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Imagens à deriva : interlocuções entre a arte, a psicanálise e a análise do discurso

Campos, Luciene Jung de January 2010 (has links)
Dans cette recherche j’essaie présenter la discontinuité de l’image des médias de masse appropriée par les arts visuels. Ce qui est en jeu n’est pas « ce qui est vu », mais « comme est vu » dans l’image dans sa potentialité discursive. La construction de ce regard est faite par l’interface entre les domaines d’Art, de la Psychanalyse e de l’Analyse du Discours, en fessant des torsions d’un champ à autre. Dans cette imbrication des interventions subversives je cherche réfléchir sur les transformations esthétiques du langage commercial pour le langage poétique. Par le biais du dispositif théorique-analytique de l’Analyse du Discours Française j’ai pu observer que le regard est organisé par ce qui n’est pas vu, ce qui tombe hors du champ de la vision et qui n’acquiert que sens par rapport la culture et l’histoire, qui configure le déroulement du désir du sujet. L’image publicitaire est un langage qui ne dit pas tout, par cela étant un savoir incomplet se laisse approprier par l’art visuel. Le fait de ne dire pas tout est ce qui fait les artistes avoir choses à dire encore. L’Art en jouant avec le nonsens tisse l’équivoque et contamine l'idéologie dominante à travers des processus métaphoriques et métonymiques. La discontinuité de l’image apparaît dans cet espace de réel dans le symbolique, à travers les mécanismes de condensation et de déplacement où le point de l'existence du sujet est le point de séparation et des échanges entre la position-sujet et la formation discursive qui domine le tissu symbolique. La discontinuité est au-delà du symbolique, précisément, est la dimension du réel dans laquelle éclate et insiste dans le désir et résiste dans l'idéologie. / Nesta pesquisa procuro apresentar a descontinuidade da imagem de mídia de massa apropriada pelas artes visuais. O que se coloca não é “o que é visto”, mas “como é visto” na imagem em sua potencialidade discursiva. A construção deste olhar se dá na interface entre os campos da Arte, da Psicanálise e da Análise do Discurso, fazendo torções de um campo a outro. Nessa imbricação de intervenções subversivas busco refletir sobre as transformações estéticas da linguagem comercial para a linguagem poética. Através do dispositivo teóricoanalítico da Análise do Discurso francesa pude observar que o olhar está organizado por algo que não se vê, algo que cai fora do campo da visão e que só adquire sentido na relação com a cultura e com a história, onde se configura o desdobramento do desejo do sujeito A imagem publicitária é uma linguagem que não diz tudo, por isso, enquanto saber incompleto se deixa apropriar pela arte visual. O fato de não dizer tudo, é o que faz com que os artistas tenham a dizer, ainda. A Arte ao jogar com o non-sens urde o equívoco e contamina a ideologia dominante através dos processos metafóricos e metonímicos. A descontinuidade da imagem aparece nesse espaço de real no simbólico, por meio dos mecanismos de condensação e deslocamento em que o ponto de existência do sujeito é o ponto de separação e de intercâmbio entre a posição-sujeito e a formação discursiva que o domina na trama simbólica. A descontinuidade é o mais além do simbólico, propriamente, a dimensão do real na qual eclode e faz insistir no desejo e resistir na ideologia.
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Dialectique de sujet et d'objet dans l'art contemporain : Erwin Wurm, Philippe Ramette, Isabelle Cornaro, Guy de Cointet / Subject and object’s dialectic in contemporary art : Erwin Wurm, Philippe Ramette, Isabelle Cornaro, Guy de Cointet

Bernex, Anne 01 December 2017 (has links)
La dialectique instruit-elle les arts plastiques? C’est par la relation entre deux éléments majeurs de notre culture et de nos usages que nous proposons une réponse : sujet et objet, de tensions en renversements, font l’originalité d’oeuvres européennes et nord-américaines depuis les années soixante. Leur rencontre débute par un face à face puis glisse vers un renversement, où la chose physique transformée en un matériau vivant prend la place du sujet traditionnellement acteur de son environnement. Elle acquiert une dimension nouvelle lorsque le public y joue un rôle, d’interlocuteur à participant. L'artiste français Philippe Ramette crée des objets d’un nouveau genre pour accomplir des déplacements dignes de la quatrième dimension. L’autrichien Erwin Wurm forme le corps humain en une «sculpture d'une minute» quand un homme colle sa poitrine à un tabouret de bois. Le peintre et écrivain Guy de Cointet met en scène une histoire de sujets et d’objets à Los Angeles dans les années soixante-dix. C’est enfin une affaire de point de vue sur de précieuses choses, de décor incarné que la française Isabelle Cornaro instaure. Dans ce carré de plasticiens, la dialectique, sous diverses qualités, est en jeu : si elle est à l’origine définie comme un art de discussion ou une méthode d'interprétation, outil d’une pensée critique, nous soutenons qu’elle est ici la base d’un processus en art, capable d’éclairer un ensemble d’œuvres de notre temps et d'aborder sous un angle nouveau l’univers de ses créateurs. / Does the dialectic inform the visual arts? By the relation between two major elements of our culture and our uses we propose an answer : subject and object, of tensions in inversions, make the originality of European and North-American works since the sixties. Their meeting begins by face to face then slips into a twist, gaining a new dimension when the public plays a mere part. The physical thing, transformed into a living material, takes the place of the subject usualy actor of its environment. French artist Philippe Ramette creates objects of a fourth type to achieve improbable movements. Austrian sculptor Erwin Wurm transforms the human body into a « one minute sculpture » as a man sticks his chest to a wood stool. French painter and writer Guy de Cointet directs an history of subjects and objects on stage in the Los Angeles in the seventies. It is finally a work about our point of view on invaluable things, of incarnated «décor» that Isabelle Cornaro sets up. In this square of artists, the dialectic, under various qualities, is in stake : if we define it literally as an art of discussion or method for critical thought, we support that it is here the base of a process in contemporary art, able to clarify works of our time and threw new light on the world of its creators.
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Joseph Cornell (1903-1972) et ses muses: étude monographique à partir des sources iconographiques et littéraires

Lecomte, Isabelle 25 June 2010 (has links)
Joseph Cornell (1903-1972) est un artiste américain très connu dans son pays mais peu étudié en Europe. Le catalogue raisonné de son œuvre n'est toujours pas établi à ce jour. <p><p>Tout au long de sa vie, ses sources d'inspiration sont intimement liées à la femme. Cette thèse souhaite aller plus loin que les études existantes: d'une part en envisageant la femme dans tous ses rôles (danseuse, diva, écrivaine, amie, starlette,) et d'autre part, en étudiant la série qui lui est consacrée. Ce regard minutieux sur les variations au sein d'une série est l'un des points forts et totalement inédits de cette thèse. Il permet d’observer le renouvellement de l’obsession et le goût pour la collection, au sens où Baudrillard l’entend.<p><p>En première partie, l'angle d'approche consiste à observer, les stratégies de l'artiste qui tente de s'approprier la femme par la mise en boîte, en bouteille, en dossier, <p><p>En deuxième partie, nous observerons la manière dont il installe une distance qui permet à la muse de rester inaccessible – au sens romantique voire nervalien du terme. La distance peut-être d'ordre surnaturel: la femme prend alors les traits d'une fée ou d'une sylphide ;temporelle (la muse est imaginée enfant) ;spatiale (la muse prend vie sous forme de constellation). Autre stratégie d'évocation: "le portrait sans visage" où le corps de la muse est totalement absent, seul « un objet symbolique) fait référence à la femme désignée. Il peut s’agir d’une chambre ou d’une lampe de mineur pour évoquer Emily Dickinson ou une poupée pour évoquer La Belle au Bois dormant. Vers la fin des années cinquante, Cornell réalise des « boîtes-mémoriaux » en hommage à des jeunes trop tôt disparues. <p><p>La troisième partie tente d’étudier comment Cornell « transcende » l’idée de mort. <p><p>Enfin, en quatrième partie, nous dresserons un bref inventaire des collages des années soixante ayant comme thème central le nu féminin. Cornell quittant un matériel « nostalgique » afin de « charge d’innocence » des images qu’il considère comme érotiques.<p> <p><p>Cette étude s'appuie, entre autres, sur une vingtaine d'œuvres analysées qui n'ont jamais été publiées, une trentaine d'autres qui n'ont jamais été commentées. Plus d'un tiers des œuvres choisies bénéficient d'une recherche de sources totalement inédites, se voyant ainsi placée sous un nouveau regard interprétatif. Et enfin, les œuvres sont mises en rapport avec les sources littéraires qui les ont nourries (Aurélia de Gérard de Nerval, Le Portrait de Jennie, la poésie d’Emily Dickinson, la biographie de Marilyn Monroe ou les écrits de Mary Eddy Baker, …). <p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Art Power : tactiques artistiques et politiques de l’identité en Californie (1966-1990) / Art Power : Artistic and political tactics of the identity in California (1966-1990)

Blanc, Emilie 15 November 2017 (has links)
En 1966, le Black Power Movement, qui influence de nombreux mouvements sociaux de libération, signale un changement de paradigme dans l’activisme aux États-Unis désigné par la terminologie de « politiques de l’identité ». Si, en affirmant la nécessité d’une analyse politique des discriminations, celles-ci en appellent à de profonds changements dans la société, elles imprègnent aussi les arts visuels et génèrent des mutations importantes quant à la définition de l’art et au rôle de l’artiste aux États-Unis. En s’emparant des politiques de l’identité, les artistes incorporent leurs engagements dans leurs pratiques, créent des formes d’expression originales et remettent en cause la validité du canon. Par une étude de cas sur la Californie entre 1966 et 1990, combinée à une approche chronologique et comparative, ce travail de recherche explore les rencontres entre les arts visuels et les politiques de l’identité, et plus largement la relation entre art et politique dans un contexte culturel moins exploré que la scène artistique de New York, afin d’analyser en quoi elles s’avèrent essentielles pour saisir les pratiques artistiques postérieures et les discours sur les identités. Cette thèse en histoire de l’art, pour laquelle les études culturelles et les théories féministes ont constitué des apports fondamentaux, propose ainsi d’établir des convergences artistiques autour de thématiques liées à des problématiques centrales des politiques de l’identité et, dans le même temps, à souligner de nouvelles approches dans le domaine de l’art, de la politique et de la théorie / In 1966, the Black Power Movement, which influenced numerous other social liberation movements, signaled a paradigm shift in American activism designated by the term “identity politics.” By affirming the necessity for a political analysis of discrimination, identity politics called for profound changes in society, which also influenced the visual arts, resulting in important changes regarding the definition of art and the role of the artist in American society. By drawing on this new politics of identity, these artists incorporated activism into practice, creating original forms of expression and challenging the validity of the canon. This research project explores the encounters between visual arts and identity politics, as well as the broader relationship between art and politics, through a chronological and comparative case study of California from 1966 to 1990—a cultural context much less studied than the New York scene—in order to determine its importance for later artistic practices and discourses on identity. This thesis in Art History, to which cultural studies and feminism have made fundamental contributions, therefore proposes to establish artistic convergences around themes linked to the central premises of identity politics while at the same time highlighting new approaches in the fields of art, politics and theory
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Pour une esthétique apophatique néopragmatique, ou pas / For a neopragmatic apophatic aesthetics, or not

Collot, Antoni 12 December 2015 (has links)
« Apophatique » signifie « négatif » ou « par négation ». Le terme est principalement employé pour qualifier une forme particulière de théologie qui 1. ne peut rien dire de Dieu car énoncer une qualité serait lui ôter la qualité antinomique. Il est facile d'en comprendre la logique : dire que Dieu est grand c'est dire qu'il n'est pas petit ce qui est incompatible avec le fait de dire qu'il est tout. 2. consiste à énoncer ce que Dieu n'est pas : mauvais ou un chien, par exemples. Par exemple aussi, cette recherche n'est pas l'occasion d'une anthologie des meilleurs textes de théologie négative, mais la méthode – le scepticisme teinté de pensée logique et/ou mystique – n'est pas sans alimenter les développements à venir. Une des solutions qui s'offre à moi consiste à n'évoquer en rien l'art, l'esthétique, et tout autre domaine relatif aux dites sciences de l'art – un texte sur le nombre pi aurait fait l'affaire d'une esthétique apophatique. Cependant positivement fonder une pensée sur/avec la négation me rend heureux, par espièglerie, esprit de contradiction, par inquiétude fondamentale ; je ne m'en priverai donc pas au profit d'un tour de passe-passe, aussi réjouissante que soit l'idée de vous imaginer lire présentement une théorie du chou-fleur. / “Apophatic” means “negative” or “by negation”. The term is mainly used to designate a particular form of theology which 1. can't say anything of God because stating a quality would be taking the antinomic quality away from him. It is easy to understand the logic : to say that God is great is to say that he is not small, which is incompatible with the fact of saying that he is everything. 2. consists in stating what God is not : bad or a dog, for example. For example also, this research is not the occurrence of an anthology of the best texts of negative theology, but the method – the scepticism tinged with logical and/or mystic thought – is not without fueling the developments to come. One of the solutions that is given to me consists in not mentioning art in any way at all, the aesthetics, and any other field related to the so-called sciences of the arts – a text on the number Pi would have suited an apophatic aesthetics. However positively establishing a thought on negation makes me happy, by mischievousness, for the sake of argumentation, by fundamental concern; I will thus not deprive myself of it in favor of a quick/cheap trick, as delightful as the idea of imagining you currently reading a theory of the cauliflower might be.
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Voir pour Savoir. La visualisation technique et scientifique de l’aventure spatiale dans le monde occidental entre 1840 et 1969 / See to Know. The technical and scientifical visualization of space adventure in the western World between 1840 and 1969

De Smet, Elsa 12 November 2016 (has links)
Entre la première photographie jamais prise de la Lune en 1840 par J.W. Draper et la première photographie prise depuis le sol de notre satellite en 1969 par la mission Apollo 11, l’aventure spatiale occidentale a donné lieu à une vaste production d’images. Toutes ont cherché à comprendre, capturer et communiquer au plus grand nombre l’aspect du cosmos. Absorbé comme une évidence par la culture collective, ce corpus hétérogène, protéiforme et aux délimitations complexes, relève d’une histoire culturelle qui reste difficile à classer, entre histoire des sciences et histoire des images. Les visualisations qui en résultent, marquées par les traditions de l’histoire de la représentation et fabriquées en parallèle des évolutions technologiques de l’astronomie et de ses moyens d’observation, ont tout autant façonné le regard de l’astronomie physique et la culture visuelle de ses observateurs néophytes. L’analyse de la formation et de l’épanouissement de l’Art spatial au XXe siècle nous ouvre ainsi les yeux sur un corpus visuel où la coalescence entre science et style est une condition nécessaire à son existence. A l’épreuve de l’histoire de l’histoire de l’art et des études visuelles, ce dernier trouve également toute sa place dans une analyse qui vise à dévoiler la puissance et la qualité performative des images. Qu’il s’agisse d’une imagerie vulgarisant le savoir savant à des fins didactiques, d’une volonté de saisir l’image du cosmos pour le découvrir ou d’une dissémination culturelle au cœur des grands mythes du siècle, l’exploration spatiale fut aussi une entreprise du regard qu’il nous incombe d’observer. / Between the first photograph taken from the moon in 1840 by J.W. Draper and the first photograph taken from our satellite’s ground in 1969 by Apollo 11’s mission, western space odyssey led to a wide range of images. They all had the common goal of understanding, apprehending and sharing the aspect of cosmos with as many people as possible. Evidently absorbed by a collective culture, this heterogeneous and multifaceted corpus with many complex boundaries is based on a cultural history, which remains hard to classify, between science history and images history. The resulting visualizations, heavily influenced by the traditions of the history of representation and made in parallel of the technical evolutions of astronomy and its means of observation, have equally shaped the look of physical astronomy and of the visual culture of its neophyte observers. The analysis of the creation and the fulfilment of Space Art in the twentieth century make us open our eyes on a visual corpus where the coalescence between science and style is a necessary condition to its really existence. Confronted to History of Arts and to visual studies, this corpus finds its place within an analysis, which pursues to disclose the power and the performative quality of images. Whether it be an imagery popularizing the deepest knowledge for teaching purposes, a will of grabbing the image of cosmos in order to discover it or a cultural dissemination at the heart of the most important myths of the century, spatial exploration was also an experience of the look we need to observe.
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Shakespeare et les peintres français au XIXè siècle

Gervais de Lafond, Delphine 20 December 2012 (has links)
Shakespeare est partout en ce XIXe siècle. Il inspire la littérature, la musique, les arts plastiques. Il est dans l'accomplissement d'un nouveau théâtre et dans le rêve d'une génération d'artistes qui se jette à corps perdu dans un nouvel idéal. Que cherchent-ils alors dans l'infamie des sorcières, les procrastinations d'un jeune prince, le désarroi d'un vieux roi, l'interdit de l'amour ? Ils s'en vont rêver à d'autres univers, peuplés de créatures fantastiques, d'hommes au cœur vrai et de folles passions. Et dans ce début de siècle comme le dit Stendhal au détour d'une pensée dédiée au dramaturge anglais : « il faut sentir et non savoir ! ». L'objectif de la présente étude est de poser les bases d'une réflexion approfondie sur l'inspiration shakespearienne française en peinture au XIXe siècle. Nous nous sommes attachés à en déterminer les causes et en identifier les manifestations, mais aussi à l'englober dans une histoire plus générale de l'art à travers la remise en question d'un genre pictural menacé, la peinture d'histoire. C'est pourquoi notre travail s'articule autour de cinq grandes parties afin d'offrir un examen complet et synthétique du sujet. La première partie a pour but d'initier le lecteur à cette inspiration littéraire. Les trois parties suivantes sont consacrées à l'étude approfondie des différentes sources d'inspiration des peintres (textuelles, visuelles et iconographiques). Enfin, après la mise en place contextuelle, l'exploration iconographique et iconologique de notre sujet, notre dernière partie tend à analyser le rôle qu'a joué en France l'inspiration shakespearienne en peinture à travers plusieurs approches : esthétique, critique et idéologique. / The name of Shakespeare overhangs the 19th century. The English playwright inspires literature, music and fine arts. He is closely associated with theatre renewal and becomes a model for a generation of artists. What are they looking for in the witches' infamy, the procrastination of a young prince, the distress of an old king, forbidden romances? They dream of other universes crowded with fantastic creatures and passionate human beings. In the beginning of this century, as Stendhal pointed out in a note dedicated to The Bard : “We need to feel rather than to know”. The aim of the research herein is to analyse the Shakespearean inspiration on French painting over the 19th century through a discussion which deals with iconographical and aesthetic concerns as well. To be as relevant as possible, we chose to organize our work in five parts in order to offer a global and complete view of the subject. Thus, the first part of our dissertation tends to initiate the reader to the Shakespearean iconography in general, while the following third parts explore the painter's different sources of inspiration (textual, visual and iconographical). Finally, the fifth part is devoted to the examination of the role played by this literary inspiration on French painting through intellectual, critical and ideological approaches.
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La critique d'art contemporaine chinoise : Modèles théoriques et visions de l'Histoire : les outils conceptuels des critiques d'art chinois / Chinese contemporary art Criticism : Theoretical models and visions of history : the conceptual tools of Chinese art critics. / 中國大陸當代藝術批評 : 理論模式和歷史視角 : 中國藝術批評家的概念方法

Lazarus, Anny 20 March 2015 (has links)
Depuis 1979, les critiques d'art en Chine ont accompagné le développement de l’art contemporain, participant à la renaissance de la vie intellectuelle durement éprouvée sous le règne de Mao. Les revues d'art reflètent l’évolution de leur réflexion. Dans ma thèse je présente d’une part ce paysage intellectuel dans lequel s’est construite la critique d’art chinoise, et d’autre part, après avoir analysé comment certains concepts passent d’une langue à l’autre, j’aborde les textes théoriques et leur réception dans le milieu académique. Attirés au départ par la pensée occidentale, un champ référentiel qui s’étend de Platon à Danto, les critiques chinois se sont tournés ensuite vers le corpus classique, voire le Livre des mutations, pour forger des outils “propres à la Chine” afin de ré-écrire une histoire de l’art contemporain chinois délivrée du carcan post-colonial, mais au risque de se prendre au piège d’un nationalisme insidieux encouragé par le Parti. Les larges extraits que je propose traitent de la méta-critique, du sort et de l’essor de la modernité et du postmodernisme, de l’art abstrait émanant des gestes et des outils de la calligraphie... 
Récusant les concepts occidentaux jugés inaptes pour interpréter l’art chinois, recourant aux concepts classiques pour fonder l’École du yi, Gao Minglu propose une théorie critique qu’il tente d’appliquer aux œuvres contemporaines. À l’inverse Wang Nanming défend une démarche qui se veut universelle et dénonce les artistes et les critiques qui brandissent leur identité chinoise... Ainsi les démarches étudiées sont variées et parfois antagonistes, mais attestent de la vitalité de la critique d’art contemporaine chinoise. / Since 1979, China Art critics have accompanied the development of contemporary art, participating in the revival of intellectual life which have been hit hard during the reign of Mao. The journals in art reflect changes in their thinking. In my thesis I will present both the intellectual scene in which is constructed criticism of Chinese art, and secondly, after analyzing how concepts move from one language to another, I approach theoretical texts and their reception in academic. Attracted initially by Western thought, a reference field that extends from Plato to Danto, Chinese critics then turned to the classical corpus, or the Book of Changes, to forge tools specific "to China" to rewrite history of Chinese contemporary art delivered from the post-colonial yoke, but at the risk of getting trapped in an insidious nationalism encouraged by the Party. The extensive excerpts I propose deal with the meta-criticism, and the fate of the rise of modernity and postmodernism, abstract art from gestures and tools of calligraphy. Rejecting Western concepts which are unfit to interpret Chinese art, according to the traditional concepts to establish the School of yi, Gao Minglu offers a critical theory he tries to apply to contemporary works. Conversely Wang Nanming defends an approach to be universal and denounces the artists and critics who brandich their Chinese identity ... So the approaches discussed are varied and sometimes conflicting, but attest to the vitality of contemporary Chinese art criticism. Art critics propose theoretical models that are more interpretive tools of interpretation than appreciation.
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Esthétique de la durée / Aesthetics of Duration

Kobryn, Olga 17 April 2015 (has links)
La problématique essentielle de la présente recherche découle de l’intuition qu’il y aurait à l’intérieur du régime contemporain de l’art, et ce malgré le caractère à première vue très hétérogène de ses expressions artistiques, un moment esthétique commun, un moment commun de forme et d’investigation conceptuelle, qui s’est défini, tout au long de ce travail, comme la notion d’esthétique de la durée. Ce terme théorique, qui englobe aussi bien un certain nombre d’installations, d’images contemporaines en mouvement conçues pour l’exposition à l’intérieur des espaces muséaux ainsi que de productions cinématographiques, n’est pas réductible au concept de la durée bergsonienne, même s’il s’y apparente par certains aspects, notamment par l’idée du devenir en tant que changement d’état et de qualité, devenu le principe esthétique d’une grande majorité des œuvres contemporaines. La notion de durée se trouve ainsi à l’origine d’une nouvelle conceptualisation de la forme de l’œuvre d’art et travaille au cœur même de la constitution d’une pensée esthétique singulière qui définit le régime contemporain de l’art en tant que régime de pensée indépendant que nous proposons de qualifier de conceptuel. / The main topic of this work develops from the intuition that there would be, inside the contemporary regime of art - despite the impression of extreme heterogeneity that its artistic expressions could give at first sight - a common aesthetic moment, a common moment of form and conceptual investigation, that will be defined throughout this work as the notion of Aesthetics of Duration. Such a theoretical notion refers to a certain number of installations, contemporary moving images created for museum space as well as cinematographic productions. However, it does not only involve Henri Bergson’s concept of Duration even though the theory echoes it in several ways, such as the idea of becoming as a change of quality. The approach turns out to be at the origin of a new conceptualization of the very form of works of art. Deeply influencing the development of a singular aesthetic approach, The Aesthetics of Duration defines the contemporary artistic regime as an independent regime of thought that could be qualified as conceptual.
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Contribution à l'étude de la pensée du vide dans l'art du XXème siècle : Occident-Chine

Li, Shiyan 08 September 2011 (has links)
La pensée du vide anime les spiritualités de l’Extrême-Orient ; vide du taoïsme, vide du bouddhisme et leur rencontre dans des synthèses diverses. Elle est au cœur de l’art des lettres. Les artistes contemporains chinois ont reçu l’influence de l’art moderne occidental et, depuis une trentaine d’années de l’art contemporain ; certains d’entre eux ont su interroger cette matière nouvelle à l’aide d’une pensée clairement nourrie par la tradition. Loin d’être synonyme d’absence, le vide dans ces démarches rejoint une acceptation d’un réel lui-même soumis à la respiration du monde. Huang Yongping et Cai Guoqiang offrent deux exemples d’une approche où la question de l’identité et du dialogue avec l’Occident trouve son dépassement dans une stratégie récusant le dualisme qui prévaut habituellement dans ce genre de débat. Le monde occidental a été pour sa part fasciné depuis des siècles par l’art et par la pensée de l’Extrême-Orient. Le vide y a souvent pris les couleurs du néant dans un sens négatif (Hegel, Schopenhauer et Nietzsche). D’autres sources cependant sont venues enrichir l’ouverture à cette pensée. On ne citera ici que l'inspiration du bouddhisme zen si importante dans l'après-guerre (les publications récentes de Jacquelynn Baas, de Helen Westgeest et des auteurs rassemblés à l'occasion de l'exposition américaine The Third Mind en témoignent). Les artistes que j'ai retenus ici : Marcel Duchamp, Yves Klein, Robert Irwin, ont chacun un rapport original avec ce corpus d’images, de notions et d’expériences sans ignorer des apports proprement occidentaux. / Eastern spirituality is driven by thought about emptiness : that of Taoism and of Buddhism and their coming together in various syntheses. It is at the heart of the art of scholars. Contemporary Chinese artists have been influenced by Western modern art and, for the last thirty years, by contemporary art. Some of these artists have succeeded in using thought nourished by tradition in order to examine this new field. Far from being synonymous with absence, emptiness in these processes corresponds to an acceptance of a reality itself subordinated to the breathing of the world. Huang Yongping and Cai Guoqiang provide two examples of an approach in which the questions of identity and of dialogue with the West find its overcoming in a strategy disclaiming the dualism which usually prevails in this kind of debate. The Western world has been fascinated by the art and thought of the East for centuries. Emptiness has often been treated as nothingness in a negative sense (Hegel, Schopenhauer and Nietzsche). Other sources, however, have made us more open to the thought about emptiness. The inspiration of Zen Buddhism is only one example : recent publications by Jacquelynn Baas, Helen Westgeest and the authors gathered together by the American exhibition The Third Mind, all bear witness to its importance in the post-war period. The artists that I have selected here, Marcel Duchamp, Yves Klein and Robert Irwin, each have an original relationship with this corpus of images, concepts and experiences without ignoring the specifically Western contributions.

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