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1933 : les circonstances expliquant la mise au pas de l'Allemagne

Fournier, Nicolas January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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La politique russe de l'Allemagne sous la chancellerie de Gerhard Schröder : vers un partenariat renforcé ?

Péladeau-Lefebvre, Bryan January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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L’identité nationale et la migration – ‘les liaisons dangereuses’. La politique d’immigration en Pologne

Karnaszewska, Katarzyna 10 1900 (has links)
La Pologne, pendant des décennies pays d’émigration, accueille depuis une dizaine d’années de plus en plus d’immigrants et se transforme en pays d’immigration. D’un côté, elle semble avoir besoin de main d’œuvre, de l’autre elle se refuse d’adopter des politiques migratoires régissant le statut des migrants temporaires et des immigrants permanents. Pourtant, afin de répondre aux défis économiques, sociopolitiques et identitaires posés par des flux migratoires stimulés par la mondialisation, les aspirations économiques et les crises humanitaires, la plupart de ses voisins à l’ouest développent des systèmes migratoires. Nous constatons que malgré l’occurrence de problèmes similaires liés aux migrations en Europe de l’Est, à ce jour seule la République tchèque s’est prévalue d’un système migratoire, y compris d’un programme d’intégration des immigrants permanents. Qu’est-ce qui freine la Pologne de se prévaloir de mécanismes permettant de faire face à l’afflux grandissant des immigrants? Pour comprendre la question nous comparons la Pologne à la République tchèque - deux pays similaires dont le résultat en matière des systèmes migratoires diffère. La littérature met de l’avant trois facteurs explicatifs de l’adoption ou pas des systèmes migratoires par les États: les besoins économiques, sociopolitiques et les questions identitaires. Nous analysons ces trois éléments dans les deux cas choisis et posons comme hypothèse que c’est le facteur de l’identité nationale qui ralenti le développement du système migratoire en Pologne. En effet, notre recherche démontre que les facteurs économiques et sociopolitiques sont similaires en République tchèque et en Pologne, alors que le facteur identitaire marque la différence. Bien que la Pologne soit entrée dans l’UE et que son essor économique progresse depuis les vingt dernières années, il semble que l’identité nationale et le projet politique de préserver un État-nation soient des obstacles au développement d’un système migratoire ouvert à l’accueil des immigrants permanents. L’importance du facteur identitaire pour les politiques migratoires est montrée à travers l’analyse de la littérature, des sondages d’opinion publique et des sténogrammes parlementaires, ainsi que de quatre entrevues semi-structurées que nous avons menées avec des représentants du gouvernement polonais et des organismes non gouvernementaux. / As an emigration country for decades, Poland has been receiving more and more immigrants during the past ten years and is transforming into a country of immigration. On the one hand, it seems that the country needs labour migration; on the other hand it refuses to adopt migration policies regulating the status of temporary migrants and permanent immigrants. However, most of its western neighbours have developed migration systems in order to meet the economic, social, political and identity challenges resulting from globalized migration movements, economic aspirations and humanitarian crises. We note that despite the occurrence of similar problems related to migration in Eastern Europe, so far only the Czech Republic has adopted a genuine migration system, including an integration programme for permanent immigrants. What prevents Poland from adopting formal measures to cope with the growing influx of immigrants? To understand this situation we compare Poland to the Czech Republic - two similar countries with different positions towards migration systems. The academic literature puts forward three factors explaining the adoption (or not) of migration systems by States: economic, socio-political and identity. We analyze these three elements in the two selected cases and hypothesize that it is the factor of national identity which slowed the development of a migration system in Poland. Indeed, our research shows that the economic and socio-political factors are similar in both the Czech Republic and Poland, while the identity factor marks the difference. Although Poland has joined the EU and has enjoyed economic progress over the past twenty years, it seems that national identity and the political project of preserving the nation-state are obstacles to the development of an open migration system focused on the reception of permanent immigrants. The importance of the identity factor for migration policies is shown through analysis of the academic literature, surveys of public opinion and parliamentary transcripts, as well as four semi-structured interviews that we conducted with representatives of the Polish government and non-governmental organizations.
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La presse française et l’adhésion de la Grande-Bretagne à la CEE : des refus à l’acceptation (1961-1973)

Morin-Gagnon, Renaud 01 1900 (has links)
À la suite de la Seconde Guerre mondiale, l’Europe est affaiblie et divisée. Les horreurs de la guerre amènent les Européens à repenser leur cohabitation et l’idée d’une Europe, unie par des liens économiques et politiques forts, germe dans l’esprit des Européens. Ils créent alors la CECA en 1951 puis, sept ans plus tard, la Communauté économique européenne. Puisque cette dernière aura du succès, certains pays européens, dont la Grande-Bretagne, demandent à la rejoindre. La France d’alors, sous la présidence de Charles de Gaulle, s’oppose à cette demande d’adhésion à deux reprises, en 1963 et en 1967. Il faut attendre l’arrivée de Georges Pompidou à l’Élysée pour que Londres intègre la CEE. L’élargissement de la Communauté est un évènement important; il a un impact direct sur le rôle de la France en Europe et dans le monde. Il a également une incidence certaine sur le rôle de l’Europe dans le monde bipolaire de l’époque, ainsi que sur ses relations avec l’allié américain. La presse des pays concernés suivra ces évènements avec intérêt, telle la presse quotidienne française, qui commente abondamment les décisions prises par son gouvernement. Le présent mémoire, qui étudie certains journaux d’importance à la lumière des ouvrages d’érudition et des sources primaires, analyse thématiquement la position de journaux français de diverses tendances politiques sur la politique française au cours des trois demandes. / Following the Second World War, Europe was divided and weak. The horrors of war forced Europeans to rethink how to co-exist and the idea of a united Europe with strong economical and political ties grew among them. The ECSC was created in 1951 and then, seven years later, the European Economic Community. When the latter succeeded, some European countries, like Great Britain, asked to join. France, and its president Charles de Gaulle, objected to the British application on two occasions, in 1963 and in 1967. London had to wait for the arrival of a new French president, Georges Pompidou, to be officially accepted in the EEC. The enlargement of the Community was an important event because it had an impact on France’s role in Europe and in the world. It also influenced Europe’s role in the then bipolar world and on its relations with the United States. The national press of the countries involved covered the events surrounding the enlargement with interest. The French daily press commented on them at length. Using both historical studies and primary sources, this thesis thematically analyzes the views of French newspaper of different political horizons on French policy surrounding the three British applications.
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La politique entre réforme et révolution : le sens de la position kantienne / Politics between reform and revolution : the meaning of the kantian position

Ferrié, Christian 14 September 2012 (has links)
La pensée politique moderne a admis la dichotomie entre réforme et révolution. Le réformisme en a fait un principe qui domine actuellement les esprits. Mais la politique n’est-elle pas irrémédiablement partagée entre révolution et réforme ? La politique de Kant constitue un paradigme idéal pour poser le problème du rapport entre réforme et révolution. A l’initiative de Burke, l’opposition moderne entre réforme et révolution se forme à cette époque en réaction aux révolutions en Europe. Kant accepte bien l’opposition entre la réforme entreprise par le souverain et la révolution accomplie par le peuple. Mais sa sympathie bien connue pour la Révolution française l’amène à élaborer une politique pragmatique qui prend en compte les conditions historico-politiques de l’application des principes républicains défendus par la Révolution. Animé par un esprit révolutionnaire, le réformisme kantien entend réussir le processus politique de la républicanisation par le moyen de la réforme, tout en rendant justice à la nécessité du processus naturel de la révolution qui réagit à l’oppression de la liberté. Selon le philosophe de la Révolution, la réforme (révolutionnaire) accomplit la révolution. Pour le montrer, il faut réinscrire la politique de Kant dans son temps. La partie I en précise le contexte historique et sémantique : la réfutation kantienne du droit de rébellion est dirigée contre les monarchomaques ; l’articulation kantienne de la réforme à la révolution s’inscrit dans la lignée du consensus entre réforme et révolution mise en place par les Lumières. La partie II retrace la mise en place de la dichotomie « réformiste » entre réforme et révolution par les burkiens allemands : ils opposent à la violence destructrice de la Révolution l’option d’une réforme conservatrice qui se contente d’améliorer ponctuellement les institutions monarchiques. Kant, en revanche, se révèle être le théoricien secret d’une réforme révolutionnaire qui bouleverse le système monarchique de fond en comble : pour le montrer, la partie III décrypte l’esprit révolutionnaire de sa politique. / Modern political thought has admitted the dichotomy between reform and revolution. Reformism has turned it into a principle that currently dominates our minds. But isn't politics irremediably torn between reform and revolution?Kant's politics is an ideal paradigm to pose the problem of the relation between reform and revolution. At Burke's initiative, the modern opposition between reform and revolution is formed at that time as a reaction to the revolutions in Europe. Kant accepts the opposition between reforms adopted by the sovereign and the revolution done by the people. But his well-known sympathy for the French Revolution leads him to elaborate a pragmatic political philosophy that takes into account the historico-political conditions of the implementation of the republican principles defended by the Revolution. Stimulated by a revolutionary spirit, Kantian reformism means to successfully establish the political process of republicanisation thanks to reform, while doing justice to the necessity of the natural process of the revolution which reacts to the oppression of liberty. According to the philosopher of the Revolution, (revolutionary) reform accomplishes the revolution.So as to show it, one must place Kant's politics in his time. Part I makes clear its historical and semantic context: the Kantian refutation of the right to rebel is directed against the Monarchomachists; the Kantian way of articulating reform to revolution is inscribed in the tradition of a consensus between reform and revolution implemented by the Enlightenment. Part II charts the creation of the 'reformist' dichotomy between reform and revolution by German Burkians: rather than the destructive violence of the Revolution, they opted for a conservative reform that managed only to bring about ad hoc improvements to the monarchic institutions. Kant, on the contrary, turns out to be the secret theoretician of a revolutionary reform which totally upsets the monarchic system: to show this, part III deciphers the revolutionary spirit of his political thought.
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Les résistances à la République dans le coeur de la Gascogne (Gers, Landes, Lot-et-Garonne) de 1870 à 1914 / Resistances to the Republic in the heartland of Gascony (the Gers, the Landes and the Lot-et-Garonne) between 1870 and 1914

Piot, Céline 11 July 2013 (has links)
De nombreux travaux tendent à prouver que les départements situés au coeur de la Gascogne (c’est-à-dire ceux du Gers, des Landes et du Lot-et-Garonne) n’ont pas à subir de fortes résistances contre la République entre 1870 et 1914. Un rapide examen du tableau politique de ces trois départements montre en effet que les électeurs adhèrent progressivement aux idées républicaines – bien que le rythme soit différent d’une zone à l’autre –, mais doit-on se satisfaire de généralités ? Une étude plus spécifique, confrontant les sources nationales aux sources régionales et utilisant des sources de diverses natures confirmera-t-elle ou, au contraire, nuancera-t-elle, voire infirmera-t-elle, ce schéma d’une Gascogne précocement républicaine et peu encline aux résistances venues tant des conservateurs que de l’extrême gauche ?La première partie, portant sur un état des lieux dans les années 1870, permet de montrer que les conservateurs, bien que divisés, sont encore puissants. Sont ainsi présentées les cultures politiques antirépublicaines en expliquant quels sont leurs moyens de lutte tels que la presse et les réseaux de sociabilité (cercles et sociétés). L’univers agricole est l’un des terrains de prédilection des droites, en particulier de la culture traditionaliste. Mais cette influence se traduit-elle lors des temps électoraux ? À partir de la décennie 1880, et c’est l’objet de la deuxième partie, à l’enracinement durable de la IIIe République répond cependant, dans un illusoire écho, le lent déclin des conservateurs. En Gascogne, de nombreuses personnalités continuent toutefois d’exercer une autorité politique et culturelle par le biais de diverses sociétés, par la presse et le mouvement félibréen. Les espoirs du rétablissement de la monarchie ou de l’Empire, sans s’éteindre, sont néanmoins fortement déçus et les crises nationales (le boulangisme, l’affaire Dreyfus, la tentative de coup d’État de Déroulède…) n’ébranlent pas l’ancrage républicain ; au contraire, elles le renforcent. N’empêche que, dans la période 1890/1914, les résistances à la République prennent d’autres formes et certaines structures, que l’on croyait en Gascogne jusqu’alors réservées aux années vingt, apparaissent déjà. Le paysage politique se recompose sous l’effet de l’évolution droitière du nationalisme, puis du Ralliement qui divise les droites. À cela, vient s’ajouter l’opposition de l’extrême gauche. D’autre part, les revendications culturelles liées au mouvement félibréen deviennent plus fortement politiques, et laGascogne est à son tour ébranlée par les idées de fédéralisme et de décentralisation qui constituent des outils dans les mains des droites afin de lutter contre le régime républicain. Le clergé continue de combattre les lois scolaires et mène une contre-offensive, souvent minimisée et pourtant réelle. / A considerable amount of studies tend to reach the same conclusion, namely that the Departments situated in the heartland of Gascony (the Gers, the Landes and the Lot-et-Garonne) offered little resistance to the Republican ideal between 1870 and 1914. What little resistance there was, was not enough to overthrow the Republic. A cursory examination of the political picture of the three departments shows that voters adhered progressively to Republican ideas; even if the rate at which this occurred varied from one area to another. But can we be satisfied with this general overview ? Is this confirmed by a more in-depth study comparing national and local figures ? Was Gascony really an early day Republic, little given to contestation either from conservatives or the extreme leftThe first part (which deals with the state of the nation in the 1870’s) shows that the conservatives, albeit divided, were still powerful. Their antirepublican faction was empowered through channels of the local press and regional societies. The agricultural faction is traditionally a right wing preserve but is this really translated into a right wing vote at elections ? As from the decade of the 1880’s, the IIIe Republic took root and at the same time the conservatives declined slowly. This is the subject of the second part. In Gascony, however, a number of local dignitaries continued to wield political and cultural power through societies, the press and the felibreen movement. Although hopes of restoring the Monarchy or the Empire were never completely extinguished, they were nevertheless sevenly dampened. National crises (the boulangism, the Dreyfus affair, the attempted coup d’Etat of Déroulède…) reinforced the Republic instead of overthrowing it. In the period from 1890 to 1914, forms of resistance to the Republic were put in place which are usually associated with the 1920’s. The right wing tendency in nationalism is at first reinforced and then the right wing is divided by the Ralliement. The extreme left makes itself felt more forcefully. Added to this the cultural revendications linked to the felibreen movement become more politically based and Gascony is gripped by federalist and decentralising ideas which are tools of the right against the Republican regime. Clerics continue to fight laws governing schools and lead a counter offensive which has often been minimised but is nevertheless a force to be reckoned with.
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Les municipalités rémoises de 1919 à 1959 / The municipalities of Reims from 1919 to 1959

Royer, Michel 28 November 2011 (has links)
De 1919 à 1939, les municipalités rémoises sont marquées par la domination des radicaux, alliés d'abord à la SFIO puis ensuite à la droite et largement dominées par la personnalité de Paul Marchandeau. Après 1945, la situation apparaît beaucoup plus fluctuante. De 1945 à 1959 on a affaire à des municipalités fragiles qui voient se succéder à leur tête successivement un communiste, un RPF, un radical et deux MRP. C’est là le résultat cumulé du scrutin proportionnel et de l’isolement du PCF qui fait que les majorités ne peuvent se constituer qu’entre les partis non communistes aux rivalités incessantes. Mais les municipalités, ce sont aussi des individus. Deux générations d’édiles peuvent être individualisées. Celle de l’entre-deux-guerres qui vieillit progressivement en fonctions, sans se renouveler, et celle de la Quatrième République qui connaît un renouvellement plus important et apparaît davantage en phase avec la société rémoise des années 1950. / From 1919 to 1939, the municipalities of Reims were marked by the domination of radical party allied to the SFIO and then to the right and largely dominated by the personality of Paul Marchandeau. After 1945 the situation appeared much more variable. From 1945 to 1959 we are dealing with fragile municipalities headed successively by a communist, an RPF, a radical and two members of MRP. This is the cumulative result of proportional representation and isolation of the FPC which led to the fact that majorities could be formed only between the non-communist parties in which was incessant rivalry.. But municipalities are represented by individuals. Two generations of councilors can be individualized. The one that was in office between the two world wars who remained in office without any significant change and the one of the Fourth Republic, who experienced a larger renewal and appeared to be more in line with the Reims society of the time.
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L’armée de l’air et l’innovation technologique (1945-1966) / The French Air Force and Technological Innovation, 1945-1966

Champonnois, Sylvain 12 October 2012 (has links)
De 1945 à 1966, l’évolution de l’armée de l’air française dépend en grande partie des innovations technologiques. L’objet de la présente thèse est d’expliquer comment elle a été capable, technologiquement et structurellement, de passer d’une situation où elle est jugée désuète à une situation dans laquelle elle se tient en tête du dispositif de défense nationale et se positionne comme la troisième force aérienne mondiale. Nous identifions trois périodes essentielles dans la mutation de son expertise technologique. De 1945 à 1950, elle relève plusieurs défis, à l’image de l’intensification des transferts technologiques, de l’aviation à réaction, dans le contexte naissant de la guerre froide. Pour la période 1951-1958, elle suit un cycle de modernisation accélérée malgré les guerres coloniales, sous l’impulsion de l’aide aide américaine, à l’image du développement de programmes aéronautiques et de l’utilisation de missiles. Enfin, de 1959 à 1966, l’armée de l’air s’adapte aux stratégies et aux armes nouvelles dont le nucléaire. Cette période clé aboutit à l’entrée en service du système d’armes stratégique piloté Mirage IV, dans un environnement marqué par de multiples mutations structurelles et par la sortie du commandement militaire intégré de l’OTAN. / From 1945 to 1966, the evolution of the French Air Force largely depends on technological innovations. The aim of this thesis is to analyze how it became able – both technologically and structurally – to pass from a situation in which it was considered as an old-fashioned entity to the head of the national defense system, thus establishing itself as the third Air Force power. To do so, we identify three essential periods, which illustrate its shift to develop progressively its technological expertise. From 1945 to 1950, it meets several challenges such as technological transfers and jet-powered planes in the early years of the Cold War. From 1951 until 1958, it follows a fast modernization trend in spite of the Colonial Wars, as depicted through the development of aeronautical programs and the use of missiles, in a context of American Help. From 1959 to 1966, the French Air Force then adapts to both nuclear-based weapons and strategies, such as piloted strategic armament systems Mirage IV and structural transfers taken out of the military command integrated by NATO.
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Institutions nationales ou interculturelles ? Analyse de la programmation d'instituts culturels d'Europe centrale à Berlin et Paris à l'aube du 21ème siècle / National or intercultural institutions? analysis of the programms of east european cultural institutes in berlin and paris in the early 21st century / Nationale oder interkulturelle Institutionen? Analyse der Programmarbeit osteuropäischer Kulturinstitute in Berlin und Paris zu Beginn des 21. Jahrhunderts

Lisack, Gaëlle 28 March 2013 (has links)
À l'occasion de l'élargissement de l'Union européenne à dix pays en 2004, il s'est avéré nécessaire d'approfondir le dialogue interculturel entre les pays membres. Les instituts culturels nationaux à l’étranger font partie des structures étatiques susceptibles de porter ce dialogue. En effet, présentant la culture de leur pays à l’extérieur de leurs frontières, ces institutions se prêtent – et c’est là leur spécificité et l’une de leur raison d’être – à la rencontre et l’échange direct entre des représentants de différentes cultures. Cependant les critiques à l’encontre de ces institutions ne manquent pas à l’aube du vingt et unième siècle. La Pologne, la Slovaquie, la République tchèque et la Hongrie ont fait le choix, après la remise en cause du principe même d'une politique culturelle étrangère au début des années 1990, de conserver les instituts culturels qu’ils avaient dans les capitales française et allemande et, le cas échéant, d’en créer. Dans quelle mesure les instituts culturels polonais, slovaques, tchèques et hongrois à Paris et à Berlin s’attachent-ils, dans les années précédant et suivant l’entrée de leur pays dans l’Union européenne, à se positionner comme lieu de dialogue interculturel – ce qui leur permettrait de jour un rôle moteur dans le processus d'intégration européenne ? L’analyse repose sur une étude empirique jusqu’alors non existante des objectifs, de la mise en œuvre et de la réception par le public de la programmation de ces institutions entre 2000 et 2008. À partir des résultats, ce travail propose des pistes de réflexion sur l'orientation future de ces institutions. / The enlargement of the European Union to include an additional ten countries in 2004 required a deepening of the intercultural dialogue among member states. National cultural institutes abroad are part of the public structures able to carry up this dialogue. Presenting abroad the culture of their country, these institutions are indeed well suited – it is their specificity and essential purpose – for encounter and direct exchange between representatives of various cultures. Nonetheless, these institutions face many critics in the early 21st century. After questioning the principle of a foreign cultural policy itself in the early 1990’s, Poland, Slovakia, Czech Republic and Hungary have chosen to keep the cultural institutes they had in the French and German capitals and, if needed, to create some more. To what extent did Polish, Slovak, Czech and Hungarian cultural institutes in Paris and Berlin, position themselves as a place of intercultural dialogue in the years preceding and following the accession of these countries to the European Union, thus allowing them to be a driving force in the European integration process? The analysis relies on a previously unavailable empirical study of objectives, implementation and reception by the audience of the program of these institutions between 2000 and 2008. Building on the results, this work suggests lines of enquiry regarding the future orientation of these institutions.
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La diplomatie romaine : histoire et représentations (396-264 avant J.-C.) / Roman Diplomacy : History and Representation (396-264 B.C.)

Stouder, Ghislaine 12 November 2011 (has links)
La diplomatie romaine de l’époque médio-républicaine (396-264 avant J.-C.), c’est-à-dire au moment de la conquête de l’Italie, est connue essentiellement à travers les sources littéraires. Pour autant, il n’existe pas dans ces textes, un terme servant à désigner l’activité diplomatique. Afin de cerner un phénomène auquel ne correspond aucun terme antique, il faut donc revenir au regard des historiens modernes, des Byzantins et des historiens antiques. On constate ainsi que l’identité romaine est au cœur des enjeux diplomatiques, dans la manière dont elle fut reconstruite. L’histoire diplomatique de la période ne démontre pas autre chose : les Romains de cette époque eurent parfaitement conscience de la manière dont ils devaient se représenter aux yeux de leurs interlocuteurs, à savoir comme des Grecs, avant d’affirmer une identité plus particulièrement romaine. Enfin, l’histoire de la diplomatie ou, pour le dire autrement, de ses pratiques montre que les Romains cherchèrent à forger une identité aux yeux des autres autant que d’eux-mêmes. À une époque de changements et d’évolutions des institutions romaines, en adéquation avec les nouvelles frontières de l’imperium, les modes de gestion de la prise de décision entre l’extérieur et l’intérieur, entre le centre et la périphérie de l’hégémonie romaine, le protocole même de réception à Rome ainsi que la constitution d’un espace diplomatique, la figure de l’ambassadeur enfin, du fetialis au legatus, constituent autant d’éléments qui participèrent de l’affirmation d’une identité civique romaine. / The Roman diplomacy during the medio-republican period (396-264 B.C.), that is to say while Romans were conquering Italy, is mostly known through litterary sources. Nevertheless, there is no word, in this documentation, to name diplomatic activity. In order to define a phenomenon without specific ancient terminology, we have to successively look at the way modern historians, Byzantine scholars and ancient historians understand it. We thus discover that roman identity is a central issue in diplomacy and in the way it was written. The diplomatic history of the period points out the same conclusions : Romans, in that time, were perfectly conscious of the importance of the way they do represent themselves to strangers. They first wanted to be considered as Greeks, before they begun to make up a more specific Roman identity. Lastly, the history of diplomacy or, more exactly, of diplomatic practices, shows that Romans desired to make up an identity for the others as for themselves. At a time of changes and evolutions in the Roman institutions, partially due to the new boundaries of the imperium, the way the Romans provide to decision-making, between inside and outside, between the center and the periphery of Roman hegemony, the formalities linked to reception at Rome as the constitution of a diplomatic space in Rome, finally the figure of the ambassador, from the fetialis to the legatus, contribute in different ways to the assertion of a Roman civic identity.

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