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Les fêtes civico-religieuses à Grenade, XVIe-XVIIe siècles

D'Albis, Cécile 23 May 2008 (has links) (PDF)
Ce travail aborde à travers l´étude des célébrations urbaines les grands enjeux qui ont façonné la difficile incorporation de Grenade à la Castille de 1492, jusqu'à la fin du XVIIe s. En suivant la naissance et l'évolution de ces célébrations et en les confrontant au contexte historique contemporain, on identifie les clivages sociaux et le rôle fondamental de la fête dans la création et la négociation du pouvoir. L'on y voit affleurer des termes et arguments récurrents, sans cesse réarrangés et réassortis en fonction du contexte, qui constituent ensemble un système que nous avons appelé le mythe de Grenade. Ce récit, qui déjoue les tentatives de rédaction et de rationalisation, est constitué d'un noyau dur dont les termes essentiels sont la conquête d'une part, le martyre et l'autochtonie de l'autre. Il se traduit dans les fêtes à tous les niveaux : mise en scène, hiérarchies processionnelles, patronages spirituels, spectacles, formes liturgiques, littéraires et iconographiques, etc.
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Les mythes et leurs métamorphoses dans l'œuvre d'Agustín Espinosa (1897-1939)

Gómez Gutiérrez, Beatriz 13 December 2008 (has links) (PDF)
Agustín Espinosa (1897-1939) fut un auteur célèbre à son époque puis oublié sous le franquisme. Son œuvre s'adapte à tous les courants culturels de son temps : du modernisme de ses poèmes de jeunesse, aux avant-gardes espagnoles –inspirées par La déshumanisation de l'art d'Ortega y Gasset-, en passant par le surréalisme français et, enfin, par le style d'inspiration fasciste –durant la guerre civile-. Cette Thèse a récupéré toutes les collaborations d'Espinosa aux journaux phalangistes, qui n'avaient jamais été rééditées après sa mort, afin de les analyser au même titre que l'ensemble de ses articles d'avant-guerre, dans le but de démontrer que l'écriture d'Espinosa garde une véritable unicité. Certes, malgré un parcours éclectique, Espinosa fait preuve dans tous ces textes d'une grande inventivité stylistique et d'une érudition sans bornes. L'homogénéité de sa prose découle aussi des mythes qui inspirent Espinosa et des métamorphoses qu'il leur impose, créant ainsi un système littéraire qui véhicule sa vision du monde. L'on a donc étudié les mythes d'Espinosa et leurs métamorphoses par rapport à l'espace –contextes littéraire et géographique-, aux idéologies –« casticisme » et extrémismes politiques- et à la représentation des mythes littéraires –des animaux, des hommes et des femmes-. Ce schéma d'analyse se veut le plus exhaustif possible, tenant compte de la complexité d'Espinosa, un auteur radical et obscur, même si l'on a bien conscience de ne pas avoir pu résoudre toutes les énigmes que son œuvre continue de poser.
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" Mythomorphoses " écriture du mythe, écriture métapoétique chez Basil Bunting, T. S. Eliot, Ezra Pound et W. B. Yeats

Estrade, Charlotte 30 November 2012 (has links) (PDF)
Les mythologies - gréco-romaine, irlandaise, perse, indienne, japonaise, chinoise -sont omniprésentes dans la poésie de Bunting, Eliot, Pound et Yeats. Les prédilections desauteurs pour certaines mythologies, véritables choix identitaires et politiques, montrenttoutefois une péroccupation commune pour les mythes violents, aux niveaux martial et sexuel.Ce premier niveau thématique se combine avec une réflexion plus distanciée sur le mythe,outil critique qui permet la reformulation de croyances rituelles et spirituelles, et de nouvellesthéories poétiques qui visent à ordonner et donner un sens au monde chaotique du XXe siècle.Le mythe, subversif, permet donc l'articulation de nouvelles spiritualités et denouvelles expériences poétiques. Enfin, matériau vivant et modelable, dont la mention est à lafois un raccourci de récits anciens et un horizon élargi vers d'autres références et réécritures,le mythe est objet linguistique. En traduction, le mythe transfert les contenus thématiques,déplace les rythmes et fait circuler et s'entremêler les arts. En effet, retour fantasmé à uneorigine du langage artistique, le mythe est parfois fiction d'un art total où les figuresmythiques seraient à la fois objet linguistique, représentation imaginaire picturale etmanifestation musicale. De cette vision du mythe émane une poésie polyphonique et hybride,à l'image du centaure et des autres créatures monstrueuses présents dans l'oeuvre poétique deBunting, Eliot, Pound et Yeats.
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The great american navel : le grand roman américain et le langage approprié

Grenier, Daniel January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire a pour objectif d'analyser le phénomène du Grand Roman Américain comme représentation de l'imaginaire national, en en faisant l'archéologie. Je propose, à partir de ce postulat initial, de procéder à un balayage sociologique des éléments qui entrent en ligne de compte dans la composition formelle et symbolique de certaines oeuvres marquantes ayant eu droit au titre de Grand Roman Américain. Il s'agit d'une sorte d'histoire chronologique de l'expression et de ses représentations littéraires. Opération qui mènera à une analyse approfondie de la prise en charge du langage, de l'espace et du temps comme discours dans Underworld de Don Delillo, parangon de ce qu'est le Grand Roman Américain dans son acception moderne. Underworld jouera le rôle d'un prisme, apte à rendre compte du roman contemporain (pour des notions telles que l'obsession de la mémoire collective et individuelle, l'absorption des mythes fondateurs, la contamination entre culture d'élite et culture de masse) et de ses prédécesseurs (on peut penser à la réactualisation des archétypes, aux intertextes, aux réécritures). Entre une sociologie qui prendrait comme point d'appui une littérature américaine analyste de son environnement, et une sociocritique d'un roman emblématique comme Underworld, ce mémoire cherche aussi à créer un pont entre différentes oeuvres qui pensent et ont pensé l'Amérique à la fois comme un tout préhensible et un concept fuyant, équivoque. Dans un premier temps, il s'agira de proposer une analyse sociologique et historique de l'expression Grand Roman Américain et d'en examiner les corrélats à l'intérieur de l'imaginaire social de l'Amérique. Dans un aller-retour entre la société et le livre qui s'en veut le reflet, je tenterai de dégager les lignes de tensions et les chevauchements, autrement dit les instants d'imprécisions entre la réalité et le mythe, entre le vrai social et le faux livresque. En quoi les oeuvres littéraires qui se réclament du Grand Roman Américain sont-elles révélatrices des ambiguïtés propres à leur milieu? Se consacrer ensuite à l'étude d'Underworld, c'est chercher à investir le coeur de la problématique. Le roman sera abordé sous les deux angles suivants: premièrement, son rapport au langage et au discours (la parole, la voix, l'énonciation). Qu'est-ce que l'Amérique, comment être Américain? Deuxièmement, et par extension, son appartenance au corpus Grand Roman Américain, dans une perspective d'intertextualité qui permettra de bien saisir les enjeux majeurs qui regroupent et recoupent les différentes époques littéraires et les différentes écritures. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Littérature américaine, Imaginaire social, Oralité, Mythes, Idéologies.
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Le cas des assemblées de quartier du grand Buenos Aires : entre barbarie et civilisation, entre acteur et espace

Robert, Stéphanie January 2009 (has links) (PDF)
Dans un contexte de « crises » des démocraties contemporaines et de fractures entre les partis politiques et les « citoyens », cette recherche se penche sur le phénomène des assemblées de quartier du grand Buenos Aires. S'inspirant de la sociologie compréhensive de type « culture studies », cette étude questionne un mouvement « citoyen ». Ce parcours « narratif » à travers les imaginaires politiques argentins aura comme point d'ancrage la dichotomie constituante de la civilisation / barbarie cristallisée au moment de la construction de l'État-nation moderne (argentin). Cette dichotomie servait encore de repère entre le « eux » et le « nous » pour les assemblées de quartier. Celles-ci naquirent en force à la fin de 2001 avec une participation élevée et enthousiaste. Toutefois, en 2005, lors des observations et des entrevues semi dirigées conduites sur le terrain par l'étudiante, cette participation avait diminué au point de rendre le phénomène marginal et en voie de disparition. L'isolement des assemblées les unes envers les autres et envers le reste de la population nous porte à les considérer comme les tribus postmodernes décrites par Michel Maffesoli. Dans la foulée des réflexions sur les nouvelles formes démocratiques, nous nous posons la question suivante: comment surmonter les problèmes de la non-participation? Les assemblées survivantes semblent avoir trouvé une solution: se transformer en espace politique plutôt qu'en acteur politique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Argentine, Démocratie participative, Assemblées de quartier, Maffesoli, Mouvements sociaux et altermondialistes.
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Le mythe réactualisé dans La citadelle des ombres, tome 1 de Robin Hobb : pour une symbolique de l'immortalité

Jackson-Corbeil, Stéphanie-Kim 01 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire propose une étude du mythe réactualisé à l'intérieur du premier tome de La Citadelle des Ombres de Robin Hobb, publié en 2000. Il révèle des personnages qui, par leurs interactions, mettent en œuvre et confirment, sur un arrière-plan mythologique modernisé, un désir ancestral et perpétuel d'immortalité chez l'homme, né de l'angoisse générée par la mort à venir. En plus de se nourrir des ouvrages sur la fantasy et sur la survivance des mythes dans les récits contemporains, ce mémoire s'appuie sur des notions anthropologiques du symbole et du mythe de même que sur les mythes autochtones d'Amérique du Nord. Le premier chapitre est consacré à l'approche mythocritique ainsi qu'aux réflexions sur la fantasy. Ce chapitre permet de démontrer le rapport entre la fantasy et le merveilleux, issu de l'exploitation massive d'un héritage mythique. En outre, il expose la méthodologie qui permet de déceler les indices mythiques présents dans l'œuvre. Le second chapitre propose l'analyse des contours du mythe et du symbole sous un angle anthropologique, par le biais de l'imaginaire. Il permet de découvrir les constellations particulières et les indices mythiques contenus dans l'œuvre. L'imagination, structurée sur l'antithèse, fait ressurgir dans La Citadelle des Ombres, tome 1, une dualité des temps entre temps en progression et temps mythique sacré ainsi qu'entre la vie et la mort par un retour éternel du cycle de naissance/mort/renaissance. Tissés en constellations, les symboles investissent les mythes et permettent de découvrir une symbolique archétypale de l'immortalité. Le troisième chapitre est consacré aux lieux de rencontre avec l'animal, sous différents angles et points de vue. Ce chapitre permet entre autres de découvrir une constante dans la mythologie autochtone d'Amérique du Nord où les animaux sont omniprésents. Par une vision holistique de l'osmose homme/nature, en regard des personnages du corpus et des indices mythiques qu'il contient, ce chapitre démontre que la nature humaine qui ne fait qu'un avec la nature animale, ne peut souffrir de cette dualité puisque la fusion des contraires permet le retour à l'unité. En s'unissant, l'homme et l'animal permettent à l'homme d'accéder à l'immortalité. Le mémoire se conclut sur le fonctionnement global du mythe réactualisé dans La Citadelle des Ombres, tome 1 et de la symbolique archétypale d'immortalité qui en découle. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : mythocritique, imaginaire, fantasy, symbole, immortalité, mythe autochtone d'Amérique du Nord, temps, hybridité homme/animal.
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LES STRUCTURES ANTHROPOLOGIQUES DE L'IMAGINAIRE EN AFRIQUE NOIRE TRADITIONNELLE<br />OU VERS UNE ARCHETYPOLOGIE DES CONCEPTS DE PRATIQUES RITUELLES ET DE REPRESENTATIONS SOCIALES

Sene, Amsata 20 July 2004 (has links) (PDF)
NOUS AVONS MIS EN OEUVRE UN DOUBLE PROJET – OBJET DE RECHERCHE DANS CE TRAVAIL. <br />D'UNE PART, NOUS AVONS ĖTUDIĖ COMMENT CONCEVOIR UNE HOMOGENĖITĖ DES CULTURES AFRICAINES ET EXPLIQUER A LA FOIS LA DIVERSITĖ DE LEURS PRODUCTIONS, AU DOUBLE SENS DU MYTHE ET DU RITE. <br />D'AUTRE PART, NOUS AVONS CHERCHĖ A PRODUIRE UN REPERTOIRE DE L'IMAGINAIRE NEGRO-AFRICAIN A PARTIR D'UNE ĖXEGÈSE ANTHROPO-SOCIOLOGIQUE DES CONCEPTS DE PRATIQUES RITUELLES ET DE REPRĖSENTATIONS SOCIALES.
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Fleurs d'innocence le mythe de l'innocence dans la littérature américaine des années 1890 /

Bordes, Juliette. January 1900 (has links)
Thesis (doctoral)--Université de Bordeaux III, 1982. / Includes bibliographical references (p. [965]-985) and index.
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"Vers l'infini et plus loin encore!" : la culture populaire comme agent promoteur du programme spatial américain

Berlinguette-Auger, Claude 09 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire a pour objectif de vérifier si la culture populaire, plus particulièrement le cinéma, nous permet de mieux comprendre la décision de lancer et de maintenir le programme spatial américain. Plus précisément, ce mémoire s'interroge sur le lien pouvant exister entre les représentations identitaires véhiculées dans les films analysés et celles mises de l'avant par les dirigeants américains afin de justifier cette décision coûteuse, au sens monétaire et politique. L'argument central affirme qu'un parallèle peut être établi entre le mythe de la frontière et la destinée manifeste, perceptibles dans le cinéma précédant l'alunissage, et les discours des dirigeants américains entre 1961 et 1969. Autrement dit, nous jugerons que la mise en place réussie d'un processus d'interpellation a permis à la population de se reconnaître dans les discours institutionnalisés, et a pu faciliter l'acceptation de la décision comme conforme à ce qu'elle était et ce qu'elle devait faire. L'analyse se fait donc en deux temps. La première partie vise à faire une analyse discursive de trois films de science-fiction, sortis entre 1950 et 1969 et pouvant donc avoir fourni des arguments pour le lancement et le maintien du programme spatial américain. Nous nous chargerons donc d'étudier les dialogues, les images, les sons et les symboles présentés dans Destination Moon (1950), Forbidden Planet (1956) et 2001 : A Space Odyssey (1968), de manière à déterminer si les mythes de la frontière et de la destinée manifeste sont représentés dans le film et s'ils contribuent à fournir une image positive du programme spatial. La deuxième étape sera de vérifier si ces représentations identitaires ont su trouver écho chez les dirigeants américains cherchant à justifier le programme spatial américain. Nous procéderons donc à l'analyse de discours donnés par Kennedy, Johnson, Nixon et par certains administrateurs de la NASA. Nous concluons, sur la base de nos analyses, que la rhétorique romantique hollywoodienne a été reprise par les dirigeants américains, possiblement dans une optique de mieux vendre le projet à la société américaine. En usant d'arguments similaires à ceux présentés dans la culture populaire, les dirigeants sont parvenus à mettre en place un processus d'interpellation réussi, rendant incidemment le programme spatial plus attrayant aux yeux de la population. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : États-Unis, programme spatial, culture populaire, mythe de la frontière, destinée manifeste
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Cyrano de Bergerac héros d’une mythologie de la France : la pièce d’Edmond Rostand passée au crible de la sociocritique

Jama, Sophie 04 1900 (has links)
On ne compte plus le nombre de représentations ou d’adaptations sur la scène ou à l’écran de la pièce de théâtre d’Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac. Celle-ci a bénéficié d’un succès considérable en France et dans le monde, de la date de sa première représentation, le 28 décembre 1897, jusqu’à nos jours. Son héros, Cyrano de Bergerac, s’appuie librement sur l’écrivain réel, Savinien de Cyrano de Bergerac, qui vécut au XVIIe siècle mais dont pratiquement plus personne ne connaît l’existence. Aujourd’hui, tout le monde éprouve admiration et tendresse à l’égard du duelliste au grand nez qui, par ses lettres amoureuses, aide le beau Christian à conquérir le cœur de Roxane; mais nul ne lit plus Savinien de Cyrano de Bergerac. Sans doute la pièce de Rostand possède-t-elle de réelles valeurs littéraires, une construction rigoureuse, des personnages élaborés, une écriture poétique et légère, de l’humour, de l’émotion… Et cependant, malgré ces qualités indéniables, il demeure difficile d’expliquer son triomphe. Nous posons l’hypothèse selon laquelle, c’est à la manière dont Edmond Rostand a fait de Cyrano de Bergerac un mythe littéraire entouré de symboles propres à une identité dans laquelle les Français sont susceptibles de se reconnaître - et grâce aussi à un contexte sociopolitique dont il a réussi, volontairement ou pas, à tirer grand parti - qu’est attribuable le succès démesuré de la pièce. Rostand a créé un évangile de cape et d’épée sur fond d’Affaire Dreyfus pour un univers théâtral qui intègre les symboles autour desquels les Français se retrouvent volontiers : gastronomie, élégance, faconde, galanterie, fidélité, honneur, patriotisme, … panache. / Edmond Rostand’s Cyrano de Bergerac has undergone innumerable adaptations and interpretations on the stage and on the screen. Since its premiere on December 28, 1897, its success in France and internationally has been considerable. The play’s eponymous hero is based freely on the 18th-century writer Savinien de Cyrano de Bergerac. But while today’s audiences tenderly admire the large-nosed dueller who, through his love letters, helps the handsome Christian conquor Roxana’s heart, few read the author on whom the fictional character is based. Though recognized for its wit, emotion, characters, and poetry, the play’s literary merit does not seem sufficient to explain its instant and enduring success. This paper argues instead that Edmond Rostand formed Cyrano de Bergerac into a literary myth, filled with symbols of an identity with which the French were able to identify themselves. To this and to the sociopolitical context that informs Rostand’s work can be attributed the piece’s overwhelming triumph. Rostand created a swashbuckling gospel against the background of the Dreyfus Affair for a theatrical universe that integrates symbols in which the French willingly located themselves: gastronomy, elegance, eloquence, gallantry, fidelity, honor, patriotism, and of course, panache.

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