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La figure de l'En-Quête : l'inscription du savoir dans les romans policiers

Freytag, Aurélie 09 1900 (has links)
Cette thèse examine l’importance de la figuration dans le récit policier et ce sous le signe de l’En-Quête – figure centrale de cette étude – qui se développe en deux parties, chacune divisée en trois chapitres. La première partie se penche sur le roman policier en tant que genre et analyse la pertinence, voire la nécessité de s'en extraire afin de saisir l'importante charge des récits policiers. La deuxième partie reprend les éléments soulevés dans la première en plongeant cette fois dans les récits, dans les textes, dans le littéraire. La division en chapitres, quant à elle, permet d'identifier les engrenages de cette pensée en construction, de placer les bornes importantes au déploiement de l'argument. C'est en créant, en plaçant au centre de la pensée la figure de l'En-Quête, que j'invente petit à petit au fil de la réflexion, que j'aborde les récits policiers en tant que textes mettant en scène la quête du savoir par la mise en mots, la mise en figures de la pensée. En commençant par l’analyse des textes policiers classiques, pour ensuite me diriger vers ceux de la modernité, il s’agit de réfléchir sur la figure de l’En-Quête et la manière dont elle se place comme un potentiel de création dans ces textes – abordés d’abord et avant tout comme des récits –, opérant comme une sorte d’auteure dans le texte qui, par les figures qu'elle crée, invente ou découvre, réfléchit à l'objet même qui la fait advenir, soit le littéraire, en tant qu'accès aux savoirs. Cette réflexion permet de voir combien riches sont ces textes souvent ignorés par l'institution, combien importantes sont les réflexions présentées sous la forme de personnages, de mises en scène, puisque celles-ci donnent accès à un langage riche, une mise en mots toujours nouvelle, qui réfléchit le pouvoir du littéraire dans les figures. La figure de l'En-Quête, figure génératrice de figures, d'un savoir indissociable de la rhétorique, permet quant à elle de voir ce qui unit les textes dits policiers tout en déplaçant le focus pour insister non plus sur les thèmes, mais bien sur la construction des savoirs dans le littéraire et, par la mise en scène, la mise en figure justement. / This dissertation examines the importance of figuration in crime fiction, under the sign of the In-Quest, the central figure of this study which is developed into two parts, each one divided in three chapters. The first part looks into the notion of “detective novel” understood as a genre and analyses the relevance, and even the necessity of thinking outside of this category in order to grasp the full significance of this kind of fiction. The second part revisits these observations, this time diving into the texts and stories and into their literary components. The division in chapters enables us to get a glimpse of the key elements of this thought-in-process and to set the conceptual groundwork needed for deploying the argument. Focusing my reflection on the In-Quest figure, which I invent and create progressively through the course of the essay, I address crime fiction as texts that stage a quest for knowledge in their recourse to words and figures of thought. I begin by analysing classic detective tales and continue with more modern texts in order to observe how the In-Quest figure places itself as a potential of creation within those narratives, working through the literary device it is creating as a sort of author in the text reflecting upon the object from which it arises, namely the literary as a way of knowing. This conceptual drive allows us to see the richness of these texts frequently ignored by the institution and the importance of the reflections they embody in the form of characters and mises-en-scène; these elements give access to a diversity of language that creates renewed forms of writing showcasing the power of the literary, in and through figuration. Thus, the In-Quest as a figure of figuration, of knowledge that is inseparable from rhetoric, enables us to see what unifies the texts known as “detective novels” by changing the focus and insisting not on the themes, but on the construction of knowledge within their literary form, through figures of speech and their particular mises-en-scène.
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Le roman sans projet : représentations du travail et de la débâcle industrielle dans la littérature française contemporaine

David, Anne-Marie 08 1900 (has links)
À ses débuts au XIXe siècle et jusque dans la première moitié du XXe, le roman social français a accordé une place de choix au travail. Si l’objet littéraire est relégué à l’arrière-plan après la Deuxième Guerre mondiale, il connaît un important regain dans les textes actuels, alors que ses référents empiriques ont considérablement changé. Il en résulte que les représentations contemporaines, pour notables que soient les différences formelles qui les démarquent des antécédentes, ont en commun avec elles d’être structurées par les mêmes thèmes fondamentaux : la mort est l’un d’eux, cependant qu’elle affecte désormais autant l’individu au travail que le travail lui-même. Cette thèse prend acte d’une telle continuité disruptive. La lecture des textes contemporains qu’elle propose est soucieuse de leur inscription à la fois dans l’histoire sociale, dans l’histoire des formes littéraires et dans un ensemble de représentations nouvelles. Elle cherche à décrire les mises en texte du travail en interaction avec un imaginaire social conjoncturel, ce qui indique qu’elle se situe sur le terrain de la sociocritique. Dans cette perspective sociocriticienne, elle mobilise divers outils critiques et théoriques des études littéraires, pour décortiquer l’organisation interne des textes, et engage un dialogue avec la sociologie du travail et la philosophie moderne, pour les interpréter. Son objectif est de comprendre ce que les textes disent du travail et de la société, mais aussi de montrer en quoi « représenter le travail » affecte les modalités de l’acte de « représenter » tout court. Les concepts mis en relation avec le travail pour évaluer sa trajectoire narrative sont d’abord dégagés par l’analyse des codes naturalistes et réalistes « classiques » (dans _Germinal_ d’Émile Zola, 1885, et _Élise ou la vraie vie_ de Claire Etcherelli, 1967). Ces concepts sont la mort, l’ensauvagement et le non-travail. L’étude porte ensuite sur les déplacements et les réagencements qu’ils subissent dans les textes récents. Une comparaison entre les modes principaux de traitement qu’ils appliquent au travail permet de mettre en valeur les traits définitoires de sa représentation actuelle et les particularités de ses variantes. La littérature de recherche, campée par l’œuvre de François Bon, est mise en rapport avec le témoignage (_L’établi_ de Robert Linhart, 1978) et le roman noir (_Lorraine Connection_ de Dominique Manotti, 2006), tandis qu’une discussion autour de la notion de roman d’entreprise (_Nous étions des êtres vivants_ de Nathalie Kuperman, 2010) introduit une distinction thématique au sein du corpus essentiellement industriel. Le parcours complet fait apparaître, par recoupements et par dissonances, les contours d’une catégorie esthétique à la fois plus englobante et légèrement décalée : le « roman sans projet » du travail contemporain. Ce roman accuse autant qu’il met en forme une idée de perte généralisée, dont l’aboutissement est la précarité grandissante – du travail et de l’expérience humaine qu’il génère – évoquée dans _Composants_ de Thierry Beinstingel (2002). / From its beginnings in the nineteenth century to the 1950s, the French social novel ("roman social") gave a prominent place to labour. After World War II, the topic is relegated to the background, but current texts show a significant revival, whilst the empirical referents of "work" have changed considerably. Though notably different in their form from the previous ones, contemporary representations of labour are structured according to the same basic themes. Death is one of them; however, it now affects the working individual as well as work itself. This dissertation acts upon such a disruptive continuity. Its reading of contemporary texts is aware of the role these texts play in both social and literary history as well as in the elaboration of new representations. Following the methods of sociocriticism ("sociocritique"), it seeks to describe the way work is thematised in interaction with a social imaginary ("imaginaire social"). In this perspective, the dissertation borrows various critical and theoretical tools from literary studies, to analyse the texts’ internal organisation, and engages a dialogue with the sociology of work and modern philosophy, in order to interpret them. Its goal is to understand what those texts say about work and about society, but also to show how "representing work" affects the act of "representing". The concepts used to assess the narrative trajectory of work are derived from the analysis of naturalistic and realistic codes (in Émile Zola’s _Germinal_, 1885, and Claire Etcherelli’s _Élise ou la vraie vie_, 1967). These concepts are death, "ensauvagement" and non-work. The study then focuses on how these concepts are rearranged in recent texts. A comparison between the modes of literary treatment they apply to work allows to define the features of current representations as well as to identify the specificity of variants. "Literature of research", embodied by the writings of François Bon, is examined in its relationship to testimony (_L’établi_ by Robert Linhart, 1978) and to the roman noir (_Lorraine Connection_ by Dominique Manotti, 2006). A discussion around the notion of "business novel" (_Nous étions des êtres vivants_ by Nathalie Kuperman, 2010) introduces a thematic distinction within the mainly industrial corpus. Through various subtractions and parallels, the dissertation reveals the outlines of a larger aesthetic category: the "novel without a project" of contemporary work. As much as it expresses an idea of widespread loss, this novel is shaped by that very loss, which culminates in the growing precariousness – of work and of the human experience it generates – described in _Composants_ by Thierry Beinstingel (2002).
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El Sur como espacio identitario en Torres García, Borges y Solanas

Pageau, Christian 05 1900 (has links)
No description available.
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La collaboration au féminin : les livres surréalistes de Lise Deharme

Beauchamp Houde, Sarah-Jeanne 03 1900 (has links)
No description available.
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Réécriture et défamiliarisation dans Mercier et Camier de Samuel Beckett, suivi de Deux hommes-parures

Laflamme, Mathieu 08 1900 (has links)
Dans ce mémoire de recherche-création en littératures de langue française, j’aborde la question des rapports entre les procédés de réécriture (par exemple, l’intertextualité, l’intratextualité et l’autotextualité, mais aussi les figures de la répétition et de la correction) et l’effet de défamiliarisation (ou de distanciation) au moyen d’un essai sur le roman Mercier et Camier de Samuel Beckett et d’une création littéraire de mon cru : un livre-objet constitué de trente et une feuilles non paginées et non reliées, sur lesquelles je réécris autant de fois l’incipit de Bouvard et Pécuchet, de Gustave Flaubert, en recourant à une mise en page qui défie le mode de lecture linéaire. Autant mon essai que ma création s’appliquent à montrer que les procédés de réécriture peuvent être employés pour produire un effet de défamiliarisation visant la fonction représentative de la littérature. / In this creative Master’s Thesis in French Literature, I addess the issue of the relationship between processes of rewriting (eg, intertextuality, intratextuality and autotextuality, but also the figures of repetition and correction) and defamiliarization (or the distancing effect) by the means of an essay on the novel Mercier et Camier by Samuel Beckett and of a literary creation of my own, consisting of thirty-one unbounded and unpaginated sheets, on which I rewrote as many times the incipit of Bouvard et Pecuchet by Gustave Flaubert in a layout that defies linear reading. Both my essay and my creation intend to show that processes of rewriting can be used to defamiliarize the representative function of literature.
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L'ascendant du double dans Les Caves du Vatican et dans Les Faux-Monnayeurs d’André Gide : personnages et narration

Santerre, Ariane 08 1900 (has links)
Ce travail explore la dualité telle qu’elle se présente dans deux ouvrages d’André Gide, Les Caves du Vatican et Les Faux-Monnayeurs. Thème majeur de la littérature, le double ne cesse d’illustrer les différentes tensions qui se créent et se combattent chez une seule et même personne. Souvent représenté physiquement dans la littérature du XIXe siècle à la suite de la figure du Doppelgänger, le double chez Gide se complexifie : plus subtil, il se manifeste de manière psychologique. La dualité se présente de deux manières dans les écrits d’André Gide : chez les personnages et à travers la narration. Par l’étude des contradictions et des inconséquences des personnages, de la représentation de la dualité chez différents personnages, de leur dédoublement et de leurs doubles discours, il sera possible de constater à quel point les personnages structurent la dualité. L’analyse de l’identité des narrateurs, de leurs interventions et des figures de rhétorique qu’ils emploient permettra également de comprendre que plus ils se révèlent, plus ils se complexifient. / This work explores duality as it is portrayed in two books by André Gide, Les Caves du Vatican (translated as Lafcadio’s Adventures and The Vatican Cellars) and Les Faux-Monnayeurs (The Counterfeiters). The concept of the double is a major literary theme which sheds light on the various tensions lashing against each other within individuals. Often depicted in physical form in 19th century literature following the use of the Doppelgänger figure, the double found in Gide’s writings is more complex: subtler, it remains psychological but is not visible. There are two major ways in which duality appears in Gide’s books: through the characters, and through the narrative. Studying the characters’ contradictions and inconsistencies, the representation of duality in various characters, their ability to become another character’s double, and their double discourses enables us to establish the extent to which the characters structure duality. An analysis of the narrators’ identities, of their interventions, and of the rhetorical figures they use also shows that the more they reveal themselves, the more complex they become.
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Reconceptualisation encyclopédique du corps cyborg dans les textes d’Élisabeth Vonarburg et de Catherine Dufour

Lauzon-Dicso, Mathieu 09 1900 (has links)
Le cyborg est un avatar de ce que permet la science-fiction lorsqu’elle s’offre comme terrain où développer une heuristique des identités genrées. Donna Haraway, dans le Manifeste cyborg, a relevé le potentiel de liberté discursive que promettait cette figure romanesque. Il m’apparaît que, depuis sa fictionnalisation puis sa théorisation dans les années 1980 et 1990, le cyborg a muté au sein de l’entreprise science-fictionnelle littéraire. Le Silence de la Cité d’Élisabeth Vonarburg et Le Goût de l’immortalité de Catherine Dufour présentent des personnages dont la cyborgitude problématise les questions identitaires du genre humain, à travers une écriture spécifique, affectée par les technologies. Mon analyse des procédés scripturaux s’effectue de pair avec une analyse gender, ce qui me permet de mieux saisir la fictionnalisation toujours changeante des cyborgs dans les oeuvres de Vonarburg et de Dufour. Ces cyborgs déconstruisent les frontières des systèmes binaires traditionnels, en explorant les possibilités trans-genres et trans-espèces que permettent les métamorphoses de leurs corps excentriques. En tant que représentations fantasmées de désirs autrement inavouables, les cyborgs science-fictionnels témoignent du malaise inhérent de couples comme homme/femme, humain/animal ou organique/artificiel. / The cyborg is an avatar of what science fiction can produce as a territory where heuristics of gender identities are developed. In her Cyborg Manifesto, Donna Haraway reveals the potential of discursive liberty provided by the cyborg’s narrative figure. It appears to me that since its fictionalization as well as its theorization throughout the 1980’s and the 1990’s, the cyborg has evolved within science fiction. Élisabeth Vonarburg’s Le Silence de la Cité and Catherine Dufour’s Le Goût de l’immortalité present characters whose cyborg nature explores questions of humankind’s identities through a certain writing affected by technology. My study of these writing processes is conducted through the analysis of gender. This allows me to better understand the ever-changing fictionalization of the cyborgs found within Vonarburg’s and Dufour’s work. These cyborgs deconstruct the borders of traditional binarist systems by experimenting the trans-genders and trans-species possibilities their excentric bodies enable. As fantasized representations of desires otherwise unmentionable, the science fictional cyborgs attest the inherent uneasiness of couples such as man/woman, human/animal or organic/artificial.
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L’un contre l’autre : la dialectique de l’auteur et de la lectrice chez Serge Doubrovsky

Abdelmoumen, Mélikah 08 1900 (has links)
Depuis qu’en 1977, en quatrième de couverture de Fils, Serge Doubrovsky employa le mot « autofiction » pour décrire son roman, les études doubrovskiennes ont eu tendance à se focaliser sur les questions génériques que sous-tendait ce néologisme. Ainsi on a écarté un autre aspect, tout aussi important, de l’œuvre de l’auteur : celui du lien avec le lecteur qui, en plus d’être mis en scène dans chacune des autofictions doubrovskiennes, est associé dès Fils au rapport complexe, inextricable et conflictuel entre les sexes. « J’écris mâle, me lis femelle », dit le narrateur-écrivain ‘Serge Doubrovsky’ – lui qui vivra sous nos yeux une série d’histoires passionnelles avec des compagnes qui sont également ses lectrices. Repris d’épisode en épisode, le rapport entre le héros doubrovskien et sa compagne du moment rappelle les hypothèses de Doubrovsky dans Corneille ou la dialectique du héros (1963), inspirées de la dialectique hégélienne du Maître et de l’Esclave. Cette thèse s’attache donc à analyser la relation dialectique auteur-lectrice telle que mise en scène et approfondie dans l’ensemble de l’édifice autofictionnel. Après présentation et étude des mécanismes dont se sert l’auteur pour construire son Lecteur Modèle (Première partie), les trois autres sections principales de la thèse sont consacrées à l’analyse de Fils et Un amour de soi (1977 et 1982 ; Deuxième partie) ; du Livre brisé et de l’Après-vivre (1989 et 1994 ; Troisième partie) ; et enfin de Laissé pour conte (1999 ; Quatrième partie). Il s’agira enfin de montrer la portée non seulement littéraire, mais également sociale (la réflexion s’élargit à chaque épisode pour aborder les questions de la réception contemporaine de l’œuvre littéraire) et historique (le motif Maître-Esclave s’inscrit dans l’Histoire de l’Europe du XXe siècle, plus précisément la Seconde Guerre mondiale et la Shoah) du thème dialectique doubrovskien. / Since Serge Doubrovsky coined the term « autofiction » to describe his own novel on the back cover blurb of Fils (1977), doubrovskian studies have tended to focus on the literary genres issues implied by his neologism. Consequently, another aspect of the writer’s work, and a quite crucial one, was somewhat neglected: the relationship with the reader, which is not only represented and acted out by the characters in doubrovskian autofictions but also linked to a another complex, tempestuous and inextricable relationship, that of man and woman. “I write male, read myself female”, says the doubrovskian narrator, who happens to take part, under our very eyes, in a series of passionate relationships with mates that are also readers of his works. Repeated from novel to novel, the mise en scène of the rapport between the doubrovskian hero and his lady companion of the moment reminds us of Doubrovsky’s hypotheses in Corneille ou la dialectique du héros (1963), which were inspired by the Hegelian master-slave Dialectics. This study thus concentrates on the representation of the dialectical relation between male author and female reader in Doubrovsky’s autofictions. After a brief survey and description of the tools used by the author in order to construct his own Model Reader (First section), our three other principal sections will focus on the analysis of Fils and Un amour de soi (1977 and 1982; Section Two); Le livre brisé and l’Après-vivre (1989 and 1994; Section Three); and finally Laissé pour conte (1999; Section Four). We will ultimately attempt to demonstrate the doubrovskian dialectal theme’s literary richness as well as its social and historical implications – the author’s reflexion widens with each episode, touching on questions of reader-response and reception of the literary work, while the master-slave motif resonates in the History of twentieth century Europe, mainly the Second World War and the Holocaust.
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La herencia de la época de oro en el cine mexicano de los años noventa : La ley de Herodes y Danzón

Cyr, Isabelle 06 1900 (has links)
Notre mémoire cherche à identifier les traces du cinéma de “l’âge d’or” dans le cinéma mexicain des années quatre-vingt-dix. Au Mexique, l’apogée que le cinéma industriel a connu entre 1935 et 1955 a établi les principaux genres et normes du cinéma national. Le cinéma produit durant cette période, abondamment diffusé par la télévision et la vidéo et apprécié de la critique, continue d’influencer la production contemporaine. En concentrant notre analyse sur deux films en particulier, Danzón (1991) de María Novaro et La ley de Herodes (1999) de Luis Estrada, nous étudions d’une part, comment le cinéma des années quatre-vingt-dix rend hommage au cinéma de l’âge d’or et, d’autre part, comment on l’utilise pour commenter les nouvelles tendances dans la politique et la production culturelle. La diffusion continue du cinéma de l’âge d’or nous permet d’expliquer en partie son influence sur les cinéastes mexicains contemporains. Par ailleurs, le contexte de néolibéralisme et de globalisation des années quatre-vingt-dix nous permet d’avancer d’autres hypothèses concernant les raisons qui ont amené ces cinéastes à récupérer des éléments de la culture “nationale-populaire”. Nous pensons que ce contexte pourrait expliquer autant l’hommage que la critique que font les films contemporains du cinéma de l’âge d’or. Notre analyse des références au cinéma de l’âge d’or dans le cinéma des années quatre-vingt-dix s’appuie sur la théorie de l’intertextualité dans le cinéma. / This thesis studies the traces of the so-called “golden age” of Mexican cinema in films produced in the nineties. In Mexico, the upsurge of cinematic production between 1935 and 1955 established the principal norms and genres of a national cinema. The cinema of this era, critically acclaimed and widely diffused through television and video, continues to influence contemporary filmmaking. Focusing our analysis on two films, María Novaro’s Danzón (1991) and Luis Estrada’s La ley de Herodes (1999), we study how films from the nineties at once render homage to golden age cinema and use it to comment upon new trends in Mexican politics and cultural production. The continued diffusion of golden age cinema allows us to partially explain its influence on Mexican filmmakers working in the nineties. The nineties’ historical context, strongly marked by neoliberalism and globalization, allows us to propose further hypotheses as to why contemporary filmmakers have recuperated elements of “national-popular” cinema. We believe that this context explains both the homage and the criticisms that today’s films direct towards the cinema of the golden age. Our analysis of the dialogue between the films produced in these two periods borrows from theories of filmic intertextuality. / Nuestra memoria busca identificar las huellas del cine de la llamada “época de oro” en el cine mexicano de los años noventa. En México, el auge de la producción cinematográfica que tuvo lugar entre 1935 y 1955 estableció las normas y los géneros principales del cine nacional. El cine de esta época, altamente difundido por la televisión y el video, y apreciado por los críticos, sigue influyendo en la producción contemporánea. Concentrando nuestro análisis en dos películas en particular, Danzón (1991) de María Novaro y La ley de Herodes (1999) de Luis Estrada, estudiamos cómo el cine de los noventas rinde homenaje al cine de la época de oro, por un lado, y cómo se refiere a ese cine para comentar las nuevas tendencias en la política y en la producción cultural, por otro. La difusión continua del cine de la época de oro a través el tiempo nos permite explicar en parte su influencia en los cineastas mexicanos de los años noventa. Por otra parte, el contexto de neoliberalismo y de globalización de los años noventa nos permite avanzar otras hipótesis en cuanto a las razones que empujaron a los cineastas a recuperar elementos de la cultura “nacional-popular”. Pensamos que ese contexto explica tanto el homenaje como la crítica que las películas contemporáneas hacen hacia el cine de la época de oro. Nuestro análisis del diálogo entre las películas producidas en estas dos épocas se apoya en la teoría de la intertextualidad en el cine.
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El Sur como espacio identitario en Torres García, Borges y Solanas

Pageau, Christian 05 1900 (has links)
L’étude conceptualise la symbolique du Sud en tant qu’espace identitaire construit par une idéologie politique et une esthétique. Les cartes géographiques inversées (1936, 1943) de Joaquín Torres García (Uruguay) sont une prise de position politique qui affirme le pouvoir d’énonciation des artistes latino-américains de façon indépendante aux centres culturels européens. Sa théorie, l’« Universalisme Constructif », propose un nouvel art pour l’Amérique latine, combinant l’éthique artistique précolombienne et l’abstraction moderniste. Dans la nouvelle « Le Sud » (1953) et l’essai « L’écrivain argentin et la tradition » (1951), Jorge Luis Borges (Argentine) redéfinit la littérature latino américaine, marginalisée et périphérique, en tant que littérature qui a droit à toute la culture occidentale. Il rejette une culture qui ne serait que nationaliste. Le diptyque de Fernando Solanas (Argentine) formé des films Sud (1985) et Tangos, l’exil de Gardel (1988) est étudié à partir de son manifeste « Vers un Tiers- Cinéma » (1969), coécrit avec Octavio Getino. Dans le diptyque, le Sud est un espace de dénonciation des censures de la dictature et de l’impérialisme, mais aussi un espace de rénovation culturelle et identitaire. Dans son cinéma, Solanas utilise un produit culturel régional, le tango, comme outil de dénonciation politique. Tout au long de l’étude, on utilise des notions de Michel Foucault, (hétérotopie) et de Walter Mignolo (le centre amovible) pour approfondir le sens de l’espace Sud. / This study conceptualizes the symbolism of the South as an identity space built by a political ideology and a local aesthetics. The Uruguay artist Joaquín Torres García’s inverted maps (1936, 1943) are a political stand that asserts the enunciative power of Latin American artists who create independently of the European cultural centers. His theory of “Constructive Universalism" proposes a new art for Latin America, for the South, and originating in the South, by combining pre-Colombian artistic ethics and modernist abstraction. In the short story "The South" (1953) and the essay "The Argentine writer and the tradition" (1951), the Argentine writer Jorge Luis Borges redefines South American literature, marginalized and peripheral, as a literature that is entitled to all aspects of the Western culture. By doing so, he rejects a culture that would only be nationalist. We analyze Argentine filmmaker Fernando Solanas’ cinematic diptych, which includes the films South (1985) and Tangos, the Exile of Gardel (1988) in dialogue with the manifesto "Towards a Thrid Cinema" (1969), co-written with Octavio Getino. The South is seen as a space for the denunciation of the censorships imposed by the dictatorship and imperialism, but also as a space for the renovation of culture and identity. In the two movies, Solanas uses a regional cultural product, the tango, as tool of political denunciation. Throughout the study, we use Michel Foucault's notion of “heterotopia” and Walter Mignolo’s concept of the “moveable center” to explore South’s multiple meanings. / Esta memoria conceptualiza la simbólica del Sur como un espacio identitario construido por una ideología política y una estética. Los mapas geográficos inversos de (1936, 1943) de Joaquín Torres García (Uruguay) son una postura política que afirma el poder de enunciación de los artistas latinoamericanos de modo independiente con respecto a los centros culturales europeos. Su teoría, el Universalismo Constructivo, propone un nuevo arte para América Latina que combina la ética artística precolombina y la abstracción modernista. En el cuento “El Sur” (1953), y el ensayo “El escritor argentino y la tradición” (1951), Jorge Luis Borges (Argentina) vuelve a definir la literatura latinoamericana, marginada y periférica, como una literatura que tiene derecho a toda la cultura occidental. Rechaza una cultura que sólo sería nacionalista. Estudiamos el díptico de Fernando Solanas (Argentina), constituido por las películas Sur (1985) y Tangos, el exilio de Gardel (1988) a partir del manifiesto “Hacia un Tercer Cine” (1969), co-escrito con Octavio Getino. En el díptico, el Sur es un espacio de denuncia de las censuras de la dictadura y del imperialismo, pero también un espacio de renovación cultural e identitaria. En su cine, Solanas utiliza un producto cultural regional, el tango, como instrumento de denuncia política. A lo largo del estudio, utilizamos nociones de Michel Foucault, (heterotopía) y de Walter Mignolo (movilidad del centro) para ahondar en el significado del espacio Sur.

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