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La justification de l'intervention armée unilatérale dans la cadre des conflits intra-étatiques / The justification of the unilateral military intervention in the context of the intra-state conflicts

Michaloudi, Roumpini 09 April 2019 (has links)
Cette thèse examine les arguments et les modalités de justification des interventions armées des Etats, des coalitions étatiques et des organisations régionales dans les conflits internes d’autres Etats sous le prisme du droit international, lorsque ces interventions sont menées en dehors du cadre de l’ONU. Ce type d’intervention caractérise notre époque où les conflits intra-étatiques constituent l’écrasante majorité des conflits mondiaux et où l’ONU traverse une crise pluridimensionnelle. Les justifications, invoquées aussi bien par les Etats que par la doctrine, visent à légaliser ou du moins à légitimer ce qui serait, à première vue, considéré comme un recours à la force illégal au regard du droit des Nations Unies et en particulier au regard du principe de non intervention dans les guerres civiles. / This thesis examines the arguments and the modalities of justification of the military interventions of States, of the coalitions of the willing and of the regional organizations in the internal conflicts of other States by virtue of the international law, when these interventions take place outside the framework of the UNO. This type of intervention is current nowadays given that the intra-state conflicts constitute the overwhelming majority of world conflicts and taking into consideration the multidimensional crisis of the UNO. The justifications invoked by States as well as by the doctrine aim to legalize or at least to legitimize what would be considered at first sight as an illegal use of force under the law of the United Nations and in particular under the principle of non- intervention in civil wars.
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Le bivouac d’Austerlitz selon Louis-François Lejeune : les guerres napoléoniennes entre construction identitaire et construction historique

Denis, Béatrice 08 1900 (has links)
Le peintre, soldat et mémorialiste Louis-François Lejeune (1775-1848) entendait faire de son corpus de peintures de bataille et de ses Souvenirs d’un officier de l’Empire (1851) des témoignages historiques de la période napoléonienne, destinés à la postérité. Or, cette conjugaison entre peintures et mémoires renvoie aussi à la dualité médiale de la propagande napoléonienne, qui diffuse un récit unique des événements militaires à l’aide d’organes d’information inédits tels que les Bulletins de la Grande Armée. Ce récit, déjà médiatisé comme étant historique, est repris en images par le mécénat impérial. Ce mémoire vise à démontrer comment Lejeune contribue à ce récit historicisant, d’abord à un niveau individuel en construisant son identité par rapport à sa participation aux guerres napoléoniennes, puis aussi à un niveau étatique. Son Bivouac d’Austerlitz, présenté au Salon de 1808, est une commande du gouvernement. Il sera question de la façon dont ce tableau de Lejeune s’insère d’abord dans sa carrière, ensuite dans son corpus de peintures de bataille, puis finalement dans le récit napoléonien sur Austerlitz. La forme épisodique du tableau, empruntée à la ligne narrative du 30e bulletin de la Grande Armée, où Napoléon rapporte la victoire d’Austerlitz, peut s’expliquer par la complémentarité voulue entre récit textuel et visuel. Ce tableau contribue ainsi à la construction historique de la bataille. Au milieu des transformations profondes du monde académique et de la hiérarchie des genres, la dualité peintre-soldat de Lejeune répond en tous points à la vocation historique attribuée à la peinture sous Napoléon. / Painter, soldier, and memorialist Louis-François Lejeune (1775-1848) conceived his battle paintings and his memoirs, Souvenirs d’un officier de l’Empire (1851), as historical testimonies of the Napoleonic period, destined for posterity. This twinning of paintings and memoirs mirrors the duality of Napoleonic propaganda as a whole, which disseminates a single version of military events with the help of unprecedented information tools such as the Bulletins de la Grande Armée. This written narrative, already thought of as historical, is picked up again in the paintings commissioned by the government. This master’s thesis argues that Lejeune contributes in a unique way to this historical narrative, first at an individual level by constructing his identity from his participation in the Napoleonic wars, and also at a state level. His Bivouac d’Austerlitz, presented at the 1808 Salon, was commissioned by the government as part of a larger order. It is shown that this painting fits first into Lejeune’s career, then into his cycle of battle paintings, and finally into the narrative of Austerlitz that Napoleon himself promoted. The episodic form of this painting can be explained by the deliberate pairing of written and pictorial narratives, which borrows from the 30th bulletin de la Grande Armée where Napoleon recounts the victory at Austerlitz. This painting thus contributes to the historical construction of the battle. As deep transformations threatened the academic genre hierarchy at the turn of the nineteenth century, the duality of Lejeune’s persona as soldier and painter helped promote the historical function given to paintings under Napoleon.
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La représentation des souffrances et des horreurs de la Première Guerre mondiale dans les journaux de tranchées

Bertrand, Frédérick 10 January 2019 (has links)
Ce mémoire traite des représentations des souffrances et des horreurs de la guerre dans les journaux de tranchées de la Première Guerre mondiale. S’inspirant des travaux qui croisent littérature et médias, il montre de quelle manière les soldats-journalistes expriment leur réalité à travers les pages de journaux éphémères, qui reprennent les codes formels de la presse traditionnelle, et à l’aide desquelles ils redonnent un sens à leur expérience de la guerre et trouvent là une forme d’exutoire à la violence du quotidien. Ce mémoire s’intéresse tout particulièrement à quatre titres : Le Bochofage, Le Canard du Boyau, L’Écho des Guitounes et Le Tuyau de la Roulante, journaux de régiments d’infanterie qui constituent un échantillonnage des centaines de titres produits par les soldats de ces unités, et dont nous proposons une lecture totale au prisme des souffrances et de la violence. En faisant usage de la notion d’abjection telle que définie par Julia Kristeva, nous proposons une analyse thématique des figures récurrentes des journaux du front (Poilus, Allemands et civils) et de leur implication par rapport aux tribulations traversées. Nous nous intéressons aussi aux principales sources de souffrance du quotidien dans les tranchées, ainsi que du traitement réservé à la représentation de la mort dans les colonnes des feuilles du front. Enfin, nous identifions les principales stratégies discursives mises en œuvre pour traiter de sujets aussi délicats, au sein de publications qui ont pour principale vocation de distraire le Poilu. En somme, nous montrons comment le soldat-journaliste, par le moyen des journaux de tranchées, se réapproprie son humanité dans un contexte qui le déshumanise, en représentant sa souffrance et son expérience de l’indicible de la guerre.
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Ceux qui ont dit « Non » Histoire du mouvement des marins chiliens opposés au coup d’État de 1973

Magasich-Airola, Jorge 30 November 2007 (has links)
L’opposition au coup d’État de 1973 au sein des forces armées chiliennes a été significative. En effet, un nombre symptomatique d’officiers, tout comme un nombre considérable des membres de la troupe, ont répondu « Non » à l’ordre de renverser le gouvernement légitime. Ces militaires légitimistes ont été particulièrement actifs dans la Marine, institution qui vit un conflit entre sa structure archaïque et le statut social de technicien acquis par les marins. Ce derniers perçoivent, avant d’autres secteurs de la société, le danger d’un coup d’État et vont tenter de s’organiser, tout d’abord pour informer les autorités et ensuite pour tenter de le faire avorter. Notre objectif est de retracer l’histoire du mouvement des marins légitimistes et notre hypothèse de travail est que le coup d’État de 1973 n’est pas l’œuvre de l’armée mais d’une fraction de celle-ci. Nous avons consulté quatre catégories de sources : 1) La presse : 6 quotidiens et 2 hebdomadaires opposés au gouvernement d’Allende; 4 quotidiens, 2 hebdomadaires et un bimensuel proches du gouvernement ou de gauche. 2) Les essais, documents politiques, témoignages et mémoires, particulièrement les mémoires des quatre amiraux organisateurs du coup d’État. 3) Les procès entamés contre les marins dès la fin du gouvernement d’Allende, dont les 6.000 pages du célèbre procès 3926 contre les marins de la flotte. 4) Nous avons interviewé 30 marins, ce qui correspond à environ un tiers des marins condamnés par les tribunaux navals sous la dictature. En outre, nous avons interviewé, des militants, des avocats, un procureur, un général de l’aviation opposé au coup d’État, un officier de la Marine opposé au coup d’État et un officier de la Marine favorable au coup d’État. Au total 52 interviews qui totalisent un bon millier de pages. L’introduction présente le sujet et explique sa pertinence : les réunions entre les marins et les dirigeants politiques restent un événement souvent cité dans l’historiographie qui justifie le coup d’État. Le ch. I est un travail de compilation sur l’histoire des révoltes de marins au XXe siècle, pour identifier les éléments communs entre elles. Le ch. II tente de situer la Marine chilienne dans son contexte historique et social, rappelant les conflits qui ont secoué la force navale et sa réorganisation lors du début de la Guerre froide et décrivant le contenu de l’enseignement donné à l’École navale des officiers. Le ch. III décrit la vie sociale dans la Marine de 1970 –l’année de l’élection présidentielle– surtout les relations difficiles entre la troupe et les officiers. Celles-ci se manifestent à travers des réactions contradictoires au résultat de l’élection. Pendant les premiers mois du gouvernement d’Allende, un nombre croissant d’officiers manifeste son opposition, alors que des « hommes de mer » (la troupe) s’organisent pour le défendre. Les ch. IV et V couvrent la période qui va de 1971 jusqu’à la première tentative de coup d’État le 29 juin 1973 (el Tanquetazo). Elle est marquée d’une part par l’adhésion de la plupart des officiers aux thèses putschistes, et d’autre part, par un notable développement des groupes de marins antiputschistes. Nous décrivons les relations structurelles entre les officiers et civils conjurés et l’établissement des relations entre des groupes de marins et certains partis politiques de gauche. Ce travail décrit la réunion secrète où plusieurs groupes de marins, tentent d’établir une coordination et discutent s’il faut agir avant que le coup d’État ne soit déclenché ou seulement en réaction à celui-ci. Le chapitre VI couvre les cinq « semaines décisives » qui s’écoulent entre la tentative de putsch du 29 juin et l’arrestation des marins de la flotte, le 5 août 1973. Dans la Marine, la préparation du coup d’État arrive à sa phase finale, avec un affairement perceptible. Beaucoup de marins craignent d’être forcés à y participer. Dans ce contexte, le groupe de marins de la flotte formule une ébauche de plan d’occupation des navires et organise des réunions avec des dirigeants de gauche pour tenter une action qui ferait avorter le coup d’État imminent. Nous avons pu retracer ce plan ainsi que les célèbres réunions avec les dirigeants du PS, du MAPU et du MIR, grâce à plusieurs témoignages de marins et de « civils » présents dans ces réunions. Le chapitre VII décrit la période entre l’arrestation des marins et les semaines qui suivent le coup d’État, décrivant les premières tortures, la difficile situation du gouvernement d’Allende, qui attaque en justice les marins « infiltrés », et le débat politique et juridique suscité par les arrestations et tortures, un des derniers débats démocratiques. Le chapitre VIII expose la poursuite des procès sous la dictature. Parmi les avocats pro deo qui se contentent d’une timide défense pour la forme, nous avons trouvé une défense exceptionnelle des marins sur le plan politique : « le devoir de tout militaire est de défendre le gouvernement légitime », affirme l’avocate Lidia Hogtert, une dame de 75 ans, qui, en 1975, ose défier la justice militaire. En 1988, à la fin de la dictature, lorsque l’ancien secrétaire du MAPU Oscar Garretón se présente devant la justice navale, le cas connaît un nouveau retentissement : après plusieurs condamnations par des tribunaux militaires, Garreton obtient une victoire complète à la Cour Suprême. Il est acquitté de toute accusation pour « sédition et mutinerie ».
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Rwanda, l'Opération Turquoise et la controverse médiatique (1994-2014) : analyse des enquêtes journalistiques, des documents secret-défense et de la stratégie militaire / Rwanda, "l'Operation Turquoise " and the media controversy (1994-2014) : analysis of journalistic investigations, top-secret files and military strategy

Onana, Auguste Charles 21 December 2017 (has links)
Le 22 juin 1994, le Conseil de sécurité de l’ONU vote la résolution 929 autorisantle déploiement d’une force multinationale humanitaire, neutre et impartiale au Rwandaayant pour mission de mettre fin aux massacres. Concrètement, c’est la France, àl’initiative de ce projet, qui va assurer le commandement de la mission dénomméeOpération Turquoise. Celle-ci se heurte à l’opposition des rebelles tutsis du FrontPatriotique Rwandais, aux réserves des organisations humanitaires mais elle reçoit lesoutien appuyé du gouvernement intérimaire rwandais hutu. L’Opération Turquoisesuscite surtout une vague d’accusations dans la presse française, le président FrançoisMitterrand et les militaires français étant accusés de « complicité de génocide », voire de« participation au génocide ». Ces accusations perdurent et reviennent régulièrementdepuis plus de vingt ans, relayées par des journalistes qui disent avoir découvert puisrévélé « l’inavouable » rôle de la France au Rwanda.Cette étude analyse les enquêtes journalistiques menées de 1994 à 2014 et lesconfronte aux documents confidentiels et secret-défense issus des archives américaines,françaises, rwandaises et onusiennes, ainsi qu’à la stratégie militaire mise en oeuvredurant l’Opération Turquoise. Elle permet ainsi d’identifier les sources sur lesquellesreposent ces accusations et d’en évaluer le bien-fondé. Ce faisant, elle met en évidence lafaçon dont la recherche s’est concentrée sur le génocide au détriment de la lutte arméeinitiée par le FPR de 1990 à juillet 1994, laissant de côté des aspects essentiels à lacompréhension de la tragédie rwandaise. / On the 22nd June 1994, the UN Security Council passes the resolution 929authorising the deployment of a multinational humanitarian, neutral and impartial force toRwanda having as its mission to put an end to the massacres. In concrete terms, it isFrance, on initiative of this project, who goes to carry out the command of the missionnamed Operation Turquoise. This comes up against the opposition of the Tutsis rebels ofthe Rwandan Patriotic Front, to the reservations of the humanitarian organisations but itreceives the backup support of the acting Rwandan Hutu government. OperationTurquoise incites above all a wave of accusations in the French press, with the PresidentFrançois Mitterand and the French military soldiers being accused of 'complicity ingenocide', even of taking part in the genocide. These accusations have endured and havebeen regularly coming back for more than twenty years, relayed by journalists who claimto have discovered then revealed the shameful role of France in RwandaThis study analyses the journalistic inquiries led from 1994 to 2014 and comparesthem with confidential secret defence documents stemming from American, French,Rwandan and UN records, as well as the military strategy put in place during OperationTurquoise. It also allows identification of the sources on which these accusations lie andevaluation of their validity. In so doing, it brings to the fore the way in which the researchhas focused on the genocide to the detriment of the armed struggle initiated by the RPFfrom 1990 to July 1994, leaving aside essential aspects in the comprehension of theRwandan tragedy.
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L'ordre et la sécurité publics dans la construction de l'Etat au Cameroun

Belomo Essono, Pélagie Chantal 06 February 2007 (has links) (PDF)
L'ordre et la sécurité constituent le fondement de l'ordre politique au Cameroun. La création, l'« instauration » et la « restauration » de l'ordre représentent la mission essentielle de cet Etat. Dès lors, cette thèse vise à comprendre comment ces deux concepts construisent l'Etat du Cameroun et comment leur décomposition le déconstruit tout en le construisant. Ainsi, ce processus de fabrication de l'ordre sécuritaire et partant de l'Etat s'opère à trois niveaux. Primo, il se bâtit à partir de la collision et de la collusion entre l'endogène et l'exogène. D'une part, l'histoire coloniale (et du pacte colonial qui s'ensuit) structure sa constitution. Dans cette perspective, la coopération militaire France-Cameroun (grâce aux schèmes, aux cadres cognitifs en termes de doctrine et de formation militaires, aux dispositifs sécuritaires français) constitue le socle de la défense et de la sécurité de ce pays. D'autre part, la sécurité du Cameroun se construit au gré de l'ordre international; « la guerre contre le terrorisme », des jeux, des enjeux stratégiques et géostratégiques des puissances à l'œuvre dans le golfe de Guinée, le bassin du Congo, ainsi que de la sécurité nationale et intérieure de ces puissances. Enfin, sur le plan régional, les guerres qui travaillent l'Afrique médiane influencent et agissent sur les modes d'actions sécuritaires du Cameroun. En effet, la formulation, la formalisation de la politique étrangère et la pensée militaire de cet Etat sont fortement imprégnées par la « conflictogénie » qui modèle l'Afrique centrale. Secundo, les mécanismes de fabrication du « dedans » tentent de traduire les modalités de fabrication « endogéinisées » (c'est-à-dire récupérées et intégrées dans le corpus, la pratique sécuritaires internes) et endogènes de la sécurité. La production de l'ordre sécuritaire est un processus dont les forces de sécurité et politiques, dans leurs interactions ou leur déploiement, et les politiques publiques qui en découlent présentent une constance historique qui est le rapport de force, la domination et l'antagonisme dont la finalité est la perpétuation du système autoritaire, la préservation, la reproduction et la pérennisation du pouvoir des gouvernants. Tertio, l'action publique sécuritaire donne à voir une multitude d'acteurs en l'occurrence privés nationaux, étrangers, sociaux et étatiques impliqués dans le marché de la sécurité, dont les actions aboutissent à des mécanismes de sharing, de straddling et de privatisation sécuritaires. Dans ce cadre, loin de présenter une incapacité de l'Etat du Cameroun à gérer sa fonction ontologique et régalienne qu'est la sécurité, il s'agit plutôt d'un nouveau management, d'une reconfiguration de celui-ci et d'une nouvelle « gouvernementalité ».
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“I didn’t have time to find the English words”: The Korean War’s Role in the Evolution of Bilingualism in the Canadian Armed Forces

Labrosse, Julien January 2016 (has links)
This thesis explores the impact of the Korean War on the evolution of the role of the French language in the Canadian military between 1946 and 1954. It explains how the Korean War acted as both a catalyst for a more accommodating stance towards the French language in the Canadian Armed Forces, and an immediate impediment to the implementation of such changes. Particularly, this thesis explores the conflict that emerged between various officials in the Department of National Defence concerning the place that should be made for the French language, and how best to recruit more French Canadians. It shows that there was serious disagreement between the Minister of National Defence, Brooke Claxton, who wanted more bilingualism in the Canadian military, and the Chief of General Staff, General Guy G. Simonds, who resisted further concessions to francophones. Moreover, this thesis reveals the extent to which there was goodwill within the Canadian Armed Forces on the part of both anglophones and francophones on the frontline in Korea. This constituted the basis on which the Department of National Defence was able to begin the process of implementing a more bilingual system. In this respect, this thesis shows the Canadian military to have been ahead of the federal Civil Service.
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La carrière des intendants militaires de 1870 à 1914 / The carreer of intendants from 1870 till 1914

Garcia, Francis 20 March 2015 (has links)
Les intendants militaires constituent une catégorie particulière d’officiers qui s’occupent des besoins de la vie courante du soldat. Ils sont crées en 1815 et remplacent les commissaires des guerres et les inspecteurs aux revues. Leur étude comprend deux parties. La première est destinée à présenter leurs caractéristiques sociales et militaires générales et leur place dans les débats sur l’administration militaire et la communauté militaire. Elle comprend les domaines suivants : - l’origine géographique, - l’âge et le grade au mariage, - la profession des pères et des beaux-pères, - la composition et le montant des dots, - les dossiers de demande d’autorisation de mariage, - les demandes de bourses pour les écoles militaires, - la place de la vie privée dans les appréciations données par leurs supérieurs. - l’origine du recrutement (saint-cyriens, polytechniciens, soldats), - les causes des fins de carrières - les grands évènements de la carrière (entrée dans le corps de contrôle de l’administration, interruptions de service, mutations), - la remise en question de l’intendance militaire au cours des débats sur l’administration militaire après la défaite de1870, et notamment sa place vis-à-vis du commandement, - la place des officiers d’administration et des médecins militaires, - l’image des intendants parmi les autres officiers. La seconde partie expose les déroulements des carrières, elle comporte les points suivants : - les résultats de la scolarité dans les écoles militaires et leur influence sur les appréciations données par leurs supérieurs et l’avancement ; - les carrières dans l’arme d’origine (l’influence des appréciations, des félicitations et des punitions), - les conditions du passage dans l’intendance (le concours, la formation administrative), - les carrières dans l’intendance (l’influence de la carrière dans l’arme d’origine, les rôles de l’origine et des appréciations dans l’accès aux différents grades, les projections de carrières à partir du premier grade). / The intendants establish an officers’s particular body who deal with the support of the common life of the soldier. They are create in 1815 and replace captains of the wars and inspectors in reviews. Their study includes two parts. The first one intended to present their general social and military characteristics. It includes the following domains : - the geographical origine, - the age and the rank in the marriage, - the profession of the fathers and the fathers in law, - the composition and the amount of dowries, - files of wedding authorization request, - applications for a scholarship for military academies, - place of the private life in the appreciations given by their supériors, - the origin of the recruitment (graduests of St. Cyr, graduests of Polytechnique prestige engineering school, soldiers), - the causes of ends of carreer, - big events of the career (entered the body of control of the administration, interruptions of service, tranfers). - the questioning of the military estate management after the defeat of 1870, in particular its place face to face of the command ; - the place of the officers of administration et of the military medical officers, - the image of the bursars among the others officers. The second parts explains the progesses of careers, il contains the following domains : - the results of the schooling in military academies and their influence in the appreciations given by their superiors, and of the promotion ; - the careers in the element of the army of origin (influence of the appreciations, the congratulations and the punishments) ; - the conditions of the passage in the estate management (the competition, the administrative training), - the careers in the estate management (the influence of the career in the weapon origin, the roles of the origin and of the appreciations in the access of the various ranks, the progressions of the careers according to the passage in the second rank).
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Ceux qui ont dit "Non": histoire du mouvement des marins chiliens opposés au coup d'Etat de 1973

Magasich-Airola, Jorge 30 November 2007 (has links)
L’opposition au coup d’État de 1973 au sein des forces armées chiliennes a été significative. En effet, un nombre symptomatique d’officiers, tout comme un nombre considérable des membres de la troupe, ont répondu « Non » à l’ordre de renverser le gouvernement légitime. Ces militaires légitimistes ont été particulièrement actifs dans la Marine, institution qui vit un conflit entre sa structure archaïque et le statut social de technicien acquis par les marins. Ce derniers perçoivent, avant d’autres secteurs de la société, le danger d’un coup d’État et vont tenter de s’organiser, tout d’abord pour informer les autorités et ensuite pour tenter de le faire avorter. <p>Notre objectif est de retracer l’histoire du mouvement des marins légitimistes et notre hypothèse de travail est que le coup d’État de 1973 n’est pas l’œuvre de l’armée mais d’une fraction de celle-ci.<p><p>Nous avons consulté quatre catégories de sources :<p>1) La presse :6 quotidiens et 2 hebdomadaires opposés au gouvernement d’Allende; 4 quotidiens, 2 hebdomadaires et un bimensuel proches du gouvernement ou de gauche. <p>2) Les essais, documents politiques, témoignages et mémoires, particulièrement les mémoires des quatre amiraux organisateurs du coup d’État. <p>3) Les procès entamés contre les marins dès la fin du gouvernement d’Allende, dont les 6.000 pages du célèbre procès 3926 contre les marins de la flotte.<p>4) Nous avons interviewé 30 marins, ce qui correspond à environ un tiers des marins condamnés par les tribunaux navals sous la dictature. En outre, nous avons interviewé, des militants, des avocats, un procureur, un général de l’aviation opposé au coup d’État, un officier de la Marine opposé au coup d’État et un officier de la Marine favorable au coup d’État. Au total 52 interviews qui totalisent un bon millier de pages.<p><p>L’introduction présente le sujet et explique sa pertinence :les réunions entre les marins et les dirigeants politiques restent un événement souvent cité dans l’historiographie qui justifie le coup d’État.<p>Le ch. I est un travail de compilation sur l’histoire des révoltes de marins au XXe siècle, pour identifier les éléments communs entre elles.<p>Le ch. II tente de situer la Marine chilienne dans son contexte historique et social, rappelant les conflits qui ont secoué la force navale et sa réorganisation lors du début de la Guerre froide et décrivant le contenu de l’enseignement donné à l’École navale des officiers. <p>Le ch. III décrit la vie sociale dans la Marine de 1970 –l’année de l’élection présidentielle– surtout les relations difficiles entre la troupe et les officiers. Celles-ci se manifestent à travers des réactions contradictoires au résultat de l’élection. Pendant les premiers mois du gouvernement d’Allende, un nombre croissant d’officiers manifeste son opposition, alors que des « hommes de mer » (la troupe) s’organisent pour le défendre.<p>Les ch. IV et V couvrent la période qui va de 1971 jusqu’à la première tentative de coup d’État le 29 juin 1973 (el Tanquetazo). Elle est marquée d’une part par l’adhésion de la plupart des officiers aux thèses putschistes, et d’autre part, par un notable développement des groupes de marins antiputschistes. Nous décrivons les relations structurelles entre les officiers et civils conjurés et l’établissement des relations entre des groupes de marins et certains partis politiques de gauche. Ce travail décrit la réunion secrète où plusieurs groupes de marins, tentent d’établir une coordination et discutent s’il faut agir avant que le coup d’État ne soit déclenché ou seulement en réaction à celui-ci.<p>Le chapitre VI couvre les cinq « semaines décisives » qui s’écoulent entre la tentative de putsch du 29 juin et l’arrestation des marins de la flotte, le 5 août 1973. Dans la Marine, la préparation du coup d’État arrive à sa phase finale, avec un affairement perceptible. Beaucoup de marins craignent d’être forcés à y participer. Dans ce contexte, le groupe de marins de la flotte formule une ébauche de plan d’occupation des navires et organise des réunions avec des dirigeants de gauche pour tenter une action qui ferait avorter le coup d’État imminent. Nous avons pu retracer ce plan ainsi que les célèbres réunions avec les dirigeants du PS, du MAPU et du MIR, grâce à plusieurs témoignages de marins et de « civils » présents dans ces réunions.<p>Le chapitre VII décrit la période entre l’arrestation des marins et les semaines qui suivent le coup d’État, décrivant les premières tortures, la difficile situation du gouvernement d’Allende, qui attaque en justice les marins « infiltrés », et le débat politique et juridique suscité par les arrestations et tortures, un des derniers débats démocratiques. <p>Le chapitre VIII expose la poursuite des procès sous la dictature. Parmi les avocats pro deo qui se contentent d’une timide défense pour la forme, nous avons trouvé une défense exceptionnelle des marins sur le plan politique :« le devoir de tout militaire est de défendre le gouvernement légitime », affirme l’avocate Lidia Hogtert, une dame de 75 ans, qui, en 1975, ose défier la justice militaire. En 1988, à la fin de la dictature, lorsque l’ancien secrétaire du MAPU Oscar Garretón se présente devant la justice navale, le cas connaît un nouveau retentissement :après plusieurs condamnations par des tribunaux militaires, Garreton obtient une victoire complète à la Cour Suprême. Il est acquitté de toute accusation pour « sédition et mutinerie ». / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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