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Cultures, connaissances et idéologies religieuses à l’école : l’Iran et le Québec face à la laïcité scolaire

Aramipour, Arash 11 1900 (has links)
En croisant divers événements socio-historiques depuis la moitié du XXe siècle dans l’histoire en ce qui concerne la modernisation des sociétés, il est clair qu’une part importante de l’industrialisation avait pu contribuer l’émergence d’une éducation de masse. Certes, l’individu doit fréquenter un milieu académique, afin de pouvoir vivre convenablement dans une société moderne industrialisée. Le développement des écoles primaires, des écoles secondaires et des milieux académiques aux études supérieures avaient permis à l’individu de s’orienter sur le marché du travail. Ainsi, face à la modernisation des sociétés occidentales, la science et des développements scientifiques avaient eu des impacts majeurs sur l’éducation des enfants. Sur l’aspect de la science, l’enseignement de la religion à l’école devient une interrogation aux chercheurs comme Émile Durkheim, le père fondateur de la sociologie; le projet de la laïcisation scolaire en France est le résultat de l’adaptation d’une institution publique aux valeurs d’une société moderne. En analysant les institutions scolaires de deux sociétés, il s’agit d’appréhender comment elles sont en contrastes en ce qui a trait la place de la religion dans la pédagogie : l’Iran et le Québec. La tradition sociologique oblige aux écrivains d’orienter leurs idées par la construction d’une question de recherche, qui repose sur la conjonction de différents paradigmes. / By crossing various socio-historical events since the mid-twentieth century in history through the modernization of societies, it is clear that an important part of industrialization could have contributed to the emergence of mass education. Admittedly, the individual must attend an academic environment in order to be able to live adequately in a modern industrialized society. Thus, faced with the modernization of Western societies, science and scientific developments had major impacts on the education of children. On the aspect of science, the teaching of religion at school becomes an interrogation to researchers like Émile Durkheim, the ''father of sociology''; The project of secularization in France is the result of the adaptation of a public institution to the values ​​of a modern society. In analyzing the educational institutions of two societies, it is a question of apprehending how they are in contrasts concerning the place of religion in the pedagogy: Iran and Quebec. The sociological tradition obliges writers to orient their ideas by constructing a question of research, which is based on the conjunction of different paradigms.
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L’accommodement raisonnable, outil d’égalité face à la diversité religieuse et culturelle au Québec

Bensouda, Halima 11 1900 (has links)
L’accommodement raisonnable, perçu de manière erronée comme un outil octroyant des privilèges particuliers aux communautés ethno religieuses, fût la source d’une atmosphère de malaise social au sein de la communauté québécoise. Face à une immigration récente non occidentale, ayant fortement contribué à la modification du paysage sociétal québécois, un désarroi populaire transformé en « la crise des accommodements » (2006-2007), s’est emparée soudainement d’une partie de la population canadienne – française. Plusieurs questions fondamentales relatives au droit à l’égalité se posent : comment préserver l’identité québécoise si chacun veut faire valoir sa propre culture et religion ? Mais aussi, n’avons-nous pas lutté pour que les droits fondamentaux soient assurés pour tous ? Ce mémoire montre que l’accommodement raisonnable, loin de privilégier les minorités religieuses, est un moyen juridique permettant à tous les citoyens d’accéder à l’égalité et de vivre sans subir de discrimination. La liberté de religion faisant partie des droits fondamentaux garantis par les chartes canadienne et québécoise, doit être protégée en tant que telle. L’accommodement raisonnable révèle une autre dimension de sa fonction : une contribution fondamentale à la réflexion collective sur le vivre - ensemble social, vecteur de l’évolution sociétale. Un équilibre peut être atteint entre les exigences d’un État neutre et le respect des libertés individuelles fondamentales. Ainsi, les choix de la laïcité ouverte et de l’interculturalisme s’inscrivent harmonieusement dans l’esprit des autres valeurs de la société québécoise, laquelle est marquée de part son histoire par des valeurs laïques respectueuses de la diversité culturelle et religieuse. / The concept of reasonable accommodation, erroneously perceived as a means for ethnic and religious minorities to enjoy special privileges, has plunged Quebec society in social unrest. Indeed, recent years non-western-based immigration contributed to changing Quebec society ethnic mix, leading to important social concerns by Quebecers of French Canadian descent and ultimately to the “accommodations crisis” (2006-2007). Such social crisis raises numerous questions: How can we live together with a common identity when each one of us defends his/her religion? And also: have we not fought for those rights to be guaranteed for every person? Far from privileging minority groups, reasonable accommodations are a flexible judicial tool allowing all citizens access to equality and protection against discrimination. As religion is only one of several motives for discrimination, it is erroneous to believe that reasonable accommodations solely concern religious and cultural matter. Nonetheless, religious freedom, a fundamental right guaranteed by the Canada and Quebec charters, should be protected as such. Reasonable accommodations reveal another benefit: they are a key contribution to collective thinking regarding social coexistence and living together, a means to manage Quebec’s pluralism and to facilitate minority integration. But how to accommodate religious minorities while preserving Quebec’s identity, characterized by secular values? Our analysis shows that a balance between neutral state requirements and fundamental individual rights can be reached. Specifically, Quebec’s open secularity and interculturalism, are choices harmoniously blended in other social values: they call for the integration of cultural minorities into society through a common set of cultural values.
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La laïcité en France et au Québec : les trajets historiques vers les commissions Stasi et Bouchard-Taylor

Legault, Guillaume 04 1900 (has links)
Dans ce mémoire, l’auteur part d’un constat : deux commissions sont lancées au Québec et en France dans des contextes similaires d’intense débat social autour de la question de la laïcité. Même si la commission française réserve le rôle principal au concept de laïcité et que la commission québécoise l’examine parmi d’autres concepts, il est évident que la polémique québécoise des accommodements raisonnables en matière sociale et religieuse fait écho au débat du voile en France, les trames de lancement des commissions, une comparaison des concepts de laïcité est ainsi pertinente. Des modèles différents de laïcité des commissions mises en parallèle : une laïcité ouverte mettant davantage l’accent sur la liberté de conscience et permettant le port de signes religieux pour le Rapport Bouchard-Taylor et une laïcité ferme mettant en équilibre la liberté de conscience et l’égalité de traitement avec une nécessité de respect de l’ordre et de la neutralité d’un espace public, alors que le port d’objet religieux ostensibles est exclu de l’école publique pour le Rapport Stasi. Les trajectoires historiques menant à ces commissions permettent de dégager l’importance de moments clés dans la formation de la laïcité : les révolutions, l’installation des idéologies étatiques et l’institutionnalisation par le droit et l’éducation. Ces charnières par leur spécificité nationale contribuent à façonner les laïcités québécoise et française. / The author of this thesis examines two cases, Quebec and France, in which similar issues and debates have propelled state commissions about laïcité. The concept of laïcité, otherwise known as secularism, is the main focus of the Stasi Commission in France and an important one in the Bouchard-Taylor Commission in Quebec. The concept of laïcité is analysed differently in both commission reports. The Bouchard-Taylor report puts forward the concept of « laïcité ouverte » (open secularism) which mainly insists on the promotion of freedom of conscience and allows individuals to wear religious objects. The Stasi Report chooses a firm conception of laïcité which balances freedom of conscience and equality with social order imperatives, putting forward a neutral public space in which public schools should not allow individuals to wear ostensibly visible religious objects. Key moments like revolutions, the installation of state ideologies and the institutionalization of laïcité in the fields of law and education, help us to understand the historical trajectories that have led to the respective apprehensions of secularism. Specific national settings are responsible for the differences in the processes of construction of French and Quebec secularisms.
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La synthèse philosophico-juridique de V.S. Soloviev : élaboration et mise en œuvre d’un cadre théorique

Giocas, Athanasios 08 1900 (has links)
Vladimir S. Soloviev (1853-1900) était un philosophe russe, poète et dissident de la période prérévolutionnaire. Comme celle de beaucoup de ses contemporains prérévolutionnaires russes, la pensée de Soloviev fut constamment sollicitée par la réfection imminente de l’État russe dans un futur très proche. Dans le contexte de cette époque, un examen des fondements théoriques du système juridique était peut-être inévitable. Néanmoins, dans la pensée russe, c’est seulement avec Soloviev que le droit cessa d’être un sujet spécialisé dans le domaine de l’administration, ne concernant guère les grands enjeux de société, et devint intimement lié au développement même de la philosophie morale et sociale. Au sein du projet philosophique systématique que propose Soloviev, le concept de l’unitotalité est envahissant, en termes épistémologique et social. Une pierre d’assise également fondamentale est le concept philosophico-religieux de la divino-humanité, à travers lequel la source de la dignité humaine est ultimement exprimée. La philosophie juridique de Soloviev, contenue pour l’essentiel dans un traité intitulé La Justification du bien : essai de philosophie morale (1897), a pour principal objet l’interaction entre le droit et la morale. Alors que l’objet et la portée du droit peuvent être directement déduits de principes moraux, le droit ne peut pas coïncider exactement avec la morale, compte tenu de son caractère plus limité, fini et coercitif. Pour Soloviev, le droit doit imposer un niveau minimum du bien en fournissant les conditions de base (par ex. la primauté du droit, le droit à une existence digne, la liberté de conscience) pour le libre développement des facultés humaines sans transposer directement en lui la plénitude complète du bien. La principale motivation de Soloviev réside dans la prémisse théologique sous-jacente que le bien ne peut jamais être complètement subsumé sauf par un acte conscient de liberté personnelle. En tandem, Soloviev souligne le rôle progressiste de l’État pour favoriser le libre perfectionnement humain. En tant que tel, Soloviev nous fournit certaines voies innovatrices dans le façonnement de la relation tant théorique que pratique entre le droit et la religion. À l’encontre d’un compromis entre objets, c’est-à-dire un arrangement de type interculturel situé entre fragmentation culturelle (multiculturalisme idéologique) et assimilation antireligieuse (laïcité militante), l’analyse de Soloviev présente la nécessité d’une conciliation temporelle, dans une perspective historique beaucoup plus large, où la laïcité est considérée non pas comme une finalité ontologique en soi, figée dans le temps, mais comme un moyen au service d’une destinée humaine en cours d’actualisation. Le cadre philosophico-juridique de Soloviev peut être utilement mis en dialogue avec des auteurs contemporains comme Stephen L. Carter, Charles Taylor, John Witte Jr, Ronald Dworkin et Jürgen Habermas. La contribution potentielle de Soloviev sur la place de la religion dans la société russe contemporaine est également mentionnée, avec un accent particulier sur le réexamen critique de l’héritage durable de la notion byzantine de la symphonie entre l’Église et l’État. Enfin, une théorie du fédéralisme inspirée par Soloviev est développée en appliquant, sur une base comparative, des avancées théoriques dans le domaine de l’histoire juridique global à l’évolution constitutionnelle du Canada et d’Israël. / Vladimir S. Soloviev (1853-1900) was a prerevolutionary Russian philosopher, poet and dissident. Like that of many of his contemporaries in prerevolutionary Russia, Soloviev’s thought was constantly prompted by the impending future remaking of the Russian state. Against this backdrop, a consideration of the foundations of the legal system may have been inevitable. It was nonetheless with Soloviev that law in Russian thought ceases to be a specialty subject matter in the area of administration, disconnected from wider societal issues, and becomes inextricably linked to social and moral philosophy. Within Soloviev’s larger systematic philosophical project, the concept of all-unity is pervasive, both in its epistemological and social dimensions. An equally fundamental cornerstone of Soloviev’s thought is the concept of Godmanhood, through which the source of human dignity is ultimately expressed. Soloviev’s legal philosophy, for the most part contained in a treatise entitled The Justification of the Good: An Essay on Moral Philosophy (1897), is primarily concerned with the interplay between law and morality. While the object and scope of law can be directly deduced from moral principles, law cannot exactly coincide with morality given its limited, finite and compulsory nature. For Soloviev, law should enforce a minimum level of good in providing the basic conditions (e.g. rule of law, right to a dignified existence, freedom of conscience) for the free development of human faculties, without directly transposing into itself the complete fullness of the good. Soloviev’s primary motivation lies in the underlying theological premise that the good can never be fully subsumed except as a conscious act of personal freedom. In tandem, Soloviev emphasizes the progressive role of the state in liberally furthering human development. As such, Soloviev provides certain innovative pathways in working out the practical and theoretical relationship between law and religion. Unlike a compromise between objects, that is to say an intercultural type of arrangement lying somewhere between cultural fragmentation (ideological multiculturalism) and anti-religious assimilation (militant secularism), Soloviev presents us with the need for a temporal reconciliation, in the context of a much wider historical perspective, where secularism is not an ontologically crystallized finality as such, but part of the means with which the human destiny in the process of being actualized can be facilitated. Soloviev’s legal philosophical framework can be fruitfully placed in dialogue with contemporary authors such as Stephen L. Carter, Charles Taylor, John Witte Jr., Ronald Dworkin and Jürgen Habermas. Soloviev’s potential contribution to the place of religion in contemporary Russian society is also noted, with particular emphasis on critically reassessing the enduring legacy of the Byzantine notion of Church-State symphony. Finally, a theory of federalism inspired by Soloviev is developed based on comparatively applying theoretical advances in the field of global legal history to the constitutional evolution of Canada and Israel.
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L'expression de croyances religieuses dans l'enseignement public : étude comparative France-Pologne / The Expression of Religious Beliefs in Public Teaching : A Comparative Study between France and Poland

Urbanski, Sébastien 26 June 2012 (has links)
Ce travail a pour but d'identifier et d'expliquer l'expression de croyances, notamment religieuses, dans l'enseignement public français et polonais. D'après le dictionnaire Littré, l'« enseignement public » est l'« enseignement que donne l'État ». Si l'on suit cette définition, alors les croyances dont il est question sont celles qui sont exprimées par les personnes chargées de concevoir les programmes scolaires, par les auteurs de manuels scolaires, par les professeurs, etc. La focale sera mise sur l'enseignement (historique, littéraire…) relatif aux religions, parce que c'est là que des croyances religieuses sont a priori le plus susceptibles d'être exprimées. Une distinction majeure proposée est celle entre croyances collectives et croyances personnelles. La France et la Pologne sont des pays très différents, mais des points communs sont repérables. En particulier, dans les deux pays en question, il arrive que des croyances exprimées dans l'enseignement public interfèrent arbitrairement avec certaines croyances que peuvent avoir les élèves – même si cette interférence arbitraire semble moindre en France qu'en Pologne. Finalement, notre étude voudrait établir que l'expression de croyances personnelles ou collectives dans l'enseignement public engendre parfois de la domination. L'originalité la plus nette de cette thèse est probablement de chercher à mettre en évidence la pertinence empirique d'analyses conceptuelles proposées par des philosophes sociaux que l'on pourrait qualifier de « néo-holistes » (Margaret Gilbert, Raimo Tuomela, Philip Pettit) et dont le souci commun est de reformuler avec davantage de rigueur analytique certaines intuitions de Durkheim. / This work aims to identify and to explain the expression of beliefs, especially religious ones, in public teaching. According to the Littré dictionary, public teaching (enseignement public) is the teaching given by the state. If we follow this definition, then the beliefs in question are those which are expressed by people in charge of conceiving school programs, by textbook authors, by teachers, etc. Focus will be placed on the (historical, literary…) teaching about religions, because religious beliefs are a priori the most likely to be expressed there. A key distinction will be drawn between collective beliefs and personal beliefs. France and Poland are two very different countries, but commonalities can be identified. Specifically, in both countries, it happens that beliefs expressed in public teaching arbitrarily interfere with beliefs which pupils could hold – although this arbitrary interference seems lesser in France than in Poland. Finally, our study seeks to show that the expression of personal or collective beliefs in public teaching sometimes engender domination. One original contribution of this work lies in trying to display the empirical relevance of conceptual analyses which could be qualified as “neo-holists” (Margaret Gilbert, Raimo Tuomela, Philip Pettit) and for which a common concern is to reformulate with more analytical rigor some of Durkheim's intuitions.
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Poétique et Politique dans la pensée de Stanislas Breton / Poetics and Politics in the thinking of Stanislas Breton

Sawadogo, Gustave 03 December 2014 (has links)
La problématique de cette thèse : la conjonction, dans l'oeuvre du philosophe chrétien Stanislas Breton, entre poétique et politique, dans une même visée de l'humain en tant qu'humain et de son rapport au monde. Ce rapport consiste en un habiter-dans le monde : habiter-avec-autrui et habiter-ensemble. On se demande si l'homme - en dépit de son humaine condition marquée par la double difficulté d'être et de dire - est à même, et de quelle manière, d'habiter poétique et politiquement le monde en se faisant ce qu'il a à être, et en se donnant le monde dans lequel il habite. Il y arrive en vertu de ce germe de non-être qui, au fond de son âme, l'ouvre à une liberté créatrice. Il y parvient également en sachant conjuguer l'« être-dans » et l'« être-vers », ce double mode de notre être-au-monde ; autrement dit, en pratiquant la « fonction-ménique » et la « fonction-méta » qui culminent en une fonction mystique de la Croix. Dans cette quête permanente de sens, il n'oublie pas que, selon Breton, « Là où le coeur demeure est plus large, et toujours en-deçà des murs. » Ou encore, que « Faire le bien, ce n'est pas seulement donner quelque chose mais faire qu'il y ait quelqu'un et quelque chose dans le don qui éveille à la vie ». / The problematic of this thesis: In the work of the Christian philosopher, Stanislas Breton, the conjunction between poetics and politics in the purpose of the life of man as a human being and his relationship with the world. This relationship consists of living in the world, living with the world and living together in the world. One wonders if man - in spite of his human condition, marked by the double difficulty of being and communicating - is capable, and in what manner, of living poetically and politically in the world, doing what he must to be and assuming the world in which he lives. He manages that by virtue of this germ of non-being which, deep in his soul, opens to him the possibility of creative liberty. He is also capable of knowing how to combine "being in" and "being towards"; this double system of our "being for the world", in other words practising the "function-ménique" and the "function-méta" which culminates in the mystical function of the Cross. In this permanent quest for meaning, according to Breton, he does not forget that "There where the heart dwells is greater and always beyond walls." Or again, that "Doing good is not only giving something, but giving in such a way that there is someone or something in the gift which awakens to life".
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O princípio da laicidade na Constituição Federal de 1988 / Principle of laicity set forth in 1988 constitution

Zylbersztajn, Joana 21 May 2012 (has links)
O debate sobre a laicidade do Estado sempre esteve presente em diversos âmbitos de discussão, políticos, sociais e acadêmicos. Não obstante, se faz necessário o fortalecimento dos recursos argumentativos para lidar com a questão de forma concreta. A constituição federal de 1988 não declara expressamente que o Brasil é laico, mas traz de forma consolidada todos os elementos que formam este entendimento. Isso se dá pela caracterização do Estado democrático garantidor da igualdade e da liberdade inclusive religiosa de seus cidadãos. Soma-se a isso a determinação constitucional de separação institucional entre o Estado e a religião. Nesta perspectiva, este trabalho se propõe a fazer uma análise da proteção jurídico-constitucional do princípio da laicidade no Brasil e seus desdobramentos práticos. A efetivação do princípio da laicidade é um processo em construção e, deste modo, é necessário o amadurecimento democrático e esforço positivo das instituições públicas para sua realização. É feito inicialmente o levantamento da construção histórica da laicidade no país e a tentativa de organizar alguns conceitos teóricos sobre o tema, na perspectiva de alinhar entendimentos usados durante o trabalho. Parte-se então para a análise do caráter constitucional do princípio da laicidade e os significados decorrentes desse diagnóstico. Sendo um tema complexo, diretamente relacionado aos parâmetros sociais que compõe o Estado brasileiro, é necessário discutir os aspectos democráticos importantes para a concretização do princípio da laicidade, abordando a dicotomia entre democracia e constitucionalismo, bem como algumas considerações sobre a presença religiosa na esfera pública. Por fim, considerando justamente o processo em construção para consolidação da laicidade, são analisados casos concretos referentes ao tema, visando à compreensão do grau atual de efetivação do princípio no país e os desafios que se impõem para a garantia do preceito constitucional. / The debate over the laicity (from the French concept laïcité) of the state has always been present in the political, social and academic arenas. Nevertheless, it is necessary to strengthen the analytic resources to concretely deal with this issue. The federal constitution of 1988 does not expressly state that Brazil is a laic state, but, all-together, one can read all the elements that lead to such an understanding. This is the effect of the characterization of the democratic state that guarantees equality and freedom - including the religious freedom- of its citizens. The constitutional determination of an institutional separation between state and religion is also another factor. In this perspective, this thesis aims to make an analysis of the legal and constitutional protection of the principle of laicity in Brazil and its practical consequences. The implementation of the principle of laicity is an ongoing process and thus the democratic maturing and conscious effort of the public institutions are necessary. The thesis begins with the historical development of laicity in the country as well as of some theoretical concepts on the subject. Later, the constitutional character of the principle of laicity and the meanings arising from this diagnosis are analyzed. Relevant democratic aspects for the implementation of the principle of laicity, regarding the dichotomy between democracy and constitutionalism, as well as some thoughts on the religious presence in the public sphere could not be avoided, since the issue is a complex one, directly related to the social parameters that make up the Brazilian State. Finally, considering the ongoing process for the consolidation of laicity, the concrete cases on the subject are also scrutinized, aiming to understand the actual degree of realization of the principle in the country and the challenges imposed to guarantee the constitutional guideline.
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Les Etats-Unis, la Turquie et l’UE. Du soutien américain aux ambitions européennes d’Ankara au délitement de la relation triangulaire (1993-2017) / The US, Turkey, and the EU. From the American support for Turkey’s bid to join the EU to a triangular relation on the verge of collapse(1993-2017)

Magalhaes, Margaux 11 July 2019 (has links)
Depuis la fin de la guerre froide, les Etats-Unis militent en faveur de l’intégration de la Turquie à l’UE et deviennent, sous la présidence Clinton, les plus ardents défenseurs de la cause turque, avant même Ankara. Comment expliquer ce positionnement de la superpuissance mondiale, elle qui n’appartient pourtant pas au continent européen et ne dispose pas d’un pouvoir décisionnel dans l’UE ? Cet activisme s’explique par la mutation des enjeux et des défis au XXIe siècle : résurgence éventuelle de la Russie, influence iranienne dans le monde musulman, montée de la menace djihadiste ou « choc des civilisations » prédit par Huntington. Pour y faire face, Washington regarde l’alliance de l’UE chrétienne à la Turquie musulmane comme une stratégie préventive : l’adhésion d’Ankara, outre son aspect symbolique qui permettrait de contrer la rhétorique des djihadistes tout en signalant aux musulmans vivant en Europe qu’ils ne sont pas étrangers au continent, ferait de la Turquie un modèle pour l’ensemble de son voisinage et une force de projection occidentale dans le monde musulman. L’UE, grâce à son pouvoir normatif, est indispensable à cette fin : sans elle, la démocratie ainsi que le libéralisme politique et économique pourraient-ils s’implanter en terre d’Islam ? Sans elle, la Turquie restera-t-elle un Etat laïc ancré à l’Occident ? Les attentats du 11 septembre 2001 propulsent cette stratégie au sommet des priorités des administrations Bush : elle s’intègre désormais dans leur Freedom agenda. Si la survenue des printemps arabes en 2011 aurait dû rendre indispensable l’ancrage de la Turquie à l’UE afin de s’assurer qu’elle puisse influencer les événements en propageant les valeurs occidentales auprès de ces populations en quête de démocratie, l’Amérique cesse pourtant progressivement son militantisme envers une adhésion qui devient chimérique. Au lieu de souder l’alliance entre les Etats-Unis, la Turquie et l’UE, les printemps arabes auront fissuré les fondations déjà écornées de ce partenariat, si bien qu’à la fin du mandat d’Obama, la relation triangulaire est déliquescente. / In the aftermath of the Cold War, the US has asserted a strong lobbying in favor of Turkey’s accession to the EU, and became the first supporter of this integration, before Ankara itself. How could we explain the US involvement since it doesn’t belong to the European continent? The new world order brought new challenges for the 21st century. Therefore, such an integration was perceived as a preventive strategy by Washington to deter upcoming threats facing the West, such as Russian resurgence, Iranian influence in the Muslim world, jihadism, or the « clash of civilizations ». Indeed, it would help bridging the growing gap between the West and the Muslim world by uniting under the same roof Christian countries within the EU, and the former Caliphate. It would also enable Turkey to be a Western projection force in its neighborhood — stretching from the Balkans to the Middle East — by becoming a model. To do so, Turkey has to become more liberal politically and economically. However, would it be possible without European prospects? From a US perspective, the normative power of the EU is necessary to see Turkey succeeding in proving that Islam, secularism and democracy are compatible and to spread Western values in its neighborhood while anchoring Ankara firmly in the West. 9/11 reinforced the significance of this strategy, which got integrated into the Freedom agenda and the global war on terror. Therefore, supporting Ankara’s accession became a top priority of Bush administrations. Barack Obama maintained this policy, even though the US lobbying slowed down, since it appeared this integration might never occur. The Arab awakening could have been the perfect occasion to bring closer together Turkey and the EU so that Ankara could become the model Arabs were calling for. However, instead of strengthening the US-Turkey-EU relations, those events damaged their alliance, which was already strained. At the end of Obama’s presidency, this triangular relation seemed on the verge to collapse.
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Le mouvement laïque de langue française : laïcité et identité québécoise dans les années 1960

Tessier, Nicolas January 2008 (has links) (PDF)
Le Mouvement laïque de langue française (MLF), dont la période d'activité est de 1961 à 1969, est un groupe ayant fait la promotion de la laïcité au Québec durant la Révolution tranquille. Le MLF est issu de la confluence de mouvements dénonçant le cléricalisme sous le régime de Maurice Duplessis, d'une volonté de réformer le système d'éducation, ainsi que d'une prise de conscience du pluralisme croissant de la société québécoise. Concentrant ses activités principalement dans le domaine scolaire, le MLF a notamment fait la promotion à la commission Parent (instituée quelques semaines avant sa fondation) de l'urgence de réformer le système scolaire vers une éducation divisée selon la langue plutôt que selon la religion et vers un secteur neutre, respectueux des libertés de conscience des minorités. Cette entreprise s'est avérée une demi-victoire pour le MLF, qui a vu les minorités religieuses et non confessionnelles être intégrées à un réseau demeuré confessionnel, quoique plus ouvert et tolérant sur le plan religieux. Toutefois, l'évolution du MLF traduit la manière dont s'est laïcisé le Québec lors de la Révolution tranquille. Son arrivée sur la scène publique illustre une prise de conscience du pluralisme de la société, que les institutions publiques, en pleine réforme, doivent prendre en considération. Par la suite, il devient plus radical, adopte une conception plus sociale, plus identitaire de la laïcité, ce qui l'amène graduellement à subsumer son combat dans la question nationale du Québec. Somme toute, le MLF, qui s'identifie ouvertement à la culture francophone, témoigne d'une mutation de l'identité québécoise, qui se dissocie de ses références religieuses pour s'axer davantage sur une identité linguistique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Histoire, Québec, Laïcité, Identité, Révolution tranquille, 1960-1969.
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Neutralité de l'État et régulation de la diversité religieuse au Québec et en France

Koussens, David 02 1900 (has links) (PDF)
Cette thèse a pour objectif d'éclairer les types dominants de la neutralité et leurs évolutions dans les modèles étatiques québécois et français relatifs à la régulation de l'expression individuelle et collective du religieux dans la sphère publique. Pour cela, elle propose une modélisation abstraite des types de neutralité décelables dans la gouvernance publique. Il s'agit de la neutralité confessionnelle qui renvoie au strict traitement égalitaire des diverses confessions religieuses, ainsi que de la neutralité référentielle qui correspond à position ne référant pas à une conception du bien présente dans la société civile dans la régulation de la diversité religieuse. La neutralité, qui est l'un des principes constitutifs de la laïcité, est appréhendée en tant qu'indicateur des modalités de régulation de la diversité religieuse au Québec et en France. Au regard du type de neutralité qui ressort de la gouvernance étatique et du poids qu'il a sur l'articulation des autres principes constitutifs de la laïcité (égalité, liberté de conscience et de religion, séparation des Églises et de l'État), la thèse s'attache à dégager la figure de laïcité émergeant dans le traitement de tel ou tel fait social. Dans ce contexte, l'analyse s'attache à identifier dans les deux sociétés les corrélations ou les divergences entre les figures de laïcités décelables dans la « laïcité narrative », c'est-à-dire dans une forme de discours idéalisé sur la laïcité, et dans la « laïcité juridique » qui correspond aux aménagements politiques et juridiques de la laïcité. La neutralité étant une exigence normative qui s'impose à l'État en limitant les raisons qu'il peut invoquer pour justifier les politiques qu'il adopte, les analyses présentées s'appuient sur des sources primaires qui ont toutes trait à l'action étatique. Pour cela, les analyses s'appuient sur les législations, les jurisprudences et les rapports publics relatifs à la régulation de la diversité religieuse dans ces deux sociétés. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : laïcité, neutralité, liberté de conscience et de religion, séparation des Églises et de l'État, diversité religieuse, Québec, France

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