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Convergences aventureuses : L'Écho des années soixante-dix californiennes sur l'art européen des années quatre-vingt-dix et autres essais sur l'art contemporain

Frédéric, Paul 27 November 2008 (has links) (PDF)
Le contexte artistique californien de la fin des années 60 et du début des années 70 constitue un terrain favorable aux investigations d'une nouvelle génération d'artistes, même s'il ne bénéficie pas de réels soutiens logistiques marchands ou institutionnels. L'art conceptuel promu à la même époque par Seth Siegelaub à New York prépare une alternative à l'art minimal. Ce phénomène a déjà son équivalent en Europe. La dématérialisation de l'oeuvre d'art aura des conséquences décisives en Californie, où elle donnera naissance à un art conceptuel dénué de tout dogmatisme marqué par l'influence de fortes personnalités comme Edward Ruscha et John Baldessari. Des artistes originaires de la côté est comme Douglas Huebler, William Wegman, Robert Cumming, du Midwest comme Ruppersberg trouveront de l'autre côté des États-Unis des conditions de travail plus stimulantes. Des Européens comme Bas Jan Ader ou son complice Ger van Elk suivront le même chemin. Leurs oeuvres ne trouveront pas immédiatement sur place une grande visibilité. Mais après une éclipse d'une quinzaine d'années, voici qu'une nouvelle génération d'artistes européens (citons des artistes comme Claude Closky, en France, ou Jonathan Monk, en Angleterre) se penche sur ces grand frères et les place au premier rang de leurs références. À partir d'exemples sélectionnés d'artistes et d'un corpus de textes constitué depuis le début des années 90, que j'ai écrits pour différents catalogues d'expositions, revues, éditeurs, l'objet de cette thèse est de présenter ce dialogue entre les générations et de mettre en évidence certaines convergences malgré la dissemblance des contextes institutionnels et sociétaux.
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Stratégies pour encourager et soutenir l’exploitation des archives par des artistes dans les centres et les services d’archives au Québec

Walton, Diana 03 1900 (has links)
No description available.
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L'art contemporain ou le fétichisme du lucre / Contemporary art or lucre fetishism

Crubilé, Marine 01 June 2018 (has links)
La marchandisation de l’art se traduit par une dérive progressive de l'esprit de collection. Elle est notamment perceptible dans le désir de plus-value des collectionneurs, qui va de pair avec le fait que l'aura de la valeur artistique et esthétique d'une œuvre est fonction du prix qu'elle atteint en tant que marchandise de luxe dans les salles de vente. La valeur de l’art s’en est trouvée assujettie à un marché capitaliste dont les guerres ont paradoxalement favorisé la mondialisation. Ce marché de l’art, qui est en cours de restructuration permanente, favorise chez les artistes une course à la « starification » et à des cotations tout particulièrement ambivalentes. Faut-il en conclure que la marchandisation a pris le pas sur l'artistique, le prix sur la valeur de l’œuvre, le lucre sur l'esthétique ? Cette thèse défend l'idée que la force, et la ruse des œuvres d'art, se manifestent dans leur capacité, à se jouer du milieu religieux, idéologique ou imagologique dans lequel elles voient le jour. Cette force se révèle aujourd'hui dans l’aptitude du geste créateur, qui relève — Marcel Mauss l'a bien vu — fondamentalement du don et du contre-don, à faire voler en éclat les illusions engendrées par la marchandisation. En permettant à l’imaginaire de s’incarner à l’égal du réel, l’artiste ouvre le champ infini des possibles. C'est pourquoi la vie des œuvres d'art n'en finit pas de rendre le cosmos cosmétique, quitte à se servir du « lucre » comme d'un appât habile à stimuler le marché, dont se sert in fine, sa « main invisible ». / The commodification of art results in a gradual drift of the collection spirit. This is particularly noticeable in the desire of collectors for added value, which goes hand in hand with the fact that the aura of the artistic and aesthetic value of work depends on the price it has achieved as a luxury commodity in the sales rooms. The result was a subjugation of the value of art to a capitalist market whose wars paradoxally favored globalization. This art market, which is undergoing permanent restructuring, favors artists’ quest for « starification » and particularly ambivalent ratings. Must we conclude that commodification has overtaken the artistics, that the price is now beyond the value, the profit beyond the aesthetic ? This thesis defends the idea that force and cunning of works of art are manifested in their opportune ability to trifle with the religions, ideological or imaginary environment in which they emerge. This force is today identified in the aptitude of the creative gesture, which – Marcel Mauss saw clearly – is fundamentally a gift and a counter-gift, to smash to pieces the illusions engendered by the commodification. And strong work links the imaginary to the symbolics to become « real ». By making the imaginary equal to the real, the artist opens the infinite field of possibilities. This is why the life of works of art never ceases to make the cosmos cosmetic, even if it uses the « lucre » as a bait skilful enough to stimulate the market, which is, in fine, manipulated by its « invisible hand ».
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Vers une esthétique du signal. Dynamiques du flou et libérations du code dans les arts filmiques (1990-2010) / Towards an Aesthetic of Signal. Dynamics of Blur and Liberations of Code in the Filmic Arts (1990-2010)

Jacobs, Bidhan 12 September 2014 (has links)
Au cours de la décennie 1990, l'introduction puis l’expansion accélérée du numérique par les industries techniques ont favorisé le développement dans les arts filmiques d’un courant critique spontané et collectif portant sur le signal. Nous élaborons une histoire des techniques et des formes esthétiques critiques du signal, en faisceaux de segments, selon une taxinomie qui prolonge le structuralisme matériologique des années 70 (Malcolm Le Grice, Peter Gidal, Paul Sharits, Anthony McCall). Cette histoire embrasse et met en perspective cinéma, vidéo et numérique, de manière à réorganiser nos conceptions distinctes de ces champs selon le domaine des sciences (duquel dépendent détection, codification et visualisation du signal). Nous proposons une histoire des techniques à rebours sous l’angle particulier de la computation du signal, processus systématique commun à l’ensemble des technologies filmiques et entendu comme un ensemble de règles opératoires propres à un traitement calculatoire de données. Dans la double tradition d’une part de Jean Epstein, Marcel L’Herbier ou Jean Renoir, et de l’autre du structuralisme expérimental (Paul Sharits, Malcolm Le Grice…), de nombreux artistes contemporains, tels Paolo Gioli, Philippe Grandrieux, Peter Tscherkassky, Marylène Negro, Leighton Pierce, Augustin Gimel, Jacques Perconte ou HC Gilje (pour n’en mentionner que quelques uns), ont élaboré une intelligence du signal grâce à deux entreprises critiques simultanées. La première, au registre du dispositif, conteste la technologie programmante et vise les libérations du code ; la seconde, au registre de l’image, conteste les normes de visualité et enrichit les palettes visuelles et sonores du flou. Nous tentons d’établir, formuler et organiser les logiques qui, traversant et déterminant la diversité des initiatives artistiques dont nous observons les spécificités et singularités, relèvent d’un même combat artistique contre la standardisation. / During the 90s, with the introduction, then accelerated expansion of digital by the technical industries, has promoted the development of a spontaneous and collective critical current on the signal in the filmic arts. We develop a history of technics and critical aesthetic forms of signal, in beam segments, according to a taxinomy that extends the 70s’ materiologic structuralism (Malcolm le Grice, Peter Gidal, Paul Sharits, Anthony McCall). This history embrace film, video and digital, to reorganize our different conceptions of these fields according to the scientific viewpoint (which detection, codification and display of the signal depend on). We propose a backward technological history from the viewpoint of the signal computation, a systematic process common to all filmic technologies, and understood as a set of operating rules specific to computational data processing.In the double tradition, first of Jean Epstein, Marcel L'Herbier or Jean Renoir, on the other hand experimental structuralism (Paul Sharits, Malcolm Le Grice...), many contemporary artists such as Paolo Gioli, Philippe Grandrieux Peter Tscherkassky, Marylène Negro, Leighton Pierce, Augustin Gimel, Jacques Perconte or HC Gilje (just to mention a few) has developed a signal intelligence thanks to two simultaneous critical enterprises. The first, on the register of the apparatus, challenges the programming technology and aims the liberation of the code ; the second, on the register of the image, challenges the norms of the visuality and expand the visual and sound palettes of blur. We try to formulate and organize the logics which, crossing and determining the diversity of artistic initiatives whom we observe specificities and singularities, belong to the same artistic battle against standardization.
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La performance au miroir des médiations. Enjeux théoriques et critiques / Performance and its Relations to Mediations

Fourgeaud, Nicolas 12 May 2012 (has links)
À l’orée des années soixante, la performance a cherché à imposer un art de l’action éphémère que n’entraverait aucun type de médiation, qu’il soit symbolique (la distance acteur/spectateur), technique (les médias), ou même linguistique (le langage, les signes). Enjeu de nombreux débats entre les années 1960 et 1990, ces tentatives ont trouvé de multiples formulations théoriques s’appuyant sur les outils du poststructuralisme en particulier, mais aussi sur des cadres de pensée différents, directement hérités du modernisme de Greenberg. On explore ici les étapes et enjeux de ce croisement, jusqu’à la rupture apportée dans les années 1990 et 2000 où les débats théoriques, toujours dirigés par des schémas poststructuralistes, redonnèrent une place centrale aux médiations, tout particulièrement au document. Or, la figure importante de la pratique artistique qu’est devenu le document depuis les années soixante s’avère mettre en question l’ontologie traditionnelle de la performance, orientée sur l’événement, autant que son épistémologie, qui valorise l’expérience directe. La prise en compte des dimensions instrumentales et artistiques du document nous conduit à réviser la poïétique traditionnelle de la performance et les théories de la communication qui lui sont liées, et à repenser par là même l’opposition entre objet et événement qui fonde la définition de la performance. C’est ainsi qu’on interroge le rapport de celle-ci à l’inscription, pour la redéfinir comme un art irréductible à son contexte d’exécution et travaillé en profondeur par la reproduction et la représentation, au travers notamment de l’étude de certaines figures exemplaires, Allan Kaprow, Chris Burden ou Tino Sehgal. / On the edge of the 1960’s, performance looked after imposing an art of ephemeral action that no kind of mediation would impede, be it symbolic (the distance between actor and spectator), technical (the medias), or even linguistical (language, signs). Those attempts led to numerous discussions between the 1960’s and the 1990’s, and have found numerous theoretical formulations using particularly the tools of poststructuralism, but also frames of thought directly inherited from Greenberg modernism. We explore here the stages and issues of this cross-over until the break of the 1990’s and 2000’s where the theoretical debates, always using poststructuralist schemes, gave a central role to mediations, particularly to the document. Documents have become an important figure of artistic practice since the 1960’s and turned out to question the traditional ontology of performance, based on the event, as well as its epistemology that promotes live experience. We try to consider the instrumental and artistic dimensions of the document ; this leads us to revise the traditional poetics of performance and theories of communication that are related to it, and to consider anew the opposition between object and event on which the definition of performance is based. Thus, we question the links between performance and inscription, redefined as an art that is irreducible to its context of execution and worked in depth by reproduction and representation, through the study of certain figureheads : Allan Kaprow, Chris Burden or Tino Sehgal.
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Du simulacre numérique. Les images digitales au défi du vivant / The Digital Simulacra. Digital images challenging the living

Cotentin, Régis 01 February 2017 (has links)
Les auteurs contemporains, des plasticiens aux réalisateurs de blockbusters, créent des images où le réel et le virtuel semblent de la même étoffe. Leurs films, vidéos et installations exposent un monde qui émerge de l’immatérialité des écrans.À la différence des images qui procèdent de l'imprégnation de la lumière réelle sur des surfaces photosensibles, les simulacres numériques résultent du langage binaire. Ils correspondent à du code informatique qui transforme l’image en une somme de données.Dès lors, ceux-ci entraînent-ils une mutation de notre rapport à l’image ? En quoi induisent-ils une nouvelle perception des représentations artistiques où prime l’apport d’une subjectivité ?Les simulacres numériques apparaissent après des millénaires d’images qui relèvent de l’ontologie et entretiennent un lien sensible avec le réel. Le spectateur ayant besoin de se projeter dans ce qui emprunte à sa nature et ce qui interroge ses aspirations, ses sentiments comme ses croyances, il attend de la simulation numérique la même capacité d’incarnation et de transfiguration que les autres moyens d’expression.Entrelaçant la tradition et le contemporain, cette recherche analyse l’éloquence sensible du simulacre numérique au défi du vivant dans le cinéma et les arts plastiques des années 2000-2010 selon les concepts de présence, représentation et simulation.Comment le numérique actualise-t-il des codes culturels et esthétiques hérités de l’histoire de l’art ? Cette recherche tente de comprendre la nature et le sens des simulacres numériques du vivant en tant qu’ils conjuguent l’incorporel synthétique à l’argument ontologique. / The contemporary authors, from visual artists to blockbusters’ directors, create images where the real and the virtual seem from the same cloth. Theirs movies, videos and installations show a world which emerges from the immateriality of the screens.Unlike images which are the result of the impregnation of the actual light on photosensitive surfaces, digital simulacra stem from binary language. They are made of pure computer code that can transform the image into a sum of data.Therefore, will the digital simulacra change our relationship to images? How do these digital sham images induce a new perception of artistic performances where subjectivity and its contributions are the prime factors?We are confronted with these digital simulacra of images after millennia of imagery that relate from ontology and that maintain a significant link with reality. The viewer, having the need to project himself into something that borrows from his nature and that questions his aspirations, his feelings as well as his beliefs, expects from the digital simulation the same capacity for incarnation and transfiguration that he experiences from others means of expression.Confronting and intertwining the traditional and the contemporary, this research analyses the sensitive eloquence of digital simulacra and how they face the challenge of real life, through film and in visual arts over the decade 2000-2010, based on the concepts of presence, representation and simulation.How do the various uses of digital technology force us to update the cultural and aesthetic codes that we inherited from Art history? Thus, this research attempts to understand the substance and the meaning of the digital pretence of life, which combines the synthetic intangible with an ontological argument.
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L'art comme jeu : pratiques et utopies / Art as play : practices and utopias

Schmitt, Florent 26 September 2015 (has links)
L'art comme jeu n'est pas une simple métaphore. Il correspond à la forme que prennent de nombreuses œuvres d'art notamment les maquettes et miniatures contemporaines et aujourd'hui le jeu est représenté ou mis en scène dans de nombreuses expositions. Cependant l'artiste n'est pas un joueur comme les autres mais un joueur professionnel qui s'oppose à la figure du non-artiste ou de l'artiste amateur défendue par les artistes des avant-gardes qui avaient élevé le jeu au rang d'art. Alors que la consommation de l'art prend la forme d'un divertissement à grande échelle et que l'on assiste à une Disneylandisation des musées, l'art contemporain comme jeu ne semble plus aussi subversif que celui des années soixante. Pourtant l'art comme jeu en tant que modèle et outil de changement social perdure. C'est un art d'attitude, héritier des dernières avant-gardes, se tenant en dehors des frontières habituelles de l'art et réalisant le dépassement souhaité par les situationnistes ou Allan Kaprow. / Art as play is not only a metaphor. It is the particular form of many works of art, especially contemporary models and miniatures. Play itself is nowadays represented or staged in numerous exhibitions. However, the artist is not a player like any other but a professional player in contrast to the figure of the non-artist or amateur artist defended by avant-garde artists who had raised play to the level of art. While the consumption of art takes the form of large-scale entertainment and we witness a Disneylandisation of museums, contemporary art as play no longer seems as subversive as it did in the sixties. Yet art as play as model and tool for social change endures. It is an art of attitude, heir to the last avant-gardes, standing outside the usual boundaries of art and an art that achieves the desired by Allan Kaprow and the Situationists.
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Aporie du second degré : la forme à la quête d'une nouvelle autonomie : réflexions sur le rôle et le statut de la discursivité théorique dans l'art contemporain de la fin des années soixante à nos jours / Aporia of the second degree : the form in search of a new autonomy : reflections on the role and the status of theoretical discourse in contemporary art since the late sixties to the present

Sarcevic, Lara 08 November 2014 (has links)
Qu’elle soit le fait des artistes, des institutions muséales ou des acteurs économiques, désormais une nouvelle discursivité s’ajoute à la production critique traditionnelle des historiens, théoriciens et philosophes de l’art, et accompagne de manière quasi systématique les propositions plastiques des artistes contemporains. A cet accroissement discursif correspond aussi une démultiplication des fonctions du discours théorique qui se trouve parfois être utilisé comme le matériau plastique même des œuvres. Empreintes d’une plasticité toute singulière, les œuvres contemporaines étendent les possibles, au point de pouvoir se manifester sous n’importe quelle forme, voire de complètement disparaître. Cette extrême diversité résulte de l’adhésion à un nouveau principe artistique, le « second degré », ou l’auto-réflexivité de l’œuvre d’art, qui attribue à l'idée de l’œuvre une importance aussi grande qu'à la formulation matérielle de celle-ci. Ce qui est devenu indéterminé dans la forme plastique semble être compensé, en retour, par l'exigence d'une détermination conceptuelle accrue. Nous nous sommes attachés, dans notre recherche, à mettre en lumière l’origine du primat discursif dans la nouvelle situation paradigmatique des arts plastiques. Ne se limitant pas à la seule logique de médiation et de légitimation sociale des œuvres, la discursivité ouvre aussi un espace créatif et herméneutique nouveau impliquant le discours théorique comme geste créatif complémentaire à la forme plastique. / Whether by artists, museums or economic actors, now a new discursivity is added to the traditional critical production of historians, theoreticians and philosophers of art, and accompanies almost systematically the plastics works of contemporary artists. This discursive growth answers also to a proliferation of functions of the theoretical discourse, which is used, in some contemporary artistic practices, as the very plastic material of the work. Marked by a singular plasticity, contemporary art works extend the expressive possibilities to the point that the work can manifest itself in any form, and even completely disappear. This extreme diversity results from the adherence to a new artistic principle, the "second degree", or the self-reflexivity of the artwork, which attributes to the idea of the work, the same importance as its’ very material formulation. What became undetermined in the plastic form seems, in return, to be offset by the requirement for greater conceptual determination. We were committed, in our research, to highlight the origin of this discursive primacy in the new paradigmatic situation of visual arts. Not being limited only to the purpose of mediation and social legitimization of the art works, discursivity opens also a new creative and hermeneutic space, involving theoretical discourse as a creative act complementary to plastic form.
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Art en réseaux : la structure des réseaux comme une nouvelle matrice pour la production des œuvres artistiques / Art & Networks : networks structure as a new matrix for the production of artworks

Souliotou, Anastasia Zoé 19 May 2015 (has links)
La problématique de ce doctorat est : comment la structure des réseaux constitue une nouvelle matrice pour la production d’oeuvres artistiques. Pour répondre à cette question, nous commencerons en étudiant l’évolution de la notion de « réseau » de l’antiquité jusqu’à aujourd’hui ; les théories des réseaux concernant leur structure et/ou leur dynamique. Ensuite nous présenterons les applications –de la notion ou des théories de réseaux– tant dans les sciences que dans l’art. Nous listerons et nous analyserons huit types de réseaux et puis nous mentionnerons des oeuvres artistiques qui ont été inspirées par ces types de réseaux et/ou qui utilisent certains (types de) réseaux comme matrice pour leur création. Nous proposerons le projet Lignes Imaginaires, un modèle 3D qui se fonde sur la conception d’un métro de lignes imaginaires, voire de lignes dynamiques et/ou paradoxales qui sont en mouvement, apparaissent/disparaissent, créent de l’infrastructure supplémentaire. L’analyse du métro Lignes Imaginaires dévoile l'importance de la géographie et de la spatialité des réseaux, tandis que leur représentation graphique topologique reste insuffisante pour la représentation précise et pour la compréhension de leur structure (paradoxale). En outre, l’innovation du métro Lignes Imaginaires est que son infrastructure est dynamique et auto-organisée, contrairement aux métros traditionnels où les lignes et leurs itinéraires sont fixes. L’objectif du projet artistique Lignes Imaginaires est de visualiser un concept en créant un métro hors du commun qui pourrait aussi proposer des formes alternatives des réseaux de transports dans le contexte urbain. / This thesis examines and shows ways in which the structure of networks can provide a new matrix for the production of artworks. In order to answer this question we start by studying: the evolution of the term ‘network’ from the ancient times up to nowadays; the theories that refer to network structure or network dynamics. Then we present the applications of these theories into both art and science. We list and analyze eight different types of networks and then we feature artworks which have been inspired by these network types or have used the network structure of a certain type as a matrix for art making. We propose the Imaginary Lines project, a three-dimensional network model which is based on the concept of a metro composed of imaginary lines. More precisely Imaginary Lines metro network encompasses seven paradoxical lines which move, (dis)appear and produce supplementary infrastructure. The Imaginary Lines metro unveils the importance of geography and spatiality, in contrast with topological network graphic representations, which remain insufficient, in terms of utmost accuracy in representation and comprehension of network structure. Additionally, the Imaginary Lines network innovation lays in its infrastructure dynamics as well as in its self-organisation. The objective of the Imaginary Lines artistic project is to visualise a concept by creating an unusual metro, which goes beyond traditional fixed-route transport networks and can support alternative forms of urban transport development.
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Penser le territoire, sculpter le paysage Robert Smithson, les "Nonsites" au regard des géosciences : un modèle pour les échanges entre Arts et Sciences en résonance avec les démarches de Giuseppe Penone et Olafur Eliasson. / Decoding the land, modeling the landscape. Robert Smithson, the Nonsites and the Geosciences : a model for the relationship between Art and Science in resonance with the works of Giuseppe Penone and Olafur Eliasson.

Grossmann, Ralph 07 December 2018 (has links)
Construite sur une analyse approfondie des archives de Robert Smithson, cette thèse réévalue la série des Nonsites (1967-1969) dans sa relation d'inspiration avec les Géosciences. Elle rappelle le contexte culturel des années soixante comme toile de fond pour l’inspiration de l’artiste et détermine l’envergure de son expertise dans le domaine des sciences. Des documents préparatoires inédits viennent éclairer son processus de création et la manière dont il formule ses œuvres complexes, à partir des sources géologiques, de l'information scientifique et de la muséographie. La relation entre arts et sciences apparaît centrale dans l’élaboration des Nonsites. Chaque œuvre de la série est ainsi rattachée à ses sources artistiques et scientifiques et révèle le moment historique de l’émergence de la sculpture post-minimale. Le jeu de l’espace muséal avec la tridimensionnalité est alors enrichi par le déploiement de strates d’informations contextuelles et crée les prémices d’une interaction nouvelle entre œuvre et spectateur.De plus, deux perspectives ouvertes sur un choix d'œuvres de Giuseppe Penone et Olafur Eliasson démontrent comment leurs démarches artistiques sont en résonance avec les préoccupations créatives de Smithson. Il est ainsi possible de problématiser l’expédition scientifique de terrain (et la manière de penser le territoire qui lui préexiste), ainsi que les agencements muséographiques en art comme en sciences comme sources déterminantes dans la confluence de l’art et des sciences. / Based on a thorough analysis of Robert Smithson's archives, this dissertation re-evaluates the Nonsites series (1967-1969) in its inspirational relationship with the Geosciences. It recalls the cultural context of the sixties as a backdrop for the artist's inspiration and determines the scope of his expertise in the field of science. Unpublished preparatory documents enlighten his creative process and the way he formulates his complex works from geological sources, scientific information and museography. The relationship between arts and sciences is central to the development of the Nonsites. Each work in the series is thus linked to its artistic and scientific sources and reveals the spectacular historical moment of the emergence of post-minimalist sculpture. The play between the museum space and three-dimensionality is then enriched by the deployment of layers of contextual information and provides the basis for a new interaction between viewer and artwork.In addition, two perspectives are drawn towards the work of Giuseppe Penone and Olafur Eliasson and demonstrate how their artistic approaches resonate with Smithson's creative concerns. It is thus possible to problematize the scientific field expedition (and the analysis of the territory, its prerequisite), as well as the museographic arrangements, as determining sources in the confluence of art and science.

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