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Figures de Satan : l'art contemporain face à ses démons : de 1969 à nos jours / Figures of Satan : contemporary art facing its demons : from 1969 to the present

Bianciotto, Benjamin 29 September 2018 (has links)
La représentation de Satan et de ses différentes dénominations a constitué un sujet majeur de l’histoire de l’art occidental chrétien des premiers siècles de notre ère jusqu’au début du vingtième siècle. Alors que nous estimions le thème définitivement abandonné suite au fort recul de la pensée religieuse – notamment de la croyance au Diable – dans les sociétés actuelles, nous relevons que l’art contemporain lui accorde une place prépondérante dans sa production et ses manifestations. Le constat de ce décalage ostensible est à l’origine de la volonté d’étudier les raisons, les expressions et les conséquences qui accompagnent la présence de Satan dans l’art d’aujourd’hui. Pour rendre compte de cette discordance, cette thèse se scinde en trois mouvements : une étude comparative de l’histoire de la figure entre son passé et son présent, puis de sa disparition relative à sa réincarnation effective ; une analyse du traitement de l’imagerie diabolique par les artistes, et des messages qu’ils transmettent à travers elle ; une réflexion sur la survie théorique de la figure, et sur le silence du monde de l’art face à l’omniprésence de sa représentation. Le «retour» du Diable s’explique par deux raisons principales : détaché de ses racines théologiques, il est devenu aisément manipulable ; héritière de son glorieux passé, son image possède une force symbolique irremplaçable. La figure de Satan dans l’art contemporain est le reflet de nos sociétés, de nos angoisses, et de nos espoirs de libération – symptôme et possible remède. Vouloir l’ignorer revient à refuser d’affronter la préoccupante situation sociopolitique du monde : un vœu pieux potentiellement dangereux. / The representation of Satan in his various denominations has constituted a major topic for Western Christian art history, from the first centuries A.D. to the beginning of the twentieth century. While, following the large decline of religious thought and of the belief in the Devil, the theme was considered as permanently obsolete in our present day societies, we notice that contemporary art provides it a leading place in its productions and expressions. The genuine will to study the reasons, the manifestations and the consequences accompanying the presence of Satan in today’s art comes from the observation of this blatant discrepancy. In order to figure out this discordance, this thesis is divided in three parts: a comparative study of the figure between its past and its present, then from its relative disappearance to its effective reincarnation; an analysis of the diabolical imagery as it is treated by artists, and of the messages they deliver through it; a reflection on the theoretical survival of the figure, and on the art world’s silence in the face of his omnipresent representation. The Devil’s “come back” can be explained by two main reasons: cut from his theological roots, this character is easily maneuverable; his image possesses an irreplaceable strength inherited from his glorious past. The figure of Satan in contemporary art mirrors our societies, our fears, our hope for liberation – a symptom and a possible remedy. To try to avoid it is to refuse to contend with the worrying socio-political situation of the world: a potentially dangerous vain wish.
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Etirer la communauté artistique au monde: une sociologie de la mondialisation artistique :enquêtes sur les controverses autour de l' "art contemporain africain"

Gilsoul, Sarah 17 February 2015 (has links)
Cette thèse envisage la mondialisation de l'espace artistique sous l'angle des représentations et des valeurs de l'art qui soutiennent le phénomène et lui donnent forme. Cette problématique est abordée au travers du cas de l' "art contemporain africain", des disputes et des controverses dont il est l'objet. Parce que ces dernières se manifestent principalement à l'occasion de grandes expositions et de biennales d'art contemporain en Europe comme en Afrique, elles constituent les terrains d'enquête de la recherche. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Ktf ; suivi de, La culture populaire et le rire comme instruments de détournement des discours dominants et de la culture consacrée dans Borderline et La brèche de Marie-Sissi Labrèche

Francoeur, Isabelle 08 1900 (has links)
Mémoire en recherche-création / Ktf, la première partie de ce mémoire, est un récit au « je » qui tente de reproduire le parler des jeunes québécois. Il présente une vision des relations amoureuses au temps des nouvelles technologies à travers les yeux d’une jeune femme de 20 ans souffrant de dépendance affective. Le discours se double d’une réflexion sur l’endoctrinement par les discours sociaux qui poussent à accorder une grande importance au paraître. La narratrice, par son point de vue à la fois sarcastique et aliéné, s’attarde à raconter son banal quotidien, tout en reconduisant une multitude de stéréotypes et en pigeant allègrement dans le répertoire du kitsch et des pensées préconçues. Toutefois, grâce à son sens de l’autodérision, la narratrice insuffle à son récit une bonne dose de ridicule ce qui a pour effet de dévoiler le vide de sens qui sous-tend cette culture du paraître. La seconde partie de ce mémoire est un essai qui s’intéresse la culture populaire et au rire comme instruments de détournement des discours dominants et de la culture consacrée dans Borderline et La brèche de Marie-Sissi Labrèche. Cet essai en trois parties s’attarde d’abord à faire ressortir les références au tragique dans les deux récits de l’auteure, afin de montrer comment leurs héroïnes Sissi et Kiki sont oppressées par les grands discours du système officiel. Ensuite, les parties deux et trois portent sur le détournement que les narratrices font subir au tragique en le confrontant à diverses manifestations de la culture populaire comique, dont le kitsch, le grotesque, le ridicule, le carnavalesque et le trash. / Ktf, the first part of this M.A. Thesis, is a narrative that attempts to reproduce the orality of young people in Quebec. It presents a vision of love relationships in the age of new technologies through the eyes of a 20-years-old girl suffering from emotional dependence. The discourse is coupled with a reflection on indoctrination by social discourses that give great importance to appearing. The narrator, from her sarcastic and alienated point of view, dwells on her banal daily life, while reiterating a multitude of stereotypes and while gleefully pumping into kitsch repertoire and preconceived thoughts. However, thanks to her sense of self-deprecation, the narrator infuses her story with a good dose of ridicule, which has the effect of revealing the meaninglessness that underlies this culture of appearances. The second part is an essay on popular culture and laughter as instruments for diverting dominant discourses and consecrated culture in Borderline and La brèche by Marie-Sissi Labrèche. This three-part essay focuses first on highlighting references to tragedy in the author's two narratives, in order to show how their heroines Sissi and Kiki are oppressed by the great rhetoric of the official system. Then, parts two and three analyze how Labrèche turns away the tragic by confronting it with various manifestations of comic popular culture, including kitsch, grotesque, ridiculous, carnivalesque and trash.
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Manières de voir et d’être vue : l’impact des regards télévisuels dans Acide sulfurique d’Amélie Nothomb et Les Sorcières de la République de Chloé Delaume

Leduc, Marie 06 1900 (has links)
Depuis 1984 (1949) de George Orwell, la télévision et les regards (panoptiques et synoptiques) qu’elle engendre constituent un leitmotiv du genre dystopique. Dans les dystopies Acide sulfurique (2005) d’Amélie Nothomb et Les Sorcières de la République (2016) de Chloé Delaume, ils occupent une place centrale. Imposant une façon de voir au moyen du cadrage de la caméra et transmettant le contenu filmé à un nombre illimité de téléspectateurs, ils sont responsables de l’horrible traitement des protagonistes. Les héroïnes, Pannonique et la Sybille, sont exposées sans leur accord sur les écrans des habitants de leur pays qui se divertissent de leurs malheurs. Les œuvres des autrices à l’étude critiquent toutes deux, chacune à leur manière, la « société du spectacle » (Guy Debord, 1967) qu’encourage la télévision. Suivant des perspectives intermédiales et féministes, ce mémoire s’intéresse aux conséquences de la contamination non seulement des personnages féminins mais également du genre romanesque lui-même par les regards télévisuels. Il semble avant tout qu’ils aient un effet non négligeable sur les protagonistes, puisqu’elles sont jugées selon leur apparence par les téléspectateurs et que leur sexe conditionne l’image qui leur est attribuée (la sorcière, la vierge, l’amoureuse, etc.). Or, l’impact des regards télévisuels ne se limite guère à l’intrigue des romans, puisqu’ils contaminent aussi la forme, la structure et la narration des œuvres. Acide sulfurique et Les Sorcières de la République apparaissent comme des « livres-écrans » qui font adopter la position de téléspectateur à leur lectorat et accueillent simultanément le virus télévisuel au sein du livre, tout en le combattant de l’intérieur. / Since George Orwell’s 1984 (1949), television and the (panoptic and synoptic) gazes that it generates have been a leitmotif of dystopian fiction. In the dystopian novels Acide sulfurique (2005) by Amélie Nothomb and Les Sorcières de la République (2016) by Chloé Delaume, they play a central role. By imposing a way of seeing through the framing of the camera and by transmitting the filmed content to an unlimited number of viewers, televisual gazes are responsible for the horrible treatment of the protagonists. The heroines, Pannonique and Sybille, are exposed without consent on the screens of fellow citizens who are entertained by their misfortunes. The works by the two authors examined both critique, each in their own way, the “society of the spectacle” (Guy Debord, 1967) that television encourages. From an intermedial and a feminist perspective, this research analyses the televisual gazes’ contamination of the novel that occurs through the portrayal of the female characters, but also through the form of the works themselves. Firstly, it seems that they have a significant effect on the protagonists, since they are judged by the viewers according to their appearance and because their sex conditions the image assigned to them (the witch, the virgin, the lover, etc.). However, the impact of televisual gazes is not limited to the intrigue of the novels : they also contaminate the form, structure and narration of the works. Acide sulfurique and Les Sorcières de la République appear as “screening books” inviting readers to adopt a viewer’s role and hosting televisual gazes like a virus, all while fighting them from the inside.
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La gloire de la bêtise : régression et superficialité dans les arts depuis la fin des années 1960 / In praise of dumbness : regression and shallowness in the arts since the late 1960s

Labar, Morgan 24 November 2018 (has links)
Depuis la fin des années 1960 se sont développées différentes pratiques artistiques délibérément bêtes, assumant et parfois même revendiquant leur bêtise. Dans une approche ancrée à la fois dans l'histoire culturelle et la théorie esthétique, prenant en compte les paramètres que sont les modalités d'exposition, l'industrie du divertissement et le rôle des collectionneurs, il s'agit de comprendre comment un phénomène à l'origine excentré, marginal et parfois contestataire, est devenu une donnée centrale de la production artistique contemporaine. Le premier mouvement revient sur la tradition de la bêtise en histoire de l'art. Partant de l'expression « bête comme un peintre », y est proposé une relecture du « retour à la peinture» du début 1980 (Figuration Libre, Mülheimer Freiheit à Cologne, bad painting américaine). Le deuxième moment porte sur les mécanismes de diffusion, d'expansion, de légitimation et d'institutionnalisation de l'art bête dans les années 1990 et 2000, abordant notamment les pratiques Martin Kippenberger, Jeff Koons, Paul McCarthy, Mike Kelley, Richard Jackson, Gelitin, Wim Delvoye ou encore Damien Hirst. Le troisième et dernier temps consiste en une généalogie alternative de cette histoire de la bêtise en prenant la Californie comme paradigme. On y développe l'hypothèse qu'à Los Angeles sont en germe, depuis le milieu des années 1960, les formes de bêtise artistique qui s'imposent à l'échelle internationale depuis les années 1990 : l'industrie du divertissement et le culte du succès, de la célébrité et de la richesse, et son contre-point dynamique, son envers dévoyé, le modèle du bad boy made in L.A. / Stupidity (bêtise) can be apprehended as bodily, vulgar, even regressive. Or it can simply be understood as foolish, silly or childish. I investigate all of these strains of "bêtise" in order to demonstrate the key role it has played in shaping aesthetic styles and debates about contemporary art from the late 1960s to the present day. The dissertation thus traces these fluctuations by looking at the shift from the 1960-l 970s, when dumbness, used as a critical tool, occupied a position at the margins of the art world, to the l 980-1990s when "bêtise" began to constitute an autonomous aesthetics mobilized by the art world's biggest stars. What used to be marginal then became preeminent, what used to be popular culture became high art, while lowbrow turned into highbrow. The first part takes a look back at the tradition of stupidity in art history. Viewed from the popular phrase "stupid as a painter", I propose a reevaluation of the so-called "return to painting" in the early 80s (Figuration libre, Bad Painting, Mülheimer Freiheit Grup in Koln) as an initial step. The second section analyses the mechanisms of diffusion, expansion, legitimation and institutionalization of "dumb art" in the 90s and 2000s, focusing on practices of artists like Martin Kippenberger, JeffKoons, Paul McCarthy, Mike Kelley, Gelitin, Wim Delvoye or Damien Hirst. The third and last part is an attempt to write an alternative narrative to this history of stupidity, in which I propose California as a paradigmatic model. The entertainment industry and the cult of success, fame and wealth, and its dynamic counterpoint, its dark side, the made-in-L.A.-bad-boy model played major roles in that process.
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Le Parsifal de Jonathan Meese : enquête ethnographique sur un projet de mise en scène contemporaine / The Parsifal of Jonathan Meese : ethnographic Case-Study of a Contemporary Staging Project / Der PARSIFAL von Jonathan Meese : eine ethnografische Fallstudie eines zeitgenössischen Inszenierungsprojekts

Le Calvé, Maxime 05 November 2018 (has links)
La présente monographie s’inscrit dans le champ de l’anthropologie de l’art et dans celui des études théâtrales. Elle est constituée de plusieurs enquêtes ethnographiques qui visent à rendre compte, par une série de récits et d’analyse, du destin singulier d’un projet artistique que j’ai accompagné entre 2014 et 2017 : la conception d’une mise en scène pour l’opéra Parsifal. A travers cet évènement, je raconte l’histoire d’une rencontre paradoxale entre un artiste contemporain, Jonathan Meese, né en 1970, et un artiste du passé, Richard Wagner(1813-1883). Le spectacle devait avoir lieu dans le cadre du Festival de Bayreuth de 2016. Sa mise en scène, avec scénographie et costumes, fut conçue par Meese et ses équipes, et présentée aux intendantes. Mais l’affaire tourna mal : la rupture de contrat fut l’occasion d’une vive polémique. Pourtant la rencontre a bien pris place, comme processus de conception, dans les performances de l’artiste, et engendra un autre opéra – le Mondparsifal – présenté à Vienne puis à Berlin en 2017.Jonathan Meese occupe une place importante dans le paysage contemporain de l’art en Allemagne. Artiste plasticien touche-à-tout, il a fait de son personnage le médium central de son œuvre, par une mise en abysse permanente de sa position de grand artiste, entre génie romantique et artiste brut. Il est célèbre pour ses discours provocateurs – il proclame la « dictature de l’art » et reprend le salut hitlérien dans une esthétique influencée par le mouvement punk.Jouant des ambivalences de l’héritage Richard Wagner, Meese fait intervenir dans ses œuvres la figure du maître de Bayreuth, parmi d’autres figures issues de la haute culture allemande mais aussi de la culture populaire. L’exploration des enjeux de son engagement par le Festival montre que l’association de ces deux personnages, par l’étrange résonnance qu’elle produit,a le potentiel d’actualiser une part de l’héritage de Richard Wagner : la dimension radicale et totale de son œuvre.Cependant, l’enquête ethnographique réalisée parmi les wagnériens, au Cercle Richard- Wagner de Paris et au Festival de Bayreuth, montre que cet héritage est l’objet d’autres enjeux qui rendent le renouvellement difficile. D’autres préoccupations personnelles et d’autres valeurs, liés à l’excellence musicale, à la mondanité élitiste et la convenance touristique, favorisent une rigidification des attentes des publics. Celle-ci aura empêché l’œuvre réunissant Meese et Wagner de voir le jour.Le récit de la conception du spectacle qui fut imaginé pour Bayreuth montre les différents métiers aux prises avec les exigences de cette rencontre entre art contemporain et drame musical. Des divergences importantes y ont été observées quant aux manières de procéder ensemble sur le « sentier » de la création, et ce jusqu’à la présentation finale. Je décris la manière dont les images émergent dans l’espace de la discussion, comment différents supports sont utilisés pour les laisser évoluer ou pour les fixer temporairement. Je montre l’évolution cyclique des « versions » reprises à chaque séance, ainsi que les compétences des collaborateurs de l’artiste dans cet effort cognitif distribué.Enfin, j’ai utilisé la méthode ethnographique du dessin sur le vif pour faire le récit des répétitions de l’opéra contemporain Mondparsifal. Par cette méthode du dessin, par ses développements théoriques et par ses récits en première personne, cette dissertation pose l’étude des ambiances comme élément central dans le compte rendu des processus de création. Cette enquête interdisciplinaire met en évidence la singularité de Jonathan Meese en tant qu'artiste et producteur de théâtre, tout en abordant des questions plus vastes sur les processus créatifs polémiques. / This doctoral dissertation interweaves the fields of anthropology of art and that of performance studies to examine the work of Jonathan Meese around the drama Parsifal. Through several ethnographic inquiries presented as a series of narratives and analysis, this monograph addresses the singular destiny of an artistic project that I followed in participant observation between 2014 and 2017: the conception of a staging for the opera Parsifal. This event allows the telling of the story of a paradoxical encounter between a contemporary artist, Jonathan Meese, born in 1970, and an artist of the past, Richard Wagner (1813-1883), two controversial polemicist creative figures in the Germany of their own times.The show was to take place in the 2016 edition of the Bayreuth Festival. The staging, with scenography and costumes, was designed by Meese and his team, and presented to the intendants. But the affair did not turn out as planned: they were not accepted for the Festival and the breach of contract was the occasion for a lively controversy. Yet the encounter took place, as a design process, in the performance of the artist, and brought forth another opera - the Mondparsifal - presented in Vienna and Berlin in 2017.Jonathan Meese holds an important position in the contemporary art landscape in Germany. A prolific visual artist, he has made his character the central medium of his work, by a permanent mise en abime of his position as a great artist, between romantic genius and art “brut”. He is famous for his provocative speeches - he proclaims the "dictatorship of art" and performs Hitler's salutes in an aesthetic influenced by the punk movement. Playing with the ambivalences of the Richard Wagner legacy, Meese brings into his work the figure of the Bayreuth master since the beginning of Wagner’s’ career – along with pop-culture figures and fairy-tales characters. The exploration of the stakes of his engagement by the Festival shows that the association of these two characters, by the strange resonance that it produces, has the potential to update a part of the heritage of Richard Wagner: the radical and total dimension of his controversial work. However, the ethnographic survey carried out among the Wagnerians, at the Richard-Wagner Circle of Paris and the Bayreuth Festival, shows that this heritage is the subject of a complex set of tensions that make renewal difficult. Personal concerns and long-established aesthetic musical values, discourses related to musical excellence, elitist worldliness and touristic convenience, favour a stiffening of public expectations.The first-person narrative of the staging's conception depicts the professional team struggling with the requirements of this encounter between contemporary art and musical drama. Significant divergences were observed as to how to proceed together on the "path" of creation - until the final presentation. I describe how the images of the staging emerge in the discussion space, how different media is used to let them evolve or to fix them temporarily. I show the cyclical evolution of the "versions" taken up at each session, as well as the skills of the collaborators of the artist in this effort of distributed cognition.Finally, I used ethnographic drawing to relate the rehearsals of the contemporary opera Mondparsifal. Through drawings, theoretical approaches, and ethnographic narrative this dissertation stays linked with the study of atmospheres as a central element in the account of the processes of creation. This interdisciplinary inquiry highlights the singularity of Jonathan Meese as an artist and theatre producer while engaging with larger questions about polemical creative processes. / Diese Dissertation verbindet die Bereiche Anthropologie der Kunst und Performance Studies, um das Werk von Jonathan Meese um das Drama Parsifal zu untersuchen. Durch mehrere ethnografischen Untersuchungen, die als eine Reihe von Erzählungen und Analysen präsentiert werden, widmet sich die Monographie dem einzigartigen Schicksal eines künstlerischen Projekts, das ich zwischen 2014 und 2017 in teilnehmender Beobachtung verfolgt habe: die Konzeption einer Inszenierung für die Oper PARSIFAL. Dieses Ereignis ermöglicht die Narration der Geschichte einer paradoxen Begegnung zwischen einem zeitgenössischen Künstler, Jonathan Meese (Jahrgang 1970) und einem Künstler der Vergangenheit, Richard Wagner (1813-1883) - zwei umstrittene, polemische und schöpferische Figuren in Deutschland.Die Aufführung sollte 2016 im Rahmen der Bayreuther Festspiele stattfinden. Die Inszenierung mit Szenografie und Kostümen wurde von Meese und seinem Team entworfen und den Intendanten präsentiert. Aber die Sache lief nicht nach Plan: Sie wurden für das Festival nicht angenommen, der Vertragsbruch verursachte einen Skandal. Doch die Begebenheit fand als Entwurfsprozess und in einer Performance des Künstlers statt und brachte eine weitere Oper hervor - das MONDPARSIFAL -, das 2017 in Wien und Berlin aufgeführt wurde.Jonathan Meese nimmt eine wichtige Position in der zeitgenössischen Kunstlandschaft Deutschlands ein. Als bildender Künstler hat er seinen Charakter zum zentralen Medium seiner Arbeit gemacht, indem er seine Position als Künstler, zwischen romantischem Genie und der Art "brut", immer wieder hinterfragt. Er ist berühmt für seine provokanten Reden, proklamiert die "Diktatur der Kunst" und führt den Hitlergruß in einer von der Punk- Bewegung beeinflussten Ästhetik aus. Mit den Ambivalenzen des Richard-Wagner- Nachlasses spielend, bringt Meese die Figur des Bayreuther Meisters von Anfang an mit Popkulturfiguren und Märchenfiguren zusammen. Die Erforschung seines Auftrags bei den Bayreuther Festspiele zeigt, dass die Verbindung der beiden Charaktere, durch die besondere Resonanz, die sie erzeugt, das Potential hat, einen Teil des Erbes von Richard Wagner zu aktualisieren: die radikale und totale Dimension dieser kontroversen Arbeit. Die ethnografische Untersuchung der Wagnerianer, des Richard-Wagner-Verbandes in Paris und der Bayreuther Festspiele zeigt jedoch, dass dieses Erbe komplexe Spannungen erzeugt, die eine Erneuerung erschweren. Persönliche Anliegen und alteingesessene ästhetische Vorstellungen von Musik, Diskurse in Bezug auf musikalische Exzellenz, elitäre Weltläufigkeit und touristische Bequemlichkeit begünstigen eine Versteifung der öffentlichen Erwartungen.In der Erzählung des Konzeptionsprozesses wird das professionelle Team dargestellt, das sich mit der Begegnung zwischen zeitgenössischer Kunst und Musiktheater auseinandersetzt. Signifikante Konflikte wurden beobachtet, wie auf dem "Weg" der Schöpfung bis zur endgültigen Präsentation gemeinsam vorzugehen ist. Ich beschreibe, wie die Bilder der Inszenierung im Diskussionsraum entstehen, wie verschiedene Medien dazu benutzt werden, sich zu entwickeln oder temporär zu fixieren. Ich zeige die zyklische Entwicklung der "Versionen", die in jeder Sitzung aufgegriffen wurden, sowie die Fähigkeiten der Mitarbeiter des Künstlers in diesem Bemühen um verteilte Erkenntnis.Schließlich habe ich ethnografische Zeichnungen verwendet, um die Proben der zeitgenössische Oper MONDPARSIFAL zu erzählen. Durch Zeichnungen, theoretische Ansätze und ethnografische Narrationen ist die Dissertation mit dem Studium der Atmosphären als zentralem Element in der Darstellung der Schöpfungsprozesse verbunden. Diese interdisziplinäre Untersuchung beleuchtet die Einzigartigkeit von Jonathan Meese als Künstler und Theatermacher, und beschäftigt sich mit zentralen Fragen zu kreativen Prozessen.
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Photographie d'art et culture visuelle contemporaines : vers des pratiques photographiques technologiques.

Fiset, Daniel 08 1900 (has links)
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Un espace dynamique ? Tensions de la spatialité dans la narration littéraire française, serbe et anglais/anglophone des années 1980 à 2000 / A Dynamic Space? Tensions of Spatiality in French, Serbian and English Language Novels and Narratives Between 1980 and 2000

Rakocevic, Robert 23 November 2012 (has links)
Le nombre d’études consacrées au problème de l’espace, y compris dans la littérature, est en nette progression depuis plusieurs décennies et surtout ces dernières années. Certains parlent d’un « tournant spatial » de l’ensemble des disciplines humanistes. Malgré cet intérêt accru, l’équivocité traditionnellement attachée à la notion d’espace demeure. Si le langage courant réserve le terme aux faits géographiques, urbains ou encore astronomiques, on a souvent mis en évidence le fait qu’il désigne à la fois un « contenu » et une « forme » (E. Husserl), une réalité en même temps « obscure » et « objective » (A. Einstein). Cette thèse tient compte de la complexité de la notion d’espace et la met à profit pour analyser ce qu’il convient d’appeler la spatialité dans la littérature. Elle porte sur un corpus diversifié qui comprend des œuvres narratives écrites par Jean Echenoz, François Bon, Radoslav Petković, David Albahari, V.S. Naipaul et Martin Amis. Telle qu’elle est étudiée ici, la spatialité pose un large ensemble de questions « formelles » et « thématiques » : la scénographie urbaine et non urbaine, la « polarisation » de l’espace (centre/périphérie, local/global, familier/étranger), l’écriture de la frontière, la toponymie, la topographie, le « balisage » de l’espace (à l’aide de pronoms, verbes et adverbes), l’espace-image et le sens autoréflexif de l’espace. À chacun de ses différents niveaux, elle se révèle profondément dynamique, composée d’éléments en interaction et en opposition, autrement dit « en mouvement ». / In various fields, including literature, much work has been done on the question of space over the last few years and decades. Some refer to a “spatial turn” in humanities and social sciences. However, in spite of a considerable general interest in this topic, the notion of space remains equivocal. The term is commonly used to denote basic facts in geography, urbanism and astronomy, but the concept is also often said to be rather complex. Husserl claimed that space was both a “content” and a “form”, while Einstein believed that its genuine nature was at the same time “obscure” and “undeniably objective”. In this thesis, we take into account the complexity of the space itself and challenge the notion of spatiality in literature. The corpus consists of novels and narratives written by V.S. Naipaul, Martin Amis, Jean Echenoz, François Bon, Radoslav Petković and David Albahari. Spatiality, such as defined here, brings us to examine both content- and form-related issues, including urban and non-urban space, spatial “polarization” (“centers” and “peripheries”, “local” and “global”, “known” and “unknown” places), border, toponymy and topography. The use of some terms specifying spatial location (such as deictics) is also analyzed, as well as the iconographic representations of space referred to in the texts and, finally, different forms of self-reflexive discourse inherent in the writing of space. The analysis reveals that every level of spatiality has an essentially dynamic, non-static quality, as the elements that it is composed of are in constant opposition and interaction.
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D’où l’hospitalité. Étude du privilège dans l’accueil en dialogue avec l’art participatif

Chartré-Lefebvre, Félix 08 1900 (has links)
La crise des États-nations face aux migrant·e·s, comme la réactivité publique par rapport aux enjeux de justice sociale concernant les groupes minoritaires, participe à faire de l’hospitalité un sujet criant. Pourtant, la notion ne génère en elle-même aucune polémique et ne fait que rarement l’objet de remises en cause. Ce mémoire apporte un regard critique sur ce qu’est l’hospitalité et sur les manières dont elle est pratiquée. À cet effet, l’étude du phénomène est menée à partir du point de vue des privilèges des hôtes plutôt que de celui de la vulnérabilité des personnes accueillies. D’abord, il s’agit de mettre en perspective les acceptions vertueuse et principielle de l’hospitalité. Comprise en tant que pratique de l’accueil, l’hospitalité est ensuite redéfinie selon trois modalités (spatiale, sociale et procédurale) en réponse aux façons dont l’hospitalité est la plus fréquemment problématisée dans les discours savants (autour du chez-soi, de la figure de l’étranger et de l’invitation par exemple). Puis, il est question des manières d’accueillir spécifiques relatives à la frontière, au seuil, au camp et au refuge. Avec l’œuvre Las reglas del juego / The Rules of the Game (2000 ‒ 2001) de Gustavo Artigas, il apparaît que penser l’hospitalité par ses limites renvoie à l’idée d’accessibilité. L’accueil y représente une admission conditionnelle et une régulation des admis·es (frontière) ou un enjeu d’adaptation à autrui (seuil). Le projet État d’Urgence (1998 ‒ 2010) de l’ATSA permet quant à lui d’interroger l’accueil sous l’angle de l’inclusion sociale. Tantôt, l’hospitalité devient synonyme de mise à l’écart d’un régime d’oppression (camp), tantôt du refus de collaborer au dit régime en son sein même (refuge). En somme, le dialogue entre les écrits savants et les œuvres d’art participatif dévoile les relations de pouvoir dans l’accueil qui sont à même de définir l’hospitalité, sa visée opportuniste et ses effets incertains. / The crisis of nation-states regarding migration and public responsiveness to issues concerning minority groups contribute to make hospitality a topic of the hour. However, the concept in of itself does not rise any polemic and appear to be rarely challenged. This paper therefore seeks to provide a critical look at what hospitality actually is and at how it is practiced. The phenomenon was studied from the perspective of the hosts and their privileges rather than the vulnerability of the people welcomed. In the first chapter, the meaning of hospitality as a virtue, as a principle and as a practice, which are common modes of defining the subject in the scholarly publications, was put into perspective. A new definition of hospitality was then proposed drawing on the three modalities of its practice (spatial, social and procedural). This definition respond to the ways in which hospitality is most frequently problematized in the literature (around the home, the figure of the stranger and the multiple actions supposed to provide hospitality such as invitation, accommodation, care, etc.). In the second chapter, each specific way of welcoming that implies the border, the threshold, the camp and the refuge is discussed. Thereon, Gustavo Artigas' Las reglas del juego / The Rules of the Game (2000 ‒ 2001) reveals that the limits of hospitality represent a matter of conditional admission and control (border) or of adaptation to others (threshold). Also, ATSA's État d'Urgence (1998 ‒ 2010) allows to examine hospitality under the paradigm of social inclusion. From this angle, welcoming becomes synonymous either with taking a population aside from an oppressive regime (camp), or with a refusal to collaborate with the regime from the inside (refuge). In short, the dialogue between scholarly literature and participatory art uncovers the power relations that define hospitality, its opportunistic goals and its ambiguous effects.
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Une délicate maison de bêtises ; suivi de Une fête urbaine : l’impact des lieux dans Là où fuit le monde en lumière de Rose Eliceiry

Gauthier, Sarah 08 1900 (has links)
une délicate maison de bêtises est un recueil de poésie qui explore la tension entre rester et partir. La sujet lyrique évoquée dans les poèmes est tiraillée entre son envie de connexion, de relation, et son besoin de liberté. Écrit en vers libres, séparé en trois parties selon les affects de la sujet, le recueil explore les espaces, physiques et émotionnels, que l’on fuit puis réinvestit incessamment. L’essai s’intéresse au recueil Là où fuit le monde en lumière de Rose Eliceiry et analyse comment les lieux mis en place dans les poèmes interagissent avec la sujet lyrique. Il réfléchit à l’inscription de la douleur sur les corps, que ceux-ci soient humains ou urbains. S’appuyant notamment sur le concept de Thirdspace développé par le géographe Edward W. Soja, il invite à repenser les lieux au-delà de leur inscription physique et mentale, dans ce qu’ils peuvent produire comme espaces tiers. La compréhension de ces emplacements autres se construit également à partir des travaux de Michel Foucault, autour de ce qu’il nomme des hétérotopies et des hétérochronies. Entrant et sortant de ces espaces autres, la sujet lyrique d’Eliceiry est soumise aux délimitations des lieux qui l’accueillent ou la rejettent. Malgré l’importance de l’altérité au cœur de la poésie, cet essai étudie également la présence et la signification de multiples lieux communs insérés dans la parole poétique. Ces topoï littéraires ancrent l’œuvre et l’expérience de la sujet lyrique dans notre contemporanéité en évoquant à la fois certains enjeux de l’époque et différentes réalités sociales. / une délicate maison de bêtises is a book of poetry that explores the tension between staying and going. The lyrical subject evoked in the poems is torn between its desire for connection, for relationship, and its need for freedom. Written in free verses, separated into three parts according to the affects of the subject, the book explores places, physical and emotional, that we avoid and then constantly reinvest. This dissertation focuses on the book of poetry Là où fuit le monde en lumière of the Quebecoise poet Rose Eliceiry. It analyses how the places of the city interact with the lyrical subject. It explores the inscription of pain on bodies, whether they are human or urban. Based on the concept of Thirdspace developed by the geographer Edward W. Soja, it invites us to rethink places beyond their physical and mental inscription, in what they can produce as othering spaces. The understanding of these spaces is also built around the work of Michel Foucault, from what he calls heterotopias and heterochronies. Entering and leaving these other areas, the lyrical subject of Eliceiry is vulnerable to the boundaries of the places that welcome or reject her. Despite the importance of otherness at the heart of the poems, this essay also studies the presence and significance of multiple commonplaces inserted in the poetic speech. These literary topoi anchor the work and experience of the lyrical subject in our contemporaneity by evoking both certain issues of the time and different social realities.

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