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Le péché et son rôle salvateur chez le maître soufi égyptien Ibn 'Atâ' Allâh al-Iskandarî (m.709/1309) / Sin and its salvatory role according to the Egyptian sufi master Ibn 'Atâ' Allâh al-Iskandarî (d. 709H/1309)

Touati, Samia 24 September 2014 (has links)
Cette thèse analyse la manière dont Ibn ‘Atâ’ Allâh al-Iskandarî aborde, dans son œuvre, la notion du péché, mettant en exergue son aspect positif, voire salvateur, à la lumière des apports d’auteurs soufis précédents qui ont marqué sa formation spirituelle. Après un état des lieux de la situation de l’Égypte au début du règne mamelouk, ce travail tente de dessiner le portrait d’Ibn ‘Atâ Allâh en s’interrogeant sur des dimensions moins connues de sa personnalité et en démontrant l’importance de son œuvre dans la transmission de l’enseignement reçu oralement de ses maîtres, fondateurs de la Shâdhiliyya. Quant à la notion du péché, elle y est d’abord analysée au travers d’une étude lexicographique, avant de retracer les différentes manières dont elle a été évoquée chez Muhâsibî, Makkî, Qushayrî, Ghazâlî et Ibn ‘Arabî. L’influence de ce dernier auteur sur Ibn ‘Atâ Allâh, souvent minimisée dans des travaux plus anciens, est démontrée à plus d’un égard, à la fois dans sa manière de décrire le péché d’Adam et dans l’approche globale tendant à transcender l’existence d’une dualité immuable entre le péché et l’obéissance. / This dissertation analyzes how Ibn 'Atâ' Allâh al-Iskandarî deals, in his writings, with the notion of sin, highlighting its positive, or salvatory, aspect, taking into account the contributions of previous Sufi writers who played a role in his spiritual education. After an overview of the situation in Egypt in the early Mamluk era, this work tries to draw the portrait of Ibn 'Ata Allah by treating some less known dimensions of his personality and demonstrating the importance of his works in transmitting the spiritual teaching he received orally from his masters, the founders of the Shâdhiliyya. Concerning the concept of sin, it is first analyzed through a lexicographical study, before retracing the ways in which it was addressed by Muhâsibî, Makkî Qushayrî, Ghazâlî and Ibn 'Arabî. The latter’s influence on Ibn 'Atâ’ Allâh, often minimized in earlier works, is demonstrated in more than one respect, both in the way he describes Adam’s sin and in his general approach tending to transcend the existence of an immutable duality between sin and obedience.
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Le langage théologique du Mal et du Salut dans la trilogie de Hans Urs von Balthasar. Une base pour la réflexion sur le langage de la théologie

Planchon, Félicien 08 April 2003 (has links)
Le mystère du mal – faute et/ou malheur – est la limite la plus compacte à laquelle se heurte la réflexion humaine en général et la réflexion théologique en particulier. J'ai entrepris de lire sous cet angle la trilogie de Balthasar, qui est son œuvre centrale : il s'agit de voir comment un théologien contemporain du calibre de Balthasar affronte ce mystère, et en quels termes se présentent pour lui le désir humain et l'espoir chrétien de salut. L'approche de Balthasar est phénoménologique ; mais à ce propos deux précisions s'imposent. D'une part, cette phénoménologie est théologique : l'événement de Révélation est sans analogie ; on ne peut le ranger parmi les autres phénomènes. D'autre part, une telle phénoménologie se situe au pôle positif d'un « choix fondamental ». Ce choix, qui est un leitmotiv qu'on peut suivre à la trace dans toute la trilogie, décide de l'orientation de toute vie spirituelle : ou bien l'être humain, en présence de ce qui s'offre à sa conscience connaissante, tend à se développer, s'affirmer, s'approfondir, ou bien au contraire, il se laisse saisir et emporter par le mystère de ce qu'il lui est donné de percevoir. La réflexion théologique de Balthasar a comme axe principal la kénose divine : kénose intra-trinitaire (le dépouillement mutuel des personnes divines l'une envers l'autre) ; kénose de création (Dieu posant hors de lui des créatures capables de s'opposer à lui) ; kénose d'alliance (Dieu s'impliquant dans les aléas d'une alliance avec son peuple) ; kénose révélatrice (l'Incarnation, la Passion et la mort en Croix du Verbe divin). Le thème récurrent est celui de la « non-puissance » de Dieu, de la « non-figure » du Fils ensanglanté et mourant sur la Croix. La kénose du Fils incarné s'inscrit dans une logique visionnaire, répondant à un souci obsessif de Balthasar : le souci du « salut-pour-tous ». En effet, le Fils incarné subit l'abandon du Père, jusqu'à partager l'enfermement sans issue des réprouvés éventuels: la « Descente aux Enfers », c'est l'épreuve de la « non-puissance » extrême, seule capable de délivrer l'éventuel réprouvé sans faire violence au Libre Arbitre qui, selon la doctrine, définit la dignité de la personne humaine. La théologie négative, selon Balthasar, n'est pas l'arrêt de la raison humaine devant l'infini divin qui dépasse les limites de la conscience connaissante : pour Balthasar, c'est la contemplation du mystère inconcevable de la kénose divine, de l'inimaginable dépouillement divin dans la Passion du Fils et la Descente aux Enfers. La kénose du Fils incarné, ce n'est pas un acte distinct du Dieu tout-puissant, qui se séparerait de sa toute-puissance pour rejoindre le niveau de la condition humaine : le dépouillement, la non-puissance, c'est la définition même de Dieu dans la vie trinitaire. Selon Balthasar, la Passion, la mort, l'abandon du Christ jusque dans les ténèbres de la perdition révèlent Dieu tel qu'il est de toute éternité. Percevoir le divin dans la « non-figure » du Christ en croix, c'est recevoir le don du regard simple, c'est se tenir au pôle positif du « choix fondamental » : être emporté, ravi par le mystère qui se révèle. Ainsi se définit ce que Balthasar rappelle avec insistance : l'humilité de la théologie et de son langage: l'ouverture contemplative au mystère et le respect des failles de toute construction « théo-logique », failles par lesquelles se manifeste le mystère de l'indicible, qui bouscule nos habitudes et nos représentations.
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L’être humain image de Dieu : un thème théologique majeur relu à travers l’anthropologie relationnelle de Jean Ansaldi / Human being as imago Dei : a major thème of theology reread through the relational anthropology of Jean Ansaldi

Laurand, Raphaël François 24 January 2015 (has links)
Véritable théologoumène, l’imago Dei apparait comme un thème majeur de la théologie qui permet d’élaborer une anthropologie théologique. Aussi l’imago Dei a pu connaitre plusieurs interprétations dans l’histoire. Ainsi est-il est possible d’identifier deux grandes catégories d’anthropologies théologiques dans le christianisme contemporain : une anthropologie dite « substantialiste » et une anthropologie dite« relationnelle ». Selon l’anthropologie théologique que l’on rencontre le plus fréquemment, l’homme est défini par une propriété qui lui est commune avec Dieu comme l’intelligence ou la faculté d’aimer. Le but de cette thèse est de montrer, à travers le prisme de l’anthropologie relationnelle sans concession de Jean Ansaldi qui interroge sans cesse la légitimité même de l’imago Dei comme fondement biblique d’une anthropologie chrétienne, que cette anthropologie qui semble la plus classique n’est en fait qu’une parenthèse dans l’histoire du christianisme qui, de l’écriture de la Bible jusqu’à la théologie contemporaine, perçoit l’être humain avant tout comme vis-à-vis de Dieu, altérité représentant le Tout Autre, être qui est relation comme Dieu est en lui-même relation. / Theologoumenon true, imago Dei appears as a major theme of theology that allows to develop a theologica anthropology. Imago Dei also could know several interpretations in history. Thus it is possible to identify two broad categories of theological anthropology in contemporary Christianity : a so-called "substantialist" anthropology and called "relational" anthropology. According to theological anthropology that the most frequently encountered, man is defined by a property that is common with God as the intelligence or the ability to love. The aim of this thesis is to show, through the prism of relational anthropology uncompromising Jean Ansaldi who constantly questions the legitimacy of imago Dei as a biblical foundation of a Christian anthropology, anthropology seems that the classic is actually a parenthesis in the history of Christianity, writing of the Bible to contemporary theology sees the human being as primarily vis-à-vis God alterity while representing the Other, which is being relationship as God is in himself relationship.
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Penser le mal moral, une généalogie de la volonté moderne / Thought about evil a genealogy of modern will

Tauty, Anne-Charlotte 20 September 2016 (has links)
Le mal est par sa nature un scandale car il se définit par ce qui ne devrait pas être à l’opposé du bien qui se présente comme ce qui doit être. Cette affirmation, qui relève de la tautologie, marque la réalité éprouvée face au mal. Il a d’abord été une évidence criante : comment réagir face aux maux de l’existence humaine ? Ainsi le mal est inscrit dans l’histoire de la pensée et commence pour notre travail avec le platonisme. Avant la conceptualisation platonicienne, le mal est une donnée factuelle de la vie avec laquelle il faut composer. Les figures divines sont ambivalentes à l’image des hommes et alternent vices et vertus. Platon postule une entité divine unique, omnisciente, omnipotente et bienveillante. Ce dieu devient intelligence, calcul et raison : le monde devient une création parfaite, belle et ordonnée et non plus le théâtre d’un affrontement entre les diverses passions des dieux. Le mal se transforme alors en un enjeu métaphysique : comment concilier cette perfection avec l’émergence du mal ? Il faut désormais expliquer et tenter de justifier la violence et les crimes. S’il est possible de proposer une théodicée qui rende le mal physique et métaphysique nécessaire, légitimer la méchanceté se révèle plus ardu. Les penseurs du platonisme, du néoplatonisme et du stoïcisme vont tenter d’apporter une première réponse au mal moral. Dans leur sillage, une rupture conceptuelle advient et révolutionne le concept : le christianisme invente le péché. En devenant péché, le mal se retrouve désormais sous la responsabilité de l’homme coupable. Le mal entre dans le giron de la liberté : il est voulu, consenti. A la suite des penseurs chrétiens, certains philosophes continueront ce travail d’élucidation de la volonté du mal. L’objectif est de retracer l’histoire de ces systèmes conceptuels qui s’entremêlent et se répondent les uns aux autres. Le mal moral se construit dans cette progression qui a des conséquences anthropologiques importantes : l’homme se pense à travers le mal. La méchanceté n’est donc pas seulement un problème à résoudre, elle devient le paradigme à travers lequel définir l’homme. Notre problématique est de montrer comment la question de la méchanceté est à la base du problème de la morale et comment elle conditionne notre représentation de la nature de la volonté humaine. Cette évolution s’est nouée lors d’étapes clés de la pensée philosophique. En effet, si dans toute philosophie morale, le concept du mal est évoqué, il n’est pas en général le centre de l’argumentaire. Le premier moment est celui de la pensée antique. Platon fait naître Dieu et le monde dans l’histoire des concepts puis se retrouve face l’énigme de nos crimes. La théodicée mise en place et qui sera reprise par Plotin et les Stoïciens ne cessera de nier l’existence d’un instinct pervers. Le mal voulu est une absurdité. L’irruption de la faute chrétienne bouleverse la donne. Saint Augustin en sera le théoricien le plus investi affectivement. Ayant expérimenté une double conversion dans sa vie spirituelle, il théorise une méchanceté issue de notre faiblesse, de notre faute première. Le mal est voulu car il n’est plus possible de vouloir autre chose. Saint Anselme reprend également le dogme de la chute mais lui apporte une dimension logique et sémantique en proposant une méchanceté égoïste. Le mal est certes voulu mais par dédain du bien. Notre dernière étape est kantienne. Le mal radical est le concept qui permet enfin de penser une volonté normale qui voudrait le mal simplement parce qu’elle a en elle cette possibilité et la liberté fondamentale de le choisir. Nous pourrons donc constater le chemin parcouru entre notre point de départ et notre point d’arrivée et comment cette problématisation du mal fait apparaître une généalogie de la volonté. Au fil de la pensée, elle passe de l’ombre à la lumière, n’étant jamais aussi présente que quand elle se retrouve confrontée aux obstacles. Penser le mal moral c’est faire l’archéologie de la volonté. / Evil provokes scandal by nature because it is what it should not be unlike good which is what it has to be. This tautological assertion expresses our feelings toward evil. It was first perfectly obvious : how must we face human pain ? Evil is a part of thinking’s history : our study starts with Platonism. Before his work, evil is just a fact of life you have to live with. The gods of Antiquity are like men : good or bad. The God of Plato is the one, omniscient, all-powerful and kindly. God is just intelligence, calculation and reason : the world he created is beautiful, ordered and perfect and it is no longer the place for the vices of ancient gods. Evils turns into a metaphysical issue : how can be the world perfect despite evil ? We have now to explain, to justify violence and crimes. Theodicy can justify pain and illness. It does not work with wickedness. Platonism, Neo-Platonism and Stoicism tried to answer this question. Following them, a conceptual break happens : Christendom invented sin. When evil became sin, man became liable and guilty. It is now a matter of liberty : man wants evil. After them, some philosophers will keep to work on the subject of the bad will. Our purpose is to find the story of these concepts and to connect thoughts between themselves. Evil has been made by this story and brings many anthropological consequences : man understands himself through evil. Wickedness is not just a matter to solve, wickedness becomes a way to define mankind. We want to show that wickedness issue is the foundations of morality and how it makes us see and think human will. Several stages occurred in this philosophical evolution. Every ethic deals with evil, not all put it at the heart of their system. Our first stage is Antiquity. Plato brings the ideas of God and perfect world in philosophy but faces the riddle of our crimes. His theodicy adopted by Plotinus and Stoics will always refuse pervert instinct in man. A man who want evil is nonsense. Christian sin appearance changes everything. Augustine will be his strongest defender. By living a double spiritual conversion, he understands wickedness as weakness due to original sin. Man want evil because he is no longer able to will something else. Anselmus follows the dogma of the fall but puts logical and semantic dimension in it and presents a self-interested wickedness. Man wants evil not for itself, man does not want enough good. Our last stage is Kant. Radical will is the first concept which allows to conceive a normal bad will which would evil just because it is one of his options and it has the liberty to do so. We can see the difference between our starting point and our arrival. We see now how the concept of will has grew up and changed. Little by little, will comes from darkness to light. The more will faces obstacles, the more it is obvious. Thinking on evil is the archaeology of the will.
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Le dieu incompréhensible du dernier Bayle. Etude sur les notions communes dans les "Entretiens de Maxime et de Thémiste" (1707) / The incomprehensible God of last Bayle. Evidence and common notions in the Entretiens de Maxime et de Thémiste (1707)

Bedoya Ponte, Victor 25 January 2012 (has links)
Nous analysons le dernier ouvrage écrit par Pierre Bayle, les Entretiens de Maxime et de Themiste (1707), où il livre un combat de plume ultime avec deux théologiens réformés, Jean Le Clerc et Isaac Jaquelot. Il s’agit d’une querelle entamée après la publication du Dictionnaire historique et critique (1697) de Bayle, et dont tous les ouvrages directement concernés sont aussi examinés. À partir du problème du mal et du péché, Bayle formule une critique à la théologie chrétienne visant à mettre en évidence la faiblesse des arguments rationnels qui doivent l’affirmer. Les seules forces de la raison ne suffisent pas à éclairer les dogmes qui forment la religion, et il faut avoir recours à la lumière de la foi, à la Bible, pour les accepter. De l’étude de cette argumentation nous concluons que, pour Bayle, la religion est une question privée, qui ne se prête pas vraiment au dialogue philosophique. / We analyze the last work written by Pierre Bayle, the Entretiens de Maxime et de Thémiste (1707), where he opposes for the last time two Arminian Theologians, Jean Le Clerc and Isaac Jaquelot. Their quarrel started with the publication of Bayle’s Dictionnaire historique et critique (1697) and continued until his death in 1706. By pointing to the insoluble problem of evil and sin, he proposes a refutation of rational arguments that attempt to prove Christian Theology. We examine all the writings involved in this controversy and review in great length its arguments. Bayle shows that Christianity is unable to demonstrate its dogmas by reason, and claims that only faith can legitimate them. Therefore it is concluded that religion for Bayle belongs to the private sphere, and cannot be rationalized through a philosophical dialogue.
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Le cri de déréliction de Jésus en croix : sa densité existentielle et salvifique

Bigaouette, Francine 09 July 2021 (has links)
L'objectif fondamental de cette thèse consiste à scruter le sens du cri de déréliction de Jésus en croix:« Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné?» (Mc 15:34) en tant qu'expression, d'une part, de la manière dont Jésus a vécu sa mort et, d'autre part, de la puissance salvifique de cette mort. Cet objectif en inclut un autre plus spécifique, à savoir proposer une solution à la question litigieuse, telle qu'elle se présente dans la théologie contemporaine, d'une éventuelle assomption substitutive du jugement de la colère divine par Jésus dont son cri serait l'expression. Ces objectifs sont poursuivis essentiellement à partir d'une démarche d'écoute du cri de Jésus selon la tonalité de chacun des motifs du récit de la Croix dans l'évangile de Marc. Cette démarche conduit à interpréter la déréliction de Jésus non pas comme l'expression de son assomption substitutive du jugement de la colère divine, mais plutôt comme l'effet le plus éprouvant pour lui, bien qu'assumé volontairement, de l'affrontement que Dieu, conformément à la logique de son Royaume qui est celle de l'amour, a mené contre la perversité des humains en leur livrant son Fils. En cet affrontement, le jugement définitif de Dieu sur le péché a été accompli, mais en tant que procédant de son seul amour et non de sacolère.

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