblent à la fois fortifiées et fragilisées par cette hétérogénéité intrinsèque. Dans ce cadre, la place du droit, source et objet de gestion, se pose avec acuité, ambitionnant l'articulation entre le développement de la nation en tant qu'unité de référence et le respect de la diversité en tant que reconnaissance des identités différenciées. La France et les Etats-Unis, Etats-nations républicains, sont souvent présentés comme deux archétypes ayant engendré des modèles sociaux, politiques et juridiques antagoniques ou en tout cas différents. Toutefois, on peut considérer que loin d'être opposables, les deux pays ont développé une approche juridique similaire de la diversité ethnoculturelle dans le cadre national. L'histoire de la construction nationale dans les deux cadres de référence montre le développement empirique de ces nations avec et par la diversité. Ainsi, en France comme aux Etats-Unis, l'appréhension des différenciations des origines et des statuts des personnes a induit une prise en considération normative, consacrant un ancrage de la diversité dans le système juridique. L'articulation des principes républicains fondateurs des deux nations couplé à la diversité, a généré un système complexe oscillant entre différentialisme et aveuglement aux différences. Néanmoins, l'analyse des référentiels français et américain questionne la nécessité d'une reconnaissance juridique accrue de la diversité ethnoculturelle en tant que condition de l'unité nationale / On observing France and the USA, a question arises: what kind of nation lies behind each? For both, inherent heterogeneousness leads to ethnic and cultural issues which are sources of strength but also of weakness. Here, the law both as a source and a tool appears to accurately link together the nations' development and the respect of diversity. Therefore, when analyzing the French and American models it is necessary to acknowledge within the extents and constraints of the law the ethnocultural diversity as a condition of national unity. France and the USA, who are both nations and republics, are often presented as examples of two specific nations that have created two opposite or at least different models of societies, politics and legal systems. Nevertheless, they do not appear as different when considering their legal models since they have created similar approaches to ethnocultural diversity within a national system. The French and American legal models referring to ethnic and cultural diversity lead us to consider the development of these two nations with and through diversity. The difference of origins and status has led to setting a standard of diversity in the law system. Even if diversity is not a stated constitutional principle, it had become an implicit canon. As one result, the founding republican principles of these two nations have been integrated over the last decade into a complex legal system vacillating between considering and refusing differences. In this sense, we can argue that taking into account diversity helps the improvement of a nation's unity by redefining the social contract
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Frontières et limites à Djibouti durant la période coloniale (1884-1977)Imbert-Vier, Simon 24 November 2008 (has links) (PDF)
A partir de l'identification de plusieurs frontières de l'espace djiboutien (auparavant Côte française des Somalis, puis Territoire français des Afars et des Issas), nous revisitons l'histoire coloniale de Djibouti sous l'angle de la fabrication des territoires. Nous étudions particulièrement cinq frontières que l'on peut tracer sur une carte : les limites ethniques, les limites internes, les frontières internationales terrestres, le corridor ferrovaire et les frontières maritimes. Nous étudions comment ces différentes frontières ont été découvertes ou inventées à Djibouti, dans le cadre général de la formation des espaces dans la Corne de l'Afrique au XIXe siècle, puis comment elles ont été réalisées. Nous analysons les évolutions - dont l'éventuelle consolidation - de ces frontières jusqu'à l'indépendance. Enfin nous en étudions les conséquences et répercussions, en particulier la coercition qu'elles exercent, directement ou indirectement, sur les habitants.
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