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La thématique hivernale dans les oeuvres de Maurice Cullen, de 1896 à 1914Liétard, Clotilde 03 1900 (has links)
Ce mémoire propose une étude de la thématique hivernale dans les tableaux réalisés par Maurice Cullen (1864-1936) entre 1896 et 1914. Elle s’appuie sur une analyse des contextes politiques et culturels. Pour représenter les paysages enneigés canadiens, Cullen adapte quelques techniques modernes issues de l’impressionnisme, acquises lors de son premier séjour en Europe. Malgré cette influence artistique étrangère présente par l’emploi d’une palette de couleurs vives et de la touche divisée, le respect de la perspective et de la tridimensionnalité témoignent du maintien de certains principes académiques. L’usage de procédés impressionnistes permet à cet artiste de mettre en évidence les caractéristiques atmosphériques et lumineuses de son pays. Par l’application de ces procédés sur la représentation de la neige, Cullen participe ainsi à un travail de redécouverte et de valorisation du territoire. En effet, il privilégie plutôt l’expérience sensitive du territoire que le choix de la thématique des œuvres. L’ensemble des données visuelles et sensitives contenues dans ses œuvres a pour objectif de faire prendre conscience au spectateur de sa difficulté à se repérer au sein de son propre territoire et à accepter les rudes conditions climatiques inhérentes au Canada. Ce travail demeure impartial face au conflit identitaire opposant les francophones et les anglophones, bien qu’il intervienne dans les prémices de la mise en place d’une esthétique canadienne.
Ce mémoire défend l’idée que Cullen renouvelle l’imagerie hivernale et s’inscrit dans les débuts du processus de création d’une iconographie nationale. Avec ses pairs, il s’engage à valoriser l’art local, et il ouvre une réflexion sur la représentation du territoire canadien, qui sera poursuivie par la génération suivante avec le Groupe des Sept. / This thesis proposes a study of the winter theme in paintings by Maurice Cullen (1864-1936) between 1896 and 1914. It is based on an analysis of political and cultural contexts. To represent the snowy Canadian landscape, Cullen adapts some techniques from modern impressionism, acquired during his first stay in Europe. Despite this foreign artistic influence thanks to his use of a bright color palette and divisional brush strokes, the perspective and the three dimensions reflect his academic principles. The use of impressionist processes allows Cullen to highlight the features and atmospheric light of his country. By applying these processes on the snow, Cullen creates a work of rediscovery and praises the territory. Indeed, this artist’s main focus is the experience one has in the distinct and sensitive environment that is unique to his territory rather than the choice of thematic canvases. All sensory and visual data contained in his works aim to make the viewer aware of the difficulty to locate within its own territory and to accept the harsh conditions inherent in Canada. His work remains impartial to the conflict of identity between Francophones and Anglophones, although it occurs within the premises of the establishment of a Canadian aesthetic.
This thesis argues that Cullen renews winter imagery and the early part of the process of creating a national iconography. With his peers, he is committed to enhancing the local and he opens a debate on the representation of Canadian territory, which will be continued by the next generation with the “ Groupe des Sept”.
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Les métaphores d'Hypnos dans la peinture européenne du dix-neuvième siècle : de la crise du dispositif classique au jeu identitaireBargoveanu, Andreea January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal / Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de cette thèse ou ce mémoire a été dépouillée, le cas échéant, de ses documents visuels et audio-visuels. La version intégrale de la thèse ou du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal.
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L'émergence de l'idée moderne d'art dans Les Réflexions critiques sur la poésie et la peinture (1719) de l' Abbé Dubos (1670-1742)Muresan, Bianca 16 June 2014 (has links) (PDF)
La thèse se propose de faire une incursion dans la pensée esthétique du fin XVIIe siècle-début XVIIIe, c'est-à-dire dans les débuts de cette nouvelle discipline en tant que science à part. Les contributions de Jean-Baptiste Dubos à la naissance de cette discipline sont massives, donc ce philosophe de l'art retient et mérite toute notre attention. D'abord, grâce à la Querelle des Anciens et des Modernes, son esprit s'enrichit et se forme, ses connaissances se multiplient de façon à lui permettre de réaliser une synthèse, dans son système d'esthétique, de la riche palette eidétique déployée jusqu'à lui. Ayant comme point de départ le cartésianisme, dont il se distingue entièrement, et dont il hérite uniquement le dogmatisme (l'universalité), cette fois-ci appliqué au sixième sens, celui qui juge de la valeur d'une œuvre artistique, il aboutit à s'ériger en auteur d'un courant opposé, apparenté au sensualisme. L'éloge des sens, au détriment de la raison, qui sont impliqués dans le jugement de goût du public invité à la diffusion de l'art, témoigne d'une coupure entre les époques ; la nouvelle ère appartient à Dubos et à ses disciples, qui répondent même des territoires étrangers, de l'Angleterre et même d'Allemagne. Les cinq parties de la thèse contiennent la description de la marche en avant, des pas de géant effectués dans le domaine des idées esthétiques par l'abbé Dubos. Si, dans la première partie, à l'occasion de la Querelle des Anciens et des Modernes, on découvre une rupture au sein des notions ; la notion de climat étant le noyau d'une théorie esthétique formulée avec le plus grand soin de détail par Dubos ; on découvre donc aussi une focalisation sur le sujet, créateur ou récepteur, siège du sentiment, la deuxième partie vient pour continuer à relever les mérites de Dubos, qui rend possible une attitude différente du public, public qui ne cherche plus l'instruction dans l'art, mais le plaisir, né de la satisfaction du besoin d'être occupé. Les trois autres parties explorent d'une façon plus profonde l'apport esthétique de Dubos : la critique psychologique, la critique scientifique et la critique comparée poésie/peinture. Les qualités de bon psychologue de Dubos, qui plonge dans l'âme du public au moment où il est attendri, rendent possible une meilleure création du génie, qui sait désormais s'adresser au public, de façon émouvante. À cet usage, Dubos formule une théorie du plaisir de l'art, du beau artistique et de l'émotion, qu'il incorpore de façon soudée à son système. Dans la quatrième partie, la critique scientifique, Dubos sonde l'âme du génie, le créateur surpris dans l'enthousiasme nécessaire à la naissance de l'œuvre d'art véritable, créée en vue de plaire. Lors du devenir du génie, les causes formatrices comme les causes morales ou les causes physiques se veulent responsables de ses productions artistiques, poésies ou peintures. De ces dernières nous nous sommes occupés dans la cinquième partie, en réalisant un parallèle, non seulement chez Dubos, mais aussi chez ses successeurs, comme Lessing, prioritairement. Une conclusion nous rappelle les mérites de l'abbé Dubos dans la fondation de l'esthétique moderne.
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Apelle, saint Luc et le singe : trois figures du peintre dans l'Espagne des XVIème et XVIIème siècles [fonctions littéraires, théoriques et artistiques]Hue, Cécile 09 December 2009 (has links) (PDF)
Dans l'Espagne des XVIe et XVIIe siècles, le peintre est un personnage en construction. Souvent défini par l'idéologie qui le commande et les œuvres qui lui survivent, son geste semble perdu à jamais, ou figé sous la forme d'archétypes et d'allégories. L'autoportrait, genre naissant, témoigne de cette main, mais il reste loin de toute objectivité : " Le peintre, peintre de lui-même, dans la dépendance de ce que l'histoire charrie et porte, n'aurait-il été qu'un singe savant et dressé qui rabâche ? ", se demande Pascal Bonafoux en conclusion de son étude sur Les peintres et l'autoportrait. Même dans le reflet direct que l'artiste offre de lui-même, les topiques s'immiscent : ils aident à son identification, au déchiffrage des chefs-d'œuvre et au balisage des chemins de la gloire. Cependant, ces figures ont une vie, et elles échappent parfois à l'évidence qu'on leur prête. À commencer par saint Luc, personnalité a priori idéale pour conduire les peintres vers la reconnaissance attendue dans l'élan contre-réformiste, mais qui doit compter avec Apelle, le maître grec dont l'excellence retentit depuis un sommet convoité. Ces légendes se diversifient et se ramifient dans le jeu métaphorique des mots, elles évoluent au gré de la revendication théorique et dévoilent leurs limites au moment de prendre corps. Leur fréquence, leur intensité et leurs croisements témoignent des voies empruntées afin de saisir le personnage du peintre, non pas sa psychologie, mais sa stature, libérale et noble. La focalisation sur la patte du peintre mythique, qui pousse dans l'ombre celle du singe imitateur, éclaire l'avancée de l'artiste dans le Siècle d'Or de la peinture espagnole.
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Mythes et fictions en histoire de l'art : histoire de la réception de l'image de Jean Cousin et étude critique des interprétations de l'Eva prima PandoraFaure, Agnès 20 September 2013 (has links) (PDF)
Jean Cousin a suscité différentes formes de réception, révélatrices des enjeux discursifs des historiographes. De même, l'analyse critique des textes qui ont été produits sur l'Eva prima Pandora a fait émerger plusieurs problématiques inhérentes au processus de l'interprétation des œuvres d'art, au discours produit sur la peinture. À partir d'un contexte documentaire lacunaire, qui concerne autant le peintre que son tableau, les auteurs ont crée des fictions révélatrices de leur orientation méthodologique et des attentes de leur époque d'expression.Nous porterons donc un regard critique sur la construction mythique de l'image de l'artiste qui s'est opérée dans les différents textes consacrés à la vie et à l'œuvre de Jean Cousin. De même, à travers les propositions sémantiques qui ont été faites de la peinture, nous mettrons en évidence les présupposés théoriques et méthodologiques du discours produit par les interprètes, afin de montrer les limites de leur démarche. Partant de ce constat, prenant en compte les différentes pistes de réflexion récemment ouvertes par l'histoire de l'art, nous étudierons l'Eva prima Pandora, en portant notre attention sur le VOIR, sur le processus de création picturale, sur la nature des intentions de Jean Cousin alors qu'il peignait l'Eva prima Pandora.
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Représentations de l'école vénitienne en France au XIXe siècle : une écriture de l'histoire de l'art entre enjeux artistiques, scientifiques et idéologiquesJolivet, Anna 27 June 2012 (has links) (PDF)
Cette thèse est un travail historiographique qui découle d'une étude des textes consacrés à la peinture vénitienne, publiés en français entre 1800 et 1914. Tout en considérant ces documents dans leur diversité (ouvrages savants ou de vulgarisation, récits de voyages), il s'agit de les replacer dans un contexte de formation de l'histoire de l'art comme champ autonome de connaissances. Car du fait de son statut encore incertain au XIXe siècle, la discipline se nourrit d'une littérature variée, et jette dans le même temps les fondements d'un savoir institutionnalisé. La notion d'école de peinture apparaît comme une catégorie de ce savoir et permet de concevoir la peinture vénitienne comme un phénomène singulier et cohérent. Envisagée pour son coloris, cette école est perçue comme le lieu d'une sensualité qui nie les exigences d'une doctrine héritée du classicisme. Les historiens de l'art du XIXe siècle mettent en place un appareil argumentatif et rhétorique visant à donner à leur discours une légitimité scientifique. Dès la moitié du siècle, l'usage d'une méthode scientiste permet d'expliquer la peinture vénitienne par des justifications sociales, climatiques ou raciales. Au sein du raisonnement qui démontre la nature anticlassique de l'école vénitienne, il convient aussi de considérer les arguments fournis par l'Orientalisme et par l'histoire de l'art flamand et hollandais, qui par un rapprochement avec Venise, éloignent encore sa peinture du modèle classique. Mais il importe par ailleurs de relever les ouvertures du discours qui infléchissent cette pensée dominante. La confrontation de la peinture vénitienne avec les nouvelles formes d'art contemporain - Romantisme, Impressionnisme, Symbolisme - permet d'en faire un lieu d'identification pour la modernité picturale. Enfin, les revendications identitaires qui parcourent une Italie en quête d'indépendance et une France hostile à la Prusse après la guerre de 1870, participent autour de 1900 à caractériser l'école vénitienne comme un lieu d'ancrage d'une identité classique, latine et/ou chrétienne résistant à la menace germanique.
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Un atelier jurassien au temps des Lumières, les Rosset : sculpteurs, ivoiriers et peintres comtois à Saint-Claude dans le Jura au XVIII sièclePierre, Marie-liesse 28 October 2013 (has links) (PDF)
Le sujet traite de l'originalité de l'atelier de sculpture des Rosset de Saint-Claude dans le Jura (France) actif du XVIe au XIXe siècle. Original par sa production familiale d'objets d'art en ivoire et en marbre qui connut une diffusion européenne grâce aux portraits de Voltaire. Sculpteurs d'intérieur et "en petit", engagés dans le débat des Lumières, les Rosset sont aussi des statuaires comtois renommés et des peintres locaux. Le sujet est centré sur le XVIIIe siècle autour de l'œuvre de Joseph Rosset (1706-1786) âme de l'atelier, créateur de modèles réputés et que ses cinq fils, tous artistes, produiront en série avec lui et, après sa mort de manière indépendante, adaptant leur œuvre à l'évolution des goûts : Jean François alias Joseph Rosset (1734-1783) orfèvre, Jean-Joseph-Nicolas Rosset (1737-1809) prêtre et peintre, Jacques-Joseph Rosset (1741-1826), François-Marie Rosset (1743-1824) peintre voyageur en Turquie d'Asie et sculpteur et Claude-Antoine Rosset (1749-1818) peintre et sculpteur. Le volume I (265 pages). Le premier chapitre retrace l'histoire de l'atelier présent à Saint-Claude depuis le XVIe siècle, analyse le contexte du travail et la position sociale bourgeoise de la famille de Joseph Rosset au XVIIIe siècle. Le chapitre deux présente de manière critique la biographie de Joseph Rosset, dégage les caractères de son œuvre à tête de Janus, le sacré et le profane, à l'image de ses convictions, de sa foi religieuse catholique et de ses idées politiques libérales, qui met son art au service des Lumières. Enfin, un troisième chapitre, analyse l'œuvre de ses fils dans la continuité politique de l'idéal de leur père ; ils participent en citoyens à la mise en œuvre des réformes libérales de la Révolution. Le volume II (587 pages) présente le catalogue raisonné de l'œuvre de Joseph Rosset (1706-1786), tome 1, les œuvres religieuses, tome 2, l'œuvre en ivoire de l'atelier Rosset et, tome 3 l'œuvre profane en marbre. Le volume III (491 pages) est le catalogue raisonné de l'œuvre sculpté et peint de ses fils : tome 1, l'œuvre graphique et sculpté de Jacques Rosset (1741-1826) ; tome 2, l'œuvre peint et sculpté de François Rosset (1743-1824) ; tome 3 l'œuvre sculptée d'Antoine Rosset (1749 - 1818).
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Le contrat du peintre : l'interartialité comme réflexivité dans le cinéma de Peter GreenawayMirandette, Marie Claude 08 1900 (has links)
Ce mémoire explore la place de l’interartialité, des relations entre les arts, dans le cinéma de Peter Greenaway, et les fonctions qu’elle y remplit. À l’occasion de l’analyse de deux films qui centralisent la figure du peintre et la forme du contrat - The Draughtsman’s Contract et Nightwatching – et prenant comme point de départ théorique les travaux de Walter Moser, nous identifions et analysons quelques-unes des relations interartielles à l’oeuvre dans ces films, pour montrer que la mise en relation des arts de la peinture, du théâtre et du cinéma, dans leurs rapports biartials et pluriartials, constituent la trame fondamentale des films de Greenaway, dans une « interartialité non hiérarchique ».
Nous concluons que le recours au dialogue interartiel permet au cinéaste d’esquisser, en filigrane, une posture critique sur l’art et l’artiste, une « théorie de l’art », par laquelle il exprime un point de vue sur le rôle et le statut de l’artiste au sein de la société. / Taking its theoretical starting point from the work of Walter Moser in interartiality, this thesis explores the place and function of interatiality (relationships between the arts) in the cinema of Peter Greenaway. The Draughtsman’s Contract and Nightwatching, two films that focus on the figure of the painter and the form of the contract, are examined for the purpose of identifying and analysing some of the interartial relationships at work in them and thereby demonstrating that the interconnecting of painting, theatre and cinema in bi- and pluri-artial relationships constitutes a basic framework of “non-hierarchical interartiality” in Greenaway’s films.
The conclusion is reached that reliance on interart dialogue allows the filmmaker to assume an implicit critical stance in regard to art and the artist – a “theory of art” that expresses a point of view on the artist’s role and status in society.
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Jean Pierron (1631-1700) : missionnaire, diplomate et peintre en Amérique.Finet, Thibault 12 1900 (has links)
La présente recherche se propose de retracer la vie et l’œuvre du père jésuite Jean Pierron (1631-1701), qui, venu de Lorraine, a contribué à la réouverture des missions iroquoises en Nouvelle-France. Arrivé dans la colonie en juin 1667, Pierron, se fit introduire auprès des populations autochtones par Jean Talon, après quoi il eut en charge un territoire d'environ une demi-douzaine de villages agniers de la vallée de l'Hudson. Après avoir livré ses premières impressions, le jésuite mit au point son programme apostolique, faisant appel à une méthode « audio-visuelle » fondée sur le dessin didactique. Mais le jésuite fut aussi un formidable voyageur, qui se rendit non seulement en Iroquoisie, mais aussi en Nouvelle-Angleterre. Il semble bien que ce soit grâce à de précieux réseaux de connaissances en dehors de ceux de la Compagnie de Jésus qu'il put entreprendre un tel voyage. La biographie de ce missionnaire-polyglotte, diplomate et peintre, souligne entre autre choses, l’importance du contexte stratégique et politique plus vaste des missions françaises en Amérique au XVIIe siècle. / The following study is devoted to the Jesuit father Jean Pierron (1631-1701). Arriving from Lorraine in 1667, Pierron participated in the Catholic mission to the Mohawk of the Hudson Valley, after being formally introduced to delegates of this nation by the intendant Jean Talon. Working in a half-dozen villages, Pierron designed an audiovisual method of conversion based upon didactic drawings and paintings. The missionary was also an energetic traveller, both within Mohawk territories and to the English colonies. These journeys point to Pierron’s earlier experiences and more precisely, to the network of contacts he seems to have developed in Europe. In sum, the life of this polyglot missionary, diplomat and painter underscores the importance of the broader strategic and political context of the Jesuit missions.
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Déconstruction et des constructions /Paquet, Bernard. January 1988 (has links)
Mémoire (M.A.)-- Université du Québec à Chicoutimi, 1988. / Ce travail de recherche a été réalisé à l'Université du Québec à Chicoutimi dans le cadre du programme de maîtrise en arts plastiques extentionné de l'Université du Québec à Montréal à l'Université du Québec à Chicoutimi. CaQCU Document électronique également accessible en format PDF. CaQCU
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