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301

Jacques-Pierre Brissot, Étienne Clavière et la libre Amérique : du gallo-américanisme à la mission Genet

Corriveau, Tamara January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
302

Le Rôle de la volonté dans l’acte de la recherche de la vérité chez Thomas d’Aquin

Raymond, Martin 08 1900 (has links)
Dans la philosophie de Thomas d’Aquin, les puissances principales de l’âme, l’intelligence et la volonté, interagissent dans les activités humaines. Une des activités les plus importantes est identifiée par le docteur comme étant la recherche de la vérité. Cette recherche s’inscrit dans la finalité ultime de l’homme. La vérité, en tant que bien de l’intelligence, est voulue par la volonté qui est un appétit rationnel. Ainsi, selon le Dominicain « la volonté veut que l’intelligence intellige ». Puisque la vérité n’est pas le seul bien proposé au libre arbitre, la volonté doit choisir de poursuivre cette fin au détriment d’autres biens concurrents. Elle doit pour se faire perfectionner les puissances de l’âme par le biais d’habitus et de vertus en plus d’éviter les vices qui conduisent à l’erreur. La recherche de la vérité est, selon Thomas d’Aquin, un acte moral. / According to the philosophy of Thomas Aquinas, the main powers of the soul, the intellect and the will, interact in human activities. One of the most important activities is identified by the doctor as the search for truth. This research is part of the ultimate purpose of man. The truth, which is the good of the intelligence, is willed by the will which is a rational appetite. Thus, according to the Dominican “the will wants that the intelligence thinks.” Because the truth is not the only good proposed to the free will, the will must choose to pursue it to the detriment of other competing goods. To achieve this goal, the will must perfect the powers of the soul through habitus and virtues while avoiding the vices that lead to errors. The search for truth is, according to Thomas Aquinas, a moral act.
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Le statut de la liberté dans l’existentialisme, par-delà la théorie critique

Audet-Cayer, Philippe 08 1900 (has links)
Dans la philosophie existentialiste de Sartre, l’existence précède l’essence. C’est-à-dire que c’est la réalité humaine vécue qui définit l’homme, et non une essence abstraite qui précèderait l’existence. L’essence de la vie humaine ne serait donc pas à la portée de la philosophie, qui voudrait établir une essence qui transcenderait la réalité humaine. Pour Sartre, cette tentative d’établir une essence est vaine. L’homme n’est pas simplement, mais a à être. Sartre entrevoit dans cette exigence la seule vraie possibilité de la liberté : la liberté c’est précisément le néant qui est au cœur de l’homme et qui contraint la réalité humaine à se faire au lieu d’être. Cette notion de la liberté absolue de l’homme est très forte et a évidemment suscité la critique. Sartre s’est attiré notamment la désapprobation des penseurs de l’École de Francfort. Ils lui reprochent de ne pas rendre justice aux déterminations spécifiques qu’impose le contexte historique, social et matériel. Sa notion de liberté viendrait dissocier l’horizon des possibilités des processus qui les fixent et, du coup le mène à cautionner tacitement le statut quo, en empêchant la liberté de servir de critère pour critiquer la domination existante. Une philosophie existentialiste reste-t-elle possible par-delà cette critique? La croyance en le caractère absurde de la vie humaine et l’exigence à se faire pour donner un sens à l’existence peuvent-elles tenir sans postuler la liberté absolue? Ou bien cette liberté doit-elle nécessairement être circonscrite par une théorie sociale critique, sans quoi l’existentialisme colportera clandestinement le maintien du statu quo? / n Sartre’s existentialist philosophy existence precedes essence. This means that it is the life being lived that defines man, and not an abstract essence that precedes him. The essence of human life is thus not reachable with a philosophy that would want to posit an essence that transcends human reality. Sartre considers this attempt to establish an essence vain. Man is not simply, but rather has to be. Sartre sees in this the only true possibility for liberty: liberty is precisely the nothingness that is at the heart of man and compels the human reality to make itself instead of just being. This notion of absolute liberty for man is a strong one and has indeed been criticized. Among critics, Sartre met with the disapproval of the thinkers of Frankfurt School. They accused him of not seeing the specific determinations that the historical, social and material world imposes on man. His notion of liberty dissociates the horizon of possibilities from the processes that establish them, which make him tacitly encourage the status quo, because he prevents liberty from being used as a criterion to criticize the existing domination. Is an existentialist philosophy still possible beyond this critic? Can the belief in the absurd nature of human life and in the necessity of making oneself to give sense to existence still hold without postulating absolute liberty? Or must liberty necessarily be circumscribed by a critical social theory, without which existentialism will clandestinely encourage the status quo?
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Non-domination et collectivités : l'apport du républicanisme à une théorie des droits collectifs

Litalien, Éliot 01 1900 (has links)
L'objectif poursuivi dans ce mémoire est de montrer que le néo-républicanisme possède les outils les plus efficaces pour penser la réconciliation des droits individuels, fondement des États de droits occidentaux contemporains, et des droits collectifs que peuvent légitimement réclamer les collectivités nationales. Dans cette visée, et comme de nombreux auteurs libéraux se sont attaqués à cette question dans les dernières décennies, j'expose d'abord trois stratégies libérales pour traiter cette possible réconciliation tout en faisant ressortir leurs faiblesses respectives. J'avance qu'aucune de ces stratégies ne permet vraiment de comprendre comment un régime de droits collectifs et un régime de droits individuels peuvent être articulés de façon cohérente. J'argue ensuite que le néo-républicanisme, parce qu'il comprend la liberté non pas comme l'absence d'interférence, mais comme un statut de non-domination, permet de voir que les droits collectifs des groupes nationaux et les droits individuels sont nécessairement compatibles, parce qu'ils s'organisent en fonction du même idéal. Les droits d'un individu et ceux de sa collectivité nationale sont, d'une certaine manière, les deux faces d'une même médaille, la non-domination individuelle dépendant de la non-domination du groupe national auquel l'individu appartient. En dernier lieu, je soutiens que cette compréhension du rapport entre les deux régimes de droits devrait se traduire par un ensemble de mesures institutionnelles concrètes dont la plus importante est la reconnaissance d'un droit, pour les collectivités nationales, à l'autodétermination. / The purpose of this M.A. research is to show that neo-republicanism provides the most efficient tools to think the reconciliation of a system of individual rights, upon which western contemporary states and their rule of law are based, and of a system of collective rights that can legitimately be claimed by national collectivities. Since the issue of the compatibility of individual and collective rights has mainly been tackled by liberals, I begin by presenting three liberal strategies to deal with this possible reconciliation and I try to highlight their insufficiencies. I claim that none of those strategies actually provide a consistent way to understand how a system of individual rights and a system of collective rights can coherently be articulated. I then argue that neo-republicanism, for it conceptualizes liberty not as the absence of interference, but as the absence of domination, makes apparent that national collectivities’ rights and individual rights are necessarily compatible since they spring from the same ideal. The rights of an individual and the rights of its national collectivity are, in a way, the two sides of the same coin, for individual non-domination depends upon the non- domination of the national group to which the individual belongs. Lastly, I claim that grasping the relationship between the two systems of rights in this manner should be reflected by a set of concrete institutional measures, the most important being the recognition of a right, for national collectivities, to self-determination.
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L'idée de liberté politique chez Spinoza

Pierre, Richard Jacob 08 1900 (has links)
Chez Spinoza, la politique se construit essentiellement sur les bases de l'édifice de la liberté. En effet, la liberté se vit sous une forme institutionnelle, c'est-à-dire comme le dit Alain Billecoq, «à travers des lois qui garantissent sa stabilité et sa pérennité» (Billecoq, p. 132). Cela devrait donc exclure normalement toute éventualité de conflit entre les pouvoirs politiques et la liberté des individus. D’autant que l’État puise son fondement dans les droits et libertés qu’il se doit de garantir à ses citoyens. Autrement dit, on devrait supposer qu’il y a une certaine adéquation du pouvoir de l’État et de la liberté des individus. Or, ce n’est pas toujours le cas. Car de l’avis de certains, liberté et pouvoir de commandement ne sont pas tout à fait compatibles. Comment donc rendre possible une cohabitation de l’État comme organe de contrainte et de régulation, et de la liberté des individus, qui semble pourtant nécessaire? En passant par sa conception du droit naturel, de l’état de nature et de l’État, il sera démontré au terme de notre démarche que ce qui permet chez Spinoza la résolution de cette tension entre le pouvoir de l’État et la liberté des individus n’est rien d’autre que la démocratie. / For Spinoza, politics is made on the foundations of the edifice of freedom. Indeed, freedom is considered as an institutional form. Then, it is lived as Alain Billecoq says “through laws that guarantee stability and continuity”. This should normally exclude any possibility of conflict between the power of the Palace and people freedom. Especially as the State draws its fundaments in the rights and freedoms that it’s supposed to guarantee to its citizens. In other words, they would believe that there’s a certain balance of power of the State and freedom of individuals. But, it’s not always that which is happening. So for several people, freedom and power of command are not quite compatible. Then, how to make possible this coexistence of the state as an organ of control and coercion, and the freedom of individuals, which seems to be necessary? Following his opinion about the right natural, the natural state and the civil state, it will be proved with Spinoza at the end of our approach that this tension between state power and people freedom is resolved thanks to the democracy.
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La loi morale et le sentiment de respect : les deux ressorts de l’action morale chez Kant

Maurice, Luc 11 1900 (has links)
Le présent texte porte sur la question du ressort ou mobile (« Triebfeder ») de l’action morale chez Kant. L’interprétation qui y est soutenue consiste à dire qu’il n’y a pas qu’un seul ressort de ce type chez Kant, comme le soutiennent maints commentateurs, mais plutôt deux : la loi morale et le sentiment de respect. Le nerf argumentatif de cette thèse réside dans la prise en compte systématique des aspects des facultés de l’esprit humain impliquées dans la question du ressort moral chez Kant. Deux éléments jouent ici un rôle particulièrement important : (i) les deux sens explicites attribués par Kant au mot « volonté », mot qui peut signifier (a) la raison pratique et (b) la faculté de désirer, et (ii) la division de la faculté de désirer en (a) (libre) arbitre et (b) raison pratique. Plus d’une douzaine d’interprétations, réparties sur plus d’un siècle, sont analysées de manière critique, et deux modifications du manuscrit allemand de la « Critique de la raison pratique » sont proposées pour le chapitre « Des ressorts de la raison pure pratique ». / This text focuses on the question of the incentive (“Triebfeder“) of moral action in Kant’s philosophy. The interpretation that is supported here is that there isn’t only one incentive of this sort in Kantian morality, as argued by many commentators, but rather two: the moral law and the feeling of respect. The argumentative nerve of this thesis lies in the systematic consideration of aspects of the faculties of the human mind involved in the question of the moral incentive in Kant. Two elements are here particularly important: (i) the two meanings explicitly assigned by Kant to the word “will”, a word which can mean (a) practical reason and (b) the faculty of desire, and (ii) the division of the faculty of desire in (a) (free) power of choice (“Willkür”) and (b) practical reason. More than a dozen interpretations spread over a century are critically analyzed, and two changes of the German manuscript of the “Critique of practical reason” are also proposed, in the chapter “Incentives of the pure practical reason”.
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I folli voli di Ulisse

Basile, Paola January 2003 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L’animation : un moyen de développer les déterminants de l'autonomie des personnes âgées / Animation : A means of developing the determinig factors of the elderly people's autonomy

Robichaud, Anne 21 July 2011 (has links)
Le pourcentage important de personnes âgées dans nos pays est compensé par le fait qu'elles ont une validité et des capacités physiques et mentales qui diffèrent assez peu de celles des plus jeunes générations. Mais il faudrait que ce processus soit utilisé comme il le mérite et que les capacités de ces générations soient employées au mieux et au minimum et que leur rôle dans la société ne soit pas découragé.Louis Ploton écrit que «la démarche d'autonomisation passe par un préalable méthodologique consistant à renoncer à regarder nos interlocuteurs âgés comme des sujets ayant perdu quelque chose, pour les considérer comme ayant recours à d'autres mécanismes, d'autres façons de faire, d'autres modalités relationnelles dans un contexte donné».Nous partons de l’hypothèse que le degré d’autonomie des personnes âgées (à niveau de santé égal) s’inscrit dans une interaction avec l’exercice d’un «leadership» suffisant, de leur degré de motivation et de la qualité de leur insertion sociale.C’est pourquoi nous présenterons un programme de recherche-action, entrepris dans le cadre des clubs de personnes âgées (dits clubs de l’âge d’or), dans une province canadienne, visant à passer par le canal du «leadership» des aînés pour accroitre leur motivation, améliorer leur insertion sociale et leur autonomie. Nous nous attachons ainsi à proposer l’animation, prise en main par les aînés, comme levier pouvant agir positivement, de manière globale, sur les déterminants de l'autonomie en particulier la motivation et l'insertion sociale. Cela reposera sur une démarche argumentative, faute de pouvoir apporter des preuves expérimentales formelles, en l’absence de moyens de mesure satisfaisants des phénomènes en interactions. / The important percentage of elderly persons in our countries is compensated by the fact that they keep a validity and physical and mental capacities that are little different from those of younger generations. But this process should be used as it deserves to be and the capacities of these generations should be used to the best and to a minimum and their role in society should not be downplayed.Louis Ploton writes that «the process of developing autonomy goes through a preliminary methodological stage that consists in refusing to view our elderly persons, with whom we are engaged in a conversation, as subjects who have lost something, to consider them as people that resort to other mechanisms, to other ways of doing things, that use other relational modalities in a given context».We start from the hypothesis that the degree of autonomy of elderly persons (their level of health being the same) is part of an interaction in the exercise of an adequate «leadership», of their degree of motivation and of the quality of their social insertion.That is why we are presenting to you a research-action program, set up within the framework of the clubs of elderly persons (that is Golden Age clubs), in a Canadian province, aiming to use the channel of the «leadership» of the elderly to increase their motivation, to improve their social insertion and their autonomy. We are keen on proposing the animation, on having the elderly take matters into their hands, as a lever that can act positively, in a global way, on the determining factors of autonomy, particularly on motivation and social insertion. That will be based on an argumentative initiative, for the lack of being able to offer formal experimental proofs, in the absence of satisfactory means of measuring the phenomena in interactions.
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L'individu, le corps et les affects : anthropologie et politique chez Spinoza / The Individual, Body and Affects : Anthropology and Politics in Spinoza’s thought

Massima, Louwoungou 05 November 2013 (has links)
La présente étude porte sur l’anthropologie et la politique de Spinoza. Il s’agit précisément de montrer en quoi, la réflexion spinoziste sur l’homme se donne particulièrement à lire à travers les concepts d’ « individu », de « corps » et d’« affects ». Au cours de notre analyse, nous montrons que ces concepts occupent une place de choix chez l’auteur de l’Éthique pour deux raisons : d’une part, c’est par eux, que le philosophe déploie son analyse des rapports psychophysiques de l’individu humain. En effet, selon lui, le corps humain étant une réalité « en acte », il est nécessairement affecté par d’autres corps. Or, en tant qu’il est aussi l’objet de l’idée (l’esprit), rien n’affecte ou ne modifie sa puissance, sans qu’il ne soit perçu par l’esprit humain. Et, l’« affect » n’est tout autre que cette modification de la puissance corporelle et sa perception par l’esprit. Autrement dit, l’affect peut se définir comme la conscience simultanée que l’individu humain a de son propre corps, par l’entremise de la perception des altérations de la puissance d’agir de ce dernier (les sciences contemporaines, telles que la neurobiologie, la psychologie, la médecine, et bien d’autres, corroborent les thèses de Spinoza à ce propos). C’est en insistant sur la simultanéité des rapports psychophysiques, donc sur l’absence d’interaction du corps et de l’esprit, que Spinoza se démarque de Descartes. D’autre part, à travers les mêmes concepts (de « corps » et d’« affects »), Spinoza permet aussi de penser la constitution d’un autre genre de corps ; un corps né de l’union des individus humains, à savoir : le corps politique. Les affects sont, non seulement au fondement de la constitution de ce corps, mais ils sont aussi ce qui permet de réguler les affaires humaines. C’est en ce sens que Spinoza nous amène à concevoir le corps politique, non pas comme une rupture - contrairement à ce que soutenait Hobbes - mais comme une continuité de l’état de nature. Le mérite de l’anthropologie spinoziste est de montrer qu’autant la nature humaine ne peut se concevoir sans affects, autant aucune réflexion politique ne peut avoir de valeur de vérité sans la prise en compte de ces mêmes affects. / The Dissertation is a study of Spinoza’s anthropology and politics. It shows how Spinoza’s reflection on man can be read with an emphasis on the concepts of “individual”, “body” and “affects”. These concepts have a prominent place for the author of Ethics for two reasons: 1) they are central to his analysis of the mind body relation. Because, according to him the human body, for being a reality “in action”, is necessarily affected by other bodies. 2) However, as it is also the object of an idea (mind), nothing affects or modifies its power, without it is being perceived by the human mind. And the affect is the very modification of physical power and its perception by the mind. In other words, the affect can be defined as simultaneous consciousness that the human individual has from its own body by means of perception of the changes of his power to act (the contemporary sciences, such as the neurobiology, the psychology, the medicine, and many others, may confirm the theses of Spinoza). Our study pays attention to the simultaneity of the affections of the body and the ideas of these affections in the mind, and to the lack of interaction of body and mind that characterizes Spinoza’s philosophy and makes the difference with Descartes’ conception. It is important to emphasize that Spinoza with the same concepts of “individual”, “body” and “affects”, also allows us to think of the constitution of another kind of body the political body. The affects are not only on the foundation of the constitution of this body, but they are also what allowed to regulate human affairs. It is in this sense that Spinoza leads us to conceive the body politics, not as a breakage - unlike Hobbes - but as a continuation of the state of nature. Spinoza’s anthropology is powerful, because it proves that human nature cannot be conceived without affects, as well as no political thinking can have a value without considering the affects.
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Le droit privé face à l'incarcération

Lajonc, Valentin 28 January 2011 (has links)
Face au recours croissant à la prison soit au titre des peines, soit comme lieu de garde des personnes en attente de jugement, il convient de s’interroger sur les effets de l’incarcération sur la condition juridique des personnes détenues. Longtemps considérée comme étrangère au droit, la prison s’est progressivement dotée d’un corpus de règles que l’on désigne sous le vocable de droit pénitentiaire. Cette recherche vise à interroger les rapports qu’entretiennent le droit de l’institution pénitentiaire et le droit de la société libre afin de préciser les conséquences de l’incarcération sur la vie civile du détenu.De construction récente, le droit pénitentiaire s’est progressivement autonomisé, à tel point qu’il doit être considéré aujourd’hui comme une véritable branche du droit. En cela, il révèle que la prison constitue une microsociété avec ses propres logiques et son propre droit. Véritable décalque de la société civile, la prison évolue dans une orientation toujours plus intrusive dans la vie des personnes qu’elle a sous sa garde.Pourtant, la société civile semble manifester un intérêt croissant pour ses prisons. L’entrée du secteur privé dans la sphère pénitentiaire conjuguée à un contrôle accru du juge a abouti à d’importants changements du système pénitentiaire, notamment au regard du respect des droits fondamentaux du détenu. Toutefois, la réconciliation de la société carcérale et de la société civile n’apparaît possible qu’à la condition d’un alignement du droit pénitentiaire sur le droit privé / In recent decades, it seems important to focus on the effects of incarceration on detainees, as The Criminal Justice System increasingly resort to prison sentences, as well as pre-sentence detentions. After a tradition of lawlessness, penitentiaries have known a phase in of new policies, which are now referred to as Penitentiary law. This research addresses the impact of incarceration on detainees forced to abide by Penitentiary law, the ladder being harsher from the free world law.Thus, developing specific rules, Penitentiary law can now be considered a new type of law, with its own purposes. In the same way, penitentiaries form a micro society following its own rules.Although the trend shows increasingly harsh policies and conditions of confinement, the Criminal Justice System, as to reassure public opinion, seems more and more willing to resort to prison.However, the detainees now afford elaborate constitutional protections, due to private facility management and judicial scrutiny, and the challenge is develop these protections, as to bring Penitentiary law into the line with civil law

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