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La disculpation platonicienne : étude sur la signification et l'évolution du concept de faute involontaire dans l’œuvre de Platon

Gilbert Tremblay, Ugo 08 1900 (has links)
La présente étude se propose de dégager les significations successives qu’emprunte le fameux paradoxe socratique du mal involontaire dans l’œuvre de Platon. Pour ce faire, notre propos se déclinera en trois principaux développements : 1) le premier consistera à clarifier le sens que recouvraient les catégories du volontaire et de l’involontaire dans l’Antiquité, de manière à éviter toute confusion anachronique avec les acceptions modernes de ces mêmes notions ; 2) le second tâchera de mettre au jour le postulat anthropologique qui fonde chez Platon l’idée qu’aucun homme ne saurait agir méchamment de son plein gré ; 3) le troisième exposera à tour de rôle les trois grands dispositifs de disculpation qu’élabore Platon dans son œuvre : les dispositifs de l’âme ignorante, de l’âme renversée et de l’âme malade. Nous montrerons ainsi comment Platon, à rebours de la théodicée chrétienne classique, cherche à blanchir l’homme de toute implication morale véritable dans la genèse causale de ses « mauvaises » actions. / This study intends to describe the successive meanings borrowed by the famous Socratic paradox of involuntary evil in the work of Plato. For that purpose, our ideas we will developed under three main themes: 1) the first will be to clarify the meaning covered by the voluntary and involuntary categories in ancient times, in order to avoid any anachronistic confusion with the modern meanings of these same concepts; 2) the second will seek to bring to light the anthropological postulate underlying Plato’s idea that no one could do wrong on his own purpose; 3) the third will in turn expose the three major exculpation devices developed by Plato in his work: the ignorant soul devices, of the inverted soul and of the diseased soul. We will thus show how Plato, contrary to the classic Christian theodicy, seeks to absolve human being from any real moral involvement in the causal genesis of his ‘‘bad’’ actions.
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Les différends anthropologiques dans la séparation entre catholiques et protestants : approches historique, systématique et oecuménique / The anthropological disagreements in the separation between catholics and protestants : historical, systematic and oecumenical approach

Nivoit, Maryvonne 09 September 2015 (has links)
Une question demeure récurrente : les divisions qui subsistent depuis le XVIè siècle entre Catholiques, Luthériens et Réformés sont-elles autant d’ordre anthropologique que théologique ? Cette problématique paraissant pouvoir être soutenue, il convenait alors de déterminer les différends anthropologiques, de les analyser et de se demander s’ils sont une entrave à la Κοινωνία. L’étude de la situation au XVIè siècle a permis de conclure que les concepts anthropologiques portés par une philosophie existentielle ont joué un rôle important dans la rupture au sein de l’Église d’Occident. Le retour sur la pensée de Pannenberg, Moltmann, Rahner, théologiens de trois confessions différentes, autorise à dire qu’au XXè siècle la vision de l’homme a toujours une incidence sur les concepts théologiques, mais les différences sont de moins en moins séparatrices et deviennent souvent des dons à partager. L’analyse de dialogues œcuméniques a mis en évidence que les différends anthropothéologiques ont été partiellement réconciliés et font l’objet d’accords, voire d’une déclaration commune sur la Doctrine de la Justification. Aujourd’hui, un défi reste à relever celui d’une déclaration sur le Ministère en vue du partage à la même table eucharistique. Une démarche de consensus différencié serait une aide à la recherche d’une pleine communion. / An issue has been ever recurring : are the discords which have been going on since sixteenth century between Catholics, Lutherans, Calvinists as much anthropological as theological ? As this question can be supported it seems suitable to determine these anthropological disagreements, analyse them and wonder whether or not they are obstacle to the Κοινωνία. A study concerning the situation during the XVIth century has allowed to conclude that the anthropological concepts conveyed by an existential philosophy have played a mojor role in the severing within the Western Church. The return on the thoughts developed by Pannenberg, Moltmann and Rahner, theologians of three different confessions, allows us to tell that in the XXth. century man’s vision has always an incidence on the theological concepts but are less and less separative and are often gifts to be shared. The analysis of ecumenical dialogues have clearly shown that theanthropological disagreements have been partly reconciled and are now subject to consensus, even a joint declaration on the doctrine of justification. Today we have to take up a challenge about a declaration on the ministry in order to share the body of Christ at the same table. A differing consensus method could be a help to find a complete communion.
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Penser le mal moral, une généalogie de la volonté moderne / Thought about evil a genealogy of modern will

Tauty, Anne-Charlotte 20 September 2016 (has links)
Le mal est par sa nature un scandale car il se définit par ce qui ne devrait pas être à l’opposé du bien qui se présente comme ce qui doit être. Cette affirmation, qui relève de la tautologie, marque la réalité éprouvée face au mal. Il a d’abord été une évidence criante : comment réagir face aux maux de l’existence humaine ? Ainsi le mal est inscrit dans l’histoire de la pensée et commence pour notre travail avec le platonisme. Avant la conceptualisation platonicienne, le mal est une donnée factuelle de la vie avec laquelle il faut composer. Les figures divines sont ambivalentes à l’image des hommes et alternent vices et vertus. Platon postule une entité divine unique, omnisciente, omnipotente et bienveillante. Ce dieu devient intelligence, calcul et raison : le monde devient une création parfaite, belle et ordonnée et non plus le théâtre d’un affrontement entre les diverses passions des dieux. Le mal se transforme alors en un enjeu métaphysique : comment concilier cette perfection avec l’émergence du mal ? Il faut désormais expliquer et tenter de justifier la violence et les crimes. S’il est possible de proposer une théodicée qui rende le mal physique et métaphysique nécessaire, légitimer la méchanceté se révèle plus ardu. Les penseurs du platonisme, du néoplatonisme et du stoïcisme vont tenter d’apporter une première réponse au mal moral. Dans leur sillage, une rupture conceptuelle advient et révolutionne le concept : le christianisme invente le péché. En devenant péché, le mal se retrouve désormais sous la responsabilité de l’homme coupable. Le mal entre dans le giron de la liberté : il est voulu, consenti. A la suite des penseurs chrétiens, certains philosophes continueront ce travail d’élucidation de la volonté du mal. L’objectif est de retracer l’histoire de ces systèmes conceptuels qui s’entremêlent et se répondent les uns aux autres. Le mal moral se construit dans cette progression qui a des conséquences anthropologiques importantes : l’homme se pense à travers le mal. La méchanceté n’est donc pas seulement un problème à résoudre, elle devient le paradigme à travers lequel définir l’homme. Notre problématique est de montrer comment la question de la méchanceté est à la base du problème de la morale et comment elle conditionne notre représentation de la nature de la volonté humaine. Cette évolution s’est nouée lors d’étapes clés de la pensée philosophique. En effet, si dans toute philosophie morale, le concept du mal est évoqué, il n’est pas en général le centre de l’argumentaire. Le premier moment est celui de la pensée antique. Platon fait naître Dieu et le monde dans l’histoire des concepts puis se retrouve face l’énigme de nos crimes. La théodicée mise en place et qui sera reprise par Plotin et les Stoïciens ne cessera de nier l’existence d’un instinct pervers. Le mal voulu est une absurdité. L’irruption de la faute chrétienne bouleverse la donne. Saint Augustin en sera le théoricien le plus investi affectivement. Ayant expérimenté une double conversion dans sa vie spirituelle, il théorise une méchanceté issue de notre faiblesse, de notre faute première. Le mal est voulu car il n’est plus possible de vouloir autre chose. Saint Anselme reprend également le dogme de la chute mais lui apporte une dimension logique et sémantique en proposant une méchanceté égoïste. Le mal est certes voulu mais par dédain du bien. Notre dernière étape est kantienne. Le mal radical est le concept qui permet enfin de penser une volonté normale qui voudrait le mal simplement parce qu’elle a en elle cette possibilité et la liberté fondamentale de le choisir. Nous pourrons donc constater le chemin parcouru entre notre point de départ et notre point d’arrivée et comment cette problématisation du mal fait apparaître une généalogie de la volonté. Au fil de la pensée, elle passe de l’ombre à la lumière, n’étant jamais aussi présente que quand elle se retrouve confrontée aux obstacles. Penser le mal moral c’est faire l’archéologie de la volonté. / Evil provokes scandal by nature because it is what it should not be unlike good which is what it has to be. This tautological assertion expresses our feelings toward evil. It was first perfectly obvious : how must we face human pain ? Evil is a part of thinking’s history : our study starts with Platonism. Before his work, evil is just a fact of life you have to live with. The gods of Antiquity are like men : good or bad. The God of Plato is the one, omniscient, all-powerful and kindly. God is just intelligence, calculation and reason : the world he created is beautiful, ordered and perfect and it is no longer the place for the vices of ancient gods. Evils turns into a metaphysical issue : how can be the world perfect despite evil ? We have now to explain, to justify violence and crimes. Theodicy can justify pain and illness. It does not work with wickedness. Platonism, Neo-Platonism and Stoicism tried to answer this question. Following them, a conceptual break happens : Christendom invented sin. When evil became sin, man became liable and guilty. It is now a matter of liberty : man wants evil. After them, some philosophers will keep to work on the subject of the bad will. Our purpose is to find the story of these concepts and to connect thoughts between themselves. Evil has been made by this story and brings many anthropological consequences : man understands himself through evil. Wickedness is not just a matter to solve, wickedness becomes a way to define mankind. We want to show that wickedness issue is the foundations of morality and how it makes us see and think human will. Several stages occurred in this philosophical evolution. Every ethic deals with evil, not all put it at the heart of their system. Our first stage is Antiquity. Plato brings the ideas of God and perfect world in philosophy but faces the riddle of our crimes. His theodicy adopted by Plotinus and Stoics will always refuse pervert instinct in man. A man who want evil is nonsense. Christian sin appearance changes everything. Augustine will be his strongest defender. By living a double spiritual conversion, he understands wickedness as weakness due to original sin. Man want evil because he is no longer able to will something else. Anselmus follows the dogma of the fall but puts logical and semantic dimension in it and presents a self-interested wickedness. Man wants evil not for itself, man does not want enough good. Our last stage is Kant. Radical will is the first concept which allows to conceive a normal bad will which would evil just because it is one of his options and it has the liberty to do so. We can see the difference between our starting point and our arrival. We see now how the concept of will has grew up and changed. Little by little, will comes from darkness to light. The more will faces obstacles, the more it is obvious. Thinking on evil is the archaeology of the will.
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Le discours politique et ses sources doctrinales dans les chroniques florentines du XIVe siècle / The political discourse and its doctrinal sources in Fourteenth century Florentine chronicles

Valligny, Anne-Claire 23 March 2013 (has links)
Cette étude porte sur un corpus de chroniques du XIVe siècle qui comprend les trois principaux textes historiographiques florentins en langue vulgaire de cette période – Cronica delle cose occorrenti ne’ tempi suoi de Dino Compagni, Nuova Cronica de Giovanni Villani et Cronaca fiorentina de Marchionne di Coppo Stefani – et se fixe pour objet l’analyse des principaux concepts employés pour décrire le fonctionnement de la cité et ses enjeux, ainsi que l’identification des sources présentes dans les chroniques. L’analyse prend en compte à la fois l’écriture du fait politique et la valeur de celui-ci dans l’élaboration du discours de la cité.Pour mettre en évidence ce qui transparaît des principaux rouages politiques de la cité, les textes du corpus sont abordés selon les trois axes suivants : les rapports entre cité et citoyens dans le contexte de l’affirmation de la souveraineté du Comune et en regard des notions d’unité et de division ; la question de la liberté à Florence, ses principes fondamentaux, ses formes et ses représentations, par opposition à la tyrannie ; les liens entre cité céleste et cité des hommes à partir de l’analyse de la réception des signes célestes et des notions de providence, fortune et libre arbitre. L’approche retenue s’arrête sur les enjeux et les représentations propres à chacun de ces axes.De cette analyse conceptuelle il ressort que les trois sources principales du discours de la cité sont les auteurs de l’Antiquité gréco-romaine, la théologie chrétienne et le droit. On trouve également des sources contemporaines des chroniqueurs : textes officiels et documents produits par la cité, auteurs de référence pour la période comme Dante Alighieri. / This study focuses on a corpus of chronicles of the Fourteenth century consisting in three main historiographical Florentine texts written in vernacular in this period, namely Cronica delle cose occorrenti ne’ tempi suoi by Dino Compagni, Nuova Cronica by Giovanni Villani and Cronaca fiorentina by Marchionne di Coppo Stefani. It aims at analyzing the principal concepts describing the running of the city and its stakes, as well as identifying the sources present in these chronicles. The analysis takes in account both the operation of writing the political experience and its value in elaborating the discourse on the city.To highlight what can be seen from the main aspects of political machinery in the city, the approach to the texts is threefold : the connections between city and citizens both in the context of the Comune’s increasing sovereignty and in the light of the concepts of unity and division ; the question of freedom in Florence, its fundamental principles, its forms and representations, in opposition to tyranny ; the links between the celestial city and the city of men based on the analysis of the reading of celestial omens and the concepts of Providence, Fortune and Free Will. The approach chosen concentrates on the stakes and representations peculiar to each of those subjects.From this conceptual analysis it emerges that the three main sources to the discourse on the city are the authors of Classical Antiquity, Christian Theology and Law. Contemporary sources of the chroniclers also can be found : official texts and documents produced by the city, noted authors in the period as, for instance, Dante Alighieri.
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Métaéthique de la croyance : une défense pragmatiste de la responsabilité et de l’autonomie mentale

Montplaisir, Samuel 08 1900 (has links)
No description available.
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La responsabilité criminelle a-t-elle un avenir? : enquête sur les fondements philosophiques, juridiques et psychologiques de l’imputabilité pénale à l’ère des neurosciences

Gilbert Tremblay, Ugo 04 1900 (has links)
La présente thèse a une vocation à la fois descriptive et prospective. Descriptive, d’une part, en ce qu’elle entend mettre au jour les fondements juridiques actuels de la responsabilité criminelle tout en déterminant l’étendue des rapports qu’ils entretiennent avec la notion philosophique de libre arbitre. Prospective, d’autre part, en ce qu’elle entend évaluer les chances de survie de ces fondements à la lumière de la nouvelle vision de l’homme qui se dégage des avancées récentes en neurosciences. Nous aurons pour ce faire à soupeser la vraisemblance de deux grandes prophéties concernant l’avenir de la responsabilité criminelle : l’une, que nous qualifierons de « scientiste », prétend que le concept juridique actuel de responsabilité criminelle est voué à tomber en désuétude en raison de son incompatibilité avec notre connaissance du cerveau. L’autre, que nous qualifierons de « légitimiste », prétend que c’est plutôt en modifiant les intuitions populaires en matière de responsabilité que les neurosciences bouleverseront l’édifice pénal. Dans les deux cas, nous découvrirons qu’une erreur de diagnostic quant au fonctionnement juridique et psychologique des jugements de responsabilité conduit à une erreur de pronostic. / This doctoral dissertation is both descriptive and prospective. Descriptive, on the one hand, by seeking to identify the current legal foundations of criminal responsibility and by trying to determinate the extent of their relationship with the philosophical notion of free will. Prospective, on the other hand, by seeking to evaluate the chances of survival of these foundations in the light of the new vision of man that emanates from advances in neuroscience. To this end, two great prophecies concerning the future of criminal responsibility will have to be weighed: one, which we will call ‘‘scientist’’, claims that the current legal concept of criminal responsibility is incompatible with what neuroscience teaches us and is, therefore, destined to fall into disuse. The other, which we will call ‘‘legitimist’’, claims that it is rather by altering the popular intuitions about responsibility that neuroscience will threat the penal edifice. In both cases, we will discover that a misdiagnosis concerning the legal and psychological functioning of the judgments of responsibility leads to an error of prognosis.
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Le principe de l'autonomie chez Paul Tillich : ses sources kantiennes et post-kantiennes

Boss, Marc 09 July 2021 (has links)
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Kant, Fichte, Schelling: essai sur la nature du mal

Dispersyn, Eléonore 13 November 2006 (has links)
Progression d'un concept, le mal radical, dans trois textes :La Religion dans les limites de la simple raison (Kant), Le système de l'Ethique (Fichte), et Le Traité de 1809 (Schelling). Origine ultime du mal :libre arbitre ou détermination ?Responsabilité et liberté du mal. Mal moral et métaphysique du mal/ Advance of a concept: radical evil, in three readings: Religion within the Limits of Mere Reason (Kant), System of Ethics (Fichte), and Treatise of 1809 (Schelling).Ultimate origin of evil: free will or determination? Responsibility and freedom to evil. Moral evil and metaphysics of evil. / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La capacité pénale / Criminal capacity

Margaine, Clément 28 October 2011 (has links)
Définie à l’origine comme l’aptitude à la sanction, la capacité pénale peut s’entendre plus largement comme résumant l’ensemble des aptitudes subjectives, c’est-à-dire propres au délinquant, indispensables à l’engagement et à la sanction de sa responsabilité pénale. Ces aptitudes sont de deux ordres. L’aptitude à l’infraction et l’aptitude à l’imputation de cette infraction conditionnent le jugement de responsabilité et contribuent à en assurer la dimension morale. L’aptitude à la sanction ou capacité pénitentiaire joue un rôle plus original puisqu’elle apparaît comme le fondement de la personnalisation de la peine, permettant d’adapter la sanction pénale à la personnalité et aux besoins de celui qui doit la subir. / Originally defined as the capacity to be punished, criminal capacity can be understood more widely as summarizing mental abilities that are required for criminal responsibility. Some are needed to commit the offense, others for criminal responsibility but both ensure the moral meaning of criminal law. Applied to the penalty, criminal capacity can be used to adapt the sentence to the personality and needs of those who must endure it.

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