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L'itinéraire antihésychaste de Jean de Cyparission, le Sage (XIVe s.). Héritages et transformationsPalaiologou, Polytimi-Maria PM 10 May 2010 (has links)
La présente recherche doctorale porte sur la contribution philosophico-théologique de Jean de Cyparission(XIVe s.). Opposé aux interprétations théologiques et ecclésiologiques d'une grande partie du courant hésychaste, le penseur nous propose un commentaire favorable à l'union ecclésiale, ainsi qu'à la bonne organisation spirituelle de l'Église orientale. L'élaboration des textes inédits et l'étude codicologique de divers manuscrits qui conservent la littérature antihésychaste de Jean, sont accompagnées d'une recherche prosopographique sur l'auteur, ainsi que d'un commentaire sur son appropriation des sources aristotéliciennes, néoplatoniciennes, stoïciennes, patristiques et byzantines.
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Le rapport des usagers aux produits de design dans une perspective de consommation durableMarchand, Anne January 2003 (has links)
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Simplicité de George Sand dans ses romans socialistes et champêtres (1840-1853) / The simplicity of George Sand in his socialist and pastoral novels (1840-1853)Zheng, Yi Jiao 13 December 2014 (has links)
« La simplicité » est un principe essentiel de l’esthétique de George Sand, ce goût permanent marque non seulement la vie réelle de l’écrivain, mais aussi ses œuvres, surtout la série de romans champêtres et socialistes (1840-1853), dont le décor principal est la campagne berrichonne. Nous allons étudier successivement, en trois grandes parties, la notion de simplicité chez George Sand et son sentiment de la nature, la simplicité en tant que constituant de la nature humaine et enfin la simplicité considérée comme le comble de l’art. Les personnages sandiens, paysans ou aristocrates, s’unissant dans une vie idyllique, sont souvent empreints de la même caractéristique se présentant sous diverses facettes : rejet de l’affectation, absence de duplicité et de prétention, refus des artifices, goût pour le naturel et la transparence, ou sublime, naïveté, ingénuité, sincérité, candeur, etc.. Sur le plan esthétique, la simplicité signifie le non composé, le non apprêté, l’originel, le primitif, l’élémentaire, le caractère d’un ensemble formant une entité harmonieuse pouvant être saisie par une intuition synthétique. Tout cela se voit dans la musique populaire et les objets d’art créés par des artistes naïfs. La simplicité sandienne se présente aussi dans d’autres domaines comme les mœurs rustiques, la société et la politique, mais cela restera notre travail post-thèse. / Simplicity is a fundamental principle of George Sand’s aesthetics.The taste for simplicity has also not only pervaded the writer’s life but her whole work, and notably the socialist and country novels (1840-1853) taking place in the Berry landscape.Our purpose is to analyse firstly, Sand’s concept of simplicity and the way she perceives nature, then simplicity as a component of humanity and finally simplicity revealing consummate artistry. Sand’s characters, either peasants or aristocrats sharing an idyllic life, often show this same psychological characteristic under different features: reject of affectedness, absence of duplicity, taste for naturalness and openness, longing for sublimity, innocence, ingenuousness, genuineness, naivety, etc.Aesthetically speaking, simplicity refers to all that is not composed, not prepared, and, positively, to that what is genuine, primitive, and elemental. Simplicity is also accomplished in any harmonious whole perceptible through synthetic intuition, like popular music pieces and naif works of art.Sand’s concept of simplicity also operates in other fields like rural customs and habits and society and politics, as we will show in our subsequent research.
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Écriture de la pureté dans l’œuvre d’Anatole France / Writing of the purity in the works of Anatole FranceRokukawa, Yuko 16 September 2013 (has links)
Alors qu’Anatole France (1844–1924) est considéré comme écrivain sceptique et ironique, un de ses contes intitulé « Le Jongleur de Notre-Dame » échappe à une telle définition. Le ton pieux et sincère de ce conte, fondé sur une légende du Moyen Âge, semble aller à l’encontre du scepticisme, de l’anticléricalisme, et du classicisme déclarés de l’auteur. Au lieu de tenir pour exceptionnels ce type de textes qui mettent en scène une forme de « pureté » dans un sens religieux, tenter de les intégrer dans l’œuvre d’A. France permettra de découvrir une nouvelle facette de l’écrivain, et d’appréhender son idée et son œuvre dans une complexité et une profondeur qui sont cachées sous une apparence simple. Dans un premier temps, on mettra en relation les thèmes médiévaux chez A. France et la mode du médiévisme au XIXe siècle, tant dans le domaine scientifique que dans le courant littéraire, afin d’éclairer l’influence de son époque sur son image médiévale, et la signification de cette image. Dans un deuxième temps, on traitera de la pratique de la réécriture. Par une comparaison, d’une part, entre les textes d’A. France et leurs hypotextes, et d’autre part, entre la réécriture francienne et la réécriture chez les écrivains contemporains, on précisera les caractéristiques et les procédés de la réécriture de notre écrivain. En outre, on montrera que la mise en cadre, ainsi que la réécriture, s’impose dans ses textes, soulignant ainsi la modestie de l’auteur, et la diminution de l’autorité auctoriale. Toutes ces analyses révèleront l’importance de la « simplicité » qui apparaît à plusieurs niveaux dans les textes franciens, et qui peut donner accès à une « pureté » harmonieuse. / While Anatole France (1844–1924) is considered a skeptical, ironic writer, one of his short stories, entitled “Le Jongleur de Notre-Dame” can not easily be reduced to such a reading. Instead, it is a pious and sincere story based on a legend from the Middle Ages – a perspective contradictory to his skepticism, anticlericalism, and classicism. Rather than counting as exceptional cases texts like this that portray “purity” in a religious sense, an attempt to integrate them into the overall view of the works of A. France will enable us to discover a new side to the writer and apprehend his ideas and his works in a complexity and depth that are hidden under simple surface appearances. As a first step, we connect the medieval themes of A. France with the medievalist movement of the 19th century, seen in both historical study and literature, in order to clarify the influence of his times on his image of the Middle Ages, and the meaning of that image. As a second step, we consider the practice of rewriting. By comparing the texts of A. France with their sources, and comparing rewriting of those sources by A. France with rewriting of similar sources by his contemporaries, we identify A. France’s method of rewriting and the characteristics of the product. In addition, we find that the use of “frame story” narration is as necessary as rewriting in the texts of A. France, serving to accentuate the modesty of the author and as a result affecting a decrease in authorial authority. All these analyses reveal the importance of the “simplicity” that appears at several levels in the texts of A. France, and which can give access to the harmonious “purity”.
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Écriture de la pureté dans l'œuvre d'Anatole FranceRokukawa, Yuko 16 September 2013 (has links) (PDF)
Alors qu'Anatole France (1844-1924) est considéré comme écrivain sceptique et ironique, un de ses contes intitulé " Le Jongleur de Notre-Dame " échappe à une telle définition. Le ton pieux et sincère de ce conte, fondé sur une légende du Moyen Âge, semble aller à l'encontre du scepticisme, de l'anticléricalisme, et du classicisme déclarés de l'auteur. Au lieu de tenir pour exceptionnels ce type de textes qui mettent en scène une forme de " pureté " dans un sens religieux, tenter de les intégrer dans l'œuvre d'A. France permettra de découvrir une nouvelle facette de l'écrivain, et d'appréhender son idée et son œuvre dans une complexité et une profondeur qui sont cachées sous une apparence simple. Dans un premier temps, on mettra en relation les thèmes médiévaux chez A. France et la mode du médiévisme au XIXe siècle, tant dans le domaine scientifique que dans le courant littéraire, afin d'éclairer l'influence de son époque sur son image médiévale, et la signification de cette image. Dans un deuxième temps, on traitera de la pratique de la réécriture. Par une comparaison, d'une part, entre les textes d'A. France et leurs hypotextes, et d'autre part, entre la réécriture francienne et la réécriture chez les écrivains contemporains, on précisera les caractéristiques et les procédés de la réécriture de notre écrivain. En outre, on montrera que la mise en cadre, ainsi que la réécriture, s'impose dans ses textes, soulignant ainsi la modestie de l'auteur, et la diminution de l'autorité auctoriale. Toutes ces analyses révèleront l'importance de la " simplicité " qui apparaît à plusieurs niveaux dans les textes franciens, et qui peut donner accès à une " pureté " harmonieuse.
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Semi-simplicity of l-adic representations with applications to Shimura varieties / Semi-simplicité des représentations l-adiques et applications aux variétés de ShimuraFayad, Karam 29 September 2015 (has links)
On étudie dans un cadre abstrait des critères de semi-simplicité pour des représentations l-adiques de groupes profinis. On applique les résultats obtenus pour montrer que les relations d'Eichler-Shimura généralisées entraînent la semi-simplicitéde certaines représentations galoisiennes non triviales qui apparaissent dans la cohomologie des variétés de Shimura unitaires. Les résultats les plus intéressants sont obtenus pour les variétés de Shimura unitaires de signature $(n,0)^a \times (n-1,1)^b \times (1,n-1)^c \times (0,n)^d$. / We prove several abstract criteria for semi-simplicity of l-adic representations for profinite groups. As an application, we show that generalised Eichler-Shimura relations imply the semi-simplicity of a non-trivial subspace of middle cohomology of unitary Shimura varieties. The most complete results are obtained for unitary Shimura varieties of signature $(n,0)^a \times (n-1,1)^b \times (1,n-1)^c \times (0,n)^d$.
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Fusion libre et autres constructions génériquesHils, Martin 12 October 2006 (has links) (PDF)
L'objet de cette thèse est l'étude des amalgames de Hrushovski dans le contexte relatif. D'abord, la fusion libre de deux théories simples de rang 1 T(1) et T(2) est construite, au-dessus d'un réduit commun T(0) qui est supposé fortement minimal et omega-catégorique. Dans bien des cas, il est montré que ses complétions sont simples. Si les T(i) sont fortement minimales et si une condition géométrique est satisfaite - par exemple si le réduit commun est un espace vectoriel sur un corps fini - la fusion libre est complète et omega-stable. En supposant de plus que les multiplicités sont définissables dans T(i), le collapse de <br />la fusion libre sur une fusion fortement minimale est effectuée. Puis, des variations sur le thème de la fusion sont étudiées (courbe générique et structures bicolores). À titre d'exemple, il suit des résultats que l'on peut donner un sens à la notion d'une courbe générique dans un corps pseudofini. Enfin, l'axiomatisabilité de l'automorphisme générique est démontrée dans certains contextes issus d'une amalgamation à la Hrushovski dont la fusion libre et les théories des différents corps bicolores de Poizat (noir, rouge et vert).
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Les fonctions théoriques de la notion d’acte d’être (actus essendi) chez Thomas d’AquinBarrette, Geneviève 08 1900 (has links)
Nous entendons, dans ce mémoire, préciser le sens d'actus essendi par l’analyse de
l’emploi du terme par Thomas d’Aquin. Bien que la notion d’acte d’être soit sousjacente
à nombre de développements philosophiques et théologiques de l’Aquinate,
elle n’est considérée pour elle-même dans aucun texte du corpus thomasien. En
exposant le cadre théorique des onze unités textuelles dans lesquelles on retrouve
nommément l’expression, nous explicitons les distinctions qu’opère Thomas entre
l’acte d’être et les notions ontologiques corrélatives (étant, quiddité, être du jugement
prédicatif et être commun). Si « actus essendi » désigne en premier lieu un principe
constitutif de l’étant, il peut encore désigner le terme abstrait correspondant à cette
perfection de l’étant. L’acte d’être est ainsi ce par quoi l’étant est étant; il est
cependant, au plan ontologique, propre à chaque étant singulier tandis que, au plan
conceptuel, le même terme exprime ce qui est commun à tous les étants. Une
traduction des extraits du Scriptum super Sententiis, des Quæstiones de quolibet, de
la Summa Theologiæ, des Quæstiones disputatæ De potentia, de l’Expositio libri De
hebdomadibus et de la Expositio libri Metaphysicæ a été produite pour les fins de
cette étude. / In this paper, we intend to precise the meaning of actus essendi by analyzing how
Thomas Aquinas uses this term. If the notion of the act of being underlies a number of
Aquinas’ philosophical and theological developments, it is not treated in itself in any
of his writings. By exposing the theoretical framework of the eleven textual units in
which the expression namely appears, we explicate how he distinguishes between
the act of being and the correlative ontological notions (the being, the essence, the
predicamental judgment being and common being). If « actus essendi » first
designates a constitutive principle of being, it can also designate the corresponding
abstract term of this perfection of being. The act of being is that by which being is
being; however, it belongs, at the ontological level, to each particular being whereas
at the conceptual level, the same term expresses that which is common to all beings.
Extracts of the following texts have been translated in French for this purpose:
Scriptum super Sententiis, Quæstiones de quolibet, Summa Theologiæ, Quæstiones
disputatæ De potentia, Expositio libri De hebdomadibus and the Sententia libri
Metaphysicæ.
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Les fonctions théoriques de la notion d’acte d’être (actus essendi) chez Thomas d’AquinBarrette, Geneviève 08 1900 (has links)
Nous entendons, dans ce mémoire, préciser le sens d'actus essendi par l’analyse de
l’emploi du terme par Thomas d’Aquin. Bien que la notion d’acte d’être soit sousjacente
à nombre de développements philosophiques et théologiques de l’Aquinate,
elle n’est considérée pour elle-même dans aucun texte du corpus thomasien. En
exposant le cadre théorique des onze unités textuelles dans lesquelles on retrouve
nommément l’expression, nous explicitons les distinctions qu’opère Thomas entre
l’acte d’être et les notions ontologiques corrélatives (étant, quiddité, être du jugement
prédicatif et être commun). Si « actus essendi » désigne en premier lieu un principe
constitutif de l’étant, il peut encore désigner le terme abstrait correspondant à cette
perfection de l’étant. L’acte d’être est ainsi ce par quoi l’étant est étant; il est
cependant, au plan ontologique, propre à chaque étant singulier tandis que, au plan
conceptuel, le même terme exprime ce qui est commun à tous les étants. Une
traduction des extraits du Scriptum super Sententiis, des Quæstiones de quolibet, de
la Summa Theologiæ, des Quæstiones disputatæ De potentia, de l’Expositio libri De
hebdomadibus et de la Expositio libri Metaphysicæ a été produite pour les fins de
cette étude. / In this paper, we intend to precise the meaning of actus essendi by analyzing how
Thomas Aquinas uses this term. If the notion of the act of being underlies a number of
Aquinas’ philosophical and theological developments, it is not treated in itself in any
of his writings. By exposing the theoretical framework of the eleven textual units in
which the expression namely appears, we explicate how he distinguishes between
the act of being and the correlative ontological notions (the being, the essence, the
predicamental judgment being and common being). If « actus essendi » first
designates a constitutive principle of being, it can also designate the corresponding
abstract term of this perfection of being. The act of being is that by which being is
being; however, it belongs, at the ontological level, to each particular being whereas
at the conceptual level, the same term expresses that which is common to all beings.
Extracts of the following texts have been translated in French for this purpose:
Scriptum super Sententiis, Quæstiones de quolibet, Summa Theologiæ, Quæstiones
disputatæ De potentia, Expositio libri De hebdomadibus and the Sententia libri
Metaphysicæ.
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Les mutations de la rhétorique dans l'oeuvre de GuillevicGarnaud, Delphine 19 June 2013 (has links) (PDF)
Chez Guillevic, le statut de la rhétorique est paradoxal. Toute l'œuvre est traversée par un impératif des choses et du réel qui s'accompagne d'un vœu de simplicité. Cette poésie, qui se voit rappelée à l'ordre du concret, se méfie d'une rhétorique qui viendrait éclipser la réalité des choses, ou accroître la distance entre ces deux pôles, que sont l'expérience du monde et sa mise en mots. Les poèmes, denses et resserrés sur eux-mêmes, se présentent alors manifestement comme un défi à la rhétorique. Pourtant, nous n'assistons pas à une éviction de la notion, mais plutôt à un ensemble de mutations, qui supposent une subrogation des valeurs la définissant. En effet, si Guillevic passe pour un poète qui se serait spontanément tourné vers le monde et vers les objets, ce rapport au réel, au départ, n'a rien d'euphorique. Il reste à construire car le monde se rétracte. Il faut retrouver une force dans le langage ; une force agissante. Se méfier d'une rhétorique éloquente et ornementale revient alors à inscrire dans le poème une tension qui fait du langage un support solide auquel se raccrocher ; les figures ne sont plus de l'ordre de la figuration mais de celui de la mise en rapport. On assiste donc à des processus de relittéralisation et de défiguration du langage, ce qui fait qu'il n'est plus question d'une rhétorique de surface, mais d'une rhétorique fondamentale, qui passe par un engagement de l'être dans le langage. Et comme il s'agit toujours de chercher à faire l'expérience du monde, plutôt que de s'obstiner à lui trouver un sens, la rhétorique est alors dissociée de ces notions de conceptualité, de représentation et de signification qu'elle a tendance à véhiculer. Enfin, chez Guillevic, se méfier de la rhétorique, c'est aussi remplacer la métaphore par l'ellipse et instaurer dans le poème un creux, ou un entre-deux, qui, sans pour autant annuler ce constat d'une inadéquation fondamentale entre le langage et la réalité, ne se présente pas moins comme le lieu où peut advenir une dimension neuve et originelle du sujet, du langage et du monde.
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