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La souveraineté alimentaire dans le système-monde : une étude comparative des structures agraires cubaine et mexicaine

Gurcan, Efe Can 12 1900 (has links)
Suite à l‘éclatement de la bulle des « subprimes » en 2008, le tournant décisif de cette période de crise, toutes les attentions se sont focalisées sur la crise de la « finance mondialisée », masquant d‘autres conséquences de la crise aussi lourdes et perverses que l‘essor du chômage et le resserrement du crédit (Carfantan 2009). Ce travail se consacre ainsi aux autres aspects de la crise tels que vécus à la campagne, en particulier la crise alimentaire et la crise des sociétés paysannes. Le point central de cette recherche porte plus particulièrement sur la montée de « l‘alternative de la souveraineté alimentaire » en réponse à la crise agraire de manière à poser un véritable défi au modèle agroalimentaire du néolibéralisme (Desmarais 2008; Holt-Giménez 2009). La présente recherche étudie donc les déterminants sociopolitiques qui conduisent à l‘édification des politiques de souveraineté alimentaire malgré la pression du régime alimentaire néolibéral. Ce mémoire avance que les politiques de souveraineté alimentaire sont issues de contre-mouvements paysans qui parviennent, en premier lieu, à établir une structure domestique agraire de nature « populaire-démocratique » et « antisystémique », et en second lieu, à transnationaliser cette structure de manière à défier le régime alimentaire néolibéral en crise. En adaptant la théorie intermédiaire de « structures domestiques » à l‘étude critique des structures agraires autour de trois différentes variables (Risse-Kappen 1999), le mémoire soutient que l‘émergence des politiques de souveraineté alimentaire nécessite la décentralisation de la prise de décision et la collectivisation du secteur agricole à travers une transformation agraire radicale et agroécologique (variable de « structure politique »), de même que l‘émergence d‘une structure sociétale agraire robuste construite sur des réseaux politiques consensuels, en présence d‘un État puissant et d‘une société civile agraire mobilisée (variables de « structure sociétale » et de « réseaux politiques »). Au niveau conceptuel, la recherche repose sur la théorie du système-monde, et consiste en une étude comparative modelée sur une étude de cas contrastes; le cas de Cuba, caractérisé par une forte résistance aux défis agroalimentaires du système-monde contemporain, et celui du Mexique, marqué par l‘adoption des politiques alimentaires néolibérales. / Following the bursting of the subprime bubble in 2008, which is considered to be the turning point of this period of crisis, much attention has been focused on the global economic meltdown, masking the other consequences of the crisis which are as heavy and perverse as the rise of unemployment and the credit crunch (Carfantan 2009). This research is dedicated to the study of other aspects of the crisis as it evolves in the countryside, mostly dealing with the socio-political consequences of the global food crisis and the crisis of peasant societies. The focal point of this study concerns in particular the rise of the "food sovereignty alternative" which mounts a serious challenge to the dominant agri-food model of neo-liberalism in crisis (Desmarais 2008; Holt-Giménez 2009). Therefore, the present study seeks to reveal the socio-political determinants leading to the establishment of food sovereignty policies despite the pressure of the neo-liberal food regime. This thesis maintains that food sovereignty policies originate from peasant counter-movements which engender, in the first place, the establishment of a new agrarian domestic structure of "popular-democratic" and "antisystemic" nature, and secondly, the transnationalization of this structure so as to challenge the neo-liberal food regime in crisis. By adapting the intermediary theory of "domestic structures" to the critical study of agrarian structures on the basis three different variables (Risse-Kappen 1999), the thesis argues that the emergence of food sovereignty policies requires the decentralization of the decision-making and the collectivization of the agricultural sector through a radical and agro-ecological agrarian transformation (the "political structure" variable), as well as the emergence of a potent agrarian societal structure which is built on consensual political networks, in presence of a strong state and a mobilized agrarian civil society (the "societal structure" and "policy networks" variables). At the conceptual level, the research draws on the world-systems theory, and consists of a comparative study modeled on a contrasted case study approach which includes the case of Cuba, characterized by a strong resistance to challenges posed by the neo-liberal food regime, and Mexico, marked by the adoption of neo-liberal food policies.
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Le Forum social québécois : l'émergence d'une action collective

Arruda, Marie-Hélène January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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FERRON Benjamin, Les répertoires médiatiques des mobilisations altermondialistes (Mexique-Chiapas, Israël/Palestine, 1994-2006), Contribution à une analyse de la société transnationale, thèse de doctorat en science politique, Université de Rennes 1, 2012, 808 p.

Ferron, Benjamin 12 March 2012 (has links) (PDF)
Cette étude compare les stratégies déployées par deux réseaux militants de solidarité internationale pour diffuser publiquement leurs causes politiques, dans une conjoncture marquée par l'essor du cadre de mobilisation altermondialiste (1994-2006) : le mouvement néozapatiste (Chiapas, Mexique) et le mouvement anti-occupation (Israël-Palestine). Comment expliquer que des conflits politiques si différents - la révolte des Indiens du Chiapas et les luttes contre l'occupation israélienne des Territoires palestiniens - puissent être considérés, dans certaines arènes politiques et médiatiques, dans les termes semblables de la lutte contre la " mondialisation néolibérale " ? Comment expliquer, parallèlement, que la lutte néozapatiste soit plus facilement érigée en emblème de l'altermondialisme que la lutte anti-occupation ? Optant pour une démarche constructiviste visant à rendre compte au plus près des logiques pratiques de la circulation internationale de l'altermondialisme et de ses acteurs, l'enquête s'intéresse spécifiquement au rôle des médias des mouvements sociaux dans ce processus. Elle défend la thèse que cette convergence partielle des cadres de mobilisation collective est le produit d'une série de choix tactiques et de contraintes intériorisées favorisant la production de discours contestataires relativement indépendants de leurs conditions sociales de production. Pour comprendre les conditions donnant ou non un pouvoir " performatif " à ces discours critiques sur la mondialisation néolibérale, l'enquête de terrain repose sur 76 entretiens semi-directifs auprès de militants et de journalistes, des observations menées dans des centres de " médias alternatifs ", et un travail sur archives. La comparaison des répertoires médiatiques des deux réseaux met à jour la spécialisation progressive de militants dans le travail de médiatisation alternative. Le travail s'intéresse dans un premier temps aux processus d'internationalisation du capital politique des mouvements (partie I). Il met ensuite en évidence l'existence d'une corrélation négative entre l'évolution de leur couverture médiatique dans la presse conventionnelle et l'investissement de militants dans des réseaux de " médias alternatifs ", qui fonctionnent selon les cas comme des espaces de compensation ou de correction symboliques (partie II). Enfin, il analyse les conditions concrètes de production, de diffusion et d'institutionnalisation du militantisme de l'information dans chacun des deux réseaux (partie III).
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Homo Managerialis : une ethnographie des gestionnaires de ressources humaines.

Turcot DiFruscia, Kim 08 1900 (has links)
En tant que levier de pouvoir du capitalisme contemporain, la gestion des ressources humaines est un paradigme polymorphe, omniprésent et en constante expansion dans les organisations nord-américaines. À la fois métier pratique d’assistance du monde des affaires, fonction de contrôle thérapeutique du travail et champ de savoirs psycho-administratifs, la gestion des ressources humaines façonne depuis plus d’un siècle un humain travailleur conforme aux exigences du capitalisme libéral. La présente thèse cherche à comprendre le pouvoir et la pérennité du paradigme ressources humaines en pénétrant par l’ethnographie dans l’expérience des professionnels, experts et managers qui en sont les protagonistes. À travers le sens que ces derniers donnent à leur rôle, à travers leurs aspirations et leurs rationalisations, c’est la nature politique du phénomène managérial qui se rend visible. Cette nature consiste en l’utilisation paradoxale de la force du conflit : les gestionnaires de ressources humaines se positionnent comme les spécialistes de l’élimination de la conflictualité dans l’espace du travail, tout en entretenant dans leurs discours, savoirs, légitimations, pratiques et logiques les formes mêmes de dissonances qu’ils proposent d’éliminer. « Humanisateur » du travail autant que gardien de l’ordre en place, le paradigme ressources humaines sert le capitalisme contemporain en en absorbant, brouillant et finalement estompant les contradictions fondamentales. Et parce que la puissance du dispositif gestionnaire réside précisément dans sa capacité à dissoudre ses oppositions, la présente thèse se veut aussi une réflexion sur les conditions, limites et possibilités de la critique en anthropologie des subjectivations contemporaines. / As a device of power for contemporary capitalism, human resources management is a multifaceted paradigm: it is omnipresent and in constant expansion within North American organizations. For over a century, in its triple capacity as provider of practical assistance to the business world, font of therapeutic workplace control and body of psycho-administrative knowledge, human resources management has been busy reshaping the human worker to conform to liberal capitalistic imperatives. The goal of this dissertation is to further comprehend the power and durability of the human resources paradigm, using ethnography to delve into the experience of the professionals, experts and managers who are its protagonists. The political nature of the managerial phenomenon can be discerned in the meaning these players give to their roles, in their aspirations and rationalizations. Its political stance is embodied in human resources managers' paradoxical use of the power of conflict: at the same time as they position themselves as experts in eliminating conflictuality in the workplace, their discourses, knowledge, legitimations, practices and logics fan the flames of the dissonances they propose to eliminate. As a "humanizing" force in the workplace, and as a guardian of the established order, the human resources paradigm serves contemporary capitalism by absorbing, confusing and blurring the outlines of its fundamental contradictions. And, because the managerial apparatus's power resides precisely in its capacity to dissolve opposition to itself, this dissertation also becomes a reflection on the conditions, limits and possibilities of critique in the anthropology of contemporary subjectivations.
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Homo Managerialis : une ethnographie des gestionnaires de ressources humaines

Turcot DiFruscia, Kim 08 1900 (has links)
No description available.
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La médicalisation du début de vie / The medicalization of the start of life

Gomes Da Cunha, Marie 24 September 2015 (has links)
La médicalisation de la naissance, par l’extension des possibles qu’elle occasionne, confronte à de nouveaux choix. Ces décisions, autrefois prises par les médecins, se réfèrent désormais au « projet » des parents. Non plus simple réponse à une proposition du corps médical comme peut l’être le consentement, le projet fait du patient le sujet décisionnaire, à l’origine comme à la fin : le projet est donc le critère qui guide les pratiques, la nouvelle instance de décision. Là où la médicalisation, accusée de « déshumaniser » la naissance, pouvait apparaître comme un instrument d’assujettissement et de désubjectivation au service d’une société industrielle pour Illich ou d’une biopolitique pour Foucault, une résistance à cette gouvernementalité aurait vu le jour sous la forme du projet. Garante de l'autonomie et de choix singuliers, la référence au projet aurait ainsi une valeur émancipatrice, relèverait d’un nouveau mode de subjectivation. Pourtant, cette catégorie s'insérant dans une nouvelle forme d’organisation sociale à laquelle Boltanski donne le nom de « cité par projets », elle apparaît dès lors comme un rouage de cette cité, elle-même inséparable du nouveau cadre que constitue le néolibéralisme. Penser la naissance en terme de projet, c’est alors étendre le néolibéralisme jusque dans la naissance. Car celle-ci marque le début de la vie humaine ; laquelle est précisément associée, dans la gouvernementalité néolibérale, au nouveau capital à entretenir. Et si auparavant le début de la vie humaine représentait un domaine d'impuissance, la médicalisation a modifié cette donnée : la médecine s'est emparée de ce premier temps de la vie, et dorénavant, on peut agir dans le champ de la naissance. La médicalisation de la naissance, via le projet, a ainsi permis l’extension du néolibéralisme à l'ensemble de l'existence. La catégorie de projet, loin de constituer une véritable alternative, est au contraire soluble dans le néolibéralisme contemporain et la nouvelle forme de gouvernementalité qui le caractérise. La naissance peut-elle alors résister au néolibéralisme? Plus que d’envisager de libérer la catégorie de projet de son sens néolibéral, c’est du côté d’une pensée voire d’une philosophie de la naissance qu’une voie sera esquissée. C’est dans l’attention à la naissance comme totalité vécue, comme expérience incarnée et non comme support de projet, qu’une résistance peut voir le jour. Contre le volontarisme néolibéral du projet nous suggérerons l’incarnation philosophique de la naissance. / The medicalization of birth by extending the realm of the possible, confronts with new choices. These decisions, formerly taken by doctors, now refer to the project of the parents. No more a mere answer to the offer from the medical corps as the consent can be, the project gets the patient into a decision making subject, at the beginning like at the end: then the project is the criterion that guides practices, the new decision making authority. Where the medicalization, accused of “dehumanizing” birth, could appear as an instrument of subjugation and desubjectivation in the service of an industrial society for Illich or of biopolitics for Foucault, a a resistance to this governmentality has emerged in the form of the project. Guarantor of autonomy and singular choices, the reference to the project would then have a liberating value, would constitute a new mode of subjectivation. However, this category getting into a new form of social organization which Boltanski gives the name of “projective city” thus appears to be a cog of this city, itself inseparable from the new framework that neoliberalism consist in. Thinking the birth in terms of project means expanding neoliberalism up to birth. For this marks the start of human life; which precisely embodies, in the framework of neoliberalism, the new capital to look after. And if the start of this human life formerly stood for an area of helplessness, medicalization changed this fact: medicine captured this first time of life, and from now on we can act in the field of birth. Hence the medicalization of birth, via the project, has enabled the expansion of neoliberalism to the whole of the existence. The project category, far from offering a real alternative, is on the contrary soluble in the contemporary neoliberalism and the new form of governmentality that characterizes it. Can birth then resist neoliberalism? Rather than planning to release the project category of its neo-liberal meaning, we might find a way around a thought, even a philosophy of the birth. A resistance can emerge from the attention to birth as a lived whole, as an embodied experience, and not as the support of a project. Against the neo-liberal voluntarism of the project we shall suggest the philosophical incarnation of birth.
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Les résistances territorialisées aux réformes de modernisation des services d'eau : le cas de l’agglomération grenobloise / Territorial resistance to change in drinking water politics. Case study on Grenoble's urban area. : the case of the urban area of Grenoble

Brochet, Antoine 10 November 2017 (has links)
La question des résistances à la mise en œuvre des programmes d’action publique de l’État fait partie des questions de recherche peu étudiées. L’idée défendue tout au long de la thèse est que la notion de résistance territorialisée permet d’expliciter les logiques qui guident la mise en œuvre des programmes d’action publique. Notre analyse prend pour étude l’appropriation locale des réformes de modernisation des services d’eau potable. Ces réformes d’inspiration néolibérale apparues dans les années 1980 font l’objet de bilans intermédiaires mitigés et de critiques concernant leur efficacité. Le cas d’étude retenu est celui de l’agglomération grenobloise. Notre travail repose sur une enquête de terrain menée pendant cinq ans dans le cadre de notre activité salariée auprès d’une cinquantaine de services d’eau potable. Notre thèse s’articule en deux parties et quatre chapitres. La première partie s’intéresse au contenu des réformes de modernisation et aux résistances territorialisées qu’elles engendrent. La seconde partie propose d’approfondir la compréhension des résistances territorialisées en appréhendant le service d’eau comme un système territorial complexe qui s’oppose à la logique des réformes. Le premier chapitre de la thèse analyse les réformes de modernisation. D’une part, nous expliquons l’origine et le contenu des réformes et, d’autre part, nous proposons une méthode prospective d’aide à la décision permettant d’évaluer leurs effets économiques et sociaux sur les services d’eau. Le deuxième chapitre rend compte de l’application de deux réformes, mesure l’ampleur des résistances et les qualifie. La première réforme étudiée concerne la création d’indicateurs de performance des services d’eau potable. La seconde consiste en la transformation de l’usager du service d’eau en consommateur. Notre étude montre que les résistances sont nombreuses et variées et produisent des défaillances dans la gouvernance du secteur. Le troisième chapitre présente une analyse historique qui restitue le processus de construction territorialisée des services d’eau potable dans l’agglomération grenobloise. Nous mettons en lumière le rôle déterminant des facteurs territoriaux et nous montrons qu’historiquement, pour ce qui est de la régulation, l’Etat n’a été qu’un acteur parmi d’autres peu capable de contraindre formellement l’action des services d’eau. Enfin, la solution proposée par l’État pour répondre aux problèmes de modernisation est analysée et critiquée dans le quatrième chapitre. Cette solution consiste à transférer la compétence eau potable aux Établissements Publics de Coopération Intercommunale (EPCI) à fiscalité propre. La thèse met en évidence que cette solution peut aboutir à des résistances territoriales fortes au sein des services d’eau pouvant faire échec à la mise en place d’une gestion unifiée de l’eau à l’échelon intercommunal. Cependant, nous montrons que paradoxalement les résistances territoriales peuvent être génératrices de processus d’innovation sociale sans être nécessairement incompatibles avec certains objectifs des réformes de modernisation. Dans ces cas, des modèles de gestion de l’eau ad hoc peuvent émerger et se révéler particulièrement adaptés aux enjeux contemporains. Ces résultats de recherche nous conduisent à défendre l’intérêt d’une évolution de l’action publique hydrique vers des politiques territoriales pluralistes. / The subject of resistances to the implementation of State public action programs is a topic that has been seldom studied. The idea defended throughout this thesis is that the notion of territorialized resistance makes it possible to clarify the logic guiding the implementation of programs of public action. Our analysis examines the local appropriation of reforms of modernization in drinking water services. These reforms, influenced by neo-liberalism, appeared in the 1980s and have been met with mixed reviews and criticisms as to their effectiveness. The case study we have chosen here is the Grenoble agglomeration. Our work is based on field surveys carried out during five years of salaried activity around roughly fifty drinking water services. Our thesis is divided into two parts and four chapters. The first part focuses on the content of modernization reforms and the territorialized resistances that they create. The second part aims to deepen the understanding of territorialized resistances by perceiving the service of water as a complex territorial system that resists the logic of reforms.Our first chapter analyzes the modernization reforms. We explain the origin and the content of the reforms and also propose a method of informing decisions that would enable assessment of their economic and social effects on water services. The second chapter focuses on the application of two reforms, measuring the scope of resistances to them and examining their character. The first reform studied concerns the creation of performance indicators for drinking water services. The second reform consists of the transformation of water users into consumers. Our study demonstrates that the resistances are multiple and varied, and that they produce lapses in the governance of the sector. The third chapter presents a historical analysis that retraces the process of territorialized construction of drinking water services in the Greater Grenoble area. We highlight the determinative role of territorial factors. We also show that, historically, in terms of regulation, the state has only been one actor among others and that it has little capacity to formally constrain the action of water services. Finally, the fourth chapter analyzes and criticizes the solution that the State has proposed to respond to problems of modernization. That solution involves transferring the obligation to provide potable water to the Public Institutions of Inter-municipal Cooperation (EPCI). The thesis demonstrates that this solution may lead to strong territorial resistances within water services, with the potential to cause a failure to establish unified management of water at the supra-municipal level. However, we show that paradoxically, territorial resistances can also generate processes of social innovation that are not necessarily incompatible with the objectives of modernization reforms. In these cases, ad hoc models for the management of water can emerge that are particularly suited to contemporary challenges.The results of this research lead us to advocate the evolution of public water action towards pluralist territorial policies.
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Mamès, profèsorn oun kindèr likht. Éducation en petite enfance en CPE. Le cas des femmes hassidiques Belz en services de garde en milieu familial accrédités

Major, Suzanne 08 1900 (has links)
No description available.
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Fighting for the mantle of science : the epistemological foundations of neoliberalism, 1931-1951

Beddeleem, Martin 12 1900 (has links)
No description available.
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Os programas de transferência de renda no governo Dilma Rousseff : uma análise a partir do Plano Brasil sem Miséria

Lima, Francisca Gomes 10 June 2015 (has links)
Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior / Le présent mémoire porte sur la particularité des programmes de transfert de revenus sous le gouvernement de Dilma Rousseff, à savoir de leur extension au-delà de la politique d´assistance sociale, comme le montre l´analyse réalisée à partir du Plan Brésil Sans Misère (PBSM). Pour ce faire, nous présentons les déterminants macroéconomiques qui sous-tendent la configuration de la politique sociale brésilienne, en même temps que nous analysons les actions qui composent le PBSM. Nous signalons que les programmes de transfert de revenus font partie des stratégies macro-économiques de reproduction élargie du capital, surtout sous sa forme actuelle qui est principalement financière. Cette recherche a initialement été réalisée à partir d´une étude exploratoire de nature bibliographique ainsi que par une recherche documentaire s´appuyant sur la méthode critique dialectique, elle-même relevant du matérialisme historique. Dans les conclusions, nous soulignons à travers les analyses développées que la protection sociale, légitimée par la Constitution de 1988 suite au recours accru à l´ajustement néolibéral et à l´avance du capital financier, poursuit une voie différente de la proposition initiale en se limitant aux segments sociaux extrêmement pauvre, et cela au moyen des programmes de transferts de revenus. Il est également question de l´efficacité de ces actions dans la mesure où celles-ci, combinées à d´autres stratégies macro-économiques, ne sont plus suffisantes pour conjurer les effets de la crise qui arrive aujourd´hui au Brésil. / A presente dissertação trata da particularidade dos programas de transferência de renda no governo de Dilma Rousseff, isto é, da sua ampliação para além da política de assistência social, conforme indica a análise realizada a partir do Plano Brasil Sem Miséria (PBSM). Para tanto, situamos os determinantes macroeconômicos que estão na base da configuração da politica social brasileira, ao passo em que apresentamos uma análise das ações que compõem o PBSM. Sinaliza-se que os programas de transferência de renda fazem parte das estratégias macroeconômicas de reprodução ampliada do capital, principalmente na sua versão, atual, predominantemente financeira. Essa investigação foi realizada, inicialmente a partir do estudo exploratório de natureza bibliográfica e também de pesquisa documental com base no método crítico dialético, pautado no materialismo histórico. Nas conclusões, apontamos através das análises desenvolvidas, que a proteção social, legitimada na Constituição de 1988, em função do ajuste neoliberal e do avanço do capital financeiro, possui um direcionamento diferente da sua proposta inicial, passando sua implementação a restringir-se aos segmentos sociais extremamente pobres, por meio dos programas de transferência de renda. Além disso, também sinalizamos que a eficácia destes, enquanto medidas articuladas a outras estratégias macroeconômicas já não são suficientes para afastar os reflexos da crise que chega ao Brasil nos dias atuais.

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