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Ecos en la escritura. Tecnología y experiencia en la novela latinoamericana de vanguardia

Medina, Humberto 12 1900 (has links)
Ecos en la escritura (Échos dans l’écriture) vise à explorer la représentation de l’expérience dans le roman d’avant-garde latino-américain. D’après les idées de Walter Benjamin, nous définissons « l’expérience » comme une façon de donner du sens, tant à une série de perceptions et affections corporelles, qu’au récit historique d’une culture. Depuis la fin du 19e et le début du 20e siècle, l’expérience est radicalement transformée par l’émergence des nouveaux médias et des nouvelles technologies d’inscription, telles que la photographie, le cinéma, le phonographe, la machine à écrire et la radio. Ainsi, en dialogue avec la théorie des médias de Friedrich Kittler et Katherine Hayles et, dans un contexte latino-américain, avec les œuvres de Rubén Gallo et Flora Süssekind, nous analysons un groupe des romans d’avant-garde pour montrer les effets des technologies d’inscription sur les modalités de représentation. Le corpus comprend les romans suivants : Los siete locos (1929) y Los lanzallamas (1931), de Roberto Arlt; Cubagua (1931) de Enrique Bernardo Núñez; La casa de cartón (1928) de Martín Adán; Un año (1935) y Ayer (1935) de Juan Emar; Débora (1927) de Pablo Palacio; Museo de la novela de la Eterna (1925/1967) de Macedonio Fernández. Nous lisons les nouvelles modalités de représentation comme une manière de contestation des modes de représentation du roman réaliste du 19e siècle. Afin de montrer les différentes façons dont ces romans reflètent les changements dans l’expérience, nous avons organisé les chapitres pour démontrer l’éloignement du réalisme et l’incursion progressive des technologies d’inscription. La technologie des médias apparaît, tout d’abord, représentée sous forme de thème ou de manière subtile dans les descriptions de la perception des personnages. Ensuite, la technologie apparaît de manière plus explicite, affectant les modalités de la représentation et la qualité même de l’écriture, en accentuant le virage méta-narratif par lequel le roman d’avant-garde dissout la diégèse du roman réaliste. Enfin, la préoccupation d’avant-garde pour les médias est dirigée vers le substrat matériel du roman, le livre imprimé, dont la disparition ouvre la possibilité à d’autres formes d’inspiration. Ainsi, par l’étude de l’avant-garde latino-américaine, nous réfléchissons aux effets de la technologie dans la formation de l’expérience, et aussi sur les relations entre l’expérience et les formes de représentation. / Ecos en la escritura (Echoes in Writing) explores how the Latin American avant-garde novels represent a type of modern experience. Drawing from the ideas of Walter Benjamin, we define “experience” as a way of making sense of a series of perceptions and bodily affections, on the one hand, and of a certain historical discourse and historicity, on the other. From the 19th century and first decades of the 20th, experience is radically transformed as a result of the emergence of new media and inscription technologies, such as the photography and the cinema, the phonograph, the typewriter, and the radio. In dialogue with the media theorists Friedrich Kittler and Katherine Hayles, and, in Latin American contexts, with the writings of Rubén Gallo and Flora Süssekind, we analyze a group of Latin American avant-garde novels to show the effects of inscription technology on the modalities of literary representation. The corpus includes the following novels: Los siete locos (1929) y Los lanzallamas (1931) by Roberto Arlt; Cubagua (1931) by Enrique Bernárdo Núñez; La casa de cartón (1928) by Martín Adán; Un año (1935) and Ayer (1935) by Juan Emar; Débora (1927) by Pablo Palacio; Museo de la novela de la Eterna (1925/1967) by Macedonio Fernández. We read the new modalities of representation as a contestation of the modes of representations embodied in the 19th century realist novel, still prevalent in the early 20th century. In our presentation of these novels’ representation of the profound shift in experience, we have organized the chapters to demonstrate the move away from the realism and the progressive incursions of inscription technologies. Media technologies first appear as a theme or in a more subtle descriptions of perceptions for the characters, and are later shown to affect the modalities of representation, the very quality of writing, and to inspire a meta-narrative turn that effectively dissolves the diegesis typical of the popular realist novel. Finally, the avant-garde concern for media turns to the novel’s material substratum, the printed book, whose disappearance allows for others forms of inspirations to appear. Throughout this research on the Latin American avant-garde we think about the effects of technology on the constitution and formation of experience, and about the relations between experience and forms of representation. / Ecos en la escritura tiene como objetivo explorar la representación de la experiencia en la novela de vanguardia latinoamericanas. A partir de las ideas de Walter Benjamin, definimos “experiencia” como una manera de dar sentido tanto a una serie de percepciones y afecciones corporales como al relato histórico de una cultura. Desde finales del siglo 19 y comienzos del 20, la experiencia se transforma radicalmente con el surgimiento de nuevos medios y tecnologías de inscripción, tales como fotografía y el cine, el fonógrafo, la máquina de escribir y la radio. Así, en diálogo con la teoría de los medios de Friedrich Kittler y Katherine Hayles, y, en un contexto latinoamericano, con los trabajos de Rubén Gallo y Flora Süssekind, analizamos un grupo de novelas vanguardistas para mostrar los efectos de las tecnologías de inscripción en las modalidades de representación. El corpus se delimita a las siguientes novelas: Los siete locos (1929) y Los lanzallamas (1931) , de Roberto Arlt; Cubagua (1931) de Enrique Bernardo Núñez; La casa de cartón (1928) de Martín Adán; Un año (1935) y Ayer (1935) de Juan Emar; Débora (1927) de Pablo Palacio; Museo de la novela de la Eterna (1925/1967) de Macedonio Fernández. Leemos las nuevas modalidades de representación como una forma de contestación a los modos de representación de la novela realista del siglo 19, aún en vigencia en el siglo 20. Para mostrar las diferentes maneras en que estas novelas reflejan los cambios en la experiencia, hemos organizado los capítulos en función de demostrar el alejamiento del realismo y la progresiva incursión de las tecnologías de inscripción. La tecnología de medios aparece, en primer lugar, representada como tema o bien de manera sutil en descripciones de la percepción de los personajes. Luego, en segundo lugar, la tecnología aparece de manera más explícita, afectando las modalidades de representación y la cualidad misma de la escritura, acentuando el giro metanarrativo con el cual la novela de vanguardia disuelve la diégesis propia de la novela realista. Finalmente, la preocupación de la vanguardia por los medios se dirige al sustrato material de la novela, el libro impreso, cuya desaparición abre la posibilidad de otras formas de inspiración. Así, a través de un estudio sobre las vanguardias latinoamericanas podemos reflexionar sobre el efecto de la tecnología en la formación de la experiencia y también sobre la relación entre experiencia y formas de representación.
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Intertextualidad y espacio social : de Lima la horrible a Yo amo a mi mami

Miranda, Gilberto 12 1900 (has links)
Le pouvoir que les groupes d'élite ont exercé au Pérou, s'est maintenu depuis l'époque de la colonisation en renforçant les inégalités économiques et raciales; soulignant ainsi une organisation sociale qui sert une minorité au détriment de la majorité. Cette domination de la minorité s'exerce fondamentalement à partir de Lima, ce qui explique le centralisme administratif, social et économique du pays. Dans cette problématique d'étude, nous voulons souligner essentiellement la façon dont le texte littéraire a réfléchi sur la relation entre le centralisme de la capitale, son organisation de l'espace et ses incidences sur l’inégalité sociale au Pérou. Plusieurs auteurs péruviens ont consacré de nombreux ouvrages à ce sujet. Dans notre projet, nous analyserons deux œuvres littéraires : Lima la horrible (1964) de Sebastián Salazar Bondy, et Yo amo a mi mami (1999) de Jaime Bayly; principalement en se concentrant dans l’œuvre de Bayly comment elle renvoie à travers une série de stratégies intertextuelles à celle de Salazar Bondy. Lima comme espace privilégié sert de substrat à la dialectique narrative. Cela implique tant le roman de Bayly que l’essai de Salazar Bondy, et opère comme motif et structure transtextuelle. Dans notre hypothèse de recherche, Lima la horrible est un palimpseste de Yo amo a mi mami et Bayly construit son discours comme une variante de Salazar Bondy. L’espace produit, dans l'essai comme dans le roman résulte d’une connaissance préalable de la capitale et vise à une critique sociale et culturelle du Pérou dans la représentation de la ville de Lima. / Since the colonial period, the elite groups have kept the authority of power in Peru by creating economic and racial differences. The social structure benefits a minority to the detriment of the majority. The minority dominance is carried out exclusively from Lima, and this supremacy causes the administrative, social and economic centralism of the capital. Our research problem reflects on how the literary text establishes the relationships between the centralism in Lima, the organization of the urban space, and the social inequalities in Peru. Many Peruvian authors have devoted their literary production to this topic. In our study, we analyze two literary works: Lima la horrible (1964) by Sebastián Salazar Bondy, and Yo amo a mi mami (1999) by Jaime Bayly, paying specific attention to how Bayly's work refers through a series of intertextual strategies to that of Salazar Bondy. The space of the city of Lima serves as the substrate for the dialectics of the storyline in both Bayly’s novel and Salazar Bondy’s essay. The space operates as leit motive and transtextual structure. It is our hypothesis that Lima la horrible is a palimpsest of Yo amo a mi mami, and that the discourse presented in Salazar Bondy's work is embedded in Bayly´s novel. In these works the representation of the urban space emerges from the lived experience of the authors, who question the sociocultural foundations of their country. / El poder que ejercen los grupos de élite en el Perú mantiene vigente desde la colonia las diferencias económicas y raciales. La estructura social favorece a una minoría en detrimento de la mayoría. Este dominio de la minoría se realiza fundamentalmente desde Lima debido al centralismo administrativo, social y económico del país. La problemática que esta memoria de investigación aborda es cómo se ha reflexionado en el texto literario sobre la relación entre el centralismo limeño, la organización del espacio y la desigualdad social en el Perú. Muchos autores peruanos han consagrado su producción literaria a esta temática. En nuestro estudio analizamos dos obras literarias: Lima la horrible (1964) de Sebastián Salazar Bondy, y Yo amo a mi mami (1999) de Jaime Bayly, atendiendo específicamente a cómo la obra de Bayly remite a través de una serie de estrategias intertextuales a la de Salazar Bondy. El espacio de la ciudad de Lima sirve de sustrato a la dialéctica narrativa tanto en la novela de Bayly como en el ensayo de Salazar Bondy, y opera como motivo y estructura transtextual. Nuestra hipótesis de investigación ha partido de que Lima la horrible es un palimpsesto de Yo amo a mi mami y de que Bayly estructura su discurso como una variante de la obra de Salazar Bondy. En ambas obras el espacio producido resulta de un conocimiento previo de la ciudad y aporta una crítica social y cultural del Perú a través de la representación de la ciudad de Lima.
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La re-escritura de la historia en Déjame que te cuente de Juanita Gallardo (1997): entre el producto cultural y el discurso identitario

Rodriguez Tapia, Stella Maris 12 1900 (has links)
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La selva contada por los narradores : ecología política en novelas y cuentos hispanoamericanos de la selva (1905-2015)

Ordóñez Díaz, Leonardo 05 1900 (has links)
La forêt a été, et reste encore, un sujet clé de la littérature hispano-américaine. Ce travail étudie les images de la forêt dans le roman hispano-américain du dernier siècle, tout en mettant l’accent sur l’analyse d’ouvrages dont l’action se situe dans la forêt amazonienne, le milieu sylvestre latino-américain par excellence. Quelles sont les visions de la forêt qui priment dans la production narrative ? Comment la crise écologique mondiale a-t-elle influencé les manières de « raconter la forêt » ? De quelle façon reflètent-elles la tournure prise par la situation environnementale aujourd’hui ? Quelles sortes de rapports entre les sociétés humaines et les écosystèmes forestiers sont représentés dans ces ouvrages ? Quelle est la participation des peuples autochtones dans les faits racontés ? Et celle des animaux, des plantes et d’autres entités non humaines ? Est-ce que les œuvres expriment des notions de « nature » et de « culture » différentes de celles de l’Occident moderne, ou des besoins et regards différents de ceux des humains ? Pour trouver une réponse à ces questions, le travail se focalise sur quatre sujets clés de la production romancière : la construction d’une conscience historique des images de la nature, les rapports entre les peuples de la forêt et les colonisateurs occidentaux, la vision de la forêt comme un écosystème complexe et fragile, et la quête de façons coopératives de bâtir notre relation avec l’environnement. Bien que la méthodologie choisie favorise les outils de l’écocritique et de l’écologie politique, le travail s’appuie aussi sur l’essor récent de la philosophie environnementale, la biogéographie des forêts tropicales et l’anthropologie culturelle. Par le truchement d’une telle approche, nous misons sur la possibilité d’ouvrir une plateforme de dialogue entre la critique littéraire et d’autres champs du savoir. L’objectif est d’utiliser les textes littéraires comme des fenêtres pour explorer la dimension environnementale de la condition humaine, en fournissant des idées et des points de vue féconds pour les débats actuels autour du changement de paradigme qu’il faut opérer afin que la civilisation humaine soit capable de créer un nouveau rapport, symbiotique et non simplement extractif, avec les écosystèmes naturels. / The forest has been, and remains, a key theme in Hispanic American literature. This research examines images of the forest in the Hispanic American narrative of the last century, stressing the analysis of works of writing set in the Amazon rainforest, Latin America’s quintessential natural setting. What are the most common imaginaries of the rainforest in this narrative production? What impact has the global ecological crisis had on different ways of “narrating the forest”? What types of relationships between human societies and rainforest ecosystems are represented in this corpus? What environmental and ecological problems are thematized in the texts? What role do Indigenous peoples play in the stories? And what role do animals, plants, and other nonhuman entities play? Do these works give a voice to notions of “nature” and “culture” that are different from Western ones? Do they give a voice to needs and perspectives that are different from human ones? To answer these questions, my work delves into four key issues of canonical rainforest narratives: the cultural perceptions of a tropical rainforest setting, the relationships between Indigenous peoples and settlers, the development of a historical consciousness of images of nature, and the search for new forms of relating to the natural environment. Although the proposed methodology favors the tools of ecocriticism and political ecology, the work also draws on current developments in environmental philosophy, rainforest biogeography, and cultural anthropology. By means of such an interdisciplinary approach, my work seeks to create a suitable setting for dialogue between literary criticism and other areas of knowledge. Ultimately, I aim to use these chosen literary texts as a window to exploring the human condition’s environmental dimension, providing ideas and viewpoints that could contribute to building a distinct, symbiotic and not merely extractive relationship between human societies and natural ecosystems. / La selva ha sido, y sigue siendo, un tema central de la literatura hispanoamericana. Este trabajo estudia las imágenes de la selva en la narrativa hispanoamericana durante el último siglo, enfatizando el análisis de obras cuya acción se sitúa en la selva amazónica, el entorno natural latinoamericano por excelencia. ¿Cuáles son los imaginarios de la selva más comunes en la producción novelística y cuentística? ¿Cuál ha sido el impacto de la crisis ecológica global en las formas de «contar la selva»? ¿Qué tipos de relación entre las sociedades humanas y los ecosistemas selváticos aparecen representados en estas obras? ¿Qué problemas ambientales y ecológicos son tematizados en ellas? ¿Qué papel desempeñan en los hechos narrados las poblaciones autóctonas? ¿Y cuál desempeñan, a su vez, los animales, las plantas y otras entidades no-humanas? ¿Las obras le dan voz a nociones de «naturaleza» y «cultura» distintas a las de Occidente, o a necesidades u ópticas distintas a las de los humanos? Para responder estas preguntas, el trabajo profundiza en temas claves del canon de las narrativas de la selva, como las percepciones culturales del ambiente selvático, las relaciones entre los pobladores indígenas de la selva y los colonizadores, el desarrollo de una conciencia histórica de las imágenes de la naturaleza y la búsqueda de nuevas formas de relación con el entorno ambiental, entre otros. Si bien la metodología escogida privilegia las herramientas del ecocriticismo y la ecología política, el trabajo se apoya igualmente en desarrollos recientes de la filosofía ambiental, la biogeografía de las selvas tropicales y la antropología cultural. Mediante este enfoque pluridisciplinar, el trabajo procura abrir un escenario de diálogo fecundo entre la crítica literaria y otras áreas del conocimiento. El objetivo último es aprovechar los textos literarios seleccionados como una ventana para explorar la dimensión ambiental de la condición humana, proveyendo ideas y puntos de vista que contribuyan en la construcción de una relación distinta, simbiótica y no simplemente extractiva, entre las sociedades humanas y los ecosistemas naturales.
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La re-escritura de la violencia en Estaba la pájara pinta sentada en el verde limón de Albalucía Ángel

Correa, Margarita 04 1900 (has links)
L'objectif de cette étude a été double. D'une part, il fait l’inclusion du roman Estaba la pájara pinta sentada en el verde limón d’Albalucía Angel au genre du nouveau roman historique, selon la théorie exposée par Seymour Menton, Cristina Pons, Fernando Ainsa et Biruté Ciplijauskaité. Dans cet ordre on a examinée en détail l`utilisation faite dans cette nouvelle de l'histoire récente de la Colombie, ainsi que les questions relatives à la mise en fiction de personnages historiques, la métafiction, l`intertextualité et la polyphonie. Deuxièmement, cette étude analyse la perspective de genre qui définit cette nouvelle grâce à l'inclusion de la voix féminine que raconte des événements historiques à partir du point de vue de l'expérience des femmes, trait qui deviendra caractéristique du nouveau roman historique écrit par des femmes sur les femmes. Notre intérêt est d'analyser comment les différentes voix dans le roman parviennent à créer une nouvelle subjectivité féminine, renversant ainsi le discours historique officiel que le système patriarcal. Ces aspects, dans le contexte historique de la violence en Colombie, permettent une nouvelle lecture de la société colombienne du milieu du XXe siècle. / The objective of this study is twofold. On one hand it considers the assignment of Albalucía Angel`s Estaba la pájara pinta sentada en el verde limón in the gender of the New Historical Novel, according to the theory exposed by Seymour Menton, Cristina Pons, Fernando Ainsa and Biruté Ciplijauskaité. In order to get this, it discusses in detail how this novel utilizes Colombia’s more recent history, and it also considers different issues relating to the fictionalization of historical characters, metafiction, intertextuality and polyphony. Second, this study analyzes the gender perspective that defines the novel thanks to the inclusion of the female voice narrating historical events from the feminine point of view of women's experience, a feature that would become characteristic of the new historical novel written by women about women. Our interest is to analyze how the different voices in the novel manage to create a new female subjectivity, thus subverting the official historical discourse as well as the patriarchal system. These aspects, in the historical context of violence in Colombia, allow a new reading of Colombian society of the mid-twentieth century. / El objetivo de este estudio es doble. Por un lado se considera la adscripción de la novela Estaba la pájara pinta sentada en el verde limón de Albalucía Ángel al género de la nueva novela histórica, según los planteamientos teóricos expuestos por Seymour Menton, Cristina Pons, Fernando Ainsa y Biruté Ciplijauskaité. Para ello se analiza en detalle el uso que en la novela se hace de la historia más reciente de Colombia, así como se consideran también aspectos relativos a la ficcionalización de personajes históricos, la metaficción, la intertextualidad y la polifonía. En segundo lugar, este estudio analiza la perspectiva de género que define la novela gracias a la inclusión de la voz femenina que narra los hechos históricos desde un sentir propio de la experiencia de la mujer, rasgo que vendría a ser característico de la nueva novela histórica escrita por mujeres sobre mujeres. Nuestro interés reside en analizar cómo las diferentes voces en la novela logran crear una nueva subjetividad femenina, subvirtiendo tanto el discurso histórico oficial como el sistema patriarcal. Estos aspectos, en el contexto histórico de la violencia en Colombia, permiten una nueva lectura de la sociedad colombiana de mediados del siglo XX.
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La re-escritura de la violencia en Estaba la pájara pinta sentada en el verde limón de Albalucía Ángel

Correa, Margarita 04 1900 (has links)
[À l'origine dans / Was originally part of : Thèses et mémoires - FAS - Département de littératures et de langues modernes] / L'objectif de cette étude a été double. D'une part, il fait l’inclusion du roman Estaba la pájara pinta sentada en el verde limón d’Albalucía Angel au genre du nouveau roman historique, selon la théorie exposée par Seymour Menton, Cristina Pons, Fernando Ainsa et Biruté Ciplijauskaité. Dans cet ordre on a examinée en détail l`utilisation faite dans cette nouvelle de l'histoire récente de la Colombie, ainsi que les questions relatives à la mise en fiction de personnages historiques, la métafiction, l`intertextualité et la polyphonie. Deuxièmement, cette étude analyse la perspective de genre qui définit cette nouvelle grâce à l'inclusion de la voix féminine que raconte des événements historiques à partir du point de vue de l'expérience des femmes, trait qui deviendra caractéristique du nouveau roman historique écrit par des femmes sur les femmes. Notre intérêt est d'analyser comment les différentes voix dans le roman parviennent à créer une nouvelle subjectivité féminine, renversant ainsi le discours historique officiel que le système patriarcal. Ces aspects, dans le contexte historique de la violence en Colombie, permettent une nouvelle lecture de la société colombienne du milieu du XXe siècle. / The objective of this study is twofold. On one hand it considers the assignment of Albalucía Angel`s Estaba la pájara pinta sentada en el verde limón in the gender of the New Historical Novel, according to the theory exposed by Seymour Menton, Cristina Pons, Fernando Ainsa and Biruté Ciplijauskaité. In order to get this, it discusses in detail how this novel utilizes Colombia’s more recent history, and it also considers different issues relating to the fictionalization of historical characters, metafiction, intertextuality and polyphony. Second, this study analyzes the gender perspective that defines the novel thanks to the inclusion of the female voice narrating historical events from the feminine point of view of women's experience, a feature that would become characteristic of the new historical novel written by women about women. Our interest is to analyze how the different voices in the novel manage to create a new female subjectivity, thus subverting the official historical discourse as well as the patriarchal system. These aspects, in the historical context of violence in Colombia, allow a new reading of Colombian society of the mid-twentieth century. / El objetivo de este estudio es doble. Por un lado se considera la adscripción de la novela Estaba la pájara pinta sentada en el verde limón de Albalucía Ángel al género de la nueva novela histórica, según los planteamientos teóricos expuestos por Seymour Menton, Cristina Pons, Fernando Ainsa y Biruté Ciplijauskaité. Para ello se analiza en detalle el uso que en la novela se hace de la historia más reciente de Colombia, así como se consideran también aspectos relativos a la ficcionalización de personajes históricos, la metaficción, la intertextualidad y la polifonía. En segundo lugar, este estudio analiza la perspectiva de género que define la novela gracias a la inclusión de la voz femenina que narra los hechos históricos desde un sentir propio de la experiencia de la mujer, rasgo que vendría a ser característico de la nueva novela histórica escrita por mujeres sobre mujeres. Nuestro interés reside en analizar cómo las diferentes voces en la novela logran crear una nueva subjetividad femenina, subvirtiendo tanto el discurso histórico oficial como el sistema patriarcal. Estos aspectos, en el contexto histórico de la violencia en Colombia, permiten una nueva lectura de la sociedad colombiana de mediados del siglo XX.
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Olga Elena Mattei frente al canon de la poesía colombiana de su tiempo (1962-2005)

Vélez Pelaez, Sergio Esteban 12 1900 (has links)
Ce mémoire vise à placer le travail de la poète colombienne Olga Elena Mattei au sein de la poésie colombienne de son temps (1962-2005). Dans le premier chapitre, certains concepts théoriques sont définis et le terme «canon», axé sur la poésie, est synthétisé. Dans le deuxième chapitre, le paysage de la poésie colombienne de la seconde moitié du XXe siècle est défini. La stylistique des poètes les plus importants et jugés comme étant canoniques, est présentée. Dans le dernier chapitre, les particularités de la poésie de Mattei sont analysées. Il est conclu qu'Olga Elena Mattei fait partie du canon de la poésie colombienne, mais que son travail a contesté le canon dominant de celle-ci, au fil des décennies, et qu'il a été en avance sur les tendances qui émergeraient plus tard. À titre d'exemple, il est montré comment, dans les années soixante du XXe siècle, quand, en Colombie, la rime et le mètre étaient toujours hégémoniques dans la poésie, Olga Elena Mattei a osé écrire et publier en vers libres. Puis, dans les années soixante-dix, lorsque le vers libre a été accepté et il régnait à la poésie colombienne, Mattei fut la première femme à écrire anti-poésie en espagnol. Dans les années quatre-vingt, alors que l'anti-poésie était la principale tendance en Colombie, Mattei s'est consacrée à écrire de la poésie au sujet de la science, jamais réalisée auparavant en Colombie. Et, dans les années quatre-vingt-dix, lorsque le vers libre est dominant en Colombie, Mattei retourne à la rime. / This thesis aims to place the work of the Colombian poet Olga Elena Mattei within the Colombian poetry of her time (1962-2005). In the first chapter, some theoretical concepts are defined and the term "canon", focused on poetry, is explained. In the second chapter, the landscape of the Colombian poetry of the second half of the twentieth century is set. The style of the most important poets, who are considered as canonical, is presented. In the last chapter, the peculiarities of Mattei's poetry are analyzed. It is concluded that Olga Elena Mattei is part of the canon of the Colombian poetry, but her work has challenged the dominant trends over the decades. For example, it is shown how, in the sixties of the twentieth century, when, in Colombia, rhyme and metrics were still preponderant in poetry, Olga Elena Mattei dared to write and publish in free verse. In the seventies, when free verse was accepted and it reigned in the Colombian poetry, Mattei was the first woman to write anti-poetry in Spanish. In the eighties, while anti-poetry was the main trend in Colombian poetry, Mattei devoted herself to write poetry about science, never wrote in Colombia before. And in the nineties, when free verse is dominant in Colombia, Mattei returns to rhyme. / Esta tesina pretende ubicar la obra de la poeta colombiana Olga Elena Mattei en el marco de la poesía dominante de su tiempo (1962-2005), en Colombia. En un primer capítulo, se definen algunos conceptos teóricos y se sintetiza el término “canon”, enfocado en la poesía. En el segundo capítulo, se define el campo poético colombiano de la segunda mitad del siglo XX. Se discute sobre la estilística de los poetas más relevantes, aquellos que han sido determinados como canónicos. En el capítulo final, se analiza la poesía de esta autora, sus particularidades, confrontándola con el canon antes explicado. Se concluye que Olga Elena Mattei hace parte del canon de la poesía colombiana, pero que su obra, a lo largo de los decenios, ha rebatido el canon preponderante en Colombia y se ha adelantado a las tendencias que habrían de surgir posteriormente. Como ejemplo, se muestra cómo, en los años sesenta del siglo XX, cuando, en Colombia, todavía la rima y la métrica eran hegemónicas en la poesía, Olga Elena Mattei se atrevió a escribir y publicar en verso libre. Luego, en los setenta, cuando ya el verso libre era aceptado e imperaba en la poesía colombiana, Mattei fue la primera mujer en escribir antipoesía en español. En los ochenta, cuando la antipoesía ya era tendencia distinguida en Colombia, Mattei se encaminó hacia la poesía de temática científica, nunca antes realizada en Colombia, y en los noventa, cuando, predomina el verso libre, Mattei regresa a la poesía con rima y ritmo.
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La literatura de la neo-violencia en Colombia : manifestaciones thanáticas en el siglo XXI

Ferro Rojas, Gerardo 04 1900 (has links)
La rédaction de ce mémoire a été possible grâce à la bourse d’études supérieures du Canada (BESC M), Joseph-Armand-Bombardier du Centre de Recherche en Sciences Humaines (CRSH) du gouvernement du Canada, 2015. / Cette recherche est basée sur l’hypothèse suivante : la relation entre la société colombienne et la violence a été si constante et profonde que la nouvelle littérature du XXIe siècle est un produit de ce phénomène. Bien que les études académiques portant sur la littérature et la violence en Colombie soient si nombreuses, celles-ci ont été dirigées à l’analyse du violent comme étant un phénomène perturbateur de l’ordre social, que ce soit dès la Violence politique des années 50 et 60, ou bien dès la littérature du narco trafique dans les années 80 et 90. Toutefois, dans la littérature des générations plus récentes d’écrivains, la violence n’est pas nécessairement exercée par des acteurs « traditionnellement » violents qui portent atteinte à l’ordre social, mais ce supposé « ordre » social est déjà essentiellement violent, faisant de la violence une question symbolique, normalisée et profondément enracinée dans l’ensemble de la société. Donc, de quelle façon la violence « traditionnelle » a-t-elle mutée jusqu’à configurer la neo-violence d’aujourd’hui? Quelles sont ses caractéristiques? Mais, surtout, de quelle façon la littérature raconte-t-elle cette nouvelle violence? Le objectif de cette recherche est d’identifier ces nouvelles manifestations de la violence dans la littérature de la première décennie du XXIe siècle ayant été produites pour les écrivains nés pendant les années 70 et le début des années 80. La méthodologie, basée sur l’analyse de romans et de nouvelles d’écrivains colombiens de cette génération, cherche à établir comment la surexposition à une violence endémique a généré de nouvelles formes de voir, de percevoir, de sentir et de narrer le violent au-delà de la description de faits concrets de violence. / This research is based on the assumption that the relationship between the Colombian society and violence is so constant and deep that the new 21st century literature is the result of this phenomenon. Despite the fact that previous academic research on violence and literature in Colombia has largely addressed the topic, this same research has usually approached “violence” as a disruptive phenomenon having an impact on established social orders. That is the case of previous analysis addressing either the 1950s and 1960s’ La Violencia-based literature or the 1980s and 1990s’ drug trafficking literature. However, in the literature of the new generation of writers, violence is not necessarily practiced by traditionally violent actors who intentionally put social order at risk. This social order is in fact essentially violent, which turns violence into a symbolic, normalized, deeply rooted matter in society. Thus, how has “traditional” violence transformed into today’s neoviolence? Which are its attributes? Furthermore, how does literature tell this new violence’s story? The purpose of this research is to identify these new forms of violence made evident in the literature of the first decade of the 21st century that has been produced, in turn, by writers born between the 1970s and the 1980s. The methodology, based on the analysis of novels and short stories by Colombian writers from this period, seeks to establish how overexposure to endemic violence has resulted in new forms of seeing, perceiving, feeling and recounting violence beyond the accurate description of violent facts. / Si bien los estudios académicos sobre el tema de la literatura y la violencia en Colombia son bastante numerosos, estos han estado dirigidos al análisis de la violencia como un fenómeno perturbador del orden social, ya sea desde la Violencia política de los años 50 y 60, o bien desde la violencia del narcotráfico en los años 80 y 90. Sin embargo, en la literatura de las generaciones más jóvenes de escritores, la violencia no es necesariamente ejercida por actores tradicionalmente violentos que atenten contra el orden social, sino que este supuesto orden social es ya esencialmente violento, donde la violencia se manifiesta de manera simbólica, normalizada y profundamente enraizada en la vida social. La investigación se pregunta entonces, ¿de qué manera la violencia “tradicional” ha mutado hasta configurar la neo-violencia de hoy? ¿Cuáles son sus características? Pero, sobre todo, ¿de qué manera esta nueva violencia es contada por la literatura? El objetivo de esta investigación es el de identificar estas nuevas manifestaciones de la violencia en la literatura de la primera década del siglo XXI, producida por los escritores nacidos durante los años 70 e inicios de los años 80. La metodología se basa en el análisis de novelas y cuentos de escritores colombianos pertenecientes a esta generación, para establecer cómo la sobreexposición a una violencia endémica ha generado nuevas formas de ver, percibir, sentir y narrar lo violento más allá de la descripción de hechos concretos de violencia.
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La obediencia rebelde: Roberto Manzano, Rafael Almanza y Jesús David Curbelo, tres poetas contemporáneos ante el canon cubano

Manresa Gonzalez, Carlos 12 1900 (has links)
L’objectif de cette thèse de doctorat est de démontrer la valeur des œuvres poétiques des trois auteurs cubains contemporains Roberto Manzano Díaz (1949), Rafael Almanza Alonso (1957) et Jesús David Curbelo (1965). L’œuvre de ces trois poètes a été peu étudiée et diffusée par la critique professionnelle et académique à l’échelle nationale et internationale. Bien que nous ayons abordé des textes poétiques provenant de divers recueils de poèmes publiés par ces poètes entre les années 90 et les deux premières décennies du XXIe siècle, le choix du corpus se concentre sur les livres Synergos (2005) de R. Manzano, HymNos de R. Almanza et El lobo y el centauro (2001) de J. Curbelo. Comme cadre théorique, nous avons tout d’abord employé la théorie des influences poétiques ou des rapports intra-poétiques d’Harold Bloom. Nous avons utilisé fondamentalement les concepts d’« angoisse ou anxiété de l’influence », de « lecture erronée », de « mauvaise lecture », de « mauvaise interprétation », de « malentendu poétique », de « défense », d’« agon », de « détour », de « clinamen », de « quotients » et de « comparaisons révisionnistes ». La théorie des influences poétiques nous permet de prouver comment les « poètes postérieurs » cherchent à rivaliser avec les « poètes précurseurs » afin de les égaler ou même de dépasser leurs valeurs esthétiques. C’est précisément dans cette rivalité que résident les possibilités d’occuper une position dans le canon et pas nécessairement dans d’autres facteurs extralittéraires qui orbitent autour du texte poétique. Deuxièmement, nous avons appliqué à la théorie de Bloom sa propre thèse, car nous avons fait un « détour » de celle-ci vers des questions formelles qui n’ont pas été priorisées par l’approche de Bloom. Nous avons donc étudié si les poètes du corpus font une révision formelle sur la façon de construire le vers hispanique. Pour cela, nous avons utilisé la théorie du « vers d’accent variable » d’Oldřich Bělič. Cette théorie passe en revue les diverses systèmes de versification dans lesquelles le vers hispanique a été encadré jusqu’à aujourd’hui. À partir d’une étude comparative rigoureuse des types de versification dans douze autres langues, cette théorie propose le vers d’accent variable pour encadrer le vers hispanique. Cette recherche est complétée par trois annexes dont le but est la divulgation des valeurs de l’œuvre poétique de ces trois auteurs. La première annexe porte sur les biographies des poètes. La deuxième annexe expose un répertoire de formes métriques employées dans leurs textes poétiques. La troisième annexe est une anthologie poétique incluant les poèmes étudiés dans la thèse et ceux que nous croyons aussi représentatifs de leurs poétiques. Du point de vue méthodologique, l’observation des éléments signalant l’émulation intra-poétique comme le choix du lexique, les associations analogiques, la disposition typographique, entre autres, nous a permis d’établir par gradation à quel point ces poètes ont un potentiel pour accéder au canon, peu importe les circonstances autour du texte poétique qui leur ont empêché cet accès à travers le temps. Ainsi, cette thèse propose une restructuration du canon poétique cubain contemporain et, en conséquence, il s’agit évidemment d’une proposition contra canonique. D’autre part, l’étude de l’aspect formel sur la construction du vers nous a aussi permis d’employer la théorie révisionniste de Bloom dans un domaine plus formel de la recherche littéraire. En plus, cela nous permet de reconsidérer les bases théoriques d’au moins trois types de versification afin de comprendre de quelle façon le vers hispanique est construit. Dans les conclusions de cette étude, nous avons constaté que les poètes du corpus démontrent d’abord posséder un style clairement défini. Ils démontrent aussi une vaste et profonde maîtrise de divers types de vers, strophes et compositions avec une intention « obéissante » mais qui cherche en même temps la transgression formelle. Finalement, ils soutiennent systématiquement un étroit dialogue avec les valeurs esthétiques des poètes canoniques reconnus par la tradition des lecteurs. Ce constant échange a pour but de se placer à la hauteur des réalisations des poètes qui les ont précédés. Depuis une perspective formelle, nous avons aussi constaté que les textes poétiques étudiés sont mieux décrits à partir des concepts provenant de la théorie du vers d’accent variable. La pratique poétique de ces auteurs révise ainsi la façon dont le vers hispanique est construit. Elle contribue en même temps à la validation de la récente théorie de Bělič. L’ensemble de l’analyse formelle et non formelle nous a permis de corroborer la valeur des poétiques de ces trois auteurs et, par conséquent, cela montre à quel point le manque d’attention de la critique ne se justifie pas. Au contraire, l’étude de ces trois auteurs nous fait constater qu’il s’agit de poètes dont les œuvres poétiques atteignent un haut niveau de réalisation, ce qui leur permettra de figurer dans le canon. / The purpose of this doctoral thesis is to demonstrate the value of the poetic work of contemporary Cuban authors like Roberto Manzano Diaz (1949), Rafael Almanza Alonso (1957) and Jesus David Curbelo (1965). These three poets’ work has been poorly studied or disseminated by the professional and academic critique, both at the national and international levels. While we used poetic texts from the diverse poetry published between the nineties and the first decades of the 21st century, we focused the selection of the corpus on the poem collections Synergos (2005), by R. Manzano; HymNos (2014), by R. Almanza; and El lobo y el centauro (2001), by J. D. Curbelo. The Harold Bloom's theory of poetic influences or intra-poetic relationships was primarily used as the theoretical framework. The main concepts used were ‘anxiety of influence’, ‘poetic misreading’ or ‘creative misreading’, ‘misinterpretation’, ‘poetic misprision’, ‘defense’, ‘agon', ‘swerve’, clinamen’, ‘revisionary ratios’ and ‘revisionary comparisons’. The theory of poetic influences shows us how ‘later poets’ emulate canonical ‘precursor poets’ in order to match or exceed their aesthetic values. The possibilities to reach a place in the canon depends precisely on that emulation and not on any other factors orbiting around the poetic text. Secondly, the Bloom’s thesis was applied to his own theory, which means performing a ‘swerve’ towards formal questions not prioritized by Bloom. We then investigated whether these poets formally revise the Hispanic verse construction. The Oldřich Bělič's theory of the “verse with variable accent” was used for this purpose. Based on a thorough comparative study on the types of versification in other twelve languages, this theory inspects the different types of versification that have framed the Hispanic verse to date and proposes the verse with variable accent as a new framing type of versification. The research was completed with three appendices. The first appendix consists of a brief biography of the three studied authors; the second appendix contains an inventory of the metrical forms used by them - the inventory is open since the works are still in progress; and the third appendix consists of an anthology of their poetic texts studied within the thesis, together with other texts representatives of these three author's poetry. From a methodological standpoint, observing the elements that indicate an intra-poetic emulation like lexical selection, analogical associations and typographic arrangement, among others, has allowed us to attempt to determine the extent to which these poets have the potential to access the canon, regardless of the circumstances around the poetic text that so far have prevented them from doing it. We are thus offering to restructure the contemporary Cuban poetic canon and, consequently, to develop an evident contra-canonical proposal. On the other hand, by analyzing the formal aspect of the verse construction in these authors, we have first been able to use Bloom's revisionist theory in the formalistic approach of literary research. Furthermore, we have been able to reconsider the extent to which the use of the theoretical bases of at least three types of versification supports the analysis of the Hispanic verse construction. This research allowed us to prove that the poets of the corpus have clearly defined stylistic features. It was also proved that these poets have broad in-depth knowledge of various meters, stanzas and compositions with, at the same time, an “obedient” and transgressive intent in the use of these formal elements. Finally, these poets maintain a systematic dialog with the aesthetic values that have been recognized by the tradition of readers, whether informed or not. This continuous exchange aims at raising them to the level of achievement of the canonical poets. From a formal perspective, it was also proved that the studied poetic texts are better described from the theoretical proposal of the verse with variable accent. Hence, their poetic practices revise the fashion in which the Hispanic verse is constructed and contribute to the validation of Bělič’s theory. In conclusion, both formal and informal analysis have allowed us to ascertain the value of these authors’ poetic proposals and, therefore, the unjustifiable little or no attention given by the national and international critique. On the other hand, the study has provided the possibility to prove that these authors’ poetic works are in general finely elaborated, which supports their presence in the canon. / El objetivo de esta tesis de doctorado es demostrar el valor de las obras poéticas de los autores cubanos contemporáneos Roberto Manzano Díaz (1949), Rafael Almanza Alonso (1957) y Jesús David Curbelo (1965). Estos tres poetas han sido poco estudiados y difundidos por la crítica profesional y académica tanto nacional como internacional. Si bien utilizamos textos poéticos provenientes de diversos poemarios publicados entre los años noventa y las primeras décadas del siglo XXI por estos poetas, la selección del corpus se ha concentrado en los poemarios Synergos (2005) de R. Manzano, HymNos (2014) de R. Almanza y El lobo y el centauro (2001) de J. D. Curbelo. Como marco teórico hemos utilizado en primer lugar la teoría de las influencias poéticas o de las relaciones intra-poéticas de Harold Bloom. Nos hemos servido fundamentalmente de conceptos como “angustia o ansiedad de la influencia”, “lectura errónea”, “mala lectura”, “mala interpretación”, “equívoco poético”, “defensa”, “agon”, “desvío”, “clinamen”, “cocientes revisionistas” y “comparaciones revisoras”. La teoría de las influencias poéticas nos permite comprobar cómo los “poetas posteriores” emulan con los “poetas precursores” canónicos con el objetivo de igualar o superar sus valores estéticos. Es precisamente en esa emulación en la que residen las posibilidades de alcanzar un lugar en el canon y no en otros factores que orbitan en torno al texto poético. En segundo lugar, hemos aplicado a la teoría de Bloom su propia tesis, por lo que hemos llevado a cabo un “desvío” hacia cuestiones formales no priorizadas por Bloom. Hemos investigado por tanto si estos poetas revisan formalmente la construcción del verso español. Para ello, nos hemos valido de la teoría del “verso de acentuación variable” de Oldřich Bělič. Esta teoría pasa revista a los diferentes tipos de versificación en los que se han enmarcado el verso hispano hasta hoy y propone, a partir de un riguroso estudio comparativo con los tipos de versificación en otras doce lenguas, el verso de acentuación variable como un nuevo tipo de versificación para enmarcar el verso hispano. La investigación se complementa con tres anexos. En el primer anexo se expone una breve biografía de los tres autores estudiados; en el segundo, un inventario abierto, puesto que sus obras están aún en evolución, de formas métricas empleadas por ellos y, en el tercer anexo, una antología con sus textos poéticos estudiados en la tesis, más otros textos representativos de las poéticas de estos tres autores. Desde el punto de vista metodológico, la observación de elementos que apuntan a la emulación intra-poética como la selección del léxico, las asociaciones analógicas, la disposición tipográfica, entre otros, nos ha permitido intentar graduar hasta qué punto estos poetas cuentan con un potencial para acceder al canon, cualesquiera que sean las circunstancias en torno al texto poético que se lo han impedido hasta hoy. De ahí que nuestra proposición sea una reestructuración del canon poético cubano contemporáneo y, por consiguiente, una evidente propuesta contra-canónica. Por otra parte, el análisis del aspecto formal de la construcción del verso en estos poetas nos ha posibilitado, en primer lugar, emplear la teoría revisionista de Bloom en el sector formalista de la investigación literaria. Además, nos ha permitido volver a considerar en qué medida se justifica la utilización de las bases teóricas de al menos tres tipos de versificación en el análisis de la construcción del verso en español. Al concluir esta investigación comprobamos que los poetas del corpus tienen unos rasgos estilísticos claramente definidos. Comprobamos también que estos poetas tienen un dominio amplio y profundo de variados metros, estrofas y composiciones con una intención al mismo tiempo “obediente” y transgresora en el empleo de estos elementos formales. Finalmente, estos poetas sostienen un sistemático diálogo con los valores estéticos reconocidos por la tradición de lectores avisados o no. Este constante intercambio tiene como objetivo poder situarse a la altura de las realizaciones de los poetas canónicos. Desde la perspectiva formal, comprobamos también que los textos poéticos estudiados se describen mejor desde la propuesta teórica del verso de acentuación variable. Sus prácticas poéticas revisan así el modo en que se construye el verso español y contribuyen a la validación de la teoría de Bělič. En conclusión, tanto el análisis formal como el no formal nos han permitido comprobar el valor de las propuestas poéticas de estos autores y, por lo tanto, lo injustificado de la poca o ninguna atención por parte de la crítica nacional e internacional. Al contrario, el estudio de sus obras nos ha posibilitado comprobar que se trata de autores cuyas obras poéticas gozan de modo general de una excelente factura, lo que los avala para prevalecer en el canon.
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Memoria y autoficción : la figura del desaparecido en la obra de hijos de militantes políticos en Argentina

Mildenberger, Juan Carlos 03 1900 (has links)
Cette thèse considère l'importance de la mémoire et de l'autofiction dans l'œuvre littéraire et cinématographique des enfants de militants politiques en Argentine pendant les années soixante-dix. L'analyse se concentre sur le documentaire Los rubios (2003) d'Albertina Carri, et sur les romans Los topos (2014) de Féliz Bruzzone et La casa de los conejos (2008) de Laura Alcoba. Ces auteurs, mais aussi d’autres auteurs de la même génération et des enfants de militants, abordent le passé de la dernière dictature (1976-1983) en se concentrant sur le personnage du « disparu ». En même temps, ils deviennent protagonistes de leurs propres histoires. La mémoire de membres de leurs familles et de survivants est nécessaire pour que les auteurs de ces œuvres sachent ce qui est arrivé à leurs parents disparus. L'autofiction devient une nécessité pour pouvoir élaborer leurs narrations, dans lesquelles se confondent la fiction, les faits réels et les données biographiques. L'autofiction des auteurs étudiés ici se distingue de l'autofiction canonique par un pacte de lecture différent. L'analyse tourne autour des concepts de mémoire et d'histoire, ce qui permet de voir la spécificité et la singularité avec laquelle les auteurs abordent le passé. L'œuvre culturelle, littéraire ou cinématographique, se constitue dans ces travaux comme un espace dans lequel le trauma est réélaboré. La remise en question de la mémoire du militantisme, les décisions des parents, la recherche de la propre identité, l'apparition de voix antérieurement ignorées ou peu écoutées sont des aspects qui apparaissent dans ces narrations. À travers leurs œuvres, les enfants de militants et/ou de disparus ont ouvert d'autres voies d'interprétation de la période la plus tragique de l'histoire argentine, en représentant d'autres mémoires et en évoquant un passé sur lequel tout n’a pas encore été dit. / This thesis considers the importance of memory and autofiction in the literary and audiovisual work produced by the children of the 1970´s Argentinian political activists. Our analysis comprises the documentary Los rubios (2003) by Albertina Carri, the novels Los topos (2014) by Félix Bruzzone, and La casa de los conejos (2008) by Laura Alcoba. These authors, along with others from their generation who also had activist parents, reflect on the events that took place during the last Argentinian dictatorship (1976-1983) by focusing on the figure of the desaparecido (the missing person). At the same time, these authors present themselves as the protagonists of their own stories. The memories of family members and of political survivors become an instrumental tool for the authors to understand the fate of their missing parents. For these authors, autofiction becomes necessary if they are to elaborate their narratives, which merge fiction, biographical experiences and historical events. The autofictional work of the authors we study here proposes a different reading contract from the one usually established by canonical autofiction. Our analysis delves into issues related to memory and history, which reveal the specific and original way in which these works consider the past. Cultural, literary or audiovisual works become a space for the working through of historical trauma. These narratives problematize the past, questioning the memory of 1970s political activism, doubting their parents´ decisions, searching for their own identities, and include voices that had been previously ignored. Through their work, the children of political activists and/or missing persons have opened new ways of considering one of the most tragic periods of Argentinian history, representing other memories and recalling a past about which not all has been told. / Esta tesis considera la importancia de la memoria y de la autoficción en la obra literaria y cinematográfica de hijos de militantes políticos de la Argentina de los años setenta. El análisis se centra en el documental Los rubios (2003) de Albertina Carri, y en las novelas Los topos (2014) y La casa de los conejos (2008) de Féliz Bruzzone y Laura Alcoba, respectivamente. Estos autores, junto a otros de la misma generación y también hijos de militantes, abordan el pasado de la última dictadura (1976-1983) centrándose en la figura del desaparecido. Lo hacen, además, como protagonistas de sus propias historias. La memoria de familiares y sobrevivientes resulta necesaria para que los autores de las obras sepan qué ocurrió con sus padres desaparecidos. La autoficción se torna una necesidad para poder elaborar sus narraciones, en las que convergen ficción, hechos reales y datos biográficos. Las autoficciones de los autores estudiados aquí se distinguen de las autoficciones canónicas por el diferente pacto de lectura que en ellas subyace. El análisis gira en torno a los conceptos de memoria e historia, lo cual permite ver la especifidad y singularidad con la que abordan el pasado. La obra cultural, literaria o cinematográfica, se constituye en estos trabajos como un espacio en que se reelabora el trauma. El cuestionamiento a la memoria de la militancia, a las decisiones de los padres, la búsqueda de la propia identidad, la aparición de voces antes ignoradas o poco escuchadas son aspectos que, en mayor o menos medida, son evidentes en estas narraciones. A través de sus obras, los hijos de militantes y/o desaparecidos han abierto otras vías de interpretación del periodo más trágico de la historia argentina, representando otras memorias y evocando un pasado sobre el que todavía no está todo dicho.

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