• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 71
  • 4
  • 3
  • 2
  • 2
  • 1
  • Tagged with
  • 86
  • 86
  • 67
  • 59
  • 27
  • 14
  • 13
  • 13
  • 12
  • 12
  • 11
  • 11
  • 11
  • 10
  • 9
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
71

Revealing new dynamics in the industrial city : a study of human/horse relations in Montreal's public space, 1860-1916

Paulin, Catherine 08 1900 (has links)
No description available.
72

La tuberculose dans l’espace social barcelonais 1929-1936 / Tuberculosis in the barcelonian social space 1929-1936 / La tuberculosis en el espacio social barcelonés 1929-1936

Miralles, Celia 18 June 2014 (has links)
L’ancienne phtisie pulmonaire, maladie sociale excellence au XIXème siècle, est encore, au début du XXème siècle, empreinte d’un fort imaginaire commun associé à la misère sociale. Cette thèse analyse l’inscription de cette maladie dans l’espace social barcelonais des années 1930, et pour ce faire, elle cherche à prendre en compte les multiples acceptions de la tuberculose, mêlant discours des médecins et vécu des patients.Avec la découverte du bacille de Koch en 1882, le microbe apparait comme l’unique cause de la tuberculose, ce qui suppose une redéfinition de la lutte antituberculeuse, désormais concentrée sur l’élimination de l’agent contagieux. Bien plus qu’auparavant, la tuberculose est alors associée aux recoins poussiéreux et à l’environnement insalubre comme à la promiscuité. A Barcelone entre 1929 et 1936, les autorités catalanes se concentrent sur la mise en place d’une lutte préventive qui vise à extirper le microbe de certains logements précisément identifiés dans la ville.La tuberculose est également une maladie sociale qui caractérise un groupe d’individus et l’isole du reste de la société. Outre une réflexion sur la construction sociale d’une catégorie homogène autour du dénominateur commun que constitue le microbe, cette thèse a pour but de prendre en compte la réalité vécue des individus malades soignés dans les dispensaires, hôpitaux et sanatoria gratuits et de comprendre leur intégration dans le panorama social barcelonais à cette époque. Il apparait dès lors que ces tuberculeux sont souvent des actifs avec une position sociale précaire liée à une moindre intégration dans la ville, sans être pour autant complètement « isolés » socialement. C’est la déclaration de la maladie qui les fait « basculer » dans un groupe d’exclus sociaux pris en charge médicalement.Mais plus qu’un identifiant commun, la tuberculose est surtout un vécu personnel. Le malade est un acteur essentiel de sa maladie comme de sa guérison et son parcours met au jour une pratique de la lutte qui permet de redéfinir par le bas les structures de soins, et la logique médicale moderne telle qu’elle est évoquée dans les discours. Enfin, ces parcours individuels de malades dans la capitale catalane brouillent surtout la catégorie unifiée et homogène mettant en avant des préoccupations personnelles qui dépassent l’exigence de santé et l’absolue nécessité de se prémunir contre le microbe, laissant apparaitre des visions divergentes de la lutte contre la maladie à la même époque. / « Consumption », a major concern of the late 19th century, was still a disease associated with misery in the collective imagination of the early 20th century. The present dissertation focuses on consumption in the Barcelonian social space of the 1930s: it seeks to circumscribe the multiple meanings of tuberculosis which emerge from medical discourse as well as from the patients’ experience.The discovery of the Koch bacillus in 1882 entailed a redefinition of the fight against tuberculosis, as the bacillus came to be seen as the single cause of the disease. Since priority was given to the eradication of the contagious agent, tuberculosis was more than before associated with dust, unsanitary and crowded environments. From 1929 to 1936, the Catalan authorities in Barcelona concentrated on preventive action, which consisted in the extirpation of the Koch bacillus from housing in some areas that were precisely identified.Besides the analysis of tuberculosis as a homogeneous social construct, the present dissertation takes the patients’ points of view into account. Tuberculosis is a social disease that characterises a group of individuals and isolates them from the rest of society. A focus on individuals who were treated in a network of free dispensaries, hospitals and sanatoriums helps us understand their position in the social landscape of Barcelona at that time : prior to being diagnosed with tuberculosis, the patients had been working and were often marginally integrated to the city’s life without being altogether socially isolated. Contracting the disease is what downgraded them to the category of medically treated paupers.More than a common status though, tuberculosis was a personal experience for the individuals struggling against the disease and getting cured. The latter’s clinical files provide a bottom-up perspective on medical institutions and on the logics of modern medical discourse. The patients’ individual trajectories in the capital of Catalonia further blur the unified and homogeneous reference to tuberculosis, as they give priority to personal concerns over health requirements and over the absolute necessity of the fight against the bacillus, thus revealing diverging contemporary understandings of the fight against tuberculosis. / La antes denominada tisis pulmonar, enfermedad social por excelencia del siglo XIX, sigue siendo, aun en el siglo XX, empreñada de un fuerte imaginario común asociado a la miseria social. Esa tesis doctoral pretende analizar la inscripción de esta enfermedad en el espacio social barcelonés de los años 1930 y con este fin toma en cuenta las múltiples acepciones de la tuberculosis, entremezclando discursos de los médicos y vivencias de los pacientes.Con el descubrimiento del bacilo de Koch en 1882, el microbio se convierte en la única causa de la enfermedad lo cual supone una redefinición de la lucha antituberculosa, ahora directamente orientada hacia la eliminación del agente contagioso. Aun más que antes, la tuberculosis es entonces asociada al rincón polvoriento, al ambiente insalubre y el hacinamiento. En Barcelona entre 1929 y 1936 las autoridades catalanas se concentran en el establecimiento de una lucha preventiva que aspira a extirpar el germen de ciertas viviendas precisamente identificadas en la ciudad.La tuberculosis también es una enfermedad social que caracteriza a un grupo de individuos aislándolo del resto de la sociedad. Además de una reflexión sobre la construcción social de una categoría homogénea alrededor del denominador común que constituye el microbio, esa tesis tiene como objetivo realzar la realidad vivida por los individuos enfermos curados en los dispensarios, hospitales y sanatorios gratuitos, así como entender sus maneras de desenvolverse en el panorama social barcelonés en esa época. Así aparece que los tuberculosos suelen ser unos activos con una posición social precaria, vinculada a una menor integración en la ciudad, sin ser por lo tanto completamente aislados socialmente. Es la declaración de la enfermedad la que les hace “bascular” en un grupo de excluidos sociales asumidos como tales por las autoridades médicas.Pero, más que un identificador común, la tuberculosis es sobre todo una vivencia personal. El enfermo es un actor esencial de su enfermedad tanto como de su curación, y su recorrido muestra una práctica de la lucha que permite redefinir desde abajo las estructuras asistenciales y la lógica médica moderna tal como es evocada en los discursos. Por fin, los recorridos individuales de enfermos en Barcelona nublan sobre todo la percepción de una categoría unificada y homogénea, realzando las preocupaciones personales que se sobreponen a la exigencia de salud, o a la absoluta necesidad de prevenirse frente al germen, dejando ver visiones discrepantes de la lucha contra la enfermedad.
73

"Placing the history of advertising" : une histoire spatiale de la publicité à Shanghai (1905-1949) / « Placing the history of advertising » : A spatial history of advertising in modern Shanghai (1905-1949)

Armand, Cécile 27 June 2017 (has links)
Directement inspirée de P. Ethington et son projet de "situer le passé" (placing the past), cette thèse adopte une démarche spatiale pour « rematérialiser », « réincarner » et « repolitiser » l'histoire de la publicité à Shanghai (1905-1949), à la fois dans la presse locale (Shenbao, North China Daily News) et dans les rues de la ville. Refusant tout usage métaphorique de l'espace, cette thèse emprunte aux différentes « sciences de l'espace » pour tourner autour de l'objet publicitaire et l'appréhender dans ses multiples dimensions. Dans la première partie, la démographie et géopolitique sont convoquées pour prendre la mesure des populations et des territoires publicitaires (chapitres 1 et 2). La deuxième partie propose une sociologie des acteurs de la profession naissante (chapitre 3) et de la production/consommation (chapitre 4) afin de démonter la « fabrique » publicitaire. La troisième partie ouvre un observatoire de ses paysages et saisit les espaces publicitaires comme un « laboratoire » de la « modernité » à Shanghai (chapitres 5 et 6). La dernière partie s'efforce de remettre l'histoire spatiale en mouvement en retraçant les circulations et les rythmes publicitaires (chapitres 7 et 8). Au-delà, la démarche spatiale de cette thèse vise à « faire une place » à l'objet publicitaire dans l'historiographie. Nourrie de matériaux divers (presse, archives, photographies, croquis, cartes, statistiques), elle propose une alternative à l'histoire des représentations et apporte un autre éclairage sur l'histoire urbaine. Articulée à une plateforme ad hoc (MADSpace) (http://madspace.org/) qui en est le prolongement hypertextuel, cette thèse ouvre une réflexion sur les nouvelles manières de faire et d'écrire l'histoire à l'ère numérique. / Directly inspired by Philip Ethington's proposal on "placing history", my dissertation offers a spatial approach to the history of advertising in modern Shanghai (1905-1949). Based on various materials (press, archives, photos, sketches, graphs, maps, trees), this spatial trend aims to shift the gaze from mainstream cultural approach (focused on representations visible on press advertisements) to a spatial and material approach of advertising, with a genuine concern for the physical aspects of advertisements. The first part (chapter 1 and 2) is devoted to mapping and measuring the populations and territories of advertising in Shanghai, both in the local press (Chinese newspaper Shenbao and British North-China Daily News), as well as within the city. The second part examines the actors who made and inhabited these spaces, namely the emerging advertising profession (chapter 3) and the actors involved in the production or consumption of advertised products (advertisers/manufacturing companies, brands/products, markets/consumers) (chapter 4). Chapter 5 is devoted to advertising “landscapes” - a term that I used as an operative concept to replace the overused, and often misused, notion of representation - in order to cover every dimension of advertisements (their physical environment at various scales, the copy surface, the discourses they carried). Chapter 6 offers to take advertising spaces as an ideal observatory for examining tensions, conflicts and other forms of relationships surrounding advertising, as well as a "laboratory" for inventing urban modernity – that is, new ways of conceiving and living the city in modern Shanghai. As spatial approaches are often blamed for “freezing” history, my dissertation eventually attempts to trace the circulations and rhythmic patterns between the printed and urban spaces, within and outside Shanghai (chapters 7 and 8). Beyond the "terrain", my dissertation strives to take advantage of the new resources available to historians in the digital age. The digital platform MADspace (http://madspace.org/), which has been especially designed as a digital companion to this PhD Projet, makes the assumption that the digital ecology offers unexpected opportunities for renewing research questions and methodologies in the field of (Chinese, urban) history.
74

L'historique du quartier de la Défense et ses représentations dans la presse : l'évolution de la perception d'un grand quartier d'affaires / History of La Défense district and its representations in the press : the evolution of the perception of a big business district

Pac, Bertrand 27 June 2016 (has links)
C’est entre 1960 et la fin des années 1980 que se situe en France la grande période du bouleversement architectural qui donne naissance au quartier d’affaires de La Défense. L’histoire de cette monumentale opération d’aménagement de « l’Ouest Parisien » vue par les journalistes révèle trois étapes dans l’évolution de ce projet qui vise à doter la capitale d’un « Manhattan français », ou mieux trois états forts constitutifs d’opinion successifs : celui de l’enthousiasme qui a présidé à la présentation par l’EPAD en 1964 du premier plan de masse de l’opération et à ses premières réalisations sur le terrain, celui du doute et de la contestation liés à l’histoire agitée qu’a connu durant les années 1970 ce chantier gigantesque alors en proie aux turbulences d’une crise économique qui en hypothèque l’avenir et en trouble le dessein final, celui de l’indéniable adhésion à la réussite d’un projet qu’a illustré l’érection en 1989 de la « Grande Arche de La Défense ». Savoir ce que les journalistes ont pensé pour comprendre l’évolution de « La Défense » est ainsi la première raison de l’investigation historique menée à propos de ce quartier à l’urbanisme révolutionnaire. Mais il en est une seconde, car l’histoire n’est pas seulement une pourvoyeuse du présent ; elle est aussi génératrice de représentations dont le retentissement joue de concert avec l’évènement objectivement établi. Et, à ce titre, l’étude de « La Défense » comme phénomène historique de cristallisation de l’opinion de la presse offre un exemple particulièrement net de l’apport qu’un pôle d’attraction aussi efficace que le quartier de « La Défense » fournit à l’histoire contemporaine de l’urbanisme. Ainsi, après avoir décrit le processus historique révélé par le regard de la presse, l’interprétation des représentations de la ville nouvelle sera l’occasion de démontrer que la réalisation du quartier de La Défense a été davantage concernée par la conscience de l’évènement que par l’évènement lui-même dès lors que cette opération constituait, par sa nature propre, un phénomène médiatique de première grandeur. / It is between 1960 and the end of the 1980s that lies in France the great period of the architectural shift that gives birth to the La Défense business district. The history of this monumental “Ouest Parisien” planning operation seen by journalists reveals three stages in the evolution of this project which aims to establish the capital of a “French Manhattan”, or better three strong constituent states of opinion successive : one of enthusiasm which presided over the presentation by EPAD in 1964 of the first mass of the operation plan and its first achievements on the ground, that of doubt and contestation related to the turbulent history that has experienced during the 1970s this construction giant while embroiled in the turbulence of an economic crisis that threatens the future and disorder the final design, one of the undeniable accession to the success of a project that illustrated the erection in 1989 of the “Grande Arche of La Défense”. Know what journalists thought to understand the evolution of “La Défense” is the first reason for the historical investigation about this revolutionary urban district. But it is one second, because the story is not just a purveyor of the present ; it is also generator of representations which the impact play in conjunction with the objectively established event. And, as such, the study of “La Défense” as a historical phenomenon of crystallization of the opinion Press provides an example particularly net of the contribution as a pole of attraction as effective “La Défense” district provides to the contemporary history of urbanism. Thus, after describing the historical process revealed by the gaze of the press, the interpretation of the representations of the city new will be an opportunity to demonstrate that the achievement of “La Défense” headquarters was more concerned by the awareness of the event by the event itself as this operation was, by its very nature, a media phenomenon of the first magnitude.
75

Élites, pouvoirs et vie municipale à Brest, 1750-1820 / No title

Baron, Bruno 23 June 2012 (has links)
Brest, ville portuaire et arsenal militaire, est une cité où quelques individus mènent de front une carrière publique et privée en s’appuyant parfois sur les circonstances politiques.Sous l’Ancien Régime, négociants et hommes de loi contrôlent la sphère municipale mais sont dominés par les élites sociales (officiers de marine, intendants de marine, noblesse de l’armée de terre) qui constituent l’essence du pouvoir dans la ville.Avec la Révolution, un nouveau personnel politique se met en place, on assiste alors à un renouvellement des élites. La noblesse militaire perd ses positions, les anciens notables se trouvent relégués à un rôle subalterne et une nouvelle génération de notabilités issue des changements révolutionnaires est toujours bien présente quand la monarchie fait son retour en 1815.Le rapprochement des évolutions institutionnelles et des parcours politiques des élites permet de dresser un état précis des structurations politiques et sociales locales au cours de ces soixante-dix ans.Au cours de cette période, les élites municipales brestoises parviennent à s’imposer à leurs concitoyens mais ne réussissent pas à imposer leurs vues quand il s’agit des relations avec les autorités supérieures. Elles sont toujours sous la coupe d’un commandant militaire ou d’un représentant direct de l’État. Le pouvoir municipal subit des changements et connaît des fluctuations importantes dans la réalité de ses pouvoirs et dans sa marge d’autonomie. / Brest, harbour city and military arsenal, was a city where some individuals managed public and private careers at the same time sometimes by relying on political circumstances.Under the Ancien Régime, traders and jurists controlled the municipal sphere but they were dominated by the social elites (naval officers, Navy quartermasters, Army nobility) who constituted the gist of the power in the city.With the Revolution, a new political personnel was set up, we attended to a renewal of the elites. The Army nobility lost its positions, former notables were relegated to a subordinate role and a new generation of notabilities stemming from revolutionary changes was still very present when the monarchy came back in 1815.The link between institutional evolutions and the political careers of elites enables us to draw up a precise state of local political and social structurings that occurred during these seventy years.During this period, Brest’s municipal elites succeeded in imposing upon their fellow countrymen but did not manage to impose their views concerning relations with superior authorities. They were always under a military governor or a direct representative of the state. The municipal power underwent changes and knew important fluctuations in the reality of its powers and in its degree of autonomy.
76

Vitesse, accessibilité et étalement urbain ; analyse et application à l'aire urbaine dijonnaise

Enault, Cyril 29 November 2003 (has links) (PDF)
La thématique de la ville est abordée essentiellement par le biais de la densité résidentielle. Cette notion est analysée d'un point de vue purement conceptuel, puis plus théorique (faisant ainsi usage de modèles économétriques assez classiques : Clark, Newling) pour enfin être appliquée à l'agglomération dijonnaise ainsi qu'à son aire urbaine. On dégage ainsi les grandes structures urbaines faisant apparaître une ville intermédiaire entre le modèle monocentrique et polycentrique. Les deux composantes sont analysées successivement à partir de la notion de densité résidentielle. Prenant comme hypothèse que les villes sont dynamiques, la seconde étape est celle de l'étalement urbain. Une première approche introductive s'attache à comprendre les grands principes de l'extension des agglomérations ainsi que les facteurs de l'étalement urbain. Ensuite, l'ensemble de ces éléments théoriques est confronté à la réalité historique. En prenant comme file directeur l'agglomération dijonnaise, on étudie les processus d'extension des villes européennes. L'ensemble des phases historiques est analysé précisément : Antiquité, Moyen Age, Renaissance, Révolution industrielle, première moitié du XXième siècle, seconde moitié du XXième siècle et enfin période contemporaine : phénomène de périurbanisation. Au-delà d'une approche très classique et qualitative de l'étalement urbain, l'analyse historique permet de dégager quantitativement une logique de croissance surfacique. Restant toujours sur la thématique de l'étalement urbain, une autre approche consiste à étudier l'extension contemporaine des villes par le biais des densités de population et principalement à partir du modèle de Bussière et de ses variantes (amendé, sectorisé, segmenté, quadratique). On étudie alors le problème à partir des populations cumulées à partir du centre. L'apport de cette recherche est l'identification d'un phénomène de rupture urbaine et périurbaine nécessitant un nouvel amendement du modèle de Bussière. L'approche dynamique permet, en outre, de dégager ce que l'on a coutume d'appeler les logiques de la croissance urbaine. Après une approche assez économétrique de l'étalement urbain, une solution alternative est proposées à travers la notion de dilution urbaine, assez peu employée par les géographes. Un état des lieux conceptuel est établi puis, évoquant le problème de l'analyse urbaine fractale, un modèle est proposé pour la notion de dilution. La fonction logistique décroissante est alors utilisée dans le but de mieux cerner l'organisation de la ville, de l'espace périurbain et leur évolution. Par ailleurs ce modèle de dilution a été testé sur 25 villes françaises autres que Dijon. Il fonctionne systématiquement avec un très bon coefficient de détermination. La seconde thématique abordée dans cette recherche est celle des transports. On évoque tout d'abord ce problème d'un point de vue descriptif en étudiant l'organisation d'un réseau routier particulier : celui de l'aire urbaine dijonnaise. Il semble se dégager, d'un point de vue morphologique, une logique radiale de la densité routière. L'ensemble des paramètres du réseau est analysé : courbure des routes, répartition des feux de circulation, portion urbaine des voies de circulation, type de voies, trafic et pourcentage de poids lourds. Enfin une étude de cas oppose deux radiales d'accessibilité fondamentalement différentes. Après cette partie essentiellement descriptive, la seconde étape est d'envisager la question des transports par le biais de la notion de vitesse et des temps d'accès. Une partie conceptuelle sur les vitesses permet de fixer le vocabulaire et apporte des éléments sur l'art du trafic. Une partie plus technique construit un modèle de calcul des vitesses théoriques reposant sur le modèle logistique et sur la courbe de congestion débit-vitesse. Les vitesses calculées reposant également sur un modèle stochastique sont analysées à partir de la statistique descriptive (écart type, moyenne, extremum). La moyenne est retenue pour la suite et intégrée dans le SIG pour les calculs de plus court chemins. Une carte d'accessibilité au centre est mise en place. La troisième thématique est transversale et ainsi analyse les relations entre les transports et l'étalement urbain. Une première approche consiste à envisager la relation d'un point de vue purement conceptuel et qualitatif en mettant en place un schéma théorique du couple densité-vitesse. Une seconde approche, analyse la question d'un point de vue plus technique en montrant dans un premier temps que la vitesse routière répond à une logique radiale. Au passage, il est montré que les temps d'accès reposent sur l'intégration de l'inverse de la fonction vitesse. L'ensemble des faisceaux est étudié. Partant de la fonction vitesse, et en résolvant le système non linéaire composé du modèle de Clark et du modèle de vitesse, on met au point une relation liant vitesse et densité résidentielle. Par la suite, les variations de chaque paramètre sont envisagées. Pour étudier la relation entre les temps d'accès et l'étalement urbain, le modèle de Bussière est à nouveau mobilisé dans la mesure ou l'on substitue la distance par le temps. Le même procédé est envisagé pour le modèle de dilution. Ces deux modèles permettent de mettre en évidence un phénomène de rupture assez conforme à la loi de Zahavi. Enfin, toujours dans la même thématique, la question du local est abordée dans l'aire d'étude du nord dijonnais. Le temps d'accès après la mise en service d'une quatre voies est simulé. On effectue ainsi une simulation de l'impact de la mise en service d'une deux fois deux voies sur la périurbanisation
77

Soin et société dans le Paris du XIXe siècle : les congrégations religieuses féminines et le souci des pauvres / Care and society in nineteenth-century Paris : feminine religious congregations and the care of the poor

Jusseaume, Anne 03 December 2016 (has links)
Au XIXe siècle, les sœurs hospitalières sont au cœur du système de soin parisien. L’identité et les activités sociales de ces femmes qui partagent un engagement religieux et un apostolat soignant auprès des pauvres de la capitale sont analysées dans cette thèse. La vocation, fruit d’un choix entre les jeunes femmes et l’institution, est une voie d’émancipation dans l’espace public et le monde du travail, mais qui leur permet aussi de s’affirmer comme individu en sapant l’autorité paternelle et en légitimant l’expression d’un désir. Chevilles ouvrières du système de santé publique et figures de la charité privée, les sœurs en accompagnent la croissance. Le soin aux pauvres et leur dévouement justifient la reconnaissance de leur utilité sociale devant l’urgence d’une société confrontée à une pauvreté massive et aux effets contrastés du processus de déchristianisation. Paradoxalement, la laïcisation conforterait leur présence dans le dispositif charitable et soignant de la capitale. Les sœurs se forment à certaines exigences médicales et cherchent à maintenir un « écart chrétien » dans le monde. Le soin des sœurs participe ainsi à la médicalisation de la société mais reste une stratégie de reconquête religieuse. Leur apostolat révèlerait que la demande sociale de santé et de religion reposerait sur un souci de soi et un besoin plus vaste d’attention. Mais ce « souci de soi » est aussi, pour les sœurs, une voie fonctionnelle et harmonieuse de réconcilier les volets religieux et profane de leur mission. Dès lors, les sœurs peuvent s’adapter à la modernité en articulant les préoccupations du siècle avec une exigence spirituelle. / In the nineteenth century, sisters of charity were at the core of the Parisian health system. This thesis analyses the identity and the social activities of these women who shared a religious commitment and a caring apostolate towards the poor of Paris. Vocation, which resulted from a choice by young women and the religious institution, was a way for these women to find a place in public space and in the workplace. It enabled them to assert themselves as individuals, undermining paternal authority and legitimating the expression of a desire. Cornerstones of the public health system and figures of charity, the nuns accompanied the growth of both. Their care of the poor and their devotion justified their claim to be recognised as socially useful in a context where French society was confronted by the new problem of widespread poverty and by the countervailing effects of dechristianization. Paradoxically, republican secularization would confirm their presence in the capital’s caring and charitable system. The sisters undertook training to new medical standards at the same times as they tried to maintain a ‘Christian singularity’ in the world. The care that the sisters provided played a role in the medicalization of society but nonetheless remained part of a strategy of religious reconquest. Their apostolate would reveal that society’s health and religious needs rested on a ‘care of the self’ and a need for attention. This ’care of the self’ was also a way for the nuns to reconcile the lay and religious aspects of their mission. Thus, sisters of charity could adapt themselves to modernity by articulating worldly preoccupations with a spiritual imperative.
78

Imagerie et quartier, entre pratiques des populations et action publique : le cas de la ville d'Annaba en Algérie / Imagery and district, between practices of the populations and public action : case of the town of Annaba in Algeria

Boutemedjet, Anissa 18 June 2014 (has links)
L’efficience des représentations à l’oeuvre dans les dynamiques sociospatiales et leur cristallisation à travers une forte imagerie constituent à notre sens un objet de recherche fécond pour comprendre le fait urbain. Notre réflexion porte sur l’imagerie de deux quartiers à Annaba, Kouba et Les Allemands, respectivement représentatifs des ensembles collectifs réalisés dans le cadre du Plan de Constantine en 1958 et des ZHUN dans les années 1980. Les constructions identitaires qui y sont attachées sont largement liées à l’histoire urbaine et aux conditions de leur peuplement, le premier abrite majoritairement des cadres, des techniciens, le second reflète une sorte de proximité spatiale entre le même type de population et des sinistrés provenant des bidonvilles et de la médina. Ainsi, nous considérons que saisir l’imagerie contrastée caractérisant ces espaces, permettrait d’accéder aux logiques à la base, tant des actions urbaines initiées par les pouvoirs publics, que des modes d’appropriation des populations de ces quartiers, à travers leur itinéraire résidentiel, leurs mobilités, leurs usages, leurs interactions sociales et leurs relations à la ville. / The efficiency of the representations to work in the dynamic socio-space ones and their crystallization through a strong imagery constitute with our direction a fertile object of research to understand the urban fact. Our reflection relates to the imagery of two districts to Annaba, Kouba and the Allemands, respectively representative of the collective units carried out within the framework of the Plan of Constantine in 1958 and the ZHUN in the years 1980. Identity constructions which are attached there are largely related to the urban history and in the conditions of their settlement, the first shelters mainly executives, technicians, the second reflects a kind of space proximity between the same type of population and the disaster victim coming from the slums and medina. Thus, we consider that to seize the contrasted imagery characterizing these spaces, would give access logics the base, as well of the urban actions initiated by the authorities, as modes of appropriation of the populations of these districts through their residential route, their mobilities, their uses, their social interactions and their relations at the city.
79

Dompter une ville en colère : Genèse, conception et mise en œuvre de la police d’État de Lyon 1800-1870 / Taming a rebel city : Genesis, conception and implementation of the police State of Lyon (1800-1870)

Prieur, Florent Marcel 20 November 2013 (has links)
La loi du 19 juin 1851 qui étatise la police de Lyon marque une rupture majeure dans l’histoire du maintien de l’ordre en France. Depuis la Révolution française, les maires ont en effet été chargés de la police dans toutes les communes françaises, Paris exceptée. À partir de 1851, Lyon fait donc figure d’exception. Parce qu’elle s’est signalée par ses colères récurrentes depuis la fin du XVIIIe siècle, qu’elle est considérée comme la capitale du sud-est de la France et que sa population apparaît unanimement comme rétive à toute forme de domination, elle passe pour une cité rebelle. Dans le contexte d’un « Printemps des peuples » marqué par les soulèvements réguliers des partisans de la République démocratique et sociale, en juin 1848 puis en juin 1849, Lyon devient aux yeux des autorités, le quartier général de tous ceux qui veulent renverser l’ordre social en France voire en Europe. Or, durant cette période, la police lyonnaise donne chaque jour les preuves d’une défaillance complète face à la criminalité et à la délinquance, malgré une réorganisation générale tentée à l’automne 1848. En réaction, le pouvoir parisien place progressivement Lyon « hors du droit commun ». La ville et ses faubourgs sont d’abord privés de leurs gardes nationales en juillet 1848, lesquelles ne seront jamais réorganisées, à la différence des autres municipalités, car elles sont perçues, entre Rhône et Saône, comme peu sûres, faibles face à l’émeute et promptes à se retourner contre l’armée et la police. Le 15 juin 1849, une nouvelle insurrection éclate à Lyon. Réprimée par l’armée, elle enclenche la réforme générale de l’organisation administrative et policière de la ville et des faubourgs. Dans l’immédiat, Lyon et les cinq départements de la 6e division militaire sont placés et maintenus en état de siège. Tentée une première fois à l’automne 1849, la réforme aboutit avec la loi du 19 juin 1851. Désormais, Lyon jouit d’une police étatisée, aux mains d’un préfet du Rhône devenu préfet de police, agissant dans une nouvelle entité administrative, l’agglomération lyonnaise, qui regroupe une douzaine de communes et faubourgs. Le décret du 24 mars 1852 fait aboutir cette réforme, en supprimant le maire et en attribuant ses fonctions au préfet, en annexant les communes suburbaines et en divisant la ville en cinq arrondissements. Sur le plan policier, les services sont réorganisés jusqu’en 1854, sur la base des modèles parisien, londonien et genevois. La police d’État lyonnaise traverse le Second Empire et devient le modèle à partir duquel les polices des préfectures de plus de 40 000 habitants sont étatisées en 1855. Cette pérennité de la police d’État ne doit pourtant pas dissimuler une contestation permanente de son existence au cours des années 1860, au Corps législatif puis au Conseil général du Rhône. Les élus républicains demandent en effet la restitution à Lyon d’une municipalité élue, prélude au retour de la ville dans le « droit commun » sur le plan policier. Progressivement, la surveillance politique de l’agglomération s’avère difficile à assurer et les effectifs policiers apparaissent insuffisants. C’est néanmoins la défaite de Sedan qui aura raison de la police d’État. La République proclamée, la municipalité lyonnaise tout juste recomposée reprend immédiatement la direction du maintien de l’ordre le 4 septembre 1870 / The law of 19th June 1851 which establishes state control over the police of Lyon marks a major break in the history of urban policing in France. Since the French Revolution, mayors were in charged of the police in all the French municipalities, Paris excepted. From 1851, Lyon thus became an exception. Because it differenced itself by its recurring revolts since the end of the XVIIIth century, because it is considered as the capital of the southeast-part of France and because its population appeared unanimously as refusing any kind of domination, it was considered as a rebel city. During the "people’s spring" marked by the regular uprisings of the partisans of the democratic and social Republic, in June, 1848 then in June, 1849, Lyon became for the authorities, the headquarters of all those who wanted to turn upside down social order in France and even in Europe. Yet, during this period, the police of Lyon gave daily proofs of a total failure to fight criminality, in spite of a general reorganization tempted in autumn 1848.In reaction, the Parisian power gradually put Lyon "outside the common law". The city and its suburbs were firstly deprived of their national guards in July 1848, unlike the other municipalities, because its guards were perceived, between the Rhône and the Saône, as weak in front of riots and quick to turn around against the army and the police. On June 15th 1849, a new uprising burst in Lyon. Repressed by the army, it engaged the general reform of the administrative and police organization of the city and the suburbs. Lyon and the five departments of the 6th military division had immediately been are placed and maintained under state of siege. Firstly tried in autumn 1849, the reform succeeded with the law of 19th June 1851. From then on, Lyon had a state-controlled police, in the hands of the prefect of the Rhône who became a prefect of police, acting in a new administrative entity, the Lyon agglomeration, which included a dozen municipalities and suburbs. The decree of March 24th, 1852 made this reform succeed, by suppressing the mayor and by attributing its functions to the prefect, by annexing the suburban municipalities and by dividing the city into five districts. On the police plan, services were reorganized until 1854, on the basis of the models of Paris, London and Geneva.The State police of Lyon crossed the Second Empire and became the model from which the polices of the prefectures of more than 40 000 inhabitants passed under state control in 1855. Nevertheless, the State police is contested during the 1860s, in the Legislative Corps and the General Council of the Rhône. The republican asked for the restoration of an elected municipality in Lyon, seen as the first step of the return of the city in the police "common law". Gradually, political surveillance of the urban space became increasingly difficult, and the police staff seemed insufficient. Nevertheless, it was the defeat of Sedan that would mark the end of the State police. Once the Republic had been proclaimed, the municipality of Lyon just recomposed took back immediately the direction of the police on September 4th, 1870.
80

Vivre de la musique à Rome au XVIIIe siècle : lieux, institutions et parcours individuels / Living on music in 18th-century Rome : places, institutions and individual careers

Oriol, Élodie 06 December 2014 (has links)
L'objectif de la thèse est de saisir, pour Rome en tant que capitale européenne de la musique, et dans la continuité des récents travaux historiques sur les capitales culturelles, les modalités et les temporalités d'une profonde transformation des milieux musicaux et des conditions sociales et culturelles de l'exercice de la musique au cours du XVIIIe siècle, phénomène qui a accompagné l'évolution des styles et des goûts musicaux en Europe. La recherche est centrée sur l'étude des « métiers de la musique » : elle analyse les lieux et institutions d'exercice, les pratiques observables dans chacun d'eux, en prenant en compte leurs singularités comme leurs imbrications ou porosités, ainsi que le déroulement des carrières, à partir d'évaluations quantitatives comme de la reconstitution de parcours individuels. Elle vise, grâce à des archives variées (archives de la Congrégation de Sainte-Cécile, archives privées des grandes familles aristocratiques, archives notariales, archives paroissiales, archives des chapelles et des théâtres), à appréhender les conditions sociales des musiciens, en s'attachant aux revenus, aux hiérarchies, aux protections et aux mobilités. Au cours du XVIIIe siècle, on assiste à une recomposition du paysage musical romain. Bien que la désaffection pour la musique sacrée fragilise le marché musical urbain, Rome reste l'un des principaux foyers musicaux européens. La ville se convertit progressivement, mais avec succès, à la musique profane, en particulier à l'opéra, ce qui conduit à modifier non seulement l'offre musicale, mais aussi l'organisation de la profession. / The aim of this thesis is to catch how and when musical circles as well as social and cultural conditions in musical practice deeply changed in Rome - as the European capital of music- during the 18th century ; and that, as part of the recent historical work on cultural capitals. This phenomenon went hand in hand with the evolution of musical styles and tastes in Europe.The research is based on the study of "musical professions": it is an analysis of the places and institutions in which music was practised, the different practices with their peculiarities as well as their abilities to mingle together. It also analyses how careers develop, using quantitative assessments and records of individual careers.It aims, thanks to various archives (from the Congregation of St Cecily, great aristocratic families, notary offices, parishes, choirs and theatres) at understanding the living conditions of the musicians: incomes, hierarchy, protections, mobility. It has been necessary to study the social network and the family environment of the musicians, as well as their relations with other people, and their professional environment. During the 18th century, a reshaping of the Roman musical landscape can be observed. In spite of the declining interest for sacred music, which weakens the market of music in town, Rome remains one of the most important musical places in Europe. The town slowly but successfully converts itself to secular music, and more especially to opera music; and this leads to a change, not only in musical offers, but also the organization of the profession. / Lo scopo della tesi è di capire, per Roma capitale musicale europea, nella continuità dei recenti lavori storici sulle capitale culturali, le modalità e le temporalità di una profonda trasformazione dei “milieux” musicali e delle condizioni sociali e culturali della prassi musicale nel corso del Settecento, fenomeno che ha accompagnato l’evoluzione dei stili e dei gusti musicali in Europa. La ricerca s’incentra sullo studio degli “mestieri della musica”: analizza i luoghi, le istituzioni legate alla musica e la prassi osservabile in ciascuna di loro, tenendo in conto la loro singolarità, i loro intrecci o le loro porosità, lo sviluppo delle carriere, a partire da valutazioni quantitative e dalla ricostituzione di percorsi individuali. Grazie all’analisi di vari archivi (archivi della Congregazione di Santa Cecilia, archivi privati di grandi famiglie aristocratiche, archivi notarili, archivi parocchiali, archivi di cappelle musicali e di teatri), mira a comprendere le condizioni sociali dei musicisti, facendo riferimento ai redditi, alle gerarchie, alle protezioni e alle mobilità. E’ stato necessario interrogare le rete sociali e l’entourage familiale, relazionale e professionale dei musicisti, localizzare i luoghi di residenza nel tessuto urbano e studiare le realtà istituzionali, economiche e sociali che facevano da sfondo alla loro vita professionale. L’adattamento degli individui o delle famiglie di musicisti alle diverse offerte e risorse della città, le dinamiche d’inserimento nel “mercato musicale” e la società urbana, sono stati al cuore di questa riflessione. Il discorso è partito, per quanto possibile, dalle prassi all’interno di questi mestieri, predendo in conto le loro singolarità. E’ quindi stato studiato l’insieme della comunità musicale nelle sue diverse componenti e i suoi multipli aspetti. Nel corso del Settecento, si assiste ad una ricomposizione del paesaggio musicale romano. Anche se la disaffezione per la musica sacra rende fragile il mercato musicale urbano, Roma rimane uno dei principali centri musicali europei. La città si convertì, progressivamente ma con successo, alla musica profana, in particolare all’opera, questo condusse a modificare non soltanto l’offerta musicale ma anche l’organizzazione della professione.

Page generated in 0.0891 seconds