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Canots, terres et fourrures en Haute-Louisiane : les voyageurs de Ste-Geneviève convertis à la sédentarité (1763-1803)

Constantin, Jennifer January 2011 (has links)
Des voyageurs du commerce des fourrures provenant de la vallée du Saint-Laurent se sont installés à Ste-Geneviève, en Haute-Louisiane, durant le XVIIIe siècle. Ils y connurent des destins sociaux et économiques diversifiés et complexes. Située sur le bord du Mississippi, près de St-Louis, Ste-Geneviève était le premier établissement français à l’ouest du Mississippi. Tout comme en Nouvelle-France, un monde francophone continua d’exister en Louisiane longtemps après le Traité de Paris de 1763, bien que la colonie soit devenue une possession espagnole. Les archives notariales et les registres paroissiaux de Ste-Geneviève ont permis d’identifier 55 voyageurs. Une fois arrivés à Ste-Geneviève, ils adoptaient un mode de vie sédentaire. Il a été possible de constater que les destins sociaux des voyageurs avaient été diversifiés et complexes en étudiant leurs alliances matrimoniales, leur descendance, leurs liens familiaux dans le pays des Illinois et leur activité dans la communauté, aux niveaux religieux et administratif. Leurs destins économiques étaient également diversifiés et complexes, tant au niveau des activités économiques pratiquées qu’au niveau de la quantité de biens accumulée. Ainsi, en plus de pratiquer l’agriculture, le commerce, l’artisanat, la chasse et/ou le voyage, la plupart d’entre eux continuaient à être impliqués dans le commerce des fourrures. La réussite attendait certains, alors que d’autres ne purent éviter l’échec.
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Droit et métissages, évolution et usages de la loi à la colonie de la Rivière Rouge, 1811-1869

Laudicina, Nelly January 2013 (has links)
A l’arrivée des premiers colons eurocanadiens à Assiniboia en 1811, le territoire n’est encore qu’un terrain de chasse pour les grandes compagnies de commerce des fourrures, qui obéissent aux codes d’une lex non scripta propre au milieu et à l’économie des Territoires Indiens. La colonie dépend ensuite de la tutelle juridique de la Compagnie de la Baie d’Hudson, qui gère ses institutions gouvernementales, législatives et judiciaires à l’abri d’interventions canadiennes ou britanniques. Jusqu’à son annexion au Canada en tant que province du Manitoba en 1869, Assiniboia est le seul district de l’Ouest continental canadien doté de telles institutions. Cette thèse analyse l’évolution de la culture juridique de la société métissée de la Rivière Rouge (Assiniboia). A travers les sources des fonds législatifs et judiciaires de la colonie, les récits, correspondances et journaux de dirigeants, de missionnaires et d’habitants d’Assiniboia, ce travail observe les usages de l’outil juridique et ses effets normatifs sur les colons. Cette étude postule qu’un demi-siècle après sa création, la Rivière Rouge est un espace juridique hybride, où les lois coutumières coexistent avec celles du code civil de la colonie. Cette recherche démontre l’importante participation de la population à sa propre gouvernance et l’établissement progressif d’un pluralisme juridique, qui savait reconnaître et respecter les altérités sociales de la Rivière Rouge, où se rassemblaient des Eurocanadiens, des Autochtones et une majorité d’individus métissés et semi-nomades. Enfin, cette étude met en évidence le rôle fondamental des Métis et du métissage dans tous les processus de changements juridiques du territoire.
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Les plantations d'hévéa en Cochinchine (1897-1940) / The rubber plantations in Cochinchina (1897-1940)

Tran, Xuan Tri 19 January 2018 (has links)
Dès la conquête de la Cochinchine en 1862, l’Administration coloniale et des particuliers français exploitèrent l’agriculture locale et y développèrent l’économie. Ils tentèrent de faire l’essai et d’introduire diverses cultures, en particulier des arbres à caoutchouc. L’année 1897 marqua le début de l’hévéaculture de Cochinchine, lorsqu’on planta avec succès près de deux mille hévéas brasiliensis. La superficie de l’hévéaculture en Cochinchine se développait prodigieusement, allant de cent hectares à la fin du XIXème siècle à près de cent mille hectares au début des années trente, grâce d’une part à des capitaux provenant de la Métropole et, d’autre part à des mesures d’encouragement du Gouvernement colonial. Les plantations d’hévéa attirèrent les travailleurs locaux, surtout en provenance du Tonkin et de l’Annam, à raison d’une dizaine de mille, parfois une vingtaine de mille par an.Parallèlement à l’extension des superficies plantées, la production du caoutchouc de la colonie s’accrut rapidement, allant d’un peu plus d’une tonne en 1908 à plus de soixante mille tonnes en 1939. Les plantations d’hévéa devinrent l’une des cultures les plus importantes de Cochinchine à l’époque coloniale française. Non seulement elles apportèrent la fortune aux planteurs de la colonie, mais elles assurèrent une partie, et depuis 1938, la totalité des besoins de caoutchouc de l’industrie métropolitaine. Les plantations d’hévéa de Cochinchine représentaient un symbole de la colonisation agricole française, mais aussi hélas l’une des pages noires de l’histoire du colonialisme français au Vietnam par l’exploitation brutale des planteurs envers les travailleurs vietnamiens. / As early as the conquest of Cochinchina in 1862, the colonial administration and French individuals exploited the local agriculture and developed the economy there. They tried to experiment and introduce various crops, especially rubber trees. The year of 1897 marked the beginning of the rubber plantation of Cochinchina, when two thousand rubber trees brasiliensis were successfully planted. The area of rubber tree plantation in Cochinchina grew tremendously, ranging from one hundred hectares at the end of the 19th century to nearly one hundred thousand hectares in the early 1930s, because of, on the one hand, the capital invested from the metropolis, and, on the other hand, the measures of encouragement taken by the colonial Government. The rubber plantations attracted local workers, mainly from Tonkin and Annam, at a rate of about 10.000, sometimes 20.000 persons a year. In parallel with the extension of the area of rubber plantation, the colonial rubber production rapidly increased from just over one tonne in 1908 to more than 60.000 tons in 1939.The rubber tree plantation became one of the most important crops of Cochinchina during the French colonial era. Not only they brought fortune to the planters of the colony, but they secured a part, and since 1938, the whole of the rubber demands of the metropolitan industries. The Cochinchina rubber plantations represented a symbol of French agricultural colonization and, unfortunately, one of the black pages of the history of French colonialism in Vietnam by the brutal exploitation of Vietnamese workers by rubber planters.
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Mise au point d'une méthode d'isolement pour la détection de Clostridium perfringens entérotoxinogène chez le poulet de chair

Kakese Mukosa, Rosette 08 1900 (has links)
Clostridium perfringens entérotoxinogène figure parmi les principales causes de toxi-infection alimentaire dans le monde. L’utilisation d’une approche par culture bactérienne classique pour isoler C. perfringens entérotoxinogène dans la viande de volailles est courante. Cependant, cette méthode d’isolement de ce microorganisme s’appuie sur le phénotype d’une double hémolyse attribuable, alors que peu des souches entérotoxinogènes de C. perfringens n’en produisent. Cet aspect complique ainsi l’étude des réservoirs de cet important pathogène. Les objectifs de cette étude étaient de valider la capacité d’une sonde marquée à la digoxigénine à détecter le gène cpe codant pour l’entérotoxine de C. perfringens et de valider l’utilisation d'une approche d'isolement combinée à l'hybridation sur colonie pour détecter C. perfringens entérotoxinogène. Des échantillons de liquides de rinçage de carcasses de poulets de chair ont été utilisés pour la réalisation de la présente étude. L’ADN et colonies lysées de souches entérotoxingènes de C. perfringens, et des échantillons de liquides de rinçage de carcasses de poulets de chair ont été soumis à la méthode d'hybridation sur colonie afin d'identifier la présence du gène cpe de C. perfringens. Les résultats de cette étude ont montré que la sonde d’ADN synthétisée est spécifique et sensible, permettant ainsi la détection du gène cpe de C. perfringens à partir de séquences d’ADN et de colonies lysées d’une souche contrôle de C. perfringens positifs au gène cpe, mais aussi à partir de colonies isolées des échantillons de liquides de rinçage de carcasses de poulets de chair contaminés artificiellement par C. perfringens entérotoxinogène. Notre étude suggère que cette méthode d’isolement combinée à l’hybridation sur colonie permet de récupérer C. perfringens entérotoxinogène à partir d’échantillons de liquides de rinçage de carcasses de poulets de chair. / Enterotoxigenic Clostridium perfringens is one of the main causes of foodborne illness worldwide. The use of a conventional bacterial culture approach to isolate enterotoxigenic C. perfringens from poultry meat is common. However, this method relies on the phenotype of attributable double hemolysis, whereas few enterotoxigenic strains of C. perfringens produce it. This aspect complicates the study of the reservoirs of this important pathogen. The objectives of this study were to validate the ability of a digoxigenin-labeled probe to detect the cpe gene encoding C. perfringens enterotoxin and to validate the use of an isolation approach combined with hybridization on colony to detect enterotoxigenic C. perfringens. DNA and pure colonies of enterotoxigenic strains of C. perfringens, and samples of broiler carcass rinses were subjected to the colony hybridization method to identify the presence of the cpe gene encoding the C. perfringens enterotoxin. The results of the present study revealed that the synthesized DNA probe is sensitive, thus allowing the detection of the cpe gene of C. perfringens from DNA sequences and from lysed colonies of a control strain of C. perfringens positive for the cpe gene. The probe also hybridized to the DNA of lyzed colonies isolated from carcass rinsates artificially contaminated with cpe-positive C. perfringens. Our study suggests that this isolation method combined with colony hybridization allows the recovery of enterotoxigenic C. perfringens from broiler carcass rinse fluid samples.
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Recherches sur Orange antique : carte archéologique et étude céramologique. : Étude sur l’origine et la chronologie des importations de céramiques sigillées italiques en Narbonnaise : le cas d’Orange. : suivi d’une Carte archéologique d’Orange et du nord-ouest du Vaucluse

Roumégous, Anaïs 01 December 2012 (has links)
Cette thèse se compose de deux volets indépendants mais complémentaires : d'une part une carte archéologique d'Orange et du nord-ouest du Vaucluse ; d'autre part une étude sur l'origine et la chronologie des importations de céramiques sigillées italiques en Narbonnaise à partir du cas d'Orange. La carte archéologique synthétise les découvertes archéologiques touchant une période comprise entre 700 av. et 700 ap. J.-C. Toutes les informations disponibles ont été prises en compte (manuscrits, rapports d'opérations, sources imprimées) afin de dresser un état de la bibliographie et de préciser nos connaissances des vestiges antiques du nord-ouest du département de Vaucluse. Le corpus ainsi constitué est la base d'une réflexion sur l'occupation de la zone durant l'Antiquité, l'organisation urbaine de la colonie d'Orange et les limites du territoire de la cité. L'aspect historiographique constitue également un point important de ce travail. L'étude céramologique renouvelle nos repères chronologiques sur le développement urbain de la cité durant le premier siècle de son existence grâce, notamment, à la datation de l'enceinte, des différentes constructions monumentales du site de l'hémicycle et des contextes précoces des quartiers d'habitations à l'est du théâtre. L'étude céramologique s'attache par ailleurs à identifier l'origine des sigillées italiques recueillies à l'occasion des différents chantiers de fouilles, ce qui permet de dresser un bilan complet des ateliers. / This thesis consists of two parts, independent but complementary : on the one hand, an archaeological map of Orange and the northwest of Vaucluse; on the other hand, a study of the origin and the chronology of the imports of ceramics called italian sigillata in Gallia Narbonensis based on the case of Orange. The archaeological map synthesizes the archaeological discoveries touching a period included between 700 BC and 700 AD. All the available information was taken into account (manuscripts, reports, printed sources) to draw up a state of the bibliography and specify our knowledge of the antique vestiges of the northwest of Vaucluse. The corpus so established is the basis of a reflection on the occupation of the zone during the Antiquity, the urban organization of the city of Orange and the limits of its political territory. The historiographical aspect also constitutes an important point of this work. The ceramic study renews our chronological points of reference on the urban development of the city for its first century of existence, with in particular the dating of the surrounding wall, the various monumental constructions of the site of the « hémicycle » and the early contexts of living districts east of the theater. Besides, the ceramic study attempts to identify the origin of the examined italian sigillata, drawing up first a ou synthesis of workshops producing this ceramic. Indeed, if the italian sigillat seems well known, we quickly notice that it was almost always considered a homogeneous whole, without taking into account the existence of multiple workshops, in the constitution of typologies and datings.
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Pratiques funéraires et identités biologiques à Berytus et à Botrys à l'époque romaine (Liban, Ier siècle av. J.-C. - IVème siècle apr. J.-C.) / Funerary practices and biological identities in Berytus and Botrys during the roman period (Lebanon, Ist century b.c. - IVth century a.d.) / الطرق الدفنية والهويات البيولوجية في بيروت والبترون في العصر الروماني . لبنان، من القرن الاول قبل الميلاد الى القرن الرابع الميلادي

Elias, Nada 18 May 2016 (has links)
Avec l’avènement de l’Empire romain au cours du premier siècle avant notre ère le Levant devient le théâtre d’un cosmopolitisme où maintes cultures hétéroclites vont coexister. Ce nouveau système a Rome comme Caput Mundi. Des voies vont être tracées par l’armée jusqu’au fin fond de l’empire pour relier le monde à sa capitale. Les fouilles préventives récentes (depuis 2005) à Berytus (Beyrouth) et à Botrys (Batroun) ont mis au jour une quantité considérable de données inédites sur l’homme et sur les populations qui vivaient dans la région durant les quatre siècles de l’Empire romain et jusqu’au début du Christianisme. À partir d’une étude archéo‐anthropologique de huit ensembles funéraires (n=290) provenant de la Colonia Julia Augusta Felix Berytus et de la ville de Botrys qui contrairement à Berytus n’a pas le statut de colonia romana, ce travail propose de contribuer à l’histoire de ces deux villes. Notre but est d’appréhender les populations du passé d’après l’étude du squelette, les caractéristiques biologiques, les rituels et les pratiques funéraires ainsi que l’organisation des espaces sépulcraux. Cette étude révèle en premier lieu un cosmopolitisme culturel et biologique illustré par la variabilité des pratiques funéraires et par la diversité biologique des deux ou plusieurs groupes qui ont dû coexister à la Colonia Julia Augusta Felix Berytus. Par contre, les données bio-culturelles de Botrys évoquent quant à elles, une cité moins cosmopolite, moins diversifiée sur les plans anthropologiques et culturels. En effet, la ressemblance des modes d’inhumation, du traitement du corps, du mobilier funéraire et la structuration de l’espace funéraire et l’homogénéité biologique sont incontestables à Botrys. En revanche, les analyses comparatives entre Berytus et Botrys ont mis en évidence une hétérogénéité biologique existante à plusieurs échelles entre les individus des deux villes. Cependant cette distance est brisée par l’homogénéité du corpus féminin des deux villes pour la période qui s'étend du IIème au IVème siècle de notre ère. / During the first century B.C., with the rise of the Roman Empire, the Levant became the scene of cosmopolitanism where many heteroclite cultures would coexist. The new cosmopolitan society had Rome as its capital (Caput Mundi), and roads drawn up by the army linking the rest of the empire to its capital. Recent rescue excavations (since 2005) in Berytus (Beirut) and Botrys (Batroun) have revealed a considerable amount of unpublished data on populations who lived in the region during the four centuries of the Roman Empire until the early centuries of Christianity. Following an archaeo-anthropological approach, this thesis presents an assessment of eight funerary sites (n= 290) from the cities of Colonia Julia Augusta Felix Berytus and Botrys. Significantly, Botrys, unlike Berytus, did not have the status of a Roman colony. This research seeks to contribute to the history of these two cities. The purpose is to understand the populations of the past through the study of the skeletons, rituals and funerary practices as well as the organisation of funerary spaces. This study primarily reveals a cultural and biological cosmopolitanism illustrated by variability in funerary practices and in biological characteristics. These results suggest that at least two different groups or more coexisted in the Colonia Julia Augusta Felix Berytus. On the contrary, the biocultural data of Botrys skeletons reveal a less cosmopolitan city with less diversity shown on different anthropological and cultural levels. Indeed, the similarity of funerary practices, body treatments, grave goods and the organisation of the funerary space and biological homogeneity are indisputable in Botrys. Comparative analysis between Berytus and Botrys highlighted an existing biological heterogeneity at different scales between individuals of both cities. However, this diversity is contradicted by the homogeneity of the females of both cities during the 2th and the 4th century A. D. / أصبح المشرق خلال القرن الاول قبل الميلاد، مع صعود الامبراطورية الرومانية، مسرحاً عالمياً تتفاعل فيه ثقافات مختلفة. ثقافات لطالما ميزت المشرق بسبب الغزوات واختلاط الشعوب منذ العصر الحجري الحديث. النظام العالمي الجديد جعل روما "عاصمة العالم" أو كما يقال باللاتينية Caput Mundi وبذلك رسم الجيش الروماني الطرق الى مختلف أصقاع الامبراطورية لتؤدي الى روما. كشفت الحفريات الوقائية و الإنقاذية الأخيرة في بيروت والبترون عن معطيات جديدة تخص الشعوب التي عاشت في المنطقة خلال القرون الأربعة من الإمبراطورية الرومانية وحتى بدايات المسيحية. تقدم رسالة الدكتوراه هذه دراسة عن الإنسان وعلاقاته مع الموت. وباتباع منهج أثري-أنثروبولوجي ستقدم تقييماً لثمان مواقع مدفنية في كولونيا جوليا أوغوستا فيليكس بيريتوس Colonia Julia Augusta Felix Berytus ومدينة البترون (ع=٢٩٠ ) والتي على عكس بيريتوس )بيروت) لم تحمل صفة مستوطنة رومانية .تقدم هذه الدراسة في المقام الأول الاطار الثقافي والبيولوجي والمشروحين بتعدد الطقوس المدفنية والاختلاف البيولوجي لمجموعتين او اكثر من المجموعات التي تعيش في كولونيا جوليا أوغوستا فيليكس بيريتوس. في المقابل المعطيات البيولوجية الثقافية في البترون تدل على أنها مدينة أقل تنوعاً ولا تحوي تنوعات انثروبولوجية وثقافية كبيرة. لذلك فإن التطابق في طرق الدفن وتحضير الموتى وأمكنة الدفن والتجانس البيولوجي هي مسائل لاجدال فيها بالنسبة للبترون. وبالمقارنة مابين بيروت والبترون من الواضح عدم التجانس البيولوجي الموجود على أكثر من صعيد فيما بين سكان المدينتين.ولكن هذا التباين مابين المدينتين مخترق من قبل تشابه الإناث في كلا المدينتين من القرن الثاني الى القرن الرابع ميلادي.
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La psichiatria coloniale italiana : teorie, pratiche, protagonisti, istituzioni 1906-1952 / Italian colonial psychiatry : theories, practices, protagonists, institutions 1906-1952 / La psychiatrie coloniale italienne : théories, pratiques, protagonistes, institutions 1906-1952

Scarfone, Marianna 12 June 2014 (has links)
Ce travail aborde les développements de la psychiatrie dans les colonies italiennes de la Corne de l’Afrique et de la Libye. La psychiatrie coloniale – que l’on appelle aussi ‘ethnographique’, ‘comparée’, ‘raciale’ – se nourrit de théories anthropologiques consolidées, de mensurations anthropométriques, d’observations cliniques ; c’est dans ce cadre complexe qu’elle émerge comme discipline autonome, en partie au moins, par rapport à la psychiatrie de le mère-patrie et qu’elle contribue au bon fonctionnement du régime colonial. Les protagonistes sont en premier lieu les médecins et les patients ; à l’arrière plan on trouve aussi les administrateurs et les hommes politiques, ou encore les familles et les communautés d’origine des patients. À travers des documents précieux comme les dossiers médicaux, il est possible de reconstituer les parcours des patients, de raconter des histoires de vie et d’identifier des éléments récurrents dans les différentes expériences. De plus, grâce à la documentation privée de certains médecins coloniaux, il est possible de saisir les motivations qui poussaient certains spécialistes à venir exercer dans les colonies. L’étude de la littérature psychiatrique de l’époque, associée à l’analyse des parcours des médecins, fait apparaître les échanges et les influences qui marquaient l’activité des psychiatres coloniaux. En ce sens il m’a semblé important d’analyser les modèles anglais et français dont les médecins italiens déclarent s’inspirer dans leur réflexion théorique et donc dans la construction de la discipline ainsi que dans les solutions pratiques mises en œuvre pour faire face à la question psychiatrique dès le début des différentes expériences coloniales. Le nœud de l’assistance aux colons et aux militaires qui présentaient des troubles psychiques, ainsi qu’aux indigènes considérés fous, a plus retenu l’attention dans la colonie libyenne (déjà en 1911-1912, avec des réalisations institutionnelles dans les années trente) tandis que dans les colonies de l’Afrique orientale italienne, la question de l’assistance psychiatrique a été moins débattue, débouchant par conséquent sur très peu de réalisations pratiques. / The dissertation reviews the ways in which psychiatry developed in the Italian colonies in the Horn of Africa and in Libya. Colonial psychiatry – variously called “ethnographic”, “comparative”, or “racial” psychiatry – drew on established anthropological theories, anthropometric measurements and clinical observations, the consistently-organized framework within which it emerged as an discipline supporting colonial government and at least partially independent of psychiatry in the home country. The primary interaction within this colonial psychiatry was that between doctors and patients; in the background were the colonial administrators, the political decision-makers, and the patients’ families and home communities. Precious documentary resources such as medical records let us trace patients’ careers, tell their life stories, reconstruct typical cases and confirm recurrent features in their various experiences; from the private papers of some colonial doctors we can gather the specialists’ motivations to move to the colonies; and an examination of the psychiatric literature of the day enables us to reconstruct the discussions and inspirations which fostered the work of the colonial psychiatrists. I have recognized the importance of analysing the British and (still more) the French models from which the Italian clinicians claimed to draw their inspiration, both in terms of theory (and the construction of the resulting discipline), and in the practical solutions implemented to tackle psychiatric issues from the earliest days of the various colonial experiments. This issue – of supporting psychiatrically-afflicted colonists and soldiers and natives regarded as “mad” – was paid most attention in the Libyan colony, starting in the very first months of the occupation (in 1911 and 1912) and then taking institutional form in the 1930s; in the colonies of what was known as “Italian East Africa”, on the other hand, there was less discussion of psychiatric support and correspondingly limited practical achievements. / La tesi percorre gli sviluppi della psichiatria nelle colonia libica e nelle colonie del Corno d’Africa. La psichiatria coloniale – che assume denominazioni diverse: ‘etnografica’, ‘comparata’, ‘razziale’ – si nutre di teorie antropologiche consolidate, di misurazioni antropometriche, di osservazioni cliniche ed è in questo quadro articolato che emerge come disciplina autonoma, almeno in parte, rispetto alla psichiatria della madrepatria, e funzionale al buon ordine del regime coloniale. Nella cornice della psichiatria coloniale interagiscono in primo luogo medici e pazienti; sullo sfondo ci sono gli amministratori e i decisori politici, le famiglie e le comunità di provenienza dei pazienti. Attraverso documenti preziosi come le cartelle cliniche è possibile tracciare le traiettorie dei pazienti, raccontare storie di vita, ricostruire casi esemplari e fissare dei punti ricorrenti nelle diverse esperienze. Grazie alla documentazione privata di alcuni medici coloniali è possibile cogliere le ragioni che spingevano gli specialisti in colonia. Infine la letteratura psichiatrica del periodo preso in esame permette di ricostruire gli scambi e le ispirazioni che alimentavano l’attività degli psichiatri coloniali. In tal senso si è ritenuto importante analizzare i modelli inglese e soprattutto francese a cui i medici italiani dichiarano di ispirarsi, sia nella riflessione teorica e quindi nella costruzione della disciplina, sia nelle soluzioni pratiche attuate per far fronte alla questione psichiatrica sin dai primi tempi delle diverse esperienze coloniali. Tale questione, ovvero il problema dell'assistenza ai coloni e ai militari che presentavano disturbi psichiatrici nonché agli indigeni ritenuti folli, ha ricevuto maggiore attenzione nella colonia libica, e questo sin dai primi mesi della sua occupazione, tra 1911 e 1912, per poi manifestarsi in realizzazioni istituzionali negli anni Trenta; mentre nelle colonie della cosiddetta Africa Orientale Italiana il tema dell’assistenza psichiatrica è stato meno dibattuto, sfociando pertanto in scarse realizzazioni pratiche.
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Vivre et produire dans les campagnes de la colonie de Valence (IIe s. av. J.-C. - VIe s. apr. J.-C.) / Living and producing in the country of the colony of Valence (IInd B.C. - VIth A.C.)

Gilles, Amaury 12 February 2016 (has links)
Durant l’Antiquité, Valence bénéficie du prestigieux statut de colonie romaine, au même titre qu’Arles, Vienne et Lyon. Sa position au confluent du Rhône et de l’Isère et au carrefour de plusieurs itinéraires terrestres - Voie d’Agrippa, Voie des Alpes - lui conférait un rôle stratégique et économique considérable. Cette région, au cœur de la moyenne vallée du Rhône, occupe une position charnière qui lui assure, au moins depuis le Premier Âge du fer, un rôle d’intermédiaire entre le bassin méditerranéen et le monde celtique.Elle bascule dans l’orbite de Rome en même temps que la Gaule méridionale, soit dès la fin du IIe s. av. J.-C. Valence est fondée dans un deuxième temps, vraisemblablement entre 46 – 36 av. J.-C. et acquiert son statut de colonie de droit romain peut-être dès cette date avancée selon P. Faure et N. Tran (2013). La fondation d’une colonie romaine s’accompagne d’une division du sol public, matérialisée par une centuriation afin qu’il soit distribué aux membres du corps civique nouvellement créé comprenant plusieurs milliers de colons. Dans ce contexte historique précis, ces citoyens sont principalement des vétérans de l’armée romaine alors constituée majoritairement d’Italiens. Ce phénomène a donc un impact démographique et culturel considérable pour la vie des populations locales. Le statut juridique avantageux conféré à ces communautés leur assure également des avantages économiques importants stimulant les productions agro-pastorales et artisanales. Les travaux consacrés aux provinces gauloises ont montré que les siècles suivants ne sont pas exempts de mutations économiques et culturelles importantes qui touchent les structures de peuplement et de production. Partant de ce constat, j’ai choisi d’aborder cet impact culturel et économique à travers la culture matérielle (vestiges architecturaux, objets de la vie quotidienne) et l’analyse de l’occupation du sol. Le cadre chronologique et spatial retenu doit permettre d’observer de manière dynamique l’évolution des modes de vie et des activités agro-pastorales et artisanales dans les campagnes de la cité de Valence. L’examen des caractéristiques de plusieurs centaines d’établissements ruraux doit permettre de proposer une lecture diachronique et complexe de l’occupation et l’exploitation de ce territoire, d’aborder les rapports qu’entretient la colonie avec l’espace rural. L’approche chronologique et fonctionnelle des bâtiments et des objets de la vie quotidienne permet d’apprécier plus finement l’évolution dans le temps des techniques, des modes de vie, mais aussi de relever la diversité des situations locales à une même période. / During the Antiquity, Valence is known as a roman colony like Lyon, Arles or Vienna, settled in the middle Rhône valley at the confluent of the Rhône and the Isère, and also at the crossroads of alpine route and the Via Agrippa. This strategic position confers to the colony an important role in the economy of the roman Gaul. Since the early Iron Age, this area is a link between the mediterranean and the celtic worlds.Even if the region is conquered by Rome since the end of the II c. B.-C., the colony is founded later, perhaps between 46 and 36 B.-C. and maybe already own his prestigious status of colonia of roman rights according to P. Faure and N. Tran hypothesis (2013). As a consequence of the foundation, the public soil is divided, centuriated, and distributed to thousands of new citizens.In this specific historical context, the citizens are chosen among the veterans of the roman army, who were Italians at this time. This decision should have huge demographic and cultural consequences on local communities. The legal status of the citizens gives them considerable economics advantages that stimulate the local economy. The studies devoted to the gallic provinces have shown that the following centuries see numerous changes affecting settlements and economic structures.Considering this historical context, I have chosen to evaluate the cultural and economic impact of this foundation by studying settlement patterns and material culture (architectural remains, objects of the daily life) between the II c. B.-C. to the VIth c. B.-C.The study of few hundreds of settlements allows us to introduce a complex and diachronic view of the settlements, their economic roles and relations with the colony.The chronological and functional study of the buildings and daily life objects allow us to assess finely the evolution through time about craftsmen’s techniques, lifestyle and highlight regional differences during a same period.
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Le sentiment d'appartenance et de représentation nationale à La Réunion (1880-1950) / No English title available

Fageol, Pierre-Éric 25 November 2013 (has links)
Le sentiment d'appartenance nationale au sein de la population réunionnaise semble une constante dans l'histoire de la colonie et n'a jamais été durablement remis en cause. Le travail proposé confirme pour la période étudiée sa vigueur, particulièrement à l'occasion des conflits coloniaux et mondiaux. Mais il montre aussi que cette adhésion inclut la conscience d'une singularité qui n'est pas seulement la conséquence de la géographie mais aussi le fruit de l'histoire. Le sujet permet de croiser une approche d'histoire sociale et d'histoire des représentations sur une séquence coloniale cohérente qui englobe les prémices de la Troisième République jusqu'au processus de départementalisation. En proposant de « dénationaliser le national » par le biais d'une étude se penchant sur les principes identitaires en situation coloniale, il s'agit de mettre en évidence la spécificité des processus d'acculturation en situation coloniale et l'interconnexion des territoires coloniaux (île Maurice et Madagascar) dans la définition d'un sentiment d'appartenance en cours de construction. La première partie sur le sentiment d'appartenance en situation coloniale cherche à poser les enjeux et la méthode de la recherche. La deuxième partie se penche sur les liens entre le colonialisme et le sentiment d'appartenance nationale en focalisant l'analyse sur l'impérialisme réunionnais comme vecteur d'une reconnaissance commune au reste de la Nation. La troisième partie prend en compte les différentes manifestations de patriotisme et leur influence sur la définition d'un sentiment d'appartenance nationale. Enfin, la quatrième partie se focalise sur les vecteurs de l'acculturation nationale en tenant compte du rôle de l'école, de l'église et de l'armée dans la construction d'un sentiment d'appartenance nationale spécifique à La Réunion, sentiment auquel les élites ont apporté leur concours tout en étant les principales bénéficiaires de la quête d'une reconnaissance de la Nation. / The feeling of national membership among the Reunionese population seems to be a regular fact in the colony history and has never been really questioned. This work confirms its strength in the period in study, and more particularly during the colonial and world conflicts. But it also shows that this support includes the conscience of a singular feeling, which is not only the consequence of geography, but also of history. This subject allows us to mix a social historical approach with a historical representation approach on a coherent colonial period, which goes from the beginning of the Third Republic up to the region establishment. By suggesting to « denationalise the national » through a study dealing with the identity principles in a colonial situation, we mean to focus on the particular acculturation processes in a colonial period and the interconnection of colonial territories (Mauritius, Madagascar) in defining a constructing feeling of membership. The first part deals with the feeling of membership in a colonial period and tries to analyse what is at stake in the research methods. The second part studies the links between colonialism and the feeling of national membership and focuses on Reunionese imperialism as a trigger to a recognition shared by the rest of the Nation. The third part takes into account the different signs of patriotism and their influence on the definition of what a feeling of national membership is about. Finally, the fourth part focuses on the triggers of national acculturation while taking into account the role of school, church, and the army in the building up of a typical Reunionese national membership feeling, shared by the elite which mainly benefited from the quest of a recognition from the Nation.
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« C’est icy le pays du monde le plus propre a faire des chanvres... si on s’en vouloit donner la peine » : le discours officiel sur le chanvre au Canada, 1660-1840

Bénard-Saumur, David 12 1900 (has links)
La culture du chanvre au Canada sous les Régimes français et britannique attire l’attention des historien.ne.s depuis longtemps. Jusqu’à récemment, on s’est surtout intéressé aux tentatives répétées des administrateurs pour développer cette culture au Canada. Un autre élément est resté largement ignoré : le discours que formulent les autorités coloniales au sujet du chanvre, produit agricole aussi mal aimé de la paysannerie canadienne qu’il est chéri des administrateurs coloniaux. Qu’il soit français ou britannique, le programme officiel, centré sur les fournitures navales (le chanvre sert notamment à la fabrication des voiles et cordages) et associé à des desseins mercantilistes, vise à remplacer par du chanvre canadien celui que les métropoles successives importent de l’étranger, principalement de l’Europe du Nord. Pourtant, cette politique ne répond que difficilement aux conditions coloniales. Malgré tout, depuis Québec, les dirigeants coloniaux tant français qu’anglais s’obstinent pendant longtemps à la mettre en place, lui consacrant de longs passages dans leur correspondance avec les différents ministères à Paris ou à Versailles, puis à Londres. En énumérant les obstacles à la culture chanvrière, ils élaborent un discours foncièrement stéréotypé sur la paysannerie canadienne, voire sur la population créole en général. Ces images auront la vie dure, traversant la césure de la Conquête et influençant autant les auteurs contemporains que les récits historiques qui seront réalisés jusqu’en plein XXe siècle. Néanmoins, il y a un apprentissage à signaler. Il se manifeste en deux temps : dans les propos plus lucides des administrateurs du Régime français finissant et, près d’un demi-siècle plus tard, dans le discours agronomique émergent dans les environs de l’Assemblée coloniale plus sensible aux possibilités de l’agriculture locale. / The cultivation of hemp in Canada under the French and British Regimes has long attracted the attention of historians. Until recently, the focus has been on repeated attempts by administrators to develop this culture in Canada. Another element remained largely ignored: the discourse formulated by the colonial authorities on the subject of hemp, an agricultural product as unloved by the Canadian peasantry as it was cherished by the colonial administrators. Whether French or British, the official program, centred on naval supplies (hemp was used in particular for the manufacture of sails and ropes) and associated with mercantilist designs, aimed to replace with Canadian hemp that which successive metropolises import from abroad, mainly from Northern Europe. However, this policy responded only with difficulty to colonial conditions. Despite everything, from Quebec, the colonial administrators, both French and English, persisted for a long time in introducing it, devoting long passages to it in their correspondence with the various ministries in Paris or Versailles, and later in London. By listing the obstacles to hemp culture, they developed a fundamentally stereotyped discourse on the Canadian peasantry, and even on the Creole population in general. These images will have a long life, surviving then change of regime at the Conquest and influencing both contemporary authors and the historical narratives that would be produced until the middle of the 20th century. Nevertheless, there was a learning process. It manifested itself in two stages: in the more lucid formulations of the administrators of the late French Regime and, nearly half a century later, in the agronomic discourse emerging in the vicinity of the Colonial Assembly, more sensitive to the possibilities of local agriculture.

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