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La participation juridique de l'Afrique de l'Ouest au commerce international : entre régionalisme et système multilatéral de l'OMC / The legal participation of the states of West Africa to international trade : between regionalism and WTO multilateral system

Toguyeni, Aminata 21 May 2013 (has links)
La participation juridique des Etats d’Afrique de l’Ouest au commerce international se traduit par l’instauration d’accords régionaux internes et externes et par leur adhésion au système multilatéral de l’OMC. Les Etats se retrouvent donc confrontés à différents engagements juridiques simultanément et cela pose le problème de leur capacité en tant que pays en développement ou PMA à y faire face. Aujourd’hui le développement de ces Etats est au coeur de toutes les négociations commerciales que ce soit dans la cadre des nouveaux accords de partenariat économique ou celui du cycle de Doha. Mais toutes ces négociations sont dans une impasse et cela favorise le développement des accords régionaux internes. Cette étude porte sur les différents processus d’interaction qui peuvent intervenir entre le régionalisme et le multilatéralisme. L’efficacité des différents accords commerciaux mises en place par les Etats ouest Africains suppose une cohérence et une compatibilité entre eux. / The legal participation of the States of West Africa to international trade is reflected by the establishment of internal and external regional agreements and their accession to the WTO multilateral system. States are therefore facing individual legal commitments simultaneously and this raises the problem of their capacity as developing countries or LDCs to cope. Today the development of these States is at the heart of all trade negotiations in the framework of the new agreements economic partnership or one of the Doha round. But all these negotiations are at an impasse and it promotes the development of internal regional agreements. This study focuses on the various processes of interaction that can occur between regionalism and multilateralism. The effectiveness of the various trade agreements put in place by States West Africans assumes coherence and compatibility between them.
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La política exterior de México durante el gobierno de Vicente Fox (2000-2006). Entre tradición y cambio. / La politique étrangere du mexique vis-à-vis de l'Amérique latine pendant le gouvernement de Vicente Fox (2000-2006). Regards et perspectives. / Mexican Foreign Policy during Vicente Fox’s Government (2000-2006). Between Tradition and Change.

López de Lara Espinosa, Dainzú 02 December 2011 (has links)
Le développement démocratique engendre-t-il un changement dans la politique étrangère du Mexique ?La politique étrangère « traditionnelle » mexicaine est réputée pour être passive, légaliste et nationaliste, telle la définie le Parti Révolutionnaire Institutionnel au début du XXème siècle, jusqu’à la fin des années 1990. Depuis cette date, la politique étrangère mexicaine est en pleine transition sous l’effet d’un nouvel ordre mondial et du processus de démocratisation interne.En 2000, l’élection du président Fox jouit d’une légitimité internationale qui lui permet de renouveler la politique extérieure en se focalisant sur la défense des droits de l’Homme et de la démocratie. Ce changement diplomatique marque une rupture politique avec le régime précédent.Par le biais de la révision du ALENA, il cherche d’une part, à approfondir l’intégration avec les États-Unis avec la négociation d’un accord migratoire, et d’autre part, à développer une activité multilatérale, en particulier au sein des forums de l’ONU. Cette politique vise à réduire la dépendance du Mexique vis-à-vis des États-Unis en intensifiant sa présence multilatérale. Cet objectif sera néanmoins fortement perturbé par des éléments internes, comme l’inertie bureaucratique, et externes, avec les attentats terroristes du 11 septembre.Cette recherche s’appuie sur la littérature politiste spécialisée sur la politique étrangère mexicaine.Elle critique les analyses qui s’attachent exclusivement à démontrer le manque d’habilité et les erreurs diplomatiques de l’administration Fox. La thèse soutient au contraire, que ces changement sont permis de mettre sur l’agenda politique des dossiers fondamentaux comme la politique migratoire, les droits de l’Homme et la coopération pour le développement. / Has Mexican foreign policy changed with the advent of the new democratic rule in Mexico?Traditional Mexican Foreign Policy, known as passive, reactive, legalistic, and nationalistic, was installed by the Institutional Revolutionary Party (PRI) from the start of the 20th century to the late90s. Since that date, Mexican foreign policy faces a double transformation dynamic: the external,with the establishment of a new world order; and the internal, with the Mexican democratization process.2000 elections, depicted as a transparent process, gave president Vicente Fox sufficient international legitimacy to modify foreign policy agenda, introducing the protection of human rights and democratic values. These changes produce a political rupture with the previous regimeand triggered a change in the foreign policy behaviour.The new foreign policy program includes a complementary strategy: first, widen the regional integration within the United States, by the revision of the NAFTA, with a negotiation of amigration agreement; second, deploying a strong multilateral activity (mainly United Nationsforums). This stratagem seeks to reduce Mexico’s U.S. dependence, by intensifying its multilateral presence. But, internal and external causalities, inertial bureaucratic practices and the effects of September 11 reversed this policy.This research is based on political literature specialized in Mexican foreign policy. It critically analyzes the classic approach that focus exclusively on the lack of diplomatic skill and blunders of Fox’s administration. This thesis argues instead that these changes have helped set the politicalagenda of fundamental issues as migration policy, human rights and development cooperation. / ¿Hubo cambio en la política exterior de México con la llegada de la democracia?La política exterior “tradicional” de México, conocida como pasiva, legalista y nacionalista,instalada a inicios del siglo XX por el Partido Revolucionario Institucional (PRI) se enfrenta, en los años noventa, a un doble contexto de transición: el externo, ante la influencia de un nuevo orden mundial; y el interno, con el proceso de democratización. La elección del 2000, considerada un proceso electoral transparente y equitativo, le otorga algobierno de Fox una legitimidad internacional que le permite proponer una agenda de política exterior “nueva”, centrada en la protección de los derechos humanos y la democracia. Esto representa una ruptura política con respecto al régimen anterior y un signo de cambio en el comportamiento hacia el exterior.El nuevo programa de política exterior incluye una estrategia complementaria: primero, profundizar la integración con Estados Unidos, mediante la revisión del TLCAN, con la negociación de un acuerdo migratorio; y segundo, una actividad multilateral, particularmente en los foros de la ONU. Esta política busca reducir la dependencia de Estados Unidos, intensificando su presencia multilateral. Este objetivo es revertido a causa de factores tanto de causalidad interna como externa,como las inercias burocráticas y los efectos de los atentados del 11 de septiembre.Esta investigación se basa en la literatura especializada sobre la política exterior mexicana, y criticalos análisis enfocados exclusivamente en la falta de habilidad y los errores diplomáticos de la administración Fox. Esta tesis sostiene lo contrario, que estos cambios permitieron meter en la agenda política temas fundamentales como la política migratoria, los derechos humanos y la cooperación para el desarrollo.
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Les relations de la Corée du Sud et les pays d'Asie du Sud-Est. Quelle stratégie pour une puissance moyenne ? / The Relationships Between South Korea and Southeast Asian Countries. Which Strategy for a Middle Size Power ?

Leveau, Arnaud 22 June 2012 (has links)
Au cours de cette étude, nous avons cherché  à déterminer le niveau et les moyens de la puissance sud-coréenne. Nous nous sommes demandés si la Corée du Sud ne pourrait pas se présenter comme un État pivot capable de faire le lien entre des états ou des partenaires antagonistes, aussi bien en Asie du Nord-Est qu’en Asie du Sud-Est. Aussi après avoir examiné les moyens de la puissance sud-coréenne nous avons conclu que le pays était une puissance moyenne traditionnelle n’ayant pas encore acquis le statut de puissance régionale et qu’en ce sens elle constituait une puissance atypique. Confrontée aux trois grandes puissances que sont la Chine, les Etats-Unis et le Japon, la Corée du Sud ne dispose que d’une marge de manœuvre très étroite pour affirmer sa présence internationale. Le développement de sa présence en Asie du Sud-Est est donc devenu en l’espace de quelques années un impératif de sa politique étrangère du pays. A l’instar du Japon d’après-guerre, le Sud-Est asiatique constitue une aire d’apprentissage privilégiée pour la diplomatie sud-coréenne et pour son action extérieure. / In this study, we tried to determine the exact level and means of the South Korean power. We wondered if South Korea could present itself as a pivotal state that is able to bridge antagonistic partners, both in Northeast and Southeast Asia. After considering the aspects of the South Korean power we concluded that the country is a traditional middle size power that has not yet acquired the status of regional power. In that sense the country is an untypical power. Facing three major powers such as China, the United States and Japan, South Korea has only a very narrow latitude to establish its international presence. Therefore developing its presence in Southeast Asia has become in just a few years an priority of its foreign Policy. For South Korea Southeast Asia is a privileged place where to learn and to develop its own external action, like it was for the post war Japan. Eventually, a unified Korea with the North Korean nuclear arsenal could weigh as much as demographically declining Japan. However as long as the anachronism of the separation will remain, South Korea will continue to grow alone regionally and in the international stage and will seek for external alliances.
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La relation franco-américaine autour de la question irakienne : la contestation d'un mode occidental alternatif / The French-American relationship under the test of the War in Iraq : the challenge of an alternative Western model

Benmakhlouf, Julie 04 October 2014 (has links)
Le différend entre la France et les Etats-Unis sur le règlement de la question irakienne a provoqué une crise diplomatique majeure entre les deux pays, jugée par certains comme la plus sérieuse dans l’histoire des relations bilatérales. Le dossier irakien a cristallisé les positions diplomatiques des deux alliés et mis en lumière deux lectures d’une grande question internationale. Pour la France, il a été l’occasion de défendre des principes, de faire entendre sa voix et de partager sa vision d’un monde multipolaire fondé sur la quête d’un règlement pacifique des différends. Pour les Etats-Unis, cette question relevait d’un enjeu de sécurité nationale, dans une Amérique profondément traumatisée par les attentats de septembre 2001. La rupture franco-américaine a résulté de facteurs structurels anciens : la concurrence entre deux modèles politiques et diplomatiques qui se veulent universels et le déséquilibre entre une puissance française, déclinante, qui aspire à préserver ses sphères d’influence sur la scène internationale, et une puissance américaine, ascendante, devenue, depuis l’effondrement du bloc soviétique, l’unique superpuissance à la tête d’un monde unipolaire. L’affrontement bilatéral du printemps 2003 a ainsi révélé les caractères intrinsèques qui opposent la diplomatie française et la diplomatie américaine et dévoilé leur conception très éloignée qu’elles se faisaient du nouvel ordre mondial et de la place qu’elles aspirent à occuper sur l’échiquier international / The disagreement between France and the US over the Iraqi issue led to a serious diplomatic crisis between the two countries, considered by many analysts as the most serious one in the history of bilateral relations. The Iraqi case crystallized the diplomatic positions of both allies and revealed two different reads of this major international issue. For France, this case was the opportunity to defend its principles, to get itself heard by the rest of the world and to share its vision of a multipolar world, where disputes would be peacefully settled through international organizations. For the US, that issue fell under a matter of national security, in a country deeply traumatized by ‘9/11’. The split between thetwo countries resulted from historical structural causes : (i) the competition between two political and diplomatic models that present themselves as universal, and (ii) the imbalance between France’s declining power aspiring to preserve its spheres of influence over the world and America’s ascending power that has become, since the end of the Cold War, the only superpower. The bilateral confrontation of 2003 revealed the distinctive patterns of both French and American foreign policies and exposed their different views and models of the new world order, as well as their ambitions on the international scene
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Régionalisme, régionalisation des conflits et construction de l'État : l'équation sécuritaire de la Corne de l’Afrique / Regionalism, regionalization of conflict and state-building : the security equation of the Horn of Africa

Le Gouriellec, Sonia 25 November 2013 (has links)
En dépit de sa complexité analytique, la situation sécuritaire de la Corne de l’Afrique peut être soumise aux outils de la Science politique afin de mieux comprendre les interactions entre les différents acteurs. Cette recherche s’efforce d’analyser les ressorts d’une équation sécuritaire qui peut paraître insoluble : le régionalisme est-il aujourd’hui un prérequis à l’émergence d’une paix régionale ? Pour répondre à cette question il est nécessaire de comprendre quels rôles jouent les processus sécuritaires régionaux (régionalisation et régionalisme) dans la construction des États de la Corne de l’Afrique. Cette étude s’efforce d’étudier les interactions entre le régionalisme, fondement de l’architecture de paix et de sécurité continentale, la régionalisation des conflits, qui semble à l’oeuvre dans cette région, et les processus de construction/formation de l’État. Les rapports entre les trois termes de l’équation dépendent du contexte et des interactions entre les différentes entités composant la région (États, acteurs non étatiques qui se dressent contre eux ou négocient avec eux et acteurs extérieurs). Deux types de dynamiques sont mises en évidence au terme de cette étude : l’une endogène, l’autre exogène. Dans la première, nous constatons que les conflits participent à la formation de l’État. Ils sont en grande partie des conflits internes et montrent qu’il existe une crise dans l’État. Ces États dominent le processus de régionalisme qui tente de réguler la conflictualité régionale avec un succès relatif puisque les organisations régionales cherchent à renforcer ou reconstruire l’État selon les critères idéalisés de l’État wébérien vu comme source d’instabilité. Le processus exogène se caractérise par le rôle des conflits régionaux dont l’existence sert de justificatif au développement et au renforcement du régionalisme, perçu comme la réponse la plus appropriée à ces problèmes de conflictualités. Cette conflictualité a pour source l’État car celui-ci est perçu comme faible. Le régionalisme permettrait de renforcer les États et diminuerait leurs velléités de faire la guerre. / In spite of its analytical complexity, the security context in the Horn of Africa may be submitted to the Political Science’ tools in order to better understand the complex interactions between the various actors. The present research thus seeks to analyze the mechanism underlying what appears as an unsolvable security problem: is regionalism a prerequisite for the emergence of a regional peace? In order to answer this question, it is necessary to understand the role of regional security processes (regionalization and regionalism) in the state formation and state building of the Horn of Africa’s states. This study endeavours to explore the interactions between regionalism, which are inherent in the creation of an African peace and security architecture, the regionalization of conflict, which seems at work in this area, and construction/formation state process. The relationship between the three terms of this equation depends on the context and interactions between the various entities that make up the region (states, non-state actors that stand against them or negotiate with the states and external actors). This study thus reveals two kinds of dynamics at play: an endogenous process and an exogenous one. In the first one conflicts are involved in the formation of the state and are largely internal conflicts. It demonstrates that there is a crisis in the state States dominate the regionalism process which tries to regulate regional conflit with relative success because regional organizations seek to strengthen or rebuild the state according to the idealized criteria of the Weberian State seen as a source of instability. The exogenous process is characterized by the role of regional conflicts whose very existence serves to justify the development and the strenghtening of regionalism thus perceived as the most appropriate answer to those security problems. States are the source of conflicts because they are perceived as weak. Regionalism would strengthen states and reduce the inclination of states to make war.
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Le traitement des questions de sécurité dans la région sahélo-saharienne : étude des approches malienne, nigérienne et burkinabè / The treatment of security issues in the Sahel region : a study of Mali, Niger and Burkina Faso approaches

Faivre, Pierre-Marie 19 February 2016 (has links)
La récurrence des crises politiques et sécuritaires dans la région sahélo-saharienne continue de mettre en lumière les multiples facteurs d'instabilité qui la touchent. Plaçant l'État au centre de notre réflexion, nous verrons que, si ces fragilités peuvent être le fruit de facteurs exogènes, elles constituent surtout le résultat de décisions endogènes. Partant de ce constat, cette étude analysera les politiques mises en place par les autorités du Burkina Faso, du Mali et du Niger, le cadre régional dans lequel elles s'inscrivent et les interdépendances qu'elles contractent. Face à la faiblesse de ces pays, la solution d'une approche régionale a été plébiscitée mais son efficacité se heurte à la défense des intérêts particuliers des États et de leurs gouvernants. / The repetition of political and security crisis in the Sahel region highlights the multiplicity of factors of instability. The State being at the center of our study, we will observe that, despite exogenous threats, its fragility is mostly the result of endogenous decisions. This said, our work will analyze policies implemented by the authorities of Burkina Faso, Mali and Niger, the regional frame in which they place themselves and the mutual dependence they contracted. To counter the weakness of these countries, the regional approach has benne praised. Its effectiveness must, however, face the defense of rulers' and States' particular interests.
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La sécurité comme enjeu de politique étrangère en Afrique : analyse par les médiations du Burkina Faso dans les crises politiques en Afrique de l'Ouest : 1991-2012 / Security as the stake in foreign policy in Africa : analysis by the mediations of Burkina Faso in the political crises in Western Africa : 1991-2012

Zongo, Windata Miki 21 October 2016 (has links)
Concept des Relations Internationales justifiant l'action extérieure des États, l'intérêt national est une notion toujours omniprésente dans les discours des gouvernants, mais dont la nature et la finalité s'avèrent à la fois subtiles et diversifiées. L'avènement du Multilatéralisme et son objectif de la sécurité internationale, en constitue une parfaite mise à l'épreuve. En effet, malgré l'émergence des structures légitimes, l'État, par un discours et une implication opérationnelle dans ses actions extérieures, s'affirme en tant qu'acteur de la sécurité internationale. Cet investissement, loin du discours sur des objectifs relevant du symbolique, participe dans la réalité, à une stratégie minutieusement orchestrée au nom de l'intérêt national. Sur le continent africain, on assiste ainsi à une émergence de politiques étrangères et d'actions diplomatiques étatiques apparemment vouées à la sécurité internationale mais relevant de l'intérêt national. La présente analyse, par une approche constructiviste, entend ainsi démontrer que la pratique des médiations entreprise par le Burkina Faso dans la sous-région de l'Afrique de l'Ouest, loin des discours sur la sécurité de la zone véhiculés, est une illustration de cette tendance. / As concept of International Relations justifying foreign action of States, the national interest is a notion always present in the governement leaders speeches about foreign affairs. But its meaning and its purpose are subtle and diversified as the introduction of Multilateralism and its objective of international security show. Despite the emergence of legitimate structures, the State gets involved for international security in foreign actions through discourse and implication. This implication, far from a discourse of symbolic objectives, takes part in an accurately orchestrated strategy in the name of national interest. Thus, on the African continent, we attend the emergence of foreign policies and national diplomatic actions dedicated to international security. This analysis demonstrates by the constructivist approach that the practices of mediation by Burkina Faso in West Africa participates in this trend - in contrast to the disseminated discourse of security in this subregion.

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