• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 140
  • 15
  • 12
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 174
  • 87
  • 50
  • 47
  • 38
  • 37
  • 36
  • 35
  • 31
  • 30
  • 29
  • 29
  • 28
  • 24
  • 21
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
121

Acquisition de la polysémie du verbe "prendre" par des apprenants du français L2 / Acquisition of the polysemy of the verb "prendre" by french as a second language learners

Redmond, Leslie 24 May 2017 (has links)
Cette thèse se consacre aux enjeux de la polysémie verbale pour l’acquisition des langues secondes. Nous nous intéressons plus particulièrement à la polysémie du verbe prendre. Cette thèse poursuit deux objectifs complémentaires. D’une part, notre premier objectif est de décrire la polysémie du verbe prendre au moyen d’une analyse en sémantique lexicale dans une approche cognitive. D’autre part, notre second objectif est d’évaluer l’incidence de la polysémie du verbe prendre sur les connaissances qu’ont les apprenants de ce verbe et d’isoler les différentes acceptions de prendre mises au jour par notre analyse sémantique, qui s’avèrent problématiques pour les apprenants du français L2. Par ailleurs, nous cherchons également à savoir si les problèmes liés à la polysémie chez les anglophones peuvent être liés à l’influence translangagière.L’analyse sémantique du verbe prendre porte sur l’ensemble des acceptions prédicatives du verbe. Notre corpus d’analyse provient de données lexicales issues de plusieurs dictionnaires de référence. Afin de délimiter le corpus d’acceptions soumis à l’analyse sémantique, nous avons effectué une analyse syntaxique permettant de départager les différents emplois du verbe prendre : les constructions à verbe support, les locutions verbales et les acceptions prédicatives. Puis, nous proposons une analyse sémantique monosémique des acceptions prédicatives du verbe prendre qui s’articule autour d’un noyau de sens tripartite qui ne correspond à aucune des acceptions spécifiques du verbe, mais qui est présent dans l’ensemble de ces acceptions. Chacune des parties du noyau de sens peut faire l’objet d’un fenêtrage de l’attention, qui nous permet de mettre au jour les différents sens du verbe. Nous avons également émis des hypothèses sur les différences entre le verbe prendre et ses équivalents en anglais. Pour atteindre le second objectif de notre travail, nous avons mené une expérimentation auprès de 191 apprenants du français langue seconde. Tous les participants ont complété trois tâches expérimentales : un test de closure afin de mesurer leur niveau de compétence langagière en français, une tâche de production écrite et une tâche de jugement d’acceptabilité. Les résultats des analyses de régression logistique et multinomiale montrent non seulement que l’analyse sémantique que nous avons proposée permet de prédire la connaissance des différentes acceptions du verbe par les apprenants du français L2, mais aussi que les apprenants anglophones et allophones ont un comportement différent par rapport aux types d’acceptions du verbe prendre, comportement que nous avons pu expliquer par l’influence translangagière chez les participants anglophones. / The present dissertation focuses on the acquisition of highly polysemous verbs by French as a second language learners. I am particularly interested in the polysemy of the verb prendre. This dissertation has two complementary objectives. On the one hand, the first objective is to describe the polysemy of prendre through a lexical semantic analysis within a cognitive framework. On the other hand, the second objective is to evaluate the impact of this polysemy on learners' knowledge of the verb’s different senses in order to isolate those which are the most problematic for French L2 learners. Furthermore, I also investigate whether the problems associated with polysemy for Anglophone learners can be explained through cross-linguistic influence. The semantic analysis of the verb prendre describes all the predicative uses of the verb and is based on lexical data from several dictionnaires. Prior to carrying out the semantic analysis, a battery of syntactic tests was used in order to categorize the different uses of the verb prendre into the following categories: support verb constructions, idiomatic expressions and predicative uses. I propose that the verb prendre has an abstract core meaning which can be divided into three parts. While this abstract core meaning does not correspond to any of the specific senses of the verb, it is present in all of them. I use the cognitive semantic concept of the windowing of attention in order to explain how each of the parts of the core meaning can be windowed in order to obtain the different senses of the verb. Moreover, this analysis allowed me to formulated hypotheses about the differences between the verb prendre and its equivalents in English.In order to meet the second objective of this dissertation, I conducted an experiment on 191 learners of French as a second language. All participants completed three tasks: a cloze test to measure their proficiency level in French, a guided written production task and an acceptability judgement task. The results of the logistic and multinomial regression analyses show not only that the semantic analysis proposed can predict participants’ knowledge of the different senses of the verb, but also that participants whose first language is English behave differently from those whose first language is another language, confirming the presence of cross-linguistic influence for the English-speaking participants.
122

La notion de puissance : les équivalents latins du grec dynamis / The notion of potency (power, potentiality…) : the Latin equivalents of the Greek word dynamis

Lecaudé, Peggy 11 December 2010 (has links)
Le mot dynamis est un terme fondamental dans la pensée grecque, non seulement en philosophie, où il prend une importance singulière à partir d’Aristote, mais aussi en médecine, en sciences de la nature ou en mathématiques. La présente étude s’attache à mettre en évidence les équivalents de traduction que lui ont assignés les traducteurs et les auteurs latins, à l’époque classique et en latin tardif ou médiéval, selon une double approche. En premier lieu, il s’agit, dans une perspective onomasiologique d’identifier les modes d’apparition de dynamis et des mots de sa famille dans un choix de textes latins, des comédies de Plaute jusqu’aux traductions boéciennes de l’Organon d’Aristote : l’emprunt de signifiant, le néologisme formel, la transposition ou, le cas le plus fréquent, la traduction proprement dite. Puis, dans une approche sémasiologique, il s’agit de mesurer l’impact de la traduction du grec sur un ensemble lexical latin constitué des noms employés le plus fréquemment pour traduire dynamis, à savoir potestas « possibilité, pouvoir », potentia « puissance », uis « force, violence » et uirtus « valeur, qualité, vertu ». Les emplois de ces mots sont étudiés dans un corpus constitué de textes littéraires et de textes spécialisés dans les domaines de la connaissance susdits, où l’on cherche à savoir s’ils ont fait l’objet d’un calque sémantique à partir du grec dynamis. L’étude a ainsi pour but de reconstruire un moment de l’histoire de la notion grecque, celui de sa « conversion » en latin, moment déterminant pour son expression dans les langues modernes par fr. puissance, potentialité, vertu, virtualité, angl. potency, potentiality, virtue, virtuality, etc. / Dynamis is a key word in the Greek thought, not only in philosophy, in which it has assumed a particular significance since Aristotle, but also in medicine, the natural sciences and mathematics. The present work aims to present the translation equivalents adopted by the Latin authors and translators in classical antiquity and in late or medieval Latin, according to a twofold approach. First, from an onomasiological perspective, we try to identify and analyse the different ways dynamis (as well as the words semantically connected to it) appears in a corpus of Latin texts, from Plautus’ comedies to Boethius’ translation of Aristotle’s Organon : as a loan word, a formal neologism, a transposition or, as in most cases, a translation. Second, from a semasiological perspective, we focus on the impact of the translation from Greek on a lexical group made of Latin words frequently used to translate dynamis, namely potestas (“possibility, power”), potentia (“potentiality, potency”), uis (“strength, violence”) and uirtus (“value, quality, virtue”). The uses of these words in a corpus of literary and scientific texts are examined, and the question is raised of how far they may be considered as semantic calques from the Greek term dynamis. The work thus aims to reconstruct a moment in the history of the Greek notion : that of its “conversion” into Latin, which was decisive for its expression in modern languages, in French as puissance, potentialité, vertu, virtualité, etc., in English as potency, potentiality, virtue, virtuality, etc.
123

Ressources et Leviers Stratégiques des Fonds d'Investissement Socialement Responsable / Strategic Resources of SRI funds

Dimitriadis, Alexandros 24 November 2011 (has links)
Cette thèse traite des fonds d’Investissement Socialement Responsables (ISR) français. D’après la Théorie Moderne du Portefeuille leur performance devrait être inférieure à celle des fonds traditionnels. Cependant des recherches antérieures présentent des résultats contradictoires. Nous choisissons de faire appel à la Resource Based View (RBV) pour interpréter cette incohérence entre théorie et pratique.Nous employons une méthodologie qualitative exploratoire, combinant des entretiens avec une analyse lexicale. Nous validons quantitativement une partie de nos résultats qualitatifs en modélisant la performance d’un fonds ISR par rapport à son indice de référence à l’aide d’une régression linéaire multiple. En se basant sur notre grille de lecture nous pensons avoir identifié deux ressources stratégiques à la disposition des fonds ISR, transformées en avantage compétitif par le biais de deux leviers stratégiques. Les deux ressources sont la compétence du gérant du fonds ISR et la subvention indirecte des frais du fonds ISR par leur Société de Gestion de Portefeuille (SGP). Les deux leviers sont la disposition de la SGP à la différentiation et l’apprentissage organisationnel à l’intérieur de la SGP.Notre recherche présente un triple apport : pour les universitaires, elle offre un cadre théorique alternatif au MEDAF qui expliquerait mieux la performance erratique des fonds ISR ; pour les praticiens, elle nous permet de faire des propositions aux fonds ISR concernant leur organisation ; pour les consommateurs, elle décortique les fonds ISR dans leurs composantes, leur proposant un aperçu non-conventionnel de leurs fonctionnements et leurs motivations. / The focal interest of this doctoral thesis is French Socially Responsible Investment (SRI) funds. According to Modern Portfolio Theory (MPT) their performance should be inferior to “traditional” fund performance. The results from previous research however have been contradicting; we have thus chosen to make use of the Resource Based View (RBV) in order to interpret this incoherency between theory and practice and shed some light into the complex interactions that govern their behavior.We approach the field using an exploratory qualitative methodology, combining interviews with lexical analysis. We validate part of our qualitative results quantitatively through a multiple linear regression of SRI funds’ performance relative to their benchmark. Based on our framework, we believe we have identified two strategic resources available to SRI funds, leveraged into competitive advantage by two drivers. The two resources are the fund manager’s competency and the indirect subsidizing of the fund’s fees by its Asset Management (AM) company. The two drivers are the tendency of AM companies to diversify their services and organizational learning inside AM companies.Our research should appeal to three types of readers: researchers, since RBV offers a more compelling (as per Occam’s Razor) interpretation of SRI funds’ erratic performance than MPT; managers, since it enables us to formulate proposals for SRI funds’ organization; and laymen, since it breaks down SRI funds to their components, offering a rarely seen view of their inner workings and ulterior motivations.
124

Étude sémantique des mots "chance", "fortune", "hasard" et "risque" du XVIIIe au XXIe siècle : perspectives sur le lexique du français et ses usages / A semantic study of the words "chance", "fortune", "hasard" and "risque" from the eighteenth century onward : approaches to the French lexicon and its uses

Courbon, Bruno 09 September 2009 (has links)
La recherche a pour objet la structuration du champ lexical des mots « chance », « fortune », « hasard » et « risque » du XVIIIe au XXIe siècle. Témoin de mutations qu’a connues la civilisation occidentale durant cette période, ce champ, qui se rattache à la notion de fortune / hasard, présente une relative homogénéité sémantique.Les mots (et leurs dérivés) sont étudiés à travers le déploiement, la régulation et la répartition des normes d’usages, non seulement en français hexagonal, mais aussi en français québécois. L’étude se fonde sur l’exploitation de deux types de corpus. D’une part, un corpus d’articles extraits d’une cinquantaine de dictionnaires sert à mettre en évidence la productivité morphosémantique et sémantique de ces unités dans une perspective historique large. D’autre part, un grand ensemble d’énoncés diversifiés permet, par la mise au jour de types de contextes, d’effectuer un suivi diachronique des usages. L’approche continuiste des différences d’usages s’appuie sur une représentation fréquentielle des changements sémantiques.La thèse apporte une contribution à la question de la variation des usages et du changement sémantique, qui ouvre sur plusieurs perspectives. Elle se veut d’abord une réflexion sur la théorie et la méthodologie descriptives, appréhendées à la lumière de l’analyse de la nature et du rôle des corpus. Elle met ensuite en évidence l’importance de la dimension intersubjective dans l’activité de signification, en particulier le rôle déterminant des structures syntagmatiques dans l’établissement de nouveaux usages sémantiques. Enfin, elle permet de mettre en relation le changement sémantique avec les conditions sociohistoriques et les représentations collectives. / The present study deals with the way in which the lexical field regrouping the words “chance”, “fortune”, “hazard” and “risqué” has been structured in the French language from the eighteenth century till the present day. Revealing major changes in western societies during this period of time, the field, which corresponds to the linguistic representation of the notion of fortune / hasard, presents a certain coherence.We have examined these words and their derived forms through the display, regulation, and distribution of norms of use, not only in Hexagonal French, but also in Quebec French. Two types of corpora have been analysed. On the one hand, a corpus of articles from around 50 dictionaries has been used to emphasize the lexical and semantic productivity of the different units on a large historical scale. On the other hand, in revealing context types, a set of texts reflecting French language varieties has allowed for carrying out a diachronic analysis of lexical uses. The continuist approach to semantic differences rests upon a frequential representation of semantic changes.The thesis brings a significant contribution to the question of usage variations and semantic change, providing new perspectives. It first deals with theory and methodology of lexical description, considered through the analysis of the nature and the role of corpora. It then evidences the central role of syntagmatic structures in the setting of new semantic uses. The study has finally put into relation semantic changes with their historical background and the collective representations of the time.
125

La contribution de la traduction à l'expansion lexicale du sesotho / The contribution of translation to the lexical expansion of Sesotho

Sebotsa, Mosisili 22 November 2016 (has links)
Si la traduction est simplement définie comme un processus de communication bilingue dont le but général est de reproduire en langue cible un texte qui soit fonctionnellement équivalent au texte de départ (Reiss 2004 : 168-169), l’approche empruntée dans la présente thèse est celle d’une opération interculturelle et systématique qui vise à capturer le message issu d’une langue étrangère, à le décrypter en tenant en compte des nuances culturelles ou inhérentes à la discipline, et à le rendre le plus clairement possible en se servant d'éléments linguistiques et extralinguistiques compréhensibles dans la langue du locuteur cible. L'objectif est de déterminer la contribution de la traduction à l’expansion lexicale du sesotho, domaine qui demeure peu exploré par les spécialistes de cette langue. La problématique de ce travail repose sur la constatation que les néologismes en sesotho ne sont pas documentés de manière satisfaisante, si bien qu’il est difficile d'évaluer la contribution de la traduction à l’expansion lexicale. Les études antérieures sur la morphologie, la dérivation, la composition, l’emprunt et la dénomination s’appuient sur la mesure de la productivité, soulevant la question de savoir si la traduction en soi contribue à l’enrichissement terminologique du sesotho. Le point de départ de la thèse est l'hypothèse selon laquelle l’interaction avec le monde européen a nécessité de traduire de nombreux concepts qui n’existaient pas dans les systèmes traditionnels du Lesotho, ce qui a entraîné un nouveau dynamisme qui a permis de combler des lacunes terminologiques évidentes et de s’ouvrir et de s’adapter aux nouvelles réalités. Pour mettre cette hypothèse à l’épreuve et arriver à des conclusions éclairées et fiables, je cherche à répondre à trois questions : 1) Quelle est la structure des mots sesothos par rapport à celle de l’anglais en tant que langue source de traduction en sesotho, et du français en tant que langue de rédaction de la thèse ? 2) Etant donné que le sesotho est utilisé concomitamment avec l’anglais sans pour autant être la langue d'une culture inventrice en matière technologique, quel est le rôle que joue l’emprunt dans son expansion lexicale ? 3) D’un point de vue lexicologique, comment le sesotho répond-il aux besoins terminologiques dans les domaines de spécialité techno-scientifiques ? Pour y répondre, je m'appuie sur Doke (1954) et Matšela et al. (1981) pour situer le sesotho parmi les langues bantoues, préciser les fonctions du préfixe classificateur et établir la différence entre les composés sesothos d'une part et les composés anglais et français d'autre part. J’utilise ensuite la théorie avancée par Lederer (1990) pour démontrer l’influence syntaxique, sémantique et morphologique que l’anglais a sur le sesotho et pour présenter les différents procédés d’emprunt du sesotho. Diki-Kidiri (2008), Dispaldro et al. (2010) et Baboya (2008) démontrent la nécessité de faire appel aux informateurs-spécialistes pour confirmer l’hypothèse de départ. Les résultats obtenus mettent en évidence qu’en effet, la traduction a contribué à l’expansion du sesotho moderne, bien que cela n’ait pas été documenté, d’où la recommandation d'un travail collaboratif entre lexicologues au Lesotho, au Botswana, en Namibie et en Afrique du Sud, pour ouvrir de nouvelles perspectives d’études linguistiques sur le sesotho et pouvoir suivre et mesurer l’évolution de la langue. / Whilst translation is simply defined as a communication process whose main objective is to reproduce in the target language a text that is functionally equivalent to the source text (Reiss 2004: 168-169), the approach taken in this study views translation as an intercultural and systematic operation whose objective is to capture the message from the foreign language, to decrypt it taking into account cultural nuances or those inherent in the field at hand and to render it in the clearest possible manner using linguistic and extra linguistic elements which are comprehensible to the speaker of the target language. This study is aimed at determining the contribution of translation to the lexical expansion of Sesotho, an area which has been little explored by specialists of the language. The core issue is centred on the observation that Sesotho neologisms are not well documented, so that it is hard to measure the contribution of translation towards the lexical expansion of Sesotho. Analyses of morphology, derivation, compounding, borrowing and denomination are mainly focused on productivity in order to determine whether translation as a discipline contributes towards the creation of new words in the language.The study begins by positing the hypothesis that the interaction with the Western world necessitated the translation of numerous concepts which were absent from the then existing Sesotho systems. This process of interaction contributed a new dynamism that helped the language to bridge the terminological gap, to open up and adapt to new realities. In order to put this hypothesis to the test and arrive at well-researched and reliable conclusions, I attempt to probe three issues of concern: firstly, what is the structure of the Sesotho language compared to that of the English language as the source language of most translations into Sesotho and compared to that of the French language as the language in which this study is presented? Secondly, considering that Sesotho is used simultaneously with English even though it is not a techno-scientifically inventing language, what is the role played by the processes of borrowing in the lexical expansion of Sesotho? Thirdly, from the word-formation point of view, how does Sesotho respond to the terminological deficiencies in various fields of specialisation?To address these issues, Doke (1954) and Matšela et al. (1981) serve as references to situate Sesotho among the Bantu languages, to highlight the functions of the class prefix and to establish the difference between Sesotho and English and French compounding. Secondly, the theory advanced by Lederer (1990) serves as a springboard to analyse the syntactic, semantic and morphological influences that English has on Sesotho and to present the different borrowing processes. The third issue is addressed based on the theories presented by Diki-Kidiri (2008) while the theories proposed by Dispaldro et al. (2010) and Baboya (2008) led to the decision to call upon specialist informants to confirm the original hypothesis. The results obtained provide evidence that translation has, in fact, contributed to the lexical expansion of modern Sesotho, even though this has not been well documented. The study recommends collaborative work between Lesotho, Botswana, Namibian and South African linguists in order to open new avenues of linguistic studies on Sesotho with the aim to measure and monitor the evolution of the language.
126

Description du lexique spécialisé chinois et constitution d'une ressource didactique adaptée pour locuteurs non sinophones

Han, Zhiwei 10 1900 (has links)
L’enseignement-apprentissage du lexique spécialisé chinois est un chemin semé d’obstacles. Pour les apprenants non natifs, les combinaisons lexicales spécialisées (CLS) (L’Homme, 2000) soulèvent des difficultés syntaxico sémantiques et représentent ainsi un défi majeur dans l’acquisition de compétences lexicales. On recense, toutefois, peu de propositions méthodologiques pour résoudre ces difficultés dans la littérature consacrée à la didactique du chinois sur objectifs spécifiques (COS) (Q. Li, 2011). Dans cette recherche, nous nous attachons à explorer de quelle manière une méthode de description lexicale basée sur une représentation sémantique et syntaxique assiste les apprenants non natifs dans la résolution des problèmes lexicaux soulevés par les CLS. Notre thèse vise à concevoir une méthode de description des CLS en vue de la résolution de difficultés lexicales par les locuteurs non sinophones. La méthode mise au point est appliquée à l’élaboration du dictionnaire CHINOINFO, une ressource lexicale chinois-français portant sur le domaine de l’informatique. Cette ressource s’adresse aux apprenants francophones du chinois. L’objectif secondaire de notre thèse consiste à évaluer l’efficacité du CHINOINFO auprès des apprenants francophones qui reçoivent une formation de chinois dans un établissement universitaire au Québec ou en Chine. Notre recherche fait appel à des notions empruntées à trois cadres théoriques. Premièrement, la Lexicologie explicative et combinatoire (Mel’čuk et al., 1995) nous sert d’appui théorique pour fonder la description des CLS sur la représentation sémantique du lexique spécialisé. Deuxièmement, notre démarche de collecte et d’analyse des CLS est guidée par l’approche lexico sémantique à la terminologie (L’Homme, 2020a). Enfin, nous nous appuyons sur l’approche cognitive en didactique des langues secondes (Chastain, 1990) pour envisager une présentation structurée des connaissances lexicales. Notre démarche méthodologique s’est déroulée en trois phases. Nous avons d’abord assemblé un corpus spécialisé chinois pour en extraire un échantillon de CLS et les renseignements permettant de les décrire. L’analyse des données collectées à partir du corpus nous a amenée à anticiper trois types de difficultés syntaxico-sémantiques soulevées par les CLS : 1) distinguer les acceptions d’un polysème dans différentes CLS; 2) différencier les sens distincts de CLS de forme identique; 3) choisir les cooccurrents appropriés d’un terme. À la deuxième phase, nous avons mobilisé différentes stratégies pour décrire les propriétés syntaxico-sémantiques des CLS. Une méthode descriptive intégrant les solutions proposées a ensuite été appliquée à la création du CHINOINFO. Cette ressource en ligne répertorie 91 termes fondamentaux du domaine de l’informatique, pour lesquels nous avons encodé au total 282 termes reliés et 644 CLS. La structuration des données au sein des articles s’est largement inspirée de l’adaptation du DiCoInfo (Observatoire de linguistique Sens-Texte, 2022) à un dictionnaire d’apprentissage (Alipour, 2014). Différents moyens techniques ont été mis en œuvre pour assurer la convivialité de la ressource. La dernière phase de notre recherche consiste en une expérimentation comparative visant à évaluer l’efficacité pédagogique du CHINOINFO. Nous avons fait passer un test lexical à deux groupes d’apprenants francophones, soit le groupe contrôle (GC) et le groupe expérimental (GE), en leur proposant un nombre d’outils de référence. Seul le GE a eu accès à CHINOINFO. Nous avons aussi collecté, au moyen de questionnaires de sondage, le profil des participants ainsi que leur appréciation sur le test et les outils de référence proposés. De manière générale, l’analyse comparative des résultats du test lexical montre que le GE a mieux réussi à résoudre les trois types de difficultés soulevées par les CLS. Les participants étaient plutôt satisfaits de l’organisation du test. Le GE a eu moins de difficultés à réaliser le test puisqu’il se sentait mieux outillé pour trouver des éléments de réponses aux questions du test par rapport GC. Le GE s’est exprimé favorablement quant à l’utilité du CHINOINFO pour résoudre les problèmes lexicaux dans le cadre de notre expérimentation. Pour conclure, les résultats de notre analyse fournissent des indices sur l’apport du CHINOINFO en tant qu’une ressource d’apprentissage des CLS, ce qui laisse entrevoir l’intérêt de la méthode de description lexicale que nous avons proposée dans un contexte pédagogique. / The teaching and learning of Chinese specialized lexicon is a path strewn with obstacles. For non-native learners, specialized lexical combinations (SLCs) (L’Homme, 2000) raise syntactic and semantic difficulties and thus represent a major challenge in the acquisition of lexical skills. However, there are few methodological proposals to solve these difficulties in the literature devoted to the teaching practice and applied research of Chinese for specific purposes (Q. Li, 2011). In this research, we explore how a lexical description method based on semantic and syntactic representation assists non-native learners in solving lexical problems raised by SLCs. This thesis aims at designing a method for describing SLCs to help non-Chinese speakers solve lexical difficulties. The proposed method is applied to develop CHINOINFO, a Chinese-French dictionary of computer science and information technology terms. This lexical resource is designed for French-speaking learners of Chinese and can also be used as a writing tool for language professionals (translators, technical writers, and proofreaders), as well as professionals in this field. The secondary objective of this thesis is to evaluate the pedagogical effectiveness of the developed resource among French-speaking university students. This research draws on concepts derived from three theoretical frameworks. Firstly, the Explanatory and Combinatorial Lexicology (Mel’čuk et al., 1995) provides theoretical support for founding the lexical description on the representation of semantic features of the specialized lexicon. Secondly, the collection and analysis of SLCs are guided by the lexical-semantic approach to terminology (L’Homme, 2020a). Finally, we draw on the cognitive approach to second language didactics (Chastain, 1990) to explore the effective ways to organize and present the descriptive information of the specialized lexicon. Our methodological approach was carried out in three stages. We started by assembling a specialized Chinese corpus to extract a sample of SLCs and their descriptive information. The analysis of the data collected from the corpus led us to anticipate three types of syntaxico-semantic difficulties raised by SLCs: 1) distinguishing polysemes in different SLCs; 2) identifying, in a given context, the meaning of a lexical combination that is syntactically ambiguous; and 3) selecting appropriate co-occurrents for a term. In the second stage, we deployed different strategies to describe the syntaxico-semantic features of SLCs. Subsequently, a descriptive method that incorporates the proposed solutions has been applied to the creation of CHINOINFO. This online lexical resource contains 91 basic terms related to computer science and information technology. For these terms, we encoded a total of 282 related terms and 644 SLCs. The organization of content in the entries has been largely inspired by the conversion of DiCoInfo (Observatoire de linguistique Sens-Texte, 2022) into a learner’s dictionary (Alipour, 2014). We used various techniques to make the resource user-friendly. The final stage of our research consists of a comparative experiment to evaluate the pedagogical effectiveness of CHINOINFO. We had two groups of French-speaking learners, the control group (CG) and the experimental group (EG), take a lexical test by providing them with several reference materials. Only the EG had access to CHINOINFO during the test. We also collected the information about the participants' learning profile and their appreciation of the test and the proposed reference materials. Overall, the comparative analysis of the test results shows that the GE succeeded better in solving the three types of difficulties raised by the SLCs. The participants were quite satisfied with the organization of the lexical test. The EG encountered less difficulty in answering questions during the test since they felt better equipped to find elements of answers in the reference materials than the GC. The EG commented favorably on the utility of CHINOINFO in solving lexical problems. To conclude, the results of our experiment provide clues about the pedagogical interest of CHINOINFO as a SLC learning resource, which suggests the relevance of the lexical description method we proposed in a pedagogical context.
127

Facteurs cognitifs liés à l'acquisition du lexique orthographique

Stanké, Brigitte 08 1900 (has links)
La présente thèse a pour objectif d’étudier le rôle des facteurs cognitifs (traitement phonologique et visuoattentionnel et mémoire lexicale orthographique) dans l’acquisition des connaissances orthographiques implicites et explicites. Afin d’examiner les liens entre les différents facteurs cognitifs et les connaissances orthographiques, une étude longitudinale a été réalisée à l’aide d’un échantillon de 338 enfants suivis de la maternelle 5 ans à la fin de la deuxième année du primaire. À la fin de la maternelle, les enfants ont été évalués à l’aide d’une épreuve d’orthographe approchée et d’épreuves évaluant les facteurs cognitifs en jeu dans l’apprentissage du langage écrit (traitement phonologique, traitement visuoattentionnel et mémoire à court et à long terme). Les connaissances lexicales orthographiques explicites de ces mêmes enfants ont été évaluées en fin de première et de deuxième années. Le premier article de cette thèse rapporte les données d’une étude réalisée auprès des enfants scolarisés en maternelle 5 ans. Cette étude vise l’établissement d’un lien entre, d’une part, la capacité de traitement phonologique, visuoattentionnel et de mémoire lexicale orthographique et, d’autre part, les connaissances orthographiques implicites des enfants qui n’ont pas encore eu d’enseignement formel de l’écriture. Les résultats indiquent que, contrairement à ce qui a été longtemps avancé, la capacité de traitement phonologique n’est pas le seul facteur cognitif à intervenir, puisque la capacité de mémoire lexicale orthographique à long terme ainsi que la capacité visuoattentionnelle contribuent de façon importante et indépendante à l’acquisition des connaissances orthographiques implicites des enfants de la maternelle 5 ans. La mémoire lexicale orthographique est même le facteur qui apporte la plus forte contribution. La deuxième étude de cette thèse vise à déterminer, parmi les facteurs cognitifs évalués en maternelle, celui ou ceux qui permettent de prédire les connaissances orthographiques explicites ultérieures, c'est-à-dire celles de première et de deuxième années du primaire. Les résultats de cette deuxième étude indiquent que les préalables nécessaires à l’acquisition des connaissances orthographiques lexicales sont les capacités de traitement phonologique ainsi que les capacités de la mémoire à court et à long terme. La troisième étude de cette thèse a pour but de mettre en lumière le rôle prédictif que joue le niveau des connaissances orthographiques des enfants de maternelle quant au niveau ultérieur de leurs connaissances orthographiques en première et deuxième années, en lien avec les capacités cognitives qui sous-tendent l’apprentissage du langage écrit, en particulier le traitement phonologique, le traitement visuoattentionnel et la mémoire lexicale orthographique. Les résultats de cette dernière étude permettent de montrer que, parmi les facteurs évalués en maternelle, le niveau des connaissances orthographiques implicites apporte une contribution unique à l’ensemble du niveau des connaissances orthographiques ultérieures. L’influence des connaissances orthographiques précoces sur l’acquisition ultérieure n’est pas surprenante. En effet, la première étude avait montré que le niveau de ces connaissances est fonction non seulement de la capacité de mémoire orthographique lexicale mais également de la capacité de traitement phonologique et visuottentionnel. Les résultats issus de ces trois études présentent un intérêt non négligeable dans la compréhension de l’acquisition du langage écrit. En effet, ces recherches ont permis de montrer qu’avant même l’apprentissage formel de l’écrit, l’enfant témoigne de connaissances implicites non négligeables sur la langue écrite et que c’est à partir de ces connaissances que s’élaboreront ses connaissances explicites ultérieures. Ces connaissances sont tributaires de multiples facteurs parmi lesquels la capacité de mémoire lexicale orthographique, facteur cognitif dont la contribution n’avait pas été démontrée jusqu’à présent. Les résultats de cette recherche montrent qu’il est possible d’envisager des outils de dépistage précoce qui permettront d’identifier les enfants à risque de présenter des difficultés spécifiques d’apprentissage du langage écrit. Ce dépistage permettrait de mettre en place des interventions mieux ciblées et précoces, ce qui réduirait ainsi l’impact des difficultés sur les apprentissages scolaires. / The objective of the present thesis was to study the relation between cognitive factors (phonological treatment, visuo-attentional and lexical orthographic memory) and the acquisition of implicit and explicit orthographic knowledge. A longitudinal study was conducted on a sample of 338 children from the kindergarten to their second year of primary schooling. At the end of kindergarten, the tasks were an invented spelling test and tests assessing the cognitive factors at issue in the apprenticeship of written speech (phonological treatment, visuo-attentional treatment and short and long term memory). The lexical explicit orthographic knowledge of these same children was evaluated at the end of their first and second year of school. The objective of the first study was to establish a link between the phonological treatment, visuo-attentional and orthographic lexical memory abilities and implicit orthographic knowledge of the children, before their formal apprenticeship of written speech. The results showed that, contrary to what was long been advanced, the phonological treatment is not the only cognitive factor into play since the long term orthographic lexical memory ability as well as the visuo-attentional ability properly and independently contribute to the acquisition of orthographic knowledge. The orthographic lexical memory is the factor which provides the strongest contribution. The aim of the second study was to determine which cognitive factors assessed in kindergarten predict the subsequent explicit orthographic knowledge in first and second grades. The results showed that the necessary conditions to the acquisition of lexical orthographic knowledge are phonological treatment ability, as well as short and long term memory abilities. The goal of third article was to bring to light the predictive role played by the spelling knowledge of kindergarten children to their orthographical knowledge in first and second grades, in connection with the cognitive abilities which are at the root of the apprenticeship of the written spelling, more particularly the phonological treatment, the visuo-attentional treatment and orthographic lexical memory. The regressive analyses showed that, among the factors investigated in kindergarten, the implicit orthographical knowledge brings a unique contribution to the subsequent spelling knowledge evaluated by different orthographic tasks in first and second grades. The important impact of early orthographical knowledge on the subsequent acquisition is not surprising because the first study proved that this knowledge is not only depending on the capability of lexical orthographical memory but also on the capability of phonological treatment. The results coming from those three articles present a non-negligible interest in the understanding of the acquisition of the written speech. Indeed, these studies permitted to prove that, even before the formal apprenticeship of the writing, the child shows a genuine implicit knowledge of the written language. Moreover, and it is from this knowledge that the subsequent explicit knowledge will be built up. This knowledge is dependent upon multiple factors among which are the ability of orthographic lexical memory, a cognitive factor whose contribution was not yet proven. The results of this research showed that it is possible to consider early screening measures in order to identify children susceptible to present specific apprenticeship difficulties in the written language. This screening would allow an early and better targeted intervention, which would then reduce the impact of difficulties on the academic apprenticeships.
128

A lexical semantic study of Dene Suliné, an Athabaskan language

Holden, Joshua 08 1900 (has links)
Cette thèse constitue une étude systématique du lexique du déné sųłiné, une langue athabaskane du nord-ouest canadien. Elle présente les définitions et les patrons de combinatoire syntaxique et lexicale de plus de 200 unités lexicales, lexèmes et phrasèmes, qui représentent une partie importante du vocabulaire déné sųłiné dans sept domaines: les émotions, le caractère humain, la description physique des entités, le mouvement des êtres vivants, la position des entités, les conditions atmospheriques et les formations topologiques, en les comparant avec le vocubulaire équivalent de l'anglais. L’approche théorique choisie est la Théorie Sens-Texte (TST), une approche formelle qui met l’accent sur la description sémantique et lexicographique empiriques. La présente recherche relève d'importantes différences entre le lexique du déné sųłiné et celui de l'anglais à tous les niveaux: dans la correspondence entre la représentation conceptuelle, considérée (quasi-)extralinguistique, et la structure sémantique; dans les patrons de lexicalisation des unités lexicales, et dans les patrons de combinatoire syntaxique et lexicale, qui montrent parfois des traits propres au déné sųłiné intéressants. / This work constitutes a systematic lexical semantic study of Dene Sųłiné, an Athabaskan language from northwestern Canada. As such, it presents the lexicographic definitions, syntactic and lexical combinatorial patterns of over 200 lexical units (lexemes and idioms) representing part of the core Dene Sųłiné vocabulary for seven semantic fields: terms to describe emotions, human character, physical description, position of an object, atmospheric conditions and topographical features. The theoretical approach used is Meaning-Text Theory (MTT), a formal linguistic approach with a strong empirical focus on semantics and lexicography. This work finds significant differences between Dene Sųłiné and English at all levels: in the relationship between of (quasi-)extralinguistic concepts and linguistic meanings, in the lexicalization or conflation patterns one finds in meanings of lexical units, and finally in the syntactic and lexical combinatorial patterns, which also show interesting language-specific tendencies.
129

Enseignement des expressions figées métaphoriques françaises à des apprenants vietnamiens

Le, Thi Hoa January 2009 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
130

Élaboration d’un modèle d’article de dictionnaire de collocations du lexique scientifique transdisciplinaire pour l’aide à la rédaction de textes scientifiques

Pouliot, Karine 05 1900 (has links)
Cette recherche constitue une première étape dans l’élaboration d’un dictionnaire de collocations du lexique scientifique transdisciplinaire (LST), conçu pour aider des étudiants ou des chercheurs dans la rédaction de discours scientifiques ou universitaires, quel que soit leur domaine d’études. Elle a permis de concevoir deux modèles originaux d’articles de dictionnaire donnant accès aux collocations de termes nominaux et verbaux caractéristiques du LST. Les modèles d’articles sont ensuite appliqués à la description d’un échantillon de termes nominaux : analyse, caractéristique, figure, hypothèse, rapport et résultat; et verbaux : décrire et étudier. Les articles conçus dans ce mémoire offrent un accès convivial aux collocations du LST en situation de rédaction. Ils ont l’avantage de proposer une organisation cohérente de ce lexique sur les plans syntaxique et sémantique. En outre, ils permettent de présenter les termes du LST dans des contextes variés, ce qui peut contribuer au développement de la compétence lexicale. / This research is the first step in the development of a collocations dictionary of “lexique scientifique transdisciplinaire” (LST), which is similar to the academic vocabulary, a collocations dictionary conceived to help students or researchers in scientific or academic writing, regardless of their field. In this research, we first developed two original models of dictionary articles which provide access to collocations of nouns and verbs characteristic of LST. Secondly, the models are used to describe a sample of nominal terms: analyse, caractéristique, figure, hypothèse, rapport, and résultat; and verbal terms: décrire, and étudier. The models developed in this thesis offer a convenient access to LST collocations in writing context. The advantage of these models is to propose a coherent organization of the lexicon in syntactic and semantic terms. In addition, they are made to present the LST terms in different contexts, which may contribute to the development of lexical competence.

Page generated in 0.2182 seconds