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Le contrôle de l’activité du médecin en centre hospitalier

Léger-Riopel, Nicholas 04 1900 (has links)
No description available.
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Sœurs grises et Inuit : ethnohistoire de l'Hôpital Sainte-Thérèse-de-l'Enfant-Jésus, Chesterfield Inlet, 1931-1967

Michaud, Marco D. 05 June 2021 (has links)
Chesterfield Inlet est d'abord choisi par Mgr Arsène Turquetil en 1912 pour y fonder une mission catholique (Notre-Dame-de-la-Délivrande). Dès le début de la mission, il se rend vite compte de la nécessité de la construction d'un hôpital. C'est finalement en 1931 que le premier hôpital de l'Arctique canadien, l'Hôpital-Sainte-Thérèse-de-l'Enfant-Jésus, ouvre ses portes. À la demande de Mgr Turquetil, quatre Sœurs Grises nicolétaines prennent la route du Nord au printemps 1931 afin de perpétuer l'œuvre de Marie-Marguerite de Lajemmarais d'Youville, fondatrice de la congrégation des Sœurs Grises. Ce mémoire traite à la fois du travail de ces premières religieuses venues au nom de leur foi « en terre stérile », afin d'y prodiguer des soins et de la réaction des Inuit face à cette nouvelle institution apportée par les qallunaat, les blancs. Le mémoire est divisé en quatre parties. La problématique, la revue de la littérature et la méthode font l'objet d'un premier chapitre. Le chapitre deux traite de la mise en chantier du projet de l'hôpital, du voyage des Sœurs Grises nicolétaines jusqu'à Chesterfield et de leurs représentations du Nord. Le chapitre trois présente les activités qui ont lieu à l'hôpital (naissances, épidémies, hospitalisations, etc.). Finalement, le chapitre quatre s'intéresse au quotidien des sœurs et au début de la formation d'une communauté religieuse inuit.
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Breast Reconstruction Post-Mastectomy : an Assessment of Rates, Limiting Factors and Attitudes at a Tertiary Care Center in Quebec

Karunanayake, Mihiran 07 1900 (has links)
La reconstruction mammaire post-mastectomie améliore le bien-être psychosocial, et l’image corporelle des patientes. Parcontre, la reconstruction mammaire demeure faiblement utilisée et même inaccessible à des patients dû à des facteurs limitants. Les taux de reconstruction et les facteurs qui influencent l’accès à la reconstruction n’ont pas été évalués dans la province du Québec. Avec une revue de dossier rétrospective, l’objectif de notre étude est d’identifier les taux de reconstruction mammaire dans un centre tertiaire à Montréal et les facteurs qui influencent l’accès à la reconstruction, avec un revu de dossier rétrospective. Ensuite, nous avons évaluer directement dans la même cohorte de patientes, leur désire d’avoir une consultation en chirurgie plastique pour discuter d’une reconstruction. Il y avait un taux total de reconstruction mammaire post-mastectomie de 21%, dont 14% était immédiat et 8% tardif. Les patientes qui ont eu une reconstruction étaient plus jeunes, plus de tendance à avoir une plus grande proportion de mastectomie bilatérale, avaient des cancers non-invasifs et habitaient plus loin de l’hôpital (>10km). Environ la moitié des patientes avec une mastectomie sont intéresser à avoir une consultation avec un chirurgien plasticien mais seulement 38% ont eu une reconstruction. Les chances d’avoir subi une reconstruction, augmentent lorsqu’une reconstruction est offerte et expliquée. Présentement, il existe des barrières autres que les désires de la patiente qui empêchent l’accès à la reconstruction mammaire post-mastectomie. / Breast reconstruction post-mastectomy has been shown to improve psychosocial wellbeing, and body image. However, accessibility and acceptance of breast reconstruction is limited, with patients being unequally privileged based a number of limiting factors. To date, no evaluation on the rates of reconstruction and the factors that influence patient access has been performed in the province of Quebec. The objective of the research was two-fold with the first component being to identify the rates of breast reconstruction at a tertiary care center in Montreal and the factors influencing the rates of reconstruction through a retrospective chart review. The second component was to directly evaluate in the same cohort of breast cancer patients; their interest in a consultation with plastic surgery through a telephone questionnaire. There was a total rate of PMBR of 21%, where 14% of patients had an immediate reconstruction and 8% of eligible patients underwent a delayed reconstruction. Patients that received a PMBR were younger, more likely to have bilateral mastectomies, had non-invasive breast cancer and resided further then 10km from the hospital. Approximately half of patients with a mastectomy were interested in consulting a plastic surgeon but only 38% of all patients underwent a reconstruction. The offer and awareness of reconstruction increased the chance of opting to have a reconstruction. There are barriers outside of the patient’s own desires that impede their access to breast reconstruction.
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Mourir à l’hôpital : entre droit privé et droit public : approche pratique, théorique et philosophique. / Die at the hospital : between private law and public law : practical, theoretical and philosophic approach.

Tomc, Nicolas Antoine 28 November 2012 (has links)
Il est quasiment devenu un lieu commun aujourd’hui de mourir à l’hôpital. Et s’il fallait traiter ce sujet, le plus souvent c’est la perspective médicale qui tenterait d’en percevoir les enjeux. C’est au tournant du milieu du XXème siècle, au lendemain d’un énième génocide, marquant l’esprit de l’humanité certainement pour l’éternité, qu’un nouveau langage bioéthique va se faire le vecteur d’une considération renouvelée de la personne. L’homme devient personne humaine dans les textes internationaux proclamant dès lors d’inédits droits de l’homme. C’est en prenant la bioéthique comme objet de réflexion qu’un certain droit de la santé, largement inspiré par la production de comités d’éthiques, a émergé d’une doctrine privatiste en premier, afin de cerner de premiers droits définissant celui qu’il serait convenu d’appeler alors le mourant. Toutefois, l’établissement public de santé confronté à la technologisation médicale, permettant alors un allongement de la fin de vie, s’est rapidement trouvé être un lieu de conflit entre ceux qui furent considérés comme des usagers de service public, et les commettants médecins de l’Etat. La primauté du droit privé de la personne semblait alors menacée, le droit administratif prenant le pouvoir afin d’indemniser les victimes de l’hôpital. Cependant, à force de réductions systématiques ne regardant la personne mourante que sous un angle génériciste, relevant d’un droit public, celle-ci s’est progressivement retrouvée parfaitement ignorée en son essence première que le droit privé parvenait à percevoir. Les formes les plus récentes de déresponsabilisation attesteraient d’une consécration de l’indemnisation finissant d’objectiviser l’être sous-jacent à la personne mourante, allant jusqu’à justifier l’acte euthanasique. L’approche réitérée de ce difficile objet d’étude trouverait à générer une réflexion que le philosophe du droit engagerait, réintroduisant la personne irréductible se manifestant comme point de départ et d’arrivée, de telle sorte que se pourrait être harmonisée la rencontre inévitable des domaines public et privé, juridique et politique, afin de rendre toute sa vérité onto-axiologique aux droits premiers du sujet mourant. / Today, dying at hospital is the most curently idea agreed in order to protect people. That’s maybe the reason why medical studies took this as an issue more than lawyer studies. It’s around the middle of the twentieth century, after one more genocide, marking the spirit of the humanity certainly for all eternity, that a new bioethical language is going to be made the vector of a consideration renewed by the person. The man becomes a human-person in the international texts, proclaiming from then on of unpublished works human rights. While taking the bioethics as object of reflection a certain health law, widely inspired by the production of committees of ethics, emerged from a privatiste doctrine in the first one, to encircle first rights of the one that it would have been advisable to call then the dying. However, the public institution of health confronted with the medical technologisation, allowing then an extension of the end of life, quickly was to be a place of conflict between those who were then considered as users of public service, and principals doctors of the State. The superiority of the private law of the person seemed then threatened, the administrative law taking the power to indemnify the victims of the hospital. However, by means of systematic reductions looking at the dying person only under an angle génériciste, recovering from a public law, this one gradually found itself perfectly ignored in the first essence which the private law succeeded in perceiving. The most recent forms of deresponsabilisation would give evidence of a consecration of the compensation stopping an objectivisation the underlying being to the dying, going person to justify the euthanasic act. The approach repeated by this difficult object of study would find to generate a reflection which the philosopher of the right(law) would engage, reintroducing the person inflexible as point of departure and arrival, so that could be harmonized the inevitable meeting of the public and private, legal and political domains, to return all its onto-axiological truth to the first rights of the dying subject.
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De l'invention du mourant à la figure de l'agonie. Recherche sur l'ultime épiphanie de la personne incarnée / From the invention of the dying, to the figure of agony : research on the final epiphany of the incarnated person

Tranchant, Blandine 11 January 2017 (has links)
A l’heure où la prise en charge médicale s’avère de plus en plus nécessaire pour accompagner la fin de vie, il nous apparait que sa place est de plus en plus importante et de moins en moins questionnée. Or, réduire la fin de vie à la question du mourant et de sa prise en charge est pour le moins problématique. L’arrêt d’hydratation et d’alimentation, les différentes formes de sédation, l’euthanasie, le suicide assisté, les soins palliatifs résument-ils à eux seuls ce que l’on peut dire de la fin de vie ? Peut-elle se résumer uniquement à une question d’ordre médical ? N’est-elle pas avant tout une question d’ordre existentiel où, à l’heure de notre déclin, nous sommes confrontés à l’agonie ? Souffrance et finitude se trouvent au cœur de notre interrogation et nous poussent à nous confronter au pâtir de la vie, nous dévoilant ainsi comme être de chair. Grâce à la philosophie henryenne, l’agonie va peu à peu se dévoiler comme une occasion ultime de révélation de soi à soi en tant que soi. Face à l’aporie du mal qui frappe, nous découvrons les hommes capables toujours d’y faire face par un effort de repersonnalisation. C’est cet effort nécessaire qui va se dévoiler tant dans le champ métaphysique, que dans le champ éthique, et que dans le champ politique. C’est ce même effort qui amène l’homme à prendre ses responsabilités et à répondre aux questions existentielles. La subjectivité de chacun se doit alors de devenir le centre de l’institution soignante. L’agonie devient possibilité de repenser la place de la personne au sein du système hospitalier : place de la personne soignante, de la personne soignée, de ceux qui accompagnent, tout en développant une éthique de l’accompagnement qui doit ensuite se décliner dans une politique. Car si, métaphysiquement, vivre son agonie ne peut se justifier que par l’Amour, éthiquement, il nous faut construire une nouvelle poétique de l’action faisant place à la fraternité issue de la chair, à l’imagination de l’homme pour répondre à l’appel d’autrui et de la vie, et à la subsidiarité, afin que chacun soit respecté dans son agir et sa conscience. Politiquement, cela nous ouvre alors à un système hospitalier respectueux de chaque « Je Peux » qui se déploie en son sein. Le respect du consentement du patient reste ainsi la pierre angulaire du système hospitalier ; mais il ne peut se construire que dans une alliance avec les soignants. / In the context of today’s world, medical care is becoming increasingly necessary to assist patients at the end of life. It appears that this care is taking on more and more importance and is subject to fewer and fewer questions. is less and less questioned. However, confining the end of life to the state of dying and its medical support is problematic. Can the end of life be resumed as stopping hydration and artificial feeding, sedation in its different forms, euthanasia, assisted suicide, and palliative care? Can it be summed up as a simple medical question? Isn’t the end of life, first and foremost, linked to an existential question in which, at the time of our decline, we come face to face with agony? Finiteness and suffering are at the heart of our questioning as we confront life’s hardships, revealing the mystery of the flesh. With the help of Michel Henry’s philosophy, agony will gradually reveal itself as an ultimate opportunity for self-revelation. Faced with the paradox of evil, we find Man capable of coping with an effort of re-personification. This necessary effort will unfold in the metaphysical, ethical and political fields. This same effort allows Man to take responsibility for himself and to contemplate existential questions. The subjectivity of each person must become the center of the healthcare institution. Agony becomes the possibility to rethink the place of the individual person within the hospital system: the care giver, the care receiver and those supporting them, all while developing an ethical personal assistance which must then translated into policies. Because even if metaphysically, living out agony cannot be otherwise justified but by Love, ethically we must build a new way of operating. We must leave room for fraternity as a consequence of being of the flesh, to imagination in order to respond to our fellow man and our life’s calling, and to subsidiarity so that everyone is respected in his actions and consciousness. Politically, it opens up the possibility of a hospital system respectful of each "I Can" which is echoed within its walls. Respect for the patient's consent remains the cornerstone of the hospital system but can only be built with an alliance with caregivers.

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