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L'administration décentralisée du territoire : choix et perspectives ouverts sous la Cinquième République

Bouet, Jean-Baptiste 12 December 2006 (has links) (PDF)
Les choix et perspectives ouverts par l'administration décentralisée du territoire sous la Cinquième République montrent une continuité. La continuité réside dans la construction progressive de l'Etat unitaire décentralisé depuis 1958 et l'adoption de la Constitution de la Cinquième République. Deux étapes marquent cette évolution : les lois de 1982-1984 et la révision constitutionnelle de 2003, même si elles sont insuffisantes pour la décrire. Les lois adoptées et les débats parlementaires montrent globalement un consensus sur l'idée de décentralisation entre les différents partis politiques et une opposition souvent superficielle. La République décentralisée se caractérise aujourd'hui par son organisation à trois niveaux (commune, département, région), la multiplicité des instruments de coopération entre collectivités, les moyens juridiques, financiers et humains donnés aux collectivités territoriales et l'importance grandissante accordée à la démocratie locale.
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Penser et décrire le patrimoine foncier du monastère de Bobbio aux temps carolingiens: édition et analyse du "Breve" et de deux polyptyques

Laurent, Marie-Aline 06 November 2009 (has links)
Cette thèse offre une nouvelle édition de trois documents essentiels pour l’histoire du monastère italien de Bobbio au 9e siècle :le « Breve memorationis » de l’abbé Wala (c. 835) et les polyptyques de 862 et 883. Au travers d’une analyse qui prête une attention inédite à la matérialité des documents originaux, il a été possible de mettre en évidence un certain nombre de logiques internes aux documents et de démarches d’enquête et de mise par écrit jusque là totalement ignorées par la recherche. L’importance des logiques de succession géographique des possessions a notamment été mise en évidence, en rapport direct avec la forme donnée au texte de 862 par son rédacteur. La personnalité de Wala est longuement étudiée, ainsi que l’organisation interne du monastère à laquelle son nom est associé. Enfin, le polyptyque de 883 bénéficie d’une attention nouvelle, qui permet de rédéfinir sa place et son rôle par rapport à son modèle de 862. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Ucanal, une ville frontière : étude de la fluidité des frontières sociopolitiques. Analyse des céramiques fines de la période Classique maya

Le Moine, Jean-Baptiste 03 1900 (has links)
L'ancienne cité maya d'Ucanal se situe à la frontière des grandes capitales et de leurs influences stylistiques pendant la majeure partie de son histoire. De plus, sa localisation sur la rivière Mopan en fait un lieu décisif pour les réseaux d'échanges puisqu'elle relie la mer des Caraïbes au golfe du Mexique. A ce titre, la ville fut convoitée par les grands centres afin de maîtriser les grands axes de communication. Cependant, ces centres n'ont jamais été assez forts pour contrôler complètement la ville d’Ucanal. Cette étude examine ces relations politiques et sociales et leurs changements du point de vue des céramiques d'Ucanal durant la période du Classique Récent (environ 600-810 DNÈ) au Classique Terminal (environ 810-950/1000 DNÈ). Nous avons établi un nouveau protocole méthodologique pour l'analyse chimique des pâtes céramiques à l'aide d’un instrument portable de Fluorescence par Rayons X (pXRF) et comparé les résultats sur les mêmes échantillons à l'aide de l’Analyse Instrumentale par Activation Neutronique (INAA), une méthode plus conventionnelle et plus précise pour les études de provenance chimique. Les résultats de ces comparaisons révèlent que le pXRF pourrait fournir des désignations de provenance préliminaires pour identifier les céramiques locales et non locales (article 1). Une analyse de la répartition des céramiques décorées et importées sur le site d'Ucanal comparant les maisonnées d'élite, de statut intermédiaire et non élite, a indiqué que les maisonnées de statut intermédiaire ont obtenu un accès croissant aux céramiques fines et importées durant le Classique Récent et le Classique Terminal, et que cette dernière était une période de grande mobilité sociale (article 2). À son tour, une analyse du point de vue des communautés de pratique des céramiques moulées de la période du Classique Terminal a révélé qu'Ucanal et sa région se trouvaient à un noeud important des réseaux de production et d'échange de céramique, ce qui a aidé à créer un paysage politique décentralisé mais fortement interconnecté (article 3). / The ancient Maya city of Ucanal sat at the frontier of larger political capitals and their stylistic influences throughout most of its history. Moreover, its localization alongside the Mopan River placed it in a decisive location for exchange networks between the Caribbean Sea and the Gulf of Mexico. As such, the city was coveted by major centers in their attempted control of this major communication axis. However, these centers were never strong enough to completely control the city of Ucanal. This research project examines these social and political relationships from the perspective of Late Classic (ca. 600-810 CE) and Terminal Classic (ca. 810-950/1000 CE) period ceramics from Ucanal. It establishes a new methodological protocol for the chemical analysis of ceramics using a portable X-ray fluorescence instrument (pXRF) and comparing the same samples with Instrumental Neutron activation Analysis (INAA), a more established and precise chemical analysis method. The results indicate that pXRF analyses can provide preliminary provenience identifications of local and non-local ceramics (article 1). A distribution analysis of decorated and imported ceramics from Ucanal that compares elite, middle-status, and non-elite household contexts reveals that middle-status households had increasing access to decorated and imported ceramics between the Late Classic and Terminal Classic periods, and that the latter was a period of substantial social mobility (article 2). In turn, an analysis of molded Terminal Classic ceramics from the theoretical perspective of communities of practice demonstrates that Ucanal and its surrounding region were situated at an important nexus of ceramic production and exchange and helped forge a decentralized but highly interconnected political landscape (article 3).
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Le pacte d'actionnaires dans l'environnement sociétaire

Leroy, Caroline 14 June 2010 (has links)
Le pacte d’actionnaires se place dans une forme de dépendance unilatérale au contrat de société qui n’est pas sans rappeler le rapport juridique d’accessoire à principal.En effet, s’il est fondamentalement distinct du contrat de société qu’il complète, tout pacte conclu par certains actionnaires, en dehors des statuts, afin d’organiser leurs relations interindividuelles d’actionnaires, trouve nécessairement sa matière et puise sa raison d’être dans le pacte social. Ainsi, la dépendance du pacte au contrat de société se manifeste-t-elle, de la manière la plus évidente, par la caducité qu’entraîne pour le pacte l’arrivée du terme du contrat de société ou la perte de la qualité d’actionnaire d’un partenaire.Dès lors, par analogie avec la règle selon laquelle l’accessoire a vocation à suivre le sort du principal, cette dimension d’accessoire du contrat de société justifie que le pacte subisse l’influence du cadre juridique auquel le contrat de société est lui-même soumis, à savoir le droit des sociétés et, en particulier, l’ordre public sociétaire.Cette dépendance au contrat de société, par essence commune à tous les pactes d’actionnaires en raison de leur objet matériel et de leur cause, est à géométrie variable. Elle repose en effet sur divers facteurs de rattachement au contrat de société que sont l’exercice du droit de vote, la détention des actions ou la qualité d’actionnaire des partenaires, lesquels impriment, selon qu’ils s’immiscent plus ou moins profondément dans le fondement, la structure ou encore le fonctionnement de la société, différents degrés de dépendance dans la relation pacte - contrat de société.Malgré l’hétérogénéité du régime des pactes d’actionnaires, il est alors possible de dégager,à l’aune de cette dimension d’accessoire, une tendance fondamentale qui anime, en droit positif, la jurisprudence relative aux pactes. Cette ligne directrice réside dans la variabilité du degré d’emprise des règles qui encadrent le contrat de société sur le régime des pactes d’actionnaires.La jurisprudence se révèle être, en effet, d’une manière générale et par-delà la casuistique, en cohérence avec cette influence proportionnelle de l’environnement sociétaire à l’intensité du degré de dépendance que présente chaque type de pacte en fonction du facteur qui le rattache au contrat de société. Les pactes caractérisés par une dépendance marquée au contrat de société bénéficient ainsi d’une marge de liberté à la mesure de celle dont bénéficie le contrat de société pour l’aménagement de l’exercice du droit de vote ou de la perte de la qualité d’actionnaire. Au contraire, les pactes caractérisés par une dépendance modérée au contrat de société, qui organisent des cessions ou des acquisitions d’actions,sont plus largement libérés des contraintes auxquelles est soumis le contrat de société au regard du principe de libre négociabilité des actions. Quant à l’influence sur les pactes de certains autres principes d’ordre public sociétaire, tels que la prohibition des clauses léonines ou l’expertise de l’article 1843-4 du Code civil, elle demeure incertaine en droit positif. Toutefois, la jurisprudence tend à reconnaître le particularisme de ces règles et à leur retirer, en conséquence, tout caractère impératif en dehors du cadre des relations entretenues collectivement par les actionnaires avec la société. / Shareholders’ agreement falls into a form of unilateral dependence to the companyagreement that is reminiscent of the legal relationship between the incidental and itsprincipal.Indeed, although it is fundamentally separate from the company agreement, which itsupplements, any agreement concluded by certain shareholders apart from the articles ofassociation, in order to organise their inter-individual shareholders relationships, is,nevertheless, necessarily based on and permitted by the company agreement. Thus, thecontractual dependency of the shareholders’ agreement to the company agreementmanifests itself, in the most obvious way, through the obsoleteness of the shareholders’agreement caused by the termination of the company agreement or by the loss ofshareholder status by a partner.Therefore, by analogy with the rule according to which the incidental is inclined to yield to theprincipal, such kinship to the quality of accessory to the company agreement justifies the factthat the shareholders’ agreement would be under the influence of the legal framework towhich the company’s memorandum and articles of association are submitted, that is to saycorporate law and, in particular, corporate law and order.This dependence to the company agreement, which is in essence common to allshareholders’ agreements due to their material object and cause, turns out to be flexible. Itrests indeed on different connecting factors to the company agreement, such as using thevoting right, shareholding or shareholder status of partners, which imprint, according to howdeep they work into the company foundation, structure or functioning, different degrees ofdependence in the relationship between the shareholders’ agreement and the companyagreement.In spite of the heterogenic regime of the shareholders’ agreements, it is possible to outline, inrespect to this type of accessory status to the company agreement, a crucial tendency thatleads, in positive law, agreements-related case law. This guideline lies in the variability of thehold on shareholders’ agreements regime by the rules that frame the company’smemorandum and articles of association.Indeed, case law proves to be, generally speaking and beyond casuistry, consistentwith this proportional influence of the company environment to the degree of dependenceeach type of shareholders’ agreement is subject to, according to the factor connecting it tothe company agreement. The shareholders’ agreements that show a strong dependence tothe company agreement are given a leeway commensurate with the one the company’smemorandum and articles of association benefit from regarding voting right or loss ofshareholder status arrangements. By contrast, the moderately dependant shareholders’agreements, organising transfer or acquisition of shares, are more widely released from therestrictions that govern the company’s articles of association regarding the principle of freetransferability of shares. Furthermore, the influence on shareholders’ agreements of someother principles of corporate law and order, such as the leonine clause prohibition or theexpertise of Article 1843-4 of the French Civil Code, remain uncertain in positive law.However, case law tends to recognize the distinctive identity of these rules and,consequently, to clear them from any imperative property beyond the frame of therelationships that the shareholders have collectively with the company.
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Les sociétés de personnes et la problématique de l'intuitus personae, en France et au Québec

Jean-Baptiste, Gilbert 09 1900 (has links)
"Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de maîtrise en droit (LL.M.)" / À travers nos observations dans le milieu ambiant de l'environnement des sociétés de personnes (précisément les sociétés en nom collectif, et les «joint venture»), nous identifions plusieurs sources de conflits. Elles forment la toile de fonds de notre problématique. Elles sont parfois d'ordre administratif, financier, socioprofessionnel, moral et même sentimental. Cependant, quelque soit leur origine, force est de constater, qu'elles baignent toutes dans un même océan, l'influence prépondérante du facteur de l' intuitus personae. Dans ce mémoire nous orientons nos recherches vers la résolution des situations conflictuelles liées à l'intuitus personae au sein des sociétés de personnes. Nos recherches pivoteront autour de deux axes principaux: le rôle prépondérant de la personne physique sur les décisions de la société et les conséquences des relations personnelles entre associés. À ce titre, nos véhicules de recherches privilégiés pour aborder les différents chapitres, seront notamment les droits français et québécois, avec des références en temps et au besoin au droit canadien. D'emblée nous écarterons certaines sociétés à faible intuitus personae, non parce qu'elles ne s'accordent pas avec nos pistes de recherches, mais en considération de leur relative importance. Notre sujet étant d'une portée transversale, nous interrogerons en détailla société en nom collectif, et très sommairement les «joint venture», en vertu des principes du droit français et québécois. L'objectif de la première partie est de brosser un tableau succinct de ces différentes sociétés, tout en fixant les projecteurs sur les aspects particuliers du montage des contrats ad hoc. La naissance de ce nouveau contrat crée t-elle une personnalité morale autonome? La réponse à cette problématique sera fondamentale et indispensable pour la compréhension de notre partie II. Nous élargirons notre zone de soupçon, en scrutant des cas de jurisprudence, qui seront d'un support incontestable. La deuxième partie sera consacrée à l'étude de la notion de l'intuitus personae en interaction avec le fonctionnement de la société et avec les tiers. Nous mettrons en évidence les conséquences de la présence de l'intuitus personae et nous ferons ressortir également que les tribunaux se basent sur ces types de relations pour étayer leur jugement. En conclusion, nous démontrerons que les deux considérations, l'intuitus personae, l'intuitus pecuniae, sont essentielles à la vie de la société, elles conduisent à l'intuitus societae. La valeur pécuniaire est indispensable, aux critères personnels et vice versa. Et, nous préciserons que l'importance de l'intuitus personae varie avec la taille de l'entreprise. Nous démontrerons que le succès des sociétés de personnes dépend inévitablement, du montage du contrat de société. Il représente la soupape de sécurité d'un univers quelquefois abstrait.
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Les sociétés de personnes et la problématique de l'intuitus personae, en France et au Québec

Jean-Baptiste, Gilbert 09 1900 (has links)
À travers nos observations dans le milieu ambiant de l'environnement des sociétés de personnes (précisément les sociétés en nom collectif, et les «joint venture»), nous identifions plusieurs sources de conflits. Elles forment la toile de fonds de notre problématique. Elles sont parfois d'ordre administratif, financier, socioprofessionnel, moral et même sentimental. Cependant, quelque soit leur origine, force est de constater, qu'elles baignent toutes dans un même océan, l'influence prépondérante du facteur de l' intuitus personae. Dans ce mémoire nous orientons nos recherches vers la résolution des situations conflictuelles liées à l'intuitus personae au sein des sociétés de personnes. Nos recherches pivoteront autour de deux axes principaux: le rôle prépondérant de la personne physique sur les décisions de la société et les conséquences des relations personnelles entre associés. À ce titre, nos véhicules de recherches privilégiés pour aborder les différents chapitres, seront notamment les droits français et québécois, avec des références en temps et au besoin au droit canadien. D'emblée nous écarterons certaines sociétés à faible intuitus personae, non parce qu'elles ne s'accordent pas avec nos pistes de recherches, mais en considération de leur relative importance. Notre sujet étant d'une portée transversale, nous interrogerons en détailla société en nom collectif, et très sommairement les «joint venture», en vertu des principes du droit français et québécois. L'objectif de la première partie est de brosser un tableau succinct de ces différentes sociétés, tout en fixant les projecteurs sur les aspects particuliers du montage des contrats ad hoc. La naissance de ce nouveau contrat crée t-elle une personnalité morale autonome? La réponse à cette problématique sera fondamentale et indispensable pour la compréhension de notre partie II. Nous élargirons notre zone de soupçon, en scrutant des cas de jurisprudence, qui seront d'un support incontestable. La deuxième partie sera consacrée à l'étude de la notion de l'intuitus personae en interaction avec le fonctionnement de la société et avec les tiers. Nous mettrons en évidence les conséquences de la présence de l'intuitus personae et nous ferons ressortir également que les tribunaux se basent sur ces types de relations pour étayer leur jugement. En conclusion, nous démontrerons que les deux considérations, l'intuitus personae, l'intuitus pecuniae, sont essentielles à la vie de la société, elles conduisent à l'intuitus societae. La valeur pécuniaire est indispensable, aux critères personnels et vice versa. Et, nous préciserons que l'importance de l'intuitus personae varie avec la taille de l'entreprise. Nous démontrerons que le succès des sociétés de personnes dépend inévitablement, du montage du contrat de société. Il représente la soupape de sécurité d'un univers quelquefois abstrait. / "Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de maîtrise en droit (LL.M.)"
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Le pacte d'actionnaires en droit égyptien sous le prisme du droit français / The shareholders' agreement under Egyptian law through the prism of French law

Galal Sayed, Mazin 09 March 2016 (has links)
Les pactes d’actionnaires, conventions adoptées par les protagonistes des affaires internationales, répondent aux attentes des administrateurs et actionnaires quant à la circulation des actions et des parts sociales. Par contre, hors le marché règlementé, la liberté contractuelle accordée à la société – et actionnaires – de recourir à ce type d’arrangement contractuel, se heurte à la réalité légale et jurisprudentielle qui demeure la seule source de droit régissante cette convention. En optant pour la conclusion d’un pacte d’actionnaires, aucune disposition légale, notamment article de droit, ne régit cette convention. Ce contrat reste donc soumis aux règles de droit commun. Cette particularité accorde aux protagonistes une certaine liberté de rédaction, ce qui créé une originalité quant à la forme, au fond et aux effets de l’application du pacte. Reconnu, dans le monde des affaires français – tant par le législateur français que par les praticiens et protagonistes, comme étant une des formes adaptées à la gestion leurs sociétés, le législateur égyptien découvre encore cette forme contractuelle. La mondialisation, culturelle et commerciale, a non seulement permis de rapprocher entre les commerçants afin de trouver des solutions créatives quant à la conclusion des pactes d’actionnaires, mais aussi aux législateurs, autant bien français qu’égyptiens, de trouver des solutions quant aux problématiques qui s’opposent aux praticiens lors de la négociation, la conclusion ou même l’exécution de ces contrats. L’objet de cette étude sera d’examiner les particularités des pactes d’actionnaires dès la phase des négociations, passant par les phases de conclusion et exécution, jusqu’à la phase conflictuelle. Cette étude visera le modèle français, ayant déjà avancé sur ce domaine, en le comparant au modèle égyptien qui commence à se familiariser avec cette pratique. Bien que ces deux exemples demeurent toujours en voie d’évolution, le recours à ce type de contrat révèle des particularités et difficultés lors de son application, ce qui incitera les protagonistes à trouver des modalités novatrices permettant une mise en œuvre plus efficace de ces contrats et répondant à leurs attentes. / The shareholder agreements, considered as the one of the major contracts concluded by and between the actors of the international affairs, meet the expectations of the companies’ directors and shareholders regarding the transfer of stocks and shares. Nevertheless, outside the regulated market, the principle of contractual freedom accorded to the company - and its shareholders - to resort to this type of contractual arrangement, faces both legal and jurisprudential realities, which remains the only source of law governing this agreement.By choosing to undertake a shareholder agreement, no legal provision, including article nor law, governs this type of agreement. This agreement is therefore subject to the dispositions of the applicable general law. This feature gives the parties some freedom on drafting the agreement, which affects the form and content of the contract and produce its effects on the contract’s application. vWhile this agreement is frequently used in the French business practice - both by the French legislature and by practitioners and shareholders, and considered as one of the forms used to manage the companies, the Egyptian legislation is still discovering this contractual management form.The cultural and commercial globalization has not only helped traders to find creative solutions by entering into this agreement, but it has also helps the French and Egyptian legislations to find solutions as to issues that oppose practitioners during the negotiation of the contract, its conclusion or even during its execution.The purpose of this study is to examine the features of the shareholder agreements starting from the negotiations phase, through the conclusion and execution phases, until the conflictual phase. This study will focus on the French model, having already progressed in this area, compared to the Egyptian model that begins to become familiar with this practice. Although these two examples are still in process of evolution, the use of this type of contracts reveals the peculiarities and difficulties in its implementation, which will encourage the parties to find more innovative methods for more effective implementation of these contracts in order to meet their mutual expectations.
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Un art citoyen: recherches sur l'orientalisation des artisanats en Grèce proto-archaïque / An art of citizenship: studies on Greek orientalizing artefacts.

Brisart, Thomas 08 May 2009 (has links)
Cette thèse cherche à mettre en évidence les raisons qui ont amené une large part des ateliers grecs à orientaliser leurs productions durant la "période orientalisante" (VIIe siècle avant J.-C.). La méthode déployée pour répondre à cet objectif consiste en une contextualisation sociale des artisanats orientalisants, laquelle s'effectue par le biais de l'analyse d'un certain nombre de contextes archéologiques et de textes. Une fois le rôle des objets orientalisants dans la société proto-archaïque mis en évidence, leurs raisons d'être apparaissent plus clairement.<p>Le développement de la citoyenneté en Grèce à partir de la seconde moitié du VIIIe siècle avant J.-C. a donné lieu à une extension du pouvoir politique et militaire à une part plus importante de la population des cités. La propagation de ce qui constituait autrefois les principaux modes de reconnaissance a amené les élites à développer de nouvelles façons de se distinguer dans le paysage social. Dans un même temps, les citoyens de chaque cité ont développé des institutions communales, telles que les cultes civiques et les repas en commun, afin d'unifier le groupe qu'ils formaient et de renforcer le fossé qui séparait celui-ci du reste de la société. Le travail de contextualisation entrepris dans cette thèse a montré que l'art orientalisant constituait un outil facilitant la mise en place de ces deux évolutions.<p>D'une part, parce qu'ils faisaient explicitement allusion aux cultures du Proche-Orient, dont les richesses exerçaient une réelle fascination sur les Grecs de cette époque, les objets orientalisants permettaient de rehausser le prestige de leurs propriétaires. Autrement dit, ils constituaient des modes de reconnaissance sociale particulièrement efficaces. De nombreuses données archéologiques et textuelles ont permis de confirmer ce point de vue, mettant en évidence que les objets orientalisants étaient utilisés lors de banquets prestigieux, comme offrandes ostentatoires aux dieux et aux morts, ou encore pour contenir de précieux parfums. <p>D'autre part, en tant qu'esthétique nouvelle, complètement libérée des formes géométriques utilisées durant les siècles précédents, l'art orientalisant figurait également au rang des pratiques censées unifier la citoyenneté. Cette seconde conclusion a été mise en évidence au travers de l'étude du cas de la Crète, où, au VIIe siècle, l'art orientalisant a en grande partie été utilisé dans le cadre d'institutions civiques :les banquets publics, les cultes civiques, et les guerres.<p><p><p><p>This dissertation aims at the understanding of the reasons lying behind the orientalization of artefacts in Greece during the so-called "Orientalizing period" (i.e. the 7th cent. BC). In order to achieve this goal, the author focused on archaeological contexts and textual information. They allowed him to replace the orientalizing objects back in their original social context and to understand their initial purposes. <p>The birth of the citizenship in Greece at the end of the 8th cent. BC gave rise to the extension of the political and military power to a wider part of the population. This created a need for the former elite to develop other means of social distinction. Conversely, the communities of citizens developed communal institutions, like civic cults, communal dinners, etc. meant to cement and to level the group, and to reinforce the gulf that separated it from the rest of the society. This thesis showed that orientalizing art contributed to the setting up of these changes. <p>On one hand, because Greek orientalizing artefacts explicitly alluded to Near Eastern cultures, that were indeed perceived as being particularly rich at that time by the Greeks, they could enhance the individual prestige of the people using them. Archaeological research confirmed this hypothesis, showing that Greek orientalizing objects were used during conspicuous banquets, as lavish offerings for the dead and the gods, and for containing precious perfumes. <p>On the other hand, as artefacts decorated in a new style, completely freed from the geometric aesthetics displayed in the previous centuries, orientalizing objects also figured among the practices developed for strengthening the citizens’ corps. This second conclusion was reached through the study-case of Crete, where orientalizing art of the 7th cent. seems nearly exclusively used in a context of civic institutions :public banquets, civic cults and festivals, and wars.<p><p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Canonicité de la Conférence des évêques / Canonicity of the Conference of bishops

Malonga Diawara-Doré, Charlemagne Didace 12 September 2012 (has links)
Comme son titre l’indique, la présente thèse porte sur la canonicité de la Conférence des évêques. Elle vise à réfléchir au degré d’autorité decette nouvelle institution spécifiquement latine. La Conférence des évêques est devenue un organe permanent, alors que le Synode desévêques né en 1965 sous le pontificat de Paul VI n’a pas reçu cette caractéristique. La Conférence des évêques est-elle une expression de lacollégialité épiscopale ? Le Concile Vatican II (1962-1965) l’a admise comme l’une des composantes de cette collégialité. Vatican II l’aconsacrée et institutionnalisée (Constitution Lumen Gentium et Décret Christus Dominus), mais sans parvenir à lever toutes les questionsliées à son autorité et à sa juridiction. Le Synode des évêques de 1969, dont le thème annoncé était précisément la collégialité vécue, a aussiabordé la question des Conférences épiscopales. À cette Assemblée synodale, le débat a concerné principalement les moyens à mettre enoeuvre pour réaliser une coopération réelle et efficace entre Rome et les Conférences épiscopales et pour garantir une meilleure autonomie àces Conférences, sans pour autant entraver la liberté du Pape, ni porter atteinte à l’autorité de l’évêque diocésain. Il s’en est suivi une plusgrande détermination des principes qui régissent d’une part les relations entre les Conférences épiscopales et Siège apostolique, et d’autrepart les liens des Conférences épiscopales entre elles.Mais ce débat n’a toujours pas été tout à fait dirimé, surtout quant à l’autorité magistérielle de la Conférence des évêques. La qualificationjuridique en 1983 par les soins de la codification latine semble n’avoir pas suffi. Témoigne de ce malaise persistant le Synode des évêques de1985. Celui-ci a formellement demandé une réévaluation de l’institution de la Conférence des évêques : « Puisque les Conférencesépiscopales sont particulièrement utiles, voire nécessaires dans le travail pastoral actuel de l’Église, on souhaite l’étude de leur « status »théologique pour qu’en particulier la question de leur autorité doctrinale soit plus clairement et plus profondément explicitée, compte tenude ce qui est écrit dans le décret conciliaire Christus Dominus n° 38 et dans le Code de droit canonique, can. 447 et 753 ». Cela aoccasionné deux efforts institutionnels, l’un consultatif (L’Instrumentum laboris de 1987 de la Congrégation pour les évêques), l’autre décisionnel (le Motu proprio Apostolos suos de 1998). Dans cette dernière norme de requalification théologique et juridique, le Pape Jean-Paul II réaffirme de manière plus décisive la spécificité de la Conférence des évêques. Ce vaste dossier peut sembler redondant et lancinant. Les chercheurs peuvent constater que le problème de l’autorité de la Conférence des évêques s’avère encore difficile à trancher. En effet, les principaux paramètres de l’édifice ecclésial ne sont-ils pas profondément interrogés ? / As it is suggested within the title, the present thesis focuses on the canonicity of the Conference of bishops. It aims to reflect the degree ofauthority of this new specifically Latin Institution. The bishops Conference has become a permanent body, while the Synod of bishops whichwas born in 1965, under Pope Paul VI did not receive this feature. Is the Conference of bishops an expression of episcopal collegiality? TheSecond Vatican Council (1962-1965) was admitted as a component of this collegiality. Vatican II was consecrated and institutionalized(Constitution Lumen Gentium and Decree Christus Dominus), but failed to raise any issue relating to its authority and jurisdiction. The 1969Synod of bishops, whose theme was announced, more precisely lived collegiality, also addressed the question of episcopal conferences. Atthe Synod Assembly, the debate has mainly concerned the means to implement in order to achieve a real and effective cooperation betweenRome and the bishops' conferences, and to ensure greater autonomy to these conferences, without impeding the freedom of the Pope, orundermining the authority of the diocesan bishop. There ensued a greater commitment to the principles which govern, on the one hand, therelationship between the Episcopal Conferences and the Apostolic See, and on the other hand, the links between the different episcopalConferences.But that debate has still not been completely invalidated, especially as it refers to the teaching authority of the Conference of bishops. Thejuridical qualification, in 1983, through the efforts of the latin codification seems to have been insufficient.The Synod of Bishops, in 1985, demonstrates this persistent discomfort. It has formally requested a reassessment of the institution of theConference of bishops: « Since the Episcopal Conferences are particularly useful, even necessary in the current pastoral work of theChurch, we want to study their theological " status " so that in particular the issue of their doctrinal authority would be more clearly anddeeply explained, taking into account what is written in the conciliar Decree Christus Dominus, item N° 38 and in the Code of Canon Law,can. 447 and 753 ». This situation derived to two institutional efforts: an advisory one (The Instrumentum laboris of 1987 of theCongregation for bishops), then another one, a decision (the Motu proprio Apostolos suos 1998). In this last theological standard and juridicalrequalification, Pope John Paul II reaffirms, more decisively, the specificity of the Conference of bishops. This extensive file may seem to beredundant and haunting. Researchers can notice that the problem of authority of the Conference of bishops remains difficult to determine. Infact, are the main parameters of the ecclesial structure not deeply questioned ?

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